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SOI année. --- 241 A.]3 ) .T1 Il FiM :N S d0ULOUên I i ll..n an, 40 lb' 3i1 m a, 21 f via. a,c.. DBI'ARTI.611.ia PS ,. 60 r». . 2., i, Toulouse, jvr Septembre R19LLETiM POLITIQUE M. Ferry a déclaré à un député qu'il ne convoquerait pas las Chambres avant le 15 octobre, et, comme sou interlocu- teur insistait, le président du conseil a ajouté qu'il ne voyait pas la nécessité de réunir IeParlement. La Chine courts a pas déclaré la guerre, nous ne la lui déclareront' pas, la situation est donc aujourd'hui exactement ce qu'elle était le jour où la Chambre lui a voté un or- dre du jour de confiance. La dernière session a été très longue, députés et sénateurs ont beseinde repos pour se préparer à la session extraordi- naire, qui sera très chargée : loi électo- rale du Sénat, budget et le reste, s Au surplus, a dit M. Ferry, si la majorité ne partageait pas ma manière de voir, elle aurait pris soin de m'en informer ; or, tous mes amis politiques, tous ceux gui oontienneut ma politique e semblant pas penser, comme l'opposition, qu'un nouveau vol. soit nécessaire, Il est vrai que la droite et la gauche avancée me re- prochent de violer la Constitution, mais je n'ai pas à me préoccuper de ce que pensent et disent mes adversaires; mas amie jugent mes actes autrement et cela me eutfiLe Ce fi or langage est, assure-t on, mo- tivé par l'espoir qu'a M. Ferry de pou- voir annoncer aux Chambres, le 15 octo- bre, l'ouverture de négociations, grâce à la médiation d'une grande puissance qui parait devoir être le gouvernement des Elats'Unie. Ce qui décidera sans doute M. Ferry à recourir à cette médiation, c'est le désappointement qu'il éprouve du côté de l'Allemagne. Il avait fait annoncer par ses amis que M, de Bismarck lui donnait carte blanche dan. l'extrême Orient et lui faisait espérer l'entrée de la Républi- que française dans le concert établi en- tre les trois empereurs. La presse allemande publie une note à la rédaction de laquelle le chancelier ne paraît pas avoir été étranger et qui réduit h de' proportions beaucoup plus modestes le résultat de la Conférence entre notre ambassadeur et M. de Bis- marck. Cette note commence par établir que l'invitation adressée à M. de Concret de se rendre à Varzin n'est point une fa- veur exceptionnelle. Elle rappelle qu'un a audience semblable a été accor- dée récemment au comte Kalnocky et elle ajoute : « La route de Varzin est ouverte, il est probable que d'autres y passeront. » La communication officieuse affirme ensuite que dans l'entrevue de Varzin la conversation a rcafé A peu près ca- clusivement sur les affaire. de Chine. M. Bismarck a tenu à être informé très, exactement de ce que les Français se proposent de taire et de leur plan de campagne ; il n'a promis de continuer à an montrer favorable à notre action militaire qu'à la condition que les inté- rôte des Sujets allemands ne seraient pu. fêlée. Le chancelier se dune ainsi le plaisir de faire savoir au monde que la France n'agit en Chine qu'avec l'au- torisation de l'Allemagne et que cette autorisation n'est donnée que sous con- dition. Quant à l'entrevue des trois empe- reurs et do leurs ministres, le représen- tant du gouvernement français ne sera pas appelé à y assister. M. de Bismarck a seulement dit qu'en ce qui le con- cerne il est disposé à ne point prendre dans cette entrevue de décisions sur des questions intéressant la France arme les lai faire connaître. Déçu au dehors dans ces espérances et s apercevant un peu tard qu'il ne reti- rera ni profit ni honneur de sa plati- tude à l'égard de l'Allemagne, AI. J. Ferry voit s'organiser l'agitation revi- eionniste à laquelle il s'était flatté de couper court en réunissant le Congrès. M. Clémenceau entretient une correspon- dance très suivie avec ceux de ses amie qui prendront part A celle agitation. On lui prête l'intention d'entreprendre su profit de son parti une campagne de candidats et de préparer la lutte pour les prochaines élection.. M. Clémenceau ne tient pas autre- ment à une prochaine réunion des Chambres; il croit que « plus on tar- dera et plus on sera acculé à nue décla- ration de guerre ; si la majorité refuse do la voter, la ministère aura vécu ; Si elle vote, les jours du cabinet seront prolongés, mais la majorité en mourra et, aux prochaines élections générales, le parti opportuniste, devenu le parti des aventures guerrières, sombrera avec M. Ferry. » Il y a dans tout cela une part d'illu- sions, mais les divisions du parti répu- blicaur é accentuent et feront beau jeu aux conservateurs s'ils savant en pro fiter. Pf.R FIL 9;' :C Paris, 31 août, 7 h. 40, da soir. L'ouverture du euncoors national le tir a eu lieu dans la matinée au Polygone do Vineennes. De nombreux tirem'e de plu- sieurs Sociétés do province étaient pré- sents dès aujourd'hui. Le concoure durera jusgs au 14 septembre. 0. remarque de nombreux urieux - Cou dépêche eompléroentuire de l'a- miral Courbet, p...Ou ce dans 1. matinée au ministère, dit quo ie nombre dhommes mis hors de combat serait Il 58 et .,an de 51 Voici la liste des ofaciers tirés et blesses Tué, le lieutenant de vaisseau Bunet-Wil- laumez, officiera. second de lo oananmére le Vipère. Blessés : le capitaine de frégate Ssogo, coud du Duguay-Trouin; Ravei, lieu- tenant de vais eau, aille de camp de l'a- miral Courbol,sblessé à 'e côtés à hurd da Volta Late ur, lieu de vaisseau,, command;ant le torpilleur Ir46; Cbu,lier, nselgne à b,,rd de la Vipère; Rubuglie, enseigne à bord de l'Aspic; un autre lieu. tenant du vaisseau dont le nom a été mal transmis. - Une dépêche reçue par l'agence Havas de Hong Kong, du 31 août, à huit heure. du ..la., dit : « Le vice-roi de Canton craint que les Français attaquent les forts de Bogue. Las employés français de la douane ont quitté Canton. » Une proclamation oHabillé mot à prix la tète des Français. » Un navire da guerre Cran pais est ar- rive à Hong-Hang pourprotéger la marine marchande française,» - Une dépêche adressée au Temps de Shanghai, le 31 août, à oaze heures du mati., dit que le bruit court que la Chine a déclaré ta guerre. Notification en a été faite an Japon. L'escadre de l'amiral Courbet est tou- jors au mouillage de M.Croc. Les rési- dents européens die..t qd il vu aller fmmé- diatement duel le golfe de Petchili, puis il ira attaquer Canton Sitôt que la belle a.!- Sa. permettra aux troupes de Tonkin de marcher sur la frontière de K...gsi. - Parie croit que le général Brière de VIS. sera nommé divisionna re et cop- es- ra définitivement le aommaudemeut des troupes du Tonkin. - La France annonce que l'amiral Miel a réclame aux Hovas la cession d'une partie de file située su nord de la 17 pa- rallèle et 500,000 piastres d'indemnité do guerre. Les Hovua consentiraient A payer ]'indemnité de guerre, mais ils refuseraient de céder te territoire. - On lit dues la Patrie « L'Angleterre n'a pas manqué de faire tic, gouvernement iançais des robaerva-a au 1 du tort que le collait franco- chinois pouvait causer à Sa. commerce. M. Ferry s'eut contenté de répondre qu'eu l'absence de proclamation officielle dea hostilités, le commerce meub'e ne pouvait être assujetti aux diverses entraves résul- tant de l'état de guerre proprement dit: le droit de visite, la saisie des marebandi- aae, le blocus, Ces mesures ne seront prt- ses qu'à l'encontre des bâtiments chinois. Des instructions demi ce sens ont été don- nées à l'amiral Courbet, qui devra s effor- cer autant que possible de ne causer aucun préjudice au commerce. E. 0xécutioa de ces ordres, les n¢virea neutres continueront, comme par le passé, A s'approvisionner de charbon à Ké-LUng. Belfort -- L'ieoagnratioa du mooa- ment en l'honneur de M. Thiers et du co- lonel Denfert-Rochera. sen lieu, cette aprèe-midi, su milieu d'une nombreuse M. De La Forge, président de la Ligue dee patriotes, a prononcé un discoura patrio- tique très applaudi. L. Choléra. balcons, semblable à celle que dirigeait I Maraeule, 0 h. 45 du matin. - On a autrefois h1 Gambetta, et dans laquelle 1 enregistré, te nuit dernier., cinq décès celui-ci jouait un si grand rôle. Doue ehulémques, parmi lesquels celui d'une ces tournées, ev s'occuperait surtout religieuse du 000v et de la Compassion d'organiser des comités, de désigner des Marseille, 11 A. du matin. - Aucun DEUXIEME EPITIOIN Lundi 1 Il Septembre 1 AItMINIS7PAItotP F' REOAC1ïON ' NUL SAYN'Ë-RUME 4 d - zv °"`- Ç Il 0.00 Aanence sont cep - etc Oé é le tes Aavoae.. HASVAa..-en .a aa Tealns0e, Impr, DOULADOURP-PRIVAT. i à Toncoe..a, r e .t 40. A °na e, Mare de La H ur,e, E décès cholérique n'a Ste enregistré depuis choléra s¢r un enfant d'au an et un décès es matin neuf heures. cholérique douteux. Toulon, 10 h. 30. - Depuis hier soir, il VILLE Da TevLOO'a y a eu doux décès cholériques, dont an ma Journée de 30-31 août, de dis heures A ville et au à l'hôpital Saint-Mandrier. U. 1 dis heures : grand nombre d'émigrés sent feutrés ce Décès, 16, dont an attribué à 1. buté- 'ira Malades ma traitement su lazaret de La. Perpignan, midi. -- Dans las dernières I lande. 2. vingt-quatre heures, il y a ee à Malades en traitement en ville, 2. huit décès cholériques; au A Rivesaltes, Sur les 4 cas eu traitement, 3 es sont en à Sain-Irelix-d'Aunsl, en à Tiroir. produite doué la journée d'hier. Parmi la garnison, il y a eu uu décès et neuf malades à l'amholance. La situatioa s'euut aggravée A Perpignan. I Grandes n . 1! y a une notable diminution à la os'- Ainsi que nous l'avons déjà dit,les gran- pagne. _ des manmavres proprement dites de divi- Rome, 31 août. eio et de corps d'armée qui doivent être eaéesfées par le XVII corps, soue le 0O, - Bulletin officiel du 30 août. 1 mandement du général Lewul, eommnence- M décès Cholériques, dent 17 àla Spex- I S'ont jeudi prochain, 4 septembre, et se .hL termineront le 13, par une grande revue d'honneur qui sera passée A Auch. i i ll V t 1' h c que e en es ypothèse génie- Paris, 31 août, 10 h. 35, soir, rat o e porterait pas cas indications serait ..po- sée à subir au retard denses transmission. Aussi l'administration recommande-t'elle u. personnes qui peuvent avoir à expé- dier des correspondances à d s militaires qui prennent part aux grandes manm.- vees du XVII orps, de libeller comme sait l'edre.la de leurs lettres : M. X....20 de ligne 3 bataillon 33 divisi,on , aus grandes manmavres de XVII=corps. M. X..., 126° de ligne, bataillon, 1'. oompagoie, 34' division d'infanterie, aux grandes manmavres do XVII corps. Les dispos flou, qui précèdent venant ap- plicables du 1 au 13 septembre prochain, 'est-à-dire dans toute la durée des gran- des manmavres de XVII° corps. Pourquoi l'Administration des pestes à Toulouse n'a t elle pas fait une com- muaication semblable? Enseignement secondaire. COLLÈGES COMMUNAUX M. Pépin, principal du collège de Pa- Brumelles, 27a. 35 001.. - Le manifee- e L'ennemi, pénétrant dans le sud-ouest raiera, est nommé principal du collège de cation q devait avoir lieu aujourd'hui de la Fiasco, se dirige eur Toulouse par Rouanne. s'est mise en marche vers leur heures et u trois direetiaeo : M. Promeyrat, principal du collège de demi. parun temps robre mais suas pluie. a le Mont-deMarsan, Condom, Lecteur., Clamecy, est nommé principal du collège Le cortège est très nombreux. été ac- Castries,,toi. ban; de Pamiera. analité sur non parcours aven en thouaiasme. ! e 2° Bayonue, Saint-Saver, Auch; M. Caralp, priori pal du Collège de L'ordre est parlait. » 3. Olnrou, Tarbes, Montré'oau, Rouanne, est nommé I du collège j. p rincipe Bruxelles, 4 h. soir. - La tète du, cor- u Toulouse est supposée en état de dé- fille était a rivée sure trois bourse et fesse improvisée. demi follet fie roinistéce, tandis que les » Les garnisons de la région saut eau- derniersmanifestante Se trouvaient encore contrées sur la rive droite de la Garonne au point de départ. La foule devient de aux environs de Castelsarrasin. plue,, plus nombreuse sur la Para esms. »Une fais le corps d'armée constitué, I.e calme nealiuue à être parfait. J 1 combinaison adoptée consiste é mur- Char â l'ouest sur la colonne adverse du Bruxelles, 5 h 23 soir. - Les manifee- nord, à Is refouler, et, en cas le suecés, à tante n t sol lumen - e disperse,ara tourner a s peu p cinqs r ,' avoir remis un adresse ment eu flanc les deus autres colonnes ' p oauil l au palla is royal. l;ordron'a as été tcopblé d invasion. n usa seul lirais mit. Anon cri il'. été proféré devant le minés tare. Une im uuoe'u accla- mation de vive lo Roi a été poussée devant le p dais royal. I.n nombre dasmnnlfostants est évalué A 90,000. Marseille, 9 heures. -- Depuis ce mu- tin onze bannie deux décès ebobiriques ont été enregistrés dires le quartier de la Et..- corde. Toulon, 6 h. soir. - Aucun décès Cbu- , depuis ce matin. Nous devons l'aire connaître les divers changements qui ont été ordonnés ces Rome. - Las journaux calholiquas pu- joore derniers. blleroot demain uce Encyclique que le IL,,,. générai Guy.. Vernier, qui vient pape a adressée hier à tout l'Epuoeupa t, d'être nommé générai inspecteur de cava- h'Eaepclique, comme celle Le l'année Cer- lexienpartieupera pas ans manoeuvras. nièce, env. consacrée à la dèvotion du Ro- Lx 3.' die ilion d'infanterie sera dirigée autre. Le Pape exhorte les estholiquea par M. le général Vilban, commandant la être plue que jamais odélea à cotte dévo- 66 brigade. E conséquence, M. Favoris, tien afin d'assurer le triomphe de l'Egliae colonel du 11. de ligne, commandera la et de préserver thalle du choléra, 06 brigade. L'artillerie de le 33 division sera 'a Tunis. - La conséceation du manuel éveil ueauxiliairede Cartkiage, Monseigneur Budhagiari, de l'ordre des Capucin,,, a eu lieu aujourd'hui. Plusieurs centaines de personnes assistaient à ha cérémonie. DEp2NIOibq'48 DP°PEfUéIEB Le. Choléra- Hier, 8 décès cholériques dans l'Hérault 556 dans l'Aude. Le total des décès cholé- riques dans l'Aude cet de 212, depuis l'ap- parition de l'épidémie. Paris 1= septembre, 5 h., matie. D'après le Figaro, la candidature de Mgr Goua, évêque rte Versailles, pour le siège d'Albi, ..rail détnitivem..t écartée au profit do Mgr Thibaudier, évêque de sons. On saines que lus Candidats accepté. pour les autres sièges vacants Sent: M. l'abbé Planas, vic.:irs général d'Autan, po¢r l'évêché e Dijon; M. l'abbé Bernard, curé à d, peur l é de Verdun ; M. l'abbé B., cur 6 é de de B ar-lo'Duo pour l'évêché de e 1. la Basse-Tonne. - L'amiral Courbet sera promu pro- chainement grand-croix de 1. Légion d'honneur. - Le Figaro estime que le peu de sécu- rité dent nous jouissons au Tonkin pro- vient du défaut d'organisation adminfs- trstive il espèce que le général Brière de l'Isle déploiera ses qualités d'administra- teur; il Commencer. tout d'abord par frap- per fort. - Le Pois trouve feuille la démarche de l'extrême-Gauche pour la cenneoatlon des chambres. - La Republique franpa8se, répondant 0ux journaux intransigeants, dit que dons la campagne du Tonkin le génénal Millet a'a pas fait preuve des qualités que le gé- néral Comparent avait reeunnueutrefois eu lui. LOCALE Bulletin sanitaire. 30 août. de Sa, nt-Qeudens, en remplacement de M. Capée', admis à la retraite. CONAEIL NEN$RAL EL LA HAUTE-GARONNE Nous avons annoncé, hier, le rejet de la requête présentée par M. le baron floconnes et concernaut M. le ductenr café.. Dans la Séance de nuit, M. le prési- dont a donné lecture à ['assemblée dé- parlementais de la lettre suivante : Monsieur le Présl dont, Dans et' sé,moe d'aujourd'hui, le Conseil général a rejeté une requête euj déchéance ont M le docteur Calés. Mais il a priacelte décision après la production de deus arrêtés, lon de 1876 nommant M. le docteur Colès médecin cantonal de la 81 scription et l'outre do 1881, char- geant M. le docteur Me, fer de lu 801 cir- cenaoYiption. 0r, M Celles est aujourd'hui médecin crin toua1 de :e 80° circonscription (et non plus de la Il caf donc intervenu pes- térfenrement à 1881 ou nouvel arrêté nommant M. Calées à ces foeetieev et l'An- nua<re officiel de département indique positivement cette mutation dans ses lai- tiers de 1883 et 1884. Duos ces c rconstances, il y a ea une investiture nouvelle postérieurement t pan élection et les conciusions ,de ma raqué ta se trouvent justifiées. J'ai l'honneur de vous prier, Monsieur le président, de donner 000eninea°ce de ma lettre complémentaire au Conseil gé- néral, afin qu'il veuille bleu réclamer la production du nouvel arrêté que je mporvise et qui remonterait à 1882. Il ite, en effet, que cette assemblée ne sen tienne en premier. décision, qui est basée eu,- une erreur de fait. Baron Da A77Am, Avant-hier, vers quatre heures et de- mie do soir, ua soldat du 83° de ligne étal t monté car un 'cheval, réquisitionné pour les grandes manoeuvras, lorsqu'en passant duos le rce des Changes, l'animal, effrayé par le roulement d'an omnibus qui sulvmt one direction opposée, remporta et partit à fond de train ; quoique fantas- .otre militaire, qui set un excellent cavalier, sot modérer d'allure de sa moa- tore, qui finit cependant p.r s'abattre :sur le pavé. L'homme fut légèrement blessé aux deux jambe-v, et le chevet, glas heureux ne lut méme pua cou. il. Quelques soins fortuit donné. au blessé dans la pharmacie du Progrès, et il put remplir la mission dont il était charge. - Le môme jour, dans l'aprés-midi, une jeu.eceeriéme, la nommée Marie Pézet, employée à la sandalerie des allées Saint- Ague, était occupés à une machine à filer le chanvre, lorsqu'elle e sentit l'avant- bras gauche pris dans l'engrenage de la machine. Avant qu'on ait eu le temps d'arrêter le mouvement, lo embre était broyé dans toute la partie inférieure. Ou fat obligé de la transporter immédia- tement à l'Hôtel-Dieu, où elle a dû subir l'smputeuian de l'avant-brae. OAls,n D'urseuvo °T Ils quo voroNCa Da LA vrLLe Da TOL'L.... Séance du dimanche 24 et lundi 25 eoùt 1884 : Neuvoaua déposants : 37. Recettes du dimanche,.... 46,eeo fr- »e Dépenses du lundi..... -... 44,117 69 Reste ............... 2,545 fr. 31 Voici le remarquable discours pro- noncé par M. Roschach, au nom de l'A- cadémie des sciences, aux obsèques de M. Vah.. Ciblai Mes L'Académie dee sciences inscriptions et , , La préfecture noua eommucique Is note de luire figurer, sur les adresses, de lieu belles lettres de Toulouse, trop .s,uvent suivante : de destinxtinn. Mais il est indispensable conviée, depuis quoique' mats, à de tristes Rien n'est signalé dans l'arrond seront que les ad, esses tassant la divi- a 1 van oit jam pro a e Cooes ., Le v Je Sn,nt Gaudene. sien à laquelle app t mit le régiment, d a ' n inca liens l ' , ' l t. té lal,. A Villefranehe, état satisfaisant, pas de le baIodlon et l'. mp g l eeoa bon eo rieuse casse es par des a use de vmcom- nouveau eue. la batterie dont fait partie le ],Statutaire, mana. L'hommage qu'elb a coutume de A Saint-Félin, un cas faalroyant de ' des lettres. Toute correspondance qui ne rendre à ceux de ses membres que la mort Le grande revue d'honneur qui doit terminer les maumuvres n'aura pua lieu dan. la plaine située entre Auteries et Pavie, comme on l'avait décidé tout d'a- bord Le général Lewal, dans une dernière pection qu'il nient le tuile a Ancb, a pré- féré ou terrain dit au Cnuloumé, toujours très rapproché de lu ville, maissitué saris route de Fleurxnce. >< sodée par M liés de Sera, colonel du ès' régiment; l'artillerie de la 3t division per M Do].., lisut.... t oui one 1. Le 15 ainsi de dragons, pu, gasnis n à Lib .. ns , b et q.. les dépêchés annonc é, est venu r renforcer t la a brigal'ont ade de cavalerie il Il XVII- corps. Dans la liste te des es officiers de literie s- périeure de guerre qui suivront les u ro M C.h, nous r marquons le ... de giment est d'ire, ...feu capitaine au 23= ré- gi d'artillerie. Nous avoue indiqué hier les opérations qui auront lieu aujnerd'hi. Voici le pro- gramme de demain : Mardi, 2 septembre. ortnaovo!sa me auraana. - La 65' bri- gade attaque Caeel...Cro in. La 67 brigade efl'ectuo le passage du Taro. Cantonnement de toute 1. 33 division à clairets La 61 brigade réunie à Bessole fait attaque de baie; cantonnement du 8389 Esoatalena et de 126 à SaintPor- quLa 65' brigade opère la défense d'un pou t, sa destruction et bat en retraite; le 59' cantonnera à Montech, le 88 à Cas- telmayran. Ajoutons que chacun des huit régi- ments d'infanterie est accompagné par ne batterie d'artillerie et an peloton de cavalerie. ,Par ordre dû ministre de la guerre, les jeunes gens qui désirent entrer Osas lea sections administratives pour y être eem- ployée eo qualité de commis aux écritures des bureaux de l'intendneee, pourront outrxaten un engagement volontaire pour c sections, dans le région même Je leur origine eu de leur résidence. Toutefois, pris lent toute le durée de ser- vice, fis ne pourront être employés demi le vebdiale,nn de leur propre région. On lit dans un journal d'Auch, le Con- servateur : Un avis de l'administration des Postes appelle l'ettention du, publie d'nueme- nière particulière sur le libellé des adres- ses des lettres destinées aux militaires par- ticipant an. grandes manoeuvras du VII. corp,. Le lieu de campement, de station- di meot oue séjour do ces mlitaires étant essentiellement mobile il rosat pas utile vient de frapper prend an caractère plus poignant, lorequ'9 la douleur d'une sépa- ration définitive n'ajoute l'amertume d'un deuil précoce. Toute fin est cruelle, mai. quand cette fin a devancé l'heure, quand .il.. été accompagnée de eouaruneee dont l'intensité dépasse le lot normal de nos mi. sères, quand il e fallu voir mine intelligence pleine do vivacilé,uneimaginatlon dont. et riche, une organisation eaubérante eau- teair, perdant uu quart, un tiers peut-étre de la v:e, une lutte frégate contre le mal, le raison se trouve presque aussi blessée que le coeur Cet stridor. Cet adieu que non, eruone dire, au nom de tons, à notre reg rettè confrère, combien de kir, depuis lot as, la prévision n'en a-t-elle pas assombri notre pensée? Bien des nouveaux membres de notre Compa- gnie ne connaissent que par ses rouvres, nombreuses dans nos mémoires, ce littéra- teur distingué, ce narrateur attrayant, eu poéto plein de charme, qua les rigueurs d'aire santé ébranlée tenaient depuis ai longtemps éloigné de nos séances. Aussi, quelle surprise, quelle attention, lorsque en confrère malade, qu'on ne voyait plus, pros tant, par un jour favorable, d'une courte trêve pour remplir sa tâche acadé. urique, eu entendait une parolechaleu- vibrante, u ie véritable vonz du 000m, trahissant encore toutes les ému- tion,, tous les généreux ats de se jeunesse Emile Vaïsse était entré dune nue ranis à trente-deux ans. C'est un de nos maa- tres les pins écoutés, M. Barry, qui lui ouvrit à deux battante les portas de l'Aca- démie, où l'appelaient des publications de littérature, de critique et d'histoire très remarquées. Né à Salvagnorc en 1829, il avait cotes piété à Paris, , au collège Saint-Louis, sus étrdes classiquees comme cées il S e'a - prés lot nota], puis uni cobEge de T'oG- loese, élaWirgissant, chaque étape son bu. riaon, snbianant le ehoc fécond le l'étfu- cello parisloc ne, sana devenir pourtuot ja- mais ce chor pays d'Albigeois dont il a si bleu décrit les aspects simples et pittoresques, et, en général, à cette ua- fere méridionale dont il était tel-même un si brillante et si exacte émanation. Il vue t dix-nues? aire, il était à Parie et il fréquentait les écoles au moment de la Révolution de 1848. C'est dfru ni le « soleil de lévrier », eormre on parlait à cette époque d'hyperbole, agit sur sa joue. tête al =i l'étudiant languedocien géuéreusemeot, nnïvemeo t, de font cmur, à cet élu. rte philuuth lopin, de fraternité, de réveris 1 béralrieos qui devait avoi nu 'i Gel lendemain, Que de peuples o'af. franchissait-on pus alors avec de paroles ailées, que de viiioo,lités n'évoquait-on pas du tombeau, que d'unités naissantes ne saluait-on pas, croyant à le solidarité, à la reconnaissance, anx amitiés éternelles I Las é nernents violents qui suivirent ayant coupé court à l'activité politique de la jeunesse, M. Vaïsse revint à 7'oolouso, Où il termina ses Gtudes de droit et où ses débris au barreau furent marqués par un suecés relectiseant Mai, sua goût. domi- nant le poussait plutôt vers la li ttéruluno et,nd quanI son mariage eut fixé la direc- tioe sa vie, c'est eairs les joies do la facilité et les études de prédilection que son eaistence fut partagé.. Il collaborait alors à plusieurs publics- os, à la Recul de l'Académie 6e Tou- louse, où il a inséré des travaux iutéres- outils de bibliographie, de critique, de biographie, d'histoire locale, eu Journal de Toulouse, se Temps, comme o- -Po (faut provincial. Quand un éveil d'esprit politique se M. Vaïsse, dont 1 v convictions n'avaient pas changé depuis les premières hummol de nuçnen,al qui était demeuré Go progrès, de sien et en môme temps un idéaliste iné- branlable, fut graduellement amené à la vie active et, par sa situation sociale au- tant que par sa volonté, mêle A dea luttes ardentes pour lesquelles il n'était pas fait, Ncu pas qs il manqubt des qualités nécas- ealres au polémiele, le trait, l'ahondaoae, la facilité, un certain don dramatique don- nant rlu relief à toutes choses; mais sa nsibilité d'artiste y était trop engagée, il payait trop do sa personne, il se dépeu- lait trop lui-mé,ne. D'ailleurs, il avait un fond d'bounêtolé et de droiture qui, en le rendant incapable de eu de prétéritions intéressées, lui enlevait de grondes chances de anode. C'est au milieu de ces émotions, sous le feu de cette fièvre, qû il r ssenlit las pre- mières atteintes de mal qui devait entre- couper sa vie d'épreuves si dures et ]a ter- mon er par un véritable martyre. Eu 1868 , ne journal nouveau s'étant créé à Taulouso , dans les groupes politi- que; que l'on désignait us le nom, au- jourd'hui bien démodé , d'union libérale, AI. Vaïsse prit une part considérable à cette fondation :l'éclat de son talent, l'bo- arabilité de ean passé, la fermeté de ses victie.. lui avent bientôt ... place exceptionnelle parai f ses collaborateurs et le poussèrent à la présidence du conseil d'administration du Progrès, qu'il a oc- cupée pendant prés de quatorze ans et qu'il oaer,eit encore au moment de sa mort, magistrature élective toute paternelle où Sa bienveiilnnaa, et' largeur de eues, l'ori- ginalité de ses saillies lui ont fait autant d'amis que de cnllAgues fit de sub irdonuéa. Ainsi l'évol Gtiuu des faits enlls iem's le ramenait à son point de départ, et lui per- mettait de servir, Si, 1,0011,, de sa carné ro, la cause qui avalé éveillé ses premiers eu- Quelles que Pansent les faif- g .s. les secousses, e :éb élue de n rôle pull tiq ot 001115 A o gardait toute la f i. goût d hoses de l'esprit , noue lavons vu .Douent en ra- tai o, - nous ne voulons pas dire se vert- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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R19LLETiM POLITIQUE

M. Ferry a déclaré à un député qu'ilne convoquerait pas las Chambres avantle 15 octobre, et, comme sou interlocu-teur insistait, le président du conseil aajouté qu'il ne voyait pas la nécessitéde réunir IeParlement. La Chine courtsa pas déclaré la guerre, nous ne la luidéclareront' pas, la situation est doncaujourd'hui exactement ce qu'elle étaitle jour où la Chambre lui a voté un or-dre du jour de confiance.

La dernière session a été très longue,députés et sénateurs ont beseinde repospour se préparer à la session extraordi-naire, qui sera très chargée : loi électo-rale du Sénat, budget et le reste, s Ausurplus, a dit M. Ferry, si la majoriténe partageait pas ma manière de voir,elle aurait pris soin de m'en informer ;or, tous mes amis politiques, tous ceuxgui oontienneut ma politique e semblantpas penser, comme l'opposition, qu'unnouveau vol. soit nécessaire, Il est vraique la droite et la gauche avancée me re-prochent de violer la Constitution, maisje n'ai pas à me préoccuper de ce quepensent et disent mes adversaires; masamie jugent mes actes autrement et celame eutfiLe

Ce fi or langage est, assure-t on, mo-tivé par l'espoir qu'a M. Ferry de pou-voir annoncer aux Chambres, le 15 octo-bre, l'ouverture de négociations, grâceà la médiation d'une grande puissancequi parait devoir être le gouvernementdes Elats'Unie.

Ce qui décidera sans doute M. Ferryà recourir à cette médiation, c'est ledésappointement qu'il éprouve du côtéde l'Allemagne.

Il avait fait annoncer par ses amisque M, de Bismarck lui donnait carteblanche dan. l'extrême Orient et luifaisait espérer l'entrée de la Républi-que française dans le concert établi en-tre les trois empereurs.

La presse allemande publie une noteà la rédaction de laquelle le chancelierne paraît pas avoir été étranger et quiréduit h de'

proportions beaucoup plusmodestes le résultat de la Conférenceentre notre ambassadeur et M. de Bis-marck.

Cette note commence par établir quel'invitation adressée à M. de Concret dese rendre à Varzin n'est point une fa-veur exceptionnelle. Elle rappellequ'un a audience semblable a été accor-dée récemment au comte Kalnocky etelle ajoute : « La route de Varzin estouverte, il est probable que d'autres ypasseront. »

La communication officieuse affirmeensuite que dans l'entrevue de Varzinla conversation a rcafé A peu près ca-clusivement sur les affaire. de Chine.M. Bismarck a tenu à être informé très,exactement de ce que les Français seproposent de taire et de leur plan decampagne ; il n'a promis de continuerà an montrer favorable à notre actionmilitaire qu'à la condition que les inté-rôte des Sujets allemands ne seraientpu. fêlée. Le chancelier se dune ainsile plaisir de faire savoir au monde quela France n'agit en Chine qu'avec l'au-torisation de l'Allemagne et que cetteautorisation n'est donnée que sous con-dition.

Quant à l'entrevue des trois empe-reurs et do leurs ministres, le représen-tant du gouvernement français ne serapas appelé à y assister. M. de Bismarcka seulement dit qu'en ce qui le con-cerne il est disposé à ne point prendredans cette entrevue de décisions sur desquestions intéressant la France arme leslai faire connaître.

Déçu au dehors dans ces espérances ets apercevant un peu tard qu'il ne reti-rera ni profit ni honneur de sa plati-tude à l'égard de l'Allemagne, AI. J.Ferry voit s'organiser l'agitation revi-eionniste à laquelle il s'était flatté decouper court en réunissant le Congrès.M. Clémenceau entretient une correspon-dance très suivie avec ceux de ses amiequi prendront part A celle agitation. Onlui prête l'intention d'entreprendre suprofit de son parti une campagne de

candidats et de préparer la lutte pourles prochaines élection..

M. Clémenceau ne tient pas autre-ment à une prochaine réunion desChambres; il croit que « plus on tar-dera et plus on sera acculé à nue décla-ration de guerre ; si la majorité refusedo la voter, la ministère aura vécu ; Sielle vote, les jours du cabinet serontprolongés, mais la majorité en mourraet, aux prochaines élections générales,le parti opportuniste, devenu le partides aventures guerrières, sombrera avecM. Ferry. »

Il y a dans tout cela une part d'illu-sions, mais les divisions du parti répu-blicaur é accentuent et feront beau jeuaux conservateurs s'ils savant en profiter.

Pf.R FIL 9;' :C

Paris, 31 août, 7 h. 40, da soir.

L'ouverture du euncoors national le tira eu lieu dans la matinée au Polygone doVineennes. De nombreux tirem'e de plu-sieurs Sociétés do province étaient pré-sents dès aujourd'hui. Le concoure durerajusgs au 14 septembre. 0. remarque denombreux urieux

- Cou dépêche eompléroentuire de l'a-miral Courbet, p...Ou ce dans 1. matinéeau ministère, dit quo ie nombre dhommesmis hors de combat serait Il 58 et .,an de51

Voici la liste des ofaciers tirés et blessesTué, le lieutenant de vaisseau Bunet-Wil-laumez, officiera. second de lo oananmérele Vipère.

Blessés : le capitaine de frégate Ssogo,coud du Duguay-Trouin; Ravei, lieu-

tenant de vais eau, aille de camp de l'a-miral Courbol,sblessé à 'e côtés à hurdda Volta Late ur, lieu de vaisseau,,command;ant

le torpilleur Ir46; Cbu,lier,nselgne à b,,rd de la Vipère; Rubuglie,

enseigne à bord de l'Aspic; un autre lieu.tenant du vaisseau dont le nom a été maltransmis.

- Une dépêche reçue par l'agence Havasde Hong Kong, du 31 août, à huit heure.du ..la., dit :

« Le vice-roi de Canton craint que lesFrançais attaquent les forts de Bogue. Lasemployés français de la douane ont quittéCanton.

» Une proclamationoHabillé

mot à prixla tète des Français.

» Un navire da guerre Cran pais est ar-rive à Hong-Hang pourprotéger la marinemarchande française,»

- Une dépêche adressée au Temps deShanghai, le 31 août, à oaze heures dumati., dit que le bruit court que la Chinea déclaré ta guerre. Notification en a étéfaite an Japon.

L'escadre de l'amiral Courbet est tou-jors au mouillage de M.Croc. Les rési-dents européens die..t qd il vu aller fmmé-diatement duel le golfe de Petchili, puis ilira attaquer Canton Sitôt que la belle a.!-Sa. permettra aux troupes de Tonkin demarcher sur la frontière de K...gsi.

- Parie croit que le général Brièrede VIS. sera nommé divisionna re et cop-es- ra définitivement le aommaudemeutdes troupes du Tonkin.

- La France annonce que l'amiralMiel a réclame aux Hovas la cession d'unepartie de file située su nord de la 17 pa-rallèle et 500,000 piastres d'indemnité doguerre. Les Hovua consentiraient A payer]'indemnité de guerre, mais ils refuseraientde céder te territoire.

- On lit dues la Patrie« L'Angleterre n'a pas manqué de fairetic,gouvernement iançais des robaerva-a

au 1 du tort que le collait franco-chinois pouvait causer à Sa. commerce.M. Ferry s'eut contenté de répondre qu'eul'absence de proclamation officielle deahostilités, le commerce meub'e ne pouvaitêtre assujetti aux diverses entraves résul-tant de l'état de guerre proprement dit:le droit de visite, la saisie des marebandi-aae, le blocus, Ces mesures ne seront prt-ses qu'à l'encontre des bâtiments chinois.Des instructions demi ce sens ont été don-nées à l'amiral Courbet, qui devra s effor-cer autant que possible de ne causer aucunpréjudice au commerce.

E. 0xécutioa de ces ordres, les n¢vireaneutres continueront, comme par le passé,A s'approvisionner de charbon à Ké-LUng.

Belfort -- L'ieoagnratioa du mooa-ment en l'honneur de M. Thiers et du co-lonel Denfert-Rochera. sen lieu, cetteaprèe-midi, su milieu d'une nombreuse

M. De La Forge, président de la Ligue deepatriotes, a prononcé un discoura patrio-tique très applaudi.

L. Choléra.

balcons, semblable à celle que dirigeait I Maraeule, 0 h. 45 du matin. - On aautrefois h1 Gambetta, et dans laquelle 1 enregistré, te nuit dernier., cinq décèscelui-ci jouait un si grand rôle. Doue ehulémques, parmi lesquels celui d'une

ces tournées, ev s'occuperait surtout religieuse du 000v et de la Compassion

d'organiser des comités, de désigner des Marseille, 11 A. du matin. - Aucun

DEUXIEME EPITIOIN Lundi 1 Il Septembre 1

AItMINIS7PAItotP F' REOAC1ïON ' NUL SAYN'Ë-RUME 4 d- zv °"`- Ç

Il 0.00 Aanence sont cep - etc Oé é le tes Aavoae.. HASVAa..-en .a aaTealns0e, Impr, DOULADOURP-PRIVAT. i à Toncoe..a, r e .t 40. A °na e, Mare de La H ur,e, E

décès cholérique n'a Ste enregistré depuis choléra s¢r un enfant d'au an et un décèses matin neuf heures. cholérique douteux.

Toulon, 10 h. 30. - Depuis hier soir, il VILLE Da TevLOO'ay a eu doux décès cholériques, dont an ma Journée de 30-31 août, de dis heures Aville et au à l'hôpital Saint-Mandrier. U. 1 dis heures :grand nombre d'émigrés sent feutrés ce Décès, 16, dont an attribué à 1. buté-

'iraMalades ma traitement su lazaret de La.

Perpignan, midi. -- Dans las dernières I lande. 2.vingt-quatre heures, il y a ee à Malades en traitement en ville, 2.huit décès cholériques; au A Rivesaltes, Sur les 4 cas eu traitement, 3 es sonten à Sain-Irelix-d'Aunsl, en à Tiroir. produite doué la journée d'hier.

Parmi la garnison, il y a eu uu décèset neuf malades à l'amholance.

La situatioa s'euut aggravée A Perpignan. I Grandes n .1! y a une notable diminution à la os'- Ainsi que nous l'avons déjà dit,les gran-pagne. _ des manmavres proprement dites de divi-

Rome, 31 août. eio et de corps d'armée qui doivent êtreeaéesfées par le XVII corps, soue le 0O, -

Bulletin officiel du 30 août. 1 mandement du général Lewul, eommnence-M décès Cholériques, dent 17 àla Spex- I S'ont jeudi prochain, 4 septembre, et se

.hL termineront le 13, par une grande revued'honneur qui sera passée A Auch.

i i llV t 1' hc que e en es ypothèse génie-Paris, 31 août, 10 h. 35, soir, rato

e

porterait pas cas indications serait ..po-sée à subir au retard denses transmission.Aussi l'administration recommande-t'elleu. personnes qui peuvent avoir à expé-

dier des correspondances à d s militairesqui prennent part aux grandes manm.-vees du XVII orps, de libeller commesait l'edre.la de leurs lettres :

M. X....20 de ligne 3 bataillon33

divisi,ond'infanterie,

,aus grandes manmavres de XVII=corps.

M. X..., 126° de ligne, bataillon,1'. oompagoie, 34' division d'infanterie,aux grandes manmavres do XVII corps.

Les dispos flou, qui précèdent venant ap-plicables du 1 au 13 septembre prochain,'est-à-dire dans toute la durée des gran-

des manmavres de XVII° corps.Pourquoi l'Administration des pestes

à Toulouse n'a t elle pas fait une com-muaication semblable?

Enseignement secondaire.COLLÈGES COMMUNAUX

M. Pépin, principal du collège de Pa-Brumelles, 27a. 35 001.. - Le manifee- e L'ennemi, pénétrant dans le sud-ouest raiera, est nommé principal du collège decation q devait avoir lieu aujourd'hui de la Fiasco, se dirige eur Toulouse par Rouanne.s'est mise en marche vers leur heures etu trois direetiaeo : M. Promeyrat, principal du collège dedemi. parun temps robre mais suas pluie. a le Mont-deMarsan, Condom, Lecteur., Clamecy, est nommé principal du

collègeLe cortège est très nombreux. été ac- Castries,,toi. ban; de Pamiera.analité sur non parcours aven en thouaiasme.

!

e 2° Bayonue, Saint-Saver, Auch; M. Caralp, priori pal du Collège deL'ordre est parlait.» 3. Olnrou, Tarbes, Montré'oau, Rouanne, est nommé I du collègej. p rincipe

Bruxelles, 4 h. soir. - La tète du, cor- u Toulouse est supposée en état de dé-fille était a rivée sure trois bourse et fesse improvisée.demi follet fie roinistéce, tandis que les » Les garnisons de la région saut eau-derniersmanifestante Se trouvaient encore contrées sur la rive droite de la Garonneau point de départ. La foule devient de aux environs de Castelsarrasin.

plue,, plus nombreuse sur la Para esms. »Une fais le corps d'armée constitué,I.e calme nealiuue à être parfait. J 1 combinaison adoptée consiste é

mur-

Charâ l'ouest sur la colonne adverse du

Bruxelles, 5 h 23 soir. - Les manifee- nord, à Is refouler, et, en cas le suecés, àtante n t sollumen - e disperse,ara tourner a s peu p

cinqs r ,' avoir remis un adresse ment eu flanc les deus autres colonnes'

poauil lau

palla

is royal. l;ordron'a as été tcopblé d invasion. n

usa seul lirais mit. Anon cri il'. été proférédevant le minés tare. Une im uuoe'u accla-mation de vive lo Roi a été poussée devantle p dais royal. I.n nombre dasmnnlfostantsest évalué A 90,000.

Marseille, 9 heures. -- Depuis ce mu-tin onze bannie deux décès ebobiriques ontété enregistrés dires le quartier de la Et..-corde.

Toulon, 6 h. soir. - Aucun décès Cbu-,depuis ce matin. Nous devons l'aire connaître les divers

changements qui ont été ordonnés cesRome. - Las journaux calholiquas pu- joore derniers.

blleroot demain uce Encyclique que le IL,,,. générai Guy.. Vernier, qui vientpape a adressée hier à

toutl'Epuoeupa t, d'être nommé générai inspecteur de cava-

h'Eaepclique, comme celle Le l'année Cer- lexienpartieupera pas ans manoeuvras.nièce, env. consacrée à la dèvotion du Ro- Lx 3.' die ilion d'infanterie sera dirigéeautre. Le Pape exhorte les estholiquea par M. le général Vilban, commandant laêtre plue que jamais odélea à cotte dévo- 66 brigade. E conséquence, M. Favoris,tien afin d'assurer le triomphe de l'Egliae colonel du 11. de ligne, commandera laet de préserver thalle du choléra, 06 brigade.

L'artillerie de le 33 division sera 'aTunis. - La conséceation du manueléveil ueauxiliairede Cartkiage, MonseigneurBudhagiari, de l'ordre des Capucin,,, a eulieu aujourd'hui. Plusieurs centaines depersonnes assistaient à ha cérémonie.

DEp2NIOibq'48 DP°PEfUéIEB

Le. Choléra-Hier, 8 décès cholériques dans l'Hérault

556 dans l'Aude. Le total des décès cholé-riques dans l'Aude cet de 212, depuis l'ap-parition de l'épidémie.

Paris 1= septembre, 5 h., matie.D'après le Figaro, la candidature de Mgr

Goua, évêque rte Versailles, pour le sièged'Albi, ..rail détnitivem..t écartée auprofit do Mgr Thibaudier, évêque desons.

On saines que lus Candidats accepté.pour les autres sièges vacants Sent: M.l'abbé Planas, vic.:irs général d'Autan,po¢r l'évêché e Dijon; M. l'abbé Bernard,curé à

Paris, d,

peur l é de Verdun ;M. l'abbé B., cur

dede

Bar-lo'Duo pour

l'évêchéde

e1.la Basse-Tonne.

- L'amiral Courbet sera promu pro-chainement grand-croix de 1. Légiond'honneur.

- Le Figaro estime que le peu de sécu-rité dent nous jouissons au Tonkin pro-vient du défaut d'organisation adminfs-trstive il espèce que le général Brière del'Isle déploiera ses qualités d'administra-teur; il Commencer. tout d'abord par frap-per fort.

- Le Pois trouve feuille la démarchede l'extrême-Gauche pour la cenneoatlondes chambres.

- La Republique franpa8se, répondant0ux journaux intransigeants, dit que donsla campagne du Tonkin le génénal Milleta'a pas fait preuve des qualités que le gé-néral Comparent avait reeunnueutrefois eului.

LOCALE

Bulletin sanitaire.30 août.

de Sa, nt-Qeudens, en remplacement deM. Capée', admis

àla retraite.

CONAEIL NEN$RAL EL LA HAUTE-GARONNE

Nous avons annoncé, hier, le rejet dela requête présentée par M. le baronfloconnes et concernaut M. le ductenrcafé..

Dans la Séance de nuit, M. le prési-dont a donné lecture à ['assemblée dé-parlementais de la lettre suivante :

Monsieur le Présl dont,

Dans et' sé,moe d'aujourd'hui, le Conseilgénéral a rejeté une requête euj déchéance

ont M le docteur Calés. Mais il apriacelte décision après la production dedeus arrêtés, lon de 1876 nommant M. ledocteur Colès médecin cantonal de la 81

scription et l'outre do 1881, char-geant M. le docteur Me, fer de lu 801 cir-cenaoYiption.

0r, M Celles est aujourd'hui médecincrin toua1 de :e 80° circonscription (et nonplus de la Il caf donc intervenu pes-térfenrement à 1881 ou nouvel arrêténommant M. Calées à ces foeetieev et l'An-nua<re officiel de département indiquepositivement cette mutation dans ses lai-tiers de 1883 et 1884.

Duos ces c rconstances, il y a ea uneinvestiture nouvelle postérieurement t panélection et les conciusions ,de ma raqué tase trouvent justifiées.

J'ai l'honneur de vous prier, Monsieurle président, de donner 000eninea°ce dema lettre complémentaire au Conseil gé-néral, afin qu'il veuille bleu réclamer laproduction du nouvel arrêté que je mporvise et

qui remonterait à 1882. Il ite, eneffet, que cette assemblée ne sen tienneen premier. décision, qui est basée eu,- uneerreur de fait.

Baron Da A77Am,

Avant-hier, vers quatre heures et de-mie do soir, ua soldat du 83° de ligneétal t monté car un 'cheval, réquisitionnépour les grandes manoeuvras, lorsqu'enpassant duos le rce des Changes, l'animal,effrayé par le roulement d'an omnibus quisulvmt one direction opposée, remportaet partit à fond de train ; quoique fantas-

.otre militaire, qui set un excellentcavalier, sot modérer d'allure de sa moa-tore, qui finit cependant p.r s'abattre :surle pavé.

L'homme fut légèrement blessé aux deuxjambe-v, et le chevet, glas heureux ne lutméme pua cou. il.

Quelques soins fortuit donné. au blessédans la pharmacie du Progrès, et il putremplir la mission dont il était charge.

- Le môme jour, dans l'aprés-midi, unejeu.eceeriéme, la nommée Marie Pézet,employée à la sandalerie des allées Saint-Ague, était occupés à une machine à filerle chanvre, lorsqu'elle e sentit l'avant-bras gauche pris dans l'engrenage de lamachine.

Avant qu'on ait eu le temps d'arrêter lemouvement, lo embre était broyé danstoute la partie inférieure.

Ou fat obligé de la transporter immédia-tement à l'Hôtel-Dieu, où elle a dû subirl'smputeuian de l'avant-brae.

OAls,n D'urseuvo °T Ils quo voroNCaDa LA vrLLe Da TOL'L....

Séance du dimanche 24 et lundi 25 eoùt1884 :

Neuvoaua déposants : 37.Recettes du dimanche,.... 46,eeo fr- »eDépenses du lundi..... -... 44,117 69

Reste ............... 2,545 fr. 31

Voici le remarquable discours pro-noncé par M. Roschach, au nom de l'A-cadémie des sciences, aux obsèques deM. Vah.. Ciblai

MesL'Académie dee sciences inscriptions et, ,

La préfecture noua eommucique Is note de luire figurer, sur les adresses, de lieu belles lettres de Toulouse, trop .s,uventsuivante : de destinxtinn. Mais il est indispensable conviée, depuis quoique' mats, à de tristes

Rien n'est signalé dans l'arrond seront que les ad, esses tassant la divi- a 1 van oit jam pro a eCooes ., Le vJe Sn,nt Gaudene. sien à laquelle app t mit le régiment, d a ' n inca liens l ' , 'l t. té lal,.

A Villefranehe, état satisfaisant, pas de le baIodlon et l'. mp g l eeoa bon eo rieuse casse es par des a use de vmcom-nouveau eue. la batterie dont fait partie le ],Statutaire, mana. L'hommage qu'elb a coutume de

A Saint-Félin, un cas faalroyant de ' des lettres. Toute correspondance qui ne rendre à ceux de ses membres que la mort

Le grande revue d'honneur qui doitterminer les maumuvres n'aura pua lieudan. la plaine située entre Auteries etPavie, comme on l'avait décidé tout d'a-bord

Le général Lewal, dans une dernièrepection qu'il nient le tuile a Ancb, a pré-féré ou terrain dit au Cnuloumé, toujourstrès rapproché de lu ville, maissitué sarisroute de Fleurxnce.

><

sodée par M liés de Sera, colonel duès' régiment; l'artillerie de la 3t divisionper M Do].., lisut.... t oui one 1.

Le 15 ainsi de dragons, pu, gasnis nà Lib

..ns , b

etq.. les dépêchés

annonc é, est venurrenforcer

t la

abrigal'ontade de

cavalerie il Il XVII- corps.Dans la listete des es officiers de literie s-

périeure de guerre qui suivront lesu

roM C.h, nous r marquons le ...

de

gimentest d'ire, ...feu capitaine au 23= ré-gi d'artillerie.

Nous avoue indiqué hier les opérationsqui auront lieu aujnerd'hi. Voici le pro-gramme de demain :

Mardi, 2 septembre.ortnaovo!sa me auraana. - La 65' bri-

gade attaque Caeel...Cro in.La 67 brigade efl'ectuo le passage du

Taro.Cantonnement de toute 1. 33 division à

clairetsLa 61 brigade réunie à Bessole fait

attaque de baie; cantonnement du8389 Esoatalena et de 126 à SaintPor-

quLa 65' brigade opère la défense d'unpou t, sa destruction et bat en retraite; le59' cantonnera à Montech, le 88 à Cas-telmayran.

Ajoutons que chacun des huit régi-ments d'infanterie est accompagné par

ne batterie d'artillerie et an peloton decavalerie.

,Par ordre dû ministre de la guerre, lesjeunes gens qui désirent entrer Osas leasections administratives pour y être eem-ployée eo qualité de commis aux écrituresdes bureaux de l'intendneee, pourrontoutrxaten un engagement volontaire pourc

sections, dans le région même Je leurorigine eu de leur résidence.

Toutefois, pris lent toute le durée de ser-vice, fis ne pourront être employés demile vebdiale,nn de leur propre région.

On lit dans un journal d'Auch, le Con-servateur :

Un avis de l'administration des Postesappelle l'ettention du, publie d'nueme-nière particulière sur le libellé des adres-ses des lettres destinées aux militaires par-ticipant an. grandes manoeuvras du VII.corp,. Le lieu de campement, de station-dimeot oue séjour do ces mlitaires étantessentiellement mobile il rosat pas utile

vient de frapper prend an caractère pluspoignant, lorequ'9 la douleur d'une sépa-ration définitive n'ajoute l'amertume d'undeuil précoce. Toute fin est cruelle, mai.quand cette fin a devancé l'heure, quand.il.. été accompagnée de eouaruneee dontl'intensité dépasse le lot normal de nos mi.sères, quand il e fallu voir mine intelligencepleine do vivacilé,uneimaginatlon dont.et riche, une organisation eaubérante eau-teair, perdant uu quart, un tiers peut-étrede la v:e, une lutte frégate contre le mal,le raison se trouve presque aussi blesséeque le coeur Cet stridor.

Cet adieu que non, eruone dire, au nomde tons, à notre reg rettè confrère, combiende kir, depuis lot as, la prévision n'ena-t-elle pas assombri notre pensée? Biendes nouveaux membres de notre Compa-gnie ne connaissent que par ses rouvres,nombreuses dans nos mémoires, ce littéra-teur distingué, ce narrateur attrayant,eu poéto plein de charme, qua les rigueursd'aire santé ébranlée tenaient depuis ailongtemps éloigné de nos séances. Aussi,quelle surprise, quelle attention, lorsqueen confrère malade, qu'on ne voyait plus,pros tant, par un jour favorable, d'unecourte trêve pour remplir sa tâche acadé.urique, eu entendait une parolechaleu-

vibrante, u ie véritable vonz du000m, trahissant encore toutes les ému-tion,, tous les généreux ats de sejeunesse

Emile Vaïsse était entré dune nue ranisà trente-deux ans. C'est un de nos maa-tres les pins écoutés, M. Barry, qui luiouvrit à deux battante les portas de l'Aca-démie, où l'appelaient des publications delittérature, de critique et d'histoire trèsremarquées.

Né à Salvagnorc en 1829, il avait cotespiété à Paris, , au collège Saint-Louis, susétrdes

classiquees

comme cées il Se'a -prés lot nota], puis uni cobEge de T'oG-loese,

élaWirgissant,chaque étape son bu.

riaon, snbianant le ehoc fécond le l'étfu-cello parisloc ne, sana devenir pourtuot ja-mais ce chor pays d'Albigeoisdont il a si bleu décrit les aspects simpleset pittoresques, et, en général, à cette ua-fere méridionale dont il était tel-mêmeun si brillante et si exacte émanation.

Il vue t dix-nues? aire, il était à Parie etil fréquentait les écoles au moment de laRévolution de 1848. C'est dfru ni le « soleilde lévrier », eormre on parlait à cetteépoque d'hyperbole, agit sur sa joue. têteal =i l'étudiant languedociengéuéreusemeot, nnïvemeo t, de font cmur,à cet élu. rte philuuth lopin, de fraternité,de réveris 1 béralrieos qui devait avoinu 'i Gel lendemain, Que de peuples o'af.franchissait-on pus alors avec de parolesailées, que de viiioo,lités n'évoquait-onpas du tombeau, que d'unités naissantes nesaluait-on pas, croyant à le solidarité, àla reconnaissance, anx amitiés éternelles I

céLas é nernents violents qui suivirentayant coupé court à l'activité politique dela jeunesse, M. Vaïsse revint à 7'oolouso,Où il termina ses Gtudes de droit et où sesdébris au barreau furent marqués par unsuecés relectiseant Mai, sua goût. domi-nant le poussait plutôt vers la li ttérulunoet,nd quanI son mariage eut fixé la direc-tioe sa vie, c'est eairs les joies do lafacilité et les études de prédilection queson eaistence fut partagé..

Il collaborait alors à plusieurs publics-os,à la

Recul

de l'Académie 6e Tou-louse, où il a inséré des travaux iutéres-outils de bibliographie, de critique, debiographie, d'histoire locale, eu Journalde Toulouse, se Temps, comme o--Po (faut provincial.

Quand un éveil d'esprit politique seM. Vaïsse, dont 1 v convictions

n'avaient pas changé depuis les premières

hummol denuçnen,al qui était demeuré Go

progrès, desien et en môme temps un idéaliste iné-branlable, fut graduellement amené à lavie active et, par sa situation sociale au-tant que par sa volonté, mêle A dea luttesardentes pour lesquelles il n'était pas fait,Ncu pas qs il manqubt des qualités nécas-ealres au polémiele, le trait, l'ahondaoae,la facilité, un certain don dramatique don-nant rlu relief à toutes choses; mais sa

nsibilité d'artiste y était trop engagée,il payait trop do sa personne, il se dépeu-lait trop lui-mé,ne. D'ailleurs, il avait unfond d'bounêtolé et de droiture qui, en lerendant incapable de eu deprétéritions intéressées, lui enlevait degrondes chances de anode.

C'est au milieu de ces émotions, sous lefeu de cette fièvre, qû il r ssenlit las pre-mières atteintes de mal qui devait entre-couper sa vie d'épreuves si dures et ]a ter-moner par un véritable martyre.

Eu 1868 , ne journal nouveau s'étantcréé à Taulouso , dans les groupes politi-que; que l'on désignait us le nom, au-jourd'hui bien démodé , d'union libérale,AI. Vaïsse prit une part considérable àcette fondation :l'éclat de son talent, l'bo-arabilité de ean passé, la fermeté de ses

victie.. lui avent bientôt ... placeexceptionnelle parai f ses collaborateurs etle poussèrent à la présidence du conseild'administration du Progrès, qu'il a oc-cupée pendant prés de quatorze ans et qu'iloaer,eit encore au moment de sa mort,magistrature élective toute paternelle oùSa bienveiilnnaa, et' largeur de eues, l'ori-ginalité de ses saillies lui ont fait autantd'amis que de cnllAgues fit de sub irdonuéa.

Ainsi l'évol Gtiuu des faits enlls iem's leramenait à son point de départ, et lui per-mettait de servir, Si, 1,0011,, de sa carné ro,la cause qui avalé éveillé ses premiers eu-

Quelles que Pansent les faif-g .s. les secousses, e :éb élue de

n rôle pull tiq ot 001115 A o gardaittoute la f i. goût d hoses del'esprit , noue lavons vu .Douent en ra-tai o, - nous ne voulons pas dire se vert-

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ger d'une injustice ou d'une déception, Inon gearce n'étant guère compatible avec

nie nature aussi géuéroase et toute pr i-annére, - en ciao tant ua de oen suri-

flot, fltremm,t tourné= qui char mnrentnesb c'. l' e oa en orduonarit leveu lrfr- d'ana étude dentiers a ton RI-va'Oep4ndant,

les atlointee du mal qui leru, ,aon 'ueaa.tmtt de pl (unit plus fréquen'tua et graves Durant Ire pins grande

ar lire rie I liripourilrtlilé de sortirle'. r t, a prt ait rie a

pr'moi

s .etfaiealtAa n.e apparitions Crie poule lére

r.a démiq m, saluée pin' les ep tu pxthies detrot. L.a privalaoa Mari i O,rnle, pour luee p rrrrnrtan; 1 te-rit. ii tri., tans s,, etc. b,uentsaf-

fuetnnux, a .e pettt nombre d'amis quiapprochaiao tr lit de douteur et tl aData dont:ar a lita sIdmie arma eanrrteeomble A'attarhement e uni suerie parmi eenx do ses légatafres

eII r tanintenno t, l'heure rie le eépnrationcet at'irece. Raunis puer la ter mère torsauteur titi r',,, frère et de l'ami dent nousallons r i , le cèpe crie, noue mnanv,

1 fond do omor net adieu mêlédkipérnna

uo qu'El ad re art lui robine avaearme t'ilre'ne in priée, aux témoins de sessepi e are arrgaieees.

l7uo alratirc.Doue le vermet de déanrebre 1880, la

narine 1'..., âgée denomxautu-quatorze ana,épieinre a Toulouse, fat trouvée mortedans son lit.

Le médacin appulé a constater le déchudérl:n'u quel n'rin,vi tt car te corps nuenoeiract ria bieseu ces ou do rentusiooe pan-ier tiare sep pnear que la mort était le ré-ultat d'en citron ni que cette mort devait

ôte,' attrlbaée a in sali au tau, praeeaantd'en aMbme doat la veuve t'... était da-

Le camarnde anquol L... a fait ces révé-Intioete crrn promettaaras, ne doutant pnede Ieur véracité, penne qu'il était de so

de ne pas laisser s., pari un crimennvnr andaaieua et en rendit compte a seschats.

Cor d et cri dénrrneê le meurtrierla

justicae.

,

et,

, aujourd'hui, oonraanee

qei se croyait peu prés certain .dosl'ira-

rn

pnalts ea rs doute, âtre transféré

'Pouloose,oserin

lieu l'instractioude

ocette tonébreuse alaire.

socmTn mis wEa

zm rrunnrama

Loa pereetees iu bgentn prtnnrtes

i'etu pnr

n Lo rneato9sles inndt du

ne heure préerso.aas tee erre Dnp ,

Fontagnères et 6onaoau,saeoorétaira.

Aesomnmiox nus arLn t ousm

ont vraeemun queles consol lutions grn,tuitse é r unies par l'As-

ciatiou des mederins de Tnmonae aurontlieu Ils e,srlr etnmolide'havane don en-

te sep ambre, â nue heure

l9UNAL DE TOULOUSE

jeune Otle, la ramées sur la route, pro-digue ses strias a son frire, et lorsgv'ilsont mn cas de leur étourdissement, leur

déclare la nouveau qu'tie anal qa'à chat-tir entre la bourse et la vie.

- J'ai, dit-ii, dévnli.sé tout a t'heure rivajardiniers d'Artbés ni le rie lourai tait n--fiait na1. Je ri'aijernars tué pcrsnnne, saufnehomma qui, tau dernier, voulut meré-eister. D'ailleurs, noua commua trois sur taroute. Rendez.vous.

Varocs par cas arguments, M. Hébrnilhdonna le contenu de aon ponta monuate e,tdes e portefeuille et, comme ris repar-

No retoamez pas a M eneattés, dit levoleur, sana quor je vous tue.

Mma La--larme

s

ni

iarrét â la ptèe maison .L La-

fut Gueutét doutée.DeDes hnru téu et de

s et des gendarmes tir, générCarie x firent uns battue e générale le

eIdear-

réteeent an de eue hardis voleurs.

On lit dans l'Avenir de Castres :«Jeudi a trois bennes, M. Etienne Ro-

quas, surveellunt b l'Orpbeinat protastaatde Castras s'est noyé huer, t rnbn'es environ

u- dessous du gu de Bissleus.e Bren qu'il rùt reçu naguère l'ordre

formel mue jareare diriger la promenadedu côté de Btsaéous et qu'il neuf aaeuueautorisation de faire bmgaer lia éréves-1,1 Roques prit sur lui d'aller faire eam-peper les élèves dans lu prairie r le Com-

usbes t d'autoriser las élèves , leu pieugrands set r" rrre, a se mettre a l'eau.

» Il tint croire que M. Roques, étrangerâ

Castr

res, ne sent pas rendu un errupteexaot de la situnteu ries lieus et de la a

ria-na

re des Lois, 30.Oo aealtnets pour elraque sema{ae : MM.

Puntnus et rue Varge Py et Fiamonr Reeurtet [tessdguet; Rrbell et Saint.Ange; Teeaon etAlbert.

Le secrétaire, De Beztn.

xETaononomouaParie, 30 uoât.

1,05 faibles peraseuea 000anmoanea eneabrs'

sont ee matin la Baltique et le contre tin con-tinent. tare des eaux de l'Agoùt, après l'orage de

Le barombtre monte, aueonIenire, aa nord' lundi noir, sans relu, e rrnment expliquerest et un sudrouent de l'Europe ; il atteint celle imprudence cou poila.767 mm sut aon otites rie l'Orlon. v Les enfnntn étarent a peine dans la ri-

La température reste relativoment baise vibre, qu'an entendit l'on deux appeler anpaix longtemps atteinte. â t'rntoer'ur i elle ôtait ce matte de 4° a secours, Deux do ses eamarades vont vers

Capon dent, ma vorsina de ta famma'r,.., baserait, 10h Varsovie, ravin, 14° b. Lyon, lai; ils y sont suivis par M. Roqnes qui,qui I'avareut trouvée marte dur n sen lit, Tuafo nue et. 24° àSinite, ofi'éiel perla raepansut,llité tari it aou-

ent Lé Mo ans, le rôp, mite pluvieux va puerieter lirait, s aventura eevragoaeeinealéser l'eau

note elle, de trouver la porte de son ma ec de faibles vartattana de température. ns savoir' nager. L'enfant en péril futgasin ouverta, avec tuais t nplus de rmi-si,a gn'an des .voix data dofautu Mail venu

,0r qu'rt avant fermé la porte, laa

ventaMuras,

cri pr sécantea de la ddot tpari onritin douteur, on

ne

e s arrêta pas a fies parti-cularitéa , ayant eepend.utt un oataetére

sarpeat.t, inhumation eut lieu et l'on ne s'oo-

enprr plus de ce décès.Un pou plus tard, au nommé L..., ou-

vrier nebnnrhé et paresseux , frit appeléu, tee drupr ies; sassa ennemi de lu lis-

cipltua grit l'ut art 00 du travail, il neend l 1 faire

A Paris, le tompa a été c vsry pluvieux, breuloe retiré pur un un avoir Arnarnde,,tlt l llle mmnimnm do cette nuit s'eut abaissé à n

éitavervatio,ua m@Ifiureaieaslpuesn

lion 30 et 31 Aoùt.

penons a L'aoannvs'POIIln nu eaai,onel

ALTITUDE 19i,,A

fIEURRn

grisa d ] ,[I ri, rIants 'ai [ r 0b. s.routai radrnnir e, ar irt n t t1 1 es annn .5 de linier, a la t,

guelt_ I . te c..o tamisé par la co evmltie pli. m.guerre. l 01 m

t d'mir, min momenexpvrsio o,,ara ,ri peul âtre par le renmods, ilracer, o

la etn A mi n de ses canrar de déurr<-

sl oa, qei uvant tin Inondapur i

our o service,ait é,r ff v- 'll P rn me de la rue

BVin ii i-q 'll I -t mit ait unerode1uOO li t os. Ilettr'a1a-sdra de

tans si prée e ,rre carie" qu'tl avait enm-mie, qui t él'. tri imp'i ible de dorien,' de lan ne 't I. t i n,t brrr, 9 etque oitlc t>Ibrmde tel' .e qu'il p -sadol t 'i I ' u for t d'Iéertr de prouversol

â 7.1 u te llt nepe, n t ildt.at I eI. '1 t 1nAl1e pusrai

t:i ri t I g r 1,1 avaitp'reQr

lo ait,i - le b it: déooit1 rvair r d' t l'empan t t t rmtrb

ll t I 'tt ta xci Ilcilice, .h L prcro e, puai lurdorean-

Ier I .voue l'arte pr n loi de 20 ir.La rrarehartle, n'ay ip tians on nomptorr la rame née, n.nire ruelopérer lecharge d I 1 ée. p' -. a 7a . sen arrrère-beau r{vo ou elle nouehatt. Il épia ses moucommis et lu vit airhn, de drssnus sontraversin, uo ace assez volnmlnoux, dunelequel elle pansa In nomme qui lui était né-

per-Fisc sur. da peint, antre homme nedis pas du tmpsi taus i

do

'

Ina

Harts acte, Ilpéuotra

ad'oidndu

e datefaueae ale( dans la chu robre tin l'épicière,cl ii t étoulla n l';rida devon oremnr.

Une fuis le m ur ire commis, L... s'e,n-para lu naa d'argent, objet da are rosirai-bac, et ee sauva aveu tint de précipnen-tion qu'il oublia de fermier la porte du mn-gasin.

SEUILLIETON DU JOURNAL DR TnuLoUuEDn I Septembre. Isea.

.S^ II

JACQUESLE RÉPROUVÉ

PAR

Engama 14SULLEE2

VIII

DaVANT ira CIi.aLPT

itbnitoj

-Tu ue raison, u ,mt, dit le capitaine enserrant vivement la main da bùeheronuni, cent foin raison, et j'ai tort, car j'ag-grave le punie er dépleraut de ne pouvoirl'ennuie trie Q rettens cns propos.

- On,, qm tanin-'nt, mn oipitainn, iv-Ja cgries q'ii +n paru ferre un violent

tlfort de rami ni tu initérreure, et pour'smmnis prouver qua j'aie en profonde me en-vol tant ce m e snyé defaearène terri, mai suemoi av e pnrleraemar on,ert d'e,te eheee... l..h bruni o5er;rs, do la eheso qui m'aftlignaitluste au

rutoù n,mz pn nermn quej'étaisaIti5'' pie

-Que rire P fait le eapltalne,gnér,r, amina satinaelrang'egn'ilrownr-qua riants l'aucaet et dans le regard du bb-

hm-lah rient tenez, vue, tout d'une

pièce, personnes tr trouse,i

ntai, ne et e nous.; voye,a, mots elpinarninau

méunossen

rirr,uivit

Jacques en

eioeRani le ni

sa vola :voyons, quand tous cesbraves

es

12h .

sarjmuunm°I menT ( vexes

, a e SU rvat an , ,a-aa rosies momenparai'asait. Les enfant vent vara tai, par-ni,enent alo saisir, rouis loure forces sontbientôt paralyaéos par les efforts de M. Ro-quas, et nia aont impuissants a le sau-

esPendant ce temps, un enfant avait volé

a t'établissenrrent pour y donner l'alarmeet le personnel toat entier arrivait sur Incmaux a moment nù le jaune Areilvy(E teuard), âgé de qui ose ans, vensit de ra.

r sur marine le corps dn malheureuxrnrai,

1740.9-L 19 b b an. Il t faible 1 u' le f e rt t le 1h emqh setd M.le oie 'nec hal,

343.2 1.145 ' I rtdl. Al. i a sr 00M . lido totem A r, i t, ai statmt337 0 { 11 R b.au.,5 niaee nie. In déchu.310.1 + tu 2 porion, Si' rd o Le corps fut traneperl: q t ph 1 rat ;74h 4

95euag.X00 f. tble. il a été dlt'g ijaurd hue vere Orjounet

3 h 744.8 .- 24 n 000n. SIO Id. pour y élrt, tah lavé. n

Thermomeilre eerstigratltebiuaimnm da 30 ........... -I- 28.8Minimum de la enrt snivanto. 11.0

C. as', nerl,.t, nu 1 lti8d

lever rire set ail h t b. 21 ra. na, couohee a

b l 2 ro'r,

e,menoo. o n1. 2 9n. O1 1 1 I 31 17m. m.; ces 1 a

01 8 t K d n1 10rénale immun o copte robre . 8t Etlnese, c

6:sruAaarneu'rro'u n MAIN ARV:I:v.

0e éort do Sniet Baooitle 28aoùt, verahart Dacron, hiI3ébrailh

rentrait avec ee aman do la foin de Me-r eatiés. Aa fond d'une nbt, nisr,r en honnisd'an ruvnn boisé, ue hootmu qui les nlevan-çaitde gneigoen pas se tnarnu hrusque-

or-eat, an pistolet â la ma , et leur,

donna de sarréter.Pour échapper a cette siuiatreagressinn,

M. Hebrailh vent donner a son cheval minangourcnx coup de fouet, maie il nuisit lesr'éuon d'amie façou ni malhenreuse qua cbe-val et voiture sont lanoea dans le pré-cip

Le a ver une axquisn,des-cend dans ns

tele ravin, présentents va mais 3 la

enfants sont la ensemble comme une bellenuée dont O fait bon neasidérer la joie, latranquillité, ont ce qu'il ne vous paraitpas étonnait de...

Jacques hénikm.

- De n'y pas voir aussi Jutiee, achevale ça ,faine que vrnx tu rl cime a cou-

r Ie

rhum s lui : le besoin da meuveruer, test do vert âge, et ..

Etes vous bien sùr, mon capitaine,que le besoin du mouvement sort lu seulecause...

- Mais... lita enpitaiec, quelque peuébahi.

-Oh t au nom An bon Dieu, mon nepi-taine, insista Jacques; o0 ire une fois,croyez bien qno ee qucj'en tain, oe que j'endie n'est qua pour être reconnalsnant en-vers vous, qui m'avez tant prouvé de vraieam nIié.

- Parle, mon ami, parle.- A la baane meure, n'écria Jacques, et

je parlorai en pleine bonne franchise, car,entre nous.., il p a longtemps que ça mepèse, il pu longtemps que j'aurais dùavoirle coarage de faire eu que je fais mainte-rart, main ln crainte de voua peiner.., -Eh bien I Dur, la, mon capitaine, net ra-fiot, seyre-voas, en voulant l'aimer...trop, aune lui reudez, m'eut avis, un mau-sis aorviee, 01h voua pareillement.- Je anis tanin lo, je le sala, avoua tran-

quillement le cape laine, très Crible; mon'et lieu la t mire tnnvaIIler' de to

Pieson iustrnctiom j osgn'eu degré oùdacmitres spécianz auraien r, pn le prépnrer

a quelque cacerére... et je reeoa rues quedepuis notre aéj nui tel, avec les meilleuresîntocireirs do inm, de, je l'ai laissé bpeuprés libru de tout non temps, â tel pointque ton Jeamret , qai ne savait eu a ni bquand none ao mines arrevéa, et qui na eupne Sinaé011e pour insu ta tare, est plustancé qne lai, sans a voir BWt mrt â son

travail jonrun lier. Ah l si on le poussait 00garçon lâ, ni irait mie certeinemeut. Quantâ Jalle:,, que v s' 1m I je ne poux pasprandre su oIJ te te cul trmndra I ilau f0 t qu'Il en plaiggne, qu'il parai.se triste...il me désarme, il m'échappe, et il n'ap-preed riais...

Aude.Ek t faisant conaaiée, peur eh q e oan-

ion, I dein'en numéro c. np ' da a lal'r ,are perhom la non?ingent du laelas.e 1883 .

C. st Insnd,srv (Nord? 67 slelr1 ty (Sud) 0 Fam 6; Balpetn, 42 , Silice sur.I Herr, 20 A.aonne,46 M'otr 1 37 eu' 30 L ruas

e (Est) 42 Ceecassennno (Oaest), 128,lag a'. °, 1 h , 31m Muuthau-met, 2e; P V '2' erneis, 9u;bonne, 164 D n 38 S g a , 8d ; Or-ecstu,, 73. C,rum r 0 L-, r, 108 ;Limeax, 79 S 'st 11,1arme, 2 AIhO ; Chalubro. 49 R terre, Axat, 48Quntlau, 72 Grenue, 41 Ma -Caban-dès, 38 ; Conque., 42 , Oadeadu,4a

tCOrreapendance partieuliare)

Paris, 31 aoùt 1884.L'on ignore toujours quels sont les ana-

veaax gagea dont le gouvemement fran-çais en End an saisir pour aanurer le paie-muant de l'tntlemni lé qu'Il réclame a laChine, ente ce qua l'on afdrme dans Inccordes officiena ne permet pas de douter

de t'efloaeité de coa gages. Notre ministredes attairen étrangères est d'ailleurs résoluris min s'en Os saisir gneprbs que nous au-rons obtenu une complete sstist'ueiton. Nileu promesses venuos de Pélcin, ni mêmelia signatures des mandarins les pinta hautplacée apposées au bns d'au traité, nébranleront sur ce point les daims nnmnn niacabinet de Paris. Nias avnmis été trom -pés une fois, cula nous te ta aerens pnsdeux.

On aannrea en outre, dans mea mêrmieneecles, que le baron de Conroel, dans Ioneoanarnasi mils qu'il vient d'noeir aveu M.de Birman' â Vurzin, n'a pas dissimuléque toute offre ou pro,sillon médiatrice

mut prématurée tant que le gouvernemeut' de Ir Ropnbliquen'anralt pas ou sapostessiuu des gngoa inatériels par lusgnelsml enteaI garantir ses rénlamatious.

Pareille dacl mena ion semble avoir étémite a Lond rua, a Wanbington 01h Sannt-Pétarsbourg, a , depuis trois jouer, o

autant plus parler de pimeainea-e d'unemédtatinn dans ana capitales.

Le bruit si couru, a la Bourse, que 10-minai Courbet, en quittant Foa-Taheoaa'eluit dirigé avec son escadre sur Canton.Le n B e bt'alt u crama a Londres et lla évidemment pour base la dépé aùe deSbanghnï, en date d'eujourd'hai, d,ctribeueus journaux. Ce, endant, nus miaiatéreu

des affaires étrangéren et de la, marine, eebruit est démenti.

Ou croit que l'ordre du gouvememeatchinois de courir sus a tous les bâtimeatafrançais dans toutes les mare du globe vdonner a nos représailles en oemctère en-rare plus aigu.

C'est naturellement â l'amiral Cnurbetque sera dévolu te eummandanteat enchef de arias n s enaadeau réunies dansl'extrême Orient et que termeol un tantin-geat nomme il s'en est reneontré rani-ment dans las nnnales maritimes. Il n'y aguéri que l'nrunral V, Renonce qui, uns lepremier empire, eùt le commandementd'une Olite aussi aombreuse.

Le retour on France du général Sfillotpour raisons de cafté ne trompe peraonemo;e'ret ana disgrâce dont les ,notife mit rteplu` d'une lois exposés et sur l: squats jen'ai puai a reveair. On irait qai le généralBriére de l'Isle, appelé a le remplacer,nova premhainoment nommé général da di-

son.vTous las journaux militaires de l'Europe

rendent hommage 3lu façon dont l'amiralCourbet, seeondé par nia braves marina, amané a bonne 11m la bombardement deF nu-Tahnea et la deetruetionm tee torts surIn mn ère,,, Min qui entrelerit dans sonplua d'opération. Les feuilles angfnlnesaulos y boitent quelque tuauvurne gmee,

gnotqu l .ut obligeas d'avouer qnoles amiraux et les égmpages auglats n'aa-rarent pLa tint misez.

x La réunion do t Extr me G a htenue aalovrd'hui peur d!tl ec er u

inla

proposition de marri t. le M. B edet,ateit le d t au ao pl t. Oie ait lue dl'abse i e des deoutna qui fout partie dugroupe l'échec da cette rénrtioo, mais mlest e mIann qu'en onelalu n nmbre demembres ne sont pas n q mq 'ils fus

mit réellement prose k ' P,amru, Leur mo-tif ans qai narre drapau, ne trouvant en

t emtgu5é dann ton mers de Chi teaootre le LOlcst-E,eplre, cent nue trairede palrtot,sma qno nialoer ter la rédactionl'un - f,t Q e l'uni 1: t laquen-t1porion 'p n enul faut aujour-dh t t'tau I é r t d Toutle manda sera 1 r l p r

qau l'a r 1 9d 1 L nimlniliani nblgo tt e enin nqna. I r m. t

innrsque la prun.a nmttro 0.1 gua r o i ecm Elel quel rn nique, - ullai' plus Inr,iusmms

dune nie o t. ' a t II , c este admra p que le laya ap tatar .ou-t l nos eo c t o les Ch b , m'aite,t quel lue son te protn.ntr rmpliottemeatcontre In guerre avae la Chine en frar-ursnet â enllsen loeaamon de d urneami onde attntrf qre eu n'est p laFrenec qui In, fait la guerre, mats le ca-binet henni,

a L'entrevue des trois nmpareura xe-ompagnés de leurs ministres des aluires

étraugéres, ennoucée jusqu'n présent parles seuls journaux autrichiens, est coa,t-dérée aujeurd'hun par la presse oflniceseallemnda comme uue cho,o décidée. LaGazelle de Calegne en parle comme d'unfait certain et iudmque comme lieu de l'en-inneue un des châteaux impériaux en Po-logne, -- Sksernmaovice probablement, -m ts sans en préciser la date. La feuillerhénane ajoute quelques obesrvateons sur

-Ahi voua croyez qu'il n'apprend rientrepartit viennnetlt Jacques - et mol je

d' gnrl apprant trop t Mon Dieu,nasnqu'il n'ait rien pris de celte tnstractronquo vous vouliez lui

mentneer vous-méme,

pour m, Pae plus tard c otficrer commesono, un eommta, un ja naesquoi.., lanést as l'atfuurnlrnn su pire téta eupins tard, 1 b= o enant, çase ratt-ape,et d'aelleun 'I y b nn des gons qui gegneut leur sis, qui n'en savent pas silong... Mais ce qni lait le mal.., c'estque,par

travaivi, et rooft ne se met pas au

p je dis que, peovre, Ofaut travailler pour se suffire, on gagnerla richesse, et riche, pour la conserver.

- Et tu es dans ta vérité, approuva lecapitCen.

- C'est Iourquoi, l'enfant ne s'aecou-lumant pue au travail, al ne peat qu'allernu mal...

- Au mal 1 répéta le père de Julien.au mal;

bien,des les mets tels

quelst eeta p-m mue hies, au roui... Vous

e leretennne

ez pasâ

la maison, tant pis I Etd'abord, vous lui terrez trop d'argent, asot enfant la.

- Oh l quelques pièces temps entemps pour ses menus p ve

,.s.

-- Menue plaisirs IEt

tv

us, dit-il, ju-mulo, min fait de aonoargont 4

D'ail-

lenrs, pennea-y, a-ti1 besoin d argent pourvivre liiez dans la montagne a son âge tQu'est-ce qur lui manque chez neun t N'ontet pas bien vétu, bsoa nourri? Na lui fait-os pus des plats exprès t Mn Iae nvez-vouspas donné min petit fusil pour chasser, deslrgnea pour péchmr 1... N'avez-vaus pas610e mr leponnt de lui nchetr un cheval I...Vous ueaavez rien lui refuser... Ahl vousne pourrez pas dire non. Main caves.vansùil va en sortant duel t RI Dieu s'ait s'il

art souventI rejoindre tus les mé-chants garnements da oaatou, qui lui su-

ent de l'argent et qui en nneat. Savez-voua nù l'argent panse t Au cabaret, 8Item, r, car l fente et ml hoetplurs que vous. .ou toue au moins al faut noire lue autres.Ou lui gagne non argent aux nattes, anbillard ; on lui en emprunte: . Le plussouveat toute ta bande vase cacher dans naissais pas encore toua, parait-il, vu

le bois, dans les rochers, et clora vous vousdontz des lions qu'an apprend; de Infu-sent dont on emploie le temps.

Ah I ourla qui voua ébahit, mit vues vdemandez comment je sais an courant detout ça, mai, qai ne parle a personne!...Eh meal muni Dine I st. n'nlloz ple redire vl' petit, flan d do

ane que0eù

e

drome, il 'est gué e et 1 I.riemm

drar4 trop, , n'est inca Je n E a qm toutça saigne la orner depuis longtemps et quiu tout fait pour tâcher de l'arréter, do laramener... Il l'a entai mima donné ta chasseaux vaumines, rien nu fait... Et d'ailleurs,Sgarne-vous bien que personne, dans lesgens dieu, na s'svlaerait de mettre empê-ohernent et eu détournemmnt d'un braveenfaut; satdt que vous ayez prie mou partipour qua tout le monde vous dr,mnstn, clos

rait pirofit pour leur méchanceté envoyant votre fils ne pondre... Voile en quevous avez gagné e âtre avec moi contretoua, mon eapmtaine; je vous disais bien

tmnt plutôt clamousser... Tous ici usserâ uroue pour que le petit vous 01 honte unjour... Mais Jeaanet et moi neu, nesommes pus de aeaa-la; nous savons ceque nous vous devons. le lui ai parlé, maiaoeei, a ce cher enfant... et votai com-mentj'y ai été amené. L'autre jour, il y ade cela quelques emaimies, l'étuis allé a laprise d'Onu du bief pour voir si les herbesne l'embemmassaiont pas trop; je l'ai trouvéla-hant, dans rochera, au milieu decinq os six pires vauriens et vagabonds dupays; ils avalent du vin, de l'eau-de-vle,des pipes; ils jouaient aux dés... Ma feu,j'ai tornhé var les mauvais guru, j'ai mou-verni les boinsoss , carné leu pipes , etgaaud lotes suie trouvé seul avec.. lui,j'ai voulu Ini qei rl avant peut-61ne lama d'aller .anno cette r c,il le...Il mu demandé pourquoi je mal camtais cesamtx. _.

- Oui, il m'a dit, en, affirma Jargnos etvoynrtt que t' aspi tains faieait an mon ve

ont, et si je vans le rnpète, test pourvas montrer qu'il est tempe de l'enrayerarien chemin... Ses amuul je ne les con-

le but da cotte entrevue. Dan, la penséede ha Lavette, les trois empereurs et leurs

'nintrns auraient a ce 'encarter sur desqueetieanenillantas du jour; tu Qnzelte

de M. le comte de Lespérat, son neveu,le prince a daigné lui adresser la louresuivante

ne recoenait eomma telles ni ta guerre «Mon cher monsieur de Lauhespia,frnuoo shtnotae ai Inc r rés de la Rus-sie dans I A.sre mér ndloea cuis bien la

M d B voir, sach ont toua ]es ann-m'aela

eu Egypte et laffaire des m dem-r a onmc es mort

sortais a litre neveu,par l tllégraphv, n

jee

viral pour le bombardement d'Alexandrie. m h emmpressa d'exprimer par la

mii

rteC'est dose, voit, dans min sens h ostile voie tra adame votre sieur ma profonde

' '

ie qAnglela

terre que lr

a. entrevue devait âtre

p t Il t t romurqnmer,mem' Gr te l'hcs min e e l'Ang l

e-pmérpnia

parait être dHlanua

nu

1 l1m

a prnIe palepo cnn do la GaudIe de Co-looensegne

orgqu'il èrea'pnpsn

m

s'émeaerqanmle t rpréte dans ne

au

udedo

n sana l'en trovuodes semis ipereure.

D pourrait donc bien so taire que luGucetle madou laissât i peu emporter ici parton

an deur anglophobe. Lue relations del'Allemagne et de la Oraode-Bretagnelaissent n drainer, n'est vrai : il no s'ensuitpas cependant qua co soit la seule chairevont les trois empires aient a s'ooonper au

peint de vue des intérâls ailernuuds. Nouavoyons pas hier quels profita pourraitsis

tirer Cautriebe partuoulièrement d'anahostilité de l'Angleterre où elle nvst pasdirectement intéronsec. L'alliante uustme-ailenande ne suffit pas pour expliquerl'entrée de cotte puisa flic dans nue sertede coalition contre l'Anglaterre.

La Bourse a débuté lourdement. Il s'eutproduit pendant toute en durée des rnou-vomenta de liuctaatlon qei l'ont beauaoapagitée. Cas muesementa ne relèvent dur,ate que des benoeoa de la liquidatrou,quia commancé par la réponse des pri-

es qai toutes ont été levéov. Il n'aculé aucun brait à port celai melstif a Can-too, doutje vous un purgé plus bout.

Le Temps s'occupe de l'incident deValenciennes quo noue avoas rolaté etses rédoxmesa méritent d'âtre lues;

LOI rriaaifentualt de Veleueieenev nemura Omit ôttO trop énergiquement, trop

uaauimement blâmés ; l'officia' ga'els ontattaqué avait lent sou devoir, rien que sondevoir ; I a méme fuit preuve d'une ex-tréme modération, puisque tee réglemectsmilitaires lui presnrmvuneimt fm'mallemneutde faire usage de ses armes contra sesgrosseurs, et qu'il a gardé sen sabre au

fuurreau. L'allarro, d'ailleurs, st 'u pas eud'autres sertes, et nous n'en parlerionsplus si nous ne lu considérions eomme unfâcheux iodles. Loa déalamatmonsin,easi-dérées de qne{quel joaruuitx, les discoursabsurdes autuut que haioenx tnne poe-gue d meut deprotssouontmalbeu-reas m t t n a é de l'écho dans qe n quesseestresoa tien, On as souvent dit quele soldat protégeant - l tufâme capital e quede p é,;. 'éeont lu, pne détester l'anmie L e smnp lent nomme aigmmstaun lastrtst s réaaltatn st snmmeno 'let taquelques années : ami u d abord ©e,r, etermes indignés l'armée de Versailles; les

d emanislé u'ttrè miv;n viii été, piusat . é, teau-vent 1 0011 imolr'u iv par quel lu on éfl'ngumnènes toujours Ils mémnv luiessay t 'las s' p s,er en axe Eaotdes tait'cun s ta Dual las. Euhu, quelques m'ut-bras d I I rat t pas ara tt l'as-minier ado mnoolnmmd' ou t i éol amuit lasain p d F entes et devnlrver u recrues t quels

o'tapp I les b p étarma

C nuoniutiarisrmnunt p. 'e t nantoatl' I II. t coprrm ri mille I g I

q' a al éluilt aras, 11 leuon ouii 1 u ronge de l'armée, un fâuntel,

cba x t tt meut 0m ,i,sblie trop vo.lotit que t mér ne peut passe défi t-dre tt-q é l'mnlloi mm d mit os tomme. Goal

i1 P'mnnmçmna' éoll eut drgaos d e

n linp tll nmen,e rnomeniteus nons oa.r e r,

quiI eppnrtient ris c

ldamner les dépl trables excéa de prosne otde parole dont lia troubles de Vatoucnen-naa ont été la eouségneuee naturolle.

II fout qu'ou le sache et qu'on le répèteconstamment : il n'y a purot d'armée' dé-

ceslugmis; m1 y a l'armée ,le la Fea,oo ,mu

où servent ton, leu Frauçoi et eaux-laeut lot pires 00eemms de leur paya qai en

pouraumveat les obot's d'arme haine inoxpli-eable autant que criminelle,

M. le comte de Ln,meapin, conseillergénéral de la Nièvre, ayant fait part âMonsieur le Comte de Paria de la mort

qu'hier, a e, que Jsannet tn'a assuré, ilétait causaut au bord du bois; devinezavec que t... Avec Ambroise, le lis deeetts malheureuse Denise, et causant detelle fuçon qu'un noyai t bien que ce t'étaitpas leur premeére rencontre. Quand Jean-net m'a raconté ça, j'ai dit : e C'est lecoup de grées... Ii faut quo le eaptaiuesort avenir; u et rat té,, ei je semblai pen-sif, c'est que je cherchais comment jepourrais amener chose...

- Comment dents, mais certainement,dit In eupi:.aene avec un air d'étrange dis-tractiou qui put ve trouver junindé par cefait qu'a ce moment -la, Jeaunel, gaittaatsa place, étui t veau vers les deux hommes,en montrant sou livre ouvert

- Capita.inu, fit-il, colla vue chose queje ne comprends pas bleu : routez.vous queje vntr lu lise pour quo vous ras l'eapli-quioz t

- CI I Iaesse donc, pebl, ocratan-

laitequi n'observait

pas

at once ec ont par-faite quiétude d'esprit le m,i mien ea-

u

a: tu viens toujours

demand

der.In o ..

- Main père, vous savez bicot quaplicins e tek que je lai ferais

pl

nisrrchaque foie que je questionnerons.

- Sacs doue, je l'un tilt , affirme tran-gnillecmit m rai as ne; net enfant veuts'instruire, ml e raison... Allons, petit, les-moi la chose, u

jel'expli dation v -

dra ensuite, nt'e soin a même de te la don-nnr; mss.

Et Jtaunet ayant commancé de lice, le00 nu qui semblait cela Irne semblaécoulte

er10

fort ntteutevement. Quan d lse lec-ture fut aahevéa, ci Put a c le mômeval me que le capitaine lus dmma l'cxpliun-Lion qu'appelant In paarnge nia lus, n,

Jaequo,, lai, an ami 6 lové d'en air machi-nal, avait machinalement durrgé oes panvers la scierie.

aympalhin. Ja viens aujourd'hui vous ma-mercior de la poussa quia inspiré cliveIcnlmm et vous dira, mieux qno le nui per lefaire dans amie dépéche, eomme je reassenla perte de M. de Lmcpérut, Je l'ai assezconnue pour psuvoie apprécier loe raresqquulmtés de son emar, at desou enteiligevee.

itna avance saaté, qui Ini imposait deséprouves st uragensement supportées,lui avait été l'occasion de se livrer, plus

mplétemnat que d'autres, a l'étude, ot dedrtaner a mon esprit vue tulture excoption-felle. Ces pérais.qu'il pourrait mettre tou-tes son bruitantes faeul tés au vernies de laFrance et da la cause à lagnella il était,par tradition et pur conviction, si pavsion-

euent attaché.nDieu en a dispnaé autrement. Il lui a

peut Sise épargné bien des sou draneev,'s ml neeo n eolevé nu ami dont la perle

seau vivement aettis.e La comtesse de Paris et moi, aousnens

asaocimns a l'iemmonne douleur de Mme deLes pé r u t.

Veuilles ét'e notre interprète auprèsd'elle dans ces doaloureunes eirconatanceset me croire

e Votre bleu affectionné,o Purr.irra, coula on ecnla.

o p,-g. _ Je vous remercie de ce quevous me dites a l'occasion du triste an-niversanredu 13 juillet. Je sais combiau

ez hdélement conservé le souvenirde mon pbre. C'est un lien outre noua queles aaaéos se Pont que fortifer t e

M. ài Courcel à Varzin.

L'agrume Planas a reçu de Berlin unedépéche qui aoneseo qee M. le baronde Coureel, umhaasadeur de Franco,pronden un congé dans dis ou douzejours. La dépéche ajoute

M. de Courcel mat allé a Varzin parceque le priuee de Bismarck avait or priméle désir de le voir avant son congé. Il y

rait eu â Varctn un échange amical dan il n'aurait pas été questmn de

g t a ayant pour but la couelusiend'un natte.

D'antre part, lo correspondant parimen du Times eevei, a son journal lalettro atrvanle qdt lui a été commuai-q mIe jo Baron et que a été écrite parune pcraoune bien planée pour savoirce qui so passe eu Atlemagnn

Il est à peine aèecsnaire qun je vousmetto en garde coutre toutes les supposi-tions auxqunlie e donné lien la visite deM te Coureel a Varzin. Cette 015,10, quiest cet tnmoment assts tmportantm en allo-some, â des objets lev plus uon pies et estlest rée h avoir nies é It' ts moins Mon-50010 qu'on n le npmne. 61 de Courcel

t i I b,it rlu et le aevn-an rmoé7 t é 1

gaeittrevueDen

'il I II tf It. Colt'vttrnvuo e

tes leh tait l ementqu'aucon-0't f hineia et nec questions qui

y tt h t.Immédiatement eprè, te départ de M.

do Cn.urcel. M. nie Hatzfeld a envoyé unenemn n ti ru a M de B'smarek a Var-

, etla dessus le pri tee a mfnrrné M. deCourcel, ami termes très rourtote, que ailevmny.mgo a Vnnemo ne lui smmblutt pas quni-qnae p si fatiguut ni peu de temps après souretour le Pu avae, il forait encbanté de l'yrceuvoir,riymeproudrani da cunthtuer la

rection commeeeée avec monstredes affaires étraagéres. M. de

Co

urael,sanlperdre vn u'il pat, accepta l'invitation etrépondit qu'il partirait le lendemain mn.lui pour Varzin.

Vous voyez quel a OH le point de départde cette visite et ce aunat M. da Courcel areçu mue tnvitutien a laquolle il ue 551-tondait pue du tout en partant de Punie,Cela coupe court à toute idée de négacia-lions générales d'un ecraotére drplomu-tiquesupénienr hocgetemèende dtptoma-

IIr

uN renom

La so Exit écoulée, durant lu-cgcesetet

Jeannat acent u rn-masilarqe

u

Jacaee

que Julien on éabsenlat pluegneccoutpagné de mm père.

- Enln, disait Jacques, je suis esse devoir quc la capitaino n'est pan fâché. A

ai dure, il sis m'a reparlé de rien; maisle sujet ne lui étant pss des plus agréables,je comprends qu'il ne tienne pas a yrevenAir.

u surplus, vous voyez bien, père,qu'il a fait vomi profit de l'avina pnraqu'il aalsinuv plus sen fils ursr seul. Etpéronsgvque geins menus

maintenant,

- Oui, enpérans-Ic Il n'èiait pas troptêt. QunnC a

Julien,

,

ilil ne

te

e lait pas meil-leure mine, je crocs.

Non, uu non traire,mur

parce quel edoute que e'esk moi

qqui suis du

chargement do manières da leu péru;mais, bob ! il reviendra dols fâchurie. Aufond, il n'est pas sl mé hant : il écoutetrop les uns ot les autres. Que le capitainele retienne un pou, qu'il vienne â entendreua peu meisou et tout s'ureaugera. Quevoulez-e lac pbre, je ae ponx cependant,pour qu'il me fasse boume grdce, lui direqu'il tact bien d'aller avec lu usces maavningars, car eniilu,du moment que ça sent pasma Pensée...

petit, si u'ainquolqisotuis vus peut segarder de dire oise, au moine

faut-7mjamais ire ps

dira co qu'en ne pelermis

pas, re méme il nous in v ieitcher.

. Mare pen, que jecrama,

,vais-tu,,

n'esturtnr above

et querme handitt ne cher bu a t jrnuuer onuméohaut tour. Tu anis que 1011 il me nouaaimait guère; c'est bisa pira depuis ruej'ai, eu gnelque leçon, placé vs mèrechez le capitnene, qui ne veut pns le voirparaitre chez lue, ot qui retient faut qu'ilpeut lev. gages de la Denise, pour qu'Am-bmem,u ne leu ait pas,

(A Safome).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

OURNAL DE TOULOUSE

(le). Vous voyez, néanmoins, par l'invi- is étaient d"'B"o a

broussaillesSI'

lesCation immédiat dr. é p M d e roc.`, a plus do de ta cents mo'u rs deBismarck à M. do que l'obi t bouteur N>s couP.s, tirée a droite sit àqu'il e v ait en vueCiiil aube .hn.eydu e gamelle, efm>,.tucmi etTt tandis qu e1P.9simple causerie sur e .;U uüea chuuisas Chinoiquir, nous vcet .as, ous fnaaSun fort est ton Eefois lits r. 1,lo. La

nousPüin,

oII 1, t é n ..eouudProsu.r an

,cet être e euth sui l'a in I lenur

réén s q

1 . Fri, C, otartines d 1 F «,

,ClIl de Quatre ou cinq Bout déjà étendes mraortesmande ma .savoir j;,,qu'eû il

1 t allai ou b ussés Tout le monde é rue de tdans la défense desdésobligeant

ét t pris comme dnns une souri-chien et dans le ton q 'i, Ut-

d vsa voirfoutu â l'égard de l'Angleterre afin de ne

relaLa nuit arrive : on s'abrite derrière lespas être expusé à dépasser la limite x mulets et les bâts, et l'on rse tiee prendredelà de laquelle la défense des intérêts un tapes dont o. avait tant besoin. 1,00traçais serait Inoompatihls avec Ses pro' baltes pleuvent toujours autour de nous;

.iraintérêts, do, au surpla., continuer le t'a amical jetant un dernier cri; !es bleeaàs se fini-qu'i! meetre ai publiquement d l'égard de puent.la Fce, et il sont que lette manifesta Ou rie peut an faire ... idée de l'effettic ser. a i'autant lue iéép ppr e e ce

moment qua la France ee plaint vivement,tselon, lui juetemeut, de l'attitude de

l'Angleterre.Enfin, il n'est pas fâché, en présence

des suppositions auxquelles on se laisse al-ler, pnrticulièrement eu Italie et en Rus-sie, du faire voir que la route de Varzio estouverte à quiconque e de, choses intéres-santas

illui communiquer. Soyez a suri

que M. de C.uree] ne sera pas lo dernierhomme d'Etat qui prendra la route deVarzio, chargé, entre autres choses, dedépister ceux qui en lancent dans desculationa sur la visite deliulnoky (dielfal-m000zohe Spur zu verwtacnea).

UN £MOUV âNT RÉCITdo l'AlLairas de Long-Son.

Au moment où le Ti- fait rua crimeà l'amiral Courbet de bombarder Fou-

oubliant lo bombnedoment deCopenhague, la révolte dea cipayesnoyés dame le sang et le B.. ,aide.ment d'Alexandrie, il n'est pas saris in.térét de faire connaître dans quellesconditions les Chinois ont organisé legant-apeue de Long-Son.

Le Propagateur picard, de Montdi-dier, a publié sur cette affaire, qui nousa obligés à prendre une attitude éner-gique contra la Chine, l'éroon vante let-tre sui vaille d'un jeune soldat du corpsexpéditionnaire :

Phu-Laog..Thuang, 28jnin.

Cher père,

Console-foi : cette fois oucore, je l'aiéchappé belle et j'en sois sorti sain et sauf.

Les journa us t'auront appris la défaite- la boucherie - qui est arrivée dans ]Il.montagnes de, Lang- Son; je vals m duo-ver des détails sur ce dessillais.

Je t'ai écrit, il y n quelques jours, et,dans ma lettre, je te disais

quevois rue

trouvions à Phu-Lang-'t huauug,u oût l'on.cas fars.it repose quelques jours osantdm repartir puer Lang Son; je t'expliqua aaussi comment nous étions partis pourLang-Son avec nos nmlets pour Porterdes vivres et des munitions en cette ville.

Comma tout le mSi onde était broyé d'uneton e l'ug e copra , on pensait ae reposer au

main. cinq ou si. jours; ai au bout dequatre jours, l'ordre do partir ardue, etdeus heures allés, on se mettait en route

Le chemru d'abord était .lisez b.au0 aus,itbt arrives dai,,I t

ans"le

chemin devront offre".; des montées àpics que les '.clos pouvaient à pairie gru-

; des descente, rapide. iempliuo dogrosses pierres là le pied .' a pas de ,û-raté, et, d .a mitre de vous, des précipi-ces sans Pond où l'on n'ose jeter les yeuxde peur d'avoir lo eart!go.

De temps â autre, en voyait pn mulotrouler deus ail préeipiev; l'on marchaitloup ai.

O.radon blant d'attention.

Enfin, ,prés anejonisée de marche vousun eolnil de plomb, nous arrivons de l'a-tre côté du versant, au bord d'un fleuvequi ee trouve encaissé

autreliens mnnte-

Ruea Noua avions souffert de nitre marcheforcée, mais d'autres sontirances t nus attendaient, bleu plus terribles que les pre-mières.

Nous deviens passer cette la hante .air-tagno qui se dressait de l'autre cillé dufleuve, et des rochers qui avaient au moins250 mètres de haut.

Nous campons au bord du fleuve, et, lelendemain, nous le traversons anse nosmulots Il était pou profond en cet,_ droit;an avait do l'eau jusqù aux épa.les, maisle cour a.t, qui àtoit liés fort, vous enle-vait, et l'on au retenait aux mulets pour,ne pas être entraîné. Bref, on passe leVeuve ...a accident. Nous faisons quinzekilomètres duos la montagne, quna il toutà anap an artilleur s'écrie:,Des Chinois I»Tout

1p .air: n Où çà» 1 noua

fait voir on rocher à cinq cents métros das où l'on voyait les broussailles 'agi-

tar et de temps à autre u.e téta de Chinoisqui ae montrait,)

LaTU

jouit commande aussitôt la halteet ..amine à qui il avait affaire. Mnie, àpeine étions-nous art MIS, quo plus de centcoupaCalde fusils partent de tons les côtés.Les lue ai (fient à nos oreilles, un hommetombe atteint en pleine poitrine; on lâcheles mulets et l'.. attrapa sen fusil, que l'o.charge vivement; .ris défense ,.pressenous est faite de tirer uu seul coup de fusilavent

dis.avoir reçu l'ordre.

Ou,mont que l'on ant dans uee triste

position : huit .ailla Chinois nous entou-raient, et ils avaieut oucore l'avataga dela densifie. Nous, noue étions quatre centshem mea: pn contra vingt I Que pouvait-an foi,., Si... mourir?

Nous étions là 8O hommes des Il- et 12°batteries, 100 hommes du train et 220hommes d'infanterie de marine qui noueescortaient.

Après lu première fusillade, le fan cesseet tout à coup l'on aperçoit deux chefs chi-noie portal le drapeau blanc et quatre]tommes d'escorte qui vouaientlementer. o

pour par-u les laiasa approcher, et à

cent mètres du camp on leur banda lesyeux et eu les anèae devant le colonel.

Tout ce qui on a P. eavoir de l'enc'est que le colonel leur donnait une demi-heure pour évacuer les m ntagnes, etque dans nne demi-heure le feu nemme:a-cerait.

Les parlementaires disaient qu'ils igoo-rai>tt le traité signé ..tre la F, arme et laOhine, et dam d t d

joursSUSpour té-

légraphior àP ,k

il, fil 1 r la và-rrté. Mare not I l t .. et donneune date heure pour tout délai.

Le parlementaires scertirent, et apaiseét Si' t l rentres dnns le camp quo luePho c mençarent 1 liter suc noua;

os fuede clouent ehmgé., on nous dit detaire feu ; nuis titans au j ugé, car les chi-

que çn vous produit, lorsque l'on autan d,milieu da la nuit , Ias balle, siffler et

tomber gnelquofois à deux ceotimétran deTons, le cri d'un homme qui etent devo:,

une bulle qui Ii attelntmortellomeat,les géinisse.ico ts et les plaintes des blas-és 1 Lorsqu'un n ente.,]. cela ana fois,

ne peut l'oublier de sa vie.mitanuit se passe, mils persoaoe ne ferme

)'mil. Vers mue heure du matin, la feu di-minue Il peu, plia catin cesse eomp:éte-ment: A ce mmnent, plus que jamais, l'onavait l'eut ouvert, car ton s'attendait atout moment à une attnq rue. Mais la nuitxacheva amie lieu de non veau Lejouror-

e et, vers cinq heures du matin , luechasseurs d'Afrique a enta coloneldeux Chinois qu'ils ont faitaprisonniers. Lecolonel ordonne qu'on la Pende, cru nn'onfait aussitôtA peine étalent-Ils morts quePr feu recommence de tous les côtés à lafois, à droite, 3 gauche, en avant, Le colo-nel envoie l'infanterfo de marine pour dé-loger les Chinois de lamoetague de droite;0ae la gauche, à parte de vol a,, compn-sait de ruchers taillés à plomb comme unemuraille, et la plus grande partie de, Chi-oi1 était Id'haut tirant sur nous avant

qu'au pût loue répondre.A peina voyait-lie le bout de leurs Puslls.

C'était A se faim sauter la cervelle de rage.Eu une bouts do temps, il y avant plus detrente hommes de blessée et aue dizaine demorts U. de rues camarades avait été tuéà ut' mitre de moi, d'eue balle an

p)eiu,

front; deux balles avaient percé non bâtdu côté gauche, et moi j'étaie à l'abri ducôté droit. Cinq ou six mulets étaient tuéset beaucoup avaient dan nattes dans la peau.

Nous d croire à nettempléte extermination. Enfin, le colonel

do,nande des hommes da bonne veloutépour aider l'inf..'S,ie de marine à dé:una-quer les Chinois des broussailles qui co.-

r ontagne. Touti,

mondeaient la

nS'ail'le ; ou unpren I les trois quarts, danslesgonls j'étais, et le reste garde les mu-ets

Nous cous bourrons ]es poches de cm-la nobel et lu ans voilà partis. Nous feuil-lons les hroussaiHeuu à est une vraie chasseux lapins. Les Chinois, ,coma à droite et

à gauche, déguerpissaient ce nous voyant.Fuel, ux hem es, la n,nosogne liait à poilprdcbat mnaoee T avais tué quarante.septcoups de fusil; sur huit lesquels de car-touches que j'avais pris, il nia restait un.Nous rentrons au camp ; les Chinois, em-busqués en bout des s noher, de gauche, fi-

TaientojoursL'ordre est donné do faire des tran-

chées et dose mettre à l'abri le mieux pos-sible. Eu ans demi heure les tr.vol toui,.

Alors seul amant ont se topos, è labrides balles et l'on mange un

pus mange. Lajournée touche d sa Go. Un homme ,,attiréet deux sont blessés.

La première moitié de la nuit sa panseassez bien. A deus heures du matin, onTu S soda tout tes da sabâter les roo-lets et de battre en relrai te ns bruit. Oncharge les munitions et les vivres; maiscela demande au moins deus heures, enrte

Ut émit suas dessus Vars quatreheures communes la retraite.

Na.,

n'a-'ms pas fait cinquante mètres que les

Chinois, n'apercevant de notre retraite,nient des feux de peloton. Loa

hommes tombent par deux ou trois à lafois ; c'est une vraie boucherie ; les mulotseut jusqu'à sis balles dans le carpe ; on enà

es.alleu aiffientvomesoreillt or

celles.à chaque pas les b

Cette fois-li, cher péril, plus que ja-is, j'attendais ma mort à chaque pas.

Mon molet reçoit doux halles, dont l'unelui traverse le gras de cou. La pauvre bêlehennissait de douleur, mais marchait toutde mime; on aurait dit qu'elle comprenaitle danger.

Nous arrivons au neuve, que l'on Era-s à la la

silo,car ss était la délivrance.

Une f.;, le neuve passé, on pouvait etten-dre las Chinoia.

L'infanterie de marine protégeait la re-traite et recueillait les blessés.

Les trois quarta du couvai étaient passésIereque jas Chinois arrivent en mule etcoupent la queue de la nolo.ne, s'empa-rant d'une dizaine de blessés que les coo-lies portaient, et de quatre ou cinq hom-mes de l'iclantoeie de marine.

Le feuva passé, les Chinois nousvoient encore quelques coups de fusil etretournent dans les montagnes. Cinquantemulets morte a blessés étaient restés enleur possession avec les vivres et las mu-nitions dont ils étaient chargés

Nous avions essai trente - six blessés,trente-ctnq morte, cinquante mulets eumoins et nue quinzaine qui avaient jus-qu'à cinq balles duel te peau et qui mar-chaient tout de mime.

Eu uire jaun ie, nous avons fait ein-gaante kilomati se, et, aujoued'bal, ...ssommes à Phu-Lang-TUang.

Quatre mille hommes, sous les ordres dugénéral Négrier (unbomme, celui-là I) sontpartis apprendre aux Chinois qu'il eucoûte d'atmquer an convoi quand la paixest signée.

Le général Négrier a promis de vengerla mort de .oe camarades, et il le fora mail y laissera eu vie, car eu n'est pas nnhomme qui recule.

Pour le moment, ..as noua reposons àPhu-Lang-Tuang; demain o apns-de-

am, n repartirons par, Ilsuoï. Legénéral an eut plue que nous .nus bat-tiuu., tar tout le monde est harassé delangue et mi peu de repos ne fera pasdo mal.

V_A_LVJ_1 r.I

S-

UN H PIOS

rai Michel Sk>h,leff, lié',ger o contre les 1 urCool' la Rnsme nomme non e ol our Co.,est pas que le général out c( µmeg de amitié, dans 1 moi d oui, loide Saint Ieteeebonrg, L,i franchlee,}a I m gédan tc Sa brusi os i a ne 1lf le 0ee i l 1, lise A L7 i e l 'non,créé i 'es . l j atb c.. Ale sa condoit,, admirable durant In guerre, lesprodiges de son ,,enrage lui avaiet t..gaie l'adrniration mnaoime , et l'onvoyait en lui nn des abois futurs (ilavait à peine trente-neuf ans) qne lesévéoemenls poilu pion devaient bientôtappeler à jouer un grand rôle dans soupays

Un duo oompagnoos de 9kobeleU, untémoin oculaire de aos lbauts faite,M. llantehi+nko, vient te publier eaRussie ma volume tout rempli de sour-e01ev personnels et sis galiérement

inté-

-ressa:rts. A peine sou livra a-t-il étéparu qu'il a été traduit en anglais, etnous en trouTUos dans un des derniersnuméros dn Carresppndant un résuméfort dramatique publié Opar Ni. AndréVillaume.

La famille de Skobeleff était origi-unirO du gouvernement de Riazan etavant la ses propriétés, an ,,cour mêmede la Mo-envie. Le brave général Dmitriétait riche, mais avare, lo file était gé-uéranx. 1: un était brave à la ,ilanjéredo'un soldat. Skobelofi aimait le dangerpur le danger, l'art pour l'art, et sesbiographsa citent une Poule de traitsqui montrent dans sa jeunesse Skobe-len-Géante jouant des loure k Skobe-leff-Harpagon Le j,man bomme, tou-jours vécu d'un noitorme blanc, toujoursmonté sur mi cheval bleu,, se prome-nant sans Utilité apparente soifs le feude l'ennemi, et quand ami état major

'

n ez as le a de volP ePiaepour riété aussi ht que j,

I 9i ne

ckoh IetP éclat. de tu O.MOI père, z.eur aussi un pe

,l argent l supplia t D encore.-- Tenez, vonâ cinq pléeesd'or pour eue,

d t,

i débonnaire n. 1 ard.Ce .,ont P. s.Comment, aisePas 1 que voulezvousque je leur d...e?

'Mes braves 1 m, n père vous donne unrouble II j foui z à sa santé 1

La qu'il s'acquit par sesfaçons dons l'armée devint considérable.Elle faisait sa force, car tes soldala soussas ordres ne erovaient pas pouvoir 01evbattus. La plus touchante des marquesqu'il reçut de dévouement et d'amours'éleva d'un wagon do blessés, presquedu mourants, qu'il croisa un. jour sur saroute.

Comme ii rangeait son cheval pour lais-ser ces mclheareua arriver plus tôt a leurdestination, quelques-Uns la ""'.aient'n Vive Skobeleff I longue ie à Skube-1.11I» fut

I.

erl qui partit da tua. e c spoitrines percées de balles, de tantes ceslèvres baignées de sang Une fois, le géné-ral passa devant un soldat qui avait rua.halle dans l'épaule, une fracture du crâna,et qui gisait à terre en attendant la mort :rassemblant ses forces, le soldat ee leva

O.et

présea ta les armes. officier,gr avementblessé, avait élé apporté d l'ambulance. Lachirurgien l'mi ama. et essaya de lui de.'Il' de l'espoir.

- Ne uns parlez point ainsi, major, di-tesmoi plutôt où est Sko belen et combienj'ai encore de temps à vivre

- 1,0 général est à ce quart d'heure)'ici, et vous avez encore une heure, peut-

être deux.- Eh bleu, tondez-moi ,il dernier ser-

vice 1 Allez lui dire qu'un «Bois, mourantdemande d voir encore son visags,

y rejoindra , il fur priait do s'é- Slcubeli If, averti, piqua des doua et ar-ea:t levailr. riva au galop de son cheval.

- J'aurais voulus vois soie encore, monUn jour, sen pére,lo voyant de loin a'ex- général, ruais pan+ot qu'on est allé vousPoser

aon raison, lui envoya un aide de chercher, mea youa se sont obscurcie. Jecamp avoo air mot au crayon pour l'enga- e vois plue quo brouillards ; que je sentegor â se retirer. au moins voire main i

- Oh I dit-il à ceux qui l'avaient ru- Shebeleff prit la .Si. du moribond danslouré malgré lai, le poche (c'est ainsi qu'il Iea siennes, et y fit pour aine( dire passerdésignait aon père), le pnr,ha est en co'.ére; oo eceur.

rue nous faisons n 'est - Comme pela... bien.. - merci I...aeq Pas I:mtile; Quelques instants ,prés, l'officier étaitnous'S"';

nieo tons le tir de l'ennemi, Et mort.ii demeura au .ô..cilr

il Combien de fois sur dos cam de ba-Pour lai donner leçon, le général taille abaudounée, des blessé,, des mua-Dé i ,tint le rcjoindreet partager In dan-tenta, ont ils demandé aux officiers d'am-

g rFoel contrarié et Yu E i balances :r nquiet, a mes' .- Avons'nous été forcés à 1a retraite 1sieur., dit Skobelet£à l'oreille de ses coro.uipagnors , voilez-vous que j'emploie

en - Skobeleff a-t-il été touché?harnee pour faire partir mon père ? s N,oa- Comment ferai-vous, mon général?

-Alors rien n'est ardu i-

P .- vous suez voir!,

u- Nére, d i t Michel, je n ai plus )e :nu,

C'est pendant ja guerre de 1877, surlis air t I A y - Plutôt. les borda du-Daabe, ieEt il l a i p doson a na, il retournait la q'douhlure de ses poches lidos. nuit d- Il, veinent la renommée. C'est

- V êtes un prodigue, répondit le surtout pendant tee trois Sanglants as-ieiilardn

sd'un air mécontent, vos poches sul de Plewna, auxquels ta prise dovont pereéil ; et, tournant bride, fl dis- Loflcha servit de prélude, que ae placepain,. la page fa. plus tragique ud héro,, 0.U'0 autre foi,, c'était en hiver, pendant

e

sait le terrible échec qu'éproavéreuta guerre de Bvigario. La froid devenait d'abord ls Rusées, quand le lieutenantntu a

t l t ndl u c1 ne d',, plus général Si b ildor Srh.ld.er lança tèmé-' PJ1

tf r ,ment six m 1 t hcoh sen 9 OmmIl I,anx ase

soldats du e

q esPesaitles

point de fourrures pour les aenliueuos quidevaient faire. le service de nuit. Le géné-ral, dont le nmur saignait, oui bien voululeur en donner à tous sur sa propre for-tune; mr,air péta et et. mire vivaient,et il .,.,ait rira que par leur générosité.

- M'or père, habillez-les I suppliait-il.- Voile voi, moquez! Babiller l'armée à

mes dai,ens 1Michel Skobeleg résolut que les senti-

nelles, du noie, auraient des feu, ares.Ayant appris qu'un juif de Rournimm étaitarrivé dans uu village voisin <a,,, dee cha-riots chargés de ventes fourrées, il les en-voya chercher; quand ils furet arrivés,il mil aon cheval au galop et courut auquartier de son père :

Boejosr, pers, dit-il gaiement eu luibai,ant la main.

-Combien vous faut-il? répondit, moi-tié sourient, .cité grondant, celui-ci quicompril.

- Comble. de quoi ?- Combien l'argent? Je ,eus devine; jo

'

contre quarante mille dea meilleurestroopee d'Osma.-Pacha. M. Nemira

a tracé uu tableaudramatique de cette journée de la troueiéme bataille de Plewna :

Bientôt la colline tout cet)ére fut cou-verte d'em brea noires : c'étaient les Rus-ses qui, oyaant rompu ta pas, montaient àl'assaut; il semblait qu'il en sortit de par-tout et maigré l'absente onium gile,on voyait à tout

mosment

des bras quis'.,a-

gitaient eo l'a)r des corps qui tombaient.L. feu des

Turas

cs balayait la route; desyens rouges é ouvraient et sa refermaient

cinbrasurss de la redoute, la collinottu mblait jusque dans sis fondements. Leshommes a,,. aient rapidement aanséat-bide,.ua blessés; les tambours altérésde sang couvraient loure cris d'un roule-

ent sinistre; les voilà tout prés des rem-

parts esuLaas premiers y touchent presque)A qu'ils approchent, le feu lesTurcs fait de leur targes et plus mortelle.trouées dans leurs rangs. La redoute sem-hlo uo monstre vivant qui vomit le feu,

Tors bleu que vous. avez plis 1. sou. déchire de es hé d'ac)er quiconque- Hall I à quoi pensez-vous, mou père? s'en approche,

et

tsese hérisse de baïonnettes

J'aieencore l'argent en uxatité! J or 'éq e

viens boasem

e,.... de m'aider à acheterdes habits fourrés Pour me. hommes. Voua

ez quoje Il m'entends pas beaucoup euaffaires; jai peur d 'être dupé.

Le visage du vieille rd s'éclaircit.- Ni on n, ses, et en rirui, marmot l- Eh

bieen,

veuillez aloi, avec moi ; jee puis faire sacs vous. Plût à Dieu

qne je vouconaultaése toujeurslMiehet Skobeien était tant à fait adouci.- C'est boa 1 dort boa I- Non, e. Vérité, je ne fuis rien de bien

sans vous !Le pore prltaon chapeau, et Ibis se ton-

dit auprès du marchand roumain. Pen-dant Irais heures, on esaniirua, .Ir choisit,

marchanda les fourrures. Au foi' et àmesure qu'un wagon du corps d'armésétaitchargé SkubelmUi'vspédiaiil Plewna,quartier de la 16s division, et un wagonvide était amena. Son pire inspectait ,,bu-qua veste en détail, le retournait, la sen-tait, la goûtait presque pour s'assurerqu'elle était de bonne qualité; ij y mettaittant de soin qu'il en était toute. nage. Eu-fi., le dernier wagon partit. Tout A coup,la scène ch:nge.

- Merci, bonsoir, mon père. Cosaque Imon cheval)

Et Skobeleffeaute en selle.- A qui, S'il vous plaît, mon général ,

enverrai-je mon compte? dit le marchanden accourant tout esaouffié.

- Oht à mil. père! Mon père, payez-le,ail vans pli jt,je voua rendrai l'argent.

Et piquant des ,leu., il disparut. No-blesse oblige, et le vieillard paya, pendantque les soldate de eos fils eodosanien t lesbonnes veste., fourrées. Le P oid, col hiver-la ne tan Pas nn seul homme banc la,itoi de Miehel Skobeleff, et il on tuabeaacoap dans d'autres.

Quand son Pére eut occasion, quelquetemps après, de seoir à ao. quartier, ilcommença à lui faire des reproches Aupremi mot

- M. 'av os 1 s é ne Sk.bel,il à ses,r aurho ai nne n s b ov e s m a lez on p ne, ,

Ce out sas fours ores que vous porte.1Lorsque au mois de juin 1882 on ap- - Que Dmu vous lo rende F xcelleune I, . p are,c an a e ou une ma n -prit tout à coup la mort subite du gêné- - oui, nias élus unjoli fiJe

l Voue ne failianfe et retombe,, Le Turc eejem de

p c pie.

Les plus hardis sa lancent sur le mous -1er, baïonnette au bout du fusilla GrandDieu I quels lâchesI » s'écrieqle capitaineavc angoisse. n Quoi? quoi t u'est-ce quiareieet u demandent les braves qui fontl'attaque. La capitaine montre en silencela dentiers. colonne qui recule ; la troi-siémo suit l'exemple; et la première, colis

ilqui donna l'assaut, voyant qu'elle iagira pas cou tenue, est obligée de reculeraussi, Le onpitalne, les demi ta marrées, des-cend rapidement et court oua fuyards. Seshommes savent ce que cela veut dire.-Lâchas) poltras,I voua touchiez au

bat, et vans avez reculé.- Noua avons reculé tous ensemble,

commença an soldat.Il .'avait pas achevé sa phrase que le

enpitaine l'avait étendu raide mort d'anaballe. La fraya aT clouait les autres surplace. Au mime ..ment, nne vois ton-nants ee Ut a. aride. C'était Skobeleff,enté sur son cheval blase, qui venait

rallier les fugitifs.

- Suivez-moi, mes enfants 1 plus de ce-prochesl suivez-moi) C'est moi qui ,sisnus moutrer Comomet on houspille les

Tares 1 Battez, tambours) et eunsme.tILe roulement des tambours couvrit la

bruit de la fusillade turque, la colo..amo.ta de nouveau à lassant Ça n'étaientplus les mêmes hommes Ils ne faisaientnulle atteri lion a x camarades qui tom-baient, ne tiraient marchaient droitdevant eux comme à la parade. Mais il yTait on ravin à In uveraer, Cela ralentis-

sait la marche. n Tnmbpces, silence 1 Ce-arades! cria Slcobelen, entendez-youa ce

gémissement? ce sont .os Gères blessésdans l'attaque de tout à l'heure qua lasTurcs martyrisent Hcoutezl écoutes 1» Eueff t l 1

,ai

`t' t de leur., retran

h t p h t 1.s,.ourants,le Og t d t t sans .an. etdisparaissaient s a sitot. A masure que lacolonne approchait, alla Pouvai t en tondrep. dit t ne t d gi m t dedo I r 0 't une n 1 d bscu-ril ül blsoe rus' elever ncars àlapro he d' T f ir f d' déi

côte éviter le couPre nt se baisse,tra e ! r

L émirg ,quiavait botte.et

"'

uihumai

letambour' le faisait fallu tan.7t.

Ilp n t avec raiscn qn

ill y pa lo

lee s,>IdUt, de stimuhmt dans le mondeompar able aux cris de détresse de leurs

frères. Il profita do la rage qui s'emparaitCascours

- Camarades) en avant 1 Pas une mi.note à perdre! Chargez ces tétas férocesau pas de courre! Sauvons ceux des nôtresqui respirent aurore. Suives-moi) Lieu-tenant Doronovitch, occupez cette tra-chée

De la tranchée indiqués, juste en facede la redoute sorta!t précisément une grêlede balles, et la fumés qui s'en échappaitdétonait la vue des remparts ; mais, Si l'ou

roy'ait plus la redoute, on entendait lebruit de tonnerre qu'elle versait sur lacolline. C'était comme un tremblement deterre accompagné de la crépi talion du gra-nit Primitif dans la période de formationde la torre.Poar surcroît d'horreur, il a'é-Issu

àce mmnent un épais rouiard, etb IL

l'OU ne combattit plus que dans ios tbné-bres. Uns imagination excitée aurait puaroore qua tous les démons le l'enferstalent déehataia et que le ro des tin@-bras tenait là un festival .sortant.

La mitraille balayait les rangs, des gre-nades qui on n'avait pas vues tomber fai-soient explosion de juste en minute;Doronovitch, au plus épais de la mêlée, netdistiognait plus rie.. Cependant, j' vitpasser tout trustee lui, Skobolen, les nart-lies dilatées, la barbe au vent, qui poussaitdevant lui avec de nouveaux hommes encriant toujours : a Suivez-moi, alliez .Ici,

men flots l Souvenez-vous de vos frères

martyr,,,,,, » Mais le général disparutcomme l'éclair, il était partent à ln fois...

lent ri était pas fini. Avoir prie la re-doute était quelque abuse, la garder étaitnne plus grave eô'aire Cola dépendraitplus encore des autres opérations de l'ar-mée que de la vaillance de cesodéfenae

ceure.

Cependant, cette vaillan pur,ait rou-ede grands services Elle ferait, dama

tons les cas, gngoer de temps, elle facilite-rait grondement le sucrés d'un assaut gé-naral.

Major Gortalef}, vous resterez icicomme commandant de la redoute, dit Slco-beleff,en a'edreasant a un officier do hautetaille. Il faut conserver cette position atout

prix Puis-je compter sur vous P- Je la conserverai, ou je mourrai, Vo-

tre fanal trace !- Il pourrai t se faire qan je ne pusse P.

vous envoyer de renforts. Dunnes-moivotre parole de ne jaavais, quoi qu'il ar-rive, abandonner la redoute. C'est la clefde ]a position. Ils ne le voient pas encorelà-bas, ajouta-til d'op air triste; je vaistâcher de les convaincre. Enattendant pro-mettez-moi de tenir ici.

- Mon honneur est mon gage. Je nesor-tirai Pas d'ici vivant.

Et Go,taloff leva la main comme s'ileût fait un eermmit. Skubeleff 1 embrassa.

Que Deu vous soit en aide . S rave-ara- vous, mes camarades, que Taus ne recevrez pas de renforts. Ne comptez que survous meures. Adieu, héros 1

Le général pnrbt lentement. Arrivéo pied de la -fins, leva , tête

et contempla n l u t laIedo

ute :a Voués à 1. .or

t i» exclama-t-il aveu

tristesseDoua jours ,prés, Skobeleff était O.

selle ea milieu de son état major. Unjeu ,e oYfi le, d ordonnance du goarttet gé-

eral venait de lui remettre un pli.- Ainsi donc on sons abandoure ton

ne noua donnera ai un canon ni unhomme l Rie.1 Et cola q.ad presque toutest t'ait I

- Ni un canon ai un homme, réponditl'officier do quartier général.

La figure de Skobeleff eut une contrac-tion nerveuse, Ses ouvres tremblèrent, salou ae brisa; cet bomme de fer as peu-cha sur le pommeau douons le et fondit enlermea. Ceuaqui l'entouraie.t s'écartèrentavec veapect.

Personne au quartier n'avait compris,comme il le comprenail lui-mémo, l'impur,sono de la position sella ian.

- Stratégistes d'école l aria-t-il en srelevant aven colère, je .'au ,Si trouvé de

"" qu'en Eriloff I Sas sonnegiment dehauyso pki,rotégeje erpourrais

Pasmémo es-

yer d noua qui vont défendre,contre ce., cette précieuse redoute.

Lue protéger !non, il faudra qu'ils meu-rent tous I

Et es levant sor se, étriers, regardantla redoute et saluant du ehapeaa ses dé-fenseurs comme s'ils .assaut P. le voir etle comprendre :

- Enteadea-vous? tous, tous, vous de-vez mourir l

Voici maintenant comment M. AndréVilm.me raconte dans le Correspon-dantla mort de Skobeleff, et les bon-.SUIS tunébres qui lui ont été rendus :

Devant l'hôtel Dirs,eaux, à Moscou, le25 juin 1382, nne tuais immense éta!t ras-emblée. Toute la ville paraissait étre ta

;amis nrtout le pauvre peuple Sous le So-leil brûlant, toutes les têtes étaient dénuu-vertes, tous les yen. ,amplis de larmes.Pur une fenàtre ouverte, on apercevaitan ,jeune officier, ai de de camp du gêné.rat, le dos d la muraille et secoué par lessanglota.

A l'intérieur de la maison mortuaire, lafoule brodée des dignitaires et des chi-

esgénéraux remplissait la chambra.

veille, Skobeleé avait dmé gaiementet veillé tard. A ... heure du mail,, iln'était plus 1

- Mais de quoi est-il mort 7 demandaitquelqu'un à voix basse.

- De paralysie du ,,mur, répondait-onvaguement.

- Maie quand en meurt, il y a toujoursparalysie du ,mur 1 Qu'est-es que cela si-g.)fe?

Au dehors, un soldat. portant la croie deSaint Georges enr la poitrine, vint à fes-ser et s'informa de ce qu'il y avait :

- Skoheleff est morl 1- Quelle bêtise 1 Skobeleff O. meurt

pas.Et il ,au u e- 01011

tl nluômnt son .lie.

s. Beaoaeu ,10 ul le choseLe peuple resta

noncemarnes

tout le jour etmtoute la nuit; il demanda que l'ou dit lanoos, o plein air pour le défont. Elle futdit, aussi dans le salin de l'hôtel Dos-

fi j{ pelle arden-te Lecarto f té 1.1 lorrain, a

aile Wt pas I aatopr',, on ne eberchapilointt e l oe . d I mort. P i

o . lg traverse I lame t 1, ines deM ac u .t

sdit à I'.gI'. .elle' d

même dont le. nd pé a 3 Sk,bel ffavait posé la première pierre. Il pleuvait àtorrents, cola n arréta,t personne, et tous

ces braves gala Sanglotaient comme desf iU d éco de laa Kul nt aga t

vicuntr

Ili

N p Ié ap 7 , d ce cil il,

, Oie samoi d ra

IIpo nr celle du

art et so retira Sa. tout le parcours, lescouronnes utras'apuraient t aux couronnée; etnord dans l église, ee furent les

deux gr 1 i N'c a las et Alexis, qui,00001e p !ace Eugène Romoftkky, ducle Le uchmnber]off

g, et taon-Praére

de, porlérent la buire. Jamais un

NuisisRusse

qui ne fût pas de sang royal n'avait reçude pareils honneurs.

- Voici le sommaire du numéro 9, du30 août, de la Revue politique et litté-raire :

Congres international des aciesees de Co-pnolmgne : La ,Battes. néoplasique, par M.Verneuil. -Loa microbes et terre rôle patho-gén ique, Par M. Henry do Varigay. - Rocher.'ans tuer iq,Is aur ios combinaisons ,lalluor'par bl, Guntz. - Revue de botanique. - Aca-démie des science, de Paris. - Clieentque.

Voici le sommaire du numéro 9, du30 août, de la Revue ccfenttotque:

Les études orientales en 18831884, par M.30m os Dremeateter. - M. Mei-SI--i-, donsM. Charles Bigot. - La fi. d'une amitié,idylle, par M. Paul pétard. - Causerie litre-

e, par M. Maxima Gaucher. - Canaerieparisienne : Lettres à une honnête femme,par Quatrellos. - Bulletin.

0. s'abonne su bureau des Revues, 111,boulevard Saint Germain, Paris.

Plia du numéro : 60 centimes.

n.Cès uns 27 UT 28 noce 1884.

Blaise Nodal, 52 ami, rno des routnmes, 27.- Blanc épouse Sans us, 38 sas, rue du Fau-bourg-B.nhmuee, 60. - Augustine Cabaretépouse Huhlé, 59 sas, rae Saiot-Antoi.c-du-T, 23. - Jeanne Leyban, 6 mois, rue de Pou-boulot -Bonnefoy, 86. - Glamle Frnaçols Mo-rillon, 37 ans, Clté-Oarnsl,e. - Mascaras

ve Darand, 69 ans, rno des Menuisiers, 38.- PrançoiaeMajonrel, 15 mous, rue Nestor-

Brun 18.- Thérdse Gibert, 38 airs, à Lafonr-guetto. - Marguerite Auguste, 5 ,,!a, rueChampétre, 5 - Sabra veuve Gillbert, 70 ans,ne des Juifs, 4. - Bleus, venue Le Blane,

80 ans, rue du Vieux. Raisin, O. - Margee-elle-Lanj se Rouy, B ans 112, àl'Emboaoimre-Marguerite Serres, 42 sas, chemin du Préfet.- Aatolnette Caadolives, 47 -Si àLvfour-guotte. - Jacques Clueel, 75 ans, Hôtel-Dieu- Paul Canes, 16 mois, rue des Prés, 15. -Marins C,,, ,es, 4 noie, rae des prés, 15. - Eu-gine-Alfred Biella, 6 mois, quai de Tennis,n° 16. - André-Jenn Barbe, 31 anaà L.n-fonrgeette. - Baltbnzard Delco, 27 ans, rasdu Taur, 15. Dominlgne'Louis Gaettl, 83 ans,rue Arnaud Bernard, 23.

ETIN COMMERCIAL

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Du 30 août 1884

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las

les

05

65 k! las .................

Haricots, "sol ....................

Pommes de terre ..................Vin, le degré .....................

Foin, les 50 kilos ..................Sainfoin, - ................Luzerne, - .................Paille, - ..................

17 501

l2 »

il 50

12 »»

1 75

13 >i

14 o»

24 75

6 o»

2 50

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4 »»4 x»2 eS

PNNPain blanc, le kilo................ 35 s» a»Pain bis, - ................ 28 »s

,i.aNnnDemi, le Icilog.....................Vache, - ... ..

Veau, - .....................Mouton, - .....................Porc, - .....................

1 eo

40

2 s»

2 50

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Sept., 67 25 octobre, 67 80, novembre, 68 50;décembre, 6875; janvier 69»»; février,69 »», mars, 69 25 ; avril, 69 75 i mai, 70 25 ,jmn, n»»» , les 50 kibus.

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