Déuter en maternelle : les modalités d’apprentissage...Programme de l’école maternelle –BO...

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Débuter en maternelle : les modalités d’apprentissage

Mylène FROMHOLTZ, CPD Maternelle

octobre 2019

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Sommaire

• La circulaire de rentrée 2019

• La loi pour l’école de la confiance et actualité éducative en maternelle

• La sécurité affective : les parents et les ASTEM

• Le développement langagier, cognitif, social et affectif, sensoriel et

moteur

• Les 5 domaines d’apprentissage et les modalités spécifiques

d’apprentissage

• Jouer et apprendre : quels jeux pour quels âges ?

• Rythme de l’enfant et aménagement scolaire

• Elaborer un emploi du temps en maternelle

• La figuration des étapes de la démarche d’apprentissage pour l’élève

• L’oral en classe et le langage dans l’activité enseignante

• Lexique, phonologie et syntaxe

• Suivi et évaluation des apprentissages

• Découvrir les nombres et leurs utilisations

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La circulaire de rentrée 2019

• Circulaire de rentrée : Former les professeurs néo-titulaires (T1-T2-T3)

nommés sur un poste en maternelle, comme les professeurs enseignant

en école élémentaire et enseignant en maternelle.

➢ Connaître les processus d’apprentissage propres à l’école maternelle

➢ Tirer parti de l’importance du jeu dans le processus d’apprentissage

➢ Maîtriser les approches didactiques et pédagogiques de la maternelle

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La loi pour l’école de la confiance

Obligation d’instruction

À partir de la rentrée 2019, tous les enfants âgés de 3, 4 et 5 ans sont concernés par l’obligation d’instruction.

Tous ces enfants doivent donc désormais être inscrits dans une école ou une classematernelle, publique ou privée, sauf si leurs parents ou responsables légaux déclarent qu’ils l’instruisent ou le font instruire dans la famille.

Dans ce cas, des contrôles seront réalisés par les autorités compétentes afin de s’assurer que l’obligation d’instruction est bien respectée.

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Les priorités nationales

Les priorités pour l'école primairenote de service n° 2019-087 du 28-5-2019- NOR MENE1915810C

L’école maternelle, école du langagenote de service n° 2019-084 du 28-5-2019- NOR MENE1915456N

Un apprentissage fondamental à l’école maternelle : découvrir les nombres et leurs utilisationsnote de service n° 2019-085 du 28-5-2019- NOR MENE1915454N

Les langues vivantes étrangères à l’école maternellenote de service n° 2019-086 du 28-5-2019- NOR : MENE1915455N

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Développer la sécurité affective

• Travail en synergie avec les ATSEM :

- participer à la sécurité matérielle et affective

- être une figure d’attachement

• Communication avec les parents et responsables légaux :

- entretenir un accueil de qualité envers les parents et responsables desélèves

- entretenir des relations de confiance pour satisfaire les besoins des jeunesélèves et favoriser leur entrée dans les apprentissages

7Le développement langagier, cognitif, social et affectif, sensoriel et moteur de l’enfant

8Le développement langagier, cognitif, social et affectif, sensoriel et moteur de l’enfant

9Les 5 domaines d’apprentissage et les modalités spécifiques d’apprentissage

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Les modalités spécifiques d’apprentissageà mettre en place à l’école maternelle

• Apprendre en jouant : jeu libre, jeu structuré

➢ Jeux d’exploration : de manipulations, d’expérimentationsde découvertes…

➢ Jeux symboliques : jeux d’imitation, de fiction, de rôles, de mises en scène, jeux dramatiques

➢ Jeux de construction : jeux d’assemblages, de fabrication

➢ Jeux à règles : jeux de coopération, de hasard, d’adresse et de compétition. Ils activent chez les joueurs des habiletés sensori-motrices (courses, billes, ...] ou cognitives (cartes, jeux de société divers...].

Vidéo : le jeu structuré « La maison de Loué » GS extrait du document éduscol « Jouer et apprendre » Cadrage général.

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Jouer et apprendre : quels jeux pour quels âges ?

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Jouer et apprendre : quels jeux pour quels âges ?

14Les modalités spécifiques d’apprentissageà mettre en place à l’école maternelle

• Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes

« Pour provoquer la réflexion des enfants, l’enseignant les met face à

des problèmes à leur portée. (...) il cible des situations, pose des questions

ouvertes pour lesquelles les enfants n’ont pas alors de réponse directement

disponible. Mentalement, ils recoupent des situations, ils font appel à leurs

connaissances, ils font l’inventaire de possibles, ils sélectionnent. Ils

tâtonnent et font des essais de réponse.»

Exemples : premiers essais d’écriture, problèmes numériques…

Programme de l’école maternelle –BO spécial n°2 du 26 mars 2015

15Les modalités spécifiques d’apprentissageà mettre en place à l’école maternelle

• Apprendre en s’exerçant

«Les apprentissages des jeunes enfants s’inscrivent dans un temps long

et leurs progrès sont rarement linéaires. Ils nécessitent souvent un

temps d’appropriation qui peut passer soit par la reprise de processus

connus, soit par de nouvelles situations. Leur stabilisation nécessite de

nombreuses répétitions dans des conditions variées. (...). L’enseignant

veille [avec les plus grands] à expliquer aux enfants ce qu’ils sont en

train d’apprendre (...)»

Exemples : réagir à un signal sonore dans le cadre d’un jeu, lancer par-dessus

un obstacle, utiliser correctement une paire de ciseaux, orienter son geste

graphique pour produire des formes définies …

16Les modalités spécifiques d’apprentissageà mettre en place à l’école maternelle

• Apprendre en se remémorant et en mémorisant

(...) L’enseignant stabilise les informations, s’attache à ce qu’elles soient

claires pour permettre aux enfants de se les remémorer.

Il organise des retours réguliers sur les découvertes et acquisitions

antérieures pour s’assurer de leur stabilisation. (...)

Il valorise la restitution, l’évocation de ce qui a été mémorisé; il aide les

enfants à prendre conscience qu’apprendre à l’école, c’est remobiliser en

permanence les acquis antérieurs pour aller plus loin.»

Exemples : rappel de récit, retour sur la séance précédente, apprentissage

d’une comptine, de pas pour la danse de création …

17La figuration des étapes de la démarche d’apprentissage pour l’élève

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Rythme de l’enfant et aménagement scolaire

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Rythme de l’enfant et aménagement scolaire

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Rythme de l’enfant et aménagement scolaire

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Rythme de l’enfant et aménagement scolaire

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Elaborer un emploi du temps en maternelle

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Elaborer un emploi du temps en maternelle

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Elaborer un emploi du temps en maternelle

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Elaborer un emploi du temps en maternelle

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L’oral en classe : inventaire des possibles

« Pratiques langagières, enseignement de l’oral et professionnalité »Yves Soulé, Chaumont – décembre 2017

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L’oral en classe : les genres formels oraux« Pratiques langagières, enseignement de l’oral et professionnalité »

Yves Soulé, Chaumont – décembre 2017

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L’oral en classe : les actes de parole« Pratiques langagières, enseignement de l’oral et professionnalité »Yves Soulé, Chaumont – décembre 2017

29Le langage dans l’activité enseignante

Yves Soulé, formateur à l‘INSPÉ de Montpellier en didactique du langage« L’oral pour apprendre, l’oral pour comprendre » Langres, février 2017

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Exemple de gestes langagiers dans l’activité enseignante

« j’aimerais qu’aujourd’hui le cercle de lecture démarre sur un moment de travail personnelsur le texte. Je vous demande de relever tous les mots du texte qui parlent de l’océan.J’aimerais aussi vous amener sur une seconde piste de travail + lors du dernier cercle delecture vous avez dit que vous trouviez ce texte poétique il est beau et vous proposiez de ledire avec la voix comme un poème ou de le jouer comme une pièce de théâtre. »

Yves Soulé

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Lexique ou vocabulaire ?

En linguistique, on fait la différence entre les deux.

➢ Le lexique est l’ensemble des mots d’une langue.

➢ Le vocabulaire est l’ensemble des mots effectivement employés par

une personne dans un acte de parole précis (ou dans un énoncé écrit).

C’est l’actualisation des mots du lexique. On devrait donc parler du

« vocabulaire de l’enfant » et de « l’apprentissage du vocabulaire ».

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Lexique, phonologie et syntaxe

Le lexique se trouve placé au carrefour des autres secteurs de la linguistique :

- La phonologie pour la prononciation : divin / divinité

- La morphologie pour la forme des mots : cf la dérivation cœur / courage / courageux / décourager / découragement

- La sémantique pour la signification

- La syntaxe pour les propriétés combinatoires.L’environnement syntaxique peut faire changer le sens d’un mot : jouer avecquelqu’un / se jouer de quelqu’un. Le statut du sujet (animé ou pas) influe également : Le pansement adhère àla plaie / Pierre adhère à une association ; Pierre joue / le bois joue...

33L’enseignement-apprentissage du vocabulaire à l’école maternelle Guide :

• L’enseignement du vocabulaire à l’école maternelle p 10

« L’enrichissement des mots de vocabulaire ne se fait pas seulement au service

de sa pensée ou de son expression orale, il se fait également au service de la

dimension écrite du langage »

« Plus on a de vocabulaire, mieux on lit, et plus on lit, plus on enrichit son

vocabulaire ».

• L’apprentissage du vocabulaire à l’école maternelle p11-12…

➢ Il se construit par les textes entendus : nouveaux mots, nouvelles structures syntaxiques. »

➢ « Il se construit conjointement avec une syntaxe correcte et précise » : ordre des mots et sens de la phrase.

Ex : Le chien attend les enfants. / Les enfants attendent le chien.

➢ Importance des activités de catégorisation en PS (p28).

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Suivi et évaluation des apprentissages

• A l'école maternelle, deux outils permettent d'assurer le suivi des apprentissages et des progrès des élèves :

➢ le carnet de suivi des apprentissages, renseigné tout au long du cycle

➢ la synthèse des acquis de l'élève, établie à la fin de la dernière année du

cycle 1

https://eduscol.education.fr/cid97131/suivi-et-evaluation-a-l-ecole-maternelle.html

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Découvrir les nombres et leurs utilisationsBulletin officiel spécial n° 2 du 26 mars 2015

Construire les premiers outils pour structurer sa pensée4.1. Découvrir les nombres et leurs utilisations

« Depuis leur naissance, les enfants ont une intuition des grandeurs qui leur permet de comparer et d’évaluer de manière approximative les longueurs (les tailles), les volumes, mais aussi les collections d’objets divers (« il y en a beaucoup », « pas beaucoup »…).

À leur arrivée à l’école maternelle, ils discriminent les petites quantités, un, deux et trois,notamment lorsqu’elles forment des configurations culturellement connues (dominos,

dés). Enfin, s’ils savent énoncer les débuts de la suite numérique, cette récitation ne traduit pas une véritable compréhension des quantités et des nombres.

L’école maternelle doit conduire progressivement chacun à comprendre que les nombres permettent à la fois d’exprimer des quantités (usage cardinal) et d’exprimer un rang ou un positionnement dans une liste (usage ordinal). Cet apprentissage demande du temps et la confrontation à de nombreuses situations impliquant des activités pré-numériques puis numériques. »

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Les 4 concepts clés de la numération dans le programme de 2015 analysés par R. Brissiaud

• La composition-décomposition

• L’itération de l’unité

• Le comptage-dénombrement

• Le comptage-numérotage

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La composition-décomposition

• Comprendre un nombre donné, c’est savoir comment il est composé en nombres plus petits que lui et savoir l’utiliser pour en composer de plus grands. La compréhension des nombres se fonde donc dans l’usage pertinent de stratégies de composition-décomposition.

• Comprendre le nombre 8, par exemple, c’est s’être forgé la conviction que pour construire une collection de 8 unités, on peut en ajouter 1 à une collection de 7, on peut en ajouter 3 à une collection de 5, on peut réunir deux collections de 4, on peut enlever 2 unités à une collection de 10, etc.

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L’itération de l’unité

« l’itération de l’unité (trois c’est deux et encore un) se construit progressivement, et pour chaque nombre ». Prog 2015

• Les cinq premiers nombres se construisent dans l’ordre.

• L’enfant apprend d’abord que « deux cubes, c’est un cube et encore un », il apprend que « deux verres, c’est un verre et encore un », que « deux chaises, c’est une chaise et encore une », etc. Cela lui permet de donner du sens à l’expression « deux, c’est un et encore un » dans laquelle ne figure aucune unité. Celle-ci permet en effet de mémoriser la façon dont onforme des collections de « deux cubes », de « deux verres », de « deux chaises »… : on en

prend « un et encore un » ou bien « une et encore une ».

• L’enfant apprend ensuite que « trois cubes, c’est deux cubes et encore un », il apprend que« trois verres, c’est deux verres et encore un », que « trois chaises, c’est deux chaises et encore une », etc.

• C’est ainsi que, plus tard, il donne du sens à l’expression : « trois, c’est deux et encore un » Parce qu’elle lui permet de mémoriser la façon dont on forme des collections de« trois cubes », « trois verres », « trois chaises »… : on en prend « deux et encore un »…

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Le comptage-dénombrement

• Le programme maternelle (p. 14) précise que : « Les activités de dénombrement doivent éviter le comptage-numérotage et faire apparaitre, lors de l'énumération de la collection, que chacun des noms de nombres désigne la quantité qui vient d'être formée ».

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Le comptage-dénombrement

• Enseigner le comptage-dénombrement dans le cas d'objets déplaçables : théâtraliser l'itération de l'unité

➢ Ex : former une collection de 5 cubes

La tâche consiste à former une collection de 5 cubes à partir d'un tas de cubes situé en

bord de table. Pour montrer à un enfant comment l'on compte, l'enseignant va les

déplacer du bord de la table vers son centre.

L'enseignant dit « un » en déplaçant un cube. Pour continuer, il y a deux possibilités de

coordination entre le pointage du doigt et la prononciation du mot « deux » :

- Soit il dit « deux » dès le moment où il pose le doigt sur un nouveau cube du

bord de la table, c'est-à-dire avant que celui-ci soit déplacé, et l'enfant comprendra qu'il

va déplacer un cube qui s'appelle « le deux », le mot « deux » fonctionnant alors comme

une sorte de numéro,

- soit il ne dit « deux » qu'après que le cube a été déplacé, c'est-à-dire après que la

collection de deux cubes a été formée, ce qui favorise la compréhension

du fait que le mot « deux » désigne une pluralité …

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Le comptage-dénombrement

• Enseigner le comptage-dénombrement dans le cas d'objets non déplaçables

Lorsque, pour enseigner le comptage-dénombrement, les unités sont alignées et non déplaçables, une file de points dessinés par exemple, on peut utiliser un procédé rapporté par divers pédagogues vers le milieu du siècle dernier, dont René Brandicourt (1962) : il consiste à masquer l'ensemble des unités avec un cache avant de découvrir successivement chacune d'elles tout en explicitant combien d'unités sont visibles après chacun des mouvements du cache. Ce procédé ne doit être utilisé qu'avec des enfants qui ont compris les 3 premiers nombres. Etre très explicite : « 1 point ; et-encore-1, 2 points ; et-encore-1, 3 points ; et-encore-1, 4 points » .

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Le comptage-numérotage

• Théâtraliser la correspondance 1 mot - 1 unité, c'est enseigner le comptage-numérotage

Supposons qu'un parent demande à son enfant (3 ans, par exemple) de compter les

cubes d'une collection qui en contient quatre. Il est fréquent d'observer l'enfant

toucher chacun des cubes avec l'index tout en récitant la comptine numérique mais

sans aucune coordination entre les deux, ce qui peut conduire l'enfant à dire : 1, 2, 3,

4, 5, 6 alors qu'il n'y a que quatre cubes.

Dans ce cas, la plupart du temps, le parent prend le doigt de l'enfant en lui disant qu'il

va lui montrer comment on compte, il pose le doigt sur l'un des cubes et dit « un » en

appuyant sur le doigt de l'enfant, il pose ensuite le doigt sur le cube suivant et dit «

deux » en appuyant à nouveau sur le doigt, etc. Il théâtralise ainsi la correspondance 1 mot - 1 unité.

Lorsque le comptage est enseigné ainsi, les mots-nombres fonctionnent comme

des sortes de numéros : « le un, le deux, le trois, le quatre... » et, donc, l'on peut

parler de l'enseignement d'un comptage-numérotage (Brissiaud, 1989, 1995).

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Comptines et jeux de langage pour apprendre les nombres

Ressource Maternelle Eduscol – Lien oral-écrit- Comptines, formulettes et jeux de doigts. Avril 2016

47Comptines et jeux de langage pour apprendre les nombres

Ressource Maternelle Eduscol – Lien oral-écrit- Comptines, formulettes et jeux de doigts. Avril 2016

48Comptines et jeux de langage pour apprendre les nombres

49Une progression de la PS à la GS proposée par Rémi Brissiaud

• En PS, privilégier la compréhension des 3 premiers nombres

Les nombres se découvrent à travers la construction des relations

qu'ils entretiennent entre eux (3 chaises, c'est 2 chaises et encore 1 ;

c'est 1 chaise, 1 autre chaise et encore 1 autre).. Face à 3 cubes, les

concevoir comme 1, 1 et encore1 se trouve facilité du fait qu'un seul

focus de l'attention suffit pour les prendre tous en compte (Subitizing).

• En MS, privilégier la compréhension des 5 premiers nombres

Avec chaque nouveau nombre étudié, le nombre de décompositions

croît : il est de trois pour l'étude du nombre 4 (1 + 3 ; 2 + 2 ; 3 + 1)

et de quatre pour celle 5 (1 + 4 ; 2 + 3 ; 3 + 2 ; 4 + 1).

50Une progression de la PS à la GS proposée par Rémi Brissiaud

• En GS, les décompositions à privilégier : 5 + n, doubles et itération de l'unité

Si l'on fait le calcul du nombre de décompositions qu'il faut savoir utiliser pour

connaître de manière approfondie les 10 premiers nombres, on en trouve 45,

toujours en se cantonnant aux décompositions en deux nombres seulement. Aussi

n'est-il guère raisonnable d'espérer que l'ensemble des enfants se soit approprié

les 10 premiers nombres en fin de GS.

Lesquelles convient-il de privilégier pour l'étude des nombres après 5 ?

- les décompositions qui ont partie liée avec l'itération de l'unité

- celles du type 5 + n

- les décompositions des nombres pairs en doubles

- celles des nombres impairs en doubles + 1.

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Une progression de la PS à la GS proposée par Rémi Brissiaud

L'accès aux décompositions suivantes, par exemple, doit être considéré comme prioritaire : 6 = 5 + 1 (itération de l'unité), 6 = 3 + 3 (double), 7 = 6 + 1 (itération de l'unité), 7 = 5 + 2 (repère 5), 7 = 3 + 3 + 1 (double +1), 8 = 7 + 1 (itération de l'unité), etc.

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