BRGMinfoterre.brgm.fr/rapports/81-REU-020.pdf · tp durée de pompage t' temps écoulé depuis le début de la remontée s rabattement de ... TAC titre alcalimétrique complet (teneur

BRGMBRGM

MAIRIE DE LA VILLE

DE

SAINT LOUIS

BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES

SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL

LA REUNION

12, rue Alexis de Villeneuve - B,P. 1206 - 9748H SAINT_

Téléphone 21-^^-5^ - 21-22-14GVg.

8.0tC ^981

iBîbS§x5^§^

LA RÉUNION

COMMUNE DE SAINT LOUIS

Résultats des pompages d'essais effectués

sur le puits de Maison Rouge en Septembre 1981

M. STEENHOUVT

81 REU Û20 Octobre 1981

MAIRIE DE LA VILLE

DE

SAINT LOUIS

BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES

SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL

LA REUNION

12, rue Alexis de Villeneuve - B,P. 1206 - 9748H SAINT_

Téléphone 21-^^-5^ - 21-22-14GVg.

8.0tC ^981

iBîbS§x5^§^

LA RÉUNION


Résultats des pompages d'essais effectués

sur le puits de Maison Rouge en Septembre 1981

M. STEENHOUVT

81 REU Û20 Octobre 1981

COMMUNICATION p ou

TÉLÉPHONEINTÉRIEURE LJ M

VISITE n

18

DATE

M

12

A

81

heures

SGR/REU^pour

-DpJ: Documentation

Tél. Tél.

Réf.Rapport St Louis 515-81 D

V eu il le z ti o ve;r c:.- j o:.nt râp-po.rt

concer. naji Tjes -cleii- poirpîg

fÊ rue -S SJUJC le-] l: xLe MxuLiiCUL

en s Ê£ieml3 ne â.ai Ce mrtiuTiR I dfi $a.:Ln:i

4U£t,Ci MLiA v.»m.:.,>,t.-i .^rr,.^T.-)-c^

Réponse le_

par

COMMUNICATION p ou

TÉLÉPHONEINTÉRIEURE LJ M

VISITE n

18

DATE

M

12

A

81

heures

SGR/REU^pour

-DpJ: Documentation

Tél. Tél.

Réf.Rapport St Louis 515-81 D

V eu il le z ti o ve;r c:.- j o:.nt râp-po.rt

concer. naji Tjes -cleii- poirpîg

fÊ rue -S SJUJC le-] l: xLe MxuLiiCUL

en s Ê£ieml3 ne â.ai Ce mrtiuTiR I dfi $a.:Ln:i

4U£t,Ci MLiA v.»m.:.,>,t.-i .^rr,.^T.-)-c^

Réponse le_

par

RESUME

Par lettre de commande n° 263 4 /DST/JLG . SC du 20 août 1981,la Mairie de la ville de Saint Louis a confié au Service GéologiqueRégional de la Réunion (BRGM) la définition, l'exécution et l'inter¬prétation d'un programme de pompages d'essais pour déterminer 1 'évo¬lution et les possibilités d'exploitation du puits de Maison Rougesitué sur le territoire communal de Saint Louis.

Les travaux ont été effectués au moyen des installationsexistantes, gérées par la C.G.E., du 14 au 18 septembre 1981.

Le puits de Maison Rouge, exécuté en 1973, capte unenappe libre portée par les formations volcaniques des phases IIet IV du massif du Piton des Neiges protégées par un épandage de py-roclastites à caractère imperméable .

Les résultats montrent une forte amélioration du débitspécifique (188 m^ /h/m en novembre 1973, 533 m^ /h/m en septembre 1981à 20h de pompage au débit d'exploitation de 490 m /h) résultant di^développement des formations aquifères sous l'effet de l'exploita¬tion de 1 'ouvrage .

Bien que la courbe caractéristique du puits de MaisonRouge présente une anomal ie au-delà de 300 m-^/h, cet ouvrage peut-être exploité au débit de 490 m /h sans risque manifeste pour lapérennité du puits.

/..

RESUME

Par lettre de commande n° 263 4 /DST/JLG . SC du 20 août 1981,la Mairie de la ville de Saint Louis a confié au Service GéologiqueRégional de la Réunion (BRGM) la définition, l'exécution et l'inter¬prétation d'un programme de pompages d'essais pour déterminer 1 'évo¬lution et les possibilités d'exploitation du puits de Maison Rougesitué sur le territoire communal de Saint Louis.

Les travaux ont été effectués au moyen des installationsexistantes, gérées par la C.G.E., du 14 au 18 septembre 1981.

Le puits de Maison Rouge, exécuté en 1973, capte unenappe libre portée par les formations volcaniques des phases IIet IV du massif du Piton des Neiges protégées par un épandage de py-roclastites à caractère imperméable .

Les résultats montrent une forte amélioration du débitspécifique (188 m^ /h/m en novembre 1973, 533 m^ /h/m en septembre 1981à 20h de pompage au débit d'exploitation de 490 m /h) résultant di^développement des formations aquifères sous l'effet de l'exploita¬tion de 1 'ouvrage .

Bien que la courbe caractéristique du puits de MaisonRouge présente une anomal ie au-delà de 300 m-^/h, cet ouvrage peut-être exploité au débit de 490 m /h sans risque manifeste pour lapérennité du puits.

/..

L'analyse des résultats du pompage à débit constant(durée r\J 2 0 heures) confirme le caractère hétérogène des formationsaquifères, plusieurs limites ont été atteintes en moins d'une jour¬née de pompage . Cependant , les valeurs élevées des paramètres hydro¬dynamiques observés et la piézométrie de la nappe caractérisent uneressource importante .

Pour lever l'incertitude relative au comportement de lanappe sous l'effet d'une exploitation continue, un suivi de l'évolu¬tion du niveau dynamique sur les piézomètres voisins (S5 et S6 parexemple ) durant une année hydrologique apparaît souhaitable .

Pour ce qui concerne la qualité de l'eau distribuée, untraitement chimique est indispensable dans l'état actuel de l'envi¬ronnement immédiat du puits de Maison Rouge.

./.

L'analyse des résultats du pompage à débit constant(durée r\J 2 0 heures) confirme le caractère hétérogène des formationsaquifères, plusieurs limites ont été atteintes en moins d'une jour¬née de pompage . Cependant , les valeurs élevées des paramètres hydro¬dynamiques observés et la piézométrie de la nappe caractérisent uneressource importante .

Pour lever l'incertitude relative au comportement de lanappe sous l'effet d'une exploitation continue, un suivi de l'évolu¬tion du niveau dynamique sur les piézomètres voisins (S5 et S6 parexemple ) durant une année hydrologique apparaît souhaitable .

Pour ce qui concerne la qualité de l'eau distribuée, untraitement chimique est indispensable dans l'état actuel de l'envi¬ronnement immédiat du puits de Maison Rouge.

./.

NOTATIONS EMPLOYEES

Q débit de pompage

NS niveau statique de la nappe

ND niveau dynamique de la nappe

t temps écoulé depuis le début du pompage

tp durée de pompage

t' temps écoulé depuis le début de la remontée

s rabattement de la nappe

Q/s débit spécifique

TA titre alcalimétrique (teneur en hydroxydes et carbonatesalcalins ou al cal ino-terreux )

TAC titre alcalimétrique complet (teneur en hydrogénocarbonatesalcalins ou al cal ino-terreux ) ,

NOTATIONS EMPLOYEES

Q débit de pompage

NS niveau statique de la nappe

ND niveau dynamique de la nappe

t temps écoulé depuis le début du pompage

tp durée de pompage

t' temps écoulé depuis le début de la remontée

s rabattement de la nappe

Q/s débit spécifique

TA titre alcalimétrique (teneur en hydroxydes et carbonatesalcalins ou al cal ino-terreux )

TAC titre alcalimétrique complet (teneur en hydrogénocarbonatesalcalins ou al cal ino-terreux ) ,

SOMMAIRE

INTRODUCTION

I ENVIRONNEMENT

î - / Situation

1-2 Cadre géographlquz1-3 Contexte géologlquz

1-4 Vonnées hydrogéologiques existantes

1-4-1 Campagne de forages de reconnaissance (1971 à 1973)

1-4-2 Exécution du puits de Maison Rouge

II POMPAGES D'ESSAIS

II -1 Généralités

II-2 Modalités d' zxécutlon

III RESULTATS OBTENUS

III-l Essais dz pults par pallzrs dz débit

III-l-l Courbe caractéristique s - f(Q)

III-1-2 Graphique s/Q = f(Q)

III-1-3 Courbe logQ - f(logs)

III-1-4 Indice de Mogg

III-1-5 Conclusions

../.

SOMMAIRE

INTRODUCTION

I ENVIRONNEMENT

î - / Situation

1-2 Cadre géographlquz1-3 Contexte géologlquz

1-4 Vonnées hydrogéologiques existantes


1-4-2 Exécution du puits de Maison Rouge

II POMPAGES D'ESSAIS

II -1 Généralités

II-2 Modalités d' zxécutlon

III RESULTATS OBTENUS

III-l Essais dz pults par pallzrs dz débit

III-l-l Courbe caractéristique s - f(Q)

III-1-2 Graphique s/Q = f(Q)

III-1-3 Courbe logQ - f(logs)


III-1-5 Conclusions

../.

1 1 1- 2 Essais dz nappz par pompagz longuz durez à débitconstant

III-2-1 Remarques préliminaires

III-2-2 Exploitation des mesures

111-2-3 Evolution des rabattements au puits enfonction de la durée du pompage

111-2-4 Caractéristiques physico-chimiques de l 'eauexhaurée

III-3 Conclusions zt crltlquzs dzs résultats obtznus

IV EXPLOITATION DU PUITS DE MAISON ROUGE

CONCLUSIONS

1 1 1- 2 Essais dz nappz par pompagz longuz durez à débitconstant

III-2-1 Remarques préliminaires

III-2-2 Exploitation des mesures

111-2-3 Evolution des rabattements au puits enfonction de la durée du pompage

111-2-4 Caractéristiques physico-chimiques de l 'eauexhaurée

III-3 Conclusions zt crltlquzs dzs résultats obtznus

IV EXPLOITATION DU PUITS DE MAISON ROUGE

CONCLUSIONS

LISTE DES FIGURES IN-TEXTE

FIGURE 1 : Plan de situation - Echelle I/lOO OOOè

FIGURE 2 : Extrait du plan cadastral - Echelle 1/2 OOOè

FIGURE 3 : Schéma d'implantation du puits etde ses piézomètres.

FIGURE 4 : Coupe géologique du puits et schéma d'équipement

FIGURE 5 : Courbe caractéristique s = f(Q)

FIGURE 6 : Courbe s = f(1og Q)

FIGURE 7 : Courbes Q/s = f(Q)

FIGURE 8 : Graphique s/Q = f(Q)

FIGURE 9 : Courbe log Q = f(log s)

FIGURE 10 : Pompage des 16 et 17 septembre 19811 à 7 courbe ND = f(log t)

FIGURE 11 : Remontée des 17 et 18 septembre 19811 à 7 courbe ND = f(log 1 + tp/t')

FIGURE 12 : Pompage du 18 septembre 19811 à 3 courbe ND = f(log t)

LISTE DES FIGURES IN-TEXTE

FIGURE 1 : Plan de situation - Echelle I/lOO OOOè

FIGURE 2 : Extrait du plan cadastral - Echelle 1/2 OOOè

FIGURE 3 : Schéma d'implantation du puits etde ses piézomètres.

FIGURE 4 : Coupe géologique du puits et schéma d'équipement

FIGURE 5 : Courbe caractéristique s = f(Q)

FIGURE 6 : Courbe s = f(1og Q)

FIGURE 7 : Courbes Q/s = f(Q)

FIGURE 8 : Graphique s/Q = f(Q)

FIGURE 9 : Courbe log Q = f(log s)

FIGURE 10 : Pompage des 16 et 17 septembre 19811 à 7 courbe ND = f(log t)

FIGURE 11 : Remontée des 17 et 18 septembre 19811 à 7 courbe ND = f(log 1 + tp/t')

FIGURE 12 : Pompage du 18 septembre 19811 à 3 courbe ND = f(log t)

LISTE DES TABLEAUX IN-TEXTE

TABLEAU 1 : Nivellement sommaire des ouvrages et piézométrie.

TABLEAU 2 : Résu 1 tats. des essais par paliers de débit.

TABLEAU 3 : Paramètres hydrodynamiques

TABLEAU 4 : Evolution de la température et de la résistivité de1 'eau en cours de pompage.

TABLEAU 5 : Analyse physico-chimique - Echantillon prélevé à llhde pompage le 17/10/81 à 9h.

TABLEAU 6 : Analyse physico-chimique - Echantillon prélevé à 19hde pompage le 19/09/81 à 17h.

LISTE DES TABLEAUX IN-TEXTE


TABLEAU 2 : Résu 1 tats. des essais par paliers de débit.


TABLEAU 4 : Evolution de la température et de la résistivité de1 'eau en cours de pompage.

TABLEAU 5 : Analyse physico-chimique - Echantillon prélevé à llhde pompage le 17/10/81 à 9h.

TABLEAU 6 : Analyse physico-chimique - Echantillon prélevé à 19hde pompage le 19/09/81 à 17h.

- 1

INTRODUCTION

Le puits de Maison Rouge, sur le territoire de la com¬mune de Saint Louis a été exécuté en 1973 dans le cadre de travauxde renforcement de l'adduction en eau potable de Saint Louis. Lagestion de l'exploitation et de la distribution des eaux est assu¬rée par la Compagnie Générale des Eaux, section de Saint Pierre.

Aujourd'hui, pour faire face à l'accroissement des be¬soins en eau exprimés, la capacité de pompage de l'équipementd'exploitation du puits de Maison Rouge a été accrue.

Pour obtenir des informations qualitatives et quanti¬tatives sur les possibilités d'exploitation et les modalitésd'utilisation des eaux souterraines du puits de Maison Rouge, laMairie de la ville de Saint Louis a confié au Service GéologiqueRégional de la Réunion (BRGM) les études hydrogéologiques parpompages d'essais.

Le programme de pompages d'essais a été exécuté du 14au 18 septembre 1981 au moyen des installations existantes.

- 1

INTRODUCTION

Le puits de Maison Rouge, sur le territoire de la com¬mune de Saint Louis a été exécuté en 1973 dans le cadre de travauxde renforcement de l'adduction en eau potable de Saint Louis. Lagestion de l'exploitation et de la distribution des eaux est assu¬rée par la Compagnie Générale des Eaux, section de Saint Pierre.

Aujourd'hui, pour faire face à l'accroissement des be¬soins en eau exprimés, la capacité de pompage de l'équipementd'exploitation du puits de Maison Rouge a été accrue.

Pour obtenir des informations qualitatives et quanti¬tatives sur les possibilités d'exploitation et les modalitésd'utilisation des eaux souterraines du puits de Maison Rouge, laMairie de la ville de Saint Louis a confié au Service GéologiqueRégional de la Réunion (BRGM) les études hydrogéologiques parpompages d'essais.

Le programme de pompages d'essais a été exécuté du 14au 18 septembre 1981 au moyen des installations existantes.

ENVIRONNEMENT DE L'OUVRAGE

I - 1 Situation (fig. 1 et 2)

Le puits de Maison Rouge est situé dans la partie Nordde l'agglomération de Saint Louis à proximité de la S.I, D.R, Ilest implanté sur la parcelle N°66 section DS du Plan Cadastral à1/2 OOOè (1978) ; ses coordonnées Gauss-Laborde sont :

X = 148,00

Y = 33, 150

Z = 27,64

Cadre géographique (fig, 2)

Cette dépression est drainée par une petite ravinesèche qui passe en contrebas des jardins du lotissement précité ;

l'ensemble du terrain (parcelle 65 - section DS) est couvert parune végétation arbustive ou herbacée, avec quelques arbres éparsdont un tamarin à proximité immédiate du puits et du piézomètre S2

I - 3 Contexte _géqlqglquz

L'extension septentrionale de la ville de Saint Louisest implantée sur les formations volcaniques des basses pentes dumassif du Piton des Neiges qui s'ennoient en aval-pendage sous lerecouvrement alluvionnaire de la région du Gol et de la rivièreSaint Etienne ,

ENVIRONNEMENT DE L'OUVRAGE

I - 1 Situation (fig. 1 et 2)

Le puits de Maison Rouge est situé dans la partie Nordde l'agglomération de Saint Louis à proximité de la S.I, D.R, Ilest implanté sur la parcelle N°66 section DS du Plan Cadastral à1/2 OOOè (1978) ; ses coordonnées Gauss-Laborde sont :

X = 148,00

Y = 33, 150

Z = 27,64

Cadre géographique (fig, 2)

Cette dépression est drainée par une petite ravinesèche qui passe en contrebas des jardins du lotissement précité ;

l'ensemble du terrain (parcelle 65 - section DS) est couvert parune végétation arbustive ou herbacée, avec quelques arbres éparsdont un tamarin à proximité immédiate du puits et du piézomètre S2

I - 3 Contexte _géqlqglquz

L'extension septentrionale de la ville de Saint Louisest implantée sur les formations volcaniques des basses pentes dumassif du Piton des Neiges qui s'ennoient en aval-pendage sous lerecouvrement alluvionnaire de la région du Gol et de la rivièreSaint Etienne ,

81 REU 20 Fig. I

COMMUNE DE SAINT-LOUIS

pompages d'essais sur le puits de Ma i son Rouge

plan de situation échelle 1/100 000

Pntedes Grands Bois

81 REU 20 Fig. II

— N

COMMUNE DE S A I N T - L O U I S

pompages d'essais sur le puits de Ma i son Rouge

extrait du plan cadastral - é c h e l l e 1/2 000

4

A. i

- 5

Lors de reconnaissances préliminaires effectuées de1971 à 1973, une campagne de sondages carottés a été exécutée parla section Hydrogéologie de la Direction Départementale del'Agriculture, Seize forages de 30 à 40 m de profondeur ont étérépartis selon une maille approximative de 10 X 10 m (fig, 3 ettableau 1 ) ,

La succession verticale des terrains rencontrés est duhaut vers le bas :

- tufs, puissance de 9 à 22,5 m (phase IV) ;

- basalte bleu, aphyrique - scoriacé, puissance de 2,9à 12,05 m (phase IV) ;

- alluvions observés sur 4 sondages, puissance 2,35 à3,85 m ;

- basalte à olivine - scoriacé, mur non atteint(phase II).

La coupe géologique du puits de Maison Rouge levée lorsde son forage en 1973 est (fig, 4) :

0,0 - 15,50 tufs .

15,50 - 20,80 basalte aphyrique scoriacé,

20,80 - 22,95 basalte scoriacé très riche en olivine.

22,95 - 25,90 basalte scoriacé très riche en petits cristauxd ' o 1 ivine

25,90 - 28,50 basalte scoriacé très riche en olivine

D'après la carte géologique à 1/50 OOOè dressée parG. Billard et éditée en 1974, le sous-sol de ce secteur est consti¬tué par des formations pyroclastiques reposant sur un substratumbasaltique .

Les niveaux pyroclastiques, attribués à la phase IV del'activité du Piton des Neiges, sont constitués d'éléments d'origi¬nes diverses , cimentés par des matériaux cendreux.

/ I

- 5

Lors de reconnaissances préliminaires effectuées de1971 à 1973, une campagne de sondages carottés a été exécutée parla section Hydrogéologie de la Direction Départementale del'Agriculture, Seize forages de 30 à 40 m de profondeur ont étérépartis selon une maille approximative de 10 X 10 m (fig, 3 ettableau 1 ) ,

La succession verticale des terrains rencontrés est duhaut vers le bas :

- tufs, puissance de 9 à 22,5 m (phase IV) ;

- basalte bleu, aphyrique - scoriacé, puissance de 2,9à 12,05 m (phase IV) ;

- alluvions observés sur 4 sondages, puissance 2,35 à3,85 m ;

- basalte à olivine - scoriacé, mur non atteint(phase II).

La coupe géologique du puits de Maison Rouge levée lorsde son forage en 1973 est (fig, 4) :

0,0 - 15,50 tufs .

15,50 - 20,80 basalte aphyrique scoriacé,

20,80 - 22,95 basalte scoriacé très riche en olivine.

22,95 - 25,90 basalte scoriacé très riche en petits cristauxd ' o 1 ivine

25,90 - 28,50 basalte scoriacé très riche en olivine

D'après la carte géologique à 1/50 OOOè dressée parG. Billard et éditée en 1974, le sous-sol de ce secteur est consti¬tué par des formations pyroclastiques reposant sur un substratumbasaltique .

Les niveaux pyroclastiques, attribués à la phase IV del'activité du Piton des Neiges, sont constitués d'éléments d'origi¬nes diverses , cimentés par des matériaux cendreux.

/ I

81 REU 20 Fig. Ill

O

COMMUNE DE S A I N T - L O U I S

p o m p a g e s d'essais sur le puits de Maison Rouge

schéma d ' i m p l a n t a t i o n du puits et de ses p i â z o m è t r e s

OS*O

si3O

O O

SSo

\ \\ \

o

¿11o

v.

<O O O fOÚO ÔO /a co

O

6'O


( Cote origine mesure

( Cote sol estimé

( ND le 14/09/81 , 17h{ puits en exploitation

( NS le 15/09/01 6-7h{ puits en arrêt depuis le( 14/09/ à 1711 15

( NS le 16/09/81, pults en( arrêt depuis le 16/09 à Bh

( IBh - 19h

( 21h - 22h

( ND le 17/09/81 17-18h( Q = 136,6 1/s depuis le( 16/09 à 22h

( NS le 18/09/81 14h( puits en arrêt depuis le( 17/09 à 18h

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

SI

29,764

29,5

23,22

6,544

23,12

6,644

23,1426,622

23,1546,610

23,600

6,164

23,162

6,602

S2

27,269

27,3

20,66

6,609

20,607

6,662

20,6196,650

20,6296,640

20,935

6,334

20,642

6,627

S3

28,766

28,8

22,14

6,626

22, 10

6,666

22, 1146,652

22,1256,641

22,311

6,455

22,131

6,635

S5

28,338

28, U

21 ,71

6,628

21,668

6,670

21 ,6806,658

21 ,6916,647

21 ,828

6,510

21 ,701

6,637

S6

27,008

26,5

20,40

6,608

2U,35

6,650

20,3606,648

20,3706,6 38

20,603

6,405

20,382

6,626

S8

27,266

27,2

20,70

6 , 566

20,612

6,654

20,6216,645

20,6336 , 6 3 .!

21 ,027

6,239

20,648

6 , b 1 U

SU

28,447

28,2

21 ,795

6,652

Puits

28,990

27,6

22,42

6,570

22,34

6,650

22,3486,64 2

22, 3566,634

23,278

5,712

22,366

6,1,24

S16 )

2 3,595 )

H profondeur du niveau d'eau par rapport au repère "origine mesure"

Zii cote NGR du niveau d'eau


( Cote origine mesure

( Cote sol estimé

( ND le 14/09/81 , 17h{ puits en exploitation

( NS le 15/09/01 6-7h{ puits en arrêt depuis le( 14/09/ à 1711 15

( NS le 16/09/81, pults en( arrêt depuis le 16/09 à Bh

( IBh - 19h

( 21h - 22h

( ND le 17/09/81 17-18h( Q = 136,6 1/s depuis le( 16/09 à 22h

( NS le 18/09/81 14h( puits en arrêt depuis le( 17/09 à 18h

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

H

Ze

SI

29,764

29,5

23,22

6,544

23,12

6,644

23,1426,622

23,1546,610

23,600

6,164

23,162

6,602

S2

27,269

27,3

20,66

6,609

20,607

6,662

20,6196,650

20,6296,640

20,935

6,334

20,642

6,627

S3

28,766

28,8

22,14

6,626

22, 10

6,666

22, 1146,652

22,1256,641

22,311

6,455

22,131

6,635

S5

28,338

28, U

21 ,71

6,628

21,668

6,670

21 ,6806,658

21 ,6916,647

21 ,828

6,510

21 ,701

6,637

S6

27,008

26,5

20,40

6,608

2U,35

6,650

20,3606,648

20,3706,6 38

20,603

6,405

20,382

6,626

S8

27,266

27,2

20,70

6 , 566

20,612

6,654

20,6216,645

20,6336 , 6 3 .!

21 ,027

6,239

20,648

6 , b 1 U

SU

28,447

28,2

21 ,795

6,652

Puits

28,990

27,6

22,42

6,570

22,34

6,650

22,3486,64 2

22, 3566,634

23,278

5,712

22,366

6,1,24

S16 )

2 3,595 )

H profondeur du niveau d'eau par rapport au repère "origine mesure"

Zii cote NGR du niveau d'eau

r;Co1e NGR

L- 27,64

t.;, 64

0,86

0.1

profondeurm/margelle

TT-a AAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA..

A A tufsAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AA A ù

A AA A i^

A AA A /!

A Avvvvvv vvvvvvWWvvvvWW ,WW basalte aphyrique scoriocé

I w wvvvv

I V v wI vv vv

WWI V w vI vv vv

vvvv1 v vv V

vvvv 20) 80>VVvV- 2 1,00v.v.y.y... 21 , 50^^^)^ bosalte sconacéWW très riche en divineWW

22,9523,30

Puits Maison Rouge

Soint.Louis

5,50

WW.V V v -V

vvvvWWWWVVVVVVVVWWVVVVWWvvvv

besolte scoriocé très riche

en petits cristaux d'olivine

oCM

ZDLUOU

I I

CO

WWWWVVVVWWWWvvvvVVVVvvvv

25, 90

bosalte scoriacé très riche en olivine

28,50

O)en3O

q:

c:ol/l

Í

(Os:

(U-a

cOlEaiex

1

:3C3-

>a)-

T3

IDE

lOI

^1 1

a:C/1

UJCD

LUZZDs:s:CDC-J

Z3

Q.

CL)

1

i-3l/)

to1

fO(/)</>

a>-

o

i/>

OlenroCLEOO.

4->

O)

l/)

»->r

rjQ.

ZJ"O

O):dcr

1-

cnO

O,<u

en

(UQ.3oo

Echelle l/lOO

r;Co1e NGR

L- 27,64

t.;, 64

0,86

0.1

profondeurm/margelle

TT-a AAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA..

A A tufsAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AAAA

A AA A ù

A AA A i^

A AA A /!

A Avvvvvv vvvvvvWWvvvvWW ,WW basalte aphyrique scoriocé

I w wvvvv

I V v wI vv vv

WWI V w vI vv vv

vvvv1 v vv V

vvvv 20) 80>VVvV- 2 1,00v.v.y.y... 21 , 50^^^)^ bosalte sconacéWW très riche en divineWW

22,9523,30

Puits Maison Rouge

Soint.Louis

5,50

WW.V V v -V

vvvvWWWWVVVVVVVVWWVVVVWWvvvv

besolte scoriocé très riche

en petits cristaux d'olivine

oCM

ZDLUOU

I I

CO

WWWWVVVVWWWWvvvvVVVVvvvv

25, 90

bosalte scoriacé très riche en olivine

28,50

O)en3O

q:

c:ol/l

Í

(Os:

(U-a

cOlEaiex

1

:3C3-

>a)-

T3

IDE

lOI

^1 1

a:C/1

UJCD

LUZZDs:s:CDC-J

Z3

Q.

CL)

1

i-3l/)

to1

fO(/)</>

a>-

o

i/>

OlenroCLEOO.

4->

O)

l/)

»->r

rjQ.

ZJ"O

O):dcr

1-

cnO

O,<u

en

(UQ.3oo

Echelle l/lOO

- 9 -

Les coulées de lave observées dans ce secteur sous lestufs sont des basaltes aphyriques ou à phénocristaux de feldspaths(phases IV et III) et des basaltes à olivine (phase II) .

Sur la zone prospectée par sondages, les formationsde la phase IV reposent directement sur le substratum de la phaseII avec localement un niveau alluvionnaire au contact.

1-4 ?2î}!}§^'*-_(îi/^^23l2^23'S2^§é_§ïi^^^^!?:?§é


D'après les résultats de forages, les basaltes de laphase II apparaissent très perméables puisque des pertes de flui¬des de forage y ont été systématiquement observées.

La perméabilité des basaltes aphyriques de la phase IVest liée au degré de fissuration de ces coulées à caractère plusmassif. Les tufs peuvent être considérés comme imperméables.

1-4-2 Exécution du puits de Maison Rouge (1973)

Le puits a été foncé jusqu'à la profondeur de28,40 ra/sol ( 28 , 50m/margelle) soit à la côte -0,86 m NGR (cote mar¬gelle à 27,64 m NGR) .

Une galerie a été creusée dans 1« premier niveau debasalte scoriacé à olivine entre 21,50 et 23,30 m/top margelle(cote 6,14 et 4,34 NGR) : galerie principale de 8,5 m de longueur +une galerie transverse de 4,0 m de longueur (fig. 3 et 4) .

La surface de la nappe, observée en novembre 1973, étaitsituée à 21,00 m/top margelle soit à la cote +6,64 m NGR.

.../..

- 9 -

Les coulées de lave observées dans ce secteur sous lestufs sont des basaltes aphyriques ou à phénocristaux de feldspaths(phases IV et III) et des basaltes à olivine (phase II) .

Sur la zone prospectée par sondages, les formationsde la phase IV reposent directement sur le substratum de la phaseII avec localement un niveau alluvionnaire au contact.

1-4 ?2î}!}§^'*-_(îi/^^23l2^23'S2^§é_§ïi^^^^!?:?§é


D'après les résultats de forages, les basaltes de laphase II apparaissent très perméables puisque des pertes de flui¬des de forage y ont été systématiquement observées.

La perméabilité des basaltes aphyriques de la phase IVest liée au degré de fissuration de ces coulées à caractère plusmassif. Les tufs peuvent être considérés comme imperméables.

1-4-2 Exécution du puits de Maison Rouge (1973)

Le puits a été foncé jusqu'à la profondeur de28,40 ra/sol ( 28 , 50m/margelle) soit à la côte -0,86 m NGR (cote mar¬gelle à 27,64 m NGR) .

Une galerie a été creusée dans 1« premier niveau debasalte scoriacé à olivine entre 21,50 et 23,30 m/top margelle(cote 6,14 et 4,34 NGR) : galerie principale de 8,5 m de longueur +une galerie transverse de 4,0 m de longueur (fig. 3 et 4) .

La surface de la nappe, observée en novembre 1973, étaitsituée à 21,00 m/top margelle soit à la cote +6,64 m NGR.

.../..

- 10

Les résultats des essais de pompage effectuésentre les 30/11 et 05/12 1973 sont :

. données extraites du rapport d'exécution

débit m-^/h 400 600 750

rabattement en m 2,00 3,30 6,00

. données d'après l'exploitation des documents annexés au rapport

débit m^/h 400 627 712

durée lOh 15 1 6h 30 3h 30


débit spécifique 200 153 119ra^/h/m

niveau dynamique +4,64 +2,54 +0,64cote NGR-m

Les analyses chimiques effectuées sur un échantillonprélevé le 19/09/73 ont donné les résultats ci-après :

Cl" 51 mg/l (chlorures exprimés en Cl")

NaCl 84 mg/l ( " «m NaCl)o

TA 0,0 (titre alcalimétrique)o

TAC 12,0 (titre alcalimétrique complet)

Résidu sec d'évaporation à IIO^C 218 mg/l.

- 10

Les résultats des essais de pompage effectuésentre les 30/11 et 05/12 1973 sont :

. données extraites du rapport d'exécution

débit m-^/h 400 600 750


. données d'après l'exploitation des documents annexés au rapport

débit m^/h 400 627 712

durée lOh 15 1 6h 30 3h 30


débit spécifique 200 153 119ra^/h/m

niveau dynamique +4,64 +2,54 +0,64cote NGR-m

Les analyses chimiques effectuées sur un échantillonprélevé le 19/09/73 ont donné les résultats ci-après :

Cl" 51 mg/l (chlorures exprimés en Cl")

NaCl 84 mg/l ( " «m NaCl)o

TA 0,0 (titre alcalimétrique)o

TAC 12,0 (titre alcalimétrique complet)

Résidu sec d'évaporation à IIO^C 218 mg/l.

1 1 -

L'examen bactériologique effectué sur ce même échantil¬lon donne les indications suivantes :

- Coliformes présence dans 100 ml

- E. Coli " Il II

- Streptocoques fécaux présence dans 50 ml

- Clostridium sulfito-réducteurs 0/20 ml

- Germes mésophiles lOOO/ml

- BILAN : NON POTABLE

II - POMPAGES D'ESSAIS

II - J '^^y^^']:0:il^l^

Les pompages d'essais effectués sur le puits deMaison Rouge ont été réalisés au moyen du dispositif d'exploitationen place sur le puits ; les modalités d'exploitation du puits deMaison Rouge sont résumées ci-après. :

PROGRAMME DE FONCTIONNEMENT EN COURS AU 01/01/80

P_o_mp_ag_e _v_e_rs_ _Ro o_he_ _Maigr e_

2 pompes de 90 m-^/h chacune

1 pompe de 30 m /h


Po^mp_ag_e__-j¿e_ris__R_2'¿hc._Mai_g_r_e_

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 90 m^/h chacuneTemps de pompage journalier : 13h par pompe

, Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h à21h 30 .

1 1 -

L'examen bactériologique effectué sur ce même échantil¬lon donne les indications suivantes :

- Coliformes présence dans 100 ml

- E. Coli " Il II

- Streptocoques fécaux présence dans 50 ml

- Clostridium sulfito-réducteurs 0/20 ml

- Germes mésophiles lOOO/ml

- BILAN : NON POTABLE

II - POMPAGES D'ESSAIS

II - J '^^y^^']:0:il^l^

Les pompages d'essais effectués sur le puits deMaison Rouge ont été réalisés au moyen du dispositif d'exploitationen place sur le puits ; les modalités d'exploitation du puits deMaison Rouge sont résumées ci-après. :


P_o_mp_ag_e _v_e_rs_ _Ro o_he_ _Maigr e_

2 pompes de 90 m-^/h chacune

1 pompe de 30 m /h


Po^mp_ag_e__-j¿e_ris__R_2'¿hc._Mai_g_r_e_

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 90 m^/h chacuneTemps de pompage journalier : 13h par pompe

, Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h à21h 30 .

12 -

Po'Jî2ag[^_ve^rs_le_Gol

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 50 m^/h chacuneTemps de pompage journalier : 13h environNe peut fonctionner qu'un seul groupe à la fois, une alternance esteffectuée toutes les semaines.

. Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h à21h 30.

PomQage _ve_rs_la_Ville

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 120 m^/h chacuneTemps de pompage journalier 13h environPossibilité d'utiliser les deux groupes à la fois

. Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h i21h.

STATISTIQUES 1980

- exploitation : 1 384 461 m-^

- débit fictif continu : 157,6 m^/h (3 782 m^/jour)

- modalités :

. du 01/01/80 au 15/09/80

pompes Gol 31 m^/h

pompes Roche Maigre 2 x 94,8 m /h

. du 15/09/80 au 31/12/80

pompes Gol 49,2 m^/h

pompes Roche Maigre 2 x 94,8 m^/h

pompes ville 2 xl23,44 m3/h

../.

12 -

Po'Jî2ag[^_ve^rs_le_Gol

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 50 m^/h chacuneTemps de pompage journalier : 13h environNe peut fonctionner qu'un seul groupe à la fois, une alternance esteffectuée toutes les semaines.

. Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h à21h 30.

PomQage _ve_rs_la_Ville

Equipement en automatique (déconnecté pour la durée des essais)2 pompes de 120 m^/h chacuneTemps de pompage journalier 13h environPossibilité d'utiliser les deux groupes à la fois

. Arrêt de l'ensemble pendant les heures de pointe : soit de 18h i21h.

STATISTIQUES 1980

- exploitation : 1 384 461 m-^

- débit fictif continu : 157,6 m^/h (3 782 m^/jour)

- modalités :

. du 01/01/80 au 15/09/80

pompes Gol 31 m^/h

pompes Roche Maigre 2 x 94,8 m /h

. du 15/09/80 au 31/12/80

pompes Gol 49,2 m^/h

pompes Roche Maigre 2 x 94,8 m^/h

pompes ville 2 xl23,44 m3/h

../.

13 -

STATISTIQUES 1981 - période du 01/01/81 au 14/10/81

- exploitation : 1 220 302 m-^ en 41 semaines

- débit fictif continu : 177,16 m3/h (4 252 m3/jour)

- modalités :

pompes Gol 163 673 m^ en 3 469h cumulées ^.47,18 m-^/h

pompes Roche Maigre 671 799 m3 en 7 112h cumulées » 94,46 m /h

pompes Ville 384 830 m^ en 2 967h cumulées * 1 29 , 7 m^/h

Gol 2 pompes en alternance 47,18 m /h

- capacités d'exploitation

Gol 2 pompes en ait(pompes non identiques 31 et 55 m^/h environ)

Roche Maigre 2 pompes en simultanée 188,92 m-^/h

Ville 2 pompes en simultanée 259,4 m-^/h

Capacité totale moyenne desinstallations 495,50 m-^/h

N.B. : Dans l'hypothèse où la pompe de 55 m-^/h pour le Gol auraitété utilisée en permanence, et non en alternance avec celle de31 m-^/h, la capacité d'exhaure des installations auraitdépassé 500 m-^/h.

La gestion du captage étant assurée pour la C.G.E.,le contrôle des installations a été effectué par les agents decet organisme pendant la durée des pompages d'essais.

13 -

STATISTIQUES 1981 - période du 01/01/81 au 14/10/81

- exploitation : 1 220 302 m-^ en 41 semaines

- débit fictif continu : 177,16 m3/h (4 252 m3/jour)

- modalités :

pompes Gol 163 673 m^ en 3 469h cumulées ^.47,18 m-^/h

pompes Roche Maigre 671 799 m3 en 7 112h cumulées » 94,46 m /h

pompes Ville 384 830 m^ en 2 967h cumulées * 1 29 , 7 m^/h

Gol 2 pompes en alternance 47,18 m /h

- capacités d'exploitation

Gol 2 pompes en ait(pompes non identiques 31 et 55 m^/h environ)

Roche Maigre 2 pompes en simultanée 188,92 m-^/h

Ville 2 pompes en simultanée 259,4 m-^/h

Capacité totale moyenne desinstallations 495,50 m-^/h

N.B. : Dans l'hypothèse où la pompe de 55 m-^/h pour le Gol auraitété utilisée en permanence, et non en alternance avec celle de31 m-^/h, la capacité d'exhaure des installations auraitdépassé 500 m-^/h.

La gestion du captage étant assurée pour la C.G.E.,le contrôle des installations a été effectué par les agents decet organisme pendant la durée des pompages d'essais.

- 14

II - 2 Modalités _d'_zxécutlqn

* lundi 14 septembre :

- arrêt de l'exploitation â 17h, suivi de l'évolution du niveaudynamique .

K. mardi 15 septembre :

- essais de puits par palier de débit de 8h à 15h 15 ; 12 paliersde 30 minutes chacun environ.

- suivi du niveau dynamique sur le puits et le piézomètre Sll

K. mercredi 16 septembre :

- relevés et suivi de la remontée du niveau dynamique sur lepuits et les piézomètres

- pompage longue durée démarré à 22h 02' 15" ; débit maximaldisponible

- suivi du niveau dynamique sur le puits de Maison Rouge et surles piézomètres Si, S8, S6, S5, S2 et S3

- suivi de la température, résistivité et PH.

X jeudi 17 septembre :

- arrêt du pompage longue durée à 17h 57' 15"

- suivi de la remontée sur le puits et les piézomëtres

X vendredi 18 septembre :

- suivi de la remontée jusqu'à 14h

- remise en exploitation des installations

- suivi des niveaux dynamiques sur le puits et les piézomëtresSI et S6 de 14h 25 ' à 16h 10'

- opérations terminées â 1 7h (fermeture des piézomètres, remiseen place des plaques de protection des piézomètres et puits).

- 14

II - 2 Modalités _d'_zxécutlqn

* lundi 14 septembre :

- arrêt de l'exploitation â 17h, suivi de l'évolution du niveaudynamique .

K. mardi 15 septembre :

- essais de puits par palier de débit de 8h à 15h 15 ; 12 paliersde 30 minutes chacun environ.

- suivi du niveau dynamique sur le puits et le piézomètre Sll

K. mercredi 16 septembre :

- relevés et suivi de la remontée du niveau dynamique sur lepuits et les piézomètres

- pompage longue durée démarré à 22h 02' 15" ; débit maximaldisponible

- suivi du niveau dynamique sur le puits de Maison Rouge et surles piézomètres Si, S8, S6, S5, S2 et S3

- suivi de la température, résistivité et PH.

X jeudi 17 septembre :

- arrêt du pompage longue durée à 17h 57' 15"

- suivi de la remontée sur le puits et les piézomëtres

X vendredi 18 septembre :

- suivi de la remontée jusqu'à 14h

- remise en exploitation des installations

- suivi des niveaux dynamiques sur le puits et les piézomëtresSI et S6 de 14h 25 ' à 16h 10'

- opérations terminées â 1 7h (fermeture des piézomètres, remiseen place des plaques de protection des piézomètres et puits).

15

III - RESULTATS OBTENUS

III - 1 ^^^^l^_dz_jûltsjârj£allzr-s^dz_dê.blt

. origine des mesures de niveau : cornière d'entourage du puits,cote +28,99 m NGR

. niveau d'eau initial à 22,34 m/cornière soit +6,65 m NGR le15 septembre 1981 à 8 heures

. résultats tableau ci-après.

. exploitation des données :

III-l-l Courbe caractéristique e = f(Q) Cfig. 5 )

Cette courbe présente une faible concavité vers les ra¬battements croissants, avec une décroissance plus rapide du débitspécifique à partir de 300-350 m-^/h environ. Cette anomalie est con¬firmée par l'interprétation du graphique :

s = f(log Q) (fig. 6)

Le graphique fig. 7 permet de comparer les résultatsobtenus en novembre-décembre 1973 avec ceux de septembre 1981.

III-1-2 Graphique s/Q = f(Q) (fig. 8 )

L'équation de la droite obtenue est de la forme :

s/Q - A + BQ

formule qui peut s'écrire

s - AQ + BQ2

où le terme bq2 représente les pertes de charges quadratiques ré¬sultant d'un régime turbulent de l'écoulement d'eau aux environsimmédiat du puits d'exploitation.

/

15

III - RESULTATS OBTENUS

III - 1 ^^^^l^_dz_jûltsjârj£allzr-s^dz_dê.blt

. origine des mesures de niveau : cornière d'entourage du puits,cote +28,99 m NGR

. niveau d'eau initial à 22,34 m/cornière soit +6,65 m NGR le15 septembre 1981 à 8 heures

. résultats tableau ci-après.

. exploitation des données :

III-l-l Courbe caractéristique e = f(Q) Cfig. 5 )

Cette courbe présente une faible concavité vers les ra¬battements croissants, avec une décroissance plus rapide du débitspécifique à partir de 300-350 m-^/h environ. Cette anomalie est con¬firmée par l'interprétation du graphique :

s = f(log Q) (fig. 6)

Le graphique fig. 7 permet de comparer les résultatsobtenus en novembre-décembre 1973 avec ceux de septembre 1981.

III-1-2 Graphique s/Q = f(Q) (fig. 8 )

L'équation de la droite obtenue est de la forme :

s/Q - A + BQ

formule qui peut s'écrire

s - AQ + BQ2

où le terme bq2 représente les pertes de charges quadratiques ré¬sultant d'un régime turbulent de l'écoulement d'eau aux environsimmédiat du puits d'exploitation.

/

TABLEAU 2 : Résultats des essais par paliers de débit

(NS le 15/09/81 à 7h : +h,6b)

( N°

( 1

( 2

( 3

( 4

( 5

( 6

( 7

( 8

( 9

( 10

( 1 1

( 12

( 12

Palierheure

démarrage

8h 01

8h 34

9h 05

9h 37

lOh 11

lOh 44

llh 16

llh 48

12h 20

12h 59

13h 30

14h 03

mesuré 60 '

16/09 meauri 1 .Í0'

" mesuré a 60 '

18/09 mesuré .; .iO'

" m(í3lír..' à Cu '

Niveau dyn*

Lu

22,367

22,407

22,428

22,461

22,492

22,549

22,620

22,664

22,742

22,838

22,907

23,040

23,071

22,933

22,999

22,662

22,687

imique à 30'

Cote NGR

+6,623

583

562

529

498

441

370

326

248

152

083

+5,950

+5,919

+6,057

+ '.,991

+6,328

+6, 303

Rabatteni

mesuré Sm

0,027

0,067

0,088

0 , 1 ? 1

0, 152

0,209

0,280

0,324

0,402

0,498

0,567

0,700

0,731

0,593

0,659

0,322

U, 147

int à 30'

corrige Se

0,0269

0,0667

0,0875

0,1201

0, 1506

0,2063

0,2751

0,3174

0,3919

0,4825

0,5469

0,6694

0,6976

0,5710

0,6319

0,3155

0, 3 195

Débit

iti3/h

56,08

110,92

130,30

167,98

194,88

243,56

304,89

323,32

368,50

423,41

445,05

498,86

"

511 ,67

353,48

moyen

1/s

15,578

30,811

36,19

46,66

54,13

67,66

84,69

89,81

102,37

117,61

123,62

138,57

142,132

98, 189

Sm/Qrn/m^/h

X 10-"^

4,815

6,04

6,7

7,2

7,8

8,6

9,2

10,0

10,9

11,8

12,7

14,0

14,7

11 ,6

13,4

9, 1

9,8

Sc/Qm/m^/hX 10-4

4,806

6,01

6,68

7,15

7,73

8,47

9,02

9,82

10,64

11,40

12,29

13,42

11,16

1 .' , !î 5

8,93

t , ou

Q/sm )

m3/h/m )

2 077 )

1 655 )

1 480 )

1 388 )

1 282 )

1 165 )

1 089 )

998 )

917 )

850 )

78 5 )

713 )

682 )

86 t )

1 n')8 )

1 OI'J )

TABLEAU 2 : Résultats des essais par paliers de débit

(NS le 15/09/81 à 7h : +h,6b)

( N°

( 1

( 2

( 3

( 4

( 5

( 6

( 7

( 8

( 9

( 10

( 1 1

( 12

( 12

Palierheure

démarrage

8h 01

8h 34

9h 05

9h 37

lOh 11

lOh 44

llh 16

llh 48

12h 20

12h 59

13h 30

14h 03

mesuré 60 '

16/09 meauri 1 .Í0'

" mesuré a 60 '

18/09 mesuré .; .iO'

" m(í3lír..' à Cu '

Niveau dyn*

Lu

22,367

22,407

22,428

22,461

22,492

22,549

22,620

22,664

22,742

22,838

22,907

23,040

23,071

22,933

22,999

22,662

22,687

imique à 30'

Cote NGR

+6,623

583

562

529

498

441

370

326

248

152

083

+5,950

+5,919

+6,057

+ '.,991

+6,328

+6, 303

Rabatteni

mesuré Sm

0,027

0,067

0,088

0 , 1 ? 1

0, 152

0,209

0,280

0,324

0,402

0,498

0,567

0,700

0,731

0,593

0,659

0,322

U, 147

int à 30'

corrige Se

0,0269

0,0667

0,0875

0,1201

0, 1506

0,2063

0,2751

0,3174

0,3919

0,4825

0,5469

0,6694

0,6976

0,5710

0,6319

0,3155

0, 3 195

Débit

iti3/h

56,08

110,92

130,30

167,98

194,88

243,56

304,89

323,32

368,50

423,41

445,05

498,86

"

511 ,67

353,48

moyen

1/s

15,578

30,811

36,19

46,66

54,13

67,66

84,69

89,81

102,37

117,61

123,62

138,57

142,132

98, 189

Sm/Qrn/m^/h

X 10-"^

4,815

6,04

6,7

7,2

7,8

8,6

9,2

10,0

10,9

11,8

12,7

14,0

14,7

11 ,6

13,4

9, 1

9,8

Sc/Qm/m^/hX 10-4

4,806

6,01

6,68

7,15

7,73

8,47

9,02

9,82

10,64

11,40

12,29

13,42

11,16

1 .' , !î 5

8,93

t , ou

Q/sm )

m3/h/m )

2 077 )

1 655 )

1 480 )

1 388 )

1 282 )

1 165 )

1 089 )

998 )

917 )

850 )

78 5 )

713 )

682 )

86 t )

1 n')8 )

1 OI'J )

81 REU 20 FIGURE 5


POMPAGES D ESSAIS SUR LE PUITS DE MAISON ROUGE

Courbe caractéristique s = f(Q)

û, / ._

0.1 .-

o 3

0> .-

OS.-

06

OJ.-

O /6 «- %0 n>^^ les IS ^ le «/- l9-OJ.it

81 REU 20 FIGURE 5



Courbe caractéristique s = f(Q)

û, / ._

0.1 .-

o 3

0> .-

OS.-

06

OJ.-

O /6 «- %0 n>^^ les IS ^ le «/- l9-OJ.it

81 REU 20 FIGURE 6


POMPAGES d'eSSAIS SUR LE PUITS DE MAISON ROUGE

Courbe s = f(log Q)

;

i

-.._.

--!-

;

-1- -:

i . .i

}

J1

i--:

:

:

- )-i

I

i

;

.....J

1

:

f. .-

'.. _ ..

1 -

. .). .. 1

--t

:

;

- --

!

_.-

1:1...1

I

i

Í

Í -1 t

--f-

!

05

j .....,)

! 1.

z

<Ê

81 REU 20 FIGURE 6


POMPAGES d'eSSAIS SUR LE PUITS DE MAISON ROUGE

Courbe s = f(log Q)

;

i

-.._.

--!-

;

-1- -:

i . .i

}

J1

i--:

:

:

- )-i

I

i

;

.....J

1

:

f. .-

'.. _ ..

1 -

. .). .. 1

--t

:

;

- --

!

_.-

1:1...1

I

i

Í

Í -1 t

--f-

!

05

j .....,)

! 1.

z

<Ê

hoc- -Q/A>

M",

IÇtO'

I000--

fffe

81 REU 20 FIGURE 7


POMPAGES d'essais SUR LE PUITS DE MAISON ROUGE

Courbes Q/s = f(Q)

A

^ A

A

AuJs //^àl.'i/)

O /'*'î J> ^ "i^*^" /'* ^C /^ *^/./^'»/rA ^%^-|- »¿^'h (vo^l/ a^ ûÇ-it.^l'J

O

A A ^ o

A A

A

A

+

Tt

-^ +

4-4iOO toc «oo J»* ÍOO ^ ^*»

W» »Ay

hoc- -Q/A>

M",

IÇtO'

I000--

fffe

81 REU 20 FIGURE 7



Courbes Q/s = f(Q)

A

^ A

A

AuJs //^àl.'i/)

O /'*'î J> ^ "i^*^" /'* ^C /^ *^/./^'»/rA ^%^-|- »¿^'h (vo^l/ a^ ûÇ-it.^l'J

O

A A ^ o

A A

A

A

+

Tt

-^ +

4-4iOO toc «oo J»* ÍOO ^ ^*»

W» »Ay

1 REU 20 FIGURE 8



Graphique s/Q = f(Q)

loo <, oo Çoo

. pu,' tí

Oyó » ZO'»'. l'i IS ^ 16 tf- /f. of.il

Q (mVh)

1 REU 20 FIGURE 8



Graphique s/Q = f(Q)

loo <, oo Çoo

. pu,' tí

Oyó » ZO'»'. l'i IS ^ 16 tf- /f. of.il

Q (mVh)

20 -

Segrnent_l : s = 4,2.10"'* q + l,8.lo'^ q^

rabattement s exprimé en m

débit Q exprimé en m-^/h

Au débit de 400 m-^/h, les pertes de charges quadrati¬ques représenteraient 63% du rabattement mesuré au puits.

Segmentg : s = 2,3. ip"^ q + 2,34. lo"^ q^

Au débit de 400 m /h, les pertes de charges quadratiquesreprésenteraient 80% du rabattement mesuré au pults.

Segment_3 : s = 3,95.10"'* q + 1,48.10"^ q'

Au débit de 400 m /h, les pertes de charges quadratiquesreprésenteraient 60% du rabattement mesuré au puits.

D'après l'analyse des graphiques et des conditions deréalisation des essais , la dernière formulation, relative ausegment 3, apparaît comme étant la plus crédible pour cette méthoded'approche des pertes de charges quadratiques au niveau de l'ouvra¬ge de captage. L'exploitation des données de rabattements corrigéesdonne 58 à 65% en pertes de charges quadratiques.

III-l -3 Courbe log Q = f (log s)

La représentation sur papier bilogarithmique des couplesde valeurs débit-rabattement permet d'établir les relations de laforme :

Q - C s"

Dans le cas d'un puits parfait, sans perte de charges,l'exposant a est égal â l'unité ; la différence entre la valeurde a et l'unité représente , en pourcentage du rabattement total,les pertes de charges quadratiques anormales (fig. 9 ) .

../

20 -

Segrnent_l : s = 4,2.10"'* q + l,8.lo'^ q^

rabattement s exprimé en m

débit Q exprimé en m-^/h

Au débit de 400 m-^/h, les pertes de charges quadrati¬ques représenteraient 63% du rabattement mesuré au puits.

Segmentg : s = 2,3. ip"^ q + 2,34. lo"^ q^

Au débit de 400 m /h, les pertes de charges quadratiquesreprésenteraient 80% du rabattement mesuré au pults.

Segment_3 : s = 3,95.10"'* q + 1,48.10"^ q'

Au débit de 400 m /h, les pertes de charges quadratiquesreprésenteraient 60% du rabattement mesuré au puits.

D'après l'analyse des graphiques et des conditions deréalisation des essais , la dernière formulation, relative ausegment 3, apparaît comme étant la plus crédible pour cette méthoded'approche des pertes de charges quadratiques au niveau de l'ouvra¬ge de captage. L'exploitation des données de rabattements corrigéesdonne 58 à 65% en pertes de charges quadratiques.

III-l -3 Courbe log Q = f (log s)

La représentation sur papier bilogarithmique des couplesde valeurs débit-rabattement permet d'établir les relations de laforme :

Q - C s"

Dans le cas d'un puits parfait, sans perte de charges,l'exposant a est égal â l'unité ; la différence entre la valeurde a et l'unité représente , en pourcentage du rabattement total,les pertes de charges quadratiques anormales (fig. 9 ) .

../

81 REU 20 FIGURE 9

û («v*.j



Courbe log Q = f(log s)

81 REU 20 FIGURE 9

û («v*.j



Courbe log Q = f(log s)

22 -

Segment_l : q = 760 s°'^°pertes de charges 30%

Segnient_2 : q = 6io s°'^^pertes de charges 43%

§egment_3 : ^ ^ ^^^ ô,69pertes de charges 31%

Se3nient_4 : q = 275 s^'^^pertes de charges 45%


Q/s moyen = 1199,9

AQ/s maxi = 1364

i = 1,14m

écart type 400,34

Cette valeur très élevée de l'indice de Mogg confirmel'existence de pertes de charges anormales importantes ; ces résul¬tats sont liés au régime d'écoulement en milieu hétérogène fissuréde type karstique.

III-1-5 Conclusions

L'exploitation et l'analyse comparatives des différentsrésultats permettent de définir les caractéristiques principalesde 1 ' ouvrage :

- les pompes installées autorisent un débit maximal théorique de470 m^/h (2 X 90 + 1 X 50 + 2 x 120)

- les débits calculés d'aprës les mesures relevées sur le compteurmontrent une légère chute de débit lorsque le temps de pompageaugmente (le rabattement du niveau d'eau dans le puits augmenteainsi que les hauteurs manomè triques totale de refoulement despompes en place) :

510 m-^/h à 30 mn de pompage

492 m /h à 1 9h de pompage :

2 pompes Roche Maigre 186 m-^/h

1 pompe Gol 55 m /h

2 pompes Ville 251 m-^/h

22 -

Segment_l : q = 760 s°'^°pertes de charges 30%

Segnient_2 : q = 6io s°'^^pertes de charges 43%

§egment_3 : ^ ^ ^^^ ô,69pertes de charges 31%

Se3nient_4 : q = 275 s^'^^pertes de charges 45%


Q/s moyen = 1199,9

AQ/s maxi = 1364

i = 1,14m

écart type 400,34

Cette valeur très élevée de l'indice de Mogg confirmel'existence de pertes de charges anormales importantes ; ces résul¬tats sont liés au régime d'écoulement en milieu hétérogène fissuréde type karstique.

III-1-5 Conclusions

L'exploitation et l'analyse comparatives des différentsrésultats permettent de définir les caractéristiques principalesde 1 ' ouvrage :

- les pompes installées autorisent un débit maximal théorique de470 m^/h (2 X 90 + 1 X 50 + 2 x 120)

- les débits calculés d'aprës les mesures relevées sur le compteurmontrent une légère chute de débit lorsque le temps de pompageaugmente (le rabattement du niveau d'eau dans le puits augmenteainsi que les hauteurs manomè triques totale de refoulement despompes en place) :

510 m-^/h à 30 mn de pompage

492 m /h à 1 9h de pompage :

2 pompes Roche Maigre 186 m-^/h

1 pompe Gol 55 m /h

2 pompes Ville 251 m-^/h

23

Les chiffres extraits des statistiques 1981(chapitre III-2) confirment cette observation.

La courbe caractéristique montre une anomalie (chutedu débit spécifique) à partir de 300 - 400 m /h, cette augmentationanormale du rabattement pourrait résulter du dénoyage du toit de lagalerie ou de la présence de limites étanches atteintes par le côned'appel crée par l'exploitation du puits de Maison Rouge après 4 à5 heures de pompages.

La comparaison des valeurs des débits spécifiques obser¬vés en 1973 et en 1981 montrent une importante amélioration de cettecaractéristique (débourrage de fissures, élimination de fines parl'exploitation du puits).

Notons toutefois que l'augmentation de débit au-delàde 300 m-^/h s'accompagne d'une diminution plus rapide du rapport

A s

où AQ = Q,

et A s = s

= i-l

i-l(cf fig. 7)

On(modification dMaison Rouge audébit . Une explIisation des tecette évolutiontions actuellesce de données stions du disposlution possible15/09/81) .

peut considérer que l'exploitation antérieurees installations vers le 15/09/80) du puits dedébit de 200 m-^/h a développé l'ouvrage pour ce

citation à un débit supérieur entraînera une remobi-rrains avec reprise du développement du puits ;

prévisible ne peut-être quantifiée (les installa-sont en place depuis le 15/09/80 environ ; l'absen-

ur le débit spécifique existant avant les modifica-itif d'exploitation interdit toute analyse de 1 ' évo-

de cette caractéristique entre le 15/09/80 et le

23

Les chiffres extraits des statistiques 1981(chapitre III-2) confirment cette observation.

La courbe caractéristique montre une anomalie (chutedu débit spécifique) à partir de 300 - 400 m /h, cette augmentationanormale du rabattement pourrait résulter du dénoyage du toit de lagalerie ou de la présence de limites étanches atteintes par le côned'appel crée par l'exploitation du puits de Maison Rouge après 4 à5 heures de pompages.

La comparaison des valeurs des débits spécifiques obser¬vés en 1973 et en 1981 montrent une importante amélioration de cettecaractéristique (débourrage de fissures, élimination de fines parl'exploitation du puits).

Notons toutefois que l'augmentation de débit au-delàde 300 m-^/h s'accompagne d'une diminution plus rapide du rapport

A s

où AQ = Q,

et A s = s

= i-l

i-l(cf fig. 7)

On(modification dMaison Rouge audébit . Une explIisation des tecette évolutiontions actuellesce de données stions du disposlution possible15/09/81) .

peut considérer que l'exploitation antérieurees installations vers le 15/09/80) du puits dedébit de 200 m-^/h a développé l'ouvrage pour ce

citation à un débit supérieur entraînera une remobi-rrains avec reprise du développement du puits ;

prévisible ne peut-être quantifiée (les installa-sont en place depuis le 15/09/80 environ ; l'absen-

ur le débit spécifique existant avant les modifica-itif d'exploitation interdit toute analyse de 1 ' évo-

de cette caractéristique entre le 15/09/80 et le

- 24 -

constant

111-2-1 Remarques préliminaires

. Le pompage "longue durée" a été effectué en dehorsdes heures de pointe de consommation EDF soit entre lemercredi 16 septembre 1981 à 22h 02' 15" et le jeudi 17 septembreà 17h 57' 15" (durée de 1 9h 55' ou 71 700").

. L'opération a été perturbée par un arrêt accidentelde 30' environ de la pompe du Gol (débit 55 m-^/h) ; l'influencesur l'ensemble du pompage est négligeable et se manifeste par uneremontée momentanée sur les courbes

s "» f (log t) après 12h 30' de pompage.

. La remontée de la nappe après arrêt du pompage a étésuivie du jeudi 17 septembre à 17h 57' 15" jusqu'auvendredi 18 septembre à 14h 10'.

La remise en exploitation a été suivie durant Ih 30.

II 1-2-2 Exploitation des mesures

L'exploitation des données a été effectuée selon laméthode dite de la "droite de Jacob" en approximation de la loide Theis , les critères d'application de cette méthode étant satis¬faits pour les conditions d'exécution du pompage et les geometriesrelatives des ouvrages et des formations aquifères.

Les reports sur papier semi-logarithmique deND = f log (t) (fig. 10-1 à 7, 11-1 à 7, 12-1 à 3) sont utiliséspour le calcul de la transmissivité et du coefficient d'emmagasine¬ment des formations aquifères (voir tableau de résultats ci-après)

- 24 -

constant

111-2-1 Remarques préliminaires

. Le pompage "longue durée" a été effectué en dehorsdes heures de pointe de consommation EDF soit entre lemercredi 16 septembre 1981 à 22h 02' 15" et le jeudi 17 septembreà 17h 57' 15" (durée de 1 9h 55' ou 71 700").

. L'opération a été perturbée par un arrêt accidentelde 30' environ de la pompe du Gol (débit 55 m-^/h) ; l'influencesur l'ensemble du pompage est négligeable et se manifeste par uneremontée momentanée sur les courbes

s "» f (log t) après 12h 30' de pompage.

. La remontée de la nappe après arrêt du pompage a étésuivie du jeudi 17 septembre à 17h 57' 15" jusqu'auvendredi 18 septembre à 14h 10'.

La remise en exploitation a été suivie durant Ih 30.

II 1-2-2 Exploitation des mesures

L'exploitation des données a été effectuée selon laméthode dite de la "droite de Jacob" en approximation de la loide Theis , les critères d'application de cette méthode étant satis¬faits pour les conditions d'exécution du pompage et les geometriesrelatives des ouvrages et des formations aquifères.

Les reports sur papier semi-logarithmique deND = f log (t) (fig. 10-1 à 7, 11-1 à 7, 12-1 à 3) sont utiliséspour le calcul de la transmissivité et du coefficient d'emmagasine¬ment des formations aquifères (voir tableau de résultats ci-après)


( Pompage des 16-17 et 18/09/81 : 1

^ 1 0 '( Transmissivité en 10 m^/s( descente

( Transmissivité en 10""^ m^/s '

( remontée '

©W

@v)0©1®Cl)

( Coefficient d'emmagisenement en %

( Pompage du 18/09/81 - Transmissivité( en 10"^ m^/s ; descente

( Coefficient d'emmagasinement en %

( Distance entre l'axe du puits et( le piézomètre

Puits

0,96

1,515

0,63

0,63

1,1

1,799

0,97

0,60

1,5

SI

1,399

2,008

0,95

1,561

1,17

2,43

1,39

0,377

11,8

1,704

9,4

. 20

S2

2,56

3,226

1,01

0,99

3,27

7,577

0,977

0,383

14,3

9,77

S3

5,55

2,63

0,83

0,75

6,94

4,72

0,975

0,836

25,1

21,18

S5

8,335

5,00

1,12

1,08

13,16

5,619

1,012

0,641

22,5

. 23,45

S6

5,16

3,36

1,11

1,11

6,098

4,588

1,042

0,951

21,7

6,04

30,8

12,77

SB )

1,95 )

3,522 )

1,19 )

: 1,47 )

1,56 )

. 2,54 )

1,01 )

: 0,534 )

20,1 )

: 9,8 )


( Pompage des 16-17 et 18/09/81 : 1

^ 1 0 '( Transmissivité en 10 m^/s( descente

( Transmissivité en 10""^ m^/s '

( remontée '

©W

@v)0©1®Cl)

( Coefficient d'emmagisenement en %

( Pompage du 18/09/81 - Transmissivité( en 10"^ m^/s ; descente

( Coefficient d'emmagasinement en %

( Distance entre l'axe du puits et( le piézomètre

Puits

0,96

1,515

0,63

0,63

1,1

1,799

0,97

0,60

1,5

SI

1,399

2,008

0,95

1,561

1,17

2,43

1,39

0,377

11,8

1,704

9,4

. 20

S2

2,56

3,226

1,01

0,99

3,27

7,577

0,977

0,383

14,3

9,77

S3

5,55

2,63

0,83

0,75

6,94

4,72

0,975

0,836

25,1

21,18

S5

8,335

5,00

1,12

1,08

13,16

5,619

1,012

0,641

22,5

. 23,45

S6

5,16

3,36

1,11

1,11

6,098

4,588

1,042

0,951

21,7

6,04

30,8

12,77

SB )

1,95 )

3,522 )

1,19 )

: 1,47 )

1,56 )

. 2,54 )

1,01 )

: 0,534 )

20,1 )

: 9,8 )

Fig. X.1 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 "15"

Débit 491 ,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

22,î'

2ir^

2^9

nsNV(m)

^.-.^-..

!

r-

; : ; i

-j i : - '.- '*

I

r-\-

©""%l,©

10'N- 150

/6» 10 10' t (s

Fig. X.1 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 "15"

Débit 491 ,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

22,î'

2ir^

2^9

nsNV(m)

^.-.^-..

!

r-

; : ; i

-j i : - '.- '*

I

r-\-

©""%l,©

10'N- 150

/6» 10 10' t (s

23h

2llr

m

r

~t

- r ;-

-4 u

I Fig- '' X.2 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)-; pompage d'essais des 16 et 17/09/81:: début pompage le 16 à 22^02 '15"

._; piézomètre S 1

Débit 491,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

m

isf-

m-TTT-tr

_.<?iÛ^Si- jUiikJL.

10'

|5fci*j|É:

^^M:

-i 1

mK

-r

T-fc-

M.-l-l-fî"-tT-

i r

-Í j-I

-r-

"T

---{

M.,.4.4__^,

@k^

'^--

-t- _ '^~

10' lo to' t (£)

23h

2llr

m

r

~t

- r ;-

-4 u

I Fig- '' X.2 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)-; pompage d'essais des 16 et 17/09/81:: début pompage le 16 à 22^02 '15"

._; piézomètre S 1

Débit 491,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

m

isf-

m-TTT-tr

_.<?iÛ^Si- jUiikJL.

10'

|5fci*j|É:

^^M:

-i 1

mK

-r

T-fc-

M.-l-l-fî"-tT-

i r

-Í j-I

-r-

"T

---{

M.,.4.4__^,

@k^

'^--

-t- _ '^~

10' lo to' t (£)

mFig. X.3 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)

pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 '15"pié zomèt re S 2

Débit 491 ,8796 rr.^/hsoit 135,6 1/s

20Jf

m

b (5)

mFig. X.3 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)

pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 '15"pié zomèt re S 2

Débit 491 ,8796 rr.^/hsoit 135,6 1/s

20Jf

m

b (5)

/;,/

rig- X.4 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début porapage le 15 à 22^02 "15"pié zomèt re S 3

Débit 49i ,3795 m^/hsoit 136,5 1/s

m

m

2U

nut

Ht

10'N- 150

G)

Hi l-^ùxtaM* àtii^rf]: 'Mfg^. tu à

.i^càiti-- *£4_^ttjftfli

..+.^4 f----: k-J-i

4 i~L.

10

" "^.....@

10 10 b (s)

/;,/

rig- X.4 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début porapage le 15 à 22^02 "15"pié zomèt re S 3

Débit 49i ,3795 m^/hsoit 136,5 1/s

m

m

2U

nut

Ht

10'N- 150

G)

Hi l-^ùxtaM* àtii^rf]: 'Mfg^. tu à

.i^càiti-- *£4_^ttjftfli

..+.^4 f----: k-J-i

4 i~L.

10

" "^.....@

10 10 b (s)

¡ Fig. X.5 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début pompage le 16 à 22ho2'15"pié zomèt re S 5

2U^

Débit 491 ,8796 ïtJ /hsoit 135,5 1/s

2IJ-* « : . - .®

<D

2lît

i- - -

HtfOtr^

: . ; , .i...._:.,X-H

r } A## 'l'"JL' J.

-'

-[4 -

J, f -''rv-1'»^'- 1 ir^^fa^^î! 4fiA~i u

m

10' \0' 1(7 10' t ^s;

¡ Fig. X.5 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début pompage le 16 à 22ho2'15"pié zomèt re S 5

2U^

Débit 491 ,8796 ïtJ /hsoit 135,5 1/s

2IJ-* « : . - .®

<D

2lît

i- - -

HtfOtr^

: . ; , .i...._:.,X-H

r } A## 'l'"JL' J.

-'

-[4 -

J, f -''rv-1'»^'- 1 ir^^fa^^î! 4fiA~i u

m

10' \0' 1(7 10' t ^s;

'ig. X.6 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 15 à 22^02 '15"pié zomèt re S 6

Débit 491 ,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

IC/t

0

©

©-.®

/o' t (s)

'ig. X.6 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/81début pompage le 15 à 22^02 '15"pié zomèt re S 6

Débit 491 ,8796 m^/hsoit 136,6 1/s

IC/t

0

©

©-.®

/o' t (s)

20,1

¡g- X.7 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début porapage le 15 à 22ho2'15"piézomètre S8

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 135,6 1/s

20Î

20 f

210

] Í

©4_-

@*" Ni ®n/;

Nil or2i^Ji6A^

A-''\

."-4

-4-- +-r hl

N- 150

10 ta' 10 t (S)

20,1

¡g- X.7 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début porapage le 15 à 22ho2'15"piézomètre S8

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 135,6 1/s

20Î

20 f

210

] Í

©4_-

@*" Ni ®n/;

Nil or2i^Ji6A^

A-''\

."-4

-4-- +-r hl

N- 150

10 ta' 10 t (S)

Im^.XI 1 Puits de Maison Kouge (Saint-Louis)poa.page d'essais des 16 et 17/09/81déb'-t pompage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"

Débit 491,8795 m^/hsoit 135,6 1/s

211

22,Ç

0-.....© @

210^

i

k-

-!-- : - -I-

-1 U

ji^

10'N- 150

10 /o-

t'

Im^.XI 1 Puits de Maison Kouge (Saint-Louis)poa.page d'essais des 16 et 17/09/81déb'-t pompage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"

Débit 491,8795 m^/hsoit 135,6 1/s

211

22,Ç

0-.....© @

210^

i

k-

-!-- : - -I-

-1 U

ji^

10'N- 150

10 /o-

t'

Fig.^SI 2 Puits ûe Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/ 81début pompage le 15 à 22^-02 '15"début remontéepiézomètre Si

le 17 à 17'^57'15"

Débit 491,8795 m^/hsoit 136,5 1/s

23J

m

2V:

23A

21Á

n i

W

w

ri -) 4- t-I

W

I !

\0* /O' /O''Vt'

Fig.^SI 2 Puits ûe Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 16 et 17/09/ 81début pompage le 15 à 22^-02 '15"début remontéepiézomètre Si

le 17 à 17'^57'15"

Débit 491,8795 m^/hsoit 136,5 1/s

23J

m

2V:

23A

21Á

n i

W

w

ri -) 4- t-I

W

I !

\0* /O' /O''Vt'

Fi^.XI.3 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/ 09 /SIdébut porapage le 16 à 22^02 "15"début remontée le 17 à 17^'57'15"pié zomè tre S 2

Débit 491,8795 m^/hsoit 136,6 1/s

m

20/

m

20j

^ «.-w w V

H l . i ! ^^stUJhJiJlí^JíM^

10 Va' 10 I *

Fi^.XI.3 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/ 09 /SIdébut porapage le 16 à 22^02 "15"début remontée le 17 à 17^'57'15"pié zomè tre S 2

Débit 491,8795 m^/hsoit 136,6 1/s

m

20/

m

20j

^ «.-w w V

H l . i ! ^^stUJhJiJlí^JíM^

10 Va' 10 I *

Fi^.XI*.4 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09 , ' 8 1

début porapage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17h57'15"piézomé tre S3

Détit 491,8':95 m^/hsoit 135,5 1/s

ÎV

22,1

22V

21!f

y*» W

W V

"^1 oriiîtic misaré, ji.U^Jtuk^j.t.:

:

-: -

-r

': - -X

- - -

-f --

j

|-

1

j

: i ; :

4--f-l-~ -

¡-"t-r - -

10' 10' 10' / ^ Èi

Fi^.XI*.4 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09 , ' 8 1

début porapage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17h57'15"piézomé tre S3

Détit 491,8':95 m^/hsoit 135,5 1/s

ÎV

22,1

22V

21!f

y*» W

W V

"^1 oriiîtic misaré, ji.U^Jtuk^j.t.:

:

-: -

-r

': - -X

- - -

-f --

j

|-

1

j

: i ; :

4--f-l-~ -

¡-"t-r - -

10' 10' 10' / ^ Èi

2l.(r

211

21,2

21,f-

\ Fig.3ZI*5 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)porapage d'essais des 16 et 17/09/81début porapage le IC à 22^^02 '15"

; début remontée le 17 à 17l^57'15"pié zomètr e S 5

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 136,6 1/s

W^ .

wV w

r - - ; -: . : - ; . -i - ',

(-) t ^ ; r^hr 2 ^P$ !3!3 t^n '

IO- 10'N- I5f>

i-i -!- --:-4- ;---;

---:-""* -i ' - - - -

':--- : -- i --]--; - '. -.

^ '"¡û' 10- I i- ^t'

2l.(r

211

21,2

21,f-

\ Fig.3ZI*5 Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)porapage d'essais des 16 et 17/09/81début porapage le IC à 22^^02 '15"

; début remontée le 17 à 17l^57'15"pié zomètr e S 5

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 136,6 1/s

W^ .

wV w

r - - ; -: . : - ; . -i - ',

(-) t ^ ; r^hr 2 ^P$ !3!3 t^n '

IO- 10'N- I5f>

i-i -!- --:-4- ;---;

---:-""* -i ' - - - -

':--- : -- i --]--; - '. -.

^ '"¡û' 10- I i- ^t'

20J

2û,^

2û.Ç-

20,Q

Fig.XI*6

T.^

Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des IG et 17/09/81début pompage le 15 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"pié zomètre S 6

V4

V

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 135,5 1/s

' ' ! '

' ' ' : 4

1

-+ -

__.,

' ^ ! i

! i ii ' ! 1

! i 1

U-V

/o' \0'k'

20J

2û,^

2û.Ç-

20,Q

Fig.XI*6

T.^

Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des IG et 17/09/81début pompage le 15 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"pié zomètre S 6

V4

V

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 135,5 1/s

' ' ! '

' ' ' : 4

1

-+ -

__.,

' ^ ! i

! i ii ' ! 1

! i 1

U-V

/o' \0'k'

m

2¡A'

Fig.XI»? Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"piézomètre S 8

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 136,5 1/s

20;-

lO^V

Y WV

20S W

Nl>

!-__^ \ lj&î^ _é^4 JZ^é .Á/ÚJR^^

-J 1_

w* 10' 10' I +

m

2¡A'

Fig.XI»? Puits de Maison Rouge (Saint-Louis)pompage d'essais des 15 et 17/09/81début pompage le 16 à 22^02 '15"début remontée le 17 à 17l^57'15"piézomètre S 8

Débit 491 ,8795 m^/hsoit 136,5 1/s

20;-

lO^V

Y WV

20S W

Nl>

!-__^ \ lj&î^ _é^4 JZ^é .Á/ÚJR^^

-J 1_

w* 10' 10' I +

m

Fig. Xll-r - PUITS DE MAISON ROUGE (SAINT LOUIS)

pompage d'essais du 18/09/81début pompage à 14^^25'

Débit 340 m3/hsoit 95 1/s

ns

m -1

MtiÎi'ri

to' \o'

; t ; i

ÍO' \0' kf$;

m

Fig. Xll-r - PUITS DE MAISON ROUGE (SAINT LOUIS)



ns

m -1

MtiÎi'ri

to' \o'

; t ; i

ÍO' \0' kf$;

23 lí

2W

Fig. XII-2 - PUITS DE MAISON ROUGE (SAINT LOUIS)


* - pi ézomètre S 1

2S.ti

¿^

4-4

10' 10' IO


to

23 lí

2W



* - pi ézomètre S 1

2S.ti

¿^

4-4

10' 10' IO


to

20,31


pompage d'essais du 18/09/81début pompage à 14*^25'pi ézomètre S 6


20p

m

20M

p : %

OftfitMx A>*5tt^< t t*Jt f"^ ^

10"N- 50

/o' w^ /O' fc is)

20,31


pompage d'essais du 18/09/81début pompage à 14*^25'pi ézomètre S 6


20p

m

20M

p : %

OftfitMx A>*5tt^< t t*Jt f"^ ^

10"N- 50

/o' w^ /O' fc is)

- 42 -

L'analyse des différents graphiques relatifs au puitset aux piézomètres montre une certaine similitude de comportement.Toutefois, la répartition des valeurs de transmissivité présenteune hétérogénéité résultant de la configuration des formationsaquifères et de leur type de porosité : il s'agit de formationsperméables en grand (basalte fissuré) ou en petit (scories, lapillinon altérés, alluvions), d'extension latérale très variable(variations latérales et verticales de faciès répétées) .

Les anomalies observées en fin de courbe de descenteet de remontée résultent probablement du dénoyage de petits hori¬zons producteurs isolés par des imperméables ou des semi-imperméablesdans la partie supérieure des formations aquifères (aquifère compar¬timenté et/ou multi couche) ou de l'existence de limites à fluxnul (limite étanche latérale), de zones à faible perméabilité ou àfaible coefficient d'emmagasinement (nappe devenant captive parexemple) atteintes par le cône d'appel du puits de Maison Rougeaprès 6 à 8 heures de pompage pour la première chute de transmissi¬vité puis 15 à 18 heures pour la deuxième anomalie.

D'après les résultats d'interprétation géophysique(campagnes de prospection électrique C.G.G. et B . R . G . M . /D . D . A . )

ces limites pourraient être constituées par un abaissement du murdes dépôts de tuf au-dessous du -0- NGR au droit de la ravineBarrage à l'Ouest et de l'agglomération de Saint Louis au Sud.L'apparition du palier intermédiaire pourrait être associé à lamise en production d'une ligne de réalimentation, d'une zone àforte transmissivité, à coefficient d'emmagasinement élevé(axe d'écoulement préférentiel sur paléo vallée, tunnels de lave,...) atteintes par le cône de dépression provoqué par l'exploita¬tion du puits .

Pour étudier l'évolution du rabattement de la nappeavec l'augmentation de la durée du pompage, les valeurs de trans¬missivité du dernier segment de la descente seront seules utiliséesIl est certain que si le temps de l'essai avait été plus importantd'autres phénomènes auraient pu apparaître puisque l'influence ducône d'action se serait étendue à une plus grande surface des for¬mations aquifères.

, i-W»..-3^rï?itîti7J'

- 42 -

L'analyse des différents graphiques relatifs au puitset aux piézomètres montre une certaine similitude de comportement.Toutefois, la répartition des valeurs de transmissivité présenteune hétérogénéité résultant de la configuration des formationsaquifères et de leur type de porosité : il s'agit de formationsperméables en grand (basalte fissuré) ou en petit (scories, lapillinon altérés, alluvions), d'extension latérale très variable(variations latérales et verticales de faciès répétées) .

Les anomalies observées en fin de courbe de descenteet de remontée résultent probablement du dénoyage de petits hori¬zons producteurs isolés par des imperméables ou des semi-imperméablesdans la partie supérieure des formations aquifères (aquifère compar¬timenté et/ou multi couche) ou de l'existence de limites à fluxnul (limite étanche latérale), de zones à faible perméabilité ou àfaible coefficient d'emmagasinement (nappe devenant captive parexemple) atteintes par le cône d'appel du puits de Maison Rougeaprès 6 à 8 heures de pompage pour la première chute de transmissi¬vité puis 15 à 18 heures pour la deuxième anomalie.

D'après les résultats d'interprétation géophysique(campagnes de prospection électrique C.G.G. et B . R . G . M . /D . D . A . )

ces limites pourraient être constituées par un abaissement du murdes dépôts de tuf au-dessous du -0- NGR au droit de la ravineBarrage à l'Ouest et de l'agglomération de Saint Louis au Sud.L'apparition du palier intermédiaire pourrait être associé à lamise en production d'une ligne de réalimentation, d'une zone àforte transmissivité, à coefficient d'emmagasinement élevé(axe d'écoulement préférentiel sur paléo vallée, tunnels de lave,...) atteintes par le cône de dépression provoqué par l'exploita¬tion du puits .

Pour étudier l'évolution du rabattement de la nappeavec l'augmentation de la durée du pompage, les valeurs de trans¬missivité du dernier segment de la descente seront seules utiliséesIl est certain que si le temps de l'essai avait été plus importantd'autres phénomènes auraient pu apparaître puisque l'influence ducône d'action se serait étendue à une plus grande surface des for¬mations aquifères.

, i-W»..-3^rï?itîti7J'

- 43 -

III-2-3 Evolution des rabattements au puits enfonction de la durée du pompage

Par extrapolation du dernier segment de la courbe dedescente observée sur le puits, les valeurs suivantes peuvent-être avancées (pompage continu au débit de 491,9 m /h) :

Temps en seconde 71 300 100 000 10" 10^ 2.10^

Temps en jours 11,6 115,7 231 ,4

Rabattement aupuits en m 0,922 0,986 1 ,381 1 ,776 1 ,896

La validité de cette extrapolation est toutefois dis¬cutable pour les formations aquifères hétérogènes puisque avecl'augmentation du temps de pompage, de nouvelles limites hydrauli¬ques peuvent être atteintes par le cône d'appel de l'ouvrage.

Par ailleurs le dénoyage plus important de la galeriedrainante aura pour conséquence un abaissement de la productivitéde l'ouvrage (réduction du rayon équivalent) et les valeurs dudébit spécifique pourrait alors se rapprocher sensiblement de cellesobservées en 1973. Cette tendance probable ne peut-être quantifiée.

III-2-4 Caractéristiques physico chimiques del 'eau exhaurée

L'analyse des valeurs des paramètres observés au coursdu pompage des 16 et 17/09/81 (température, PH, résistivité) nemontre pas de tendance évolutive particulière (tableau 4 ) .

Les variations de température sont dues à l'échauffe-ment des canalisations par emmagasinement de calories dans lajournée et refroidissement au cours de la nuit.

L'étalement des mesures de résistivité(2 965 - 55 ohm. cm à 20°C) résulte de la précision de l'appareilutilisé (- 2% environ) .

- 43 -

III-2-3 Evolution des rabattements au puits enfonction de la durée du pompage

Par extrapolation du dernier segment de la courbe dedescente observée sur le puits, les valeurs suivantes peuvent-être avancées (pompage continu au débit de 491,9 m /h) :

Temps en seconde 71 300 100 000 10" 10^ 2.10^

Temps en jours 11,6 115,7 231 ,4

Rabattement aupuits en m 0,922 0,986 1 ,381 1 ,776 1 ,896

La validité de cette extrapolation est toutefois dis¬cutable pour les formations aquifères hétérogènes puisque avecl'augmentation du temps de pompage, de nouvelles limites hydrauli¬ques peuvent être atteintes par le cône d'appel de l'ouvrage.

Par ailleurs le dénoyage plus important de la galeriedrainante aura pour conséquence un abaissement de la productivitéde l'ouvrage (réduction du rayon équivalent) et les valeurs dudébit spécifique pourrait alors se rapprocher sensiblement de cellesobservées en 1973. Cette tendance probable ne peut-être quantifiée.

III-2-4 Caractéristiques physico chimiques del 'eau exhaurée

L'analyse des valeurs des paramètres observés au coursdu pompage des 16 et 17/09/81 (température, PH, résistivité) nemontre pas de tendance évolutive particulière (tableau 4 ) .

Les variations de température sont dues à l'échauffe-ment des canalisations par emmagasinement de calories dans lajournée et refroidissement au cours de la nuit.

L'étalement des mesures de résistivité(2 965 - 55 ohm. cm à 20°C) résulte de la précision de l'appareilutilisé (- 2% environ) .

TABLEAU 4 : Evolution de la température et de la résistivitéde l'eau en cours de pompage (échantillon prélevéau robinet branché sur la canalisation deRoche Maigre) .

( Date

(16/09/81

(17/09/81

: Temps de pompage

: 38': 53': Ih 29'

Ih 38'

: 2h 16: 3h 16

4h 165h 12

: 6h 127h 088h 189h 08

lOh 16

: Température

: 21,5: 21,4: 21,4: 21,4

: 21,4: 21,4: 21,3: 21,3

21,3: 21,2

21,221,221,4

: Résistivité à 20°C: ohm. cm

: 2 923: 2 990

: 2 969

: 2 977: 3 042: 2 968

2 9483 0092 997

: 2 9442 9272 968

: PH )

: 7 )

: . )

lOh 55 prélèvement échantillon n°l (voir tableau 5) [

lOh 5513h 1714h 1415h 1416h 1017h 0518h 10

18h 40 Í

18h 40 :

18h 50 :

19h 15 :

21,45 : 2 97722,021,922,022,421,821,7

2 7943 0062 9383 0122 9682 923

)rélèvement échantillon n°2 (voir tableau

21,8 :

21,8 :

3 048 :

2 920 :

7,1 )

l 6) )

7,1 )

TABLEAU 4 : Evolution de la température et de la résistivitéde l'eau en cours de pompage (échantillon prélevéau robinet branché sur la canalisation deRoche Maigre) .

( Date

(16/09/81

(17/09/81

: Temps de pompage

: 38': 53': Ih 29'

Ih 38'

: 2h 16: 3h 16

4h 165h 12

: 6h 127h 088h 189h 08

lOh 16

: Température

: 21,5: 21,4: 21,4: 21,4

: 21,4: 21,4: 21,3: 21,3

21,3: 21,2

21,221,221,4

: Résistivité à 20°C: ohm. cm

: 2 923: 2 990

: 2 969

: 2 977: 3 042: 2 968

2 9483 0092 997

: 2 9442 9272 968

: PH )

: 7 )

: . )

lOh 55 prélèvement échantillon n°l (voir tableau 5) [

lOh 5513h 1714h 1415h 1416h 1017h 0518h 10

18h 40 Í

18h 40 :

18h 50 :

19h 15 :

21,45 : 2 97722,021,922,022,421,821,7

2 7943 0062 9383 0122 9682 923

)rélèvement échantillon n°2 (voir tableau

21,8 :

21,8 :

3 048 :

2 920 :

7,1 )

l 6) )

7,1 )

- 45 -

Les échantillons prélevés ont été analysés par leLaboratoire Départemental d'Epidémiologie et d'Hygiène du Milieu.Le traitement de l'eau étant effectué par descente de 1 'hypo¬chlorite de sodium à l'intérieur du puits, il était impossiblede prélever un échantillon intact et les analyses bactériologi¬ques n'ont pas été demandées.

L'incidence de 1 ' hypochlorite de sodium sur les résul¬tats d'analyses chimiques peuvent être considérées comme négligea¬ble (utilisation de 50 kg de produit actif à 70% d'hypochlorite desodium par semaine ; débit hebdomadaire moyen de 30 000 m environ ;

> 1,17 g d'hypochlorite de sodium par m^ d'eau exhaurée).

Les résultats sont présentés sur les tableaux 5et 6 ci-après .

Le TA est nul, ce qui est le cas général pour les eauxnaturelles dont le PH est inférieur à 8,3.

Selon les résultats d'analyses effectuées, l'eau dupuits de Maison Rouge serait hydrocarbonatée magnésienne ; toute¬fois les concentrations en chlorures et en calcium (exprimées en

c

P

Réunion (problème technique) .

III - 3 Conclusions zt critiques _dz.&_résul

Les résultats des essais effectués sur le puits deMaison Rouge à Saint Louis traduisent une nette amélioration dela productivité de l'ouvrage depuis les tests de pompage de 1973Courbe caractéristique 1973 :

rabattement de 2 m pour 1 Oh 15 de pompage à 400 m3/hrabattement de 3,8 m pour 1 6h 30 de pompage â 627 m3/hrabattement, d'après la courbe, de 2,6 m pour un débit de 490 m /h

Courbe caractéristique 1981 :

rabattement de 0,92 m pour 1 9h 55 de pompage à 491,9 m^/h.

soit une amélioration du débit spécifique à 490 m^/h, environ, de188 m3/h/m à 533 m^/h/m.

./

- 45 -

Les échantillons prélevés ont été analysés par leLaboratoire Départemental d'Epidémiologie et d'Hygiène du Milieu.Le traitement de l'eau étant effectué par descente de 1 'hypo¬chlorite de sodium à l'intérieur du puits, il était impossiblede prélever un échantillon intact et les analyses bactériologi¬ques n'ont pas été demandées.

L'incidence de 1 ' hypochlorite de sodium sur les résul¬tats d'analyses chimiques peuvent être considérées comme négligea¬ble (utilisation de 50 kg de produit actif à 70% d'hypochlorite desodium par semaine ; débit hebdomadaire moyen de 30 000 m environ ;

> 1,17 g d'hypochlorite de sodium par m^ d'eau exhaurée).

Les résultats sont présentés sur les tableaux 5et 6 ci-après .

Le TA est nul, ce qui est le cas général pour les eauxnaturelles dont le PH est inférieur à 8,3.

Selon les résultats d'analyses effectuées, l'eau dupuits de Maison Rouge serait hydrocarbonatée magnésienne ; toute¬fois les concentrations en chlorures et en calcium (exprimées en

c

P

Réunion (problème technique) .

III - 3 Conclusions zt critiques _dz.&_résul

Les résultats des essais effectués sur le puits deMaison Rouge à Saint Louis traduisent une nette amélioration dela productivité de l'ouvrage depuis les tests de pompage de 1973Courbe caractéristique 1973 :

rabattement de 2 m pour 1 Oh 15 de pompage à 400 m3/hrabattement de 3,8 m pour 1 6h 30 de pompage â 627 m3/hrabattement, d'après la courbe, de 2,6 m pour un débit de 490 m /h

Courbe caractéristique 1981 :

rabattement de 0,92 m pour 1 9h 55 de pompage à 491,9 m^/h.

soit une amélioration du débit spécifique à 490 m^/h, environ, de188 m3/h/m à 533 m^/h/m.

./

TABLEAU 5

ANALYSE PHYSICO-CHIMIOUE DES EAUX

Nom et adresse du demandeur : BRCîM

Puits Maison Rouge ST LOUISNature de l'échantillon :

Date & heure du prélèvement :17.09.B1(9H) - llh de pompage

CARACTERES ORGANOLEPTIQUES

Aspect

Odeur

Couleur (échelle au platino cobalt)

CARACTERES PHYSICO-CHIMIQUES

Température (lors du prélèvement

PH -.

Résistivité (en ohm/cm à 20° C) .

Turbidité (en gttes de mastic) . . .

LIMPIDE

IKODORE

INCOLORE

EXAMENS PRELIMINAIRES

TA (en ° français)

TAC (en ° français)

Dureté totale (en ° français)

CONTROLE CHIMIQUE DE LA POLLUTION DE L'EAU

Oxygène cédé par Mn04K à chaud 10° en milieu alcalin (mg/l)

Azote ammoniacal (en N mg/l)

Azote nitreux (en N mg/l)

Azote nitrique (en N mg/l)

MINERALISATION

Fer en Fe + *- (mg/l) ....

Chlorures en cl (mg/l) ....

Sulfates en SO^ (mg/l)

AUTRES DETERMINATIONS Ca ''8 "k/^Mg H mg/l

CONCLUSION : Extraits secs 0,20 i/l

RESULTATS

7

3 351

inf. à 15

0

8,90

17,4

0,1

0

0

0,32

0

35,5

<25

NORMALE

7 à 8,6

<30

< 2

< 0,6

< 0,1

<10

0,2

<260

<260

TABLEAU 5

ANALYSE PHYSICO-CHIMIOUE DES EAUX

Nom et adresse du demandeur : BRCîM

Puits Maison Rouge ST LOUISNature de l'échantillon :

Date & heure du prélèvement :17.09.B1(9H) - llh de pompage


Aspect

Odeur




PH -.



LIMPIDE

IKODORE

INCOLORE






Oxygène cédé par Mn04K à chaud 10° en milieu alcalin (mg/l)

Azote ammoniacal (en N mg/l)



MINERALISATION

Fer en Fe + *- (mg/l) ....



AUTRES DETERMINATIONS Ca ''8 "k/^Mg H mg/l

CONCLUSION : Extraits secs 0,20 i/l

RESULTATS

7

3 351

inf. à 15

0

8,90

17,4

0,1

0

0

0,32

0

35,5

<25

NORMALE

7 à 8,6

<30

< 2

< 0,6

< 0,1

<10

0,2

<260

<260

TABLEAU 6

ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX

Nom et adresse du demandeur

Nature de l'échantillon :

Date & heure du prélèvement

BR(3M

Puits Maison Rouge ST LOUIS

17.09.81 (17H) - 19h de pompage


Aq>ect

Odeur




PH V



LIMPIDE

INODORE

INCOLORE






Oxygène cédé par Mn04K à chaud 10° en milieu alccUn (mg/l)

Azote ammoniacal (en N mg/I)



MINERALISATION

Fer en Fe + + (mg/l) ....



AUTRES DÉTERMINATIONS

CONCLUSION :

Cû IQ Ofi/lMg 13t5 mg/lExtraits secs 0,21 g/l

RESULTATS

7,10

3 058

inf. à 15

0

9,10

18

0.2

0

0

0

0

34

<25

NORMALE

7 à 8,6

<30

< 2

< 0,6

< 0.1

<10

0,2

<280

<2&0

TABLEAU 6

ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX

Nom et adresse du demandeur

Nature de l'échantillon :

Date & heure du prélèvement

BR(3M

Puits Maison Rouge ST LOUIS

17.09.81 (17H) - 19h de pompage


Aq>ect

Odeur




PH V



LIMPIDE

INODORE

INCOLORE






Oxygène cédé par Mn04K à chaud 10° en milieu alccUn (mg/l)

Azote ammoniacal (en N mg/I)



MINERALISATION

Fer en Fe + + (mg/l) ....



AUTRES DÉTERMINATIONS

CONCLUSION :

Cû IQ Ofi/lMg 13t5 mg/lExtraits secs 0,21 g/l

RESULTATS

7,10

3 058

inf. à 15

0

9,10

18

0.2

0

0

0

0

34

<25

NORMALE

7 à 8,6

<30

< 2

< 0,6

< 0.1

<10

0,2

<280

<2&0

48

Cette amélioration est le résultat du développementde l'ouvrage effectué par la seule exploitation du puits.L'augmentation du prélèvement s'accompagnera d'une remobilisationdes terrains avec développement des formations entourant l'ouvragece phénomène évoluera plus ou moins rapidement vers un nouvel étatd'équilibre avec stabilisation des formations pour des vitesses decirculations d'eau correspondant au débit d'exploitation de490 m3/h.

Les paramètres hydrodynamiques des formations aquifèresont des valeurs élevées avec toutefois une distribution hétérogènecaractéristique des terrains ou la porosité de fissure est prédomi¬nante. Les limites mises en évidence par le pompage effectué ontune grande influence sur l'évolution des rabattements de la nappeavec le temps de pompage ; d'autres limites peuvent être atteintes,elles seront soit défavorables pour les limites étanches ou leszones peu perméables soit, au contraire, favorables pour les limitesd ' alimentation .

Les caractéristiques physico-chimiques suivies lors dupompage d'essai sont restées sensiblement constantes ; par ailleurs,le traitement des eaux pompées (hypochlorite) étant effectué àl'intérieur du puits, l'état bactériologique des eaux souterrainesn'a pu être analysé.

Les principales caractéristiques de la nappe sontcomparables à celles observées en 1973, par contre le développementdu puits a sensiblement amélioré le débit spécifique.

IV - EXPLOITATION DU PUITS DE MAISON ROUGE

L'amélioration du débit spécifique de l'ouvrage autorise,pour un rabattement identique du niveau d'eau dans le puits, undébit très supérieur à celui de 1973.

Les installations d'exhaure existante totalisent unepossibilité de débit de 12 000 m-^/jour environ ; les modalités defonctionnement des installations (arrêt partiel des pompes durantles périodes de consommation de pointe en électricité - 18h à 22h-)réduisent cette possibilité d'exhaure à 11 ,000 m^/jour environsoit un débit horaire fictif continu de 458 m .

/..

48

Cette amélioration est le résultat du développementde l'ouvrage effectué par la seule exploitation du puits.L'augmentation du prélèvement s'accompagnera d'une remobilisationdes terrains avec développement des formations entourant l'ouvragece phénomène évoluera plus ou moins rapidement vers un nouvel étatd'équilibre avec stabilisation des formations pour des vitesses decirculations d'eau correspondant au débit d'exploitation de490 m3/h.

Les paramètres hydrodynamiques des formations aquifèresont des valeurs élevées avec toutefois une distribution hétérogènecaractéristique des terrains ou la porosité de fissure est prédomi¬nante. Les limites mises en évidence par le pompage effectué ontune grande influence sur l'évolution des rabattements de la nappeavec le temps de pompage ; d'autres limites peuvent être atteintes,elles seront soit défavorables pour les limites étanches ou leszones peu perméables soit, au contraire, favorables pour les limitesd ' alimentation .

Les caractéristiques physico-chimiques suivies lors dupompage d'essai sont restées sensiblement constantes ; par ailleurs,le traitement des eaux pompées (hypochlorite) étant effectué àl'intérieur du puits, l'état bactériologique des eaux souterrainesn'a pu être analysé.

Les principales caractéristiques de la nappe sontcomparables à celles observées en 1973, par contre le développementdu puits a sensiblement amélioré le débit spécifique.

IV - EXPLOITATION DU PUITS DE MAISON ROUGE

L'amélioration du débit spécifique de l'ouvrage autorise,pour un rabattement identique du niveau d'eau dans le puits, undébit très supérieur à celui de 1973.

Les installations d'exhaure existante totalisent unepossibilité de débit de 12 000 m-^/jour environ ; les modalités defonctionnement des installations (arrêt partiel des pompes durantles périodes de consommation de pointe en électricité - 18h à 22h-)réduisent cette possibilité d'exhaure à 11 ,000 m^/jour environsoit un débit horaire fictif continu de 458 m .

/..

49 -

Les résultats d'essais par palier de débit montrentune chute du débit spécifique plus rapide au-dessus de 300 m-^/h.Vu les valeurs élevées de ce débit spécifique et les possibilitésde rabattement au puits, ce chiffre de 300 m-^/h ne doit pas êtreconsidéré comme une limite supérieure imperative résultant descaractéristiques de l'ouvrage. Le débit de 490 m^/h peut être at¬teint sans dommage pour le puits de Maison Rouge.

L'incidence d'une telle exploitation sur la nappe apu être estimée d'après l'analyse des données du pompage "longuedurée" ; toutefois, les résultats traduisent l'hétérogénéité etle caractère fini des formations aquifères. D'autres limites pour¬ront être atteintes lors de l'augmentation du temps de pompage, cesont des limites étanches avec augmentation plus rapide du rabat¬tement où des limites d'alimentation avec stabilisation du niveaudynamique ou accroissement plus lent du rabattement.

ailleurs une meilleure connaissance de l'état des ressources eneau souterraine et leur évolution dans le temps, en fin de saisonsèche par exemple.

V - CONCLUSIONS

Le puits de Maison Rouge capte un aquifère libre portépar les formations basaltiques mises en place au cours des phasesd'activité II et IV du massif du Piton des Neiges. Un épandage deformations pyroclastiques (phase IV) assure une couverture relati¬vement imperméable de la nappe au Nord de Saint Louis.

L'amélioration du débit spécifique de l'ouvrage cons¬taté lors des essais effectués du 15 au 18 septembre 1981 résulted'un développement des formations aquifères au débit d'exploitationantérieur de 200 m-^/h environ. Ces valeurs élevées du débitspécifique autorise un prélèvement de 400 à 500 m-^/h sans danr"»'-

49 -

Les résultats d'essais par palier de débit montrentune chute du débit spécifique plus rapide au-dessus de 300 m-^/h.Vu les valeurs élevées de ce débit spécifique et les possibilitésde rabattement au puits, ce chiffre de 300 m-^/h ne doit pas êtreconsidéré comme une limite supérieure imperative résultant descaractéristiques de l'ouvrage. Le débit de 490 m^/h peut être at¬teint sans dommage pour le puits de Maison Rouge.

L'incidence d'une telle exploitation sur la nappe apu être estimée d'après l'analyse des données du pompage "longuedurée" ; toutefois, les résultats traduisent l'hétérogénéité etle caractère fini des formations aquifères. D'autres limites pour¬ront être atteintes lors de l'augmentation du temps de pompage, cesont des limites étanches avec augmentation plus rapide du rabat¬tement où des limites d'alimentation avec stabilisation du niveaudynamique ou accroissement plus lent du rabattement.

ailleurs une meilleure connaissance de l'état des ressources eneau souterraine et leur évolution dans le temps, en fin de saisonsèche par exemple.

V - CONCLUSIONS

Le puits de Maison Rouge capte un aquifère libre portépar les formations basaltiques mises en place au cours des phasesd'activité II et IV du massif du Piton des Neiges. Un épandage deformations pyroclastiques (phase IV) assure une couverture relati¬vement imperméable de la nappe au Nord de Saint Louis.

L'amélioration du débit spécifique de l'ouvrage cons¬taté lors des essais effectués du 15 au 18 septembre 1981 résulted'un développement des formations aquifères au débit d'exploitationantérieur de 200 m-^/h environ. Ces valeurs élevées du débitspécifique autorise un prélèvement de 400 à 500 m-^/h sans danr"»'-

- 50 _

Le fait que les installations en place (490 m-^/h) aientfonctionnées depuis le 15/09/80 et que le niveau de la nappe enrepos soit identique à celui observé en 1973 sont des constationsencourageantes qui devront cependant être confirmées par un suivide l'exploitation et de la nappe sur une année hydrologique.

- 50 _

Le fait que les installations en place (490 m-^/h) aientfonctionnées depuis le 15/09/80 et que le niveau de la nappe enrepos soit identique à celui observé en 1973 sont des constationsencourageantes qui devront cependant être confirmées par un suivide l'exploitation et de la nappe sur une année hydrologique.

Documents

BRGMinfoterre.brgm.fr/rapports/81-REU-020.pdf · tp durée de pompage t' temps écoulé depuis le début de la remontée s rabattement de ... TAC titre alcalimétrique complet (teneur