130
1 Master M2 MANAGEMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION ET DE COMMUNICATION Module : EDI - GED Echange de Données Informatisées - Electronic Data Interchange Intervenant : Saïd GOURRAM 2012-2013 Saïd GOURRAM [email protected]

00 EDI 2012 2013

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: 00 EDI 2012 2013

1

Master M2MANAGEMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION

ET DE COMMUNICATION

Module : EDI - GED Echange de Données Informatisées - Electronic Data Interchange

Intervenant : Saïd GOURRAM

2012-2013 Saïd GOURRAM

[email protected]

Page 2: 00 EDI 2012 2013

2

Objectifs� Acquérir des notions sur l’EDI

� Comprendre la norme EDIFACT

� Analyser les normes (EDIFACT,...) et des tendances,

� Mettre en œuvre des messages EDI

� Maîtriser les phases de mise en œuvre d'un projet EDI,

� Appréhender le aspects administratifs et juridiques (pour les télédéclarations,la dématérialisation de la facture, etc.).

Page 3: 00 EDI 2012 2013

3

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 4: 00 EDI 2012 2013

4

Votre professeur…Titre : Consultant, expert international en TIC,

DG - POLYSOURCINGDistinctions & expérience :

Ancien enseignant et membre du comité pédagogique à l’Université de Lille.

En délocalisé: Sunderland – UK, Laval – Canada, Supinfo, Skema Lille, INSA Lyon, Université de Rennes, Clermont-Ferrand, Bordeaux, Orléans, Grenoble, Bourgogne, Caen.

12 ans(Directeur Hors Classe- DSI / Banque Commerciale Internationale)

Correspondant de CNEJITA – Fr au Maroc

Membre silver d’ISACA - US

Conférencier: SIIE / IEEE best paper #5 - MICAD –Université Numérique Régionale - 3ème congrès international de lutte contre la cybercriminalité – Forum SI RH

Formateur certifié / qualifié & certifié ITIL

Formation : Docteur en Informatique – Université de Lille

E- mail: [email protected]

Saïd GOURRAM

Page 5: 00 EDI 2012 2013

5

Bibliographie� M. Hendry, « Implementing Edi », Artech House

� Claude Charmot , « L'échange de données informatisé (EDI) », Presses Universitaires de France - PUF

� M.A. Emmelhainz , «EDI, l'échange de données informatisées» , Masson

� K.V.Andersen, «EDI and Data Networking in the Public Sector », Springer-Verlag

� Ch. Longépé, (2006) , «Le projet d'urbanisation du SI : Cas concret d'architecture d'entreprise», Dunod

� J-L Lequeux, (2008), «Manager avec les ERP», Editions d’organisations.

� K. Laudon, J. Laudon (2006), «Les systèmes d'information de gestion - Gérer l'entreprise numérique», Erpi

Webographie:

� Wikipedia (www.wikipedia.fr)

� EDIFACT France (www.edifact.fr)

� ebXML (www.ebxml.org)

� Etude technique de la société Capit (www.capit.net)

Page 6: 00 EDI 2012 2013

6

Organisation pédagogique

� Séances

� S 16 nov

� D 17 nov

� Présentations magistrales ;

� Lectures ;

� Travaux en groupe :

� Elaboration d’un EDI

� Remise des projets avant le Lundi 9 déc

.

Page 7: 00 EDI 2012 2013

7

Elaboration d’un EDI

# Sujet Participants (Groupe de 5)

1 EDI facture – Total Badir - Kachmouh – Kannaoui

2 EDI Banque Assurance - CNIA

Berdai – Rabii – Zenzouni -Mouahidi

3 EDI Production - ONE Bouchefra – El Idrissi - Bouqdaoui

4 EDI - Khadraoui – ElMoulou – El Hansali– Gharmouj

5

Utiliser PowerPoint (15 slides environs) Rendu le lundi 9 DécEnvoi des présentations à [email protected] (1 jour de retard : -1)

[email protected]

Rendu : 1- Déterminer la valeur ajoutée de l’EDI dans le cadre du projet 2- Préciser un objet du système et proposer une structure XML pour le décrire3- Installer BizAgi et élaborer un processus correspondant à votre projetObjet : MSIC / EDI / Sujet

Page 8: 00 EDI 2012 2013

8

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 9: 00 EDI 2012 2013

9

Exercice introductif

Page 10: 00 EDI 2012 2013

10

Positionnement du projet EDI

Gouvernance SI

Page 11: 00 EDI 2012 2013

11

BANQUE

ENTREPRISE

FOUR-NISSEUR

CLIENT

Paiement Paiement

Paiementfournisseur

Paiementclient

Bon de commande

Factures

Bon de livraison

Bon de commande

Factures

Bon de livraison

L’entreprise et son environnement

Page 12: 00 EDI 2012 2013

12

Modules acquis / MSIC

Vue Technologie

T - Stratégie des TIC T - Cloud

Vue Management

M - SCM M – Droit SI M - Mise en place des SI

M - Architecture des SI

M - Stratégie et veille SI

Vue Business

Gouvernance (Schéma directeur) B - ERP (Comptabilité, …) B - Re-engineering des

process

Page 13: 00 EDI 2012 2013

13

Les 5 zéros pour le SI

5 Zéros Application SI

0 papier Dématérialisation / EDI - WF – Collaboratif –GED

0 délai Temps réel – Online (élimination du batch)

0 stock Elimination de la resaisie

0 panne Pas de bug – Continuité d’activité - Disponibilité

0 défaut Exactitude des résultats

Page 14: 00 EDI 2012 2013

14

Exercice

� Elaborer un bon de commande présentant les données suivantes:

� Client : C6789 / Etablissement Ahmed Ben Ali

� Date de la commande: 15 av 2011

� N° de la commande : 12345

� Articles:

• 10 tables, Référence : T667

• 100 chaises, Référence: CH765

Page 15: 00 EDI 2012 2013

15

Les messages EDI

� Commande pour livraison directe� Réponse à la commande� Relance� Annulation de commande� Confirmation d’annulation� Avis d’expedition� Facture� Avoir� Litige commercial� Etat d’inventaire� Commande d’approvisionnement

Page 16: 00 EDI 2012 2013

16

Définition (Gartner)

� EDI (échange de données informatisé) : L'échange électronique d'échange de documents (tels que les factures et commandes) afin de faciliter le commerce électronique. Les deux normes EDI plus couramment utilisés sont les Nations Unies EDI pour l'administration, du commerce et EDIFACT (transports) et X 12 accrédités normes du Comité. Initialement réalisée uniquement par le biais de réseaux à valeur ajoutée, EDI se déplace progressivement à l'Internet. Il reste un moyen populaire de l'échange d'informations de business-to-business en raison de la maturité des normes établies et l'adoption large de technologies associées aux EDI.

Page 17: 00 EDI 2012 2013

17

EDI : élimination du retard

Achat etadministration

Syst. de traitementdes commandes

Ressaisie de l’ordred’achat, réponseet facture

ordres

auxfournisseurs

factures

au clientfactures

au client

ordres

auxfournisseurs

réponses

réponses

ressaisiedes ordresd’achat

2 janv3 janv

4 janv5 janv

6 janv7 janv

COURRIER

CLIENT

FOURNISSEURS

envoi par la poste de l’ordre d’achat,des réponses et des factures

système d’achat etd’administration

Système de traitementdes commandes

listes d’exception sur les ordresdes clients

traitement desexceptionsuniquement

FOURNISSEURS

Listes d’exception dufournisseur

traitement desexceptionsuniquement

CLIENT

EDIordres

réponses

factures

Page 18: 00 EDI 2012 2013

18

Exemple de gain (sur une commande)

Temps Traitement standard Traitement EDI Temps

J Saisie de la commande Saisie de la commande J

J Edition de la commande Télé - Transmission J

J Mise sous enveloppe

J+1 Mise au départ courrier

J+2 Acheminement postal

J+2 Ouverture courrier

J+3 Acheminement service commande

J+4 Saisie Télé - Réception J

J+4 Traitement Traitement J

Soit un gain moyen de 4 jours sur chaque document

http, Pop, smtp,ftp, soap

Page 19: 00 EDI 2012 2013

19

Objectifs de la qualité : Les 5 + 1 zéros

0 Papier

0 Défaut et erreur

0 Délai

0 Stock

0 Panne

(0 Neurone)

Page 20: 00 EDI 2012 2013

20

Création de valeur

� Efficience des activités primaires de l’Entreprise� Logistique d’entrée et de sortie� Approvisionnement

� Minimise les tâches à faible valeur ajoutée� Réduction des coûts administratifs� Réduction des délais� Amélioration de productivité� Adéquation des stocks� Amélioration des processus commerciaux

� Transmission d’information structurée

Page 21: 00 EDI 2012 2013

21

Normes et standards de la couche connecteurs

Type Dénomination Description Domaine d’utilisation

Fonctionnel Connecteur SAP

Accès à l’ERP SAP au niveau des BAPI (en synchrone) ou avec ALE (en asynchrone) Accès aux différents modules de SAP

Connecteur PeopleSoft Accès à l’ERP PeopleSoft au niveau des composants interfaces

Accès aux différents modules de PeopleSoft

Autres connecteurs ERP

Il convient de vérifier quelles versions de l’ERP le connecteur supporte

Technique Fichier Fichier plat et fichier Le connecteur fichier

XML

est par définition universel. XML tend à s’imposer comme format

ODBC Open DataBase Connectivity Middleware d’accès aux SGBDR

JDBC Java Database Connectivity Middleware Java d’accès aux SGBDR

Accès natif aux SGBD Protocole propriétaire d’accès au SGBD SQL*Net par exemple pour Oracle

JCA

Java ConnectorArchitecture de Sun

Middleware Java d’accès aux SGBDR ressources du SI depuis le monde J2EE

JMS

Java MessagingService de Sun Middleware Java d’accès aux MOM

EDI

Connecteur supportant un ou plusieurs protocoles et formats EDI Par ex. connecteur EDIFACT

Client Web Services

Accès aux WebServices ou expositionde Web Services

Tend à devenir un connecteur universel

Connecteur vers un moniteur transactionnel

Accès à des moniteurs transactionnels comme CICS

L’utilisation de XML et particulièrement des Web Services est à privilégier

Spécifique Connecteur mainframe

Accès à des applications fonctionnant sur Mainframe

Connecteur application propriétaire

Accès au niveau données ou applicatifs à des applications propriétaires du SI

Autres API J2EE

Pour éviter de passer par un connecteur propriétaire (et donc par un développement ad hoc), l’échange de fichiers reste une solution éprouvée

Page 22: 00 EDI 2012 2013

22

Principes de fonctionnement des EDI

Services EDI

Partenaire Partenaire

Services EDI

TraductionArchivageSécurité

Télécommunication

Page 23: 00 EDI 2012 2013

23

EDI� EDI = Electronic Data Interchange ou Échange de Données

Informatisées :

� Échanges, d’ordinateur à ordinateur, de données concernant des transactions, en utilisant des réseaux et des formats normalisés,

� Transit des informations de l’émetteur vers le système d’un partenaire (via des réseaux) afin d’y être intégrées automatiquement.

Page 24: 00 EDI 2012 2013

24

Standards EDI

� Les standards d’organisations

� UN/EDIFACT : United Nations / Electronic Data Interchange For Administration, Commerce and Transport

� ANSI - American National Standards Institute

� ASC - Accredited Standards Committee

� X12 - order placement & processing, shipping & receiving information, invoicing, payment & cash application data

� Certains industriels ont créé leur propres normes :

� industrie automobile = norme ODETTE,

� industrie aéronautique : norme AECMA .

Page 25: 00 EDI 2012 2013

25

Fichier

interne

Fichier

interne

Emetteur Récepteur

applicationapplication

Logiciel de

traduction EDI

Message

EDI

Logiciel de

traduction EDI

Logiciel

de comm.

Message

EDIRéseau

Architecture EDI

Logiciel

de comm.

Si même ERP

Page 26: 00 EDI 2012 2013

26

Structure des messages EDIFACT

Exemple : UNB+UNOA:1+T001315019+13580101WIDGET:01+961118:0517

Code Code Code

Page 27: 00 EDI 2012 2013

27

Message EDIFACT Structure

UNB

UNZ

UNH

......

UNT

BGM

RFF

NAD

DTM

LINLIN

......

LIN

Détails Article(LIN)

Ligne 1

Article 8712345678913

Type EN

Quant. 4

......

UNH

UNT......

Interchange

Message1

Message 2

EDI

Enveloppe

Service String Advice UNA Conditional+----- Interchange Header UNB Mandatory| +--- Functional Group Header UNG Conditional| | +- Message Header UNH Mandatory| | | User Data Segments As required| | +- Message Trailer UNT Mandatory| +--- Functional Group Trailer UNE Conditional+----- Interchange Trailer UNZ Mandatory

Page 28: 00 EDI 2012 2013

28

EDI MessageUNB+UNOA:2+5412345678908:140801:1201'UNH+1+ORDERS:2:901:UN:EAN005'BGM+105+112233+950730'RFF+CT+123456+910101'RFF+CR+MR. BLOCK'NAD+DP+8711886500001:14'NAD+IV+8711886599001:14'DTM+002+060120'CUX+DEM:PC'FTX+PUR+1++PLEASE DEL.BEFORE 13.00'TDT++++++EMS'TOD+++FCA'UNS+D'LIN+1++8712345678913:EN++21:4'LIN+2++8710477100104:EN++21:2'IMD+F+++HANDLE THIS ITEM WITH CARE'UNS+S'UNT+16+1'UNZ+1+12345555'

ExplicationsBoîte “Enveloppe” émettrice du message.Entête du Message; type de messageMessage I.D. Programme No & Date etc..Détails ContratDétails AcheteurAdresse de livraisonAdresse de facturationDate de livraison requiseDeviseTexte libreConditions de livraison

Détails Article,,

Texte Article

Fin d ’ordreFin du Message

Exemple de message EDIFACT

Page 29: 00 EDI 2012 2013

29

Atelier 2� Utiliser l’un des éditeurs EDI pour la lecture du message:

UNB+UNOA:2+5412345678908:140801:1201'

UNH+1+ORDERS:2:901:UN:EAN005'

BGM+105+112233+950730'

RFF+CT+123456+910101'

RFF+CR+MR. BLOCK'

NAD+DP+8711886500001:14'

NAD+IV+8711886599001:14'

DTM+002+060120'

CUX+DEM:PC'

FTX+PUR+1++PLEASE DEL.BEFORE 13.00'

TDT++++++EMS'

TOD+++FCA'

UNS+D'

LIN+1++8712345678913:EN++21:4'

LIN+2++8710477100104:EN++21:2'

IMD+F+++HANDLE THIS ITEM WITH CARE'

UNS+S'

UNT+16+1'

UNZ+1+12345555'

Page 30: 00 EDI 2012 2013

30

Résultat avec Ediview

Page 31: 00 EDI 2012 2013

31

Standards EDIFACT

� GENCODE ou EAN (depuis GS1) : Grande distribution.

� ODETTE : Secteur automobile.

� ETEBAC : Secteur bancaire.

Page 32: 00 EDI 2012 2013

32

EDIFACT - Avantages / InconvénientsAvantages Inconvénients

• Enfin un standard mondial.

• Format très compact → message léger.

• Tout type de télécommunication est possible (RTC, FTP, SMTP, X25, liaison spécialisée,…).

• Non utilisé par les Etats-Unis.

• Très difficile à lire par un non expert.

• Très lourd à mettre en place et très difficile à faire évoluer ($).

• Nouveau processus entre partenaire = modification du format = modification du traducteur = $.

• Seul un expert pourra résoudre les problèmes du système.

Page 33: 00 EDI 2012 2013

33

Conception et Manipulations des Documents / XML

DTD

Schéma

Outils

Page 34: 00 EDI 2012 2013

34

XML

� Un document XML peut être associé à :

� une DTD ou un schéma pour décrire les balises

� Une feuille de style pour présenter les données

� DTD ou/et schéma permettent de définir son propre langage basé sur XML

� Vocabulaire (balises)

� Grammaire (imbrications)

� � Dialecte ou Jargon

Page 35: 00 EDI 2012 2013

35

Le standard d’échange XML� XML est un standard de description de documents

� normalisé par le W3C début 98,� utilisé au départ au même niveau que l’EDI,� étendu à l’échange de données entre environnements hétérogènes,� soutenu par des acteurs majeurs du marché : Microsoft, IBM, SAP, …� nombreux dérivés métiers (initiatives non standard),

� Des ajouts permettent de passer de la description de document à celle d’un flux de données :� XSL (validé) : transformation de documents par application d’un modèle,� XML Schema (validé) : typage de données,� Xpath, XPointer : accès à des parties de documents,� XLink : liens multi-cibles,� XML Query : intégration de SQL dans le document,� XSL FO, SVG : formatage de documents paginés (pdf par exemple),

� Domaines d’application :� commerce électronique B2B, EDI - Intégration d’applications hétérogènes -

Gestion de contenu de type GED - Interfaces Web – BPEL (Business process Execution Language).

Page 36: 00 EDI 2012 2013

36

XML : rappel des composants et mécanisme

� Un flux XML sera émis par un programme selon un format et une syntaxe convenus

� A la réception, il sera dépouillé, décodé, contrôlé par un «parser» qui en extraira les données utiles.

documentXML

déclarationDTD

pageHTML

documentpapier

XSL :feuille

de style

API

Présentation

Règles destructuration

Donnéesstructurées

TransformationÉditeur

Système d’entreprise

Page 37: 00 EDI 2012 2013

37

ebXML – Extension de XMLebXML (Electronic Business using eXtensible MarkupLanguage) est une suite de spécifications basées sur lelangage XML utilisable pour le commerce électronique.Débuté en 1999 / Finalisé en 2001 (UN/CEFACT / OASIS)ISO/TS 15000

Avantages Inconvénients

• Un réel standard International.• Définition complète et intégrationfacile.• Coût réduit / utilisation élémentaire.• Facile à lire.•Orienté e-Commerce.• Basé sur un format ouvert (XML) → évolution aisée.

• Encore peu implanté.• Orienté « que » e-Commerce.• Coût

Page 38: 00 EDI 2012 2013

38

Architecture ebXML

Page 39: 00 EDI 2012 2013

39

Validité des documents

� Document bien formé (Well Formed Document)

� balises correctement imbriquées

� analysable (parsable) et manipulable

� pas nécessairement valide par rapport au jargon

� Document valide (Valid Document)

� bien formé + conforme à la DTD ou au schéma

1- <Nom> Ahemd </nom>2- <Commande>

<Numero>67776

</Commande></Numero>

Page 40: 00 EDI 2012 2013

40

DTD

� Permet de définir le «vocabulaire» et la structure qui seront utilisés dans le document XML

� Grammaire du langage dont les phrases sont des documents XML (instances)

� Peut être mise dans un fichier (DTD externe) et être appelée dansle document XML

Page 41: 00 EDI 2012 2013

41

Déclaration d'élément simple

� <! ELEMENT balise (définition) > � Le paramètre définition représente soit un type de donnée

prédéfini, soit un élément de données composé, constitué lui même d'éléments

� Types prédéfinis

� ANY : L'élément peut contenir tout type de donnée

� EMPTY : L'élément ne contient pas de données spécifiques

� #PCDATA : L'élément doit contenir une chaîne de caractère

� Exemple

<! ELEMENT Nom (#PCDATA)><Nom>Victor Hugo</Nom>

Page 42: 00 EDI 2012 2013

42

Déclaration d'élément composé

� Définit une séquence ou un choix d'éléments

� Syntaxe spécifique avec opérateurs de composition d'éléments :

<! ELEMENT balise (composition) >

Opérateur Signification Exemple

+ L'élément doit être présent au minimum une fois A+

* L'élément peut être présent plusieurs fois (ou aucune) A*

? L'élément peut être optionnellement présent A?

| L'élément A ou bien B peuvent être présents (pas les deux) A|B

, L'élément A doit être présent et suivi de l'élément B A,B

() Les parenthèses permettent de regrouper des éléments afin de leur appliquer les autres opérateurs

(A,B)+

Page 43: 00 EDI 2012 2013

43

Exemple d'élément composé

� <!ELEMENT personne (nom, prenom+, tel?, email?, adresse) ><!ELEMENT nom (#PCDATA) >

<!ELEMENT prenom (#PCDATA) >

<!ELEMENT tel(#PCDATA) >

<!ELEMENT email (#PCDATA) >

<!ELEMENT adresse (ANY) >

<personne><nom>Hugo</nom>

<prenom>Victor</prenom>

<prenom>Charles</prenom>

<tel>01120243</tel>

<adresse><rue></rue><ville>Paris</ville></adresse>

</personne>

Page 44: 00 EDI 2012 2013

44

Déclaration d'attributs

� <! ATTLIST balise Attribut Type Mode >

� balise spécifie l'élément auquel est attaché l'attribut

� Attribut est le nom de l'attribut déclaré

� Type définit le type de donnée de l'attribut choisi parmi: � CDATA

� Chaînes de caractères entre guillemets ("aa") non analysées

� Enumération

� Liste de valeurs séparées par |

� <! ATTLIST balise Attribut (Valeur1 | Valeur2 | ... ) >

� ID et IDREF

� Clé et référence à clé

� Mode précise le caractère obligatoire ou non de l'attribut� #REQUIRED, #IMPLIED ou #FIXED

Page 45: 00 EDI 2012 2013

45

Exemple d'attributs<! ATTLIST personne

num ID, age CDATA, genre (Masculin | Feminin ) >

<!ELEMENT auteur (#PCDATA) ><!ELEMENT editeur (#PCDATA) ><!ATTLIST auteur

genre (Masculin | Feminin ) #REQUIREDville CDATA #IMPLIED>

<!ATTLIST editeurville CDATA #FIXED "Paris">

Page 46: 00 EDI 2012 2013

46

Exemple de DTD

<!ELEMENT doc (livre* | article+) ><!ELEMENT livre (titre, auteur+) ><!ELEMENT article (titre, auteur*) ><!ELEMENT titre(#PCDATA) ><!ELEMENT auteur(nom, adresse) ><!ATTLIST auteur id ID #REQUIRED ><!ELEMENT nom(prenom?, nomfamille) ><!ELEMENT prenom (#PCDATA) ><!ELEMENT nomfamille (#PCDATA) ><!ELEMENT adresse (ANY) >

Page 47: 00 EDI 2012 2013

47

Exemple de DTD interne<?XML version="1.0" standalone="yes"?><!DOCTYPE CATALOGUE [<!ELEMENT CATALOGUE (LIVRE+)>

<!ELEMENT LIVRE (SPECIFICATION+, ANNEE, PRIX)><!ATTLIST LIVRE REFERENCE CDATA #REQUIRED>

<!ELEMENT SPECIFICATION EMPTY><!ATTLIST SPECIFICATION AUTEUR CDATA #REQUIRED TITRE CDATA #REQUIRED>

<!ELEMENT ANNEE (#PCDATA)><!ELEMENT PRIX (#PCDATA)> ]>

<CATALOGUE><LIVRE REFERENCE ="C1556">

<SPECIFICATION AUTEUR="Tahar Benjelloune" TITRE="Pain nu"/><ANNEE>1981</ANNEE><PRIX>6 €</PRIX>

</LIVRE>……...</CATALOGUE>

Page 48: 00 EDI 2012 2013

48

Exemple de ID et IDREF<?xml version="1.0" standalone="yes"?>

<!DOCTYPE DOCUMENT [

<!ELEMENT DOCUMENT(PERSONNE*)>

<!ELEMENT PERSONNE (#PCDATA)>

<!ATTLIST PERSONNE PNUM ID #REQUIRED>

<!ATTLIST PERSONNE MERE IDREF #IMPLIED>

<!ATTLIST PERSONNE PERE IDREF #IMPLIED>

]>

<DOCUMENT><PERSONNE PNUM = "P1">Marie</PERSONNE>

<PERSONNE PNUM = "P2">Jean</PERSONNE>

<PERSONNE PNUM = "P3" MERE="P1" PERE="P2">Pierre</PERSONNE>

<PERSONNE PNUM = "P4" MERE="P1" PERE="P2">Julie</PERSONNE>

</DOCUMENT>

Page 49: 00 EDI 2012 2013

49

DTD externe

� Modèle pour plusieurs documents� partage des balises, attributs et structures

� Définition locale ou externe� <!DOCTYPE doc SYSTEM "doc.dtd">� <!DOCTYPE doc PUBLIC

"www.myweb.com/doc.dtd">

� Exemple de document<?xml version="1.0" standalone="no"?><!DOCTYPE VINS SYSTEM "vins.dtd">...

Page 50: 00 EDI 2012 2013

50

DTD : Entité paramètre

� Permet la définition d'un groupe d'éléments sous un nom (macro)� <!ENTITY %nom "definition">

� Réutilisable dans une DTD par simple appel :� %nom;

� Exemple :� <!ENTITY %genres "(homme | femme)">

<!ATTLIST auteur genre %genres; #REQUIRED>

� Peuvent être externes :� <!ENTITY %mpeg PUBLIC "http://www.myweb.fr/fic.dtd">

Page 51: 00 EDI 2012 2013

51

Quelques règles d'écriture

� Modularité� définir dans des entités séparées les parties réutilisables

� Précédence� Regrouper les déclarations d'entités en tête

� Abstraction� Utiliser des entités pour les modèles de contenus

� Spécificité� Éviter les DTD trop générales

� Simplicité� Découper les DTD trop complexes

Page 52: 00 EDI 2012 2013

52

Atelier 3

� Corriger le XML ci-dessous, puis rajouter un 2ème livre.

<CATALOGUE><LIVRE REFERENCE="C1556">

<SPECIFICATION AUTEUR="M. Choukri" TITRE="Pain nu"><ANNEE>1981</ANNEE><PRIX>6 €</PRIX>

</SPECIFICATION></LIVRE>

</CATALOGUE>

Page 53: 00 EDI 2012 2013

53

Insuffisance des DTD

� Pas de types de données� difficile à interpréter par le récepteur

� difficile à traduire en schéma objets

� Pas en XML � langage spécifique

� Propositions de compléments� XML-data de Microsoft (BizTalk)

� XML-schema du W3C

Page 54: 00 EDI 2012 2013

54

XML Schéma

� Un schéma d'un document définit:� les éléments possibles dans le document

� les attributs associés à ces éléments

� la structure du document

� les types de données

� Le schéma est spécifié en XML� pas de nouveau langage

� balisage de déclaration

� espace de nom spécifique xsd: ou xs:

� Présente de nombreux avantages� structures de données avec types de données

� extensibilité par héritage et ouverture

� analysable à partir d'un parseur XML standard

Page 55: 00 EDI 2012 2013

55

Objectifs des schémas

� Reprendre les acquis des DTD� Plus riche et complet que les DTD

� Permettre de typer les données� Eléments simples et complexes

� Attributs simples

� Permettre de définir des contraintes� Existence, obligatoire, optionnel

� Domaines, cardinalités, références

� Patterns, ...

� S'intégrer à la galaxie XML� Espace de noms

� Infoset (structure d'arbre logique)

Page 56: 00 EDI 2012 2013

56

Le modèle des schémas

� Déclaration des éléments et attributs

� Nom

� Typage similaire à l'objet

� Spécification de types simples

� Grande variété de types

� Génération de types complexes

� Séquence (Sequence)

� Choix (Choice)

� Tas (All)

Page 57: 00 EDI 2012 2013

57

Les types simples (1)

� string� Confirm this is electric

� normalizedString� Confirm this is electric

� token� Confirm this is electric

� byte� -1, 126

� unsignedByte� 0, 126

� base64Binary� GpM7

� hexBinary� 0FB7

� integer� -126789, -1, 0, 1, 126789

� positiveInteger� 1, 126789

� negativeInteger� -126789, -1

� nonNegativeInteger� 0, 1, 126789

� nonPositiveInteger� -126789, -1, 0

� int� -1, 126789675

� unsignedInt� 0, 1267896754

W3C

Page 58: 00 EDI 2012 2013

58

Les types simples (2)

� long� -1, 12678967543233

� unsignedLong� 0, 12678967543233

� short� -1, 12678

� unsignedShort� 0, 12678

� decimal� -1.23, 0, 123.4, 1000.00

� float� -INF, -1E4, -0, 0, 12.78E-2, 12,

INF, NaN

� double� -INF, -1E4, -0, 0, 12.78E-2, 12,

INF, NaN

� boolean� true, false 1, 0

� time� 13:20:00.000, 13:20:00.000-05:00

� dateTime� 1999-05-31T13:20:00.000-05:00

� duration� P1Y2M3DT10H30M12.3S

� date� 1999-05-31

� gMonth� --05--

� gYear� 1999

W3C

Page 59: 00 EDI 2012 2013

59

Les types simples (3)

� gYearMonth� 1999-02

� gDay� ---31

� gMonthDay� --05-31

� Name� shipTo

� QName� po:USAddress

� NCName� USAddress

� anyURI� http://www.example.com/,

� http://www.example.com/doc.html#ID5

� language� en-GB, en-US, fr

� ID� "A212"

� IDREF� "A212"

� IDREFS� "A212" "B213"

� ENTITY

� ENTITIES

� NOTATION

� NMTOKEN, NMTOKENS� US

� Brésil Canada Mexique

W3C

Page 60: 00 EDI 2012 2013

60

Commandes de base xsd:

� element : association d'un type à une balise

� attributs name, type, ref, minOccurs, maxOccurs, ...

� attribute : association d'un type à un attribut

� attributs name, type

� type simple : les multiples types de base

� entier, réel, string, time, date, ID, IDREF, …,

� extensibles par des contraintes

� type complexe : une composition de types

� définit une agrégation d'éléments typés

Page 61: 00 EDI 2012 2013

61

Les types complexes

� Définition d'objets complexes� <sequence> : collection ordonnée d'éléments typés

� <all> : collection non ordonnée d'éléments typés

� <choice>: choix entre éléments typés

� Exemple<xsd:complexType name="AddresseFR">

<xsd:sequence>

<xsd:element name="nom" type="xsd:string"/>

<xsd:element name="rue" type="xsd:string"/>

<xsd:element name="ville" type="xsd:string"/>

<xsd:element name="codep" type="xsd:decimal"/>

</xsd:sequence>

<xsd:attribute name="pays" type="xsd:NMTOKEN" fixed="FR"/>

</xsd:complexType>

Page 62: 00 EDI 2012 2013

62

Héritage de types

� Définition de sous-types par héritage� Par extension : ajout

d'informations

� Par restriction : ajout de contraintes

� Possibilité de contraindre la dérivation

� Exemple :<complexType

name="AdressePays">

<complexContent>

<extension base="Adresse">

<sequence>

<element name="pays" type="string"/>

</sequence>

</extension>

</complexContent>

</complexType>

Page 63: 00 EDI 2012 2013

63

Les patterns

� Contraintes sur type simple prédéfini

� Utilisation d'expression régulières

� Similaires à celles de Perl

� Exemple

<xsd:simpleType name="NumItem"> <xsd:restriction base="xsd:string">

<xsd:pattern value="\d{3}-[A-Z]{2}"/> </xsd:restriction>

</xsd:simpleType>

Page 64: 00 EDI 2012 2013

64

XML Schema : exemple (1)<xsd:schema xmlns:xsd="http://www.w3.org/1999/XMLSchema">

<xsd:element name="commande" type="CommandeType"/>

<xsd:element name="commentaire" type="xsd:string"/>

<xsd:complexType name="CommandeType">

<xsd:sequence>

<xsd:element name="livrer" type="Adresse"/>

<xsd:element name="facturer" type="Adresse"/>

<xsd:element ref="commentaire" minOccurs="0"/>

<xsd:element name="produits" type="ProduitType"/>

</xsd:sequence>

<xsd:attribute name="date_com" type="xsd:date"/>

</xsd:complexType>

Page 65: 00 EDI 2012 2013

65

XML Schema : exemple (2) <xsd:complexType name="ProduitType">

<xsd:sequence>

<xsd:element name="produit" minOccurs="0" maxOccurs="unbounded">

<xsd:complexType>

<xsd:sequence>

<xsd:element name="nom_prod" type="xsd:string"/>

<xsd:element name="quantite">

<xsd:simpleType> <xsd:restriction base="xsd:positiveInteger">

<xsd:maxExclusive value="100"/> </xsd:restriction>

</xsd:simpleType>

</xsd:element>

<xsd:element name="prix" type="xsd:decimal"/>

<xsd:element ref="commentaire" minOccurs="0"/>

<xsd:element name="date_livraison" type="xsd:date" minOccurs="0"/>

</xsd:sequence>

<xsd:attribute name="num_prod" type="xsd:positiveInteger" use="required"/>

</xsd:complexType>

</xsd:element>

</xsd:sequence> </xsd:complexType> </xsd:schema>

Page 66: 00 EDI 2012 2013

66

Diagramme XML Spy

Page 67: 00 EDI 2012 2013

67

Réutilisation de déclarations

� Possibilité de référencer un élément plus global� <element ref="Nom" /> (ci-dessus)� Importe l'élément et son type

� Possibilité d'inclure les types associés à un espace de noms� <import nameSpace = "http:// ..."� schemaLocation = "http:// ..." />

� Possibilité d'étendre un schéma� <redefine schemaLocation="http:// ..."/>� .... Extensions ...� </redefine>

Page 68: 00 EDI 2012 2013

68

Autres possibilités ...

� Mixed Content� Empty Content� anyType� Annotations� Attribute Groups� Nil Values� Abstract Elements &

Types

� Target Namespaces & Unqualified Locals

� Qualified Locals� Global vs. Local

Declarations� Undeclared Target

Namespaces� Substitution Groups

Page 69: 00 EDI 2012 2013

69

Comment concevoir DTD/Schema ?

� A la main

� syntaxe complexe, devient illisible

� Interface graphique IDE

� partir d'un fichier d'exemples

� générer un premier schéma via l'outil

� modifier le schéma graphiquement

� A partir de UML

� décrire données avec UML

� générer un modèle logique hiérarchique

Page 70: 00 EDI 2012 2013

70

Rappels UML

� Modélisation de données et traitements

� Concepts pour les données� paquetage (package)� classe � attribut� association� agrégation� généralisation

� Contraintes� associations 0..* ou 1..*

(*,+)� attributs avec nul possible

(?)� généralisation exclusive

� Diagramme de classes

Classe1

SClasse1 SClasse2

{exclusif}

Classe3

Classe4

*

1..*Attribut1Attribut2

Page 71: 00 EDI 2012 2013

71

Conception UML de schémas

� Possible à partir d'une modélisation UML

� Définir des paquetages de classes et associations

� Orienter les associations � arbre

� Préciser les types de données

� Possibilité d'hériter de stéréotypes XML

� Voir "Modeling XML Applications with UML"

� David Carlson, A. Wesley

� Intégrer aux produits

� Rose, Objecteering, Designer, HyperModel ...

Page 72: 00 EDI 2012 2013

72

De UML à XML : les choix

� Choix des messages (documents)� agrégation d'éléments� classes fortement liées� N instances

� Choix des identifiants et liens� références pour associations

� Attributs versus éléments� les attributs jouent un rôle descriptif ("méta")

� Choix des cardinalités� obligatoire ou optionnel (?)� 0..* (*) ou 1..* (+)

Page 73: 00 EDI 2012 2013

73

Exemple: Publier une BD

Ligne

quantite : intarticle : CCNNNstatut : chartotal : FRF

1..*

1..*

Commande

num intstatut : chartotal : float

1..*

0..*

livrer

0..*

Schéma UML

Client

code : intnom : texttype : CCC

0..*

passer

Magasin

numero : intrue : textcomplement : textcode_postal : intville : text

0..*

gérer

Package Commandes Package Client

Page 74: 00 EDI 2012 2013

74

Vue hiérarchique

� Orientation des associations� obtenir un arbre

� éviter les duplicats

� Génération des liens� attributs IDREF externes

� ou hyperliens

Ligne

quantite : intarticle : CCNNNstatut : chartotal : FRF

1..*

Commande

num intstatut : chartotal : float

1..*

Package Commandes

Client refID

Magasin refID

Page 75: 00 EDI 2012 2013

75

Définition des types complexes<!-- Types de base-->

<!ENTITY % int "(#PCDATA)">

<!ENTITY % float "(#PCDATA)">

<!ENTITY % char "(#PCDATA)">

<!ENTITY % string "(#PCDATA)">

<!-- Classe Commande -->

<!ELEMENT Commande (cstatut, ctotal, Ligne+)>

<!ATTLIST Commande NUM ID #REQUIRED>

<!ELEMENT cstatut %char;>

<!ELEMENT ctotal %float;>

<!-- Classe Ligne -->

<!ELEMENT Ligne (article, quantite, statut?, total?)>

<!ELEMENT article %string;>

<!ELEMENT quantite %int;>

<!ELEMENT lstatut %char;>

<!ELEMENT ltotal %float;>

Page 76: 00 EDI 2012 2013

76

Composition du message

<?xml version="1.0" standalone="yes"?>

<!DOCTYPE MESSAGE [

<!ELEMENT MESSAGE (Commande*)>

<!ENTITY %Type SYSTEM "Type.dtd">

%Type;

]>

<MESSAGE>

<Commande NUM="1">

<cstatut> A </cstatut>

<ctotal>1000</ctotal>

<Ligne>

<article>212</article>

<quantite>100</quantite>

</Ligne>

</Commande>

<Commande NUM="2">

<cstatut> B </cstatut>

<ctotal>1000</ctotal>

<Ligne>

<article>212</article>

<quantite>300</quantite>

</Ligne>

<Ligne>

<article>412</article>

<quantite>400</quantite>

</Ligne>

</Commande>

</MESSAGE>

Page 77: 00 EDI 2012 2013

77

Produits: HyperModel

� De XML à UML

� et vice-versa

� Représentation XMI du modèle UML

� XMI = jargon XML de l'OMG pour modèle objet

� Traduction en toute sorte de modèle logique

� Ajoutable à Eclipse

� http://xmlmodeling.com

Page 78: 00 EDI 2012 2013

78

HyperModel et Eclipse

Page 79: 00 EDI 2012 2013

79

Les outils de développement

� IDE = Integrated Developement Environment� Des éditeurs

� De texte XML, parfois avec structure séparée

� De schéma XML, avec interface graphique

� De règles XSL, avec moteur de transformation

� De requêtes XQuery, avec moteur sur document

� De description WSDL, avec wrapper Web Service

� Des interfaces XML� Aux fichiers

� Aux bases de données

� Aux applications

� Le plus fameux : XML Spy (voir démo.)

Page 80: 00 EDI 2012 2013

80

Les fonctions des logiciels EDI

� La conversion� La transition de la structure interne des informations sous

forme d’une table à deux dimensions.� Le formatage

� La vérification de éléments de données et regroupement dans des groupes fonctionnels.

� La transmission� Encapsulation d’informations permettant l’acheminement

du message jusqu’au destinataire.� Les fonctions spécialisées

� L’édition des messages reçues et envoyés� L’archivage� Compte rendu d’activités ou statistiques� La transition de données

Page 81: 00 EDI 2012 2013

81

Environnement concurrentiel� DIFFÉRENTS FOURNISSEURS: Inovis, 123 EDI, EDI

Gateway inc., � Logicus Informatique, EDIpax

OFFRE DE PRODUITS ET DE SERVICES:• Assistance d’intégration• Analyse des processus d’affaire• Gestionnaire de services• Gestionnaire de transaction et d’échange• Synchronisation des données• Logiciels (ex. comptabilité, approvisionnement)• Service d’hôte• Certification des partenaires d’échange• Décodage de données

Page 82: 00 EDI 2012 2013

82

Environnement Concurrentiel

� PRINCIPAUX ACHETEURS : Tout type d’entreprise

� Développement d’un réseau d’échange de données

� Influence des partenaires

� Augmenter l’efficience pour faire face à la concurrence

� Améliorer la compétitivité des processus d’affaire

� Facilite l’intégration de nouveaux partenaires d’affaire

� Implantation d’un système de traitement «Juste à Temps»

� Cycle de vie du produit : Croissance

� Produit/Service substitut : Fax, Courier express, Poste

Page 83: 00 EDI 2012 2013

83

Quelques outils de travail

Editeur Outil Support

Tibco Turbo XML DTD, XSL, XQuery

Schéma

Altova XMLSpy DTD, Schéma XSL, XQuery

SyncRO Ltd. Oxygen DTD, Schéma XSL, XQuery

Data Junction XML Junction Schéma

Insight Soft. XMLMate DTD, Schéma,

XSL, XPath

XML Mind XMLMind Editor DTD, Schéma,

XSL, XPath

Page 84: 00 EDI 2012 2013

84

Stylus Studio

� Editeur graphique de XML et schéma

� XQuery requête, edition, debaugage et profilage

� Interrogation et mise à jour de BD relationnelles

� Support de XPath 2.0

� Editeur et moteur XSLT

� Composeur d’appel de Web service

Page 85: 00 EDI 2012 2013

85

Atelier 4� Soit la DTD annuaire suivante, à saisir soit par Bloc-notes, soit

avec Stylus:

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><!ELEMENT annnuaire (personne*)><!ELEMENT personne (nom,prenom,email+)><!ATTLIST personne type (étudiant | professeur | chanteur | musicien) "étudiant"><!ELEMENT nom (#PCDATA)><!ELEMENT prenom (#PCDATA)><!ELEMENT email (#PCDATA)>

� Installer le logiciel Stylus Studio 2011

� Ouvrir la dtd

� Puis ouvrir document Wizards

� Ajouter (par dtd ou par xsd) date de naissance et mentionner qu’elle est de type date et non string

… et manipuler le dtd

annuaire.dtd

Page 86: 00 EDI 2012 2013

86

Page 87: 00 EDI 2012 2013

87

Oxygen

� Editeur XML textuel et arborescent

� Editeur XSLT 2.0, validation, transformation, debogage, moteurs variés (Xalan, Saxon, XSLTProc, MSXML,…)

� Editeur XQuery, débogueur, moteur doc.

� Editeur et validateur XML Schema (diagramme), Relax NG (diagramme), NRL, DTD, Schematron.

� Moteur de validation multiples: Xerces, XSV, LIBXML, MSXML, MSXML.NET, Saxon, SQC

� XML Diff et Merge.

Page 88: 00 EDI 2012 2013

88

Principaux poduits de Altova� Altova XMLSpy ® 2006 is the industry standard XML development environment for

modeling, editing, debugging and transforming all XML technologies, then automatically generating runtime code in multiple programming languages.

� Altova MapForce ® 2006 is the premier data mapping and Web services implementation tool with the power to integrate any combination of XML, database, text, and/or EDI files, and build Web services by mapping between WSDL operations.

� Altova StyleVision ® 2005 is the ultimate electronic forms, database report, and stylesheet designer for transforming XML and database content into HTML, PDF and Word/RTF output. StyleVision supports XSLT 1.0/2.0, XSL:FO, and all major database

� Altova UModel ® 2006 is the starting point for successful software development. Visually design application models and generate Java or C# code, or reverse engineer existing programs into UML 2.1 diagrams. It is the simple, cost-effective way to draw on UML.

� Altova DiffDog ® 2005 is the dedicated differencing utility for developers and power users. This easy, powerful synchronization tool quickly compares files and folders then highlights differences and merges content via an elegant GU

� Altova Authentic ® 2005 is a FREE content editor that allows non-technical users to modify content in XML documents and databases. Just fill in electronic forms using the intuitive, word-processor style interface, and your data is instantly updated.

Page 89: 00 EDI 2012 2013

89

Bilan DTD, Schéma, IDE

� Les DTD définissent la grammaire des documents

� Elles sont de plus en plus souvent remplacées par des schémas

� Le standard est un peu complexe (Relax) mais suivi

� Un IDE est indispensable

� Et de moins en moins gratuit …

� Questions ?

Schema

Page 90: 00 EDI 2012 2013

90

Atelier� Créer un XML

� Puis effectuer sa conversion en EDI

� Créer un EDI

� Puis effectuer sa conversion en XML

Utiliser l’un des logiciels fournis sur le CD

Page 91: 00 EDI 2012 2013

91

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 92: 00 EDI 2012 2013

92

Les types de documents normatifs

� Accords techniques, Guides de bonne pratique

� Fascicules de documentation

� Normes expérimentales

� Normes définitives

� Sources des normes

� Normes nationales

� International Standard Organisation

� Comité Européen de Normalisation

� …

� Consortiums

� Standards de fait

Page 93: 00 EDI 2012 2013

93

Utilisation des normes

� Facilite les échanges

� suppression entraves techniques

� Clarifie les transactions

� Complément d’une réglementation

� Garantie de la conception d’un produit

� Normes d’essai

� Sécurité des installateurs et utilisateurs

� Référence pour une certification

� Certification privée

� Certification obligatoire

� Référence pour les marchés publics

� Décision d’un acheteur

Page 94: 00 EDI 2012 2013

94

Intérêt de l’utilisation des normes

� Solutions éprouvées

� Gain de temps et d’argent pour le développement

� Interopérabilité plus facile

� Marché plus large

� Baisse des coûts

� Les fournisseurs veillent à être conformes aux normes lorsqu’elles existent

� Pérennité plus grande

� Attention !

� Il peut y avoir des solutions propriétaires normalisées

� L’interopérabilité doit être vérifiée

Page 95: 00 EDI 2012 2013

95

Consortium International :• UN / CEFACT• OASIS Organisation for Advancement of Structured Inf ormation Standards (Internet world W3C)

Démarrage du projet en Sept 1999

Objectif : definir les specifications pour des échang es basés sur

Standardisation basé sur les acquis EDIFACT

Page 96: 00 EDI 2012 2013

96

• Data model based on Core Components• Business Process models• Methodology: UMM / UML• Deliverables of UN/CEFACT TBG « Technology neutral »

- BRS Business Requirements Specifications- RSM Requirements Specifications Mapping

ebXML technical architecture• New concepts:

- CPP Collaboration Partner Profile- CPA Collaboartion Profile Agreement

ebxml semantic contents ( business view)

Page 97: 00 EDI 2012 2013

97

� June 2004 ( from OASIS )

ISO/TS 15000-1 ebCPP ebXML Collaborative Partner Profile AgreementISO/TS 15000-2 ebMS ebXML Messaging Service SpecificationISO/TS 15000-3 ebRIM ebXML Registry Information ModelISO/TS 15000-4 ebRS ebXML Registry Services Specification

� October 2004 ( from UN/CEFACT )

ISO TS 15000-5 CCTS v2.01 ebXML Core Components Technical Specifications

� Reminder existing EDI Standards: ISO 7372 TDED Data Elements Directory and ISO 9735 EDIFACT Syntax Rules

ebXML specifications published by ISO TC 154

Page 98: 00 EDI 2012 2013

98

ebXML architecture concept

Company B

Company A

4.Construct Collaboration ProfileebXMLRegistry

5.Understand the Registry

6. Register the Profile

10.Select Transport11.Trade

9.Make Agreement

(12.Security)

1.ebXML Adoption

Specs

Processes

2.Define Business Process

3.Define Business Semantics

Core Components

7.Find Partner8.Exchange Profile

Page 99: 00 EDI 2012 2013

99

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 100: 00 EDI 2012 2013

100

Echange de Données Informatisées

� Les standards :

� Privés

� Communs à un secteur d'activité au niveau national, voire international

Page 101: 00 EDI 2012 2013

101

Echange de Données Informatisées

� EDIFACT (Electronic Data Interchange for Administration, Commerce and Transport)

� Norme Internationale

� Maintenue et coordonnée par le CEFACTCentre pour la facilitation des procédures et pratiques dans l'Administration, le Commerce et le Transport

� Définie une syntaxe et le contenu pour les messages EDI

Page 102: 00 EDI 2012 2013

102

Secteurs d’utilisation et normes

� Adaptation d'EDIFACT par les organismes de normalisation nationaux et sectoriels :

� Au Maroc

� ETEBAC & SIMT : Banque

� Badr : Direction des Douanes

� En France:

� GENCOD : Grande Distribution

� INOVERT : Transports

� ODETTE : Automobile

� ETEBAC : Banque

� EDI-TDFC : Direction Générale des Impots

Page 103: 00 EDI 2012 2013

103

Autres normes EDI

� La publicité “EDI PUBLICITE”

� Le bâtiment “EDIBATEC”

� La pharmaceutique “EDIPHARM”

� Le textile “EDITEX”

� L’automobile “GALIA”

� La santé “EDISANTE”

� Le sport “EDISPORT”

Page 104: 00 EDI 2012 2013

104

Echange de Données Informatisées

� La gestion, l'envoi et la réception des messages EDI nécessite un ensemble de modules :

� Logiciel de Conversion et Traducteur permettant de passer les données de l'application interne à l'entreprise au format des messages EDI

� Le Traducteur remplit aussi la fonction communication

� Un logiciel de Gestion permet d'exploiter les fichiers, le contrôle et l'audit

Page 105: 00 EDI 2012 2013

105

Déclaration Automatisée des données fiscales

� Les partenaires EDI :� Prennent en charge les opérations techniques du transfert

� Doivent être habilités par l’entité de normalisation EN

� Leurs rôles :� Développer des logiciels attestés par la EN

� Collecter les données Comptables et Fiscales

� Assurer la conformité des données

� Transmettre les données au Centre de Services Informatiques

� Opérer le retraitement des données rejetées par le EN

� Mettre en œuvre la procédure de sécurisation des données

Page 106: 00 EDI 2012 2013

106

Déclaration Automatisée des données fiscales

� Sécurisation des données EDI :

� Intégrité et non-répudiation :Assurés par une Signature ElectroniqueProtocole ETEBAC 5La DGI est autorité de Certification

� Authentification de l'émetteur :La DGI délivre des cartes à mémoire (certificats)contenant les éléments d'identification propre à l'émetteur

Page 107: 00 EDI 2012 2013

107

Déclaration Automatisée des données fiscales

� TéléTVA : en cours d’implémentation

� Obligatoire pour les entreprises dont le CA dépasse un seuil

� Deux procédures possibles :

� EDI (Norme EDIFACT) destinée en priorité aux professionnels tels que les cabinets d'expertises

� EFI destinée aux entreprises et permettant d'effectuer une saisie en ligne via le site internet de la DGI

Page 108: 00 EDI 2012 2013

108

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 109: 00 EDI 2012 2013

109

Stéréotype du S.I. non intégré

Modèle «spaghettis» (Gartner Group)

Page 110: 00 EDI 2012 2013

110

ERP Intentia Movex Achats/Vente/GPAO

AS/400

DatawarehouseWindows

Application table de correspondance

SuiviAccess/Windows

Application SofieNégoce/Achat/Vente

Spécifique sous AS/400

AnaelComptabilité

AS/400 Contrôle des factures

Portail CRMHabilitation/Produit/Transport

J2EE/Websphere

EDIFax,FTP, Email, XML

DEX

Clients, fournisseurs, partenaires factures

1) Inter-applicatifs interne + DWH

2) Interconnexion Portail CRM

3) Échange B2B

PAB Arcelor ConstructionPAB Arcelor Construction

Intégration généralisée

Page 111: 00 EDI 2012 2013

111

Sun SOLARISARIBA

Serveur WebChargement ARIBAinitial depuis Excel, fichiers texte et XML

Intégration place de marché amont et aval

� Séliance (filiale Crédit Lyonnais)

InternetCommandes

des clients sur le Web

Sun SOLARISOracle Appli.

Back-Office

Windows 2000Server

Serveur d’échanges

XML Oracle

Eurofactor

Partenaire externe

Dialogue B2B Eurofactor via fichiers EDI compressés

EDI

Email

ZIP

Intégration Front-Office – Back-Office et échanges B2B en EDI Intégration Front-Office – Back-Office et échanges B2B en EDI

Page 112: 00 EDI 2012 2013

112

Brand Owner

Regional Sales

Supplier

Supplier

Manufacturer

DistributorDistributor

Retailer

Track and TraceCommerce Hubs

Supply Chain Execution Including Transportation & Warehousing

Sales & Operations

Supply Chain Collaboration

Essential Support Processes

Collaboration Business to Business(B2B)

Microsoft 2010

Page 113: 00 EDI 2012 2013

113

B2B – la vague électroniqueElectronic B2B projects are typically associated with electronic exchange of business transactions between trading partners

• Governed by standards. X12, UN-EDIFACT, TRADACOM, ODETTE, VDA, HIPAA, SWIFT, ebXML, xCBL, cXML, RosettaNet, PIDX, CIDX, etc

EDI Based Procurement Sample

Page 114: 00 EDI 2012 2013

114

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 115: 00 EDI 2012 2013

115

EDI

e-commerce

e-business

Affaires électroniques

Commerce électronique

Echange de données informatisé

Utilisant des normes techniques internationalesde référence.

EDIFACTXML…

Englobe l’ensemble des échanges et repose surla connexion électronique de tous les acteurs:du fournisseur initial au client final.

Ensemble de transactions électroniqueseffectuées sur des réseaux électroniques.

Couches de base

Page 116: 00 EDI 2012 2013

116

Relation bancaire� Normalisation des numéros de comptes

� IBAN

� Élargissement du champ d’application de la Directive 2560/2001 : à partir du1er janvier 2006, les virements internationaux jusqu’à EUR 50 000 effectuésde manière électronique et comportant l’indication de l’IBAN et du BICdevront être facturés au tarif domestique.

� Nécessité de disposer d’une base fournisseurs comportant IBAN et BIC

� En l’absence d’obligation formelle, les IBAN voire les BIC ne sont passystématiquement indiqués sur les factures

� Portabilité des Numéros

� Dans le cadre de l’harmonisation européenne il est envisagé de mettre enplace une portabilité des numéros de comptes en banque (sur le modèle dece qui est fait en téléphonie). Si cela aboutissait, les méthodes actuelles decontrôle des domiciliations, de suivi des opérations de paiement, seraiententièrement à revoir. Par ailleurs, le coût de mise en place d’une tellemesure devrait être répercuté quelque part…

� De nombreuses questions en suspend : utilisation, implémentation,…

Page 117: 00 EDI 2012 2013

117

SWIFT - DéfinitionSWIFT (Society for Worldwide Interbank FinancialTelecommunication) est une société coopérative de droitbelge, basée à La Hulpe près de Bruxelles, détenue etcontrôlée par ses adhérents parmi lesquels se trouvent lesplus grosses banques mondiales.Fondée en 1973, elle a ouvert un réseau opérationnel demême nom en 1977.

S’oppose à ETEBAC d’EDIFACT

Evolution: � 1977 : Mise en place du réseau SWIFT pour remplacer le

réseau Télex, Basé sur le protocole BSC d’IBM (BinarySynchronous Communications)

� 1991 : Migration vers le réseau SWIFTII en X25.� 2004 : Appliqué au réseau IP avec SWIFTNet.

Page 118: 00 EDI 2012 2013

118

SWIFT

� SWIFT est aujourd’hui chargé de la maintenance des messagesEDIFACT, ce qui assure une relative convergence des standardsinternationaux.

� SWIFT a complété sa gamme de standards XML et offre lastructure des virements, du Direct Debit, de l’extrait de compteenrichi….

� Suivi du process de normalisation ISO 20022.� Il faut encore que les standards qui sortiront satisfassent aux

besoins des utilisateurs� Il faut encore que ces standards soient adoptés de sorte à ce que

l’on saisisse l’opportunité qui nous est offerte : adoptionconsensuelle par les institutions européennes, par les banques etpar les éditeurs

Page 119: 00 EDI 2012 2013

119

Echange � Echange

� Entre les « clients » des systèmes de paiement : banques,entreprises, consommateurs et commerçants

� Des Clearing locaux (système de compensation),� au Maroc : SIMT� En France : ETEBAC5 ?

� Gestion des délais de rejets sur les prélèvements qui seraient portés à trois mois?

� Identification unique de la personne débitée ?

Page 120: 00 EDI 2012 2013

120

SWIFT - Avantages / inconvénients

Avantages Inconvénients

• Réseau mondial.

• Informations chiffrées.

• Assure la non répudiation des échanges.

• Format propriétaire.

• TOUTES les transactions sont transmises à la CIA.

Page 121: 00 EDI 2012 2013

121

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers

Page 122: 00 EDI 2012 2013

122

Cadre juridique: Droit informatique

� Le droit informatique est l’ensemble des normes juridiques applicables au domaine informatique.

� Caractéristiques:

� Évolutivité,

� Diversité des sources juridiques,

� Non homogénéité,

� Influence internationale,

� Suivi des enjeux financiers.

� Nécessité du respect le droit d’auteur et les libertés individuelles.

Page 123: 00 EDI 2012 2013

123

Sources marocaines

� Loi n° 53-05 relative à l'échange électronique de données juridiques

� Loi n° 09-08 relative à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel

� Décret n°2-08-444 du 25 joumada I 1430 (21 mai 2009) instituant un Conseil national des technologies de l'information et de l'économie numérique

� Décret n°2-08-518 du 25 joumada I 1430 (21 mai 2009) pris pour l'application des articles 13, 14, 15, 21 et 23 de la loi n° 53-05 relative à l'échange électronique des donnés juridiques

� Décret n°2-09-165 du 25 joumada I 1430 (21 mai 2009) pris pour l'application de la loi n° 09-08 relative à la protection des personnes physiques à l'égard des traitements des données à caractère personnel

Page 124: 00 EDI 2012 2013

124

Sources de la communauté européenne

� Directive de 1987 sur les semiconducteurs

� Directive de 1991 sur les programmes d’ordinateur

� Directive de 1995 sur les données personnelles

� Directives de 1996 sur les bases de données

� Directives de 1999 sur les signatures electroniques

� Directive du 8 juin 2000 sur le commerce international

� Directive du 22 mai 2001 sur le droit d'auteur

� Directive du 29 avril 2004 sur le respect des droits de propriétéintellectuelle

Page 125: 00 EDI 2012 2013

125

Sources françaises

� Loi du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique LEN

� Loi du 1er août 2006 relative au droit d'auteur DADVSI

� Le code de la propriété intellectuelle

� Le code civil pour les contrats et la responsabilité juridique

� Le code penal pour les infractions et la cybercriminalité

� Loi sur la diffusion et protection de la création sur internet nov2008

DADVSI: droit d’auteur et aux droits voisins dans l a société de l’informationLEN: Loi de l’Economie Numérique

Page 126: 00 EDI 2012 2013

126

Signature électronique� Un bref rappel s'impose, le texte ayant été largement commenté lors de

son adoption et depuis lors.« Lorsqu'elle est électronique, (la signature) consiste en l'usage d'un procédé fiable d'identification garantissant son lien avec l'acte auquel elle s'attache. La fiabilité de ce procédé est présumée, jusqu'à preuve contraire, lorsque la signature électronique est créée, l'identité du signataire assurée et l'intégrité de l'acte garantie, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'État. » (Code civil art.1316-4).

� Le décret d'application du 30 mars 2001 instaure une signature électronique sécurisée .La loi française de transposition de la directive de 1999 sur les signatures électroniques a donc mis en place un cadre juridique totalement dépendant de la technique utilisée.

� Le décret du 30 mars 2001 sera finalement complété par un décret du 18 avril 2002, qui met en place tout un système reposant sur le « certificat électronique » : soit un document sous forme électronique attestant du lien entre les données de vérification de signature électronique et un signataire.

Page 127: 00 EDI 2012 2013

127

Sécurité – Cryptographie asymétrique

Page 128: 00 EDI 2012 2013

128

Intérêt de l’EDI- Exemple : la logistique

� La logistique électronique

� Importance stratégique

� Doit répondre à 3 questions:

1. Où est ma commande ?

2. Est-ce que je peux la modifier ?

3. Quand va-t-on me l’expédier ?

Page 129: 00 EDI 2012 2013

129

Les implications juridiques

� La loi de la signature électronique

� Condition à l’international

� La politique de confidentialité

Page 130: 00 EDI 2012 2013

130

Plan du cours1. Définition de l’EDI

2. Les différents standards

3. Les normes EDIFACT

4. Architecture d’un système EDI

Fonctions de traduction

L’intégration des données

5. Logique et la technologie d’échanges d’information avec la banque

6. Aspects administratifs et juridiques

télédéclaration & dématérialisation

7. Ateliers