SRC - SAV - La lumière

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Diapositives cours 1ière année SRC

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SRC 1 - M21Systemes audiovisuels et systemes de transmission

Systemes de transmission

F. Morain-Nicolierfredric.nicolier@univ-reims.fr

CRESTIC - URCA/IUT Troyes

15 decembre 2008

1

Table des matieres

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

2

3/64

Intro

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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Intro

Chaine de communication

source - codeur - trans. trans. - decodeur - destinatairecanal

info. emise message emis signal emis

signal recu message recu info. recue

4

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Intro

Chaine de communication

source - codeur - trans. trans. - decodeur - destinatairecanal

info. emise message emis signal emis

signal recu message recu info. recue

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Intro

Chaine de communication

En langage de communication, il y a transfert d’information de l’emetteur (ousource) vers le recepteur (ou destinataire).

Une des principales caracteristiques du canal de transmission (fil, cable, fibre,etc ...) est la “transparence” : le canal ne doit pas deformer l’informationtransportee. Ceci est impossible en realite, le signal est deforme, attenue parle canal. En general, le canal ajoute aussi du bruit au signal.

Le canal ne peut pas transporter un signal oscillant trop vite (de trop grandefrequence), il est caracterise par sa bande passante. De maniere equivalente,il ne pourra pas transmettre correctement des impulsions tres breves troprapprochees dans le temps.

Il faut qu’il existe un code pour exprimer le resultat a transmettre a l’aide desymboles constituant un message.

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Intro

Chaine de communication

En langage de communication, il y a transfert d’information de l’emetteur (ousource) vers le recepteur (ou destinataire).

Une des principales caracteristiques du canal de transmission (fil, cable, fibre,etc ...) est la “transparence” : le canal ne doit pas deformer l’informationtransportee. Ceci est impossible en realite, le signal est deforme, attenue parle canal. En general, le canal ajoute aussi du bruit au signal.

Le canal ne peut pas transporter un signal oscillant trop vite (de trop grandefrequence), il est caracterise par sa bande passante. De maniere equivalente,il ne pourra pas transmettre correctement des impulsions tres breves troprapprochees dans le temps.

Il faut qu’il existe un code pour exprimer le resultat a transmettre a l’aide desymboles constituant un message.

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Intro

Chaine de communication

En langage de communication, il y a transfert d’information de l’emetteur (ousource) vers le recepteur (ou destinataire).

Une des principales caracteristiques du canal de transmission (fil, cable, fibre,etc ...) est la “transparence” : le canal ne doit pas deformer l’informationtransportee. Ceci est impossible en realite, le signal est deforme, attenue parle canal. En general, le canal ajoute aussi du bruit au signal.

Le canal ne peut pas transporter un signal oscillant trop vite (de trop grandefrequence), il est caracterise par sa bande passante. De maniere equivalente,il ne pourra pas transmettre correctement des impulsions tres breves troprapprochees dans le temps.

Il faut qu’il existe un code pour exprimer le resultat a transmettre a l’aide desymboles constituant un message.

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Intro

Chaine de communication

En langage de communication, il y a transfert d’information de l’emetteur (ousource) vers le recepteur (ou destinataire).

Une des principales caracteristiques du canal de transmission (fil, cable, fibre,etc ...) est la “transparence” : le canal ne doit pas deformer l’informationtransportee. Ceci est impossible en realite, le signal est deforme, attenue parle canal. En general, le canal ajoute aussi du bruit au signal.

Le canal ne peut pas transporter un signal oscillant trop vite (de trop grandefrequence), il est caracterise par sa bande passante. De maniere equivalente,il ne pourra pas transmettre correctement des impulsions tres breves troprapprochees dans le temps.

Il faut qu’il existe un code pour exprimer le resultat a transmettre a l’aide desymboles constituant un message.

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Information

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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Information

Information

La theorie de l’information est nee avec Claude Shannon avec son article “AMathematical Theory of Communications” publie en 1948.

L’information est une quantite abstraite mesurable dont la valeur ne dependpas de ce sur quoi porte l’information, de la meme facon que la longueur aune valeur independante de la nature de la chose qui est longue.

L’information est reliee a l’ensemble des formes possibles de realisation d’unevenement au sens large

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Information

Information

La theorie de l’information est nee avec Claude Shannon avec son article “AMathematical Theory of Communications” publie en 1948.

L’information est une quantite abstraite mesurable dont la valeur ne dependpas de ce sur quoi porte l’information, de la meme facon que la longueur aune valeur independante de la nature de la chose qui est longue.

L’information est reliee a l’ensemble des formes possibles de realisation d’unevenement au sens large

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Information

Information

La theorie de l’information est nee avec Claude Shannon avec son article “AMathematical Theory of Communications” publie en 1948.

L’information est une quantite abstraite mesurable dont la valeur ne dependpas de ce sur quoi porte l’information, de la meme facon que la longueur aune valeur independante de la nature de la chose qui est longue.

L’information est reliee a l’ensemble des formes possibles de realisation d’unevenement au sens large

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Information

Information

La theorie de l’information est nee avec Claude Shannon avec son article “AMathematical Theory of Communications” publie en 1948.

L’information est une quantite abstraite mesurable dont la valeur ne dependpas de ce sur quoi porte l’information, de la meme facon que la longueur aune valeur independante de la nature de la chose qui est longue.

L’information est reliee a l’ensemble des formes possibles de realisation d’unevenement au sens large

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un evenement

Soit un evenement

Cet evenement peut nous apprendre quelque chose

Le minimum de ce qu’il peut apprendre, c’est sa survenue, le simple fait qu’ilse soit produit.

La theorie de l’information s’arrete a ce minimum

On ne tient pas compte de la signification que cet evenement peut avoir oupas.

Ainsi, la survenue d’un evenement apporte d’autant plus d’information qu’iletait imprevu

si nous savions avec certitude que cet evenement doit se produire, sa survenuene nous apprends rien.si nous n’etions pas surs de sa survenue, alors celle-ci leve une incertitude, etnous apprends donc quelque chose.

L’information apportee par un evenement est d’autant plus grande que saprobabilite de survenue etait faible

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Information

Quantite d’information d’un message

Pour une source x comportant n symboles, la definition de Shannon :

H(x) = −∑

i

p(i) log2 p(i)

p(i) est la probabilite du symbole xi

La quantite H(x) represente non pas la quantite d’information vehiculee parle message tout entier, mais sa valeur moyenne par symbole.

La fonction H s’applique non pas a un message particulier, mais a unensemble de messages qui utilisent tous le meme nombre de symbolesdifferents avec la meme distribution de probabilites, c’est a dire un alphabet(au sens large).

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Information

Quantite d’information d’un message

Pour une source x comportant n symboles, la definition de Shannon :

H(x) = −∑

i

p(i) log2 p(i)

p(i) est la probabilite du symbole xi

La quantite H(x) represente non pas la quantite d’information vehiculee parle message tout entier, mais sa valeur moyenne par symbole.

La fonction H s’applique non pas a un message particulier, mais a unensemble de messages qui utilisent tous le meme nombre de symbolesdifferents avec la meme distribution de probabilites, c’est a dire un alphabet(au sens large).

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Information

Quantite d’information d’un message

Pour une source x comportant n symboles, la definition de Shannon :

H(x) = −∑

i

p(i) log2 p(i)

p(i) est la probabilite du symbole xi

La quantite H(x) represente non pas la quantite d’information vehiculee parle message tout entier, mais sa valeur moyenne par symbole.

La fonction H s’applique non pas a un message particulier, mais a unensemble de messages qui utilisent tous le meme nombre de symbolesdifferents avec la meme distribution de probabilites, c’est a dire un alphabet(au sens large).

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Information

Quantite d’information d’un message

Pour une source x comportant n symboles, la definition de Shannon :

H(x) = −∑

i

p(i) log2 p(i)

p(i) est la probabilite du symbole xi

La quantite H(x) represente non pas la quantite d’information vehiculee parle message tout entier, mais sa valeur moyenne par symbole.

La fonction H s’applique non pas a un message particulier, mais a unensemble de messages qui utilisent tous le meme nombre de symbolesdifferents avec la meme distribution de probabilites, c’est a dire un alphabet(au sens large).

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sources

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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sources Sources sonores

Le son

Le son est une onde produite par la vibration mecanique d’un support fluideou solide et propagee grace a l’elasticite du milieu environnant sous formed’ondes longitudinales.

Frequence (en Hertz) liee a la hauteur.Frequence faible ⇒ son graveFrequence elevee ⇒ son aigu

Perception possible entre 20Hz et 20kHz

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sources Sources sonores

La lumiere

Lumiere = onde electromagnetique et/ouensemble de corpuscules (photons)

Une frequence ⇒ une couleur

La plupart des sources delivrent un melangede plusiers radiations monochromatiques⇒ lumiere polychromatique(exception : laser)

Si toutes les frequences sont presentes⇒ lumiere blanche (ou grise selonl’intensite)

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sources Sources lumineuses

La lumiere

Longueur d’onde (distance parcourue pendant une periode) :

λ = cT =c

ν

ou ν est la frequence de l’onde associee.

L’aspect corpusculaire apparait lors de l’interaction de la lumiere avec lamatiere,

Energie d’un photon = hν = EΦ

ou h est la constante de Plank.

29

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

La lumiere : dualite onde-corpuscule

Experience des fentes d’Young. ⇒ consistea faire interferer deux faisceaux de lumiereissus d’une meme source.

Apparition de franges d’interferences

mise en evidence la nature ondulatoire de lalumiere.

si la source emet un photon a la foisdetectes un par un sur l’ecran.

Selon des lois classiques il est impossibled’interpreter ce phenomene.

interpretation quantique : photon = fonctiond’onde (probabilite de presence)

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sources Sources lumineuses

Notions de photometrie

Les grandeurs visuelles sont relatives a la sensation lumineuse⇒ elles correspondents a la reponse donnee par l’oeil humain.

Les grandeurs energetiques sont relatives a tous les autres detecteurs

Tous les detecteurs sont sensibles a l’energie ou a la puissance durayonnement recu.

41

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sources Sources lumineuses

Flux d’une source de lumiere

Flux energetique Φ emis

C’est l’energie totale rayonne par cette source dans tout l’espace par seconde.C’est donc une puissance qui s’exprime en watts (W).Pour une source monochromatique,

Φ ∼ Intensite, i.e. (amplitude de l’onde)2.

Pour une source polychromatique,

Φ =

Z ∞0

C(λ)dλ

ou C(λ) est la puissance emise a la longueur d’onde λ.

6

-0

C(λ)

λ

Φ(λ))

42

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sources Sources lumineuses

Flux d’une source de lumiere

Flux visuel FLie a l’impression visuelle de l’oeil qui n’a pas la meme sensibilite pour toutesles longueurs d’ondes.La C.I.E. (Commission Internationale de l’Eclairage) a defini une courbe desensibilite relative typique S(λ) pour un observateur standard.⇒ courbe moyenne relative a la vision diurne (photoptique)

6

-0

S(λ)

λ(nm)380 555 780

1

La reponse spectrale de la source est alors ponderee par S(λ) :

F = Km

Z ∞0

C(λ)S(λ)dλ

ou Km = 685lm/W.L’unite du flux visuel est le lumen (lm).43

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sources Sources lumineuses

Intensite dans une direction

Intensite energetique :

IE =dΦ

ou dΦ est le flux elementaire envoye dans le petit angle solide dΩ.Unite : watts par steradians (W/sr).

Intensite visuelle :

Iv =dF

dΩ.

Unite : lumens par steradians = candela (cd).1 cd ∼ intensite d’une bougie.

44

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sources Sources lumineuses

Eclairements et luminances

L’eclairement est le flux recu par unite de surface :

EE =dΦ

dS ′ Ev =dF

dS ′

Unite energetique : W/m2.

Unite visuelle : lm/m2 = lux.

La luminance est une intensite par unite de surface (dans une directiondonnee) :

LE =dIE

dS cosαLv =

dIvdS cosα

Unite energetique : W/sr m2.

Unite visuelle : cd/m2.

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sources Sources lumineuses

La couleur

L’origine des theories sur la perception de lacouleur remonte a Newton (1642-1727).

Un prisme divise la lumiere solaire en unspectre complet des couleurs.⇒ Premiere theorie :la couleur percue depend de la longueurd’onde qui excite l’oeil.

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sources Sources lumineuses

La couleur

L’origine des theories sur la perception de lacouleur remonte a Newton (1642-1727).

Un prisme divise la lumiere solaire en unspectre complet des couleurs.

⇒ Premiere theorie :la couleur percue depend de la longueurd’onde qui excite l’oeil.

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sources Sources lumineuses

La couleur

L’origine des theories sur la perception de lacouleur remonte a Newton (1642-1727).

Un prisme divise la lumiere solaire en unspectre complet des couleurs.⇒ Premiere theorie :la couleur percue depend de la longueurd’onde qui excite l’oeil.

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple

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sources Sources lumineuses

La couleur : le prisme

Separation des differentes longueurs d’ondede la lumiere blanche.

Differentes couleurs alignees des rouges auxviolets.

Certaines couleurs sont absentes :brun, mauve ou rose par exemple⇒ Ces couleurs doivent avoir pour origineautre chose qu’une lumieremonochromatique simple.

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sources Sources lumineuses

La couleur : melange

Lorsque deux longueurs d’onde se combinent, nous ne voyons pas deuxcouleurs, mais une nouvelle creee par le melange.

Il est impossible pour l’humain de determiner l’ensemble initial.(Cela differe de l’audition ou les notes qui composent un accord peuvent etreidentifiees)

De plus certains melanges semblent neutraliser leur couleur respective :ex. : bleu-vert (λ = 490nm) + jaune-rouge (lambda = 600nm) = gris incolore⇒ il s’agit de couleurs complementaires.

Il s’agit donc de trouver le moyen d’exprimer les relations existantes entretoutes les perceptions possibles des couleurs.⇒ cercle des couleurs, solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : melange

Lorsque deux longueurs d’onde se combinent, nous ne voyons pas deuxcouleurs, mais une nouvelle creee par le melange.

Il est impossible pour l’humain de determiner l’ensemble initial.(Cela differe de l’audition ou les notes qui composent un accord peuvent etreidentifiees)

De plus certains melanges semblent neutraliser leur couleur respective :ex. : bleu-vert (λ = 490nm) + jaune-rouge (lambda = 600nm) = gris incolore⇒ il s’agit de couleurs complementaires.

Il s’agit donc de trouver le moyen d’exprimer les relations existantes entretoutes les perceptions possibles des couleurs.⇒ cercle des couleurs, solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : melange

Lorsque deux longueurs d’onde se combinent, nous ne voyons pas deuxcouleurs, mais une nouvelle creee par le melange.

Il est impossible pour l’humain de determiner l’ensemble initial.(Cela differe de l’audition ou les notes qui composent un accord peuvent etreidentifiees)

De plus certains melanges semblent neutraliser leur couleur respective :ex. : bleu-vert (λ = 490nm) + jaune-rouge (lambda = 600nm) = gris incolore⇒ il s’agit de couleurs complementaires.

Il s’agit donc de trouver le moyen d’exprimer les relations existantes entretoutes les perceptions possibles des couleurs.⇒ cercle des couleurs, solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : melange

Lorsque deux longueurs d’onde se combinent, nous ne voyons pas deuxcouleurs, mais une nouvelle creee par le melange.

Il est impossible pour l’humain de determiner l’ensemble initial.(Cela differe de l’audition ou les notes qui composent un accord peuvent etreidentifiees)

De plus certains melanges semblent neutraliser leur couleur respective :ex. : bleu-vert (λ = 490nm) + jaune-rouge (lambda = 600nm) = gris incolore⇒ il s’agit de couleurs complementaires.

Il s’agit donc de trouver le moyen d’exprimer les relations existantes entretoutes les perceptions possibles des couleurs.⇒ cercle des couleurs, solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : cercle chromatique

Cercle chromatique :Position des couleurs selon leur longueurd’onde sur un cercle.

Couleurs complementaire : position opposees

Systeme visuel humain : sensible de 380nma 780nm

En fait les longeurs d’ondes se rejoignent.

Le cercle chromatique ne peut rendrecompte de tous les phenomenes de la visiondes couleurs.⇒ solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : cercle chromatique

Cercle chromatique :Position des couleurs selon leur longueurd’onde sur un cercle.

Couleurs complementaire : position opposees

Systeme visuel humain : sensible de 380nma 780nm

En fait les longeurs d’ondes se rejoignent.

Le cercle chromatique ne peut rendrecompte de tous les phenomenes de la visiondes couleurs.⇒ solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : cercle chromatique

Cercle chromatique :Position des couleurs selon leur longueurd’onde sur un cercle.

Couleurs complementaire : position opposees

Systeme visuel humain : sensible de 380nma 780nm

En fait les longeurs d’ondes se rejoignent.

Le cercle chromatique ne peut rendrecompte de tous les phenomenes de la visiondes couleurs.⇒ solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : cercle chromatique

Cercle chromatique :Position des couleurs selon leur longueurd’onde sur un cercle.

Couleurs complementaire : position opposees

Systeme visuel humain : sensible de 380nma 780nm

En fait les longeurs d’ondes se rejoignent.

Le cercle chromatique ne peut rendrecompte de tous les phenomenes de la visiondes couleurs.⇒ solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : cercle chromatique

Cercle chromatique :Position des couleurs selon leur longueurd’onde sur un cercle.

Couleurs complementaire : position opposees

Systeme visuel humain : sensible de 380nma 780nm

En fait les longeurs d’ondes se rejoignent.

Le cercle chromatique ne peut rendrecompte de tous les phenomenes de la visiondes couleurs.⇒ solides des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : solides des couleurs

Pour representer n’importe quelle couleur, trois attributs psychologiquesindependants sont requis :

la teinte, la saturation et la brillance.

Teinte : signification normale de la couleur. Ce qui varie avec la longueurd’onde.

Saturation : quantite relative a la purete de la radiation. Gris : saturation =zero.

Brillance ou Luminance : expression de l’intensite ou de la vivacite d’unecouleur. Notion qui n’existe pas sur le cercle des couleurs.

Une couleur est donc formee par la combinaison de trois composantes :tri-chromie⇒ espace colorimetriques : TSL, RVB, ...(il est possible de passer de l’un a l’autre par une transformation decoordonnees 3D)

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sources Sources lumineuses

La couleur : solides des couleurs

Pour representer n’importe quelle couleur, trois attributs psychologiquesindependants sont requis :

la teinte, la saturation et la brillance.

Teinte : signification normale de la couleur. Ce qui varie avec la longueurd’onde.

Saturation : quantite relative a la purete de la radiation. Gris : saturation =zero.

Brillance ou Luminance : expression de l’intensite ou de la vivacite d’unecouleur. Notion qui n’existe pas sur le cercle des couleurs.

Une couleur est donc formee par la combinaison de trois composantes :tri-chromie⇒ espace colorimetriques : TSL, RVB, ...(il est possible de passer de l’un a l’autre par une transformation decoordonnees 3D)

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sources Sources lumineuses

La couleur : solides des couleurs

Pour representer n’importe quelle couleur, trois attributs psychologiquesindependants sont requis :

la teinte, la saturation et la brillance.

Teinte : signification normale de la couleur. Ce qui varie avec la longueurd’onde.

Saturation : quantite relative a la purete de la radiation. Gris : saturation =zero.

Brillance ou Luminance : expression de l’intensite ou de la vivacite d’unecouleur. Notion qui n’existe pas sur le cercle des couleurs.

Une couleur est donc formee par la combinaison de trois composantes :tri-chromie⇒ espace colorimetriques : TSL, RVB, ...(il est possible de passer de l’un a l’autre par une transformation decoordonnees 3D)

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sources Sources lumineuses

La couleur : solides des couleurs

Pour representer n’importe quelle couleur, trois attributs psychologiquesindependants sont requis :

la teinte, la saturation et la brillance.

Teinte : signification normale de la couleur. Ce qui varie avec la longueurd’onde.

Saturation : quantite relative a la purete de la radiation. Gris : saturation =zero.

Brillance ou Luminance : expression de l’intensite ou de la vivacite d’unecouleur. Notion qui n’existe pas sur le cercle des couleurs.

Une couleur est donc formee par la combinaison de trois composantes :tri-chromie⇒ espace colorimetriques : TSL, RVB, ...(il est possible de passer de l’un a l’autre par une transformation decoordonnees 3D)

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sources Sources lumineuses

La couleur : solides des couleurs

Pour representer n’importe quelle couleur, trois attributs psychologiquesindependants sont requis :

la teinte, la saturation et la brillance.

Teinte : signification normale de la couleur. Ce qui varie avec la longueurd’onde.

Saturation : quantite relative a la purete de la radiation. Gris : saturation =zero.

Brillance ou Luminance : expression de l’intensite ou de la vivacite d’unecouleur. Notion qui n’existe pas sur le cercle des couleurs.

Une couleur est donc formee par la combinaison de trois composantes :tri-chromie⇒ espace colorimetriques : TSL, RVB, ...(il est possible de passer de l’un a l’autre par une transformation decoordonnees 3D)

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sources Sources lumineuses

La couleur : quelques espaces colorimetriques

RVB (cube de Maxwell)

Espace de couleur standard pour les images numeriques

Luminance peu accessible, existence de valeurs negatives des coordonnees

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sources Sources lumineuses

La couleur : quelques espaces colorimetriques

TLS (HSV : Hue - Saturation - Value)

Tres proche de la perception humaine des couleurs

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sources Sources lumineuses

La couleur : quelques espaces colorimetriques

XYZ (X : luminance, YZ : deuxchrominances)

Projection bidimensionnelle : diagramme dechromacite (x,y)

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sources Sources lumineuses

La couleur : quelques espaces colorimetriques

XYZ (X : luminance, YZ : deuxchrominances)

Projection bidimensionnelle : diagramme dechromacite (x,y)

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sources Sources lumineuses

La couleur : quelques espaces colorimetriques

XYZ (X : luminance, YZ : deuxchrominances)

Projection bidimensionnelle : diagramme dechromacite (x,y)

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capteurs

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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capteurs

Effet photoelectrique

L’effet photoelectrique est l’emissiond’electrons par un materiau, generalementmetallique lorsque celui-ci est expose a lalumiere ou un rayonnementelectromagnetique de frequencesuffisamment elevee, qui depend dumateriau.

Ne peut etre explique si l’on considere lalumiere comme une onde.

Interpretation de Einstein :

La lumiere est composee de corpuscules,des photonsLes photons possedent une energie hν (νest la frequence de la lumiere)

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capteurs

Effet photoelectrique

Dans la matiere

les electrons sont lies aux noyaux,exigent pour devenir libres une energie El .

L’absorption d’un photon va provoquer la liberation d’un electron si

EΦ ≥ El .

De facon generale l’interaction lumiere-matiere libere :

des paires e/trou dans les isolants et semi-conducteurs intrinseques,des e dans les semi-conducteurs dopes P,des trous dans les semi-conducteurs dopes N.

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capteurs

Caracterisitiques generales : longueur d’onde de seuil

Seuls les photons d’energie hν ≥ El peuvent donner naissance au processusde detection, donc

ν ≥ El

h

or λ =c

ν

⇒ λ ≤ hc

El.

Il existe donc une longeur d’onde maximale de la lumiere susceptible d’etredetectee, la longueur d’onde de seuil :

λs (microns) =1, 237

El (eV).

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capteurs

Caracterisitiques generales : longueur d’onde de seuil

Seuls les photons d’energie hν ≥ El peuvent donner naissance au processusde detection, donc

ν ≥ El

h

or λ =c

ν

⇒ λ ≤ hc

El.

Il existe donc une longeur d’onde maximale de la lumiere susceptible d’etredetectee, la longueur d’onde de seuil :

λs (microns) =1, 237

El (eV).

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capteurs

Caracterisitiques generales : longueur d’onde de seuil

Seuls les photons d’energie hν ≥ El peuvent donner naissance au processusde detection, donc

ν ≥ El

h

or λ =c

ν

⇒ λ ≤ hc

El.

Il existe donc une longeur d’onde maximale de la lumiere susceptible d’etredetectee, la longueur d’onde de seuil :

λs (microns) =1, 237

El (eV).

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capteurs

Propotionnalite au flux incident

Si Φ est le flux energetique monochromatique incident.

Le nb moyen ni de photons arrivant par seconde sur le photodetecteur est :

ni =Φ

hν=λΦ

hc.

Le nb moyen na de photons atteignant chaque seconde le materiauphotoelectrique pour y etre absorbes est :

na = Tni = TλΦ

hc

ou T est le coefficient de transmission des couches traversees.

Le nombre moyen G de porteurs liberes chaque seconde par effetphotoelectrique est :

G = ηna = ηTλΦ

hc

ou η est le rendement quantique.80

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capteurs

Courant d’obscurite

En prenant comme grandeur de sortie le courant I traversant le composant,

I = Ip + I0.

Ip est le courant photoelectrique,

I0 est le courant d’obscurite (courant observe en sortie lorsque lephotodetecteur est place dans l’obscurite), causes :

excitation thermique,rayonnement ambiant.

Les fluctations de ce courant se traduisent par un bruit de fond.

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capteurs

CCD

1970 : CCD = Charge Coupled Device⇒ Systeme a transfert de charges

1984 : premiere camera CCD professionnellecouleur.

groupe de cellules juxtaposees quicommuniquent entre elles,⇒ une cellule se charge, puis se vide dans savoisine.

cellule = photocapacite MOS.

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capteurs

La photocapacite MOS

metal

oxyde

s.-c. dope P

/

)

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capteurs

La photocapacite MOS

metal

oxyde

s.-c. dope P

/

)

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capteurs

La photocapacite MOS : polarisation

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

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capteurs

La photocapacite MOS : polarisation

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

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capteurs

La photocapacite MOS : polarisation

+

+

+

+

+

++ +

+

+

+

+

+

++

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capteurs

La photocapacite MOS : accumulation

+

+

+

+

+

++ +

+

+

+

+

+

++

+f -f~

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capteurs

La photocapacite MOS : accumulation

+

+

+

+

+

++ +

+

+

+

+

+

+++f -f

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capteurs

La photocapacite MOS : accumulation

+

+

+

+

+

++ +

+

+

+

+

+

++-f -f-f -f-f -f-f -f-f -f-f -f -f -f-f -f

-f -f-f -f

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capteurs

CCD : principe

il faut transmettre les charges pour liberer la cellule pour qu’un nouveau cyclepuisse commencer.

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capteurs

CCD : principe

il faut transmettre les charges pour liberer la cellule pour qu’un nouveau cyclepuisse commencer.

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capteurs

CCD : principe

il faut transmettre les charges pour liberer la cellule pour qu’un nouveau cyclepuisse commencer.

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capteurs

CCD : transfert de charges

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capteurs

CCD : transfert de charges

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capteurs

CCD : transfert de charges

1 Les charges sont transferees dans lescolonnes de stockage,

2 les charges sont transferees vers le registrede sortie,

3 les charges sont evacuees en serie.

Faible surface photosensible

1 Apres le temps d’integration, l’obturateurest ferme et les charges sont transfereesdans le registre horizontal,

2 les charges sont evacuees en serie.

grande sensibilite (astronomie)

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capteurs

CCD : transfert de charges

Transfert de trame

Les charges sont transferees dans la surfacede stockage,

les charges sont transferees vers le registrede sortie,

les charges sont evacuees en serie.

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capteurs

CCD : acquisition de la couleur

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capteurs

CCD : acquisition de la couleur

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capteurs

acquisition de la couleur : tri-CCD et Foveon

Principe du prisme

Foveon

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capteurs

acquisition de la couleur : tri-CCD et Foveon

Principe du prisme

Foveon

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capteurs

CCD : smearing

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capteurs

CCD : smearing

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codage

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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codage

Codage le plus simple

La methode de codage la plus simple est d’utiliser autant de symbolesdifferents que de resultats possibles.

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codage

Codage le plus simple

La methode de codage la plus simple est d’utiliser autant de symbolesdifferents que de resultats possibles.

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codage

Codage de Huffman

Associer un nombre de bits proportionel a la probabilite d’apparition dusymbole.

Regrouper les symboles les moins probables en un noeud affecte de la sommedes probabilites

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codage

Codage de Huffman

Associer un nombre de bits proportionel a la probabilite d’apparition dusymbole.

Regrouper les symboles les moins probables en un noeud affecte de la sommedes probabilites

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codage

Codage RLE (Run Length Encoding)

Technique du garcon de cafe !

Efficace avec les messages uniformes.

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codage

Codage RLE (Run Length Encoding)

Technique du garcon de cafe !

Efficace avec les messages uniformes.

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transduction

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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transduction

modulation AM

signal

porteuse

signal module

La modulation d’amplitude est unetechnique utilisee pour moduler un signal.Elle consiste en la multiplication du signal amoduler par un signal de frequence pluselevee.

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transduction

modulation AM

signal

porteuse

signal module

La modulation d’amplitude est unetechnique utilisee pour moduler un signal.Elle consiste en la multiplication du signal amoduler par un signal de frequence pluselevee.

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transduction

modulation AM

signal

porteuse

signal module

La modulation d’amplitude est unetechnique utilisee pour moduler un signal.Elle consiste en la multiplication du signal amoduler par un signal de frequence pluselevee.

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transduction

modulation AM

signal

porteuse

signal module

La modulation d’amplitude est unetechnique utilisee pour moduler un signal.Elle consiste en la multiplication du signal amoduler par un signal de frequence pluselevee.

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transduction

modulation FM

Un exemple de modulation de frequence. Enhaut, le signal (en rouge) superpose avec la

frequence porteuse (en vert). En bas, leresultat du signal (en bleu) une fois module

par la frequence.

L’information est portee par unemodification de la frequence de la porteuse,et non par une variation d’amplitude

La modulation de frequence est plus robusteque la modulation d’amplitude pourtransmettre un message dans des conditionsdifficiles (attenuation et bruit importants).

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transduction

modulation FM

Un exemple de modulation de frequence. Enhaut, le signal (en rouge) superpose avec la

frequence porteuse (en vert). En bas, leresultat du signal (en bleu) une fois module

par la frequence.

L’information est portee par unemodification de la frequence de la porteuse,et non par une variation d’amplitude

La modulation de frequence est plus robusteque la modulation d’amplitude pourtransmettre un message dans des conditionsdifficiles (attenuation et bruit importants).

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transduction

modulation FM

Un exemple de modulation de frequence. Enhaut, le signal (en rouge) superpose avec la

frequence porteuse (en vert). En bas, leresultat du signal (en bleu) une fois module

par la frequence.

L’information est portee par unemodification de la frequence de la porteuse,et non par une variation d’amplitude

La modulation de frequence est plus robusteque la modulation d’amplitude pourtransmettre un message dans des conditionsdifficiles (attenuation et bruit importants).

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transduction

Modulation numerique

Si analogique ⇒ conversion en numerique

Le codage NRZ (signifiant No Return toZero, soit Non Retour a Zero) est le premiersysteme de codage, car le plus simple.

Il consiste tout simplement a transformer les0 en -X et les 1 en +X, de cette facon on aun codage bipolaire dans lequel le signaln’est jamais nul.

Par consequent, le recepteur peutdeterminer la presence ou non d’un signal.

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transduction

Modulation numerique : NRZI

Lorsque le bit est a 1, le signal changed’etat apres le top de l’horloge. Lorsque lebit est a 0, le signal ne subit aucunchangement d’etat.

Avantages :

La detection de la presence ou non dusignalLa necessite d’un faible courant detransmission du signal

Inconvenients :

presence d’un courant continu lors d’unesuite de zero, genant la synchronisationentre emetteur et recepteur

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transduction

Modulation numerique : Manchester

Introduit une transition au milieu de chaqueintervalle. Il consiste en fait a faire un OUexclusif (XOR) entre le signal et le signald’horloge.

Se traduit par un front montant lorsque lebit est a zero, un front descendant dans lecas contraire.

Avantages :

le non passage par zero, rendant possiblepar le recepteur la detection d’un signal,un spectre occupant une large bande.

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canal

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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canal

Canal de transmission

La transmission de donnees sur un support physique se fait par propagationd’un phenomene vibratoire

Les ondes electromagnetiques sont caracterisees par leur frequence, leuramplitude et leur phase

Types de supports physiques :

filaires permettent de faire circuler une grandeur electrique sur uncable generalement metallique,

aeriens designent l’air ou le vide, ils permettent la circulation d’ondeselectromagnetiques ou radioelectriques diverses,

optiques permettent d’acheminer des informations sous formelumineuse.⇒ Selon le type de support physique, la grandeur physique aune vitesse de propagation plus ou moins rapide

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canal

Perturbations

La transmission de donnees sur une ligne ne se fait pas sans pertes.

Tout d’abord le temps de transmission n’est pas immediat, ce qui impose unecertaine ”synchronisation” des donnees a la reception.

Parasites :

Le bruit blancLes bruits impulsifs

Affaiblissement⇒ perte de signal en energie dissipee dans la ligne.

Distortion⇒ dephasage entre le signal en entree et le signal en sortie.

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canal

Capacite et bande passante

La bande passante (en anglais bandwidth) d’une voie de transmission estl’intervalle de frequence sur lequel le signal ne subit pas un affaiblissementsuperieur a une certaine valeur (generalement 3 dB, car 3 decibelscorrespondent a un affaiblissement du signal de 50%)

Une ligne de telephone a par exemple une bande passante comprise entre 300et 3400 Hertz.La capacite d’une voie est la quantite d’informations (en bits) pouvant etretransmis sur la voie en 1 seconde. ⇒ unite en bps125

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Biblio

1 Introduction

2 Notion d’information

3 Sources sonores et lumineusesSources sonoresSources lumineuses

4 Capteurs de lumiere

5 Codage de l’information

6 Transduction du message

7 Le canal de transmission

8 Quelques references

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Biblio

Ouvrages

“Acquisition et visualisation des images”, A. Marion, Eyrolles

“Les secrets de l’image video”, P. Bellaıche, Eyrolles

“Mesure physique et instrumentation”, D. Barchesi, ellipses

“L’organisation biologique et la theorie de l’information”, H. Atlan, Seuil

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