La Mort des Pauvres

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La Mort des Pauvres. Charles Baudelaire. Exposé réalisé par Caroline Delsalle et Cassandra Rivière 4 ème D. Charles Baudelaire. 1821- 1867. La demeure familiale et Caroline Aupick. Charles Baudelaire. Jacques  Aupick. Lycée Louis-le-Grand. Portrait de Charles Baudelaire - PowerPoint PPT Presentation

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La Mort des PauvresCharles Baudelaire

Exposé réalisé par Caroline Delsalle et Cassandra Rivière4ème D

CHARLES BAU

DELAIRE 1821- 1867

La demeure familiale et Caroline Aupick

Jacques Aupick

Charles Baudelaire

Lycée Louis-le-

Grand

Portrait de Charles Baudelaire

exécuté par Emile DEROY

Voyage en Inde

Paul Verlaine

Arthur Rimbaud

Victor Hugo

Poètes contemporains de Baudelaire

Alfred de Musset Alphonse de Lamartine

Contexte culturel

Le réalisme en peinture, Gustave Courbet (1819-1877), Le désespéré

Degas

Contexte politique

La prise de la barricade de la rue Soufflot en Juin 1848, tableau de Horace Vernet

Napoléon III

Contexte scientifique

Louis pasteur

Pierre et Marie Curie

La Mort des Pauvres

La mort de Chatterton, Henry Wallis, 1856

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ;C'est le but de la vie, et c'est le seul espoirQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; A travers la tempête, et la neige, et le givre,C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiquesLe sommeil et le don des rêves extatiques,Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique,C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !

(Poème publié en 1857)

La Mort des Pauvres

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ; AC'est le but de la vie, et c'est le seul espoir BQui, comme un élixir, nous monte et nous enivre, AEt nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; B A travers la tempête, et la neige, et le givre, AC'est la clarté vibrante à notre horizon noir ; BC'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre, AOù l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; B C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiques ALe sommeil et le don des rêves extatiques, AEt qui refait le lit des gens pauvres et nus ; B C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique, AC'est la bourse du pauvre et sa patrie antique, AC'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus ! B

(Poème publié en 1857)

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