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Formation à Pontonx-sur-Adour, le 28 novembre 2007
Les MACLÉ (Modules d’Approfondissement
des Compétences en Lecture-Écriture), un dispositif pour favoriser
la réussite en lecture :
• Pourquoi ? • Comment ?
André OUZOULIAS, professeur (psychopédagogie) à l’IUFM de Versailles (Université de Cergy-Pontoise)
Deux objectifs aujourd’hui :
Deux objectifs aujourd’hui :
a) Présentation du dispositif
Deux objectifs aujourd’hui :
a) Présentation du dispositif
b) Aborder de façon approfondieles questions du diagnostic, de la prévention et de la remédiation
Les MACLÉ : qu’est-ce que c’est ?
un décloisonnement concentrédans le temps (trois semaines) …
mobilisant le maximum d’enseignants …
et visant prioritairement à « booster » les élèves les moins expérimentés.
Les MACLÉ :pourquoi ?
Trois réflexions initiales :
1. En fin de cycle 2, des besoins d’apprentissage très différents
2. Pour 20 à 40 % des élèves : un risque de marginalisation
3. Apprentissage « distribué » ou « massé » ?
Les MACLÉ : pourquoi ?
1. En fin de cycle 2, une évaluation diagnostique
adossée à un cadre théorique issu de la psychologie cognitive :
La lecture met en jeu deux grandes sortes de compétences
a) Celles qui favorisent l’accès au contenu sémantique des textes (construire le sens des textes)
b) Celles qui favorisent l’accès au contenu linguistique des textes (reconnaître les mots écrits et les organiser en unités de sens)
Les MACLÉ : pourquoi ?
Mistigri, prudemment, s’approchait du bol de lait encore fumant…
Les MACLÉ : pourquoi ?
Exemple de difficulté dans les traitements sémantiques :
Du problème d’une déduction des jugements de goût.
Le concept d’un objet en général peut être immédiatement lié en vue d’un jugement de connaissance à la perception d’un objet, qui en contient les prédicats empiriques et ainsi un jugement d’expérience peut être produit. Afin que ce jugement soit pensé comme détermination d’un objet, des concepts a priori de l’unité synthétique du divers de l’intuition se trouvent à son fondement ; et ces concepts (les catégories) exigent une déduction, qui a été aussi donnée dans la “ Critique de la raison pure ” et grâce à laquelle pouvait être résolue la question : comment des jugements de connaissance synthétiques a priori sont-ils possibles ? Cette question concernait ainsi les principes a priori de l’entendement pur et ses jugements théoriques.
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
b) problème du « mot inconnu »
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
b) problème du « mot inconnu »
c) gestion des substituts
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
b) problème du « mot inconnu »
c) gestion des substituts
d) connaissance des personnages et repérage dans le dialogue
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
b) problème du « mot inconnu »
c) gestion des substituts
d) connaissance des personnages et repérage dans le dialogue
e) représentation des lieux
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements sémantiques mettent en jeu, principalement,
trois grands champs de compétences
1) Connaissances lexicales
2) Connaissances encyclopédiques
3) Compétences stratégiques
a) adaptation de la posture de lecture aux supports (journal, BD, notice, documentaire, roman, poème, …) et aux genres de textes
b) problème du « mot inconnu »
c) gestion des substituts
d) connaissance des personnages et repérage dans le dialogue
e) représentation des lieux
f) gestion de la chronologie des événements
Les MACLÉ : pourquoi ?
Exemple de difficulté dans les traitements linguistiques :
""''
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
3) La reconnaissance de syllabes fréquentes
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
3) La reconnaissance de syllabes fréquentes
4) L’usage des analogies orthographiques
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
3) La reconnaissance de syllabes fréquentes
4) L’usage des analogies orthographiques
5) Les connaissances sur la morphologie lexicale
Les MACLÉ : pourquoi ?
dégrimpement
anticollage
recoupoir
coallaiteraient
immoussibles
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
3) La reconnaissance de syllabes fréquentes
4) L’usage des analogies orthographiques
5) Les connaissances sur la morphologie lexicale
6) La mémoire orthographique
Les MACLÉ : pourquoi ?
Leu klyan pri une bêl émrôd dan sa min é, passiaman, l’opsêrva d’in euil ki parêssê seului d’in ékspêr.
Les MACLÉ : pourquoi ?
– « Scie tue bûche toux lait jour six tares, thon fisse nœud verrat plu ça maire … »
Les MACLÉ : pourquoi ?
Favoriser l’appropriation de stratégies de mémorisation :
- épellation ;
- analogies ;
- syllabes ;
- morphologie et étymologie ;
- moyens mnémotechniques ;
- visualisation mentale.
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
1) Les lettres
2) Les conversions graphèmes-phonèmes (CGP) et les compétences liées aux CGP
3) La reconnaissance de syllabes fréquentes
4) L’usage des analogies orthographiques
5) Les connaissances sur la morphologie lexicale
6) La mémoire orthographique
7) Les connaissances sur la nature grammaticale des mots et sur la morphosyntaxe
…
et…
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
… et
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
… et
8) L’usage des marques de ponctuation
Les MACLÉ : pourquoi ?
Les traitements linguistiques mettent en jeu
des connaissances et compétences diverses, principalement :
… et
8) L’usage des marques de ponctuation
9) La lecture par groupes de mots
Les MACLÉ : pourquoi ?
Un grand cheval blanc galopait le long de la rivière. Soudain, on entendit trois coups de feu…
Les MACLÉ : pourquoi ?
Un grand cheval blanc galopaitle long de la rivière. Soudain,on entendit trois coups de feu…
Les MACLÉ : pourquoi ?
Un grand cheval blanc galopaitle long de la rivière. Soudain,on entendit trois coups de feu…
En fin de cycle 2, des besoins d’apprentissage très différents :
Les MACLÉ : pourquoi ?
En fin de cycle 2, des besoins d’apprentissage très différents :
Les MACLÉ : pourquoi ?
2. Pour 20 à 40 % des élèves : un risque de marginalisation
Au cycle 2, on apprend à lire
Au cycle 3, on lit pour apprendre
Que peut-il se passer au cycle 3 pour les élèves
qui n’ont pas achevé les apprentissages de base du cycle 2 ?
Les MACLÉ : pourquoi ?
3. Apprentissage « distribué » ou apprentissage « massé » ?
7 fois 1, 7
7 fois 2, 14
7 fois 3, 21
7 fois 4, 28
7 fois 5, 35
7 fois 6, 42
7 fois 7, 49
7 fois 8, 56
7 fois 9, 63
7 fois 10, 70
Table de 7
Les MACLÉ : pourquoi ?
3. Apprentissage « distribué » ou apprentissage « massé » ?
Les MACLÉ : pourquoi ?
Une idée dont l’intérêt ne se limite pas au champ de la lecture.
3. Apprentissage « distribué » ou apprentissage « massé » ?
Les MACLÉ : pourquoi ?
Une idée dont l’intérêt ne se limite pas au champ de la lecture.
Exemple : les MACLO où L.O. = Langue Orale
1. Un exemple de MACLÉ à Sarcelles (CE2)
2. Quelles activités dans un Maclé ?
3. D’autres MACLÉ ailleurs et à d’autres niveaux (GS, CP, CE1, 6e)
4. Les conditions de la réussite
Les MACLÉ :comment ?
1. Un exemple de MACLÉ à Sarcelles (CE2) :
• Une organisation décloisonnée toutes les matinées pendant trois semaines
Lundi Mardi Jeudi Vendredi Lundi Mardi Jeudi Vendredi
Matin Maclé Maclé Maclé Maclé Maclé Maclé Maclé Maclé
Après-midi
Les MACLÉ : comment ?
1. Un exemple de MACLÉ à Sarcelles (CE2) :
• Une mobilisation massive : - les 3 enseignants des 3 CE2- le maître E ; en alternance le maître G et le Psy- les deux maîtres « mission REP »- le directeur déchargé, à certains moments- et les 2 assistants d’éducation
• Une répartition des élèves en deux sortes de groupesa) les groupes de besoin (1 h et demie)b) les groupes de projet (1 h)
Les MACLÉ : comment ?
1. Un exemple de MACLÉ à Sarcelles (CE2)
Une évaluation et de bonnes surprises
Les MACLÉ : comment ?
Résultats des 62 élèves de CE2 de l’école Henri Dunant (de A1 à S3)aux ˇvaluations nationales en fran¨ais dˇbut octobre 1999 et dˇ but janvier 2000
Oct. 1999 Janv. 2000 Oct.1999 Janv. 2000 Oct. 1999 Janv. 2000Cl. 1 SR1 SR2 SR1 SR2 Cl. 2 SR1 SR2 SR1 SR2 Cl. 3 SR1 SR2 SR1 SR2A1 67,0 87,5 74,7 87,5 A2 42,9 62,5 70,3 83,3 A3 58,2 79,2 79,1 100B1 70,3 87,5 79,1 87,5 B2 33,9 30,0 62,6 87,5 B3 53,8 62,5 71,4 83,3C1 37,4 58,3 77,8 83,3 C2 63,6 79,2 79,1 87,5 C3 61,5 79,2 68,1 87,5D1 58,2 79,2 83,3 83,3 D2 47,3 62,5 72,5 87,5 D3 24,2 16,7 63,7 79,2E1 70,3 79,2 76,9 75,0 E2 50,5 62,5 70,3 83,3 E3 18,7 29,2 56,3 75,0F1 48,4 70,8 57,1 66,7 F2 87,9 91,7 98,9 100 F3 37,4 70,8 67,0 83,3G1 37,4 50,0 57,1 66,7 G2 27,5 50,0 69,2 83,3 G3 18,7 20,8 50,5 70,8H1 24,2 20,8 65,9 75,0 H2 70,3 87,5 94,5 100 H3 61,5 79,2 80,2 83,3I1 56,0 70,8 67,0 58,3 I2 51,6 62,5 68,1 91,7 I3 54,9 66,7 76,9 91,7J1 86,8 87,5 89,0 87,5 J2 44,0 54,2 56,0 66,7 J3 52,7 62,5 72,5 75,0K1 54,9 79,2 85,7 87,5 K2 40,7 50,0 67,2 87,5 K3 24,2 33,3 46,2 50,0L1 49,5 79,2 70,3 79,2 L2 17,6 12,5 53,8 62,5 L3 62,6 70,8 83,5 95,8M1 80,2 75,0 96,7 91,7 M2 39,6 45,8 78,0 95,8 M3 71,4 79,2 86,8 87,5N1 52,7 66,7 69,2 70,8 N2 56,0 79,2 70,3 83,3 N3 61,5 87,5 89,0 91,7O1 39,6 45,8 57,1 66,7 O2 68,1 83,3 81,3 91,7 O3 37,4 58,3 59,3 91,7P1 74,7 87,5 87,9 95,8 P2 27,5 29,2 41,8 70,8 P3 17,6 25,0 48,4 66,7Q1 72,5 79,2 83,5 95,8 Q2 75,8 75,0 94,5 95,8 Q3 34,1 54,2 52,7 79,2R1 63,7 62,5 74,7 75,0 R2 59,3 87,5 78,0 95,8 R3 72,5 91,7 83,5 79,2S1 39,6 54,2 59,3 62,5 S2 80,2 91,7 98,9 100 S3 33,5 45,8 44,0 58,3T1 62,6 79,2 68,1 66,7 T2 73,6 91,7 94,5 95,8U1 84,6 100 97,8 100 U2 42,9 66,7 82,4 100
V2 38,5 50,0 54,9 62,5Moy. 58,6 71,4 75,2 79,2 51,8 63,9 74,4 86,9 45,1 58,6 67,3 80,5
SR1Ź: score global de rˇussite en % (calculˇ sur lÕensemble des 91 items de fran¨ ais).SR2Ź: score de rˇussite en % aux seuls items considˇ rˇs comme reprˇsentatifs des compˇtences de base.Moy.: score de rˇussite moyen de la classe.Chaque ̌ l¸ve est dˇnommˇ ici par une lettre suivie du numˇro de sa classe.
Répartition des valeurs des scores de réussite globale (SR1) Sarcelles octobre 1999 comparée à France rentrée 1999
0,0%
6,7%
8,3%
16,1%
11,3%
19,4%
14,3%
16,1%
8,1%
0,0%0,0% 0,4%1,7%
4,3%
9,1%
15,2%
23,2%23,9%
17,3%
4,8%
0,0%
5,0%
10,0%
15,0%
20,0%
25,0%
30,0%
<10 <20 <30 <40 <50 <60 <70 <80 <90 <100
Sarcelles octobre 1999
France rentrée 1999
Répartition des valeurs des scores de réussite globale (SR1) Sarcelles janvier 2000 comparée à France rentrée 1999
0,0% 0,0% 0,0% 0,0%
6,5%
17,7% 17,7%
27,4%
19,4%
11,3%
0,0% 0,4%1,7%
4,3%
9,1%
15,2%
23,2%23,9%
17,3%
4,8%
0,0%
5,0%
10,0%
15,0%
20,0%
25,0%
30,0%
<10 <20 <30 <40 <50 <60 <70 <80 <90 <100
Sarcelles janvier 2000
France rentrée 1999
2. Quelles activités dans un Maclé ?
• Dans les groupes de besoin, trois champs d’activités :
Les MACLÉ : comment ?
2. Quelles activités dans un Maclé ?
• Dans les groupes de besoin, trois champs d’activités :
a) travail sur les problèmes de compréhension ;
Les MACLÉ : comment ?
2. Quelles activités dans un Maclé ?
• Dans les groupes de besoin, trois champs d’activités :
a) travail sur les problèmes de compréhension ;b) apprentissage et entraînements sur les micros- et mésostructures
;
Les MACLÉ : comment ?
2. Quelles activités dans un Maclé ?
• Dans les groupes de besoin, trois champs d’activités :
a) travail sur les problèmes de compréhension ;b) apprentissage et entraînements sur les micros- et mésostructures
;c) production de textes courts (situations génératives).
Les MACLÉ : comment ?
Les MACLÉ : comment ?
La souris verte
Une souris verteQui courait dans l’herbe,Je l’attrape par la queue,Je la montre à ces messieurs.Ces messieurs me disent :« Trempez-la dans l’huileTrempez-la dans l’eau,Ça fera un escargot tout chaud ! »
Exemple de situation générative
Les MACLÉ : comment ?
Exemple de situation générative
La vache bleue
Une vache bleueQui chantait dans l’école,
Je l’attrape par les cornes,Je la montre à ces messieurs.Ces messieurs me disent :« Trempez-la dans le yaourtTrempez-la dans l’eau,Ça fera un dromadaire tout chaud ! »
Ludivine
Halte-réflexion : l’opposition groupes de niveau/groupes de besoin.
Les MACLÉ : comment ?
Groupes de Quel critère deregroupement ?
… niveau « Niveau global »(pas de diagnostic)
… besoin Faiblesse dans une« compétence-
levier » identifiéelors d’un diagnostic
Halte-réflexion : l’opposition groupes de niveau/groupes de besoin.
Les MACLÉ : comment ?
Groupes de Quel critère deregroupement ?
Quelle longévité ?
… niveau « Niveau global »(pas de diagnostic)
Potentiellementpermanent
… besoin Faiblesse dans une« compétence-
levier » identifiéelors d’un diagnostic
Transitoire :le temps de « monter »
la « compétence-levier »
Halte-réflexion : l’opposition groupes de niveau/groupes de besoin.
Les MACLÉ : comment ?
Groupes de Quel critère deregroupement ?
Quelle longévité ?Quelle
différenciationdes tâches ?
… niveau « Niveau global »(pas de diagnostic)
Potentiellementpermanent
Selon le degréde facilité
… besoin Faiblesse dans une« compétence-
levier » identifiéelors d’un diagnostic
Transitoire :le temps de « monter »
la « compétence-levier »
Selon les besoinsdiagnostiqués
Halte-réflexion : l’opposition groupes de niveau/groupes de besoin.
Les MACLÉ : comment ?
Groupes de Quel critère deregroupement ?
Quelle longévité ?Quelle
différenciationdes tâches ?
Quelrendement
didactique ?
… niveau « Niveau global »(pas de diagnostic)
Potentiellementpermanent
Selon le degréde facilité
Faible ounégatif
… besoin Faiblesse dans une« compétence-
levier » identifiéelors d’un diagnostic
Transitoire :le temps de « monter »
la « compétence-levier »
Selon les besoinsdiagnostiqués
Positif ou trèspositif : on vise
un progrèsimportant,
rapide et global
2. Quelles activités dans un Maclé ?
• Dans les groupes de projet, des productions diverses
Exemples :- réaliser une exposition sur les Droits de l’Enfant ;- écrire un document qui explique le nom des rues ;- actualiser le site Internet de l’école ;- recueillir des poèmes sur la paix et illustrer ce recueil ;- mettre en scène des sketches ;- réaliser une BD en transposant un récit écrit ;- etc.
Les MACLÉ : comment ?
3. D’autres MACLÉ ailleurs et à d’autres niveaux (GS, CE1, 6e) :
• Un exemple au CE1
• Un exemple en GS
• Un exemple en 6e (bientôt au CM 2 ?)
• Et au CP ?
Les MACLÉ : comment ?
3. D’autres MACLÉ ailleurs et à d’autres niveaux (GS, CE1, 6e) :
Exemple de fonctionnement a minima pour 2 CE1, soit 52 élèves
4 groupes d’enfants :6 très faibles lecteurs encadrés par 1 maître de CE18 faibles lecteurs “ 1 maître de CE114 moyens lecteurs “ 1 Poste E du RASED26 bons lecteurs “ 1 maître
supplémentaire
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
e) mobilisation des enseignants, des élèves, des parents
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
e) mobilisation des enseignants, des élèves, des parents
f) prise en charge des élèves les plus faibles par leur(s)
maître(s)
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
e) mobilisation des enseignants, des élèves, des parents
f) prise en charge des élèves les plus faibles par leur(s)
maître(s)
g) prolongement 1 fois/semaine (x 6 ?) des groupes de besoin
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
e) mobilisation des enseignants, des élèves, des parents
f) prise en charge des élèves les plus faibles par leur(s)
maître(s)
g) prolongement 1 fois/semaine (x 6 ?) des groupes de besoin
h) groupes de besoin et groupes de projet ?
Les MACLÉ : comment ?
4. Les conditions de la réussite
a) un diagnostic pertinent et des activités adaptées
b) des tout petits groupes (actions individualisées)
c) une action intense et continue sur une courte durée
d) moment de l’action : une période sensible
e) mobilisation des enseignants, des élèves, des parents
f) prise en charge des élèves les plus faibles par leur(s)
maître(s)
g) prolongement 1 fois/semaine (x 6 ?) des groupes de besoin
h) groupes de besoin et groupes de projet ?
i) le soutien de l’équipe de circonscription (de la dir. du
collège)
Les MACLÉ : comment ?
Formation à Pontonx-sur-Adour, le 28 novembre 2007
Merci de votre attention
André OUZOULIAS, professeur (psychopédagogie) à l’IUFM de Versailles (Université de Cergy-Pontoise)
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