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lA MSTtIlllJT\ 1llS FRI\AUX ÉLÈVES

DES ÉCOLES COMMUNALES

Le PalniiiresCOURS COMPLÉMENTAIRE

DEUXIÉNIE ANNÉE

P, ix du Brevet .- Miles Bonipard Thiirese,Breot Felicie, Canton Jeanne, Champendaljessie . Clenchard Marie, Merir (Asarine, Ri'chaud Aurore, Verne Marguerite . VincentelliMaria . Zniutt Marie.

COURS COMPLÉMENTAIRE'REMIERE ASSISE

Ho,i,,e,,e . — ier prix Eniilie Sauvage S 2eMarthe Aubert.

Morale . er prix .' Eva Via! : ae EmulieSauvage ; ier ace . Marthe Aubert :2e Mar-guerite Sauvage.

Lecture el recela/ion — ier prix

Augus-tine Bouton oe Emitie Sauvage

er ace.Eva Via!, Marthe Aubert

e Blanche Sait oi,e-nie.

Grammaire et Vocabulaire . — 1er prixMarguerite Sauvage ; ze Emulie Sauvage', , erace . Augustine Santon oc Marthe Aubert.

Orti'ocraplo'.- ,er prix, Marthe Aubert2e, Emilie Sauvage ce ace . . MathildeAonzo,

Composition Française,- , er prix . MartheAubert, Eva Viat 2e, Marguerite Sauvageier ace . . Emi!ie Sauvage.

Histoire 'f G,c, ,ipbie ._ or prix . Emi!ieSauvage 5 2, Marthe Aubert , air ace ., EvaVia! ; oc, Marguerite Sauvage S r . Augusti-ne Bouton.

Arill,nGliquu' . - ier prix . Blanche Savour-ais S 2e, En,j!ie Sauvage ; er ace ., Eva Via!,Hermine Kopp s e, Marguerite Sauvage.

Sueur,' Musiques . - 1er prix, Eva Via!2e . Blanche S,,vournin, Marguerite Sauvage,Hermine Kapp S ter ace, 'ce, Mathilde Gaza-geaire, Emil,e Sauvage . Charlotte Latent.

Sciences „al,,, silex. — 1er prix . Eva Via!2e . Enuilie Sauvage S ter ace . . MargueriteSauvage . Hermine Kopp . Marthe Aubert.Eniilie Imixert.

E.'rila, e eh Dessin .- ler pris, EugénieGentil, Marguerite Sauvage.

Co,,f,,,'e.- ter prix, Emulie Sauvage, Mar-guerite Sauvage S 2e . Math,il te Gazagnaire.

Solfège.- 1er prix . Eugénie Gentil 5 2e,Marguerite Sauvage s ce ace . . Charlotte La-ont S oc, Augustine Banton.

Augiaiu .— ter prix, Marguerite Sauvage.Hernuine Kopp . Emihie Sauvage S ace ., Ma-thilde &;azagnaire . Louise (iaz.an.

Travail .- ter prix, Mathilde Gazagnaire2e, Hurleuse Brun, Louise Gazan.

COURS SUPÉRIEURH,',,ueur . - . cc prix, Ernihie Mosan S ter

prix ex- .equo . Marie-Louise Lombard.Morale .- er prix. Enphrosine Aigus . Ma-

rie-Louise Louilxsrd : 2e . Rose Négrin . Lacis'Via! : ace ., Rigina Pontviaune, Adrienne Co-lonna, Emilie Mason, Suzanne Zmutt, LouiseTruqui, Rosalie Cozei,- LorI,,,',' cl Rèeu!al,o,,,- 1er pris, Marcelle

Grisolle . Emi!ie Mason 2e, Cotonne Alberti.Béatrice Ducros ace . . Rose Négris, Marie-Louise Lombard, Euphrosine Aigus, JeanneGiraud, Marie .Louise jaunie.

Grammaire cl Vocabulaire,- ler prix . Ma-rie Perrissp!, Euphrosiue Aiglin 2e . LouiseTruqui . Marguerite TalTe S ace ., Isoline Ru-singana, Emulie Mason, Régine Pontvianne.Marie Tournaire.

Oi'lbogvipi'c .- ier prix, Luise Truqui.Adrienne Colonna 5 2, lsolinc Rosingana.Rosalie Cozzi 5 2e ex-xequo, Marie Tournaire.Fernande Giraud, Enuilie Mason acc, .Maric-Louise Lombard, Roue Négrin . Marcelle Gri-solle, Suzanne Zrnutt,

Composition Française . — ier prix''. Marié-Louis,, Jeune, Emilie Mason, Béatrice Ducros,Régine Pontvianne ; 2e p . Fernande Giraud,Emilie A!eiarv, Rose Ero accessits s Marie-Louise Lombard, Eleonore Pelacy.

Histoire et !,,slruef,o,, Civique.- uer prixEni ilie Masos, Marie-Louise Lombard

2eSuzanne Zut utl, Tl,érese Portai AccessitsRégine Pont, ianne, Elecinore Pelacv, Mariel'errissol, Lucie Via!,

Géographie .- ter prix s Marie-Louisehard . Regina Pontvianne 2e Eléonore Pelacv,Marie t'errissol : Ace, Béatrice Ducros, Lu-cie Vial, Victoria Pendibene, Marie LimaGe,Fini lie Masan, Marie-Louise jaume.

A' ,hbu,éluq,,e, — ier prix : Rosalie CozziManu Can,attc, rite rose Portai, Rose Ero -2e p. Marie-Louise Lombard . Marie Perrissol,Marcelle Grisolle . Jeanne Giraud, AdrienneColonna S Ace, Euuphrosine Aiglin, FernandeGira ait,

Se,e,,ecu „ahureli,', . — en prix : AdrienneColonna, Suzanne Zmutt or ex .œquo S Lu-

FEUILLETON DU LITTORAL

DANIEL RICHE

L'Amusette— A peine . ..— C'est tués mal I— Pourquoi me faites-vous demander,

alors que vous n ' avez rien— je vous assure que j ' ai eu la fièvre

cette nuit . . . J 'axais les membres brûlants.

— Vous étiez trop couverte.-- Mais . ..— Admettons le . Vous avez eu la

fièvre, soit . Eh bien, elle est passée,vous avez une mine excellente donc,vous n ' avez qu ' une chose è faire, vouslever, prendre de l'air et de ta distraction.C ' est ta meilleure des ordonnances et quiremplace toutes les drogues.

Je ne peux m 'empêcher de rire— Docteur, avec ces prescriptions,

vous ne devez pas enrichir les pharma'ciens I

-Ni votre serviteur, madame, maltma conscience est en paix.

— Cependant on peut être très ma-' tade sans qu'aucun organe soit attaque

et ne croyez vous pas que le médecinn ' a pas seulement pour mission de soi .

fie Viat, Marie Camatte se p' Béatrice Du .cros . Noétie Hugues, Rosalie Coezi ; Ace.Césarine Alberti, Marie Perrissot, LouiseTruqui.

Foulure cl Dessin.- ier prix, Marie-Louisejaume . Béatrice Outres iv-r ex-œquo . IsolineRosingana, Emilie Masos 2e p . Emitie AI-ziary, Victoria Pendihese, Thérese PortaIAccessits, Marguerite Taffe, Adrienne Coton-na, Noélie Hugues.

Coulure cl Solfège . — ier prix, BéatriceDucros . Rose Négin S ier ex-œquo, LouiseTruqai, lso!ine Rosingana 5 2e p . E!éonorettetacy , Rose Ero : e Marie-Louise Jaunie,Cesar,ne Alberti.

Angua,s . — 1er prix Louise Truqui erex .eequo . Rose bro 5 2 p . Marie-Louise Lom-bard, Morcelle Grisolle ; Ace, Ttuerese Porta!,Marie Can,atte, Adrienne Cotonna.

A suivre.

5COL4ftBOUCHONS

1)ISIMULER CAS

1111'0110E

Flagrant dalit d'adultère ; incondui-te habituelle dus des conjoints ; scenesgraves ; detsi,at d'alimentation de lapart du atari, vis à sis de la femmeinjures caractérisées ; manies spéciales— celle par exemple de vouloir coucheravec ses bottes,cornme l 'américain donton u parle ces temps derniers — telssont les principaux cas invoqués pourdemander le (livorce.

Il s'est pas nécessaire de les mettretous en ligue, un seul suffit.

A celte' nomenclature, ou peut ajou-ter le CUS suivant qui rue nous paraitpoilut banal

Une blanchisseuse latente une actioncontre toit mari, parce que du fait decelui-ci, il lui a oosssé nep poils sur len'a.

Ledit mari ayant, en effet, démolid'uts coup du poing le nez rie sa fem'me, celle ci fut contrainte de recouriraux offices des chirurgiens . Ils prati.quereut la rhinoplastie, qui réussit umerveille, mus voulons dire qu'ils re-tirent sut nez propre, droit et rose, del'informe tomate qui leur était appor-tée . La blau,'hisseuse, parée de sotsveaux chanmen .reslra au domicile con-jugal . L'eflet fut soudain et merveilteux . Devant la beauté renouvelée desa femme, le blanchisseur vaincu demanda son pardon qu'il obtint . Unelune de miel commença . Malheureuse .ment, un jour qu'elle se considéraitdans le miroir,la blanchisseuse aperçutsur ce nez, victime a la fois de son in-fortune, cause et témoin de son présentbonheur, quelque chose comme uneombre bteuè.lre . Elle s'inquiéta et reconout un léger duvet, comme il enpousse sur la tète es nouveaux-nés.

De jour en jour, cette ombre devintplus noue, et ce duvet plus dru . Lenez de ha malheureuse devint commeune butta sauvage et hérissée qu'ellepromenait au milieu des ricanements.Elle se rasa et le poil repoussa dur etdivergent comme une tête de loup . Lesousguissls s'épuisèrent a défricher ce

'taillis Désespérée, la blanchisseuses'adressa enfin aux magistrats ; le pré-judice était evideut . L'enquête démon-ira q e les chirurgiens, se souvenantdu temps ou ils étaient barbiers, avaientemprunté au cuir chevelu la greffe quiavait servi â lu rhinoplastie . En outre,la blanchisseuse demanda le divorce,car le blanchisseur était devenu plusfroid u fissure que le poil devenaitplus iu',ir et plus long. Et pourtant, ilest ta cause de tout le mat sa femmene se plaint pas dit coup de poing ini-tial en tant que sévices mais ce coupa causé indirectement l développe-ment désastreux d'un système piteuxsur des parties que la nature n'y avaitpoint destinées . Plainte insolite ladoctrine hesite et la jurisprudence setait . On attend la décision de la Cour.

On achèterait des causses vides S'a-dresser è la Société d'Imprimeries etJournaux du Littoral, 24, rue Hoche.

gnem te corps, mais aussi de s'efforcerde soulager 1ème, lorsqu 'elle souffre . Lamatière n'est que l'esclave de l'esprit etelle n'est, souvent, frappée que par re-flexe.

Il hoche la tè'e— En effut le moral u une grande in-

fluence sur te corps, surtout lorsqu'onaffaire è cet ètre nerveux et impressionna-ble è l'excès qui s 'appelle : la femme,

— Alors docteur, reprend Jeanne,tou'jours coquette, vous n'avez pas le droitde me refuser vos soins spirituels.

— Le s, médecin de madame s je nesaurais pas . Ici, perdu dans ce pays depécheurs, j'ai exercé mon esprit è for-muler d'autres diagnostics et je ne pour-rais voir de quel mal souffre votre âmetrès compliquée de citadine . Est ce d'en-nui, d'amour, de jalousie

— Pour ce qui est de jalousie, riposte .Relie en riant, c' est ma cousine Théclinequi est atteinte de cet affreux mat,

— Jeanne, je t'en prie I,,.Mais sans prêter attention è mon in-

terruption, te médecin répond— La jalousie, affreux mal en effet,

qui non seulement vous torture cruelle-ment, mais fait aussi souffrir ceux quivous entourent.

Elle a pour excuse, dis je, qu'elle estpreuve d'amour ou de grande amitié onn'est jaloux que de ceux qu'on aime,

— Pardon, c'est une insulte è l ' amour,une offense è l'amitié .

RenseignementsElat-Civil du ier Août 903 .cVaissa,,c,-s, — Manfredi Sébastien-Marius

place de l'Hôtel de Ville. 8.Bonnet Marcel-Pierre, boulevard Delaup.Montages . — Peiraeo Noe!, mecanicien, cl

Bodino Marguerite, domestique.Décès. — renard Caroline, veuve Revel, 76

ans-Binetti Marcel-Victor-Françous'Marins , 8

mois.Bulletin Météorologique.

Par B . Alexandre, opticien, 24, rued'Antibes.

(EXPOSITION NORD)O AiEs 5903

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Barometreréduitèl 765 .0

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nu .ép.Minima s + I7,0 — Maxima : 26 4

ttarometre d'aujourd'hui 8 h . matin s 761 .2en baisseu Centigrade

24 2Thermomeire Fahrenheit

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Spectacles et ConcerNice

Palais de la Jetée - Promenade.— Aujourd'luuu, en matinee et en source, mu-sic-hall.

Eden- ('oI .eert e-PoIi*cama . —Représentation,

Casino d'Ev-e (ancien Ihuicilre Risso) . —Prochainement . out erture.

Nouvel licorne ex- %leazar (Celéboulets, rd chu Pont-Vieu u .)- ReprésentationTas rime S(einl .oî, — 't',,us tes soirs

granit concert vocal et InstrumentalPare et Buvette des Eaux. de for

n'alla Nie .' . ouvert tous les ours des gheures,

11Iusie-liils . — Les grands sueces del's,nnie,

Jardin zoologique de ('iniie.z,Ni-ce. ( casin,, ), jeux, bar, lunch, . Les plusgrands fauve., u : lions,

('Oui,.0 de Pioiiie . — Dimanche, con-cert-spectacles, à 3 heures et è C) heures,

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Si nous o, .lez .Iérir

LASUdeRDI1 É

d'uneMALADIE de la GORGE ou du NEZPrenez pour exemples les milliers etc guéris

dont les témoignages soul exposes au Salondes Autographes de l'Institut de ha Surdité,dont l'entrée est libre tous les jours.

Si vous habitez la province, tentez immé-diatement au Directeur de l'Institut de laSurdité, des maladies de la gorge et du nez,19, rue de la ttépiniere, è Paris, qui sousenverra, g'afis et f,',uuueo, le journal " La Mé-decine des Sens " qui explique l'action del'Audiphone invisible Bernard et expose etai-remenl la méthode auris oltaic1ue, pour taguérison des maladies des oreilles, du nez oude la gorge .

j :uusb)esieeetee

UN IVIOSEURà tous cens qui sont atteinte d'une maladiede la peau, dartres, eczémas boutons, dé-maogeau.suns, bronrhItes chroniques, maladiesde u poitrine, de l'en,omue eu do la vessie,de rhumut,smes, un moyen ,nfuihhsble de seguérir prom .ueuient ainsi qu'ut t'a été radi-calement lus même ap ès avoir souffert etessayé en vain tous les remèdes préc.snusés.Cet offre, dont on appréciera le but humani-taire, est tu rnnséq,,ence 'l'un voeu.

Eorr,r par lettre nu carie pustule à B . Win-cent, é, plane V,vs,,r Hugo, S Grenoble, quirépondra gram, et franco par courrier etenverra les Indications demandées .

1858

EAU SALINE ET SULFUREUSE-te

t'RIAaE-Lt.S-BAINS (Isère)Saison du ap Mai au i Octobre,

— Bravo, docteur, bravo I s'écrieJeanne , mais vous ne ferez jamais en-tendre raison è ma parente, — ta jalou-sie faite femme,

— Quelle sottise I Pour plaisanter ain-si, le docteur a raioon, tu n'est pas bienmalade.

— Je vais mieux . La présence du mé-decin, c'est comme celte du dentiste : saseule vue vous soulage

— Des impressions L . des nerfs t ..Pauvre humanité I soupire e docteur Re-naud en s'éloignant, pressé d'aller re-trouver ses viais malades qui, eux, ontde vraies fièvres, de vraies douteurs etne t'appellent te plus souvent, que lors-qu'il est trop tard.

Seule avec Jeanne, je ne puis m'em-pêcher de lui dire

— Ma petite Jeanne, je t'aimes bien,mais vraiment tu m'énerves avec tes ta-quineries.

— If n'y a que ta vérité qui blesse,— Tu sais bien le contraire . Je suis ici

très tranquille, nullement troublée de laconduite de mon mari,,.

— C'est que tu l'as rayé de tes affec-tions,,,

— Pour le remplacer par un autre P. ..Tu es folle I

Tout en jouant avec la torsade un peurousse de ses cheveux, qu'elle a rame-né sur le devant de son col, avec un tonqui m'agace, elle reprend

— Je ne dit pan que tu aimes éper-

ernière jeur

DE NOS DIVERS CORRESPONDANTS

4('TOFII Dt COCL4VEHiuu,ce . — Les deux tours de scru-

tin qui ont eu lieu, l'un tuer matin,et l'autre dans l'après-midi, n'ont pasdonné de résultats,

Après chaque dépouillement, unefumée qui s'est élevée au-dessus dela chapelle Sixtine, l'a appris à la po-pulation accourue sur lu place Saint-Pierre,

Rriusie, — Au scrutin d'hier soit', lecardinal Rampolla aurait obtenu unetrentaine de voix, elle cardinal Van-nutu'lli 10 . Le cardinal Coullié, urchue-vèquue de Lyon, est souffrant.

Eleetion législative deVincennes-Montreuil

Pa,'i,s, — Au scrutin de ballottage,dans ta première circonscription deSceaux, qui u lu lieu, haler, M . Hé-mat'd, républicain progressiste, a étédu faut' ),728 voix contre G .511, à M.Deloncle.

Eleetion sénatorialede la Seine-Inférieure

Ruu,c',i,— Voici le résultat de l'élec-tiun sénatoriale qui u eu lieu liiez'.

An deutçii'uiu,' 'tour, M . Rislaal, ré-publicain progressiste, a été élu par1)7)1 voix .s'outi'u 440 à M . de I",,lleville.

Les grives eu RussieTu/Ii, — Une collision s'est pro-

duite entre les grévistes des cheminsle fer elles troupes pués d'ici dlgrévistes ont 6k' tués,

Les grévistes ont fuit dérailler untrain . Douze vagons ont étui brisés,deux voyageurs tués et J blessés.

Au sujet du projetd'arbitrage Astglo-Français

Paris, — M . Loubet s chargé l'am-bassadeur de Fiance à Londres, deremercier les députés anglais, pourl'excellent accueil, fait aux députésfrançais, lors de leur voyage en An-gleterre . au sujet du projet d'arbitra-ge entre les deux grandes nations.

Arrestation d'un anarchisteBa,','Iu.i,uu — tus anarchiste, trou-

vé 1,urtew' uhu' deux cartouches de dv-n,its' u été ui't'i'tu”,

Mutineries en EspagneCadi" .— Un grand nombre d'ou-

vriers se sont mutinés ii Alealta etDelvalie . La gendarmerie étant in-tervenue, deux gendarmes ont étégrièvement blessés

un ouvrier a"té tués et quatre blessés.

Entrevue de souverainsl'ut,,,,,, — (lis annonce pour le

routant, à lsrhul . une entrevu,' entrel'empereur François-Joseph et le roide Roumanie .

(Agence Fournier)

dumer,t quelqu'un, mais comme unefemme de ton âge a un instinctif besoin'de tendresse, malgré toi, peut-,être, tut'intéresses lu ceux qui t'environnent.

— Certes, je serais très heureuse defaire le bien autour de rosi,

— Eh bien, moi, e serais surtout sa-tisfaite de te voir meprendrc l'existencecommune avec ion mari, ou recourirfranchement au divorce.

Tu crains pour ma serinLa gamine trtmousue s'efforce de de-

venir sérieuse— Ta situation actuelle est ambigué

et fausse . J'ai pour que tu ce souffre unjour.

— Hélas I ma pa'ivre amie, ta choseest faite . Le chagrin m'a frappée dèsl'heure où j'ai vu que, pour mol, minmari n'etait plus rien,

— Tu l'aimes encore ? dit elle api-toyée.

Vivement je proteste— Oh I non I J'ai été trop froissée

pour qu'aucun sentiment d'amour sub-siste . Mais il reste au fond de mon fume— et pour toujours — une amertume sidouloureuse que je ne peux plus êtreque triste,

— Tout s'oublie,,.— Non, pas cette blessure d'amour-

propre qui, perpétuellement vous répète:r Ton coeur s'est trompe .»

—jusqu'au jour où il aura trouvé

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(Tés1ésphone),

Le Gérant : JEAN BÉJOT.

Société d'Imprimeries et Journaux du Littarai, Soctéte anonyme au capital de 150.0018francs, 24, rue Hoche, Cesses.

l'être destiné, la fameuse c moitié depoire I s

— Aime-t on deux fuis? Je ne le croispas I surtout lorsque ce n'est pas la mortqui a interrompu la liaison de tendresse,mais ta trahison . Lu première vous laissetoute votre confiance La seconde met aucoeur ce venin execrabte, qui s'appelle ledoute et qui se mêlera o tout attendris-sement, vous empêchant de croire à tasincérité des sentiments exprimés,

— Tout s'oublie, répète Jeanne . C'estce qui permet au coeur desséché de re-fleurir et aux affections ncuvetles de setaire place.

— Il faut bien longtemps alors— Que non pas I . . . Tiens, si Petit

Louis étaut un homme de ton monde, ceserait déjà fait.

— Tu te trompes, car si je permets àce garçon de venir un peu ici — ce quisemble, décidément, t'étonner, — c'estque je le sais très loin do moi.

Elle se trémousse dans son lit,— Beaucoup plus grave, alors, car

pour l'amour il n'y s pas de distance,— Ah I par exempte siC,, Combien

sont rares, du reste, tes femmes quis'amourachent d'un inférieur, et pourune princesse qui s'éprend d'un tzigane,combien d'aunes ne s'aperçoivent mensepas de la beauté de leur valet I

(A suivre) .

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