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Jean-Croquette 6eZ Dicter enuyeuz de Monsieur FROELHY Dans la rue, sur le chemin du marché, Parvana se senter toute légère, sans tchador. Le soleil lui caressé le visage, et une brise légère venu de la montagne flottais dans les airs, apportant avec elle une agréable fraîcheure. Le sac de sont père, dont elle avait enrouler la bandoulière autour de ça poitrine, ballotait sur s’est jambes. Elle l’avait rempli de crayons et de tout le matérielle d’écriture, et elle y avait mis aussi quelques objets qu’elle voulait essayé de vendre. Parmi eux, son joli shalwar kamiz. Et, sous son bras, elle avait glicé la couverture sur laquel elle s’assoirait. Elle choisis le même endroit que celui ou ils s’installait, son père et elle. Non loin de ce trouvait un mur avec une maison bâtie juste de l’autre côter. On n’en voyaient pas grand-chose : le mur en cacher la plus grande partie. Il y avait bien une fenaitre, tout en haut, mais le carreau avait été peint en noir, conformément aux ordres des talibans.

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Jean-Croquette 6eZDicter enuyeuz de Monsieur FROELHY

Dans la rue, sur le chemin du marché, Parvana se senter toute légère, sans tchador. Le soleil lui caressé le visage, et une brise légère venu de la montagne flottais dans les airs, apportant avec elle une agréable fraîcheure.

Le sac de sont père, dont elle avait enrouler la bandoulière autour de ça poitrine, ballotait sur s’est jambes. Elle l’avait rempli de crayons et de tout le matérielle d’écriture, et elle y avait mis aussi quelques objets qu’elle voulait essayé de vendre. Parmi eux, son joli shalwar kamiz. Et, sous son bras, elle avait glicé la couverture sur laquel elle s’assoirait.

Elle choisis le même endroit que celui ou ils s’installait, son père et elle. Non loin de là ce trouvait un mur avec une maison bâtie juste de l’autre côter. On n’en voyaient pas grand-chose : le mur en cacher la plus grande partie. Il y avait bien une fenaitre, tout en haut, mais le carreau avait été peint en noir, conformément aux ordres des talibans.