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7/22/2019 Enqute sur les publics_dossier presse_partenaires
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enqute nationale
sur les publicsdes orchestres
Des enqutes localesau service duneanalyse nationale
E N Q U T E C O O R D O N N E P A R L A F O
A S S O C I A T I O NF R A N A I S E D E SO R C H E S T R E SA F O
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avec les orchestres
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UNE ENQUTE RALISE DANSLE CADRE DUNE COMMANDEDE LAFO LAGENCE ARISTAT
Des partenaires reprsentatifs de la vie orchestrale
en France: 13 orchestres, le groupe Pleyel / Cit
de la musique.
UN DISPOSITIF STATISTIQUE SOLIDE ;UNE ENQUTE QUANTITATIVEET QUALITATIVE :
>26 000 questionnairescollects au plan national
Soit 2 000 questionnaires / orchestre
>130 entretiensindividuels avec des spectateurs
Soit 10 entretiens / orchestre
la premire enqutenationale sur les publics
des orchestres
DES SYNTHSES NATIONALESET LOCALES :
>1 tude nationalesur le public des orchestres.
>13 monographies dorchestresur leurs publics
AGENDA
Phase prparatoire: 1er semestre 2013 ;Campagne de questionnaires : saison 2013/14
Campagne dentretiens : 2me semestre 2014 ;
Rapport final: 2me trimestre 2015
BUDGET180 000 HT
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Si la sociologie franaise de la culture occupe une place historique et particulirement importante,
les recherches spcifiques au public de la musique classique instrumentale sont rares et aucune
enqute nationale denvergure portant sur lactivit des orchestres symphoniques et leurs effets sur le
public nexiste encore. Or cette lacune interdit de caractriser scientifiquement le public de lorchestre
dont limage repose encore trop sur des ides reues, qui peuvent influer sur les politiques publiques
de la culture et les jugements des mdias.
Parce que les membres de lAssociation Franaise des Orchestres sappuient sur un modle de finance-
ment public des Villes, de lEtat et des rgions plus rarement des dpartements ils inscrivent leur
action dans le cadre de missions dintrt gnral, considrablement largies dans la dernire dcennie.
Ces missions ont modifi le positionnement des orchestres sur leur territoire dimplantation : ils sont
des acteurs solidaires de son devenir, de ses populations, et tissent des liens troits avec dautres
secteurs transversaux comme ceux du social ou de lconomie.
Cette situation va de pair avec un questionnement plus diffus sur la place de la culture lgitime
dans nos socits modernes, illustr notamment depuis les annes quatre-vingt par un largissement
des domaines artistiques et culturels soutenus par le ministre de la Culture.
De mme, le poids dominant dune culture de limage interroge des institutions dont la fonction
premire est de donner entendre sans prendre appui sur des lments illustratifs ou spectaculaires.
Ds lors, la relation des orchestres leur public, prsent comme venir, constitue un enjeu majeur pourtout projet de dveloppement culturel et il est essentiel aujourdhui de sinterroger sur la nature du
public de la musique classique et son renouvellement.
La composition sociale du publicest un sujet dinterrogation compte-tenu de linjonction dlargissement
et de diversification du public qui rsulte du financement public. Les reprsentations sociales, relayes
par les medias, brossent a priori le portrait dun public constitu de classes sociales suprieures et
inities. Elles renforcent de ce fait les phnomnes dintimidation culturelle qui peuvent effaroucher de
nouveaux publics. Ds lors, elles sont clairement un handicap pour les orchestres, souvent davantage
auprs des pouvoirs publics que des mcnes privs.
Or les tudes sociologiques pointent les modifications des comportements culturels marqus depuis
la fin des annes quatre-vingt par un clectisme des pratiques culturelles qui relativise les corrlationsavec les catgories sociales et professionnelles. Par ailleurs, la grande diversit des missions des orchestres
et de leur contexte local a trs probablement des rpercussions sur la composition du public.
problmatiquesde lenqute
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La moyenne dge du publicmrite une analyse approfondie et base sur des donnes scientifiques
pour vrifier si elle rvle un problme de vieillissement dun public qui peinerait se renouveler,
ou si elle est lune des caractristiques intrinsque de ce public.
Les motivations du public doivent tre mieux comprises. Les institutions que sont la famille et lcole
sont concurrences dans leur rle traditionnel de prescripteur des pratiques culturelles, et la transmis-
sion intergnrationnelle de la culture classique sen trouve affecte. Quels sont, en 2013, les chemine-
mentsquempruntent les spectateurs qui prennent place dans les salles de concerts ? Quels sont les
critres principaux constitutifs du gotdu mlomane pour la musique instrumentale ?
Enfin, il convient de rappeler que les chiffres de frquentation et les taux de remplissage des orchestres 1
savrent globalement trs satisfaisants et tmoignent dune demande sociale bien tablie, que
connaissent galement les conservatoires de musique.
Cette contextualisation nest pas exhaustive, mais elle explique que lAssociation Franaise des Orchestres
pense indispensable aujourdhui de disposer des lments permettant une connaissance plus fine
des publics des manifestations organises par ses orchestres membres.
Cette connaissance doit permettre de dpasser les reprsentations courantes des caractristiques
des publics et de leurs motivations, ce jour insuffisamment fondes.
Cette enqute dambition nationale, vise devenir la rfrence en matire de connaissance des publics
des orchestres.
1tude 2012 AFO/SYNOLYR/DGCA Enqute sur les activitset le fonctionnement des orchestres musiciens permanentsfinancs par le ministre de la Culture.
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LENQUTE POURSUIT QUATRE ENJEUX PRINCIPAUX :
1.Permettre de cerner la diversit des profils socio-dmographiques des publicsassistant aux concerts
symphoniques en France et de quantifier et caractriser les diffrentes catgories composant ces
publics ;
2.Etudier les motivationspoussant ces publics faire la dmarche dacheter leurs places et venir assis-
ter ces concerts : mode de socialisation cette pratique, description dtaille des modalits de cettepratique, des parcours et des gots, perceptions de lvnement concert et de son originalit au sein
des autres offres culturelles et loisirs ;
3.Dcrire les liens existant entre cette exprience particulire de la musique et les possibilits offertes
par les outils numriques.
4.Permettre chaque orchestre participant de dfinir un module spcifique de questions variables,
adaptes ses problmatiques propres et qui donneront lieu des restitutions personnalises.
UNE ANALYSE NATIONALE SAPPUYANT SUR DES ENQUTES LOCALESLes analyses sont effectues sur un plan national. En parallle, chaque orchestre participant lenqute
bnficie dun retour personnalis sur les caractristiques de son propre public, intgrant les problma-
tiques spcifiques qui ont t dtermines avec eux.
objectifsde lenqute
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LE DISPOSITIF DENQUTE
Lagence Aristat met en oeuvre deux approches
complmentaires :
1.Une enqute quantitative nationaleauprs des
publics des orchestres.
Objectif : 2000 questionnaires collects par or-
chestre, soit environ 26 000 questionnaires pour 13orchestres.
2.Une campagne dentretiens qualitatifspour
approfondir les constats tablis partir des don-
nes statistiques sur les publics.
Objectif : 10 entretiens par orchestre, soit 130
entretiens.
mthodologie
ORGANISATION DE LENQUTE
CHAMPLenqute porte sur les publics des orchestres. Cette
population est aborde au travers des publics
assistant aux concerts donns par les treize or-
chestres rpartis sur lensemble du territoire
franais mtropolitain.
Pour chaque orchestre, Aristat slectionne diff-
rents concerts reprsentatifs de lactivit artistique
et du contexte de lorchestre, et rparti de faon
quilibre tout au long de la priode denqute, en
loccurrence la totalit de la saison 2013/14.
Cette slection se concentre sur les vnements
mettant en avant les orchestres comme interprte
principal ( concerts instrumentaux, cross over2). La
musique instrumentale est le champ privilgi de
lenqute. Lactivit lyrique des orchestres nentrepas dans le champ de ltude.
Ce sont les publics de ces vnements qui seront
enquts dans le cadre de cette campagne natio-
nale pour ltude des publics des orchestres sym-
phoniques. Lenqute porte exclusivement sur les
publics de plus de 18 ans qui ont fait la dmarche
volontaire de se rendre au concert. Elle exclue donc
les publics captifs (concerts scolaires, etc.).
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MTHODOLOGIE DE LENQUTEQUANTITATIVE
Afin de minimiser le drangement occasionn aux
spectateurs loccasion du concert, ladministration
du questionnaire est diffre dans le temps. Le soir
du concert, les spectateurs ne sont sollicits que
pour donner leurs coordonnes sils sont volon-
taires pour participer lenqute.
COLLECTE DES BULLETINS DE PAR-TICIPATIONDes campagnes de collectes de coordonnes de
spectateurs sont organises lors des concerts
slectionns. (cf. encart). Leur succs repose sur
une bonne coopration du personnel daccueil de la
salle et de lquipe de lorchestre.
Au terme de chaque collecte, lorchestre transmet
Aristat les coordonnes des spectateurs qui se sontports volontaires pour participer lenqute.
ADMINISTRATION DU QUESTION-NAIRELes questionnaires sont administrs soit par email,
soit par tlphone. Dans les 15 jours suivants
chaque concert, Aristat se charge :
De contacter par email les personnes ayant
laiss leur adresse lectronique pour leur trans-mettre le lien leur permettant de rpondre sur
Internet (en cas de non rponse, 2 relances pr-
vues) ;
Dappeler les personnes nayant laiss quun
numro de tlphone pour passer le questionnaire
avec un enquteur.
Lagence Aristat se charge ainsi de collecter les
rponses recueillies par mail et par tlphone dans
une base de donnes harmonise.
Le questionnaire est organis en cinq chapitres:
A propos de la reprsentation laquelle vous
avez assist
Frquence des sorties au concert
Description de lexprience concert
Pour mieux vous connatre
Bloc de questions spcifiques chaque or-
chestre
Il ne prend pas plus de dix minutes remplir.
2A lexclusion donc des vnements impliquant des sous-ensemblesde lorchestre (musique de chambre, vnements scolaires) ou la disposition dautres interprtes (musique de fosse).
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RECRUTEMENT DES SPECTATEURS :- Un bulletin de participation, dont la distribution
relve de la responsabilit de chaque orchestre, est
remis chaque spectateur avec son billet et le
programme du concert. Ce bulletin explique la
dmarche et les modalits de lenqute et permet
aux personnes intresses de transmettre lor-
chestre leur contact email et/ou tlphonique ;
- Les personnes qui acceptent de participer d-
posent le bulletin rempli dans des urnes disposes
la sortie du concert, prs des guichets et des points
de restauration. Aristat se charge de fournir
chaque orchestre le matriel ncessaire pour la
mise en place dun reprage efficace de ces points
de collecte (urnes, affiches sur pied grand format
type Roll-up ) ;
- Ce bulletin de participation permet galement au
public, pour certains orchestres, de gagner des
places de concerts grce un jeu-concours orga-
nis par lAFO et Aristat.
A S S O C I A T I O N
F R A N A I S E D E SO R C H E S T R E SAFO
ENQUTE COORDONNE PAR L AFO
Votre orchestresouhaite mieux vousconnatre !Remplissez ce bulletinpour participer lenqute nationale.
enqute nationalesur les publicsdes orchestres
enqute nationalesur les publics des orchestresLAuditorium-Orchestre national de Lyon souhaite mieux vous connaitre !
quels sont vos gots, vos attentes ?aimez-vous aussi lopra ?le thtre ? tes-vous venusentre amis ou en famille ?
Comment participer?(enqute auprs du public de plus de 18 ans)Remplissez ce bulletin et remettez-le au personnel daccueil la sortie du concert.Vous serez contact(e) dans les prochains jours: soit par email pour remplirle questionnaire directement sur internet, soit par tlphone aux momentsque vous aurez indiqus. Rpondre ne vous prendra que 10mn.Ce bulletin vaut participation notre jeu-concours: gagnez des places de concerts !
Merci dcrire en majuscules pour plus de lisibilit :
Prnom: ...................................................... ........ Nom: ........................................................ ..........
Email: ...................................................................................................................................................
Tlphone: .........................................................
Si tlphone, indiquez vos prfrences pour que nos enquteurs vous contactent:
en semaine le samedi le dimanche en journe le soir, jusqu .............
Cochez cette case si vous souhaitez que vos coordonnes soient transmises lorchestre pour vous tenir inform(e) par email de sa programmation.
Enqute ralise par lAgence Aristat et coordonne par lAssociation Franaise des Orchestres avec:Orchestre de Paris& Salle Pleyel/ LAuditorium-Orchestre national de Lyon/ Orchestre dAuvergne/Orchestre National Bordeaux Aquitaine/ Orchestre de chambre de Paris/ Orchestre National du Capitolede Toulouse / Orchestre national dle-de-France/ Orchestre National des Pays de la Loire/ Orchestrephilharmonique de Strasbourg/ Orchestre de lOpra de Rouen Haute-Normandie/ Opra Thtre deSaint-tienne/ Orchestre des Pays de Savoie/ Orchestre national de Lorraine
Conditions de lenqute: Les informations transmises ici servirontexclusivement vous contacter et ne seront ni utilises dans lenqute,ni conserves. Vous disposez dun droit daccs, de modification,de rectification et de suppression des donnes qui vous concernent(loi CNIL du 6 janvier 1978).La participation lenqute vaut acceptation du rglementdu jeu concours consultable sur www.france-orchestres.com/jeuwww.france-orchestres.com
A S S O C I A T I O N
F R A N A I S E D E S
O R C H E S T R E S
AF O
Exemple de bulletin de participation
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ENQUTE QUALITATIVE :CAMPAGNE DENTRETIENS AUPRSDES PUBLICS DES ORCHESTRESSYMPHONIQUES
Lenqute statistique a pour but de mieux prciser
les caractristiques des publics assistant auxconcerts symphoniques. Des profil-types en sont
extraits lissue de lexploitation des donnes.
Tirant profit de la richesse des informations collec-
tes loccasion de lenqute, ces donnes per-
mettent dorienter ltude sur une varit de profils
de spectateurs.
Ces informations viennent alimenter la campagne
dentretiens organise par Aristat auprs des
publics. Pour chaque orchestre, dix entretiens
approfondis seront raliss avec des personnes
ayant assist un concert au moins au cours de lasaison en cours (contacts via lenqute Internet).
Lchantillon final comprendra 130 entretiens. Ces
entretiens sont semi-dirigs et visent approfondir
les hypothses en termes de parcours et dhabi-
tudes culturelles.
MODULE MTHODOLOGIQUEDE CONSOLIDATIONDE LCHANTILLON RPONDANT
Lune des difficults majeure de ces campagnes est
dassurer la reprsentativit de lchantillon de
rpondants.
Lagence Aristat propose un module mthodolo-gique complmentaire permettant dobserver ce
phnomne et den corriger les effets ventuels.
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PARIS ET LE DE FRANCE
1.Orchestre de Paris / Salle Pleyel
2.Orchestre national dle-de-France
3.Orchestre de chambre de Paris
EN RGION
4.Orchestre national des Pays de la Loire
5.Orchestre National Bordeaux Aquitaine
6.Orchestre philharmonique de Strasbourg
7.Orchestre national de Lorraine
8.Orchestre des Pays de Savoie
9.Orchestre national de Lyon10.Orchestre symphonique de Saint-Etienne Loire
11.Orchestre de LOpra de Rouen / Haute-Norman-
die
12.Orchestre national du Capitole de Toulouse
13.Orchestre dAuvergne
les orchestres partenaires
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2013 2014 2015
1ersemestre
Septembre- Dcembre
1ertrim. Juillet-Aot 3 etrim. 4e trim. 1 ertrim 2 etrim.
DispositifQuantitatif
Campagne de questionnaires3
Exploi-tation etrsultatsfinaux
DispositifQualitatif
Conven-tion &
prparationcampagne
quest.
Prparationcampagne
dentre-tiens
Campagne dentretiens
Exploi-tation etrsultatsfinaux
Livrables
Question-naire & res-sources decampagne4
Rapportstatistiqueinterm-
diaire
Rapportdentre-
tiens inter-mdiaire
Rapportfinal
calendrier
3Un tableau de bord mensuel rendra compte de lavancementde la collecte.4Questionnaire tronc commun + questionnaires spcifiques chaque orchestre ; guide denqute destination des personnelsdes orchestres et des salles ; matriel pour la collecte des feuilles contact .
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ARISTAT, est une institution innovante et indpendante cre en 2010 par un sociologue et un statisti-
cien issus des milieux universitaires et de la recherche. Lquipe se compose dun noyau dur de 5
permanents et travaille en collaboration troite avec un rseau de spcialistes en sciences humaines et
sociales (universitaires, chercheurs, experts de lINSEE), experts (consultants en organisation du travail)
et enquteurs.
Depuis deux ans, notre bureau dtudes mne un travail danalyse et de rflexion sur les politiques
publiques et politiques sociales en ralisant des enqutes qualitative et quantitative pour le compte de
diffrentes institutions : ministres, administrations, collectivits territoriales, entreprises et associations.
A ce titre ARISTAT a ralis au cours des dernires annes divers diagnostics sociaux et territoriaux (ex :
ANRU, mairie de Paris), valuations de politiques publiques (ex : CNAF, Ministre de la Culture), et
missions daide la dcision (ex : CNFPT, Plaine Commune). Dans le mme temps, ARISTAT a dvelopp
des liens forts de partenariats oprationnels avec des cabinets dexpertise comme TECHNOLOGIA (20
ans danciennet, CA de 12 millions deuro), ELEAS (Groupe Trilog, 10 ans danciennet, CA de 2 million
deuro) ou encore ALTER ALLIANCE (3 ans danciennet, CA de 800 000 euro).
Soucieux de mener un vritable travail de Recherche-Action , notre originalit rside dans une d-
marche rsolument innovante, recourant intensivement aux connaissances et aux mthodologies les
plus rcentes dveloppes en sciences sociales. Cette proximit entretenue avec linnovation scienti-
fique nous permet de fournir nos clients un travail dtude de haut niveau. Le bureau dtude mneainsi conjointement une activit scientifique en sociologie (liens avec les milieux universitaires tels que
lEHESS, lEcole Normale Suprieure, et des laboratoires de recherche tels que le LSQ [INSEE], le CSE
[CNRS] et le LabUrba [UPEC Universit Paris Est]) qui nous permet de bnficier dune connaissance
thorique fine des sujets que nous traitons et enrichit les analyses que nous ralisons. Dans le mme
temps, nous portons une attention aigu ce que nos analyses soient pragmatiques et fondes sur des
mthodes permettant de donner une vise oprationnelle lensemble des tudes que nous menons,
afin que celles-ci puissent servir laction et sintgrer dans la programmation des politiques publique
sur lesquelles nous travaillons.
Le travail dAristat promeut lide que la production de diagnostics objectifs et de solutions pragma-
tiques doit reposer sur une dmarche scientifique et transparente. Cette articulation est la condition
dun conseil efficace, et est recherche par les dcideurs publics comme privs.Aristat www.aristat.fr
prsentation daristat
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LES FONDATEURS
Xavier ZUNIGOest co-directeur dARISTAT. Docteur en sociologie (EHESS/ENS), spcialiste de lvalua-
tion quantitative et qualitative des politiques publiques, sa thse a port en particulier sur les politiques
publiques de gestion du chmage des jeunes de milieux populaires et lvaluation du travail institution-
nel dans les institutions dinsertion. Il a depuis largi ses champs dintervention en dirigeant de nom-
breux diagnostics sur les politiques sociales, culturelles et les politiques urbaines.
Loup WOLFFest co-directeur dAristat. Administrateur de lINSEE (o il a notamment eu la responsabilitde lEnqute Emploi), il est actuellement rattach au Centre dEtudes de lEmploi et membre du Labora-
toire de Sociologie Quantitative au Centre de Recherche en Economie et Statistiques. Ses domaines
de recherche couvrent les liens entre sant et travail, en lien avec les trajectoires demploi et de vieillis-
sement au travail. Spcialiste des mthodologies statistiques appliques aux enqutes, il a en charge
la supervision et la ralisation des mthodes quantitatives au sein dAristat.
Les fondateurs dAristat partagent une mme passion pour la musique classique, en particulier pour
la musique symphonique et ont donc particulirement coeur de pouvoir mettre leur savoir-faire
au service de ces formations. Loup Wolff est altiste et membre du conseil dadministration dans une
formation symphonique amateur (orchestre Ut Cinquime), qui fte cette anne ses vingt ans dexis-
tence et milite depuis ses dbuts pour le partage avec le plus grand nombre des trsors de notre
patrimoine musical.
LQUIPE DE RECHERCHE
Amandine MATHIVETest sociologue de formation (Master 2 de sciences sociales lUniversit de
Limoges). Elle a men des recherches universitaires sur les travailleurs sociaux et linsertion des jeunes.
Dsormais charge dtudes ARISTAT, elle a largi ses champs dinterventions lvaluation des
politiques culturelles, sociales, ducatives et familiales.
Paul GAUDRICest responsable du ple tudes dARISTAT. Politiste de formation, titulaire du Master 2 de
sciences sociales de lEcole Normale Suprieure et dun master 2 durbanisme lInstitut dUrbanisme
de Paris, il a t collaborateur dlus la commission des affaires sociales du Snat avant de travailler
dans divers bureaux dtudes et organismes publics dvaluation (Comit dvaluation de lANRU, Crdoc,etc.). Il mne dsormais au sein dARISTAT des tudes dvaluation de politiques publiques et des dia-
gnostics sociaux et territoriaux pour le compte de diffrentes institutions publiques.
Fabien GUILLEMINETest ingnieur statisticien. Il dtient un Master 2 en ingnierie quantitative de
lUniversit de Cergy Pontoise. Il est charg deffectuer des analyses statistiques sur les diffrentes
tudes, diagnostics et valuations menes par Aristat. Il travaille galement sur le dveloppement
dtudes exploratoires sur les domaines des conditions de vie et de la sant au travail.
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ARISTAT
64 bis rue Dulong
75017 Paris
Tl : 01 42 27 08 61
AFO
ASSOCIATION FRANAISEDES ORCHESTRES24, rue Philippe de Girard
75010 Paris
Tl : 01 42 80 26 27
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