S L. , aE. ORGANE QUOTIDIEN DES STATIONS...

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28 ' . \ : inré. N" 11.03(1. Saint Thomas, a. LE NUMERO S CENTIMES Samedi 21 Décembre 1912.

LE LITTORALEédaction : 5 . 3 5 ORGANE QUOTIDIEN DES STATIONS HIVERNALES TÉLÉPHONE

Administration : 4 . 8 6

JOURNAL POLITIQUE, LITTERAIRE ET MONDAIN DE CANNES ET DE L'ARRONDISSEMENT DE GRASSE

Cannes, Alpes-Maritimes & liasses-Alpes. Fr.Autres Départements.. »Htran^er et Union Postale - . . »

Six Moi8

151825

Un An

22244O

Fortune IlUKtinV, FondateurB«i l>c teur en Chef : E d o u i x d l ' i : ! . ! I I . I I l \

ADMINISTRATION ET RÉDACTION : H u r l l o . l i c . *4 , CANNE!»

Ut manuteritt non iniéréi na lont pu nndut. Ut "«ttres non affranchit! lont rafuieas.

A N N O N C E SU ligne

Annonces (7* col. 4' page) . . , O f. 3 5A n n o t e s légales(9 col. 4e p .) O f. 2 5Annonces légales ()* page) . . . O f. 5 OAvis de Déçus, de Messe et de Remerciements .

Annonces (;' page). O f. 5OChronique locale. 1 fr. »Echos 2 fr. »

1 fr. la ligne

.,, . V >% , ,

POLITIQUE(De notre correspondant particulier de Paris)

M. Bourgeois, suivant les prévisionsdes uns et contrairement aux désirsdes autres, a définitivement décliné lacandidature à la Présidence di1 la Ké-publique qui lui était offerte \tar legroupe radii'al-MH'KthsIi' de la l'.liain-bre. On peut rc^ivltcr celle déterniiriji-tion, mais on ne p;'iu que .-.'incliner de-vant les motifs invoquée [i:ir M. LéonBourgeois avec tant d<' désintéresse-ment.

Aussi bien, l'annonce de sa candida-ture avail coninieiké à susciter, danscertains ii![tit'ti\ |tnlili(]ues, des protes-tations, ou, tout au moins des réser-ves; et ce n'est pas dévoiler un mys-tère qu'elle était anleinmcnt oombal-tue par M. Coiulies. au Sénat.

Elle n'eut pas manqué d'être com-battue à la Chambre, comme elle l'é-<ai déjà dans la presse, si M. LéonBourgeois l'avait maintenue; non pasparce qu'il s'agissait tin sénateur de laMarne, mais parce qu'elle avait étéannoncée trop tôt, parce qu'on la li-vrait aux polémiques un mois avant lescrutin; tcm£ autre personnalité, mê-me plus pure et phi£ haute et plus au-torisée ojie M. Léon Bourgeois, seraiten butte aux même attaques et auxmêmes perfidies.

Les républicain^ du Sénat et de laChambre n'onl m- lardé à compren-dre les inconvénients cl lis périls descandidatures \VM\\ liài'vuienl affir-mées; ausM. ont-i's décidé de se réu-nir la veille on l'aviiiil-veille, au plustôt, de l'élecion présideulielle.

De la sorte, nu-, advcivaires n'aurontpas le temps de iraiih'r i!ans la bouecelui qui aura éi,' désigné par le Con-grès préparatoire et qui, d'ailleurs,pouriail hien n'être pas l'élu de l'As-semblée .\ulin:1;!!-!1.

Mais, où 1"- républicains coinmel-tent une fau!c. c'csi en nr p"r;nct,lanl

>-.!.-!:s dr la ('hainbre,• eux que] es! le mcil-

la l;ii''si<lcnee de lo

p a s a u x pj-iiijnd e décider a\<vileur cnudiihii ;

P o n t - n u ! i :cl l r< ' e n

M. A'.L y o n ou ••''

Miu>i- i l ! . '

ptM'SOIIU:'!'

C H U 1 \;u-

!<> i v p u l i l u ' i i -

î T . p î v s ^ n l i 1

ii rv'inï'-M'iiU1

l e u r v i ih ' i i r

IVr ; i r t <p--l •!f"a 11 LiLJ11 p l u -

.•-u,^,,,,. . . , d'1!!!*;!!'1 p ' n - m n U u i r o i t e ,

(jUf li> ii!!1:;,'-- : ' ;UI ;C:WIA. l o u j o u r s d é -

s i r e u x lie r e c e v o i r •'les n m p s e t de r é -

p o n d r e i i u x ln -u în l l i é - p a r de l i o n n e -

m a i l i n g s , a c c e p t e n t la c o l l a b o r a t i o n

<k's snci;i!i>î<'S.

O u i , c e s iiif'-iiics u u i i i r - ijtii, h i n d i e n -

c o r e , p r é p a r a i e n t l a g r è v e g é n é r a l e

et le sabotage de la mobilisation, ceux-là Qui. depuis longtemps réclament InS U p p r i ' - M i ' i t lu i u i d ^ I A<' la ̂ u c n v cl

d e la. m a r i n e , q u i d c u i a t i d e t i t , c o i n i n e

M. Jaurès le faisai1 la semaine der-nière encore, la dispariiion. des ar-mées permanentes, tous ces révolu-tionnaires sont conviés, par les mou-tons radicaux à les aider à choisir lefutur chef des années de terre et demer de la République Française.

Heureusement que, au bon moment,la voix des Lauchc et des Voilin, necomptera pas plus que celle des Ay-nard et des Thierry !

XX.

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Haïti et la Jangue françaiseHaïti QUI est une fille émancipée de la

France (on sait qu'elle occupe la moitié del'île Saint-Dominique) a gardé une vrvesympathie pour la France.

C'est ce que, dans un article de la Pha-lange, sur un romancier et un poète haï-

du «oir* donnant les dernières dépêches

tiens, MM. Fcrnand Hilbertet Charles Mo-ravia, John-Antom-e Nau nous disait ré-cemment : x

« Haïti a conservé Le fronçai» commelangue officielle et le parie chaque jourplus purement* Nous sommes .loin de l'é-poque où l'éloquence incorrecte d'un Sou-l<inque faisait le désespoir ou excitait larisée des diplomate? européens accréditéeà Port-au-Prince. Si les Haïtiens n'ont pasabandonné le patois créole, ils ne s'en ser-vent guère que coiniine d'un Langue fa-milier, domestique ; et le. créole n'a pasété formé avec- des mots, allemands ouchinois, que je sache ! C'est du françaisfantaisiste, très fantaisiste, très corrompu,embelli de locutions bizarres qui ne sontpas toutes venues de la vieille Gaule, maisc'est du français, au fond ; du' reste, ilest bien rare qu'un Haïtien cultivé l'em-ploie en public. Tout le monde en Haïti,possède bien ou mal notre idiome ; il n'estpas un paysan des mornes ou des plainesqui ne le comprenne avec .plus ou moinsde facilité. »

Haïti f-it un des pays les plus fastueu-peinent beaux du monde,,qui 'nous connaîtmieux que nous le connaissons.

Ce qui confirme une fois de plus que lagéographie est toujours ignorée des Fran-çais...

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D'UN JOURJU'AUTREA la Lumière du Passé

Gillette, aujourd'hui, le Gillette du Port, \qui, paulant si longtemps alimenta d'à- !vaine tu inaïuje.ntre de. tous les quadrupè 'des de. Cannes, s'efforce de jouer, à Pans,au grand homme politique.

Mal servi par un chef caricatural qui, Is'il était exposé sur les lignes de Tcliuiahl-ja, ferait reculer à la fois le clwlcrn el lesTurcs ; dcph>rnblemrnt handicape [>url'insuffisance de ses qualités ofiibàn -.Gillette l>eni percer lotit de même. Il nesu résout point ii être, à la Citumhre uneindividualité vague, sans importance etsans relief. L'aurea mediocrilas tant van-tée des sages n'est pas dans son- tempéra-ment. Il faut qu'il se mette en avant, sansdoute pour servir de magnifique repous-soir à ses collèques.

En vérité, Gillette arrive bien tard <tansun monde déjà faisandé.

Il y a cependant pour le psychologue.(juelipw joie a comparer le Gillellc d'au-jnunl'htt'i nu C-filettc de jadis. Cela coin-'pnse une double injure à In immirre de.!>;>,us <l<>nl tes Irails opposés se conl'on-d, ni rcp.-mhtiil <lni<\ nue commune Iii*denr.

Jadis, C.itlclic •.'amunil jmrlisan nclmr-né du Comte de t;hnml»>rd.

Aujourd'hui i! s'intitule lUidicnl-Socialiste el Anliclérira.t,

Jadis, Gillelle était le lieutenant île Ilou-vier el l'ami dllibert el de Capron.

Aujourd'hui, il renie son prenier maî-tre, et H trahit ses anciens associés po-litiques.

Jadis Gillette accusait le, noni des Ga-:<v\ nuire d'être m clé aux concussions duP>\ussiti( >d au seand'ile de In faillite Rigal.

Aujourd'hui il parade en triomphateursur la tombe de l'adversaire qu'il conlribua à tuer et il sert de drapeau au partiGuzagnaire.

Jadis Gillette méprisait Dufrène et sonCourrier du Littoral.

Aujounl'hui il donna le Gros à Dufrèn>.et écoule In chanson de gloire qu'à seilongues oreilles sussurre le plus musicalde, tous les organes.

Bref, telle une girouette grimaçante,tournant au gré des zéphirs, Gilleite afait une, inélégante cabriole, stimulé dansses exercices de haute école par le. fouet deson dompteur Arluc.

Se pe.ul~il qu'à Paris il y ait encore quelqu'un qui puisse prendre au sérieux esfantoche de Carnaval ? Nous ne le pensonspas.

Au bric à brac des opinions, Gille.lïepeut, tout au plus, servir d'alléchante en-seigne. Il est le représentant parfait de /.•*politique cubiste.

Et dire que nous le payons quinze mille francs par an ! ('.'est cher. Nous n'enavons pas [tour notre urgent. Le moindrebonhomme en [tain il'épices nous donne-rait aulanl. de satisfactions el nous coûte-rail moins.

VERAX.

ECHOSArrivées.— Mme la princesse Gagarine-Stourd-

za, noire h<Me fidMe, est arrivée aujour-d'hui, à Citnru's H sY-l inslalli'i-, eu sa vil-la Maiizyrta, nui le. de Frrjus.

— M. rt Mnif il" \inl..irii«-, \illa Madri-na, hnuli'vard de la Source.

— .M. Ferdinand H:M-. cotli^-e des Né-lliers, au Cannet.

—• M. René Bechaine, villa Marcelle,rue Marceau.

— M. et Mine [•'. BiTli.T, villa Saint-Henri, boulevard .lc;ui Ilibert.

— Baron et baronne Jîœlzealer d'Os-li'flionl, villa Stéphanie, Le Cannet.

— Mme Bouillet et famille, villa Gu.̂ -tave t boulevard d'Alsace,

A l'hôtel Royal : Comte de la Gowine-rie et Mme.

A l'hôtel Britannique : Comte et com-tesse de Chcvrier et famille ; Mr R. Mur-phy ; M. et Mme Dépensier.

A l'hôtel Westminster : Colonel Robin-son ; Miss Short ; Mrs Rivers.

A l'hôtel Alsace-Lorraine : Mr, Mrs etMiss Rutherford ; M. et Mme Adam' Giel-g-ud.

A l'hôtel Sainl-Charlcs : M. et Mme Cn-sack ; Misses Van 'Wart.

A l'hôtel Bellevue : Mr et Mrs A. Cur-ric ; Mr Rawlc et fils ; Mr Tavlor.

Départ.Mrs J a - ^ a r cl Mis" . I ; ig^ar o u i i]i i i lh '

. ; ( [ ] [ i r - . ; i c i - i , M | | . . i i : n a i i l à P a r i » l r . - o r p - .

r M ^ [ ,1 . - M I . , ' \ , - q i i r <\c< r L ' l i - ^ - a m . ' r i -

duiiau

Ih'slinctum.M. h ' M i i - i n ,

pî'iî-midi, à 'S

ir cl sympathiquellalicmic de Se-

Mn h .. fiuhcrln

h i c q u e l e I ; < > n \ f i ' i i f i i i f i i t f r a n c . l i - l u i : i

a c c o r d ce If i 'i j u i l l e t d v n n c r .Nnn« rcnn i ivch ui> I r rs v o k m t i e r s à M.

n ' A I j ^ i o , , | i . . r<\ un de nos p l u s IVrwi iNM M l ! 1 1 , 1 l i s t e s . | ) n - p I l l S V i f s C U I I I p i ! M I C ! I • .

MONACO-MONTE-CARLOD e m a i n . D i m a n f l w •>•• I V - c c n i h r ! - :

\ •» h i ' i i r i ' - ! : C O M C . T I - " u s la d i n - f -

I if .IL . 1 . - M . [ ,é<iù J e l i i n .

\ S h e u r e - ', : G n n v r l a u C a - i i n ) .

\ i) h f i i i v - ;" S . i l l c d e M u s i q u e d u C a s i -

)i: < : ' C n i i c r r l l . u i i i s l i a n i i c

T . ) i i < \r< j u u r s : : ( ; « , | f d i - M m i l c - C a r l u .

> „ ( ; , . . — | . e s \ o , : t u r c ^ a u t o m o b i l e s p a r -

t i l ' o n t l e m a l i n à i( I H M I I - C ^ e t à y h e . u i ' C S %.

c l p i ' i i d a n l l.i j i . n i i i i ' i ' . a s s i i r c n i n t l u s

t r a n s p u t - H c u l i v li- . h f i u i i i d e f e r à c r e -

m a i l K - i r <lc la T u r h i e c l h : C l u b - I I o u s e .

* * *

IAIS Concerts Classiques de Mnnle-Carlo.5° Concert . — • Li Syinjthnnie Pastora-

le e « t , s i n c u » l a [ i l i i s c é l r l i r f . d u M H M U « \:\

p l u s p r i \ i l é L ' i é f i\v< s N m p h . M i i f - .!•• II . ' . -

I h o v e n ; à s i c l a r t é f a c i l e , à M , I I c l f a n i n -

p r o f o n d , e l l e u n i l n o n p a s l a q u a l i t é ,

m a i s l ' a v a n l a y ! ' d ' u v n î r d e s s o u s - t i t r e s :

« lm['ression agréable à l'aspect de la na-ture : scène nu bord du ruisseau, etc. »Cette s y m p h o n i e a n n o n c e , l o n g t e m p s d'a-vance , W< [Kième- >\ in p h o n i q u e s , à pro-gramme ; le publ ic s'\ refoniiMÎ! niii-iix.cl c o m p n ' i i d m ieux . !,n l'as!orale îvslupou r l an l un che.f-d 'd ' in re de musi ip ie pu-re ; mais , cette fois, la m u s i q u e est plusconcrè te , el d 'un effet plus i m m é d i a t .

Au m ê m e r-mierrl, il faul ci ler les dra-niiiliqiu'< préludes il.- \'i hinniim. de M.A l f m l Brune-au ; deux Mélodies Kti't/ui-ques, de Griog ; le scherzo du Songe d'u-ne Nuit d'Eté, d e Mendc l s sohu . 'el !.•«fra^mcnis du 3" acie t\v< Maîtres (.hau-teurs, de Wagner.

LVxérution, est-il besoin de le dire ?fut absolument parfaite, sous la direc-lion de M. Léon .lehin.

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Coup de Soleil.Dans un bar, un farouche unifié pé-

rore ;— Malgré IIMK opinions, dit-il, si la

guerre éclate, on me verra des premierscourir à la frontière.,,

— Belge, ajoute ep.Ue rosse de Boireaul

Casino Municipal de CannesProgramme Hebdomadaire

du 21 au 28 Décembre 1912

Samedi 2t Décembre. — À 8 heures ̂du soir : Manon, opéra-comique en

' h actes et 5 tableaux de MM. H. Mei-Ihac el P. Gille, musique de Massenel.

Dimanche 22 Décembre. — A l\ h. \ del'après-midi : Cinématographe Pa-thé Frères, entrée 1 fr. A 8 h. \ dusoir : Gilleite de Narbonne, opéretteen 3 actes de MM. Chivot et Duru,musique de E. Àudran.

Lundi 23 Décembre. ~ A 9 h, du soir,dans le hall : Grand Concert Vocal etInstrumental, sous la direction de M.Louis Laporte, chef d'orchestre aux.Concerts Colonne.

'Mardi ?.h Décembre. — A 8 h. | du soir :La Traviata, opéra en k actes de M.Duprez, musique de Wrdi . ,Après lareprésenta lion : SHI|HT>, par petitestables, prix : fi irane-. Adiré de Noëlavec distribution de surprises.

Mercredi ?.5 décembre. — A 3 h. £ de l'a-près-midi : Matinée enfantine, prrx :2 franc.-. ouiiiHvn.nit : arbre <h*. V>ëlave/- dislrilmtinn de jnui-t>, bnHYt cl.-éamv de cinéinat»graphe. A g h. du.-<>jr, daiH I-- Inill : Grand. ConcertSymphnn'njue, -ou- la direction deM. l/iiiip Laporte, chef d'orchestrean\ Omoerts Colonne.

Jeudi décembre. -— \ !\ h.i ; ( jnéiuati'.L'iMphe

e n t i v u : 1 Ir.Vie de linhn,actes de MM.version franc

MM. C Ilirui•ndredi ••- de

•-" Grand <.

\ do l'après-'iithé Firres,.In soir : La\ riqne en l\H !.. Illka,h;uil I-Yrrier,nnpriélé de,

• [ , | | V

•emh!

M.do i/ la

ip^rll•ts Colonne.. A

N li. l : Soirée Mas Voët.icili vN décembre. -- A g h. du soir :l,n Fille de Madame \mjt>lt oprrrl teen :Î ael<-* de MM. Clairvi l le , Sirau-dili et KiiniiiLr. m u - i q u e de Char les

jo ilau- le Hall, (sauf ven-,( '.(.uef ri SyniphoniquC,il.- \1 . [.nuis Laporte,ux Concerts Colonne,ti et son orchestre de

<\ redM i n - ; l i i d i n

chef d'orchLe maeslroTziganes.

Pour le prix des places voir l'affichedu jour.

Lire à la quatrième page, la suite denotre intéressant feuilleton

LA ROBE DE LAINE

LA LOIsur le Warrant Hôtelier

est votéeUi loi instituant, en France, le crédit

hôtelier par le « Warrant llôlelicr », aété \olée hier, \fiidivdi. à la Chamhrede.- d i ' p u l » , p a r :">li> \< i i \ . p.n1 funM ; ip ien l

A la su i t e d u \ o l u L i v r a b l e de la Coin-]iiis^iim du C o m m e r c e i1! de r i n i l u - l r i c ,M. C l i é n m , r a p p o r t e u r g é n é r a ! du b u d g e t ,avai l d e u i i u i d é à r e ipie !;i loi s u r le« \ Y a n a n i Hi'ileliei : - n i -<>nmîse, a v a n tla d i - f i s s i o n pub l i<pif, à la C o m m i s s i o ndu b u d ^ i ' l . ('.cl e\aun' iL ,1 eu l ieu j e u d i 1 <)c o u r a n t el ]\i\ is de r e l i e f I n n u u i s - i o n fui.é g a l e m e n t «• ni iè iv iuei i t f a \ o n i b h ' .

H i e r , la C h i i i n h r e d e - d i ; p u ] é - élail.sa is ie ilu p ro je l et , itjifè- l i v l u i v du r ap -po r t fait p a r ' M. L.-fol, i l épn i é de ht Co-l(!-d'()r, itu n o m de l;i ( .< ' i i imis s ion d uCommerce et de l'Iudu-tric, la loi a étévolé.e.

Le projel étant très étudié, «ora cer-tainement adopté par le Sénat, sans mo-difications, à bref délai.

Nous sommes enchanté^ de la bonne

nouvelle qui vient de nous parvenir. Ra-rement, une idée aura plus rapidementfait du chemin.

C'est en novembre 1911, l'on s'en sou-vient, que MM, Pierre Chabert et Lejeu-ne-Saconney conçurent l'idée du Warrant-Hôlelier.

Dans les milieux financiers et commer-ciaux, on ne croyait pas au succès du pro-jet. En effel, il roinportait une profondemodification de la législation actuell* «tdes droits des propriétaires.

La méthode employée par MM. Chaïtertet Lejeune-Saconney et par les hôteliersde la Cnle d'Azur fut des plu? adroites etaida beaucoup an vole rapide de la loi.

Tout d'abord, on demanda aua Cham-bres de Commerce de, se prononcer sur leprojet présenté à la Commission extra-parlementaire, chargée de la réforme durégime bancaire, par MM. Pierre Cha-bert et Lejeune-Saconney.

Puis on fit. agir le Syndicat des Hôte-liers de chaque ville, auprès des députéset sénateurs de la région. Ainsi tout unensemble de démarches favorables s* pro-duisait. Tous ceux qui connaissent M.Fernand David, sivr.nl que c'est un es-prit d'iiiiliati\e, ;m>-i le minière du Com-merce fut-il je premier à convoquer enune conférence, les promoteurs du projetet on se souvient qu'après le Congrès d'K-vian. M. Chabert. vint, sur la convoca-tion du ministre, participer à la rédactiondu projel, de loi, à Paris.

Comme l didiscoursvoirs picollalnirainsi qiprul iqu .

M. F-t r é c e m m e n t , dans u nand David, l t s pou-eiii, (le p lus en p lus ,ml i.iti ve privée el c'est'.endru une h'-Lji-lliiioneulier. les i j u

Le Cn'di i Mnteîicr va avoir c o m m e con--étjueiice la t ransformât i rm cl l 'amél iora-tion de la p lupa r t des hôtel- fr.ui.-ais. Ilaidera p u i s s a m m e n t à d^l'-i- d'lu'» tel s mo-dernes et rnnf 'u-lnblr* l;i p lupar t de nosv a l l é e s i i l p o l n - ,-| ,( ,• , , , , . r e n t r e s ( | . ' t o i 1-

et

consLttutanls de

|>nur f i d(:ii;,herl

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MM.

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NOUVELLE^ de PARTOUTA la Chambre

Les cadres de la Cavaleriellii :

Chaml.i • U , r \vm, a I;ies de la

M. J. Kiin.ieh prit le prenm r }.: jvirolc, ex-posant ipie depuis vin^t ;'ii-. un n'.-L\:ut rien ̂

'«CtUe ~iui;ition ne .sacrait M- perpétuersans danger , 'l'uus tes é( m ; u u s mi l i t a i s ssont unaninu-^ à proclinih-i "... né* V-MU'' defaire correspondre à un ,u. rui-.-euu-nl dest roupes des convois et des h,i;t(.ries. un ac-croissement coiTchitif de ki cavalerie, l.erôle de la cavalerie dans nue .L;UCI-IV modernede le céderait en rien à ce qu'il fut autrefoisRappelons-nous le mot de Napoléon : « Toutela guerre est dans les nrnnnaissanees *.

LiL.ava.lenc, -eulc, ]n-iit ivndiv ce service ;elle S) nie atwsi peimel i l ' exn , ( Y nnv aet ive

tonvs ja.p,ni.ii~fs en MandclnH.ri. ,,e furemin-, tcitjoiir^ déci-ivcs, ( VM IIUII,- d'un. ' puis-san t" ^av.deiie. S.ms elle, non p lus selonl'avis du miin-.l:v de la. (HUTIV \\m l-jncm,Sedan uVul [(;i- été pn^ibi.-. pas p.lus querinvt^ti^seineiit Ar Fai i- .

« Apre- Li;u)-Vanj; et M,>uk.U-n.i-crit le gé-néral russe Kavawicl. C ' M notre cavaleriequi a sauvé l 'année d 'une destruct ion com-plète, i lu le général Von Kleist estime éj^uV-ment que r infanter ie et l'avtillerie pourrontpeut-ê t re opposer une longue ié-.i^t;i;ice pas-sive, mais elles ne remporter. ••[>! jamais unevictoire décisive.

Nous n 'avons plus le dioit *>[<• lerui-r lesyeux .sur rinsiitlis.mce de noire cavalerie I erappor teur , M. l ïéua/e t . le déclare liau'.e-m e n t : la loi de deux an-, a (•{•'• ueûtste puurnotre cavalerie. »

Après avoir également enleadu le "6né-

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