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L’Enfant du souvenir « Quand un moment d’égarement devient une vie de douleur ! » Michaël ALAIN

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L’En

fant

du

souv

enir L’Enfant du souvenir

« Quand un moment d’égarement devient une vie de douleur ! »

Michaël ALAIN

9.56 620863

----------------------------INFORMATION----------------------------Couverture : Classique

[Roman (134x204)] NB Pages : 108 pages

- Tranche : 2 mm + (nb pages x 0,07 mm) = 9.56 ----------------------------------------------------------------------------

L’Enfant du souvenir « Quand un moment d’égarement devient une vie de douleur ! »

Michaël ALAIN

Mic

haël

ALA

IN

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Préface

La vie réserve parfois des surprises que l’on n’imagine pas ! L’histoire qui va suivre est la mienne, bien que les circonstances qui m’ont amener la où j’en suis n’était pas prévisible à ce point là ! Quand on n’est étudiante, donc insouciante la vie vous paraît facile ! Mais cela est sans compter, les imprévues, donc voilà où je suis aujourd’hui ! Il y à cinquante ans j’étais à paris dans une école d’architecture, et un soir avec des amis on décida de sortir pour nous changer les idées ! Durant cette douce soirée, j’ai rencontré un homme, moi qui n’avais que 20 ans ! Nous étions partie pour passer une très belle soirée ! Le lendemain ce fut la douche froide, les belles paroles n’étaient plus de mise et me voilà repartie pour chez moi, façon de dire car ce fameux chez moi ! Était une chambre d’étudiante que mes parents m’avaient louer le temps de mes études à paris, moi qui suit Américaine ! La suite est une accumulation qui à aboutit à une douleur qui même aujourd’hui me fait mal rien que d’y

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penser ! Mais plus encore, ses de savoir qu’à nouveau la vie me sépare de mon fils, et cette fois-ci pour toujours ! Le pire dans tout cela c’est que mon histoire, cela est trop dur pour moi il est préférable, que je m’arrête la car la douleur es si forte, qu’une émotion de plus et je le rejoindrais !

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Nous sommes en 1960, année ou je vais finir mes

études d’architecture. Enceinte évidemment à peine a sept mois de la fin des mes études ! L’homme qui avait passer cette fameuses nuit avec moi, je ne l’es plus revue ! Ne pouvant pas faire autrement, j’ai donc téléphoner a mes parents car ce sont eux qui me donne les moyens de vivre et d’étudier ici à paris ! Dés lors qu’ils furent au courant ce fut pour moi comme une avalanche de reproche, alors que je rechercher des conseils, mais surtout une aide moral et bien entendu financière ! Une fois qu’ils arrivèrent à paris, la première chose qu’ils firent était la suivante :

Le père : Tu te rencontes dans quel embarra que tu nous

mes ?

Babette : Je le sais bien papa, mais c’était une nuit ou je suis

tomber enceinte, mais je ne voulais pas cela, nous étions sortie juste pour passer une bonne soirée et comme j’avais un peu bu je n’es rien pu faire !

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Le père : Et celui qui est responsable de cela ou est-il ?

Babette : Je ne les plus revue, il est partie sans laisse

d’adresse !

Le père : En ce qui te concerne, tu ne pourras pas revenir

avec cette enfant ! Pour cela tu le confiras à la DDASS, et tu reviendras avec nous dés que tu auras accouché, et ce n’est pas discutable, tu as assez fait comme cela !

Babette : Maman raisonne papa, c’est mon enfant ! Ton

petit fils ou petite fille !

La mère : Tu as commis cet acte, tu en subiras les

conséquences ! Tu n’as rien à dire ! As tu compris cette fois ci ?

Babette : Une seule chose cependant, je pourrait le ou la

voir avant de repartir ?

Le père : Oui bien sur !

Le temps passa, et le jour de l’accouchement arriva. A la naissance ce fut un garçon, bien sur Babette le pris dans ces bras tout en pleurent, sachant ce qu’il aller lui arriver ! Le jour ou Babette en compagnie de ces parents, devait apporter l’enfant a la

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DDASS, elle ressentit ce moment la comme une déchirure qui ne pourrait ce refermer et ceci pour l’éternité ! Bien des années passa sans que Babette n’es eu une pensée pour son fils qu’elle du abandonner à paris ! Cependant elle ce souvint qu’avant de repartir elle dit a ces parents :

Babette : Laisser moi parler avec le directeur de cette

orphelinat, et ensuite on ni va !

Le père : Va s’y après tout ces ton fils !

Babette ce dirigea vers le directeur et lui dit ceci :

Babette : Monsieur le directeur je voudrais vous voir quelque

instant dans votre bureau, cela est-il possible ?

Le directeur : Venez donc je suis sur que cela ne prendra pas

longtemps ?

Babette : Oui bien sur moins de cinq minutes !

Ils entrèrent dans son bureau et la Babette sortie une enveloppe, et ce mis à indiquer au directeur :

Babette : Cette enveloppe à remettre à mon fils dés qu’il

aura ça majorité ! Je peux compter sur vous monsieur le directeur ?

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Le directeur : Oui bien sur et vous pouvez être rassurer

personnes ne le sera sauf votre fils au moment venue !

Babette : Merci beaucoup, je me rend compte de ce que j’ai

fait, et pour cette séparation sonne comme une douleur et une déchirure qui ne pourra finir qu’avec……

Le directeur : Ne faite pas de bêtise Babette cela n’en vaut pas

ma peine !

Babette : Entendu monsieur, je voudrais juste l’embrasser

avant d’y aller !

Le directeur : Venez avec moi, vos parents ne pourront rien dire

du tout !

Ils partirent tous ensemble et Babette le pris dans ces bras, elle ne pu retenir ces larmes de douleurs et de peine ! Elle le replaça dans son berceau et ce fut pour Babette la dernière fois qu’elle le rêverait, sauf si il prendrait la décision de venir à ça rencontre ! Nous sommes aujourd’hui en 2014, soit 54 ans plus tard ! Babette qui ses marier et à eu deux enfants, ne s’attendait pas a ce qu’un jour viendrait frapper à ça porte le destin !

Samuel :

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Bonjour madame. Madame Jennifer Patterson est-elle la s’il vous plait ?

La gouvernante qui travailler dans cette maison depuis de très nombreuses années, était surprise d’entendre ce nom !

La gouvernante : Qui vous a donné ce nom monsieur ?

Samuel : Il était dans cette enveloppe, mais si madame

Jennifer Patterson n’habite ici, ce n’est pas grave, je vous remercie quand même madame !

La gouvernante : Vous êtes pas tromper monsieur, madame

Patterson n’a plus ce nom désormais !

Samuel : Elle est donc marier !

La gouvernante : Oui ! Mais un instant je vais voir si madame est

la, en attendant entrée monsieur !

Et elle partie avertir la maitresse des lieux, ce ne fut que ça fille.

Sarah : Bonjour monsieur. Vous rechercher ma mère ?

Samuel : Oui madame ! Je me présente, Samuel Patterson

et je viens de paris ! J’ai hésiter a venir ici, car je ne

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savais pas si madame Jennifer sera la ou pas !

Sarah : Mais par rapport a ma mère qui est vous ?

Samuel : D’après ce que ma confier le directeur de

l’orphelinat de paris son fils qu’elle a du laisser derrière elle ! Et pour le prouver j’ai apporté avec moi, cette enveloppe qui contenait son adresse et son téléphone ainsi que cette moitié de ticket de transport !

Sarah : Samuel entrée dans le salon avec moi, ma mère ne

va pas tarder à arriver, comme cela elle pourra vous voir !

Samuel : Cela ne va pas vous déranger, ni la déranger ?

Sarah : Non pas du tout, de toute façon elle sera ravie de

voir ce qu’elle attendait depuis si longtemps ! Justement la voilà, vous voyer ça n’a pas été si long que ça !

Jennifer « la mère » : Ça va ma chérie ?

Sarah : Oui maman. Vient au salon une personne

t’attend !

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Jennifer « la mère », entra dans le salon vit Samuel et dit :

Jennifer : Bonjour monsieur. Qui êtes vous ?

Samuel : Je suis Samuel Patterson et je viens de paris !

Voici une enveloppe dans laquelle était indiquer l’adresse et le téléphone de madame Jennifer Patterson, et aussi cette moitié de titre de transport !

Jennifer : C’est vrai une seule personne pouvait avoir cette

fameuse enveloppe ! Tu es donc mon fils Samuel ! Vient vers moi que je puisse te serrer dans mes bras mon garçon !

A ce moment la Sarah dit a ça mère :

Sarah : Maman tu es sur de toi ?

Jennifer : Oui bien ma chérie je ne peux pas me tromper !

Et pour te le prouver, mon fils à une tache de naissance a l’épaule gauche en forme de croissant !

Sarah : Samuel peut vous nous montrer votre épaule

gauche ?

Samuel : Voici mesdames mon épaule gauche !