Travail de recherche

Travail de recherche

La consommation d’eau potable chez la population universitaire de 18-24

ans

Michael GRENIERStéphanie HAMON

Lysandre LAMOTHEMarc-Antoine LAVOIE

Marie-Pier TRÉPANIER

Sujet de la recherche Les habitudes de la consommation

quotidienne de la population universitaire de 18-24 ans avec l’eau potable.

Vers une problématique…70 % de la surface de la terre est couverte

d'eau, seulement 2 % est potable.

Le Canada était le deuxième plus grand consommateur d'eau potable de la planète avec une consommation de 329 litres d’eau potable par personne au quotidien.

65% de l’utilisation totale de l’eau potable d’un ménage se situe dans la salle de bain.

Question de rechercheQuelles sont les habitudes de consommation

quotidienne de la population universitaire de 18-24 ans avec l’eau potable?

Définition des concepts et indicateurs

Suite…

Notre populationContrainte de temps

Proximité

Évaluer le futur…

La méthode retenueQualitativeInductive

La cueillette de donnéesFocus GroupsQuestions ouvertes

Les résultats et analyse

Se considérer consommateur moyen dédramatise le gaspillage

Le gaspillage n’est pas lié à leurs routines quotidiennes

Transposition du problème sur la génération antérieure

Se considérer consommateur moyen dédramatise le gaspillage

«Je dirais que je suis dans la moyenne.»«Moi je pense qu'un consommateur normal

c'est quelqu'un qui utilise l'eau potable pour des choses vitales si je peux dire. Boire, utiliser l'eau pour faire à manger sinon pour se laver évidemment si on n’utilise pas l'eau pour se laver on est un peu malpropre»

Le gaspillage n’est pas lié à leurs routines quotidiennes«Il y a moins d'activités liées à l'eau. C'est gelé l'hiver. »

«Moi je fais des brassées de lavage tous ensemble, je ne fais pas plein de brassées de lavage comme ça j’utilise juste une fois la laveuse.»

«Tout dépendamment de la douche, tu peux aussi, ça dépend, tu peux l’arrêter. Ça garde ton eau à la même température, mais ça fait juste la stopper, exemple le temps que tu te savonnes.»

Transposition du problème sur la génération antérieure « Arroser son asphalte vient avec la bedaine

et les cheveux en moins »

« Mais on s’entend que peut-être que les gens qui arrosent leur asphalte c’est peut-être pas des personnes qui ont 30 ans. »

« Les baby-boomers sont un peu moins conscientisés par rapport à tout ce qui est un peu plus écologique »

ConclusionPréoccupation de plus en plus importante

Objectifs de la Stratégie québécoise d’économie d’eau potable

Dissonance entre les connaissances et les gestes posés

OuverturesPossibilité de modifier les habitudes de vie

ancrées, malgré qu’ils ne voient pas encore les conséquences dans l’avenir?

Est-ce que les campagnes de sensibilisation ont réellement un impact sur les habitudes de consommation?

Est-ce qu’il y a suffisamment de campagnes de sensibilisation sur l’eau potable au Québec?