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Eastrategies Page 1 Actualité macro-économique en Roumanie Population : 19,947 millions d’habitants PIB en 2014 : 151,47 milliards EUR PIB par habitant en 2014 : 7.500 EUR/habitant Croissance en 2014 : +2,8 % Croissance prévisionnelle en 2015 : +4 % Flux net d’IDE en 2013 : 2,71 milliards EUR Salaire minimum brut garanti à partir du 1er juillet 2015 : 235 EUR (1.050 RON) Salaire moyen brut mensuel, en octobre 2015 : 586 EUR (2.594 RON) Taux d’inflation en 2014 : 1,1 % Taux de chômage en juillet 2015 : 4,9 % Place de la France dans les échanges commerciaux : 3ème client, 4ème fournisseur Stock IDE français en 2011 : env. 7 milliards EUR, France – 3ème rang parmi les investisseurs étrangers Cours EUR/RON au 18.12.2015 : 1 EUR = 4,5145 RON NOUVEAUTES Décembre 2015 Correspondant Bretagne Commerce International, Fédération des Industries Mécaniques (FIM) et BNP Paribas Fortis

Les actualités de la Roumanie pour le Mois de Décembre 2015

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Actualité macro-économique en Roumanie

Population : 19,947 millions d’habitants

PIB en 2014 : 151,47 milliards EUR

PIB par habitant en 2014 : 7.500 EUR/habitant

Croissance en 2014 : +2,8 %

Croissance prévisionnelle en 2015 : +4 %

Flux net d’IDE en 2013 : 2,71 milliards EUR

Salaire minimum brut garanti à partir du 1er juillet 2015 : 235 EUR (1.050 RON)

Salaire moyen brut mensuel, en octobre 2015 : 586 EUR (2.594 RON)

Taux d’inflation en 2014 : 1,1 %

Taux de chômage en juillet 2015 : 4,9 %

Place de la France dans les échanges commerciaux : 3ème client, 4ème fournisseur

Stock IDE français en 2011 : env. 7 milliards EUR, France – 3ème rang parmi les investisseurs étrangers

Cours EUR/RON au 18.12.2015 : 1 EUR = 4,5145 RON

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Actualité politico-économique en Roumanie

Tendances de l'évolution de l'activité économique dans la période Novembre 2015 - Janvier 2016 :

• croissance modérée de l'activité dans le secteur des services

• tendance à la baisse de l'activité et du nombre d'employés dans la construction

• relative stabilité des prix dans tous les secteurs économiques

L’industrie de transformation

Dans l'enquête de conjoncture réalisée en Novembre 2015, les dirigeants de l’industrie de transformation pré-

voient pour les trois prochains mois, une stabilité relative du volume de production (solde conjoncturel + 2%).

L'activité de fabrication de produits pharmaceutiques de base et des préparations pharmaceutiques enregistrera

une tendance de croissance (solde conjoncturel + 36%), tandis que la fabrication de boissons enregistrera une ten-

dance à la baisse plus accentuée (solde conjoncturel -41%). Pour les prix des produits industriels, une relative sta-

bilité est prévue dans les trois prochains mois (solde conjoncturel + 1%). En ce qui concerne le nombre d'em-

ployés, on estime une relative stabilité, le solde conjoncturel étant de -1%.

La construction

Selon les estimations de Novembre 2015, l'activité de la construction va enregistrer pour les trois prochains mois

une diminution du volume de production (solde conjoncturel -30%) et du stock de contrats et commandes (solde

conjoncturel -28%). Les dirigeants estiment une diminution du nombre d'employés (solde conjoncturel -16%). En

ce qui concerne les prix des travaux de construction, une relative stabilité est attendue (solde conjoncturel -2%).

Le commerce de détail

Dans le secteur de la distribution, les dirigeants ont estimé pour les trois prochains mois une tendance de relative

stabilité de l'activité économique (solde conjoncturel -2%). Les employeurs prévoient pour les trois prochains mois

une augmentation du nombre d'employés (solde conjoncturel +16%). Le volume des commandes aux fournisseurs

de biens lancées par les unités de commerce va enregistrer une relative stabilité (solde conjoncturel -4%). Pour la

prochaine période, les dirigeants des sociétés commerciale estiment une relative stabilité des prix de détail (solde

conjoncturel + 1%).

Les services

Selon les estimations de Novembre 2015, la demande de services (chiffre d'affaires) connaîtra une croissance mo-

dérée au cours des trois prochains mois (solde conjoncturel + 11%). Dans le secteur des services, on estime que le

nombre d'employés restera relativement stable (solde conjoncturel -2%). Selon l'opinion des dirigeants, les prix de

vente ou de facturation des services auront une tendance de relative stabilité (solde conjoncturel +1%). (Source: Institut National de la Statistique)

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Evolution de l’agriculture roumaine dans l’UE : Selon une étude de la Commission européenne, en 2013, la Fran-

ce et l’Espagne exploitaient près de 30% des terres agricoles des pays membres de l’Union européenne avec res-

pectivement 15,9% et 13,4% des terres mise en production en 2013. Viennent ensuite le Royaume Uni (9,9%),

l’Allemagne (9,6%), la Pologne (8,3%), la Roumanie (7,5%) et l’Italie (6,9%). Mais c’est la Roumanie qui compte le

plus d’exploitations en activité, 8 fois plus d’exploitations que la France , soit un total de 3,7 millions et 33,% du

total des fermes européennes pour 7,5% des terres exploitées dans l’Union. Il s’agit dans bien des cas d’une agri-

culture de subsistance au point que 41% des chefs d’exploitations roumains avaient 65 ans et plus en 2013. Mais

ils ne sont pas seuls dans ce cas. C’est également vrai pour les paysans portugais (50%) , chypriotes (40%), Italiens

(39,7%), Bulgares(36,7%), lituaniens (34%), espagnols et croates (33,3%). En France, ce chiffre tombe à 12,4% et il

n’est que de 6,5% en Allemagne. S’agissant de la taille moyenne des exploitations en 2013, elle était de 58,7 hec-

tares en France, et de 3,6 hectares en Roumanie. (Source : www.humanite.fr)

Hausse spectaculaire du marché automobile roumain en novembre : Le marché de l'automobile a connu une for-

te hausse le mois dernier en Roumanie avec 8.022 nouveaux véhicules immatriculés, contre 5.669 en novembre

2014. Cette augmentation de 41,5%, la plus forte en Europe, est trois fois plus élevée que la moyenne européen-

ne, en hausse de « seulement » 13,7% sur ce même mois de novembre. Ces chiffres ont été communiqués par

l'Association des constructeurs européens d'automobiles, l'ACEA. Pour ce qui est des 11 premiers mois de l'année,

72.423 voitures ont été immatriculées en Roumanie, soit une hausse de 12,1% par rapport à 2014. Au niveau eu-

ropéen, plus largement, là encore le marché est en hausse avec 1.08 millions de voitures immatriculées en no-

vembre dernier, soit une hausse de 13,7% par rapport à l'année précédente. Les hausses les plus importantes sont

enregistrées en Espagne -augmentation de 25,4%- et en Italie -23,5%. Les deux plus gros marchés de l'automobile

au niveau européen, la France et l'Allemagne, ont connu quant à eux une hausse de respectivement 11,3% et

8,9%. Enfin, et à nouveau selon l'ACEA, les ventes PSA Peugeot Citroën ont augmenté de 13,6% tandis que celles

de la marque Renault seraient en hausse de 18,9%, toujours sur ce mois de novembre. (Source : Lepetitjournal.com/Bucarest)

CTP a finalisé la reprise du projet Bucharest West Industrial Park auprès de Portland Trust : Le développeur et

l’investisseur international CTP annonce la finalisation du procès d'acquisition du projet Bucharest West Industrial

Park, détenu par Portland Trust. Après l'acquisition de ce projet, CTP devient le plus grand développeur industriel

sur le marché roumain. La transaction s’élève à plus de 60 millions d’euros, selon les données du marché. Le parc,

rebaptisé CTPark Bucarest, a une surface totale de 130.000 mètres carrés avec une surface supplémentaire de 11

hectares pour le développement de projets futurs. CTPark Bucarest accueille plusieurs locataires dont DSV, Iron

Mountain, Tibbett Logistics, Equest Logistics et Welde Romania. En Roumanie, en moins d'un an, le groupe CTP a

acheté 350.000 mètres carrés d’espaces logistiques, soit 20% du marché. « CTP continue à se développer en Rou-

manie grâce à des acquisitions et à l'aide de clients existants. Les atouts du portefeuille CTP sont démontrés par la

volonté de nos clients de nous rejoindre en Roumanie. Nous avons récemment signé un contrat record de location

avec Quehenberger Logistics pour 19.000 m² dans CTPark Bucharest West, un signe que la demande d'espace in-

dustriel est forte en Roumanie », a déclaré Laurentiu Catalin Hanu, directeur du développement CTP Roumanie.

En Roumanie, CTP est en concurrence avec P3, détenue par des fonds d'investissement américains, Alinso de Bel-

gique, Globalworth, contrôlée par l‘homme d’affaires Ioannis Papalekas et les Australiens de Valad. (Source : www.profit.ro)

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NEXANS : Le parc éolien Babadag III d'EnergoBit S.A. en Roumanie, d'une puissance de 30 MW, transmettra son

énergie au réseau sur 140 km de conducteurs et accessoires haute température fournis par Nexans. La ligne élec-

trique existante Babadag-Tulcea Vest de 110 kV n'offre pas une capacité suffisante pour le transport de l'énergie

produite par le nouveau parc éolien d'EnergoBit. Les conducteurs haute température ACSS/TW BRANT de Nexans

vont doubler la capacité de la ligne sans accroître la charge mécanique. L'augmentation de capacité des conduc-

teurs le long de cette ligne aérienne de 44 km permet au parc éolien de fonctionner avec l'infrastructure existan-

te, au moindre coût et pour un maximum d'efficacité. Forte d'une capacité de 194 MVA, la nouvelle ligne pourra

transporter une quantité de courant 63 % supérieure au système en place, et ce à la même température. Les

conducteurs ACSS permettent également de réduire de 16 % les pertes par effet Joule tout en opérant à la même

intensité de courant que l'actuel système ACSR. Stefan Gadola, Directeur Général d'EnergoBit S.A., commente : «

Nous avons choisi de travailler avec Nexans en raison de son expérience de la fourniture de composants de service

pour le secteur de l'éolien et des énergies renouvelables en général, ainsi que sa réputation de fiabilité, de sécuri-

té et de qualité. » « Prolongeant un partenariat déjà vieux de dix ans, Nexans se réjouit de collaborer sur un autre

projet avec EnergoBit S.A, non seulement pour répondre aux besoins du parc éolien Babadag III, mais aussi pour

contribuer à renforcer la sûreté de l'approvisionnement énergétique en Roumanie », ajoute Cyprien Federspiel,

Directeur des Ventes et du Marketing Haute Tension Terrestre pour Nexans. Le parc éolien Babadag III est situé à

Dobrogea, dans le sud-est de la Roumanie. Les conducteurs seront fabriqués à l'usine Nexans Benelux d'Elouge en

Belgique. (Source : www.zonebourse.com)

CARREFOUR : Le 25 novembre dernier Carrefour Roumanie a ouvert les portes de son premier hypermarché Car-

refour dans la ville de Timisoara et le 29e dans le pays, au sein du Shopping City center, le plus récent centre com-

mercial de Timisoara. Déjà présent à Timisoara avec 6 supermarchés Market et avec une superficie 10 fois supé-

rieure à celle d'un supermarché, l'hypermarché Carrefour Timisoara offre à ses clients une large gamme de pro-

duits (plus de 50.000 références), tant alimentaires que non alimentaires, et de nombreux services. L'hypermar-

ché Carrefour de Timisoara dispose d'une surface de vente de 7.800m² avec des rayons traditionnels boucherie,

traiteur- rôtisserie-pizza, boulangerie et confiserie. Facile d'accès par les transports en commun de la ville, le ma-

gasin propose également un parking gratuit de 1.800 places à ses clients. L'ouverture du magasin a permis la créa-

tion de 300 nouveaux emplois. Carrefour Timisoara porte également une attention particulière à l'environnement

grâce à des installations qui réduisent la consommation d'électricité et les émissions de dioxyde de carbone com-

me par exemple l'éclairage LED qui réduit la consommation d'électricité de 35 %, les systèmes de réfrigération qui

réduisent les émissions de dioxyde de carbone de plus de 900 tonnes par an, ainsi que la déviation vers les lieux

de stockage annexes aux magasins de la chaleur générée par le système de réfrigération, ce qui élimine tout be-

soin d'utiliser d'autres sources d'énergie. (Source : www.zonebourse.com)

Entreprises françaises en Roumanie

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LEROY MERLIN : L’enseigne de distribution française Leroy Merlin, positionnée sur la construction, l’amélioration

et la décoration de l’habitat, a annoncé qu’elle disposera de 8 points de vente à son concept en Roumanie, fin

2015. Un réseau qui sera porté à 17 unités avant octobre 2016. Ainsi, l’équipe locale dirigée par Frédéric Lamy

aura-t-elle transformé en moins de deux ans les 15 magasins rachetés fin 2014 à l’enseigne autrichienne Baumax.

Avec cet investissement, Leroy Merlin entend profiter au maximum du dynamisme du marché local. « Le marché

de la construction en Roumanie a crû de 10% sur les neuf premiers mois de l’année, rappelle Frédéric Lamy. Les

Roumains adorent leurs maisons. Ils y consacrent 10 à 12% de leurs revenus. Et les besoins sont énormes car le

parc, bâti essentiellement entre 1960 et 1980, nécessite un important travail de rénovation, notamment thermi-

que. » Le marché roumain des matériaux et équipements pour le résidentiel est donc un marché de volume. «

Ceux qui veulent travailler ici doivent être prêts à assumer de grosses quantités », confirme le patron de Leroy

Merlin Roumanie. D’autant plus qu’après des années de marché en situation de pénurie, le client roumain est très

à cheval sur la disponibilité du produit. En revanche, étant donné le niveau de vie moyen (revenu moyen par mé-

nage autour de 400 euros), c’est un marché de prix bas. « Les fournisseurs le savent, même les grandes marques

dont les Roumains sont très demandeurs, les prix de vente peuvent être trois fois inférieurs à ceux des marchés

d’Europe de l’Ouest », souligne Frédéric Lamy. Malgré les prix bas, les fournisseurs français sont présents. Malgré

cette pression sur les marges, le potentiel du marché a donc convaincu Leroy Merlin. Mais pas seulement. Le lea-

der du marché, le roumain Dedeman (chiffre d’affaires record en 2014 à 758 millions d’euros) annonce un objectif

de 50 points de vente pour 2017. Son concurrent Arabesque – plus positionné sur les matériaux et le second œu-

vre technique avec 18 entrepôts – approchera les 340 millions d’euros de ventes en 2015. Et les grands acteurs

internationaux sont là : Brico Dépôt est arrivé en 2013 en rachetant Bricostore (15 points de vente). L’allemand

Hornbach a ouvert en 2015 son sixième magasin. Praktiker (27 unités), racheté en 2014 par le turc Search Chemi-

cals, a ouvert 5 magasins en 2015 et vise les 45 points de vente pour 2017. « La distribution moderne capte déjà la

moitié de ce marché estimé entre 3,2 et 4 milliards d’€, note Frédéric Lamy. La consolidation des réseaux est en

marche et le commerce traditionnel, plutôt spécialisé sur de petits segments, va céder des parts de marché. » (Source : www.lemoniteur.fr)

ECOSLOPS : Ecoslops a annoncé avoir signé une lettre d'intention avec l'entreprise roumaine Grup Servicii Petro-

liere (GSP) afin d'étudier l'implantation d'une unité de recyclage des résidus pétroliers dans le port de Constanta,

au bord de la mer Noire. Une étude sera en conséquence menée pour explorer la faisabilité de cette installation.

En cas d'issue positive de celle-ci, les 2 groupes créeront une joint venture pour construire et gérer la structure et

en commercialiser ses produits. Sur la côte ouest de la mer Noire, le port de Constanta est l'un des principaux cen-

tres de distribution de produits pétroliers pour l'Europe centrale et de l'Est et est connecté, via les canaux mer

Noire - Danube et Danube - Rhin, au port de Rotterdam où GSP est également implanté. Du port de Constanta, ou

se trouve la raffinerie de Petromidia (d'une capacité annuelle de 5 millions de tonnes), propriété du groupe Kaz-

MunayGas - Rompetrol, cette unité pourrait notamment collecter les résidus pétroliers des ports bulgares, turcs,

ukrainiens, russes et géorgiens. Ce projet s'inscrit dans la foulée de la démonstration de la capacité de l'outil in-

dustriel de Sinès à recycler et valoriser la quasi-intégralité des résidus pétroliers, en carburant marin et produits

techniques pour les marchés du bâtiment et de la construction. Il conforte par ailleurs l'ambition d'Ecoslops, an-

noncée lors de son introduction en Bourse, d'avoir 3 nouvelles unités industrielles opérationnelles d'ici 2017. (Source : http://votreargent.lexpress.fr)

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Le gouvernement annule l’augmentation prévue du salaire minimum : Le gouvernement roumain a annoncé

vendredi 4 décembre le gel provisoire du salaire minimum brut à 1.050 lei, soit 235 euros, alors que l’ancien exé-

cutif avait promis sa majoration à 1.200 lei à compter du 1er janvier 2016. Selon le nouveau gouvernement « tech-

nique » de Dacian Cioloş, nommé en réponse à la colère sociale de début novembre, une telle mesure aurait «

déstabilisé » le marché du travail. Une telle mesure aurait risqué d’affecter de manière significative la compétitivi-

té, a déclaré la ministre des Finances, Anca Dragu, pour justifier cette décision, rapporte l’agence nationale de

presse Agerpres. Le secteur privé aurait risqué d’être bouleversé, notamment par une « migration » vers le mar-

ché du travail au noir, explique-t-elle. (Source : www.courrierdesbalkans.fr)

Le PIB a atteint environ 498,5 milliards de lei (111,27 milliards d’euros) sur les neuf premiers mois, en hausse de

3,7% : Le Produit intérieur brut estimé pour le troisième trimestre a été de 195.77 milliards de lei (43,69 milliards

d’euros) prix courants, sur série brute, en hausse de 3,6% en termes réels par rapport à la même période de l'an

dernier et au cours des neuf premiers mois a augmenté de 3,7%, à environ 498,5 milliards de lei (111,27 milliards

d’euros), selon l'Institut National de la Statistique. D’après les données corrigées des variations saisonnières, le PIB

estimé pour Juillet-Septembre s’est élevé à 178.43 milliards de lei (39,65 milliards d’euros) prix courants, en haus-

se de 1,4% par rapport au trimestre précédent, en termes réels, et de 3,6% par rapport à la même période de l'an-

née dernière, selon un communiqué de l'Institut national de statistique (INS). Le PIB a été estimée à environ

527,59 milliards lei (117,24 milliards d’euros) prix courants sur les neuf premiers mois, en hausse annuelle de

3,7%. La croissance du PIB enregistrée dans la période Janvier - Septembre a été tirée par tous les secteurs de

l'économie, à l'exception de l'agriculture, de la sylviculture et de la pêche. Ainsi, le commerce de gros et de détail,

la réparation de voitures et de motocyclettes, le transport et le stockage, l’hôtellerie et la restauration avaient une

contribution de 1,1%, soit une part de 16,7% du PIB et dont le volume d’activité a augmenté de 7,1%. Le secteur

des informations et des communications a contribué de 0,8%, représentant une part du PIB plus faible (6,7%),

mais a enregistré une augmentation du volume d’activité de 12,8%. L'industrie a contribué de 0,5% (soit une part

de 22,7% du PIB et dont le volume d’activité a augmenté de 2%) et les impôts nets sur les produits avaient une

contribution de 0,8% (soit une part de 12,6% du PIB et dont le volume d’activité a augmenté de 6,3%). (Source : http://stirile.rol.ro)

Bulletin financier

Evénements

EXPO FLOWERS & GARDEN (7 - 10.04.2016) : www.expoflowers.ro

Salon international de fleurs, aménagement paysager, horticulture et jardinage – 8ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

CONSTRUCT EXPO (7 - 10.04.2016) : www.constructexpo.ro

Salon international de technologies, équipements, outillages et matériaux pour constructions - 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

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ROMTHERM (7 - 10.04.2016) : www.romtherm.ro

Salon international d’installations et d’équipements de chauffage, refroidissement et de conditionnement de l’air

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

AMBIENT EXPO (7 - 10.04.2016) : www.ambient-expo.ro

Salon international de produits et systèmes pour aménagements intérieurs et extérieurs, décorations, mobilier et

piscines - 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

ROMENVIROTEC (7 - 10.04.2016) : www.romenvirotec.ro

Salon international de technologies et d’équipements de protection de l’environnement – 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

ROMMEDICA (14 – 16.04.2016) : www.rommedica.ro

Salon international de médicine et pharmacie – 26ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

AUTOEXPOTEHNICA (22 – 24.04.2016) : www.autoexpotehnica.ro

Salon international de composants et accessoires pour l’industrie automobile – 4ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

À l'aube du Nouvel An ...

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PROGRAMME NATIONAL DE DÉVELOPPEMENT RURAL 2014-2020

Sous-mesure 6.2 « Soutien à la création d’activités non agricoles en milieu rural »

PROGRAMME NATIONAL DE DÉVELOPPEMENT RURAL 2014-2020

Programme financé par l'Union européenne et le Gouvernement roumain à travers le

FONDS EUROPÉEN AGRICOLE POUR LE DÉVELOPPEMENT RURAL

OBJECTIFS DU FINANCEMENT

1. Création de nouvelles activités non agricoles, en particulier pour les petits agriculteurs ou les membres de

leurs familles et, en général, pour les petits entrepreneurs en zones rurales;

2. Diversifier l'économie rurale par l’augmentation du nombre de micro entreprises et petites entreprises dans le

secteur non-agricole, le développement des services et la création des emplois dans les zones rurales;

3. Encourager le maintien et le développement des activités traditionnelles.

DEMANDEURS ET PARTENAIRES ÉLIGIBLES

Les demandeurs éligibles pour le soutien financier non remboursables accordé en vertu de cette sous-mesure

sont:

• Les agriculteurs ou les membres d’un ménage agricole qui diversifient leur activité en mettant en place une

activité non agricole pour la première fois en milieu rural (personnes autorisés ayant un statut minimal de

PFA);

• Les micro-entreprises et les petites entreprises existantes en milieu rural, qui envisagent de réaliser des activi-

tés non agricoles qu'ils n’ont pas effectuées jusqu'à la date de soumission de la demande d'aide;

• Micro entreprises et petites entreprises nouvelles, créées dans l’année de la soumission de la demande d’aide

ou dans les trois années fiscales précédentes, qui n’ont eu aucune activité jusqu'à la soumission de la deman-

de (start-ups).

Les demandeurs éligibles doivent faire partie de la catégorie :

• Micro entreprise – maximum 9 employés et réalise un chiffre d’affaires annuel net ou possède des actifs to-

taux de jusqu’à 2 millions d’euros, l’équivalent en lei;

• Petite entreprise – de 10 à 49 employés et réalise un chiffre d’affaires annuel net ou possède des actifs totaux

de jusqu’à 10 millions d’euros, l’équivalent en lei.

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DEPENSES ÉLIGIBLES

L’aide financière est accordée pour atteindre les objectifs du Plan d'affaires. Toutes les dépenses proposées dans

le Plan d'affaires, y compris les fonds de roulement et la capitalisation de l'entreprise et les activités importantes

pour la bonne mise en œuvre du plan d'affaires approuvé, peuvent être éligibles, indépendamment de leur natu-

re. Les types d'opérations et les dépenses éligibles seront en conformité avec la liste des codes CAEN éligibles au

financement en vertu de la sous-mesure 6.2, l'annexe 7 du Guide du demandeur.

CONDITIONS MINIMALES OBLIGATOIRES

Afin de bénéficier d'un soutien en vertu de la sous-mesure 6.2, le demandeur d’aide doit remplir les conditions

suivantes:

• Faire partie de la catégorie des bénéficiaires éligibles;

• Présenter un Plan d'affaires pour déployer des activités non agricoles;

• L'objectif devrait être représenté par au moins l’un des types d'activités soutenues par la sous-mesure 6.2;

• Le siège social et le site / les sites de travail où sera déployée l'activité non agricole pour laquelle on demande

l’aide financière doivent être situés en milieu rural et l’activité sera déployée en milieu rural. Par exception,

pour les entités exerçant également des activités agricoles qui sont prioritaires dans la sélection, le site / les

sites de travail de ces activités agricoles peuvent être situés en milieu urbain.

• La mise en œuvre du Plan d'affaires doit commencer dans un délai de maximum neuf mois après la date de la

décision d'accorder la soutien.

VALEUR DE L’AIDE FINANCIERE NON REMBOURSABLE ACCORDEE

L’aide financière public non remboursable se conformera à la disposition R (CE) no. 1407/2013 sur le soutien de

minimis et ne dépassera pas 200.000 euros / bénéficiaire sur 3 ans fiscaux et est de 50.000 euros / projet, avec la

possibilité d'augmenter le soutien à la valeur de 70.000 euros / projet pour les activités de production, les services

médicaux, sanitaires-vétérinaires et d’agrotourisme, sur la base d’un Plan d’affaires.

Le soutien sera accordé sous la forme d’une prime en deux versements, comme suit:

• 70% du montant de la prime après la signature du Contrat de financement ;

• 30% de montant de la prime sera accordée à condition que le plan d'affaires soit respecté, dans un délai de

cinq ans à compter de la signature du contrat de financement.

Avec nous vers la réussite à l’international !

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du marché, implantation, délocalisation, sous-

traitance, recherche partenaires, exportations … en

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Fortis, est présente sur le marché roumain depuis 20 ans et son activité consiste à proposer aux

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· Recherche de partenaires export/import, joint-venture

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· Recherche de sous traitants

· Assistance Juridique

· Assistance personnalisée aux PME

· Recherche de synergie entre PME et grands groupes

Marc Pascal HUOT

Fondateur de Eastrategies,

Directeur Général – Associé

17, rue C.A Rosetti

Secteur 2, Bucarest

Roumanie

PO BOX 22 - 103

Téléphone : +4021527016

Télécopie: +40215270310

Email : [email protected]

Site web : www.eastrategies.ro