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Cette intéressante rencontre sera précédée •d'un match entre l'équipe troisième de l'A. S. C. et l'équipe première de l'Elan de la Bocca. Nul doute qu'une foule nombreuse ne se •rende à cette belle réunion sportive. Chaussures Joseph. Le Roi de la chaussure ! Le Roi du Bon Marché !! Samedi 26 et Dimanche 27, grande Vente- réclame. Superbe prime à tout acheteur. Maison de confiance ouverte toute l'année. Ou demande une commise connaissant Ui chaussure. Bons appointements. Philharmonique Cannois?. Les membres de cette Société Musicale ont décidé, dans leur dernière réunion, de fêter dignement la fête de la Ste-Cécîlc ; la iête commencera par un grand bal du nuit dont on nous dit merveille, suivi d'un grand banquet, les membres honoraires qui vou- dront assister à ce dernier, sont priés de se faire inscrire tous les soirs de répétition, au .siège de la société, tous les mardis et ven- dredis, boulevard de la Ferrage. "Blessés en travaillant. Hier, nous avons relevé les accidents sui- vants, parmi nos travailleurs. I e Tartaro Charles, 40 ans, blessure infec- tieuse du pied droit par suite d'une piqûre, •en marchant sur une pointe. 5 0 Blua Mathieu, 47 ans, journalier, con- tusion profonde à la caisse, par la chute d'un meuble. L'incapacité de travail, scia de 20 à 25 jours environ pour chacun de ces ouvriers. ASSUREZ-VOUS contre les accidents à la Gie « Le Secours », a, rue Montai- gne, Cannes. 883o BONNE OCCASION, à vendre, wagon- miette 4 roues, banquettes démontables. S'ad. .bureau du journal. Trouvaille. Un pardessus bleu marine a été trouvé rue de Châtcaudun et déposé au poste du 2èmc arrondissement Les expulsés. Le nommé Solciigo Jean Pierre, Journa- lier expnls.!: de France a été arrêté hier soir par l'agent de la sûreté Susini. Il sera •déféré au Parquet. ETAT-CIVIL du 25 Octobre 1912. Naissances. Graglia Marie, Félicic, .rue de la Tour. Mariages. Néant. Décès. Gastaud Marie, Louise, 10 mois, chemin de Merville. PUBLICATIONS DE MARIAGES du Vendredi 25 Octobre 1912. Entre •. Rosset Auguste, jardinier, et Thé- rèse G;ubi-n>, employée de commerce. Kamom Félix, Georges, Gilbert, employé 4e commerce, et Marie,Baptistine Arneodo, repasseuse. Chazard Marius, employé de commerce, et Marie, Francelînc, Gaimc, repasseuse. Chanalct Henri, Jean, chirurgien dentiste, et Cécile, Marie, Geneviève Ferrary, sans pro- cession. Zancra Antoine, Baptiste, maçon, et Léo- nie, Antoinette Trabaud, sans profession. Mani Charles, Georges, Emmanuel, comp- table, et Louise, Emma, Camille Mazadc, :sans profession. Rhin Joseph, marin, et Antonia, Henriette Rouchi, conturiôrc. Bcravdi Attilio, André, chauffeur d'autos, et Dea, Rosc, Madeleine Marzolini, coutu- rière. Allais Louis, Alfred, Jean, Baptiste, élec- tricien, et Catherine, Augustine Vialc, cou- turière. AVIS & COMMUNICATIONS Association Sportive de Cannes. —- Les joueur-; suivants sont priés de se trouver di- manche, à 1 heure très précises, au Parc des Sports, pour jouer contre l'Elan de la lîoo ca (1). Armanet, Knonagd, Sou lié, Balitrand aî- né, Cazalic, L;ui!;irr, I )avaUlc, Brun, Ger- man, Scoffier, Am!rr;uii. Charrier. Lu Commission. DANS LA RÉGION LE KOUKET Banquet intime. Pour fêter l'arriver des grives dans notre pays, un groupe de chas- seurs du Rourct avait organisé, dimamhc, un banquet dans la grande salle de M. lin- gues Emile, avaient été conviés plusieurs ^mis, chasseurs émérites, des communes voi- sines : Nous avons noté particulièrement : MM. Michel, procureur de la République, à Grasse,et Charrier, maire de Caille, qui ont organisé un poste à grives dans les bois de M. Roux, huissier honoraire ; MM. Civaltc, maire de Roquefort ; Mciffret, horticulteur à Bcaulicu ; Dozol Jacques ; Maffet, père et fils ; Dozol Célcstin et fils ; Pcllegrin, notai- re ; Agostini, conducteur des Ponts et Chaus- sées ; Dozol Marius ; Joulian ; Jnbelin frères et Roux, huissier, du Bar ; Daumas, institu- teur el Koux André, de Grasse; Hugues Emile ; Ginnul, instituteur en retraite ; Gui- zol ; Isiuinl ; I lugues Jules ; Hugues Ma- rius ci Koux Désire, du Kouret, etc. A midi, tous les convives ont pris place autour d'une table magnifiquement décorée par les soins de M. Meiifivt et ont fait hon- neur au nu-nu suivant, s;iv;unmerU préparé par M. Aivt-1, le vaicl du Rouret : Hors-d'oeuvrcs variés Truites du Loup à ]JI Genevoise Lièvre aux Cèpes Grives du pays sur Canapé Salade de saison Gâteaux et Fruits Vins du pays Clos du Haut-Collet, Bourgogne et Valcttes. Qcndant le repas, un orchestre de huit mu- siciens de la musique du Bar, a égayé la réu- nion par les plus gais morceaux de son réper- toire. Au dessert, M. Hugues Emile a souhaité Ut bienvenue à tous les convives, les a remer- ciée d'avoir bien voulu honorer ce banquet de leur présence et a eu pour chacun d'eux un mot aimable ; on a ensuite trinqué aux futurs exploits des chasseurs, à la France et à la République et en se séparant, on s'est donné rendez-vous ;\ l'amie'i- prochaine, em- portant de cette réimi<m le meilleur souve- nir. Voici le discours de M. Hugues : Messieurs et chers amis. C'est avec une joie profonde que je vous sa- lue tous ici réunis non pas seulement pour une partie de fête mais aussi en affirmation de la solidarité, de la confraternité des commu- nes diverses auxquelles nous appartenons. Qu'il me soit permis tout d'abord d'offrir nos hommages au distingué magistrat qui a bien voulu être des nôtres si simplement et si gentiment que nous en sommes tous émus. Cette marque de sympathie qu'il nous donns n'atténuant en rien le respect que nous devons à sa personne et à sa fonction. Je remercie en même temps M. Charrier,le dévoué maire de Caille, qui a bien voulu, lui aussi, être des nôtres el de rehausser par sa pré- sence, ce modeste banquet. Je dirais aussi combien nous sommes tou- chés d'avoir à notre modeste table, notre excel- lent ami Civatte, maire de Roquefort. Je ne voudrai pas oublier non plus notre ami Mciffret, l'excellent horticulteur, qui est venu de Beaulieu tout exprès pour assister à ce banquet fraternel. Et quant à vous, Messieurs et camarades, ces agapes fraternelles serviront à nous rappe- ler que nous devons tout faire pour être des amis dêvmtés aux intérêts de nos Communes. Nous ne devons pas oublier qu'au dessus de foies égoïstes il y a les préoccupations géné- rales et que nous rencontrant ici pour le plai- sir vans pouvons, sans gâter cette distraction, penser à la collectivité. ICncore une fois merci à vous tous, nos hôtes. Je bois à l'union sincère des deux paysvoisins, qui fait l'objet de ce banquet, et je fais des voeux po-ur que l'année prochaine nous so- yons ici en plus grand nombre. Avous ! A vos familles ! Vive le Rouret ! Vive la République !! MOUGINS A mon ami intime Pitalugo I er . LE MAIRE- Nous voilà bien sur la sellette Mes bons amis, tenez moi bien Je crois que de ma pauvre tête De bon il ne sortira rien. 1" DHOGMAN Vous tenir, ah ? qu'elle insulte. Pour les électeurs Mougînois. Permettez que je vous ausculte Voyons, approchez-vous de moi. 2 e DROGMAN Et moi pendant cette visite Je serai seul à gouverner Comme le lièvre dans son gîte Mes yeux ne devront se fermer. LE MAIRE M'ausculter, vous ni pensez guère Que dirait-on dans le pays. Voyons quand vous faites la guerre Soyez battus, mais jamais pris. i cc DROGMAN La guerre, ici, je vous arrête Car je l'ai faite dans le temps, J'étuis alors pn-mic-r trompette Et vou>, Ipniiipimiie seulement. 2 0 DHOGMAN Allons, allons, pas de réclame C'est moi qui suis le commandant Voyons, montez-moi tous la gamme Je bâts la mesure en deux temps. Lii MAIRE Amis ne soyons pas si Cuistres Nous nous cachons, nous avons peur Chacun comprend que je suis l'huître Et <\m- vous êtes les plaideurs. LE SECRÉTAIRE éteignant la lampe. Fermeras-tu un jour ta boîte Je vais t'escamoter les dents. Ta place est, eu montant, à droite. Adiou paouré Carémantrant ! Un Gascon. Chronique du Canton de Saint-Etienne pon;- la lettre suivante, en inier article : Monsieur le Directeur. Votre corres pondant écrit sous cette Chronique, dimanche- dernier, que le Docteur Rovcry n'a rien, rien obtenu à la dernière session du Conseil Général nous sommes tous d'accord sur ce point, et môme ses amis les plus dévoués le reconnaissent franche- ment Mais, permettez-moi d'ajouter un renseignement complémentaire. Vous sem- blez dire que la somme de 13.000 francs votée pour le chemin du Prato n'avait été votée qu'en principe l'année dernière. Erreur profonde ! Cette somme a été votée, il y a 2 ans, pour un premier lot d'un chemin muletier qui de- vait partir du l'ont Il>;iuf. Sur ce, intervint une délibération du Con- seil Municipal de St-Duhuas, réclamant éner- giquement la conversion du chemin muletier en chemin carrossable. M. Roustan s'employa de son mieux et ob- tint du Conseil Général que la somme de 18.000 francs fut affectée au premier lot de chemin. Il y <\ de cela plus d'un an. Voilà l'exacte vérité. Prenez d'ailleurs l'annuaire du Conseil Général de l'année dernière, et sous la rubrique aChemins », vous y verrez ce que j'avance. Recevez, Monsieur le Directeur, mes salu- tations empressées. E. F. Nomination Nous avons appris avec ic plus grand plai- sir, la nomination comme percepteur à St- Etienne de M. Nigcl, ancien receveur des Douanes. Ce fonctionnaire, bien connu à St-Etienne, il a laissé le meilleur souvenir, est assuré du meilleur acceuil de toute notre population. Saint- Dalmas le Selvage Un apologue Autrefois, à une époque lointaine, si loin- taine qu'elle en est mystérieuse, vivait dans un repli de nos Alpes, une paisible popula- tion de pasteurs. Leur âme, ignorante des passions, pure et sereine comme le ciel de l'Attiquc ne reflé- tait que le cirque de leurs montagnes. Ils berçaient leur rêve d'une vie future et d'un Dieu de Justice et d'amour, au mur- mure de leurs fontaines et de leurs eaux vives Ces simples ignoraient les querelles qui déchiraient parfois leurs voisins, les blessu- res qui les aigrissaient. Leur échevin choisi parmi les meilleurs, apaisait les différends et triomphait des difficultés. Leur bonheur était grand. Un jour (jour néfaste entre tous) tout changea. D'une ville brumeuse des Gaules, arriva un homme à l'esprit brouillon, au caractère inquiet. Il portait dans son cerveau toutes les bru- mes, tous les brouillards qu'il avait respires au confluent des deux grands fleuves aux sources mystérieuses. La chute d'un bolide parmi ces simples ne les aurait pas troublés davantage que l'arrivée de cet.homme. Obéissant à cette loi inéluctable qui veut qu'on se montre d'autant plus sévère qu'on est incapable, il s'ingénia à tout critiquer. Un Dieu unique, une vie ïuture, fictions que tout cela ! Son dieu à lui, était le «zanzy». Bêtises aussi que ces moeurs patriarcales, cette sage réserve dans les actes et dans le langage. Ses conversations favorites roulaient sur les « bisquinettes ». Pour les affaires publiques, ce fut pis ; tout était à réformer ; en premier lieu il fallait renverser l'échevin et prendre sa place. Un premier échec assagit notre homme. Plus prudent, il cacha son jeu, châtia son langage, mit une sourdine à ses critiques, et se rendit à l'Abbaye tant et si bien que tout le monde s'y trompa. L'échevin qu'il devait renverser, le soutint, et le révérend Père lui-même l'aida de toutes ses forces. Il arriva. (Tiré de Pline l'Ancien). Pour copie conforme : Louis DUPONT. Notre Commerce Le rapport tic M. Alfred. Picard sur le commerce extérieur de la France est toujours impatiemment attendu, car il fourmille de notations ingégnieuses et de clairs aperçus. Celui qui a trait à d'année 1911 vient de paraître. Nous y apprenons que nos échanges ont atteint, cette année-là, au maxi- mum qui ait jamais été constaté : plus de 14 milliards, mais que la majora- tion se réfère exclusivement ù nos im- portations et que la croissam-e de ces entrées était imputable aux mauvaises récoltes. Nous y apprenons atissi que la pro- gression de -notre trafic, môme si l'on fait abstraction de cet élément acci- dentel et regrettable, a été ininterrom- pue dans les dernières années. En 1911 nous achetons et vendons pour cinq mililwir<ls -et demi de plus qu'en 1902. C'est un beau résultat. Il est vrai que nos rivaux ont réali- des avantages tout aussi accusés, parfois iimme plus significatifs. L'An- gleterre, qui so classe au premier rang, est passée ilo T2 milliards à 31; l'Al- lemagne de 12.700 millions à 21.800 millions et J'AnM'rifuio île 11.(100 mil- lions à 18.300 millions. Mais, lors- qu'on compare les grands pa\s indus- triels entr'eux, — et j'éliminerai tout de suite l'Angleterre qui a 400 mil- lions de sujets coloniaux, — il faut tenir compte de leur population. La quote-part d'échanges d'un Améri- cain ressort à 200 francs, celle d'un Allemand à 325 francs et celle d'un Français à 375 francs. Cette confron- tation ne laisse pas d'être consolante. L3S3S S P O R T S Nous rappelons que demain les équipes premières de l'Association Sportive de Can- nes et du Phocée-Club de Marseille se ren- contreront à 2 h. 3/4, sur le beau terrain du Parc des Sports à la Bocca. Voici la composition des équipes : Phocêe-Club de Marseille : Rousson R. Brunaux Tournond Rcbuffat Rouge Braccini Ferrât Giral Lombard Murrua Sisco (cap.) + Robini Maurcl Borcl Rubcl (cap.) Bourrelyll Beccaria Bourrely I Pegliaseo Guibert Mapson Plana Association Sportive de Cannes. Ce match sera précédé à 1 h. 1/4, par une rencontre entre l'Elan de la Bocca (1) et l'Association Sportive de Cannes (3). La 2 e équipe de l'A. S. C. ira jouer à St- Raphaël contre la 2 e équipe du Stade Ra- phaëlois. Rendez-vous à la gare à n h., sont convoqués les joueurs suivants : Ricci, Vallégia, Comte, Cornette, Vahna- rini, Gallo, Guillon, Saorgin, ArtruS, Wild, Varaldi et Uucret. FOOTBALL-CLUB DE CANNES Après avoir enlevé brillamment le cham- pionnat de France de Water-Polo, la jeune mais active société le Football-Club de Can- nes, qui, ne voulant pas dormir sur ses lau- riers, vient d'enlever la poule de classement de i rB série en battant respectivement l'U- nion Sportive d'Antibes sur le terrain de la Croisette, par 4 buts à zéro et le Gymnaste- Club de Nice, au terrain Municipal de Nice, par 2 buts à zéro, et de ce fait se voit mon- ter en i re série. La lutte sera très chaude pour les championnats de football de la Côte d'Azur de i r0 série, car nos jeunes joueurs auront à coeur de se classer honorable- ment. Demain dimanche, les équipes première et deuxième de football se rendront à Anti- bes pour jouer un match amical contre les équipes correspondantes de l'Etoile Sportive d'Antibes. Les joueurs des deux équipes sont priés de se trouver à midi devant la gare, ainsi que les membres les accompagnant. BIBLIO«ail*IIll3 La Petite Revue agricole et horticole, public dans son numéro d'aujourd'hui les articles suivants d'actualités signés des personnali- tés les plus autorisées : Essais de Blés, pour le Midi, en 1911- 1912. Goût alliacé des vins nouveaux. Traitons nos vignes après les vendanges. A travers les Basses-Alpes : de Seyne à Bar- celonnette. Concours de ponte entre pou- les. — La fumure de l'oeillet. Multiplica- tion des pois de senteur par boutures.— Les Fleurs d'ornements pour l'hiver. —Culture forcée du Poivron. Conservation et emba- llage des Fruits. Echos agricoles et hor- ticoles. Bulletins vinicole et oléicole. Marchés aux Fleurs. Fruits et primeurs du Littoral et de Paris, etc. etc. La Petite Revue agricole et horticole (ig e année) qui paraît, tous les quinze jours en un fascicule de 24 pages illustré, est le jour- nal indispensable à tous, agriculteurs, horti- culteurs, propriétaires, amateurs, jardiniers. Abonnement : 6 francs par an. On s'abo- nne à toute époque de l'année, en adressant un mandat-poste de 6 francs à M. l'Admi- nistrateur de La Petite Revue agricole et horticole, à Antibes (Alp. Marit.) Numéro spécimen envoyé gratuite- ment sur demande. BULLETIN FINANCIER Ce 24 octobre 1912 Aussi calmes qu'en ces deux jours précé- dents, le marché toutefois,présente aujour- d'hui des dispositions plus fermes, ou du moins, résistantes. La décision prise ce ma- tin par le Reichsbank d'élever de 4Va% à 5^% le taux de sonescompte ne provoque aucune émotion, car la mesure était prévue et vient après celles analogues prises la semaine dernière par la Banque d'Angleterre et notre Banque de France. Peu d'écarts dans les cours, en raison du calme des transactions. A noter seulement une reprise de notre Rente à 89.75, ^ a * cr ~ meté du'Serbe à 71.50 et la résistance des principaux emprunts russes, quelques repri- ses sur nos Sociétés de Crédit et dans les compartiments industriels la clôture en fer- meté sur le Rio'à 1852 contre 1830 la veil- le, le groupe russe se tenant sur ses positions de la séance précédente. En Banque aucun écart appréciable, les industrielles russes elles-mêmes n'enregis- trent que des variations peu sensibles. On annonce que le 29 octobiv nmnnit la Ibero Platensc Crédit Foncier Hypothé caîre en République Argentine émettra 20.000 obligations hypothécaires 5% or de 500 fr. Ces obligations sont nettes de tous impots présents et à venir, tant en franco qu'en Argentine et les coupons de 12 fr. 50 sont payables le 1er mai et 1er novembre. Elles présentent les plus sérieuses ga- ranties, en effet, la Société délègue aux obligataires. i° Tous ses contrats hypothécaires de pre mier rang réalisés avec le produit du capi- tal actions et qui s'élève au 31 Décembre 1911 à environ 10 millions de fr. 2 e Tous les contrats hypothécaires réali- sés avec le produit de l'emprunt. 3 0 Toutes les hypothèques de premier rang prises en remploi des amortissements ou remboursements des prêts ci-dessus. L'emprunt est amortissable en 30 ans et dès la première année. Le bénéfice net, au 31 décembre 1911 s'é- levait à 1.917.909 fr. les réserves au 30 juin 1912, s'élèvent à r.836.456 fr., le capital ac- tuellement émis est de 13.200,000 fr. Sur le prix d'émission de 469 fr/50 (payables : 100 fr. en souscrivant et le sol- de du 4 au 9 novembre ) le placement res- sort à 5.32 % net de tous impots présents ou à venir. Les souscriptions sont reçues à la C le Parisienne de Crédit, de Banque et de Dé- pots, 47 rue de la Victoire, qui envoie gra- tuitement le prospectus sur demande. La notice officielle et le contrat d'em- prunt exigés par la loi argentine ont été transcrits au Registre public du Commerce a Bucnos-Ayros. Les statuts et la notice exigés par la loi française on été insérés au Bulletin des Anonces légales des 6 20 mai et 22 Juillet 1912. L'Informateur Financier, i6f rue Drouot, Parie. M me d'Amico la célèbre voyaûtect u nilHUU, cartomancienne italien- ne reçoit tous les jours de 8 h. du matin à 8 h. du soir. 7l rue Hoche (i« étage) Cunaei 88O7 BANQUESjECOMMAHEtgg Comptoir National d'Escompte de P»j?ln» s "? T Banque Populaire de Oaamoes CKÉDIT LYONNAIS Fond. I T«* IONS A EU1I1SCI _ REPETTO ET MOUQIN MECANICIENS AU RIOTJ _ CiMHKt! Q OC COCRQJVIVES ARTICLES FUNÉRAIRES 18, Kne de Châteaudnn, 18 MAUON DE CONFIANCE ANTOIHTE JE4M Gd i d Fantaisie* an tou charjc d« livrer potie quel »nicle. en p«rlei «1 neur» «rtlâcUllta — - U Malsoa •• LE CELEBRE */ RÉGEHERATEDB DES CHSVEDX Rend aux cheveui grisleur couleur et beauté naturelle! Supprime les pelli- cules et arrête U chute des cheveux. SE «ECOIIIIUEni 30 t«8 DE SUUil H '-«EVEIIE TOUJIUH CR0I8SIITE « prospectus tur dtmandi ENTREPOT: 2fi. Rue d'Bnffbien. PAMJM EN VENTE" PARTOUT Frwoi fra, c Dtfoillatrei CHOUROT, coiffeur-fart*m**r SANTEFORCE.ENERGI Le gérant : J. BEJOT. Société Anonyme d'Imprimeriei «t Journaux du Littoral. Société au capital de a5o.ooo francs,a^, rue Hoche, C*nQ«*.

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Cette intéressante rencontre sera précédée•d'un match entre l'équipe troisième de l'A. S.C. et l'équipe première de l'Elan de la Bocca.

Nul doute qu'une foule nombreuse ne se•rende à cette belle réunion sportive.

Chaussures Joseph.Le Roi de la chaussure !Le Roi du Bon Marché !!Samedi 26 et Dimanche 27, grande Vente-

réclame. Superbe prime à tout acheteur.Maison de confiance ouverte toute l'année.Ou demande une commise connaissant Ui

chaussure. Bons appointements.

Philharmonique Cannois?.Les membres de cette Société Musicale

ont décidé, dans leur dernière réunion, defêter dignement la fête de la Ste-Cécîlc ; laiête commencera par un grand bal du nuitdont on nous dit merveille, suivi d'un grandbanquet, les membres honoraires qui vou-dront assister à ce dernier, sont priés de sefaire inscrire tous les soirs de répétition, au.siège de la société, tous les mardis et ven-dredis, boulevard de la Ferrage.

"Blessés en travaillant. —Hier, nous avons relevé les accidents sui-

vants, parmi nos travailleurs.Ie Tartaro Charles, 40 ans, blessure infec-

tieuse du pied droit par suite d'une piqûre,•en marchant sur une pointe.

50 Blua Mathieu, 47 ans, journalier, con-tusion profonde à la caisse, par la chuted'un meuble.

L'incapacité de travail, scia de 20 à 25jours environ pour chacun de ces ouvriers.

ASSUREZ-VOUS contre les accidents àla Gie « Le Secours », a, rue Montai-gne, Cannes. 883o

BONNE OCCASION, à vendre, wagon-miette 4 roues, banquettes démontables. S'ad..bureau du journal.

Trouvaille.Un pardessus bleu marine a été trouvé

rue de Châtcaudun et déposé au poste du2èmc arrondissement

Les expulsés.Le nommé Solciigo Jean Pierre, Journa-

lier expnls.!: de France a été arrêté hiersoir par l'agent de la sûreté Susini. Il sera•déféré au Parquet.

ETAT-CIVIL du 25 Octobre 1912.Naissances. — Graglia Marie, Félicic,

.rue de la Tour.Mariages. — Néant.Décès. — Gastaud Marie, Louise, 10 mois,

chemin de Merville.

PUBLICATIONS DE MARIAGES duVendredi 25 Octobre 1912.

Entre •. Rosset Auguste, jardinier, et Thé-rèse G;ubi-n>, employée de commerce.

Kamom Félix, Georges, Gilbert, employé4e commerce, et Marie,Baptistine Arneodo,repasseuse.

Chazard Marius, employé de commerce,et Marie, Francelînc, Gaimc, repasseuse.

Chanalct Henri, Jean, chirurgien dentiste,et Cécile, Marie, Geneviève Ferrary, sans pro-cession.

Zancra Antoine, Baptiste, maçon, et Léo-nie, Antoinette Trabaud, sans profession.

Mani Charles, Georges, Emmanuel, comp-table, et Louise, Emma, Camille Mazadc,:sans profession.

Rhin Joseph, marin, et Antonia, HenrietteRouchi, conturiôrc.

Bcravdi Attilio, André, chauffeur d'autos,et Dea, Rosc, Madeleine Marzolini, coutu-rière.

Allais Louis, Alfred, Jean, Baptiste, élec-tricien, et Catherine, Augustine Vialc, cou-turière.

AVIS & COMMUNICATIONSAssociation Sportive de Cannes. —- Les

joueur-; suivants sont priés de se trouver di-manche, à 1 heure très précises, au Parc desSports, pour jouer contre l'Elan de la lîooca (1).

Armanet, Knonagd, Sou lié, Balitrand aî-né, Cazalic, L;ui!;irr, I )avaUlc, Brun, Ger-man, Scoffier, Am!rr;uii. Charrier.

Lu Commission.

DANS LA RÉGIONLE KOUKET

Banquet intime. — Pour fêter l'arriver desgrives dans notre pays, un groupe de chas-seurs du Rourct avait organisé, dimamhc,un banquet dans la grande salle de M. lin-gues Emile, où avaient été conviés plusieurs^mis, chasseurs émérites, des communes voi-sines :

Nous avons noté particulièrement :MM. Michel, procureur de la République,

à Grasse,et Charrier, maire de Caille, qui ontorganisé un poste à grives dans les bois deM. Roux, huissier honoraire ; MM. Civaltc,maire de Roquefort ; Mciffret, horticulteurà Bcaulicu ; Dozol Jacques ; Maffet, père etfils ; Dozol Célcstin et fils ; Pcllegrin, notai-re ; Agostini, conducteur des Ponts et Chaus-sées ; Dozol Marius ; Joulian ; Jnbelin frèreset Roux, huissier, du Bar ; Daumas, institu-teur el Koux André, de Grasse; HuguesEmile ; Ginnul, instituteur en retraite ; Gui-zol ; Isiuinl ; I lugues Jules ; Hugues Ma-rius ci Koux Désire, du Kouret, etc.

A midi, tous les convives ont pris placeautour d'une table magnifiquement décorée

par les soins de M. Meiifivt et ont fait hon-neur au nu-nu suivant, s;iv;unmerU préparépar M. Aivt-1, le vaicl du Rouret :

Hors-d'œuvrcs variés — Truites du Loupà ]JI Genevoise — Lièvre aux Cèpes — Grivesdu pays sur Canapé — Salade de saison —Gâteaux et Fruits — Vins du pays — Closdu Haut-Collet, Bourgogne et Valcttes.

Qcndant le repas, un orchestre de huit mu-siciens de la musique du Bar, a égayé la réu-nion par les plus gais morceaux de son réper-toire.

Au dessert, M. Hugues Emile a souhaitéUt bienvenue à tous les convives, les a remer-ciée d'avoir bien voulu honorer ce banquetde leur présence et a eu pour chacun d'euxun mot aimable ; on a ensuite trinqué auxfuturs exploits des chasseurs, à la France età la République et en se séparant, on s'estdonné rendez-vous ;\ l'amie'i- prochaine, em-portant de cette réimi<m le meilleur souve-nir.

Voici le discours de M. Hugues :

Messieurs et chers amis.C'est avec une joie profonde que je vous sa-

lue tous ici — réunis non pas seulement pourune partie de fête mais aussi en affirmationde la solidarité, de la confraternité des commu-nes diverses auxquelles nous appartenons.

Qu'il me soit permis tout d'abord d'offrirnos hommages au distingué magistrat qui abien voulu être des nôtres si simplement et sigentiment que nous en sommes tous émus.

Cette marque de sympathie qu'il nous donnsn'atténuant en rien le respect que nous devonsà sa personne et à sa fonction.

Je remercie en même temps M. Charrier,ledévoué maire de Caille, qui a bien voulu, luiaussi, être des nôtres el de rehausser par sa pré-sence, ce modeste banquet.

Je dirais aussi combien nous sommes tou-chés d'avoir à notre modeste table, notre excel-lent ami Civatte, maire de Roquefort.

Je ne voudrai pas oublier non plus notreami Mciffret, l'excellent horticulteur, qui estvenu de Beaulieu tout exprès pour assisterà ce banquet fraternel.

Et quant à vous, Messieurs et camarades,ces agapes fraternelles serviront à nous rappe-ler que nous devons tout faire pour être desamis dêvmtés aux intérêts de nos Communes.

Nous ne devons pas oublier qu'au dessusde foies égoïstes il y a les préoccupations géné-rales et que nous rencontrant ici pour le plai-sir vans pouvons, sans gâter cette distraction,penser à la collectivité.

ICncore une fois merci à vous tous, nos hôtes.Je bois à l'union sincère des deux paysvoisins,qui fait l'objet de ce banquet, et je fais desvœux po-ur que l'année prochaine nous so-yons ici en plus grand nombre. A vous ! A vosfamilles !

Vive le Rouret !Vive la République !!

MOUGINS

A mon ami intime Pitalugo Ier.

L E MAIRE-

Nous voilà bien sur la selletteMes bons amis, tenez moi bienJe crois que de ma pauvre têteDe bon il ne sortira rien.

1" DHOGMAN

Vous tenir, ah ? qu'elle insulte.Pour les électeurs Mougînois.Permettez que je vous ausculteVoyons, approchez-vous de moi.

2 e DROGMAN

Et moi pendant cette visiteJe serai seul à gouvernerComme le lièvre dans son gîteMes yeux ne devront se fermer.

LE MAIRE

M'ausculter, vous ni pensez guèreQue dirait-on dans le pays.Voyons quand vous faites la guerreSoyez battus, mais jamais pris.

icc DROGMAN

La guerre, ici, je vous arrêteCar je l'ai faite dans le temps,J'étuis alors pn-mic-r trompetteE t vou>, Ipniiipimiie s e u l e m e n t .

2 0 D H O G M A N

Allons, allons, pas de réclameC'est moi qui suis le commandantVoyons, montez-moi tous la gammeJe bâts la mesure en deux temps.

Lii MAIRE

Amis ne soyons pas si CuistresNous nous cachons, nous avons peurChacun comprend que je suis l'huîtreEt <\m- vous êtes les plaideurs.

LE SECRÉTAIRE éteignant la lampe.

Fermeras-tu un jour ta boîteJe vais t'escamoter les dents.Ta place est, eu montant, à droite.Adiou paouré Carémantrant !

Un Gascon.

Chronique du Cantonde Saint-Etienne

pon;-la lettre suivante, en

inier article :

Monsieur le Directeur.Votre corres pondant écrit sous cette

Chronique, dimanche- dernier, que le DocteurRovcry n'a rien, rien obtenu à la dernièresession du Conseil Général — nous sommestous d'accord sur ce point, et môme ses amisles plus dévoués le reconnaissent franche-ment — Mais, permettez-moi d'ajouter unrenseignement complémentaire. Vous sem-

blez dire que la somme de 13.000 francs votéepour le chemin du Prato n'avait été votéequ'en principe l'année dernière.

Erreur profonde !Cette somme a été votée, il y a 2 ans, pour

un premier lot d'un chemin muletier qui de-vait partir du l'ont Il>;iuf.

Sur ce, intervint une délibération du Con-seil Municipal de St-Duhuas, réclamant éner-giquement la conversion du chemin muletieren chemin carrossable.

M. Roustan s'employa de son mieux et ob-tint du Conseil Général que la somme de18.000 francs fut affectée au premier lot dechemin. Il y <\ de cela plus d'un an.

Voilà l'exacte vérité. Prenez d'ailleursl'annuaire du Conseil Général de l'annéedernière, et sous la rubrique a Chemins »,vous y verrez ce que j'avance.

Recevez, Monsieur le Directeur, mes salu-tations empressées.

E. F.

NominationNous avons appris avec ic plus grand plai-

sir, la nomination comme percepteur à St-Etienne de M. Nigcl, ancien receveur desDouanes.

Ce fonctionnaire, bien connu à St-Etienne,où il a laissé le meilleur souvenir, est assurédu meilleur acceuil de toute notre population.

Saint- Dalmas le SelvageUn apologue

Autrefois, à une époque lointaine, si loin-taine qu'elle en est mystérieuse, vivait dansun repli de nos Alpes, une paisible popula-tion de pasteurs.

Leur âme, ignorante des passions, pure etsereine comme le ciel de l'Attiquc ne reflé-tait que le cirque de leurs montagnes.

Ils berçaient leur rêve d'une vie future etd'un Dieu de Justice et d'amour, au mur-mure de leurs fontaines et de leurs eaux vives

Ces simples ignoraient les querelles quidéchiraient parfois leurs voisins, les blessu-res qui les aigrissaient. Leur échevin choisiparmi les meilleurs, apaisait les différendset triomphait des difficultés.

Leur bonheur était grand.Un jour (jour néfaste entre tous) tout

changea.D'une ville brumeuse des Gaules, arriva

un homme à l'esprit brouillon, au caractèreinquiet.

Il portait dans son cerveau toutes les bru-mes, tous les brouillards qu'il avait respiresau confluent des deux grands fleuves auxsources mystérieuses. La chute d'un bolideparmi ces simples ne les aurait pas troublésdavantage que l'arrivée de cet.homme.

Obéissant à cette loi inéluctable qui veutqu'on se montre d'autant plus sévère qu'onest incapable, il s'ingénia à tout critiquer.

Un Dieu unique, une vie ïuture, fictionsque tout cela !

Son dieu à lui, était le «zanzy».Bêtises aussi que ces mœurs patriarcales,

cette sage réserve dans les actes et dans lelangage.

Ses conversations favorites roulaient surles « bisquinettes ».

Pour les affaires publiques, ce fut pis ; toutétait à réformer ; en premier lieu il fallaitrenverser l'échevin et prendre sa place.

Un premier échec assagit notre homme.Plus prudent, il cacha son jeu, châtia son

langage, mit une sourdine à ses critiques, etse rendit à l'Abbaye tant et si bien que toutle monde s'y trompa.

L'échevin qu'il devait renverser, le soutint,et le révérend Père lui-même l'aida de toutesses forces.

Il arriva.(Tiré de Pline l'Ancien).

Pour copie conforme :Louis DUPONT.

Notre CommerceLe rapport tic M. Alfred. Picard sur

le commerce extérieur de la France esttoujours impatiemment attendu, caril fourmille de notations ingégnieuseset de clairs aperçus. Celui qui a traità d'année 1911 vient de paraître.

Nous y apprenons que nos échangesont atteint, cette année-là, au maxi-mum qui ait jamais été constaté : plusde 14 milliards, mais que la majora-tion se réfère exclusivement ù nos im-portations et que la croissam-e de cesentrées était imputable aux mauvaisesrécoltes.

Nous y apprenons atissi que la pro-gression de -notre trafic, môme si l'onfait abstraction de cet élément acci-dentel et regrettable, a été ininterrom-pue dans les dernières années. En 1911nous achetons et vendons pour cinqmililwir<ls -et demi de plus qu'en 1902.C'est un beau résultat.

Il est vrai que nos rivaux ont réali-sé des avantages tout aussi accusés,parfois iimme plus significatifs. L'An-gleterre, qui so classe au premier rang,est passée ilo T2 milliards à 31; l'Al-lemagne de 12.700 millions à 21.800millions et J'AnM'rifuio île 11.(100 mil-lions à 18.300 millions. Mais, lors-qu'on compare les grands pa\s indus-triels entr'eux, — et j'éliminerai toutde suite l'Angleterre qui a 400 mil-lions de sujets coloniaux, — il fauttenir compte de leur population. La

quote-part d'échanges d'un Améri-cain ressort à 200 francs, celle d'unAllemand à 325 francs et celle d'unFrançais à 375 francs. Cette confron-tation ne laisse pas d'être consolante.

L3S3S SPORTS

Nous rappelons que demain les équipespremières de l'Association Sportive de Can-nes et du Phocée-Club de Marseille se ren-contreront à 2 h. 3/4, sur le beau terrain duParc des Sports à la Bocca.

Voici la composition des équipes :

Phocêe-Club de Marseille :

RoussonR. Brunaux Tournond

Rcbuffat Rouge BracciniFerrât Giral Lombard Murrua Sisco (cap.)

+Robini Maurcl Borcl Rubcl (cap.) Bourrelyll

Beccaria Bourrely I PegliaseoGuibert Mapson

PlanaAssociation Sportive de Cannes.

Ce match sera précédé à 1 h. 1/4, par unerencontre entre l'Elan de la Bocca (1) etl'Association Sportive de Cannes (3).

La 2e équipe de l'A. S. C. ira jouer à St-Raphaël contre la 2e équipe du Stade Ra-phaëlois. Rendez-vous à la gare à n h., sontconvoqués les joueurs suivants :

Ricci, Vallégia, Comte, Cornette, Vahna-rini, Gallo, Guillon, Saorgin, ArtruS, Wild,Varaldi et Uucret.

FOOTBALL-CLUB DE CANNESAprès avoir enlevé brillamment le cham-

pionnat de France de Water-Polo, la jeunemais active société le Football-Club de Can-nes, qui, ne voulant pas dormir sur ses lau-riers, vient d'enlever la poule de classementde irB série en battant respectivement l'U-nion Sportive d'Antibes sur le terrain de laCroisette, par 4 buts à zéro et le Gymnaste-Club de Nice, au terrain Municipal de Nice,par 2 buts à zéro, et de ce fait se voit mon-ter en i re série. La lutte sera très chaudepour les championnats de football de la Côted'Azur de ir0 série, car nos jeunes joueursauront à cœur de se classer honorable-ment.

Demain dimanche, les équipes premièreet deuxième de football se rendront à Anti-bes pour jouer un match amical contre leséquipes correspondantes de l'Etoile Sportived'Antibes.

Les joueurs des deux équipes sont priés dese trouver à midi devant la gare, ainsi queles membres les accompagnant.

BIBLIO«ail*IIll3

La Petite Revue agricole et horticole, publicdans son numéro d'aujourd'hui les articlessuivants d'actualités signés des personnali-tés les plus autorisées :

Essais de Blés, pour le Midi, en 1911-1912. — Goût alliacé des vins nouveaux. —Traitons nos vignes après les vendanges. —A travers les Basses-Alpes : de Seyne à Bar-celonnette. — Concours de ponte entre pou-les. — La fumure de l'œillet. — Multiplica-tion des pois de senteur par boutures.— LesFleurs d'ornements pour l'hiver. —Cultureforcée du Poivron. — Conservation et emba-llage des Fruits. — Echos agricoles et hor-ticoles. — Bulletins vinicole et oléicole. —Marchés aux Fleurs. — Fruits et primeursdu Littoral et de Paris, etc. etc.

La Petite Revue agricole et horticole ( ig e

année) qui paraît, tous les quinze jours enun fascicule de 24 pages illustré, est le jour-nal indispensable à tous, agriculteurs, horti-culteurs, propriétaires, amateurs, jardiniers.

Abonnement : 6 francs par an. On s'abo-nne à toute époque de l'année, en adressantun mandat-poste de 6 francs à M. l'Admi-nistrateur de La Petite Revue agricole ethorticole, à Antibes (Alp. Marit.)

Numéro — spécimen envoyé gratuite-ment sur demande.

BULLETIN FINANCIER

Ce 24 octobre 1912Aussi calmes qu'en ces deux jours précé-

dents, le marché toutefois,présente aujour-d'hui des dispositions plus fermes, ou dumoins, résistantes. La décision prise ce ma-tin par le Reichsbank d'élever de 4Va%à 5^% le taux de sonescompte ne provoqueaucune émotion, car la mesureétait prévue et vient après celles analoguesprises la semaine dernière par la Banqued'Angleterre et notre Banque de France.

Peu d'écarts dans les cours, en raison ducalme des transactions. A noter seulementune reprise de notre Rente à 89.75, ^a *cr~meté du'Serbe à 71.50 et la résistance desprincipaux emprunts russes, quelques repri-ses sur nos Sociétés de Crédit et dans lescompartiments industriels la clôture en fer-meté sur le Rio'à 1852 contre 1830 la veil-le, le groupe russe se tenant sur ses positionsde la séance précédente.

En Banque aucun écart appréciable, lesindustrielles russes elles-mêmes n'enregis-trent que des variations peu sensibles.

On annonce que le 29 octobiv nmnnitla Ibero Platensc Crédit Foncier Hypothécaîre en République Argentine émettra20.000 obligations hypothécaires 5% or de500 fr. Ces obligations sont nettes de tousimpots présents et à venir, tant en francoqu'en Argentine et les coupons de 12 fr. 50sont payables le 1er mai et 1er novembre.

Elles présentent les plus sérieuses ga-ranties, en effet, la Société délègue auxobligataires.

i° Tous ses contrats hypothécaires de pre

mier rang réalisés avec le produit du capi-tal actions et qui s'élève au 31 Décembre1911 à environ 10 millions de fr.

2e Tous les contrats hypothécaires réali-sés avec le produit de l'emprunt.

30 Toutes les hypothèques de premierrang prises en remploi des amortissementsou remboursements des prêts ci-dessus.

L'emprunt est amortissable en 30 ans etdès la première année.

Le bénéfice net, au 31 décembre 1911 s'é-levait à 1.917.909 fr. les réserves au 30 juin1912, s'élèvent à r.836.456 fr., le capital ac-tuellement émis est de 13.200,000 fr.

Sur le prix d'émission de 469 fr/50(payables : 100 fr. en souscrivant et le sol-de du 4 au 9 novembre ) le placement res-sort à 5.32 % net de tous impots présentsou à venir.

Les souscriptions sont reçues à la Cle

Parisienne de Crédit, de Banque et de Dé-pots, 47 rue de la Victoire, qui envoie gra-tuitement le prospectus sur demande.

La notice officielle et le contrat d'em-prunt exigés par la loi argentine ont ététranscrits au Registre public du Commercea Bucnos-Ayros. Les statuts et la noticeexigés par la loi française on été insérés auBulletin des Anonces légales des 6 20 maiet 22 Juillet 1912.

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