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LA LETTRE AVRIL 2016 - n°37 de l’Église de Saint-Éenne pélé du Puy ©Mathilde Perrioux Les paroisses en accord avec le concept d’écologie intégrale, mais comment s’y prendre ? Au cours de la dernière réunion trimestrielle des trois zones pas- torales du diocèse (rurale, péri- urbaine et urbaine), les curés et secrétaires pastorales ont relaté les initiatives mises en œuvre dans chaque paroisse, en cohé- rence avec l’encyclique Laudato Si’. Force est de constater que toutes les paroisses ont déjà des réflexes de réduction de consommation, motivés d’abord par des écono- mies d’argent, et pas prioritaire- ment pour le bien commun et la préservation des ressources de la planète. Par exemple : célébrer dans des chapelles plutôt que dans de grandes églises en hiver, limiter l’impression de documents (feuilles paroissiales), ajuster les commandes des enveloppes pour la collecte du denier de l’Église, utiliser de la vaisselle non jetable pour les rassemblements parois- siaux, organiser du covoiturage. À ce sujet, certains disent que le covoiturage de dernière minute semble mieux fonctionner que celui qui est organisé à l’avance. Pour poursuivre vers une écologie intégrale, c’est-à-dire ne cherchant pas à réduire sa consommation pour soi, mais pour le bien de tous et en priorité des plus démunis, tous s’accordent à dire qu’il faut poursuivre la réflexion et la sen- sibilisation des chrétiens ; ainsi, à Saint-Just-Saint-Rambert en mars et avril, a eu lieu un cycle de quatre conférences organisé par un col- lectif citoyen auquel ont parti- cipé des chrétiens. On peut aussi organiser un débat après avoir regardé le film Demain (qui va sor- tir en DVD cet été) et partager les bonnes idées, en utilisant comme support de communication les feuilles paroissiales par exemple. Il apparait indispensable à tous de réfléchir avec les conseillers économiques paroissiaux et l’éco- nomat diocésain. Pour ceux qui se posent des questions pratiques (comment faire un bilan énergé- tique, un jardin partagé, des pla- cements financiers solidaires…), le père Jean-Luc Souveton est personne-ressource pour nous in- diquer les organismes et associa- tions compétents sur ces sujets. « On ne peut pas penser à des recettes uniformes…, mais il y a tant de choses que l’on peut faire ! » (Laudato Si’ n°180) À noter sur vos agendas Soirée autour du thème : « L’écologie, une terre en partage avec les plus démunis », vendredi 29 avril 2016 à 20 heures, salle de la Bargette à Saint-Priest-en-Jarez (rue Simone de Beauvoir - Angle route de l’Étrat). Organisée à l’initiative de la paroisse Bienheureux Antoine Chevrier et d’un groupe de chrétiens, avec des acteurs de terrain : Jean-Pierre Berthouze de CAP 42, le père Gérard Riffard d’Anticyclone, Nadine Cizek de Mission de Vie, Vincent Parret d’Oasis Jardins de Cocagne, Centre Clément Myionnet (Saint Vincent de Paul) avec Fr. Serge Lemaire, et ATD Quart Monde. ÉGLISE CATHOLIQUE LOIRE SUD 1 € Pélé des jeunes au Puy

Lettre du diocèse de Saint-Étienne n°37 avril 2016

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LA LETTRE

AVRIL 2016 - n°37

de l’Église de Saint-Étienne

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Les paroisses en accord avec le concept d’écologie intégrale, mais comment s’y prendre ?

Au cours de la dernière réunion trimestrielle des trois zones pas-torales du diocèse (rurale, péri-urbaine et urbaine), les curés et secrétaires pastorales ont relaté les initiatives mises en œuvre dans chaque paroisse, en cohé-rence avec l’encyclique Laudato Si’.Force est de constater que toutes les paroisses ont déjà des réflexes de réduction de consommation, motivés d’abord par des écono-mies d’argent, et pas prioritaire-ment pour le bien commun et la préservation des ressources de la planète. Par exemple : célébrer dans des chapelles plutôt que dans de grandes églises en hiver, limiter l’impression de documents (feuilles paroissiales), ajuster les commandes des enveloppes pour la collecte du denier de l’Église, utiliser de la vaisselle non jetable

pour les rassemblements parois-siaux, organiser du covoiturage. à ce sujet, certains disent que le covoiturage de dernière minute semble mieux fonctionner que celui qui est organisé à l’avance.

Pour poursuivre vers une écologie intégrale, c’est-à-dire ne cherchant pas à réduire sa consommation pour soi, mais pour le bien de tous et en priorité des plus démunis, tous s’accordent à dire qu’il faut poursuivre la réflexion et la sen-sibilisation des chrétiens ; ainsi, à Saint-Just-Saint-Rambert en mars et avril, a eu lieu un cycle de quatre conférences organisé par un col-lectif citoyen auquel ont parti-cipé des chrétiens. On peut aussi organiser un débat après avoir regardé le film Demain (qui va sor-tir en DVD cet été) et partager les

bonnes idées, en utilisant comme support de communication les feuilles paroissiales par exemple. Il apparait indispensable à tous de réfléchir avec les conseillers économiques paroissiaux et l’éco-nomat diocésain. Pour ceux qui se posent des questions pratiques (comment faire un bilan énergé-tique, un jardin partagé, des pla-cements financiers solidaires…), le père Jean-Luc Souveton est personne-ressource pour nous in-diquer les organismes et associa-tions compétents sur ces sujets.

« On ne peut pas penser à des recettes uniformes…, mais il y a tant de choses que l’on peut faire ! » (Laudato Si’ n°180)

à noter sur vos agendas Soirée autour du thème : « L’écologie, une terre en partage avec les plus démunis », vendredi 29 avril 2016 à 20 heures, salle de la Bargette à Saint-Priest-en-Jarez (rue Simone de Beauvoir - Angle route de l’Étrat).

Organisée à l’initiative de la paroisse Bienheureux Antoine Chevrier et d’un groupe de chrétiens, avec des acteurs de terrain : Jean-Pierre Berthouze de CAP 42, le père Gérard Riffard d’Anticyclone, Nadine Cizek de Mission de Vie, Vincent Parret d’Oasis Jardins de Cocagne, Centre Clément Myionnet (Saint Vincent de Paul) avec Fr. Serge Lemaire, et ATD Quart Monde.

ÉGLISE CATHOLIQUE LOIRE SUD 1 €

Pélé des jeunes au Puy

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orde Le pardon : un chemin de libération

Les membres du Sappel

Le Sappel est un mouvement d’Église né en 1989 dans un lieu-dit de l’Ain d’où il tire son nom. Sa vocation est de répondre à l’attente spirituelle des familles du Quart Monde et leur permettre de trouver leur place dans l’Église. Il se ressource à la pensée du père Joseph Wresinski, fondateur du mouvement ATD Quart Monde, et veut rester fidèle au regard que celui-ci portait sur le peuple du Quart monde. Un groupe existe sur la paroisse Saint Matthieu depuis une quinzaine d’années et il s’étoffe

Lors de la journée de formation permanente proposée par le Centre Diocésain de Formation, Muriel, Chantal, Viviane, Laurence et Gisèle ont apporté un té-moignage fort sur ce qu’elles vivent au sein du Sappel. L’après-midi, Dominique Paturle, diacre du diocèse de Grenoble-Vienne, est intervenu sur le thème : le pardon, un chemin de libération.

régulièrement. Ses membres se réu-nissent à l’église Saint Pierre un sa-medi matin par mois pour un temps de partage et de prière, et participent à une rencontre régionale à la Mai-son Mère à Chuzelles (vers Vienne), un dimanche tous les deux mois.

Un espace de parole pour des femmes et des hommes chrétiens meurtris par la vieDes ateliers de création artistique, des haltes et retraites spirituelles, des temps de catéchèse, de célébra-tions eucharistiques, de célébrations du pardon sont autant de proposi-tions du Sappel afin de permettre à ces personnes de retrouver force, courage et dignité pour poursuivre leur route.

Spiritualité du Sappel Les plus défavorisés ont le droit de trouver leur place dans les commu-

nautés chrétiennes. Le Christ s’est identifié à eux et en a fait sa priorité ; ainsi à l’image du Christ, nos com-munautés chrétiennes sont appelées à placer les pauvres au cœur de leur vie et à leur laisser la place qui leur revient (pour mémoire, en 2014 le groupe du Sappel de la paroisse Saint Matthieu a animé le chemin de croix du Vendredi Saint). Confrontés à de grandes difficultés, ils savent ce qui est essentiel dans nos vies : aimer et être aimé ; ainsi plus que quiconque, les pauvres peuvent nous faire en-trer dans le mystère du pardon et de l’amour de Dieu pour les hommes. Ils bousculent notre foi et notre prière ; ils nous invitent à repenser nos vies.

Extrait du bulletin de la paroisse Saint Matthieu

d’après les écrits de Dominique Paturle, diacre

fondateur du Sappel.

« Dieu nous pardonne avant même d’aller voir un prêtre. Mais alors, pourquoi aller voir un prêtre ? C’est important, car d’une part, on lui partage notre vie spirituelle - parler soulage - deuxièment, parce que Dieu se donne par les sacrements. Faire l’expérience de l’amour de Dieu nous libère. Un autre chemin est alors possible. ».« Nous sommes responsables de la vie du monde, tout comme de notre vie personnelle. Je citerai par exemple des habitudes de notre société qui n’est pas chrétienne et qui nous rend esclaves. Nous ne nous révoltons pas de voir placarder dans nos villes des publicités amorales ou de voir trop de violence à la télévision. Ce n’est pas normal ! On se sent impuissant par rapport à ces structures de péchés ».

Dominique Paturle :

« C’est une grâce que j’ai reçue : Notre Dame de Lourdes est venue me prendre par la main pour m’aider à accepter la maladie de ma petite-fille »

Le prochain pèlerinage aura lieu du 20 au 24 sep-tembre 2016. Il sera présidé par Mgr Pascal Rolland évêque de Belley-Ars. Pour tous renseignements, contacter : Sœur Marie-Jean Plessy, déléguée pour la Loire : 06 72 92 72 49, mail : [email protected] Internet : www.lourdescanceresperance.com

Lourdes Cancer Espérance a fêté, fin 2015, son 30ème anniversaire. à cette occasion, 6500 personnes tou-chées par le cancer étaient rassemblées à Lourdes pour prier Marie, rendre grâce, et se rencontrer. Témoignage de Soeur Marie-Jean Plessy.Lorsqu’on arrive à Lourdes, on est chargé de fatigue, de douleurs, d’une longue liste de personnes, de problèmes que l’on vient déposer au pied du Rocher et confier à Ma-rie. Au fil des jours, on se sent de plus en plus léger, libé-ré, apaisé, serein, confiant. Ce pèlerinage nous donne la nourriture qui va nous aider, celle qui va nous rendre plus fort dans notre combat de chaque jour. Tous ensemble, nous vivons cette semaine en communion, nous nous por-tons les uns les autres par la prière, les échanges. Loin de notre quotidien, nous percevons les choses différemment, nous sommes entièrement disponibles à l’écoute du Père, des autres et de notre cœur. Aussi, nous passons par de nombreuses émotions, des larmes, des paroles qui nous touchent, beaucoup de joie, de sérénité, la fierté de par-

ticiper à un tel rassemblement. Nous nous sentons privi-légiés, nous avons beaucoup de chance d’être là dans de tels lieux, au plus proche de Marie et de Bernadette. Nous vivons de grands moments, comme le bain aux piscines, la réception du sacrement des malades. Et nous repartons apaisés, pleins d’espérance, plus forts. Nous avons mis de côté notre combat, nos soins, nos traitements, notre mala-die… Nous avons trouvé la paix, le réconfort, la confiance, le courage d’avancer à nouveau... l’espérance… Nous avons choisi la Vie.

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Actu

alité

Les réalités du monde agricole dans notre diocèseLe 16 mars dernier, à l’initiative de la Délégation diocésaine aux questions sociales et à la solidarité, 25 agri-culteurs et agricultrices se sont retrouvés, avec pour objectif de donner une photographie des réalités du monde agricole à l’échelle du diocèse, les difficultés et les solidarités.

Voici quelques extraits des diffi-cultés exprimées : les choses ont beaucoup évolué. Auparavant, les petits paysans avaient peu de res-sources au départ, et voyaient leurs revenus augmenter. Actuellement, il y a de plus en plus de jeunes paysans installés depuis moins de 5 ans qui sont en difficulté. Ils ont beaucoup in-vesti, dans des projets pas suffisam-ment étudiés et ont commis quelques erreurs… Même des paysans bien installés ont du mal à s’en sortir. à part les agriculteurs qui produisent du bio, pour les producteurs de lait cela reste difficile. Solidarité Paysans accompagne de plus en plus de per-sonnes en procédures judiciaires.Cette année, la politique des prix pénalise les agriculteurs. Il y a une crise de l’élevage, crise de surpro-duction pour le lait et le porc. Il n’y a plus de maîtrise de la production, plus de quotas, le marché est libéré. Il faudrait pouvoir reconstruire de nou-veaux modèles, car de cycle en cycle, on se casse la figure.Il faudrait, par exemple, que les agri-culteurs gèrent le marché du lait, la production, le droit à produire. Actuellement, les agriculteurs font confiance aux coopératives, ils ont délégué les pouvoirs. Aujourd’hui les coopératives sont importantes et défendent plutôt leurs capitaux. Le problème est que les agriculteurs ne prennent plus le temps de s’investir dans les coopératives. Dans les zones AOC1, elles fonctionnent bien car elles

©Y.Th

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Prêtres jubilaires 2016La messe chrismale a été célébrée en la cathédrale Saint Charles mardi 22 mars 2016 par Mgr Patrick Le Gal, évêque auxiliaire de Lyon, en présence du père François Reynard, administrateur du dio-cèse, des prêtres consulteurs, des prêtres jubi-laires 2016, et de nombreux prêtres du diocèse. Pour 50 ans de prêtrise : le père Pierre Moreau (qui a retracé son parcours presbytéral au nom de tous les prêtres jubilaires), le père Paul Mathevet, le père Jean Mazenod et le père Jean Perrier. Pour 60 ans de prêtrise : le père Henri Bonjour, le père Albert Faure, le père Pierre Grosmolard, le père Maurice Linossier, le père Paul Rambaud et le père Élie Royet.

sont en gestion directe et ce sont les agriculteurs qui les font fonctionner.La difficulté vient aussi du change-ment d’échelle, on est passé du pays à l’Europe, puis au monde. Cela change le marché de la coopérative qui doit s’adapter. Il faut tenir compte des évolutions. La coopérative est obligée de passer par de grosses centrales qui tirent les prix.

Le consommateur est peu au fait des réalités de la profession. Le

budget alimentaire des ménages baisse. Il faut une prise

de conscience collective pour consommer autrement.

Et tout autant d’éléments positifs exprimés : les paysans ont une image positive au sein de la population. Le développement de la vente directe à l’exploitation est valorisant, cela per-met aussi de maîtriser ses ventes, de plus, les consommateurs apprécient de rencontrer les producteurs pour voir comment ils travaillent.

Les relations dans le monde rural sont bonnes. « Ce qui fait mal c’est

d’être jugé, traité de pollueur ; c’est s’entendre dire que l’on empoisonne la planète ». Il semble qu’il y ait une prise de conscience du grand public par rapport à l’alimentation. Cela peut apporter des changements né-cessaires.

Une partie de la population n’a pas les moyens d’avoir une bonne qua-lité de nourriture, cependant des expériences telles que Familles à alimentation positive montrent que l’on peut manger correctement à moindre coût en modifiant ses habi-tudes alimentaires. Il faut développer le travail auprès des consommateurs pour promouvoir la qualité et le local. L’abattoir de proximité d’Andrézieux est une réussite. Il a été créé par des éleveurs, et les collectivités locales ont soutenu le projet. Employer un salarié dans le secteur agricole est contraignant (respects de règles…) mais un salarié permet de ne pas être tout seul. Embaucher à plusieurs peut être une solution. Il n’y a pas de problème pour recruter.

Pour conclure sur une tonalité posi-tive, voici l’exemple d’une action solidaire : Faire France, une marque de lait demi-écrémé en brique, lan-cée par des agriculteurs, en vente dans les supermarchés, qui rému-nère les agriculteurs 10 centimes de plus par litre (plus d’infos sur www.fairefrance.fr).

1 AOC : Appellation d’Origine Controlée

©Défrade

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La Lettre de l’Église de Saint-Étienne, revue mensuelle des catholiques du diocèse de Saint-Étienne N°CPPAP : 1013L83671 - dépôt légal : janvier 2013 - Direction de publication : François Reynard - Rédaction et mise en page : service diocésain de communication - Pour tout contact : F.Défrade : [email protected] - Secrétariat promotion abonnement : Christine Ferreira, 1 rue Hector Berlioz - CS 13061 - 42030 Saint-Étienne Cedex 2 - 04 77 59 30 24 - [email protected] - Impression : Corep - Site web : www.diocese-saintetienne.fr Facebook : « Diocèse de Saint-Étienne ».

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Officiel d’avril 2016• AU SERVICE DU DIOCESEDANIELLE BRUYERE, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge d’adjointe au responsable du Service Diocésain de l’Initiation Chrétienne des adolescents, à compter du 1er mars 2016.

• AU SERVICE DES PAROISSESParoisse Saint Vincent en Lignon

DAMIEN MULLER, diacre permanent, est nommé auprès du P. GEORGES NSAFU-NSAFU, curé de la paroisse, pour l’animation pastorale de la paroisse en coordination avec lui, à compter du 20 mars 2016 (Dimanche des Rameaux).

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Boën : Damien Muller devient animateur paroissialDamien Muller, diacre, a été nommé animateur paroissial de la paroisse Saint Vincent en Lignon auprès du curé, le père Georges Nsafu-Nsafu, à Boën, dimanche 20 mars 2016, lors de la célébration des Rameaux.Le père François Reynard a expliqué en quoi allait consis-ter sa mission : « Ce service n’est pas d’abord le service des sacrements ou des funérailles (à ce titre il n’y a pas de changement, à proprement parler) c’est un service d’ani-mation :- Animation des rencontres de l’EAP (Équipe d’Animation Pastorale), en lien avec la secrétaire pastorale et le père Georges, curé.- Écoute attentive des personnes en responsabilité dans les mouvements- Écoute des différents acteurs de la paroisse, de la société civile- Aide et soutien pour mettre en route, encourager, relire, former- Damien aura le souci de ceux et celles qui font leurs pre-miers pas dans la foi, les catéchumènes, accueillant leur demande et les accompagnant ». « C’est avec joie et confiance que j’accepte cette mission que l’Église me confie à travers cet appel », a répondu Damien Muller. « Aux côtés du Père Georges, notre pas-teur et des animatrices de l’équipe pastorale, nous

sommes appelés à démarrer un nouveau chapitre dans la continuité de tous ceux qui nous ont précédés sur notre paroisse Saint Vincent en Lignon. Je confie à Dieu l’avenir de notre communauté. Que nous puissions rester fidèles à l’Évangile du Christ, attentifs et disponibles à tous ceux qui nous entourent : les malades, les blessés, les exclus, les familles, les enfants, les jeunes, les actifs, les retraités, les veufs, mais aussi tous ceux qui sont plus éloignés de l’Église. C’est là une des missions de l’Équipe d’Animation Pastorale, auxquelles chacun d’entre nous, par son bap-tême, est invité à participer. Chacun avec ce qu’il est, ce qu’il peut apporter et donner participe à cette dimension d’accueil et de service du frère. Soyons heureux d’être, chacun et tous ensemble, ce visage du Christ serviteur ».

à Dieu père Jean RichoudM. l’abbé Jean Richoud, prêtre du diocèse de Saint-Étienne est décédé le 30 mars 2016 à l’âge de 88 ans. Une veillée de prière a eu lieu lundi 4 avril à 18 heures à la chapelle de la maison Sainte Thérèse (Saint-Chamond). Ses funérailles ont été célébrées le mardi 5 avril à 10 heures à l’église Saint-Martin-en-Coailleux.

Pélé du Puy 2016Les 2 et 3 avril 2015, une cinquantaine de per-sonnes de notre diocèse ont participé au Pélé du Puy des 18/35 ans. 1000 étudiants et jeunes professionnels de la région Auvergne-Rhône-Alpes ont ainsi pu se ressourcer sur les routes de Saint-Paulien et du Puy-en-Velay, et réfléchir au thème du week-end : Miséricorde, il en faut peu pour rendre heureux.