Profil des pneumopathies infiltratives diffuses chroniques hospitalisées dans un service de...

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94 16e Congrès de pneumologie de la

remière patiente et par biopsie pulmonaire scanoguidée chez laeconde patiente.es formes pseudo-tumorales de la sarcoïdose posent un problèmee diagnostic différentiel et la preuve histologique est un élémente première importance.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.302

41oumon éosinophile à propos de cinq cas. Boumezaoued , S. Nejjari , M. Elbiaze , M. Serraj , B. Amara ,.C. Benjelloun

Service de pneumologie, CHU Hassan-II, Fès, Maroc

e poumon éosinophile se caractérise par une infiltration du paren-hyme pulmonaire par les éosinophiles, associée ou non à uneosinophilie circulante. En l’absence d’éosinophilie sanguine, laise en évidence, par le lavage bronchoalvéolaire, d’un taux’éosinophiles égal ou supérieur à 20 % du total cellulaire per-et aussi de retenir le diagnostic de poumon éosinophile. Nous

apportons cinq cas d’atteinte pulmonaire avec hyperéosinophilieanguine révélant des étiologies diverses du poumon éosinophile.l s’agit de trois hommes et deux femmes. L’âge moyen est de9 ans. L’imagerie thoracique (radiographie thoracique, TDM tho-acique) montre une pneumopathie infiltrante diffuse dans quatreas : microréticulonodulaire (un cas), au stade de fibrose (un cas),n verre dépoli (un cas) et un aspect de pleuropneumopathie dansn cas. Le bilan étiologique permet de retenir : une pneumopa-hie d’hypersensibilité (un cas), un syndrome d’hyper éosinophilieun cas), un syndrome de Löffler (un cas), une origine médicamen-euse (un cas) et un syndrome de Shurg Strauss (un cas). Le poumonosinophile justifie toujours une enquête étiologique soigneuse à laecherche d’une cause parasitaire, allergique ou médicamenteuseccessible à un traitement spécifique soit à l’éviction de l’agentesponsable.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.303

42rofil des pneumopathies infiltratives diffuseshroniques hospitalisées dans un service deneumologie. Alaoui Yazidi , S. Ait Batahar , C. Houari , H. Sajiai , L. Amro ,. Serhane , N. Ouboulmane

Laboratoire PCIM, FMPM, université Cadi-Ayyad, Marrakech,aroc

bjectif.— Déterminer les caractéristiques cliniques et paracli-iques de patients atteints de pneumopathies infiltratives diffuseshroniques (PIDC) et préciser les corrélations cliniques et étiolo-iques.atients et méthodes.— Série de 63 dossiers de PIDC colligés de005 à 2009 et retenus selon la classification de l’ATS/ERS de 2002.ésultats.— La moyenne d’âge était de 53,6 ans. La dyspnée a étéotée dans 49,2 % avec prédominance du stade II (73 %) et les râlesrépitants dans 46 %. À la radiographie, les opacités réticulairestaient retrouvées dans 73 %, les micronodules dans 52,4 %. Lesilans ayant contribué au diagnostic étiologique ont été les biop-ies bronchiques dans neuf cas, les biopsies transbronchiques dansept cas, la biopsie des glandes salivaires dans 12 cas, la biopsieanglionnaire dans deux cas et le bilan immunologique dans 2 cas.a tomodensitométrie thoracique a permis de retenir le diagnostice PID idiopathique dans six cas. Le diagnostic étiologique a été

tabli dans 47,6 % (30 cas) ; la sarcoïdose notée dans six cas, fibroseulmonaire idiopathique dans cinq cas. Le traitement étiologiquecorticothérapie et/ou immunosuppresseurs) a été préconisé dans9 cas et le traitement symptomatique dans les autres cas.

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francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

onclusion.— Le diagnostic étiologique des PIDC constitue une étapemportante dans leur prise en charge ce qui exige une bonne corré-ation clinique, radiologique et anatomopathologique.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.304

43arcoïdose médiastino-pulmonaire à l’hôpitalrincipal de Dakar: prise en charge diagnostique ethérapeutique à propos de 11 cas. Niang a, S.B. Gning b, K. Ba Fall a, A.R. Ndiaye b, I. Diallo b,

. Diedhiou b, A.R. Ndiaye c, Y. Diop d, I.C. Diakhaté c, P.S. Mbaye b

Service de pathologies infectieuses et pneumologie, hôpitalrincipal Dakar, SénégalService de médecine interne, hôpital principal Dakar, SénégalService de radiologie, hôpital Principal Dakar, SénégalLaboratoire d’anatomie pathologie, hôpital principal Dakar,énégal

ntroduction.— La sarcoïdose est une affection ubiquitaire, peuécrite au Sénégal, caractérisée par une grande hétérogénéité sure plan évolutif d’où les difficultés de la prise en charge. Nosbjectifs étaient de décrire les particularités diagnostiques et thé-apeutiques des sarcoïdoses à l’hôpital principal de Dakar.alades et méthodes.— Étude rétrospective sur cinq ans incluant

es patients hospitalisés avec un diagnostic de sarcoïdose confirmé.ésultats.— Onze patients (cinq hommes, sept femmes), âgés entre0 et 70 ans ont été inclus. Ils avaient des antécédents: tuberculosedeux cas); HTA + diabète (trois cas), diabète (un cas); PR (un cas).es signes révélateurs étaient surtout toux sèche persistante, dys-née d’effort et état général altéré. La radiographie montrait unetteinte alvéolo-interstitielle bilatérale (11 cas) et des adénopa-hies médiastinales (six cas). Les atteintes extrathoraciques étaientanglionnaires et cutanées (quatre cas) associées à une atteinteénale (un cas), digestive et osseuse (un cas). L’ECA était élevéehez les 11 patients et sept avaient une anergie tuberculinique.’histologie était obtenue grâce à la bronchoscopie (quatre cas) etux biopsies ganglionnaires ou cutanées (sept cas). La corticothé-apie était démarrée chez dix cas en raison de signes d’activitéulmonaire (neuf cas) et cutanées (un cas). L’évolution était favo-able sans décès lié à la sarcoïdose.onclusion.— La sarcoïdose pulmonaire est une réalité dans nosays. Elle est souvent associée à des manifestations extrathora-iques et des signes d’activité nécessitant la mise en route d’uneorticothérapie orale. Son incidence est sans doute sous-estimée duait des difficultés diagnostique.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.305

44écompensation aiguë des pneumopathies

nterstitielles diffuses. El Houari , S. Boumzaoued , M. El Biaze , M. Serraj , B. Amara ,.C. Benjelloun

Service de pneumologie, CHU Hassan-II, Fès, Maroc

’évolution des pneumopathies interstitielles diffuses (PID) peuttre émaillée d’épisodes d’aggravation aiguë.n rapporte une série de 14 patients hospitalisés au service de pneu-ologie du CHU Hassan II de Fès pour décompensation aiguë deID. L’âge moyen de nos patients est de 68 ans avec une netterédominance féminine, huit de nos patients sont suivis pour uneID dont six qui sont déjà au stade de fibrose, et deux en insuffi-

ance respiratoire chronique : six patients sont sous corticothérapierale au long cours et trois sous traitement immunosuppresseur.e délai de consultation varie entre trois jours et deux semaines.a symptomatologie est dominée par l’aggravation de la dyspnée

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