En mécanique quantique, l'électron n'est plus décrit par les vecteurs position et...

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En mécanique quantique, l'électron n'est plus décrit par lesvecteurs position et vitesse.Il est décrit par une fonction d'onde, notée

HΨ = E.ΨE est l ’énergie associée à la fonction d’onde

En mécanique quantique, l'électron n'est plus décrit par lesvecteurs position et vitesse.Il est décrit par une fonction d'onde, notée

HΨ = E.ΨE est l ’énergie associée à la fonction d’onde

En mécanique quantique, l'électron n'est plus décrit par lesvecteurs position et vitesse.Il est décrit par une fonction d'onde, notée

HΨ = E.ΨH est l’hamiltonien, opérateur mathématique qui est caractéristique

de l’électron (quantité de mouvement, énergie potentielle)E est l ’énergie associée à la fonction d’onde

En mécanique quantique, l'électron n'est plus décrit par lesvecteurs position et vitesse.Il est décrit par une fonction d'onde, notée

HΨ = E.ΨH est l’hamiltonien, opérateur mathématique qui est caractéristique

de l’électron (quantité de mouvement, énergie potentielle)E est l ’énergie associée à la fonction d’onde

H =d

dx Ψ = eλ.x

HΨ = E.Ψ

HΨ = λ.eλ.x = λ.Ψ

H =d

dx Ψ = eλ.x

HΨ = E.Ψ

HΨ = λ.eλ.x = λ.Ψ

La mécanique quantique n’est pas déterministe

HΨ = E.Ψ

On ne peut estimer qu’une certaine probabilité de rencontrerl’électron dans une certaine région de l’espace.

d petit élément de volume

d = r2.sin.dr.d.d

d petit élément de volume

d = r2.sin.dr.d.d

La mécanique quantique n’est pas déterministe

HΨ = E.Ψ

On ne peut estimer qu’une certaine probabilité de rencontrerl’électron dans une certaine région de l’espace.

||2 représente la densité de probabilité de présence de l'électron

La probabilité dP de trouver l'électron dans un volume infinitésimald centré autour d'un point M0 de coordonnées (x0, y0, z0) vaut

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

La mécanique quantique n’est pas déterministe

HΨ = E.Ψ

On ne peut estimer qu’une certaine probabilité de rencontrerl’électron dans une certaine région de l’espace.

||2 représente la densité de probabilité de présence de l'électron

La probabilité dP de trouver l'électron dans un volume infinitésimald centré autour d'un point M0 de coordonnées (x0, y0, z0) vaut

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

d petit élément de volume

d = r2.sin.dr.d.d

dP = ||2.d

La mécanique quantique n’est pas déterministe

HΨ = E.Ψ

On ne peut estimer qu’une certaine probabilité de rencontrerl’électron dans une certaine région de l’espace.

||2 représente la densité de probabilité de présence de l'électron

La probabilité dP de trouver l'électron dans un volume infinitésimald centré autour d'un point M0 de coordonnées (x0, y0, z0) vaut

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

m : projeté orthogonal de M dans le plan [xOy] (plan équatorial)

Om = r.sin

x

z

y

ϕ

( , , )M x y z

r

= .x r sin .cos ϕ

= .y r sin .sin ϕ

= .z r cos

r ∈ [0, ∞ [

∈ [0, Π ] ( - )co latitude

ϕ ∈ [0, 2 Π ] ( )longitude

O

m

Symétrie sphérique

(r,θ,ϕ) On écrit la fonction d’onde sous lal forme

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre que (r,,) s’écrit sous la forme (r,θ,ϕ) = R(r).Y(θ,ϕ)

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre que (r,,) s’écrit sous la forme (r,θ,ϕ) = R(r).Y(θ,ϕ)

R(r ) : fonction de la distance à l’origine= distance de l’électron au noyau

m : projeté orthogonal de M dans le plan [xOy] (plan équatorial)

Om = r.sin

x

z

y

ϕ

( , , )M x y z

r

= .x r sin .cos ϕ

= .y r sin .sin ϕ

= .z r cos

r ∈ [0, ∞ [

∈ [0, Π ] ( - )co latitude

ϕ ∈ [0, 2 Π ] ( )longitude

O

m

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre que (r,,) s’écrit sous la forme (r,θ,ϕ) = R(r).Y(θ,ϕ)

R(r ) : fonction de la distance à l’origine= distance de l’électron au noyau

Y(,) : fonction de la direction dans laquelleon regarde

m : projeté orthogonal de M dans le plan [xOy] (plan équatorial)

Om = r.sin

x

z

y

ϕ

( , , )M x y z

r

= .x r sin .cos ϕ

= .y r sin .sin ϕ

= .z r cos

r ∈ [0, ∞ [

∈ [0, Π ] ( - )co latitude

ϕ ∈ [0, 2 Π ] ( )longitude

O

m

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre que (r,,) s’écrit sous la forme (r,θ,ϕ) = R(r).Y(θ,ϕ)

R(r ) : fonction de la distance à l’origine= distance de l’électron au noyau

Y(,) : fonction de la direction dans laquelleon regarde

On montre que (r,,) dépend de 3 paramètres, ou encorenombres quantiques : n, l, m

n, l, m (r,θ,ϕ)

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

La condition impose que :

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

La condition impose que :

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).Yl,m

2 (θ,ϕ).r2.sinθ.dr.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

La condition impose que :

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).Yl,m

2 (θ,ϕ).r2.sinθ.dr.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

Rn,l2 (r).r2.dr. Yl,m

2 (θ,ϕ).sinθ.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

∫donc

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

La condition impose que :

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).Yl,m

2 (θ,ϕ).r2.sinθ.dr.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

Rn,l2 (r).r2.dr. Yl,m

2 (θ,ϕ).sinθ.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

∫donc

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

On montre aussi que :

n,l,m (r,θ,ϕ) = Rn,l(r).Yl,m(θ,ϕ)

La condition impose que :

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).Yl,m

2 (θ,ϕ).r2.sinθ.dr.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

Rn,l2 (r).r2.dr. Yl,m

2 (θ,ϕ).sinθ.dθ.dϕϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

∫r= 0

∫donc

Soit encore :

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

Yl,m2 (θ,ϕ).sinθ.dθ.dϕ

ϕ= 0

∫ =1θ= 0

Π

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

Les nombres quantiques n, l, m (ou ml) :

n : entier naturel non nul (nombre quantique principal)l : entier naturel : 0 ≤ l ≤ n-1 (nombre quantique secondaire)m : entier relatif : - l ≤ m ≤ + l (nombre quantique magnétique)

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

Les nombres quantiques n, l, m (ou ml) :

n : entier naturel non nul (nombre quantique principal)l : entier naturel : 0 ≤ l ≤ n-1 (nombre quantique secondaire)m : entier relatif : - l ≤ m ≤ + l (nombre quantique magnétique)

Pour l’hydrogène, l’énergie ne dépend que de n, et on a En = - 13,6n2 (eV) .

Rappel :

L’atome d’hydrogène en mécanique quantique

Les nombres quantiques n, l, m (ou ml) :

n : entier naturel non nul (nombre quantique principal)l : entier naturel : 0 ≤ l ≤ n-1 (nombre quantique secondaire)m : entier relatif : - l ≤ m ≤ + l (nombre quantique magnétique)

Pour l’hydrogène, l’énergie ne dépend que de n, et on a En = - 13,6n2 (eV) .

Pour les atomes polyélectroniques,on a vu que l’énergie dépendait de n et l.

Rappel :

Les orbitales atomiques

Les orbitales atomiques sont les solutions de l'équation de Schrödinger

Les orbitales atomiques

Les orbitales atomiques sont les solutions de l'équation de Schrödinger

Les orbitales atomiques (OA) dépendent de trois variables il est impossible de les représenter en deux dimensions nécessité d'effectuer des représentations en coupe

Les orbitales atomiques

Les orbitales atomiques sont les solutions de l'équation de Schrödinger

Les orbitales atomiques (OA) dépendent de trois variables il est impossible de les représenter en deux dimensions nécessité d'effectuer des représentations en coupe

(n,l,m) Nom

• n = 1 l = 0 m = 0 (1,0,0) 1s• n = 2 l = 0 m = 0 (2,0,0) 2s

l = 1 m = -1 (2,1,-1) 2p-1m = 0 (2,1,0) 2p0m = +1 (2,0,+1) 2p+1

Les orbitales atomiques

Les orbitales atomiques sont les solutions de l'équation de Schrödinger

Les orbitales atomiques (OA) dépendent de trois variables il est impossible de les représenter en deux dimensions nécessité d'effectuer des représentations en coupe

(n,l,m) Nom

• n = 1 l = 0 m = 0 (1,0,0) 1s• n = 2 l = 0 m = 0 (2,0,0) 2s

l = 1 m = -1 (2,1,-1) 2p-1m = 0 (2,1,0) 2p0m = +1 (2,0,+1) 2p+1

2p-1, 2p0 et 2p+1 sont des fonctions complexesPar combinaisons linéaires, on obtient trois OA réelles :{2px , 2py , 2pz}

Les orbitales atomiques

Les orbitales atomiques sont les solutions de l'équation de Schrödinger

Les orbitales atomiques (OA) dépendent de trois variables il est impossible de les représenter en deux dimensions nécessité d'effectuer des représentations en coupe

(n,l,m) Nom

• n = 1 l = 0 m = 0 (1,0,0) 1s• n = 2 l = 0 m = 0 (2,0,0) 2s

l = 1 m = -1 (2,1,-1) 2p-1m = 0 (2,1,0) 2p0m = +1 (2,0,+1) 2p+1

Les 5 orbitales de type d (n ≥ 3 ; l = 2 ; m = -2, -1, 0, +1, +2)subissent le même traitement, et sont notées sous les labelsdz2, dx2-y2, dxy, dyz et dxz

Expressions des orbitales (n = 1 et 2)

1 s

=

1

4 Π

2

a0

3

e x p -

r

a0

2 s

=

1

4 Π

1

8 a0

3

2 -

r

a0

e x p -

r

2 a0

2 p x

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ c o s ϕ

2 p y

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ s i n ϕ

2 p z

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

c o s θ

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Rn,l2 (r).r2

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Rn,l2 (r).r2

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Rn,l2 (r).r2

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr

Etude de la partie radiale

r + dr

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr est la probabilité

de présence de l’électron entre la sphère de rayon

r et r + dr

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Rn,l2 (r).r2

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr

dP

dτ= Ψ

2 densité de probabilitéde présence de l'électron

Etude de la partie radiale

Notion de densité de probabilité radiale

dP = ||2.d

2.dτ

espace

∫∫∫ =1

Rn,l2 (r).r2.dr

r= 0

∫ =1

||2 : densité de probabilitéde présence de l'électron

densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Rn,l2 (r).r2

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr

dP

dτ= Ψ

2 densité de probabilitéde présence de l'électron

dPr

dr= Rn,l

2 (r).r2densité de probabilitéde présence radialede l'électron

Etude de la partie radiale

r + dr

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr est la probabilité

de présence de l’électron entre la sphère de rayon

r et r + dr

La probabilité de présence radiale

de l’électron à ladistance r s’écrit :

t2.Rn,l2(t).dt

0

r∫

Etude de la partie radiale

r + dr

dPr = Rn,l2 (r).r2.dr est la probabilité

de présence de l’électron entre la sphère de rayon

r et r + dr

La probabilité de présence radiale

de l’électron à ladistance r s’écrit :

t2.Rn,l2(t).dt

0

r∫

Densités de probabilité radiale

n = 1

Densités de probabilité radiale

n = 2

Densités de probabilité radiale

n = 3

Etude de la partie radiale

Maximum pour la densité de probabilité radiale

dPr

dr= Rn,l

2 (r).r2

◊ n = 1 : r = a0

◊ n = 2 : r ≈ 5 a0

◊ n = 3 : r ≈ 11 a0

Etude de la partie radiale

Maximum pour la densité de probabilité radiale

dPr

dr= Rn,l

2 (r).r2

◊ n = 1 : r = a0

◊ n = 2 : r ≈ 5 a0

◊ n = 3 : r ≈ 11 a0

Définition : le rayon d'une fonction propre est le rayon demaximum de densité de probabilité de présence radiale

Etude de la partie radiale

Maximum pour la densité de probabilité radiale

dPr

dr= Rn,l

2 (r).r2

◊ n = 1 : r = a0

◊ n = 2 : r ≈ 5 a0

◊ n = 3 : r ≈ 11 a0

Définition : le rayon d'une fonction propre est le rayon demaximum de densité de probabilité de présence radiale

Le rayon d'une fonction propre◊ croît avec n◊ dépend peu de l

Plus les électrons sont sur une couche élevée, plus ils sont loins du noyau

Etude de la partie angulaie

La partie radiale R(r) de la fonction propre permettait de visualiser "l'extension" du nuage électronique.

La partie angulaire permet de donner une idée des directions priviligiées pour la densité électronique

• Yl, m ne dépend pas de n résultats trouvés valables pour tout n.

• Yl, m = Yl, m ( ,) nécessité de tracer des fonction en coupe.

Partie angulaire d’une orbitale s

1 s

=

1

4 Π

2

a0

3

e x p -

r

a0

2 s

=

1

4 Π

1

8 a0

3

2 -

r

a0

e x p -

r

2 a0

Partie angulaire d’une orbitale s

1 s

=

1

4 Π

2

a0

3

e x p -

r

a0

2 s

=

1

4 Π

1

8 a0

3

2 -

r

a0

e x p -

r

2 a0

Y0,0(θ,ϕ) = Ys(θ,ϕ) =1

2 Π

Partie angulaire d’une orbitale s

+ou encore

+

O

y

z

1 s

=

1

4 Π

2

a0

3

e x p -

r

a0

2 s

=

1

4 Π

1

8 a0

3

2 -

r

a0

e x p -

r

2 a0

Y0,0(θ,ϕ) = Ys(θ,ϕ) =1

2 Π

Partie angulaire d’une orbitale pz

2 p z

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

c o s θ

Partie angulaire d’une orbitale pz

2 p z

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

c o s θ

Ypz(θ,ϕ) =

3

4Πcosθ

Partie angulaire d’une orbitale pz

2 p z

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

c o s θ

Ypz(θ,ϕ) =

3

4Πcosθ

m : projeté orthogonal de M dans le plan [xOy] (plan équatorial)

Om = r.sin

x

z

y

ϕ

( , , )M x y z

r

= .x r sin .cos ϕ

= .y r sin .sin ϕ

= .z r cos

r ∈ [0, ∞ [

∈ [0, Π ] ( - )co latitude

ϕ ∈ [0, 2 Π ] ( )longitude

O

m

Partie angulaire d’une orbitale pz

z

+

-

z

y

O

ou encore

+

-

2 p z

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

c o s θ

Ypz(θ,ϕ) =

3

4Πcosθ

Partie angulaire d’une orbitale py

2 p y

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ s i n ϕ

Partie angulaire d’une orbitale py

2 p y

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ s i n ϕ

Ypy(θ,ϕ) =

3

4Πsinθsinϕ

Partie angulaire d’une orbitale py

2 p y

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ s i n ϕ

m : projeté orthogonal de M dans le plan [xOy] (plan équatorial)

Om = r.sin

x

z

y

ϕ

( , , )M x y z

r

= .x r sin .cos ϕ

= .y r sin .sin ϕ

= .z r cos

r ∈ [0, ∞ [

∈ [0, Π ] ( - )co latitude

ϕ ∈ [0, 2 Π ] ( )longitude

O

m

Ypy(θ,ϕ) =

3

4Πsinθsinϕ

Partie angulaire d’une orbitale py

2 p y

=

1

2 6 a0

3

r

a0

e x p -

r

2 a0

3

4 Π

s i n θ s i n ϕ

Ypy(θ,ϕ) =

3

4Πsinθsinϕ

Exemple : la partie angulaire de l'orbitale py

:

y

+

O

-

Les courbes d’isodensité électronique

Idée : avoir accès à l’allure de la densité électronique associée à chaque fonction d’onde

Les courbes d’isodensité électronique

Idée : avoir accès à l’allure de la densité électronique associée à chaque fonction d’onde

dP

dτ= Ψ

2 densité de probabilitéde présence de l'électron

Les courbes d’isodensité électronique

Idée : avoir accès à l’allure de la densité électronique associée à chaque fonction d’onde

dP

dτ= Ψ

2 densité de probabilitéde présence de l'électron

Définition : Les courbes d'isodensité électronique sont des surfaces pour lesquelles ||2 = k

Courbes d’isodensité électronique d’une orbitale pz

(Tracé sur MAPLE)

Les courbes d’isodensité électronique

z

-

+

z

partie angulaire courbes d’isodensité électronique

Les courbes d’isodensité électronique

z

-

+

z

partie angulaire courbes d’isodensité électronique

C'est la représentation des courbes d'isodensité qui donne la meilleure idée de l'extension spatiale de la densité électronique pour chaque orbitale

Représentation d’une orbitaleEn pratique, pour représenter une orbitale :

• On schématise la forme d'une courbe d'isodensité électronique.• On affecte aux lobes dessinés les signes de la partie angulaire correspondante :

◊ En indiquant explicitement le signe.◊ En grisant la partie positive et en laissant blanche la partie négative.◊ En hachurant la partie positive et en laissant blanche la partie négative.

Représentation d’une orbitale

z

-

+

z

z

y

x

En pratique, pour représenter une orbitale :

• On schématise la forme d'une courbe d'isodensité électronique.• On affecte aux lobes dessinés les signes de la partie angulaire correspondante :

◊ En indiquant explicitement le signe.◊ En grisant la partie positive et en laissant blanche la partie négative.◊ En hachurant la partie positive et en laissant blanche la partie négative.

Représentation d’une orbitale s

orbitale s

x

y

z

Représentation d’une orbitale s

x

y

z

Partie angulaire d’une orbitale de type s (Tracé sur MAPLE)

Représentation des orbitales p

orbitale pz

orbitale py

orbitale px

x

y

z

x

y

z

x

y

z

Représentation des orbitales p

x

y

z

Partie angulaire d’une orbitale de type pz

(Tracé sur MAPLE)

Représentation des orbitales d

Les orbitales dxy

ont des

amplitudes maximales le long

des bissectrices des avex x et

y. Elles sont positives lorsque

x et y sont de même signe,

négatives sinon :

orbitale dxy

x

y

x

y

z

Représentation des orbitales d

Partie angulaire d’une orbitale de type dxy

(Tracé sur MAPLE)

Représentation des orbitales d

Les orbitales dxz

et dy z

présentent des propriétés

analogues :

z

y

orbitale dyz

z

x

orbitale dxz

Représentation des orbitales d

Les orbitales dx

2-y

2 se

déduisent de l’orbitale dxy

par

simple rotation de 45° (lobe

positif selon x, lobe négatif

selon y) :

y

x

orbitale dx

2

-y

2

x

y

z

Représentation des orbitales d

Partie angulaire d’une orbitale de type dx 2-y 2

(Tracé sur MAPLE)

Représentation des orbitales d

Les orbitales dz

2 ont une

forme nettement différente de

celles des autres : un lobe

positif le long de l’axe des z,

et comme un disque négatif

symétrique par rapport au

plan xOy :

orbitale dz

2

x

y

z

x

y

zReprésentation des orbitales d

Partie angulaire d’une orbitale de type dz 2

(Tracé sur MAPLE)

Représentation des orbitales d

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