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66e Année. -- No 211
HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU A!IDI ET L'URLEANS.(Eté.)
B
tOLI'rIQUE L I T T AABONNIMIRtI:
T,nJh0U5R m, fOf:;e moire fl 0,3mo(yHieDO
BuPA RTEMRNTS - 10 L; - 26 L; - 14 b
RTRANGER Le. (rais eapplemeptairea de porte en car
Un reyeelt les AbonneDment, et lest AnnoncesA TOIT 1071E : Aux banaux du loumal, rue St-Rame, 44.
AGIS Chus M. Hava., ro, 1. J. Rousses., 3, et chefs MM. La1Al.-(tullier set C' place de la an...., 8; M. Fontuue.
rrévige, 22 sema egrreap0.dam. Pour In Anuo.ce,i
CJt4QQ7,SP., '004 AoiLt,
BOUESE DE ]PAINai 41 Boum 1870.
en,L.Tm saur L6nacre,xx o 00101 aceratrvmenLts vnLUUns.
ACTIONS,D aM:
il, eomptast,472 O. Garent. , 000 0812 5J 8t 400005 1 0 sel 505 00
1¢1 11.u P p en e la Gax 420 5000 00 0 p.[ col iliém 70 00'Un 001V l( bl 18693110 camp. 3 1 25100 1 g' r. transat 10 . e O870 UO tJ .as, P ment" 560 IU7 1 L.1 mant dSO I S O pag 0 0 0estériaar t2f I l
143 r0 _
tU ia dollars . 1 12114
G0. 43 u0Tua 6 _wdil d'Aairteh, .1715 00
OBLIGATIONS.
\40 an OM. P^$ouce0040 tr. 4 0[0
1183 0 1,013 000
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Banque
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BOURSE DE PARIS.
Ou 13 Août.eau Camptnn:..couri alot
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Orléeno s9/ 50 905 'eNord [rang. 1020 o0 1020Lvon 0'!0 00 932 GOMidi 590 00 000 asAatncl,ens hOu 110 t 7 '0Lombards 7007 50 - 7Sue, 008 73 a0Pontier (142 50 1050 00
BOURSE DE TOULOUSE,DU (3 AoUT.
A. comrassi
5 010eTTON3.
65-30Midi
fralta mas,
Oaomanes (IAfi3) 304 01170 DuVille l'avis (1860)500.:
S 0/0Au 13 août.
a
G5 20-20
Bépéchea TDlégrnhpiryoe.
Irlorancr, 11 août.I,,, deux .lasses de 18f,2 ot 1803 de la
dreo,,Ore eaeégorio sont appelées sous les
pa os. Les soldats appaelenanl à la ea-'ial,'riq as, génie et au train arrivent
ienne, 11 août, soir.
acteéiluce de La 'four d'Auvergne a
p portefeuille des affaires étran-gères. 11 a pris congé de l'Empereur etde " t es m pro t dmnam par la voie
'Robe, I Ur prendre possession de souportefeuille.
l' ,, .. 11 1t, s, , .Sén,t. - La st les .Hairesékao60700, répondant àSI, Scialoja, dé.
Ianel Dl lo6DUla.Dépanel Arrise),,
14.NO Yh, 30 Natin Aga. 8 h, 45lieu. (eapr.)1t t7 soir (eapreo) 4 41Soir 1 36 Soir 3 701
Bat, Aga. 4 20eo
10 40(match,)l0
30toi,
,.les. Dl Mitre.Matin 4 h. 00 Matin (much.)7 b, /4.
REAUX : Rue Saint-Home, 44
Déparai e Arrivées:,Malin (0 00 Matin 8 05Soir (expreesl 2 00 Matin (expr.)/0 45Soir 3 70 Soir 1 5Soir Caroas,. 6 l7 5e,, 4 54Soir 14 30 Soir 40 00
te» Dl 90Y0NNl.Matin 8 h. 00 Naïf. 9 h 301Maein(exp,) il 45 Soir
Soir 'sa 2 20 SenSoir blooerél. I 40 Soi,
clore dénués de tout fondement les bruits L urgence est ad peé u projetde prétendus ar nemene n ses et de o ant u crédit d II' I d-coocentrat oses de t P
ttirer queferait un pin Les
bonnes relations, j t t I qua nousentretenons avec L'A t 1 1 Irons quovent resserrer plu f t. t I nIra les Etats 00001" s d I ondnfrnneo-
Sont fonde. esiaà do pareilsbruite, .Gtenl
Uons 1rsf pl, 11 août.Bon nombre de
Fiançaes.
dont deuxatteeblu d'ambassade, sont partis Ineeparle bateau dis messageries impériales,Peur
aller aie l aga, comme volontairesdans l'armée franc .
TELEGRLP21E PRIVÉE.Le i d ri,,) a 1 sire les Préfe0cal f-l tg ve D .l dal tlg
Cir, 1.Alets,
L'état des
le 12esa dût 1Il'
car,4 h. soir.
pertrps est xpd-dié er soir per le poste. Le réclat
Mae-Melon pourra vous envoyers
directe-it celui du t.' corps.
r Noire cavalerie a fait, duos la matinée,nus brillante Tel.... ,ssauce sur Nuid,
Les es corse semiséavancentieèn-loirt; mai ale gros des fer.. cet a. au -
érc./Co-aponJa,c J. Q,arllrr-Gm.iralJ.
Aère. UÉ tTC i,,
Parie, 12 ao01, 9 h. 13 m.Le Major général a résigné sesfmmtiens
ainsi que le général Le1) rLU n, 1er aide ruajnr général.
Quelques éciaiiours ennemis étant ve-eàl g d FlIu d tété p
sis, qu s commandait étéfait
(( L ( d Q t'.
fohdont,Le b[ it,c de Il,c Must 1 e,ufels
et Son Prenela
Pane, 93 août, f h. du matin.Une dépécho annonce que les e
nieatieos a ec btrasboueg rt mterrom-pues. Aux dernières nouvelles les Prus-siens se ,saine, autour de la ville.
Pour oc pie conformeLe préfet
L. D. Lssear.
Paris, 13 soûl, 3 h, 15 m. soir,oflniet.
Une dépé;he de M""z, 68medi, 10 lieu.vos matin, na Signale rien de nouveau.
0n démcut formellement que les Frao-pars aient violé la oonv ntion de Gcnàre
soignant seulement les Messie Frau.çaie
xrxar. ncrdmix.
saris, 17 lait, 1 h. soir.(!J ff . est).
Mets, eame.di, InlDce voureoes eu - set venus
dans la vallée de 1" M ..II 11 détaohc-tolut occupa mo ntanémant Pon4 à-
MouLa brgale de ,val. ie di générai
Af les en o délogés après sen eombot dans loque) nous 11,0es oun trentxinodc0lnrcontinue
à saisi do nombreux m.Pions.
Sara. d'a fle.
Paris, 13 août, 0 h. 5 m. soir.(Offciet.)
Metz, samedi, 2 h. soir.Les re.forls attendes sont arrivé,.Le. vois.aalres atiuenl.
Le Corps Iégisloait' a adopté par 252lis confie 1 I. proitt de mi e000ernaot
les échéances, modifié par lu ettr mission.Ça projet proroge, non pas les échéan-
oes, n ie lesces
poursuites à l'oomeion deéohéa.aca.
Le général de Palikao a déclaré que lemaréchal Base)ne est aetucllemomt seul
ardent en chef do toute l'armée.co1a déclaré que ia défense de Paris
se bientot complète.A 1a suite d'applaudissements dans les
te,bunes à l'eceaafon de paroles de M.Gambetta, la Chambre se constitue en
mité secret pour examiner la praposi-t e, do SI. inles havre relntive ande
comitédéfense.Les bureaux n'étant pas convoqués
pour
j
Domino, one eommissiou, le propo-strou de M. J. l ante est évidemment rejetée.
La séannepublique est reprise.
Le (e ajot élevant l'émission des billetsde banque à 3 molli vils 100 millions estadopté n Cnnanimlté.
M Il. l t l n' t l,s députés à nP. él " nu do parie, afin qu'il poisseles convoquer,
gel de Paris Parto
f IIéce t. des l dcs 0, ls,Les p tes
éPost, é si le ée.
lkmat., à deux bluffait séant pub l -que
silo. nf^ C e.
Perle, 11 otold, tLe B illetin dn l ff, l e t le
que le plan dtplomtl, de bI i. Bas
nus Pl iieüeeet iâ v g11 n osé:la
a a,11 ajoute que les sympathies du Dana-marck sont très rires.
Noire escadre est de,., t Kiel. Degrraads événemenes se préparent de ee
Le t d t mohilos Pou rose Lasso{ Et . 1 f R t t'élis, 00eR a saurait fur. q.estien n instant ses feramémeaavanwgesquo lis osveiersaes nltnh,, I r , sandinat 1 fi'., Angél
de négociations puci4ques . l'idée d'une .et one outre leur solde, ils torcheront L. Lougu,ec, 1 fr. `,' mlueicn R,bet,défait suce re peut veut, a aucun lire
Ellepain rs de travail val n, pour les 1 fr, lfron It'b t 1 fr ; Gustave P. tn
I hommes coi gi de 3hià 1,0 centimes 1 fr.' 1 n Loms, 1 Ir; l'strude Celas
Moleté du 15 août5/6 61160
Les abonnés nouveaux rece-vront GRATUITEMENT la Cartecoloriée que nous avons donnéeces jour. derniers,.
Tous tee abonnée, ancien. et souscription Pat "lOtigne.nouveaux, recevrontaDsni, pro -ehainemont, une Marte apécrale Socs riplilu ouverte dans 1. eonomuoe
de la VITES DD OSonu et de las
5 iv i ldea éde no,tse set ur.MER EALTaQUE, pli'l'as ,t 9 de la guérit,.
La direction du JafeSat de To0icuoe a iluxe s mon,bonel., i utre, o y: t q I
Les H n]s ont é .rais ontro le'Il
..`permet do0 à 0e t , t J u-doit IAILIS Du vB,â'rüi m, %`AOUELIRI { t 1 f I sistre lanourmu ll' h.lt. tl-nu,
L t Itl ( Carte1 r é' l I L p L t l pt deum
Cari 411 9 liant l' lelaili laI9( I. I 1 f; d\ rd.3 1 ,des, .Oele'I I)014 II I I.h,5, Pa, doMea.
O, 71 41 d n p7 u Iu R1 ,) aj.
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mItl,in If g
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à Styeser.9 r. r Is Po. étN,i e.
10. duu.e do Hale e de a enrirous.
41 Mayence et ses enrirone.I2. Carte du 01,in ils .layenm à Col,leels.43. Carte de la 710001 e de 1,_ à C0
hIentaI4 Carte du Rhin de Cobinel2 a Du,s01-
dorlI ï, pl a d pancferl47 11 I.I1 I1 1
i(9 PI d cI al'.:I9 Plo'l)' il la Chapelle.
i l de I.ologee.Il41 l'Ion do Run.bourg.43, Vital Hcrl n.1. Allas du IAe'dtre de ia guerre, mis en
velue 1 de 3 Ira ,es, vota I ré onprix éd t de 2 auxf abonnés duau L d I
L carte 1 1 IPmrope Centrale,au prix de 70 ,..mimes
c4II0000S p4/E L,CC:?Lld,
Préfrrlure de M
AVISIA tDl. ES AIxES U
Le Gouv ont s décidé que le Te/)eom du lOi août sera rempplacée par desprières en faveur de I;trméc et de l'Em
peIl if aura Té-ù,s nais des
pprridrer
esdéné.rémoe g
ales.Toselo.so, lu 13 acût 1870.
M. La docteur Nordet est nominé ohava-e la Légion d'hon Cotte lis-lier a
linction, qui comble les vmux de ses amis,était depuis longtemps réclamée pur leslongs et beaux se,,ices de M. Noulet dans
seignnment, par sus nomLrefiux Ira.»Uxn icnt, ligues et littéraires,
L, Parn viciés etpp par dcssns tot, parrexen,plt a'nna'vie modeste, ,e,odceiaa,toujours honorable. EllenM.
o'a io ndra queN.Ilot qui n'a u foi titrre de-ndé u puentuet Souhaité un e am-
6itionné pr tant de personnes ,tvient le Oouvar en visiteur matlesedn. qni
Nous regretteras qua les relations si an-s de M Noulet aven le Jo,ocnul de
Toulouse imposm 4 s lance à l'expressio.do nos seotimoots, mais ce quo nous e,epouv ses dito, to L lejinoode I di, et celasuffituà l'homme éminent
qninnera
t auus--dsus de toute chus,.
filet l'affection
du ses conaloycus.
6 6g Soir
10 20)
t 61 8oir 3 47M 90 finir 8 51
v 11 71
Dimanche 14 Août 1870.
77151E ID' INNORC74 r
&.a.cera, a 11t',, a D. 74Ittlamcn, la ligda M IIlatta divers, la lige. 1 W
BUREAUX I Rue Saint-Rom., 40, n 'premier!
TOeIs.,s, Imtrtimerie Philippe Maeashis, péate rw&ies-Home, ft
U dé mpériele du 19 )o 11 .t 0 O t t P lloe,,rrat, ,0 e.; L d'un vie, rédhibitoire p1é
tpar la loid tU a, esA p 1 t L al ] le f Encode M 6 1 f pot a, c 07 o nti-I l .s a I p l à l' t"tés t'I S I r I f .; C l t P L ad 15 F3 d 1
houx da les e rocs aduu stra R
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tl S é d n p et o nd it rose ec Ih 'Valentin, pli C s Bit d
P d:.nt , le colonel commaanti
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Tes ld I ista militai i e, 0 t l f ;pli 0 L rh pt t d monte}
oondson
dé-hirapl re d 461. Nl f a pr s Yit k ln J e '0 l e ,f s[ J ép I Ié é p T Il' I éti'thd t Il d v e- stil M Il 2 R'tou t u tl 1 Lb I p p étar delaut I'té ci '2 d l 1 p é 31 0i iL tti. t d 1 P Rose t V .o nbce du conseil général.nosaI 1 l té I d a de d 1 1 ''0 C N é BP l' (p man es t p n e.r-uu ou
t ( zdaset lace dis pr,h s otIl Commis aux é t nomnirra,
houle,gaie, bouchers, tournoi- et robot.testeur
M ..s familles, menuisiers, char-t t ,char nus, serruriersP
é Ycu t grcuun.uoiI.l
e n fUt n , 2 n e
bat P W l 1 t C t xd P .1 n
Manm} 0 r 1 J I f orte1jean, S . t d B t Il 1 f_ Fon-tan, I P N J.a a I. 1 amplinc,a
o.;1 fr., COI st 1 . q u bataille.
l 1 1 Tl B f E h'an. tslocga< 1 f E Je L J 1 f..
par )sers. se,evam n.Ame Jusq.a 90 Dn,1le; R,bet Mare, o-1 -malt Rem.oese0n,es
pouetr
les Lmdm .pers. jami,, 50 e1 Escacch, --ti e.; AbadieLes demandes doivent étre adressées Jeanne, 50 c.; V..., IIU c.; Cbarler Ilonry,
ux lutendants milimires qui pirovogueny 00 e.; De Montgaillnrd, 5 fr.; Poussedons l', mesura dos Lrsoiu,, la m s. en Man.uin, 1 fr.routad art i 1 ts sont l'apt'tuda et] ha.bileté ( fss nnelle auront été établies. - - -
MM. A \ 1 11.1 , 20 1!LLat
7I l Allons.Motard, t t tciur, 2A l y C s,1. SAsti uSCé Las,: 2Ill éU 's. 2u IrOymanL 2A IL1. p ol t I. 211 0 I.a 2
Mollet 21 Jcl .ué Jeun, garde eham.
pitre.Gauchie' fermier. 1
Esperbié Jean aisé.IOl lié loan jeans.Eq, I oé {ils.Riviero Anmine.Mauret Jran.Causse Jeen.L H théltmy.5 JB ,i.line
Ias.Pour colisDonifauIian,ond O ri
sud.
1 I éJB } I .
lors"""fou 1;ecre.1 J l élu n.11 I^ 1 t i,
ne.e:nandj "m.au
II l d.
li J 'rlI I .Liai vie.Ayral l3omiuignc.uecmt AU, U,'lionnxurc ,lean-Baptiste.Pelons Antoiuc.Da ries Jaseur.
Fart Raymond.Causse Uarthélémy.
Gayal Guillaume.l.onpioe
ot,, GuD i ilaumc.Il scribe Ikrnnril.lao laelaaa,rlllvit Jean.ferle ails.Aaé,na Dartnalrmy.L,rcly Joseph.
Il,pl NZT 't.pitalin Antonio.
Amies Fran;ai,.Gras perteCruzel Pierre.sxlvi PicrrnBoylac
Jean.
. 10
'total........ 108 0e
Certifié .x001
Le AIU d /calquons,A. Mis.
A,,as des souscrip/eurs d'drbue.
AI5f.o tt .t 1 1 fo t r l'errailit
Chu l. fi;Jo 1h Bel, 30 e.i Du-nan4 Jcan-Nicolns, 50 n.i Caslux jean,
Par Iél l é t . du n J II 1870, lu
taesl DD veux.Départe 1 Arrivée,,
Matin 8 h. 70 Mati. 8 h. 78Soir 7 0, soir (maroh.) 7 75Soir: IMmroh.) 1 OS soir 8 00
alose{ D'ssL.nsee,
Metio 4 h' l0 Matin 8 h' 13
tiibanal
l let vo,éune s de q t l' s porc lasoUSrripLon...ctc
SUPet, il
du Rhin.
AVIS.
L s sit l d M. le Mimsli e d l
g .vice I 1 I I tien de le loi 1 f0Dût r t I nentat on des f . uslita 'ermit oSSai.IIa.t adressées
19177.) 1 é tMais au I jett l' t
, Un IPmmoL à I u mq uel
U. 'net es I I de C.
es ',sqmI
lumbtnt sons le coi p de cetteInc.
L 1 ,. ,OLY,'Eeiiv, éLh
d 1870.
Tous les nd r t t dons LIS dé.porte"" sels Se Ir t ,mcdiatcinentà lails
Pont
y Iunu leurs examLes candidats pourront voyager à prix
isé à
uns
e ou à
la
réduits n
-sentant
aux chefs de go eoe,111 ,1 v la préfecturs-preieotare, constatant qu'ils out été
régulièrement inscrits.
vi s La
Le l Ii d V. d d p bI un décretaccord rt amnistie
plil n o et efdiI po r
'colles délita pnlitiyues commis depuis le
206eptembro jus `u'à me so r.Le maitairna mnpri dons l'mnni,tio
devrlut. 1 d r. t 1. .0,51,Jarnr I I- [ 101 t à l' L turion,devant le [i 9e vents de la nation àl'étranger
Nos pp . I t leodai-u I.'= cbassc ris a el,ev01 de 51. Item )
de tleeuod,ur, fil, du haro,. da e dot-tq n 1 1' é 1 fils
lte ill.
date II 1.N .II,s1301,e, L, hude Ii ,uadolte. C, joui e huwute a dfràres soue Ics drapeaux.
Pot arrêté de M. le Préfet de a Haute-Gorone, fils concours
scientl,,avens
à
'Toulouse et à Saint.Goudon, pour la dis-tribution des peinas aux poulin,éres dedemi.sang
etde pur smig, à ta onditiou
lue .s dernières amont d'ouunliporocs
ainsi
s qu,iitéauesx
pde demi-san hdoitde trois ans.
Sent admis à cenen..ir :A 'l'oulous : les éleveurs desarronivents de 'l'.iuleuse et de.
l'illerianc,bn,
as, si que o,i es ça tons d'Autceone,CintIgolsJIe,
Cardhosur,iMuret,ltieumcs
et Suint-Lys ;A Saint-Goudenu, les éleveurs do l'ar-
ondissanentdoSaint-GnudensctdesTon-tons da Cacècer, Foussccet, Montesgseicu-
Volvestre et [Vieux.I,es il, fines
eIendn distribuées à Tou-
h, mb oue,à Pleessago, nrai, 20eptombrc, à midi; à 8aint-Gnndcns, s
le Cliarup de Fuie,, le saumdi 21.scpteiur
lire, à neuf heures da malin.Pour étre admises à corsaoi 1.
hniàecu devront: ao b ce ng6aaas,gUSRT ans au,,mus tde soue eus uplis ; .l' folle sis téeo de Jour produit del'année, issu duo étalon de Pur sang eudo demi ong, soit appm tonnnt à l'État,suit approuvé, suit autorisé; Aire sail-Ies euo;veau dans L'aoué," diero.pli n étalon ppartooaut 1 deoes trois ealégorini i de être exemples
Nous publions .weo empreasemout lalettre sucrante que nous adresse ma deuns abonnés
Toulouse, le 13 .out.Par ce camps die. t êe g ses,
q, finsd nos cnlams, nosfé s ,
t appelés p défendre la sol deetivaie.,e 1 pot- I, hordes venues de
1 \Ilemlier
v t ne dire ,t 'il fautvit d. d i roba pour le chois
de 34 co ville m r ieipau qui restes,od à élise , et je lis, dons ertro
nol d'aglonrd'hni seulement, Dette convo-cation caive de l'autorité municipale f
Aies amis et,noi ,l'avons ni la tempspile c I ils' de .-I ,datsrt Nous,esor Ilo Aie ânes a rot, .1
uuP
éJ d1.i lesultel d 3 [ Il I et Si
insolite 1 t de d,mano0 d-nous dklar ses dam, g.e nnnsnnsp t et q puisque
I 1 1tarité n P jugéI Donstemps plus pl t des
fat 1 I. d t i p1 défares
1 1
un ,
p r nf é s e le nom-I des n t..i _tes que d'aller éparpilles n t. .
r Uit A1o.ne. .
OBSERVIPOIRE DU TOULOUSE.Dire 4 nr : Id. Bent.;o.
rvila,
Ruf3 loût.14
Phermom. enetigr,JminimenmaAi.-,:+ 27 (illnd6s. .e . É_ er,:lat. n_M
A. ntuhn 151 m
9 . m. 0x,7460 - beau. - NI. fait,.
IL
bel..
midi, NNOfait,
4 h. s., 0°,7140 - - faiblNNOe.
Le hmalletre oolltiu.a à descendreDioyenno thnrmométrigno de la journée
d hier 250, fiPour iu CAroneg.a ri bort « gni précède,
AP!U
hl. Fournlm', président do,'fribuml deI re inst dA-I St nenmé obroali,nde la I c d' hounour.
liéziw a, 12 août.Dimm l c d -.) t heures 0,,
loi, 1:'00 ( ét brut rI'5 dans one relia ode la nmhla de Teô,'-
1 es, au promit r,it, go, puai assister a,,
d .pro II t 1 ratio e talent l'é-I .tim d 't p l squ ,eplau,;Lu u,daut sous Ic. potes des
as
flots, e Ceroulae et tout je niosede fid prboipité au reud,-ehaussée, dans le localservant décale. lux cris poussés par lesvictimes, un grand ambre d'individus
,,f ou dehors,qui sompressévent d'enfoncer la porte de 1110000 et desecourir les W,enes. Par un Imsard peovi-denLiel, ou n'a eu :,déplorer la mort dapersonne; mais presque tous ecnx qui setrouvaient dans la salle, ou moment del'accident, e,' urent dus ccat.Sin.5 plusou moins graves.
(Le Ppéliculm<r)
Nous lisons dans le Journal da Bordeaux
do jeudi soir:{liedsoir,vers 11 heure, eml,le-
iron ,illesper ss'est
t I 1foenr
r Iu e s dnerOnu chanté pendant one heure la .Doc-
scidlaise et le Chan! des Girondins.
APiles loto, des orateursSe saut Inq,c.
sise'hou, ro dit?Nous n'avons pas été assez heureux
Pn'Pun, r iiilest i arc des c Alla,ilJésultus!ire ont dominé les cla-
ot que L ns,llo perscoron environoEt suivi, avec un emhesstasme non dé-
festaiio1!a2 ou 3 meneur. de colla mani-
Arrivés des lin Ics murs do Tivoli, telsmghnieurs, probablement, de es siège 401
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ravisé, mat tenté d eseala 1 I.s murail- Il a s (out' out l - E lu m, l très-l wn l)dans les Au moo. LII o se a u t 1 17 )2, et,
Ace mm,ie t M le romma D1 met s t t a dl dét' t . t I Nord, gons sommas p,éts
Ira[, aeeomp. g é du sot,,' [ t M. J n demande I p M I 1 (tl n ts divers )ai,p :t a ' d t I . t d J la f ' I M. t 'e> tenuto la France est prèle
f l l L ordre du jour.il- lnIi,a,.I ilvé ie ; I
p1 11 le
tlwVt -,,,,s at J él d'à
! f t l t é l lt p it Pariade d L t y e n, 'c un. Au rapport)
.lies allié n ou, u_ crrp cegc . c l 1. Wa 1 J , ors q off au pp t. Agotions d'abordla déferamoût.
""1
,é me n p t P p e se u pays.y ayo i l "!Ë""" en c Il ni, a pas
p t s t - brases I d pj t 1 genre t dé pTod<IIle 1 1 t d ts qui s t la I u (Api l u- 1 d 1 p t (Y l l I Lsa,
L fl'aprèntrcs.prdmied,i,arrivédébarsqueur
di'.1s2h d vents.) g t dé
de
é t 1 u. t. p t
t parc à ouchei C'est ce qui a été r t estu é é mss ,
te 79m de ligne, venant de Corse; "est fait hmr (Oûi t ou') La parole est au rapporteur du projetgerbe régiment présentant n ef- ..
aloiscams,aaoa. Honneur de lui sur les mesures militaires.
en moue. _[soin de d2 'étahommes, plus 20 chevauxmrtel n àa oeux qui, en ol m an mut,
et mulets 'état.major et de cutine.combattentt qpour le salut corn M. ne, s, lepli le rapporteur.
La Seine,qui
a mouillé eu petite rad
mua
e à u I qu'ils reçoivent l'expression "de e présentsLas
projet de loi qui vous a été
8 heur«. du matin, a mis à terre les ire c.misro e et de notre admiration. présenté dans la séance d'hier; et dont
troupes du génie et un escadron du train (Nouveaux et vils applaudissements.) vous avez déclaré l'urgence, a pour 0Liet
de l'année de home. ; outre ce personnel n s, nieson. Nous nous ueaneions tous d'augmenter la fixée de l'armée art ve par
la Seine avait à bord 05 ahevan, et à ce sentiment que nous avons déjà e. - des diepesil,las nouvelles dune exécution
des masses de fourgons, de munitions et P'''me- x à la fois rapide et efface.
de matériel da%,,,,r,,,-,c
au..05510 et m.vs orz ia, Oui, tous Dans ne but, l'article du projet deEn mains de es, l'administration nous avoua acclamé nos soldats. Ici propose d'appeler à taira Parée de la
du chemin de fera ..levé 1,200 chevaux u. te nanan ne vasrvrvenx. La com- garde nationale mobile les citoyens âgésls d t atrsfaitissi i i t s' d
nm on a a P. om s ses eemere emea
et 1,800 hommes appartenant au " ré-due et au Patriotiques.d'Af ihi t r qe c asseursg men , nove scxnemsn. Je tiens àmont de chasseurs à cheval, plus trois _Lots, e las nom meut chaleureux etbatteries d'artillerie et deux compagnies tdesedurre surinesdu génie. 1I ba csgde vla nChambre Oui ! o
nLe mouvement des!ren pas irafait avec 'I ( .ai!)
une rapidité i,0 ,1 t,;, te personnel dodos
soit reponé à notre armée, an nom
la ces braves os réprés ire,s du pays, nomme l-gara estsur
r1
les dents : mais oudes
s rB omis et des a...gens sa multiplient et veillent je,, ett''ia(51 de la nationtoc', entière.nuit avec un dpenner,erie ut qu'il, lie sait. ses (bauge
u, pas.),aitafin art
e
pasas
etM.
ux. mensitems.
pPI launedifautpas seulementbattre,
tropils se p
récompens od,gue,
retarder le départ des troupes de
rpse
en des paroles, mens d , artLe penné.-
Il111,111HETfart. erbalconstatera le mouvement de touteUn officier prussien, en costume civil, la Chambre Nos héroY s soldatsqui riêté t lo vaisseau le Louis colt, a qno T
été arrête et conduit sous bouma escorte à trouveront l'hommage de notre admira-arrre, oà il vient d'Aire mis à la disposé, bon, do ocre gratitude et de notre mmtin. de l'autorité militaire. Au mémo i,. fiance rdute. (Nouvaa.x applimul sse-tant, une autre arrestation a été opérée à
mee.)Afnt
Grla gare.
11 posait que l'autorité était avisée et
que leur sigsalemmnt était donné danstoutes les villes de guerre du Midi,
e ma ms e treu e sa quine ligurotla loi du recrutement et pi
pas sur les cantréles de la garde nationalemobile.
L'article 2 autorise le gouvernementeprélever sur Foir,ctif de la gardenationale
mobile des eontingeurs destinés à être in-ca parés dans les corps de varan éa active.
L'article 5 dispose que le restant de lagarde nationale mobile sera régi per laloi du 1 février 1808; il ajoute doitpourra néanmoins être employé hors duterritoire. Les lemmes mariés à la datede la présente loi castoraient dans leursfoi, era.
mets en ,cas osant détend^ e les fa- do le rapport.rop pl voixItés de remplacemeat; mais elle e
a. Dans le tente alarmedu,v s de vn muent des orales é l . pé
tédela..........lo ("ftiaèts bien t oès bien !)m
.tore et d'év,t d pi '1 fr.l . à u, en nre .unutr,,
lo m ion
débit, et ,pli pourraient donner heu é des propose d'en stance un article de I loi.
pi é t s c t t t 1 s. ( t ras- dent Bravos répété.) C a
LII é lé également un nom te- un lien do plu l l,'a soldat qno lé-
e t plié. nté p M RI II y qn va t l fendent la pal'r t La soldats
pane. I td,'=d 1 tfd e qP appl sb oabaure p85j é l I s d. 18i3 t 1 (é",,I'a a
t)mil,13f pp .nnt à lues etont( Lal 1. s., t L.L Is
t té tunsat to lu 1411,1 f t d L. à l
' ( tml tt eo le pt
n'est 1".sg denouvua efforts
qno il couvrent d établir des excep-tions, même appu}}'ées sur des considéra-tions dignes d'intérêt.
Les derniers articles du projet de loisont relatifs à l'appel de la classe de1870.
Le contingent toue. entier est appelé, àl'exception iles,lrnr,oa gens qui se trou-
ent compris dans les cas d'exemption onde dispense prévus par la loi modifiée du21 mars 1832.La durée du service des jeunes gens
prend date du mur de la promulgationde la présente fô
Mel. le baron de tarante, le baron deMiction, Johostau, le vicomte Manier lela Si rraune ont proposé à cette partie dela loi ana amendement qui 'Lpour
à
assurer.près la guerre, aux j unes go"de cette .lasse, le bénéfice de bras mamé-ras.
La commission a reconnu l'utilité decet amendement et vous propose .es dis-position spéciale à e sujet
En dernier amendement,, relatif amienOagemeas q r t été p As t pMM. Argente, le baron de Benarst, Afonajarst de Karjégn. Aux termes de cet amen-dement, les personnes valides de toutâge seraient annoncées ' co tracter unengagement pour toute In durée de lagarera dans larmée active.
Lla o,rconstancea instillent cet amende-1 qui permet d'ouvrir les range de
armée t des hommes co aires x ct n.-tle nt un Dot à d le pa s; qui yen.,lent encore servir leur r pays niais. onadoptant
e't cette r e,on, il est mères-sa, as
d cone
'À l'amantemili
tairelele
droit d'apprécieorsr
l'aptitude des oiteyenaqui pourraient venir offrir leurs servmesa pays, en consultant peut.Aire Icar
e I u a forces.em
ouraes
s, des dispositionsoo
Toien sontos
du prgiet de loi que la nom,nissio vu'propose de consacrer par ë n vote.rés.Irt
euer a po. t pId l'l. t I
d' dt,oteréts
ira 1 Iitt {
,mimons p l défe d t. 'tt sa
4 d' y.'.[' ua a
l
, 1 4
[aCh I t l' i,
pl dieanme ts p I gent longtempsMu milieu des Gris: Vive l'armée!)st
rmmorn. A présent nous sommesne Chambre Prangaim t (Cils bien ! très
LISt.1tt9 eméBmExS etoe'Eiosa, Le Ghe mbr¢
a décidé qu'elle passe rait à la discusslo-e-des artielesM.(Ouil ou') Il v aun au,endsi
meet de . Girault (Bruit.) t1 est ain. Les séminaires et et autres éta-
blissements religi ux sans exception, se-y ant soumis aux lois militaires comme lesautres citoyens et dans la même propor-tion.
x. cn.Rxrr.t. Très bien.L'amendement n est pas pris en consi-
dés. sis.r.V 'là comment vous défen-
dez le patrie I (Exclamations. )Petsraoroe s0nssmas. M. L.tour-du
Moulin me demande de ne insmeitre à l'a,-mée le vote de la Chambre par un té:égramme. Ce sera fait.n, ta 4.0 ça Je suis convaincu qu'ilentre
da0,n0
s la pensée de la Chambre de'aitro Do Î'n
la
ti I 1 d. I s't lhiq l
qpuse ses remerd eh, s à l armée
( Oui oui . )n- .sérums. Je demande 9 I'aniele
onstate l'unanimité avec laquelle il a étévoté..e sarrombien!aunt.Catt
i unanimité y seraconstatéeaVoici les articles du projet de loi:Art. ter. Le Corps législatif vote à l'u-
n ité des remerciments à nue armées,t déclare qu'elles ont bien mérité de la
patrie.(Tonte la Chambre se lève et l'aréée,
let adopté par avelam'ations.)A't. 2. Tous Ies citoyens non mariés u
eufs san celants ayant 28 ans accompliset noms de 3i, qui ont satisfait à la ml
ur 1Ildu
, ve fi-arc.' a5 5ce traies de ta et psoelésus Ire air la arde mante, sontapprapeaux pendant la durée de lasous Ies d
g
guerre actuel,,.L'autorité ilitaire preudra d'urgence
1 ern é es pour qu'ils soient1 d é .i t nt sur Ies dttétents
lIti t r
mont et méme unanimité
L'netiefe b limite l'application des dis-positions ai-dessus indiquées à la duréede la guerre actuelle.
Les aréoles h, d et 7 du projet de loiin-ide l't ur lb t d don po o e ren re p us rapjeanier de Cassagnac se lève pour
parier,
.corporation à l'armée du eontingu4 dé la
asse 1870.la. '.vL et astres membres de la clEncaarni.ant dans ses bureaux le pro--gaucho. Est
st-ca mnwro pour une déla- jet de loi soumis à son examen, le Corpsfion? législatif da pas hésité à mn adopter lePlusieurs vola. - A la tribune ! principe pour tous les citoyens non mariés
ovssacnnn (à la trgbane). ou ,culs sans enfants: un grand .ambreJeuvoulais Ea airtliann,ur dn dirnà M. de nombres ont mémo été d'avis gdilte présidana q,ül ( s'est introduit r était nécessaire d'on étendre l'application.
La nouvelle du jour c'est 'annonce de compte'rendu officielu,, peu de de dé. aux hommes de trmde à trente.cinq ans.l'investissement Pa Ies Prnssius de la .ordre dans la distributiu des paroles La grandeurnxi et la rapidité des événe-
ont u lasso aville rt dnl pre l aiaprononcéesm'a
hieutr, et je vou irais dents g q e la nation Pka ,lace d, Strashourg I I ncs iode, mer au dévoueraont îles a soldatser l Cham bre de oriser à yuie,l
''isortes de bruits qp bl cLie répande depuis à la rédaction sténo ra hi l'ordre dus t dé à satisfait à la loi du recrute-hier; mais notre public oommenco à se 3 P qpe a élan jt q i pé c 1maser e s t d+, mn t Is
I J t .tes doivent être rétablies (ana, ie t u D ,,x
soient Ies é q° q i t t l t) I
û`I t g I I
l ] lagronde buta ll yg ! N.l s votre l yosjo su a, notice II t I
1 e Iry vas
IL t 11 j s, cation a I t I (n t) a np, gne t d I p Iiq t p+It
P e \p I I i i qn
panraeeun er a la bouteur des crrco e d'l
Jd f t C et le I e IL;ns 1 1
Lesentiment
omine en ce mo ment,Plus q s d coutume, j
dormi Il d-t m deLn, é d I 1 , dD Cuin et du Mex,-
est celui deIngle
détdami
t éner't à CI b 1 far,, c,, s, le I J
0(Trèsb
ntL i
)C tt nen."absolue do se défendre u bout t 1 i t c être entendu. (Il Un d t 4 1
Il 6 I, et)
sé^a
fiéété présume P., l l 1 1 q d e
if. Gla,s-Bizoin a lue cerf . i L { t d I(u I l tze) Je surs porté Kérat y, I a été e vuyé d G,
à 1
la Pensée,oummo Ira sq, t p p é 1 . y t 1 p part au vote denier n par l Co, I I . .lotit. Cetuon ied¢otderl t P dC lé qt oorps g,e s ltd Dl 1 l' J étsu'a pruoneavr..ai
t O a aven la Prusse qno lorsqu'alla aura ahseu ,posiIf
L 1nais été prés. t
J'aurais v t tu6lrale rs lui'i-,c Iraenga,s1 iresd
I
ssD'lelles d' 1 t d li t p' de I
n 1u nom du triém,depu I L.py f t col , Ideco d N mi,, 111 1 ron
coi enir,, é ttondant i heur, de la rB IOn
se d d I P ttant Je s é d t r'gras g fait ,
l t é
ioe
G lu a, nPluet t l t d [
d d. ub 1 h-'f II: d t. If t J I t'u, do la cille. H,u De ont fa t
le général Ulrioh de leur rendre luPlacer
le général lcar a répondu que les Stras-hourgeois ao défendront tant qu'il rentra,i homme, un biscuit et nome cartouclie.
L'est u réponse franeaise. Les comum-nicatinnsont étéinlerrômpues depuis.
Le mouvement d'enrélement est admi-rable ici eommo d'ailleurs dans toutestes autres villes
Iln écrit de Bruxelles que tous nos ntionnux établis en Belgique out quitté le
strier, è e ux dontdoivént être lésés par le., eh-
soLesjournaux de Boulogne .n ocest
qûnnaettain amnbel d'Irlandais vdentde
débarquerdus cette ville ne
ct dont à l'armée du RhinUsn mhre x détachement de turcos
venant d'Afrique, se rendant à duBhin, et dont il serait diffioilo,le dépelndDieml'ardeur, u traversé hier Besaneou.
imenses ,nudités de matériel,- deunifions et
'lechevaux, sont dirigés.
se mette armée.A parte dautourd'bu lande il y a tien
t, trois n llle terrassiers rat les foréliea-tions de Paris. 0. estime que nombred, travoil[eura D'aura besoin ,]De de troisl unes po. pé I t es.
I dli.. , d !a placesai1l érés11 d inf nato peelicnl ères
q m 8000lor
.fs ont été I t s 1 '. nt,e derrière on Lambard pour .e camp
teL'ioipéntricc, ra
dit'ou
, ma,i té hier M.Droayl de Lhuys.
peu de monde ... abords do la Cham-bre.
A l'intérieur, la garda national, fait le
d'hse,Unvire,ditchemem de la garde mt,niei .e
àd p d placé d tl glapa
d .lier
O t l p d II d. 11El Ab ut ' l M S hucilter (dc ! Gnor). Lo gé I Il tri est pas mort
mais d est bl é t e-da.gereosee,nt.Pour caltai' . A. Pujol.
Corps Législatif.
TaraitDU COMPTE RENDU ANALYTIQUE
de la séance du mardi IIl midi.
Esc ana s -Il. n. scavsnDSa
I séance t .rte a I e ter d la Ct d wneitoyeiis IoaI pro ls rl l la I s J L I pl il, p t t 1 j d i, em st li d M 1 portait, l ana
des
es s I
ect t-o, allia,
lsera Blaies.P
I ! s .sommes prèisb
noos adlanjro ...
Flairs., 12 Aoat.(Carreependance particulière )
fi { t t mon noms pli I
ndp g 1 I éa 1 Et ber doue les dép tements front è
P tonnes faire lIl. m, Go, ILLL.I. Jet.
J 1ée p, ie gr uvernem mot C est da ,as-surre
les dép- tements do l'Isst, dont lepatriotisme nous est connu, et qui sont siprofondément émus. On a retiré de labics, il,' des troupes qui se dirigent...(E doue"Linm et interruptions.)
Je m'ai pas été compris. 11 est tout ma-Lorel de retirer v rs le centre du pays...(Exclamations.-Aooal asseal)
n. J'ai rloamue de dépo.n et au non de e llègue
s
3tht. Goerg, Ilournay etc., uae propos,Lion aiesd eouçaa :
Les délais munisqucls doivent étrofaits le, pas pou
01
et tous ctes eouservantles renoura pour tante valeur commcrcie e
use ite avant la guerre, et en cours de
t ulation, sont prorogés d'un mois=ciPlusieurs voix,,'rois mois!
a. teins demandons Pingenna.r. J'étais chargé par la Chaub, e
dol commerce de Charns-enr-Saone defaire à In Chambre une proposition analo-gue..Je niassocie donc eomplétement àcalva de M` llro;o t
est pas une proposi -tio. de lot pt l q j'ai àdépose n du
corer e de lavis
po r dci iceder qua lespéril
es ma-re de non-puycmont soient suspendues.
(lic, bienires bien')J'ai ll .:ur de déposer
e, prop t i tramai connuea Ait. 1 L é Ié" ces des ouais de
payai les depuis le l l aodt jus-gnâu 30 septembre sont prorogées de 50jous, do numéro qua les effets payablesle 11 aobt air soient exifi Lies quo le tseptmnl,re et ainsi de suite.
Art. 2. Tous protêts, rocous n go-antie et presa prions sont également
suspendus et prorogés pudam trentejours.
. Art Les t,t u
[ .tt 6 t t Iblet
tf t t la p I t de ,a p àe-J I t û,b iondo..ée 1. q s est 1 1. e
ont p a -L e 1b'enpm l à
i, 00m du délai de 50 Jours à emnp-ove dte, tin jour de l'échéance légale .le l'assi-
b , demande l'urgence.J pp.iu de rates mes for.Il ,
I 1? p tâ
viennent d'ètrLesfaites, pal que, t tout, pour défeuIra la patrie, l f t
)
Vois divers
ir l'esprit trou
1 (estuC'est entende! - Au
projet sur l'armée.c J t. quel pP
m t t
I t Ii é é é.
fs sacsat
t dm et d Iil187 14,i 18'J 1810 161 1>ft t1813 t pp lé I d , p , .
lis le i j d d l délaiI itgt.gr atet,.,,ais dépits des ,é
.t t dans leu s dép. te is rs{ t ftl. do Kérat, y '.st ren u
n pour y dévot pllI deu st 1f:
d 1 t 11 té la écsurat- I tt éd t t
é. de p d' (-
dots. D'aprrs ses cal ls et deus le sys-tme le son bmondement, ente arméeattindraitenvirou le chinera de 300 millehommes.
En acceptant la pensée de cet u rle-ony a commission a Jugé q,i
une
ne s erait
,aséqlui
Lo M, de faire port, ex desl-nent
sur
rlesIes anciens iddats' lieérés la
charge Glori,us, de défendre le sol de lapanne. (Nouvelle approbation.)
Les de 2a à - 'a ans qai ontpas e .i d' ns l'armée doiventno r sen
a l'mucea patriotiquequsacomaplit antre armée.
La cou nssiun vuus proposa, eo couséluenen,i d'appeler s s les drapeau-tous Ies cdnyene dan mnrié(ou vcufsaans,niants, 1gés de 25 l .iii ans, qui ont sa-tisfait à la loi du eoorutement, et qui nefigurent pas aotucllement sur les eontré-les de la garde .ationai, nobi'.e.
Los a s militaires pournt êtredirigés immédi temem sur Ies dill'ércmtscorps de l'armée Motive. Les citoycsi quin'seront pas encore servi su al appelés
eut,ac
s vaut les besoins duo,icrsivl1, t titi -d d 1Il,
Ces d spoe,nons app Iolmmes
t scroi i dra-pea srflùantux u ombre d'hpeur qu'il n soit p`as n'' sain de le-
n,niC:ll' tommy à laait maitisurre qui aurait pot' but d'auu use
legnun ornement à préle l e O' et fede I. gardé natmnnle mou I 1 4
gens destinés n être mou pores dauelar-
m activeLa emnmission a pensé qu'il y murait
des inconcénie à r 'orpa.ise.fion aotaelle
dal la
a
garde'e ntao
,nubile. Elle medame pas d'ailleurs qu'un reliait, ombrede jeunes gons appartenant à la garde
obit demasaerony comme ils en ont ledroit, à faire partie de l'armée active.
D. d 1 . i II t éer
plé v r lad
{ f .1 dlé asI s I Itole dur
de la loi et p e a e_ ,e ter la limité deioplacement qui st étendue aux 1.uns auhtames Jâés de quarante mnq
auCcttepremile- partie du pro.ict de loi
mnnam loa t g d tl t,s ilnest l d, 1 publicI, jo
ta pd t{ I .t1 t' pb
Il lltsl 11 t d pI I rsomit. (liés bien I très b u.) Les love
sillons n'ocrent dapplieation que pendantla guerre leindir.
D d t tété propaeéé par61 L h J Lt e1 d It .Le tplu
r 1 II sI t t é' ua
û eposs,l lo dam la pansée ,l. ces s uede-
Cette lutte a pris uee pi op t q A t Le 1 éd t d 1 an11lacs oceo dé1 al,
4L I l é O tI l du Il II t IB 1 f IIIl et ,n ira,, oIl .a L^
mpt d IIP ro p 1 Il t p ']-L G
t p 8 d. I I. t I 'h
,eldatst d l de I g a
D, I or. Il
I ouir 1 ,t )A fil AP té v elti t Il II qun,t il
1
'let f d ll. {' Il tfacilIlts 1 t y 1
d'
I d t p II t -t I 1 d Iosl d l' 4 de G1 I. é: t
farts que l t' I ,n et i m ité 'lu Ira (\dopté l o ré.)
p ys j t t p t t sue de ses c A i. /r. L g t I tai,
I pI t l I. let ]E p' (V pl
I(' l s) tl lr lé) I l d 1 f 1,18 p t être
des me f f u. g.oas sen. ,dnu poue1 ladiespend nii.mble d'ail t t la durée de I g 1
qua l'éd. de h5ci,
e hé,o du' c I tà l li (1d' oine tii hl- Jasai aU e.- ! G. 1. lIG1111.ITt 8 Pur mutent set sil t et ,omblor
é I I t a d. .11 estsuivI d s qui se for ont d
que des grades pour ont être ceII,mous sunsappel au dévoue ont de lé d I 6 c Iumewns ,Idats
é
or lieldats qui
vor
,t être rappelésarmée uneNousosu Dose à notions I
s mhreu et ag I ui, l I ttiC.sentnin.
e datlle, p u pass ro tels c ,rt interva
buta Mons de dévot dans Ies batallons deguer e et faire rmmfid,atemeut le servicedeDerridi'e
cette réserve s'orSanisera l'ar-le as
orée rie nos jeunes soldats b,e ' mla allés,et de Id7n et la ardobile,
quiunro
nécsaire pourteps esont msi le mcomplét
.er
leur instruction militaire.La c
sta (lé unanii pour
usproposerl'aon
doption de ce diuposi-t ans. Toutes Ira ail inions s
nper
cheés, s, sont unnfonduasdansIt
d penséepatriotique d'assurer la défense du lorri-toue et le triomphe de nos armes (Longeapplundissemens.)
Le pay veut étiv uni devant l'étrangerpare qno il vent éwe fort (out euiq Poietde divisions qui puissentétre une d,minu-tio. de .Il,, force aujourd'hui e
soi`à la patrie. Et d'ailleurs co ,rat
les mains et les coeurs des pères orapprocheraient.ils pas quand Iles fiajpaarotant er s bre s le. r
France pouror
ies combats suprêmes? (Ac-elamations.) Cette urina rie sentiment,reée saédarit de patrioésme 'élevantm dessus de toutes les discordes adevant létranger un sites moral aussigrand qui une ,,crue.
le mD
laFImm
t'attendddexmnous,
etc l`arméeI 1 d .sle- moyen le plus
fl -1.. l' 1 I qIl t Les I p1 d' - t
vent et se I i .longent su tous I s bancsmil ou dca cris. Vive l'armée! vue la
Frcia I)sno.unne,.ses. Aux voix, aux
nn. LO rapport contenait
npar nraph,rspécial pou expri r lesc
mentiruts du Corps législatifs à l'ar-
déclarer qno elle avait bien méritéd é In patrot rieeL, rss a été ennve5e dans
lexpras
in de cettr e p ,nsée C'est ellepré e dé, plus q la Chambre est osa-i (Oui o t
No
no x appeaud-'. i
,, Il faut maintenir eo Paragraphe duos le
,sera m imenu.r.e iran Lo Chambre11
ntmile p à l d d t-I. rIl d t t. p ts)
a J e1hmoralle ap-Imortnur 1 u I primé . é ené-
uis C est comme me bre te lascoinoquo je paria, et personne ne
peut douter que nous n, soyons rus naispour le défusa du pays. (Applaudisse-ments.u n II est entcn-
quo le p re,wphe relaéf auxnemanie-
ments adressés a larmée sera consigné
r t.Alors, je insuce pas et je
e Lcruo faim dess .x pour laprompte et bonne exécution d'une mesureque je considère comme essentielle.
Art. 6. Les pers n valides de tortâge soout admises à oonirauter u
e e,
enga-
,nout pour la guerre,l'armée active.
(Adduroéptide onlaunanime.) d
Art. f: Le contingent de la classe de18711 se conipe de tous Ies jeuea gens
crics surleu
sttable..- de r es rot
qui ne se trouveront dansau n des cd'exemption ou do imanues, (A parla loi modifiée rlu 21 mats
185252.
(Adop-tion unanime.
An. 7. Ues)-.ils de révision serontorganisés dans claque département.
ils' seront convoqués pour le tirage ausort rI la formation du
comingentde la
classe de 1870.ll ne accu fait pour ladite classe qii une
sealo pu'olicatioIl des tableau. de rccan-sement. (Adoption unanime.)
Art. 8. La durée du eervice des jeunesgens de la classe de 1170 prendra date dujour de la yromulgation de la présenteloi. (Adoption unanime )
Art' 0. La présenta loi sera exécutoireà paria du Jour de sa promulgation.(Adopté.)
L'ensemble du projet set ensuite adaptél m té de 273 l
tallent dansI ela-
t nust t let parties de la Chambre.
nosinav.Esrnscanns.Au ne n do'A do s
eollégers .tau mie., j'ai l'hnnoeu dedé-poser la proposition suivante :
. La Chaubro déclare que tant quel'ennemi sera sur le sol de la paIl il, cestun devoir peur elle de rester en perma-omie, n (Appleudissementssor ut!n nombre de hunes.- eiouvem ots di-
Nous deu d s L g nce.
rouer sLa pa le
esteà tif. rl t de P,,IikaI.rI,s
nraonrs ra me . Mes-il.
unomde S. if. l'Impératrrcesi,olrégente...
Quelques vol.. - Plus haut! plus
hatu rI I1 u
jed.emande
d la p . de pporter pus han' J at
or cela une t op
boume rai tin : ,l y a ainsi o nq a is J'aireçu une balle qui ma trav erre la pm-trioe, et qui y est e. (Mouvementsde sympathie.) Au nom de e. M. l'Impé.ratrice régente, je virus faire oonaaitreà la Chambre les noms des membres du... ,au cabinet '
Guerre, rate de Palikao,
e. nnsas. Très bru'
H rracteei Intérieur, 61.
LhE
finance., y Ilgj.tic' et c Il tf f lp r t.
guealture et em,mrrce, et Le ,coltAD sXbmine,
M 1 i 1 R,suit de Ce-y (Bru. b
Ni1 aFds puI ! baron J,frémeD 1
1d'' t )le prince de LaC l \ g
1 1 I d Etat, Y1. Bus-Hll I
1 nsieuetion publique, 5f, Brame.Il n a pas encore été fait deuou'tua
tip i a mstére des fi,lan3.ArtsA la suite de cette c n vieation. la
séance reste r nt Interrompue.
ta. caexrccx déposedrus pétltioas :
l'us,' signée par un 'eemi,n , ambre dé-lecteure de la ville de Dis; l'ombre, paru rand nombre de citoyens de i. villeet du oauton de Romans, demandant laréorganisas ons de la garde nationale etdés armes. acussa
MIL Gél!ot, ut Calit' te t,es, esete an us Pa-nard, D rand et nus chezu. par l'état de
leu leur i rr
sauté, e,eE émut
de
.ilpouvoir prendre part Eu eemo-
m ut auxtravail.
du Corps législatif,nm'IOx d
ax. écrite. Je fals part ede la commis-aion qui e été eèae ée d'examiner la pes-positron de M. J. 1 More sur l'armementde la garde nationale. La commission ceegif en post d p é t r sou rapportdls ai jaaed'I s l C - bre consentaità suspanure "é p d nt deux heu-re uviron (mouicmelt vers).
9l.csmérou.scinsmne
. La Chambraventelle suspendre la séance? La Com-u,lion Dc peut ,mère prendre de résolu-
Lies avant d'avoir entendu les membresdu volsuvernce
sss. A demain tn camue. Nen: non!
o..Je tais également partie ddla cemmi.siou. Je crois q,i en très peu detemps elle pourrait délibérer. Rien n e tplus urgent que la mesure que nous ré-clamons, je m'oppose au ruvm a demain.
emidis=te, deela guano estau
sénzat.
t il doitêtre entendu.
ut se réunirnnn La c Ei pe
end, dolnu liai mat-
,.Ellt
uee dêlé a.fion la Chamb ra.
Ee ee
sElle pourra appeler
ell le Mi rtre d'est iaieelle ne
sauurait se
e [enirà a.
adiappsposition
(àrp b t à g h.)1. 1-111. 1. l'AmIll,
luare a
g, eir h a rLaétrnüi. isi ,t
r'1 ini i Il 'LI es
s t 5 Mat, etrIL e t 3 p blé
q l ,ut'mus.L Ile
d t g I t ,d. l
.1 tJg t I a.I ti1 le Loro p é r par exprès.
(If I
le. n J.. f' t i n,ropo,. l
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J Lh ttai.Il.
inca té d mets t Ile-I Cl ému
t l 9 1I que.
i 1 :, t dé te , l'
Lun
asas.A d'.mmmt - Ne.!
Nonn. Les lois quo ous faisons enm. '.
ont s t - ' L et d , I " dItp LI d tut t"t es sol11
ép ,t éJ 't t . à
t- Je deuairedo
q 1
hargéesd - lLimnneut et nous
appale
tut leur trat'erl-Les ministres étant smidairee, il sufbt d'euavoir un devant dans pour conmltee lapei ée. d gouv ont. (luterrap fines.)JJ s répoadar su sentiment de tous endisant que c'est a nous de prendre eumain la défisse des intérêts de la pairie.((Non! non t - job oa, Ce nient pas ue aiment d'opposition u d'bosulité
n
e fait parler ainsi. Nous avons un inné.rit commun, sauvegardons-.a sans trac,leaet sur ie champ. ('Ires.bien! très.bien! à
aidant lek c .cil d'ElathaniLes parolesq
é
iGEL da prononcer l'm'able Il. Picardne saut nuit .,lot ecnsidérées par ue
acte hostile. 1.e voteonaninome
camme miet patriotique d'aujourd'hui a exprimé lee time.t de toute la Chambre. Mais tacabinet qui vient d'être constitué a des
devoirs dont il est péuétrd. Sa eesponsa-
Lilllé est collective. Ln seul de ses mem-bres e saurait l'cnga,er. Laissez.leur
donc le temps moral de dlhbérec Il niaqu'une pusse, la défense du pays; il asnégligera non, d ne perdra pas a., ne.-
s ees merntres a t besma de eet,, do se réuir .vaut d'exprimer leurle, -sl
seaiment.l dveL. es ana le ,Dtaaux.
d d rsvisàvis de la modrenil doit du e san ..miment sas les mesuresproposées et signaler ce qui, dans ces me-sures, lui paraitralt dangereux et camprmmettant. Donnez-mioos ce temps de déli-Lérer, et anssillt qunta les résolutions dupou ir législatif a ro été prises, pas
mien e perdue p r l'exécu-li n, ('Incs-lii,,t , s.bien! - aux voix!)
I . Je comprends qne le 'cuver-mut , élibére, inais Je le supplie de me
retarder d'un Instant les travaux delaaCha,r bre.
Soin a droite. A demain!La séance coutume.
liiASUIGIESIENTS L miclhL:vTlFs
detin end I s d IIOa s "" q e1Sl "'ab, t illv, 1 1 b s Ies plus ira -
t {' t tant L est às m`eNom,il oui l 1
Uu a reçu 5,1,000 bmom s de. , e .fort àMetz . - . Non, dix mille. - . Les Prus-si'ns tournent Main. - . Ne., dis se di-rige nt sur Nancy. s Et Ies dépéelis offi-cielles disent, on à pet, prés . . Rien denouveau!,
On prétend que la chambre va proposer
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
- et voter - la formation dort comité dans leurs départements,de salut public. Il est certain que, décor- M. Garnbetta wm1Nt la demande de M.
n1 aire plus ri j ter, Estanoelin et prie M. e Président de nef. r. l al -0. , d pI de qa p a le faire statu 1 ll re place
d ff ,':,!,u tIn
tt g t .pur nous tons esilet laine,ai
lal
excoprnime le déL nce,-d SI dc "I 1 t lo
lt Co q1é 1 fIl e t 1 p p
fiaosé pale
r
Pasa col e q ie la néon ce d aaJomd hu , M j, les Fevre est créé demain, il sait
amène rien d'xtraordinare.- Al. Soinai- choisi des personnes chargées de celte or-J P. t t de 1 gu 1I
aa ,p 's lel t'I M hdl. d vilequol'oncréea, m,-li [fi 1 t lac - tè de l g I de rcnsnà.
ed l fJ I C 1 -t qu'il de-1
ls - les f ll. p mut alleri r { I y, n d I ncal cul, esi d renseigne tout
l'a m ée, le o.i è dm i ri,etiatice. Ils p i ee qui I intéressent, et quiM l l, ]accès bl ,t I h do tL
^III a.0 Joli, Il y Il 3 M ; ".Billapt:1 iy chaman
Ilil
l 11 d (' t déyn i
rgue 1,s re ne gne ,nets
a\ I t l l d p tp nmcmL ,ces sseront àu csura qu'ils arnva
]bruit D
ar p ès l',xa,nrn duper deLp
d. t'lit qu'il "s ri-
t I do I» l 0 t d'ocnigprocé-s,il
pa { L it . ,d 1 de. à d d l} p ,trou darapl I§ 111, 1 1l J. F t ` la é clou d'unM. 1 Casa. - ép d. IL lait que Condé t ,le i'f- ntiolale.L'a
ebacggc la p l- de quelque mata dans La séance est levée.son lsaws.
M.nle in2ar
litIeoni ne
o
lad 'gpénéerchedre mone
M
teet
àd
la fCONFIANCE 1 CONFIANCE 1tribu. Il
11
. L'empereur a acrnpté la d(missien duSous ce titre M. Emile de Girardin amaréchaI Le Bmuf, comme majorvgdnéral''
Ianc6 hier un de sas articles des grandsBien de plus. jour.Il. Cnmheua dépose ur e étition deP Vous reproduisons cette a e¢ieagfeonvaincrin G'cru s lecteurs ri
rie u' vibu re une foi comn,Pu mPat'dclaiia, qu' ve
armement d''ar
qüou es
lion
n, eaélSre l'armement4leur donna des arides se qu'on nvle àL' frontière toutes les truc pas réguleras
lu,pr - i l ue' ncs ol t que l'onpr I 1
np u l i enr aco
t t tl ll , dl pptic I. l
l e u la re I t quaat Iè 71000h esdeus
I
tdI
caj ti,NJ. u ,nhetta ré ,are a,ea,éhémm,e
(upNI. le is.nistretsil. lu guerre demande
ensuit' la perm n de s' retirer. -Sa sortie est eouvertc dapplaudiser-me. l
1 1 7 11 1 lmsieno dol'i 1..11 L pielai I à g. d 1 le0w>aa ,Il' . 1 c D f_
le 1 I,odu n;le{ prabecon dés ssucé.
t . I t él rit a Audés t 1 f cri t G ernemantvait logé hou de rot ru, Ion Prussiens
résideuia en Fras
nce pour qoi ils en pas-e et p sa joiodr' a l'ai n"'
gLes u'llaoces doue vont gravesel
Confiance! Confance!P aises La ri rue j ai poussé le 23 fé-
t8r8 , le 11 a ût 1870, lan S ee t ont sympathique et faire
plit 1lls l apr1 t d, Is
mut I 1
'a
a J L pu l lti d h 'edtd j dl,a
odi,aux-le, L
'r de1,i trlouvr Jratnul entier a a hcataurl'de satàehe, se résumant ainsi : lei patriotismede la Convention sans le terrorisme; laarmilre -,ana l'ombra.
Il y a trois jours, il y avait deux pé-rilsL t 3 1 d pana,L i f s de t- xaL 1 J- lé
rs1. p l
Iss l pl dors u ei
tx,s
Illunal,le
plu f 1 , quuuo scuo pens4 ecpouss
Dès que aelte pensée est devenu. lapeuaée coin, le la pensée lise de tout
e qui cst aé en Lrranoe s- distinet!on,aire ,Jolie st pauvre, oisifs et travail-l oius l n et nx et jeuoeéla1. dé 1. c
bl I d i i t l I Pt S f L quilui oc, lisI es I P i' lo a J 1 fè
I pl t q-d t les zeste
1 à. I Ilgr 1 t I P ut' tl 11-1 10 pl vitro le t LII ..t1 la ,a,p l - t t l' an I. °ul d I. qui iwtct è ..t I f ; p. Lo - l'CI6111 fe IIi s, ILve pourp lie la caet }t'p'IPqtl
p Voua,} pailla p ,,mus ch8rement
NI. a d taille 'ia
y ae,t
ddo ux
Ie eefae
t5 ' IqPe
.
a i l'tq,,sousIepe,fsdelai..-
Ia l"eu [a i'I :t du Ies le ur raméc ), ,Jeux é.o c écl a r ,és aI 11 é
xn Il.t 1 d L l'espion Jlap { t lent b laIi"
ad' t fl .lie 1 1 lA l es léte l II f 1 I auil a
111 I l i le proteesion pour i t l l ç l,. rat , lé jla I LIl', llI. ri u li .:é à 1 t cils a f.' I
M cire. I i i l lit qn nue lu , I It l 1 1' Ip t l ve i l p p I, I
ta 1 l I. 1 N uis, la té 1 llbo ,11; -nos, c s r..l pas r.avo a fo dos rué., d,, o, n 'a b'cn coin
syési. Itaenijens comment le o daon sa renne' de mosbilaé duel lo coin
eau si a pis encore songS a in er- tag.+stioui'i' la zèle; sdo'a foi dans sdira Ies J6pè lien privées de Franco à l'é- garde nationale, auroroil do précautionstraagre. CoW smert à e v0 les essai' ju qu' u ivxgne unis à ets oaunaetn . La Chambra La Fro mua foi n elle.protiste. La France a raison.
M. Pellotan dit qu'ilspprouoe la répon- En ex armant, après vingt'deux a s,se de M. le minis
e quatà l'expulsio es dea mots: Confiance! contiance!njetnc est i
pu frein ont de ma main, el-
f1nt ,rocou t parlé f Si ou e sait pas lo.e toi ilera pas à énrire : Victoirefûvia
ou il eI, ana le droit de cimm a une toirc!rc pal tique. (Liàernl.) En,ile do Girardin
Df. Chevreau ne répond pas.- lie maréchal Bnzaine lis J 170
lit.d, D.l Ié' dit qu' c'est l'ancien mi- pose e
nistre del'intéri
eur qui pourrais, ré Pondra mille borin murs et a m fane de lui ILrmdeNI, Chevandier 'l ici' -Charte, couipos e de
de A,,'J rsllu 2 per
l idit a 20Lmille a 2_ Mille hommes su Plus.n'a été air @t par es -L il,ii, é.,
espivilesn
.Le m réel,[ ,Mac-Miflum c mande à
pu buées ém:ment rie
cio
l'auto' ti0 1 11 11 ,mrs, y cm.pris' Ine11corps dumité nmil haire, Crises eu:Aamasioas. général ale l'oint', et il a derrière lui le
Lorire du jour est oubli prononcé. corps du maréchal Canrobert, soit auaL mi11e hommes, rie d-0milleho,n-M. do Montaguao, a r de ' o.- mo , q
n d'initlati ve, uu
nomut
o
reejet
do es da renfort sont ça tarrain de prdre.pruicela il riopositiun ,le N. Jales l+avre relative Devant ,ux se trouve 1 ' m éc
lluu
à a fur uution d'un cmnité exécutif de de l'irisa, qui n'a jmn ii o recédé I l0 milledéfcn.senatimiale. àf 20 mille honte.: s, etdout l'effectif cet
La proposition n é été rejetée, dit 11.aojeurdhi s resibic ont réduit.
Magnin quo Par 8 v antre 7 M. Piearcl t'artaq nsli confias que la situation1l' , n le la mol
six oumnI Il Ies
au
spin, u générl,L comte do Paliknoeomme'n lassons du rapPr,t. uiréchal bazaine.
all,i,st pus à l'ordre. dit le Président. Nous, travonsca q,' ait d'une tact,.- Qii ou le u.Eta à l'ordre du jour de partieul{ère dà Mole on date d hier, jeudido I ! , s'écie M. Ansgo. ii heures soir:0f
M.Cl
.,is-13izoin guis dr')si.s lesur men ^ Le n e échal M,,-.Niai,,, et la généralont Je la séarsce, e eray é ngt
foit
sde Pailly qui ont fait Inur jonction, sontt N a uo ûe lit'noA tic linitspar r ssir à la r,vé, eu bon ordre dcva u y, 9 ilsSude,t L.111-1 route' uno ana ue ssibleElle
pé riest relative à l'expulsion des
du l'armée du4 '
ét".,gel':. raya .
lin
'r,nteazaine est sur de sonM. Mognin au m de la c,mrnisaion , Le maréchlal 13
ire. Si les pus i continuent à neit , ealnil au renvoi dans le alTa
..1. e x de la pi o iosi lion de I. loi reluti- pas l'attaquer il mpec.dea l'offensive-a a
Pii,lIlivc11-au,
des lita ,Il L...gar née (Cerreapoadanca Binas)en ih.ancc
s
M. Arg,mi' fait la rapport sur la loi__
prend un état-major, un petit état-majoret Ii'-siens.
L i d déa 00 npos tmn e ces corps est ter -minée ainsi qu'il est indiqué dans les ta-bleaux aneexéa au présent décret.
- Le Journal af merci publie les lois sm-vantes :
Arfiele unique. - Le autant des., que le ce nistre des finances
est autorisé à se pros rer pnm faire facex é lé d, la s tuatfan est élevé
du a ff. de h e0 mIlious fixé par la loirancdu 21 jui11et 1870, lif d f milliard,I il
dent I l é la ré l' t d mus l' fa xt t lt q o II, mieo,II i. tlnOu du reéa ,aveu
la fa I t, d ég iaiatmns "
Art 1 . A partir du Jour de la peomal-gat, adel p t l Isbbts de laBs.mu,q
1 1 t s com,uaIé leI lus causes publiques
et P { . t herseArticle 2 J qcd ,uval edre la
Banque rat dispensé, dn l'oliligatioude rembourser sus billets avec des as-péees.
Art. 3, E ucun cas la cbilfre des émis-' mus do la Banqua et de sas sueuuraa-
les ne poufs dépasser t milliard 1100 mil-lio s.
Art, 4. Los d o LL ans dis ara. 2 et isnai lgleiesdsoirlap pl'aebles à e banque de
ont es d eeI Algéne a de billets ¢epourront dépasser I chiffre de 18 mil-Iliss.
Art. li. Les coupures de billets pourrontétre rédelles à 25 fr.
Voki 1 é é d s dépS l télégpht 11 1 i ts dI1"mp d sté d I tL
L g I iu t} l tqerg ts e p de jc.-
I te
ist tuer eu iranes-L,re is, loutres demandent gdon leurpliasse Immédiatement le menmment
d. mesAlbi.'o La jeunes, d'Albi demande à
partir. l'ne députation s'est rendue an-prés d oI p u otite la hsltor,sntion
-
fous.
1 cc lo bataillon dndip)t f l l i i
il 'R er ll n "xà Rennes et''lacst E 1 . iu déparl,me L m e
I, d t t q le byonsald oralc.ml pic l lesarnes, les uns
pour al Ici combat.,,, l'étranger, Ies autrespour fa re le service da l'intérieur.
Divan. - Dans la soirIe d'hier, la villetout entière s'est portée duvnnt la souspi-éf.olure m poussant les cris "a phischaleureux de Vive la G.ance 1 ViveI'Cmp
,N t f pplt t prétoàtousI fi' M il tI é fils d '
d 1-LS, ayant ie A
p' \ la L s été art.té p.I f l lé é qui Pnurait m lt tésous l tir vemlon de la fore. publique.
- L. leu ivantsse.t été Préseu-térs ce e aux anciens ministresoL a , .
9 .cet 1870.A
, dlJ aS, hier matir, de Spa,l télé l
= 1 { é d i. d I marrie,je de l à l
1dSt e pl,yé
p t à{ I titre, à 1 3 active,oral 1.t' mon itaicri camarade du ,n'aider à
1'u:,te.,r. lJe ion ove. aujourd' ma demanda
par écritciet.vec
iusbauve.
i IlCroye, amiral, à mes sentiments Il af-fectueux souvenir.
Fm.çols d'Orléans.9 août 1870.
A .San Esrellenm manei,,zr le nistre dela gacere
Monsieur le ministre,Vous vc.ea rl'appele tous Ies l"murais
à mLattre pile la défense de la patrie.le sirs I"ec cela, soldat 01 valide.J'ai le grodode général de livision.Jo demande à étec employé dans l'armés
IL,
a i,, .
Recevez l'essuranco de ma I:ani e consi-dération,
Ilenri d'Orléans.9 aeA 1870.
A S. Pore df le ,ninreirede la guerre.
9fousit., le ,sinistre,
Comme Français, comme ancien officierdea guerres d'balie ,l d'Amérique, fuil'honneur do vous demander an emploi àl'armée active. Mon vo u le plus ardentest le combattre pour la défense du soldela pairie., fûtco méme comme simple en-gegé,é volontaire.
llec nez, nonsieur le ministre, l'assu-
soneede ma bout, considération.Lobait d'Orléans.
Ces lettres n'enraient pas jusqui à pré-ent reçu de réponse,
- Eu ôme temps que les princesd'Orléans écrivaient aux m rostre de lagnerre et da la ,naine p'i'e demander àPrendre du service dans o armées,Feonrnis d'Orlé us, prince do ],moulue,adressait à M. B... la lettre intima suivu
uucbef-d'muvre de vraipatriotis-v
. llruxellrs, 111 .out 1870., Je dévore 1. lots ,x' cherinouansieur hocher; da ale mrl'raI,pre il .. t`nt ren
de nouveau On s0 prépuce évidemmentde port ot d'autre pour nies lutta sapré-
e. Nous avons encore de grondas res-ppels tout, il n'y a que le
efrs de llae-Alahoa il,. mt servira;
decelui
rProssard a peu souffort, et les au-tres s nt intacts. Il y a, eu plus, la
e de voir l'ennemi a,,, le territoire,mais il faut être commandés. Lenous
?
Lo bruit do Paris mc luit Horreur, jene c mp,cnds rien a la Charma jcomprends Pas quil so p orviol, qu et se lassa .u alt. ayant un an-tri, but que do venir e aide a.. ar-
sols espoirs de la France aujour-
, Quel que soit le gouvernement actuelil ,ont tont qu' n
a
chance det
lÎo bIé i
Elpue
laqu l ,,,orgauis
sfat terésisitance peut se prolonger, c'est lui sontqui dols av ,r à subir la loi de vain-queur. Mais plutôt tout que cette alterna-
relut;,. ou échéances m cialos. Le Jou cal O//ioiel public le décretDon'i,o ss m très vive s cngert r Beau' l'ontoup '.e dépuré, rliseut ,lue la uluestion Napoléon, etc..
' ni in llrnsent dil'liciln mut r141icale qci Il cnn- Coesisllrant que, dans les circonstnn-eut d, létalier rt fladeuiandem le er ces 000011e', il esl myem d'utiliser tou-ai à dan
m
s IeIs re s-le m . ,mut ia France aisp qo,e,2.i. le. ure insiste. tant ou arcdéfens, du territoire ueNi. suint dit rire test demain jnn pour lu intien du l'ordre
dVeiuéance, le 15 aeut chant uu jour fé Sur la proposition de notre ministre deri6 la guerre,
C pt t l a li e
P 1, dé été t décrétons ,qui sait;-"I il lia'. ol ltt P.. AI 1 D. fm t t gmdart cc iég,im1..,eat fat. ana t le r t J'a éli i
it organisés, l'unf1 à p 1 tl § I, I
L -t 1. é à d. d,vain. t 1 t éq unta pied', ceM f t I l' à I Ils haire s e if é v fl I 1 00 sous-odi-
ré i i < I. r , mson ers i) ai huma et g i.da, n..Le Président répond que cest l'difuire
mCs,ni du ré,7lo'nt .1 110011 est fixé à
d la 41 II' t710 sons ofbcicrs, brigadiersM I : d a 1. q proposition et q. d1 f t(I lof, use sont purl6 L d . d organisation du régiment àà l 1 rl ) 1 rI'. p l p omuI nn état major, il. p 1 t
M L mut rnel d de que l'on donne état ,salue et 2 bntadlons a 6 coml agires.le soin do cette organisation eus députés Le cadre du régimoht à ohoval 00m.
cive,, Je.'ai reçu encore aucune repose à
die snde d'ail,, servir à l'armée sous"Empereur l'attends, avec une aoziétéque voua comprenez Je viras de lire quales bourgeos le Wissemboueg o t tirésur l'ennemi pendant le combat. Les Cra-ses gens I et tout le monde fait de méme;
n réussit à mettre Paris en état dodéfense; si colin noirs armée trouva uchef pour la diriger, les efforts des Alle-
ils vend, ont s'épuiser au cintre deIaa roue, et ils y trouveront leor Duro-dm,; rien n'est perdu, et li réve nooroolui raid ,uou,emcut nanooal, ppar le
t ila Pranee ,ilotes l'enooinm de sasein.
Les heures, les minutas sont précieu-se'
Je il" voussp,
laiins bien, car à .oa an;gosses s'ajoutent, pour vous, aillas duHère.
., Tout à vous,, fias ois d'Onteeas.1
- Ou lit dans le Soir :Il ne sera point pourvu au re place-ent de M. Chevreau, en qualité de pré.
lot de la Seine.0n voulu, parait-il, pour la sûreté
des dispositions ministérielles, 100000-oAtram dam 1 s la d,es mômes maind
éu m'nistèa de ectare de ii al' c
gheut de la préfecture de policé et 1
,il
de la préfecture de la Seine,
- Voici les noms des trente élèves desdeux smalas, des lettres et des sc'
ede l'&cole normale qui t- renoncé auivilégede lesempcion du api
sot dansI t ira, ra qm se sont ongai é',erI é s t des la mobile.
L.u htll DIjob, Mérinas,, Duel,Pot A la d Dal ltra, Laudé.
Sc: MM D'sscoua, Darthél y'
N ofwvskiCeyI]e r, Hecv
Szis ko
m
a, S , , R usact.n
Plsflosopàie. - MM. Eagor, Davriac,jrimolu.
Granulaire. - M1I. Botsls.ni,, Ilum-berl, Lubrun, Do nald, Dnqu
thse, r e AA N. Ronard, Vast, Rivait-,Dais, Cmlanl.
1l ès te délibération, tousI p f , 1. 1, Faculté de rmédeeuied. l' o.rt d.oi lé a l'unanimité qui, lalettre t. s rait euvoy ée au ro n,sIère I l y o
M' osi-, le ministre,lia F.CUhé de médecine le Paris ae lait
un devoir d'informr Si,, Excellence que,dans Ils clrcoustancc, ectunllrs, Ies pro-
lesseurs, agrégée 'L élèves sont à la d,s-
io. dogon mn Céetou auous Ies
so 'uisie
à d u ev malad bles-és.ren 1 tt a dû être remise hier soir
à M. d P f lie, par M. Wurtz, doyen dela Faculté. (ll9ar )
L'amiral de L I nue ira est nousé au commande eut fris de ParsHui
t mille matelots camnniers des égaiprgos {e la flotte viennent sa mettra soussr ,d'os et y tiendront garnison.
Nos canonniers d, la manne sussenttous d mm école spéciale ,t sow, commeo lesait, Ies .ailleurs artillsaesdu mon-
de.I:amira! de L, Iionciére est uu hem
ml', éncrg que qui jouit de la plus grandeet me et la plus grande affection daos
l'armée.aval..
- à1. te général Archinard est nom'ndement de la première
brigade de la il ...iéme division d'infan-terie du lie ,rpc, an remplacement deM. lo général Nodl, que la n aie élutde sauté oblige à quia,, ,nomeutané-ment 1, service actif.
Le général Arehinard e été l'un le nosplus I)riuanta colonels do ,armée d'Afri-que et a ongtemps cmnmaudé le fer ré-giment de tirailleurs algériens.
- Le Ma,mori l d'Ani s assoler q eM. le pr !erprésid
itSaudbreail a le.
audé à Sire inscrit car Ies rôles de 1agarda nationale d'Amiens.
Plusieurs ma istrals Ont fail la mornedemande.
B
- M Vaathier, n ien représentantdu peuple, condamné du 13 juin 1840,
lent du se foira inscrira à la nmaume du9e arrondissement comme volo.taire pourla défensr de Paris.
- M. Duruy a e,oyé ses deux litssons les drapeaux Le plus jeune, M.Albert D.ruy, naguère rédacteur de lab iherti ,gog6 d is te turcos, a prispart à Î'a0'air, de Visscmbourg. Il est audes a0 qui ont survécu sur Ies 110 l.m-mea dont se composait sa compagnie.
- Le duc de Cadore a quitté Copenha-gue hier.
- Une vingtaine de torses du 2. régi-nent, presque tous blessés, nt arrivésardi deus l'après midi, à Strasbourg,
oct le dr me gu du 56- de line,qu ils ait
antreprisà p s ;
iiils
i'l'ont im-
médiatement déposé entes Ies a ies ducolonel commandant
enrtr
la place. lGant'hôte i estmalté ou.ssitôt au balcon de l'hôtel de
l'État'major et montré ce drapeau munid'une courons
e
e de laurier, à lafoule
eni étai`{
n.drapa aur ta plac a Iuleber ; la
de oe arapead a é eenFran pardes cris unanimes do .
Vivela Franco ! a
On a porté en triomphe eux qui nousl'eut rendu. (:lfonitcur.)
- Quelques déserteurs prussiens sontr e à lieu cales et onl été dirigés im-
médiatement sur la frontièrs qu'ils avaientchoisie.
- M. Gustave Fleures a passé avant-hier à Bruxelles, ve.ent nl Angleterre Ila été signalé, dit ou, à la police Iran-Aase.
et en dernier lieu de Brest, a fait route c iles, cmnpetlbleu avec la s.gcurlté :, Is
pour le Nord après avoir reçu en renfort place, qu'elle pourrait sceordsr à la popuplusieurs bâtiments cuirassés et trous avi- lotion civile.sus à v peu . -fin nous a....ce qu'à Hague..u les
L télégrammevé, recu hier, chusula.ces frençaise és et prussic °
sohnius,
pri sous las eo unau desmme mmséocl'aprés m,d , à Liverpoo, annonce 1
eq.Is
1
gaeut avec un zèle égal lus blessés et ea-re ,dus tropes françaises, en grana nom i
lut été embarquées Cherbourg. Lmn t destinées Plu, une xpédition coinsla Baltique.
(Deily\-ews)
Chronique de 1a Guerre.
Strasbourg, 10 a,dt.eux , wrr.vsas ce sraesa0uac.
Des bruits inquiétants, des peoiqucso. été p d s ,ors ennc,sn .I c t ou à fiesse,o, aima notrebrava ité Qu .lg a mdivndua ont osé
and t I p 6 que la place se ren
deuil sape coup fémur.Nous protestons éo..giquemeut , au
om de la population toungouse sa fra.-çaise,contre ces défaillances lécher et crl-
ledes dis deus naWOns.C'est un fait qu'un aime à relever, or
il dénote un remarquable progrès dans Irehabitudes de la guerre, eumparatl,ement
e qu elles écalent autrefois.aÎI oral, malheureusement que ces
s
o 'ontcp s more pénétdréspartoués
t'mo.snu de di vers côés evicesa
squels des Aile"vends trèsinoilensifss faits out fortt
ém,Leeramparts sont armés de 400 canons.' rpleus terribles, sont accueillis deLe gara{son est componée de Il mille n , et aug usent ls p ique.
rde nationale 1 Dimanche, à 4 heu es du o e, 5I. lelh men ails compter a ga,aidantaire. I
préfet Salles est venu lire à la foule,I réiectur la déPé-t l'hôtel de a pSI SM e g cet attaqué, 6tras doourg
cbe-evonduf
esversa t d arriver, rlateent
la dé-ae ddf d
sa
a Iotq il restera un soldat, `+ Frossard et 11ac-Afaheu. 11u. bis, I ehe faite corps
to d' ne voix dmuc u e al-uuLas bonsp pe euve
entsee
rassurer ; quantauxautres,ilsdontquà s'éloigner.
Stra b rg, le 11 a l 18 0Leg éald di ne
'r codmma da t a. tur,p8;U i,.
Le préfet du B PLI.,D Pa
ll r cadi malin 9 ao,ll. On avait n-cé nier dans la mat née l'arrivée d un
troiu'poste do Paris, o do niais desjournaux meures qui iaisaicnt défaut
depuis Il' i. jnn 5. Les ,acte.rs et grande d, personnes étaient à la ports,
atmndans ce train tant souhaité , il û esturnée m pendant
ip di t jo
la u't t anatic u 8 hem. rie u'cloi,an monté.
ia e l'Aeeo dé oo ornauz et de dépe-luiplu re I Ayences aras, que roux
.,.I1
que leu's depuis m sUt.leséfe mus n'ouseque les iss ommes que M, le prt
duavIJa-
Rh:nnouscommunique à,
re quillas reçoit, et que nous
noua
s empressonsde publier immédiatement, pour tenirautent que possible s concitoyens aucourant des graves événements qui se
éci i tpNuus eu avons
fait
d,atriboer 6 es matintoutes datées d hier, le 9 aga,, et Irons
suant des ,nacelles do Pars et deMetz. Nous no pouvons évidemmentnue co tinoerde le so le c les faits
accèdent pour ainsi dira d'heacs a.
haLesdétachements étrangers, sortent
pens, qui avant circulé c joursdurmnvsmers
dana Iescoiemmunes
au Nord deStrasbourg, moue Ics plus proches de la
'lie, rallies quo Sohilt gheiui, Lingols-heim, Eckluolshci n, ont peur ai s due
Udement disparu dans la journée d hier.On an nue q. da o t rétrogradé surBeumalh et Ilsguanau. Ils .e se seraientappro h6s, paraital, que pour ,atouts ttrles alentours de la ville, constat lia
'. de cmnmuuueation qui conduisentd'un village à l'autre. Les cultivateurs dece,
mes qui sont ,anus à Stras.
bourgmpportc.t qu'ils ,'n t .cuoe-meot à se plaindre des procédés des Pros-' s, pas plus que ceux de la frontière
e blissemboimg à Leuterbanrg Les dé-tachements emmmis invitent partout les
lis outo ulations rurales à ee rassurertôuen général aussi à paver les denrées
me buissons qu'ils deinandaicat pour e,restaurer; à Brnmath, ils auraient moire,nous dit-on, payé à Icedu propriétaires
x clmevaux dont ils voulaient ,airs l'ac-lion
quIL aaitt du reste u ces visi-m.r pmssie.e, quiâo t cujourd'bul aupremier
Lui,
des éclaireurs, il sn est uncertain
inombre qui, à dès époque anté-ontfail, sus d'autres costumes
quo l'uniforme; militaire qu'ils portantaintç.apt, das séjours plus ou moins
pruloogés dans nitre pava.Ainsi, lo. tac te que plusieurs ofu.
ont fait reconnaître par lirehabitants de ila campagne, l'un pain, uélève-forestier, l'autre poue un élève del'Eeola d'application de Metz, n. outre
our u ivil, tontesqualités
pqu'ilsavaieniepresespour visser
Icur aise les montagnes et les plumes dePAI,ove donstous leurs détails.
Ainsi encore, à Sahlltigbeim, od il s'estprésenté un assa'deux de dragons prns-
s, quelques'uns sont entrés à la b,, s-rie de 61. Schllteouberger, et ont d, u
mondé à boire de cette excellente bicredo mars qui se trouve dans la troisième
, ajoutant qui ils avaieu t de l'argent
peur1, payyer. Cétaient deux g,é rronsors i le ends qui
avaiest
6 auservice do M. Sel,ntzenbcrger.
Une darne le Strasboorg, revenantlundi matin, dans une voiture parlles-lière, de Bisoh,vilire, a fait la me co itred0 lusie murs détacheme.il, de cavaleriepros et les ofûeiers, qui parlaienttous tri, ae ont la langea Ieancaise,sont vmlns 500005,1 niaient à a oiture,lui présentant leurs hommages et lasaut courtoisis sa routevc s Strasbourg.
N'as avons signalé un. première roisdéjà ces procédés très-extraordinaires eutemps de guerre de la part de troupesqui se trouvent sur le territoire eIls voit que .es Procédés ont rai caractèrevia t ystématig
Dep t h r, les ommu 'cati ons de lavole aie le aennra annt devenues plusfaciles. 0n nus dit que cerlamas portesont plus fréquemment ouvertes me que
l'appeovisinnuement quotidien eu lait, enlégumes t eu ces denréesque les Is-bit fit d c St ! neg tireur dans le baclieu p t d. u, i, plus abondent Sudn'était ces jours derniers. Les Imbemssont rées oe malin cemnue d habitude.On ne p ut q e savon gré à l'autorité mi-blaire de ces facilités, ainsi que de toutes
On lit dans le Journal of/,ciel. Mme Ed. About, s s couvclle- de
M. Ed. AhoaC .nus pr e d'anno.cee qu'ellest sains et sauve à paris avec sait eu
dans 1 espoir que ces lignes tombe-ront sous Ics yeux de so. mari. n
fl s 'il de Cherbourg, te 11,l'escadre d évolutions aux ordres de M. levice-amiral Fourichon, venant de Toulon,
a a p s t p guet dosttab s ils p mwuonueuei
ri uusnt t a g . 0
see0010
qns qu oy,y Ié. s1. car-c le qu I l 1. m uousms pan 1 t d C l a qest parvenue hier soir :
. calmar, le 8 août.= Depms deux jours, la ville de Colmar
et leu conte nsont plongés dans aile pro-fonde consternation. Eu pareille circos-
sIsoce,les bruits les plos étranges, le
e,i
I0 fait ensc eut le calme etIdcatqion .,romanch
tal
Imténé d pj dhm été l'art
a te il ion, q 1 1 rnssie¢s
pansa e t I . Rhin su tr pu ni d11reuts à Rhinau, à A h
t a
a l'Un'enlIre pé. Ils fill. d h'Lu leire entrer en v
e Lille. Le La il. M. d .
i ueoD, ie fait publier en villa à s dala, ,e proclamatim nul r ,mma mandë
auxs habitants, eu pr se oe dèl'arrivéeà peu prés certaine des troupes 1,.'aiigé-
s, de s'abstenir de Iome eésiata.cc Ici'-
il" et dan"transe.1Ce c m.. c.à
les Ira p ll d t para,trd,
losal Il-sur',on prétend qu ilou.
I
s pt r, AI =diede se eoncesleer jnqu au derme, homumà Dastadt.
Lu panique a produit sou oint surlas établissements mdustemele. Lea fab, r-ques do Logeloach abat cessé te travail outout u eu partie, et lea envi ers sontpour le mumcat sur le pavé. Sur l'in{-tlauve de quelque citopes, ¢ partiede la pnpulatioa s'est transformés en po-lice n putrauilles volontaires.
A ]1u,hons, du reste, il parait quel'affervescenoe' de la pop¢latwor, auvrileeest a sa. ..lit.. Lea amm¢meationscent Interrompues.
Dam nos envmo.s l y eu q elquestés eegretmliles en t d All ends.
A Clé Insomar mme, qaq u s gemut portés hier so t l cirque
loyal, établi au Champ d Mas et l'outpartie démoli, sou p ét t q e Mais
Loyal est d aeig ne prussien-On voit de temps an temps passer
des voitures de linge, dea basuauz, queucs villageois conduisent dada la valléede Munster, pour Ies mettre an su-cet6.
, Il v et quelques jours, veya¢t uneg d s lueur du ocré du liai, ail a crulacs nos environs gne Neuf-Brisach étaitu Bamme. C'était Vieux's h qui
luminait pour sa réjouirfide
iala
victoire
reprussienne,
La pc.ille de Thann,qui nos estarivéehier so mate il', faits analogues à
ux que cite la leur' de Colmar, et enfait suivre le récit de réBexiom auxquel-le s'associere.t toua les hommes éclai-Lés :
a 11 nous revient qu'à Thon. comme eugénéral dana la plupart des co -
d'Alsa., les étrangers ont à sa Pl'!',',rls-faibledes vexations d'une minorité
pour qui la qualité d'Al mand est un,i,,, l'a propos, 1s il.
pub
blique.a A ce propos, mus dirons h nos coin
oitopens que Ire parbcullers .e saut pascomptable. des dispositions que prenneutleurs gouveenemenLS reepectifa, et qu en
i t surtout, si 11005 voulons res-ter grands et bons Français, .nus devons
litre plus généreux et plus hospitaliers
que jamais.. Dans les provinces n l'intérieur da
su d.lllemandla sha.ce eù iey
abea.eo
aussi, un ne se pen.et pas dn pareilsexcès à leur égard, et nous ajoutons que
-mé,nea, Pendant la uer o d'Italie,ne. pagem Acanthe et qunulle para ¢ ire nationalité nevalu la meindro insulta ; bien au, rouatraire.
Au reste, à ces braves qui s'attaquentà
a
', 5ms sDensics esdéean nés nouedieoos
rons Si vous hafssez tellement lesPrussiens, engagez'vous et tétiez d'sutuer lo plus possible.
a Atais dans la vie civile 0nus sa de-
os pas mus départir des devoirs anti-ques et nacrés de l'hospitalité ; les étran-
goessuutsous la protection des lois, et
0est aux autorités, non pas à quelquesénergundnos, de veilier sur leurs agisse-
euts
. Neus avons reçu co cation deriderlettres d'Alsaciens qui résident en Prussecola
a o és par la u ecs-t qui .e Bout pas rivlation. Au nom de ms ems,parri,t,s res-pectez les :N'lemasds qui sont chez ..us,'.o. l'ennemi serait en droit d'exercer
de justes représailles.aK. EiaDer.,
Nous terminerons disant que les
nouvelles du Raub.Dbin n onstatenton de troupes litrangèreaaucune
aur le terri taire de ce département. Letivations avec Calma[ et Mu1-
home sout parfaitement libres. La Iraiq-poste a apporté hier sir des lettres dtjournaux de Mulhouse.
Charles Dosrsch.
(Courrier du Bas-Ràin)
Mate, 9 août.Lundi soir, la général changvenier ar-
vait de Paris et se rendait auprès de(Empereur, qui le recevait immédiate-pleut do.s son cabinet.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
AMardi mat n, dès sa I e s 1 E npe bataille depuis Waterloo; mais ils se sou- I Dé c s'ben pas enienn.s.le our aer ^ur et I é é I t t 'taro v.ennem de Il qu'ont 1 't leurs pà-c , et s It lundi e ût 9 1 sird t p h l h d ti d I coup l. iminlleS Ics char. Lr per, d N i 1 t t IIIr ,r 1 p t d g du chemin creux dHo de Vr'oertIl H t u lu pI i pu te u 4! a le s t l é ale et ait
1 ml M .'t, et lissé pannil I g l) I f8d s b l d 5 t old t Mal g é iea b tteries, "Il,, l
-tend].fbe lis mit t . I Ipol éd.l t I d à1. 111 .tél géàIr enéi2Ia lq are mit, l'col, à 11 q t t tl s 116, I. t t tIl a,P s I i t I ,.f IR ie 1 f lit d g t' p I lie II - u p I ill. ..tfl't ua t l e il, qui a été dit les,ompent, les éc asaent, pouce t d u mis 1 m C le Louche.vara cet te I q t o rai et l'avent g de, ébranlée da N t n 1 qu t à latr Il;no c et j l is quvle ni. { o s épa s r p tl te d a l t é p lrais vomi I .1 1e,. ,bas d utre3 bataillons plus uo nbreux s rais cent ines de fuyu as { a lt
Dn r L A 11 t acr onze heu pp tent le secours de leur poids aux jeté leurs Nos penses séllveot àpour dej . I enéral était plant à I : feus yui ne robent plus et oe quie $ à 4,000 ts et blessés.,alite à le d rte de -ur. Se , pa rit de nos cu,rerssmrs disparais dans Becl,/ic r n . - Lci ir eps a perdutnnWqu I ml l' t { 1 u tanrbtuou d'ennemis. quai mêle et n n clin pr so »ersgroudo t I L p Le ge-
uiLe f" oorps suait e sa route ouverte à l'afâlee do RoischeolxnR N s gno-
néeaJ 01 regain ar a qu t M,I5. dans la pendant usa heure; il lut fallait ane he acore le nombre e! n tjournée peur e,rani ter é Palis. re encore p,ar I sa retraite Le nie- I p t u I (L o, divisions
l'enrp lent de le quitter , I I ar t aie uu régimlut d i ter t d b 'Ga les de cavalerie)a Filoi serfs I I. amont la man à pl I saurs 11 g t du salut d'u te am é d M -M h telle toute la Jour-sieses r prseu. n fart un signe. Le régiment part, et les née et ne est pas élu grée à la bila.
M. émédée Aehard fait dans le DP
teerr-, te réent suivant de la bataille d A leur tounlefont ane troeéo eaeeyabieHeir,ahslmllen et quand ['armée teanoaise est m.itecsse
Le nu l n l j (ui a vn lai bats ll d 1 min au bout duquel est 1 année.le maté a t 1 . p Elle .t it sauvée!
,. pins ?L 'coupes Il lig L passeses urs étaient morts.rd oit, ut de Re ei sholfen, fat t L r dét I terrible : au plus fort de Ifane à I rnem batadle, l maréchal expédia une dépé h
La rcetei iile ses drvrsmns i t , rt devisé eu au 'énéral de Faill) ur lui rescnredeux colIrs d bits n n
. Pebale force éta o- perdd er du F La dus, C oP y u divin
Poane
à p,anse l 1 de se, occupent A prendre l'armée pmssronve à die C était}Vmi 41r lau4' lad
lit , l I
Il edl:- alors ente ttototre.bernach Le télégtapbe écrit a Ilansbach, a qui
La ligne de teatalllo rapt e... ta:. donc est dans mie direction tout opposée, etUn triangle dont la pointe était toueuéo les divisions da générel da Gailly ne tees.v la I t c vent personne sur le terrain ou elles nou-
V r 1 1 s pr r orpr eu .t pl s a rd ud a l é I t d 1 1 lie
Lennuars asp é II par tt qu I psdu général Raault,i .cn, la P'e'ton o,...upéu par qü n disaitdsparu, a été retrouvé par-
mIf
ab n.hant n passer cotre les morts,e Il arrivait par t _ Le 6 lanciret commandé par unla Tome de Nioderhonn.
' 'Dés sir augagomeuts de Wrailleu s si s pt- rptament d une vive
s5 a-lu le n, iéohal appelltt leamcorpilleIsl'ncé à Eharbauh et le i uge e hm, l'ace Ge l'ennemi qu'il arrête. et Men-t,, apeès, farce à un meavemant de re-cul.
C'est alors gdnn nouveau oorps d'ar-Inée, fait égalennout de saivants nidsbommas, déboucha de la forét de W,nrth,
p rouasses qu avalent lotes sen omrassiers La c vaieele pruss ienne, fatiguée, aht-ahasseal s iea reeammrncent' née, aarenoncé presque de su te à pane.
pa dl r no-Comtes, In benne ol0 1 1r,t faisant partie du corps du mmhal
deMae Âlbhon, e été fort ii euueélrléepperdu
12 offiears tA SO hommes par escsdron ;régiment n'en reste pas ins plein
d ârdellr et n'aspira qu'à prendre nos re-anche. Dea quatre colonels des régiments
formant la division de cavalerie de e
oorps d'armée uu seul est survivant, lecolonei'Triparti.
qui en .ait dissimulé la marche, t - Un des unerospondauts du --alance sus pr fondes eolorlnEs sur les ré- daura ujoued'hui
ulong récit de la
monts placés en vaut au village de bataille de Forbach, du 6, à laquelle ilYtnsth. anal te do ai prés, que, ae trouvant lema-
l'eenta'alois millehommes se trouvaient un d ans le camp pnmsron, il suivit le,prWence de cent vingt mille pourvus oin la retraite de nes troupes. Apréa avoi
d'une énorme artitlaeie, a timé eu chiffre de 25,000 à 30,000Il v avait déjà plusienre heures que la hommes le oorps français engagé dans
tseta{lle durait sans que Tee positions neea_ Putl'aiee, il ajoute;Iris par le arP bal fussent entamées, a Quant aux Prussiens, j ai lotit lien deque, dies l'a réa'midi, versé heures; cr re que leurs ailes eut été au même
no troisième em'ps d'armée, l'on cette meut toutes deus renforcées cheounefoi, du sencuste-quatorze mille hommes, d'une couple de brigades, eue heure en-
et passant en arriéré d'Eberhaeh virent avant la ils du combat, et c'est nabandonné, oerohe à déborder les divi- tournant la gauche des Français avec les
as décimées du maréchal, et à lui eou- Troupes franches qu'ils ont emporta lèBer sa ligne de retraite sur Haggçnau et sucrés de la journée. Jeuant
auprésume güils
Sg ncene. -laient aux Français, q »ombreLe premier corps était pris entre traie dnmmnes, comme trois à un; leur aril-
feuv.. tarie était su érievee encore dans uneLe maréchal se décide à céder le champ Plus forte proportion.
de bataille, couvert de morts, et oR le . C'est un vre mieae'e qu'avec cetombre a triomphé; mais pour qû mil puisse (or e ' 'ar rager L celui ries post,loirs
remeu ee les Aébris de s. dil'.smns, zhMOdonnées bénévohment par Ics Irran-linc ue ombreuses alors q ue ds bidergaes
il lance contra I'rivantgarde ennemie onrégiment du ouirbseiers.
Ces horurees de fer s.vc,,t qiu'ils vont àlu mort. Cétait la preinièec f.is qu'ilsdomeient. On;avait point vu les enec.liais de leur arme sur encan champ de
suivre et à iugniétre la retraite ll estfaux que
de"troupes françaises nient
ubundom é leurs s.Sa Lu4 mardi 11 ût
Se n p a H n N Il la-f¢ ll L btl épèsde 'Sp 'u l' 1 g de 4érrr
é lebr
k"rLi'us
t"stub u np pins eon,lll'{ o
l avait cr ji { { tLe cor(: d é, d béé I V,cS d
a étépeétes en morts ettWrsrér sont immens'aele mpn d'une divises et plusieurs
magasins pnetout, ont é:é pris, En ou-tre, uu liés'grand nombre de pr none esont été faits.
Ce nombre augmente toutes les heur sJusqu à présent, on eu compte plus de
4,000.Mo s I s p tee de notre allé sont cou-
La iJ division a perdu environ 1R001 nomes.
L'armée française se retire sur toniiea points.
samt-A, Id est occupé par nos troupes.
une pagnie; le combat qû il soutenaitdI I, t v lt tpis
pà se, ai d.sd la.AI"ldtLt Tfi d d na d. d si
qu i Is dW
ate setdns sets lsdrons, et seul il descend le mamelon au
PuArr aé dans le rav u, il tire un pistelet des foutes de sa selle, casse la téta à
n ch, vol et, t épée mise à la main, montelai rament la pente de la calltne qui Luifait fncns^ lUns e qm appartiennent à toueles régimeIt
ost
et à toutes les armes lo Tarn.contrant. Ils aa jettent au-devant de luiet tentent de l'arrêter. Dix vole Mole-tantes lai demandent o8 il va.
- A ['ennemi ! épand le généraiil passe. Les soldats étonnés le suivent
Ils sont une peignée et montent aalonrloi Dautres a courent, reeonllaiesent legénéral et s'élancent pour lui barrer techa mur, IL les écarta du geste et montaplus haut.
Et s mémos soldate, tout à l'heureépouvantés de tant d'hérovsme, l'imterd
é but t Leursandt s, rt gnmpent 1 ses cder opens onrtouches. IL .A Inhs PERDIT M ie eo e
somependa l un feu terrible partait du Chien de ch (J' t) t l yéet da l' Il t
sagç poil
Lana m é{ q
làneo hou pl d é é1t
, du cl,é geu 1 I avait e petite corde'a
ncalmes
etstquq él1t
i t au eou.
Dautres I éj g tl lie 6 Pe,éro de l u d ter avis àu donner ell aL npce d. l ae chef , M. Dur iea, rue de la PollIb.a g I m tram le sen t de la tell -
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l mitraille. )Eau de ma^o à livrer, 50 fi.lethT .bel vonentarrout à coup ti a a
tin solda,les
obqua les Les avaient laissé
debout court à lui.e général lleuay était mort.
Qaai d de sels bommas tombent sur le
col de la paire, four cadavre e,dante des
héros. Amédéemineur}.
Les patrnnlllee e avnncentjusqu à deuxmilles do Meta.
ll .test pas arrivé jusqûà présentd'autres ...villlas.
Celle dépêche est fausse depuis min sontjusquà J'outre. La corps du général deBailly a perdu en tout et pour tant deuxmille hommes. Ce corps est enjeurd'hui à
. noir. aile gauche, parl'eitement au emn-plet, les vides ayant été comblés,
l a été fait un tras petit uo nbre deprispnmers.
L'armée'rançaïsa ne se retire pas, elleest bec à bec ' e l'armée prussienne ,prés de Saint-Arold.
I.os patrouilles prussiennes n'ont ja
n ai dépassé Faulquemont.(Patrie) Th. Durand.
LA MORT DU GIsiNCR.AL DOUAY.
voici en yu'on raconte sur la fin decet homnm da. guerre qui, ne voyant pasla mort venir à lui est allé la chercher.
A l'heurau la bataille était pe. due, legénéral, mrne at ombre, regardait da
met d'u amelon les derniers régi-renln de sa division qui dcteendaieut
arc colline d'ob lo feu de l'ennemi lesdécimait. 'l'ont ce qu'on peut faire penne
njuree le sort, il l'avait fait. Il n'a ritplus sons la main ni nu bataillon, ni
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0I. DARADIE l'honneur de prévenir les Amatoms qu'ils trouveront chez lui min grandchoix do W-nuils de cI .rn, se oLm'e a par la ealass. Ces armeseont pratiques, com-
1 i I sût, toujours rapaesées pai loi avec le plus grand soin et .ts rées dans les
mil dLM U b d' t r pourvu d'ou g d Ire lA t I, do chasse àe tente
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pp t d( It. d 'rtou I s {u 1 p ut céder à de p déf tIo n Folio, d lO t l e q d l en,nnt de rogner In L aehes et,.
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A V11. Le mot Portland ne sulftl pas pour avoir du véritable amont Anglais, corquelques revendeurs de mauvaise fa mettent frauduleusement des étiquettes simulant lamarqua anglaise pour des produlis de [aLricatiou trés médiocre.
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tion ni douleur57, Taulouae, rue de la Pomme, 57.
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M. PEI.I,ECIIIN ae charge de la confrWfne ds tante. carte, de piècesarti Gcielles, qu'il plane cane aucs ne souil'ranee, aa maya. de sen nov-
as procéda et sana Dire Oblige d'arracher las meure ses dénia ouxiataviea. L'élégnv r. de ssa e cens. u 11 eseantit, fane donna
a. ironie ,ee
vanta Resur cell. q livre 1.nrnellemenlen pianiste1 dents qua pisan, e t al PELLEGInIN, loin d'avoir I. grave
nvèniont d'aanesnner quelquerois les deaa nsneeellea, a dont novlraire,tirs conenlider ; allia fecnlitrnt enméme lampa la peunm,cia-
lieu et servant F.rtaitemmt a la mastication.
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