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1 1. La responsabilité d’un auditeur interne n’est pas : a) de déterminer les activités les plus sensibles à la fraude b) d’évaluer l’environnement de contrôle de l’organisation c) d’assurer qu’il n’y aura aucune fraude d) d’évaluer l’efficacité des mesures prises par la direction pour détecter les fraudes 2. L'exposition au risque est: a) inacceptable b) la combinaison de l'impact et de la probabilité de survenance d'un risque c) parfois acceptable d) toujours acceptable, dès lors que sa probabilité est connue 3. Quand un auditeur est-il responsable de la détection d’une fraude ? a) Lorsque la fraude ne résulte pas d’une collusion b) Lorsqu’il est probable que des tiers s’en remettront aux états financiers de l’entreprise c) Lorsque l’auditeur juge inadéquat le système de contrôle interne de l’entreprise d) Lorsque l’application de normes d’audit généralement reconnues aurait permis de découvrir la fraude 4. Pour être suffisants et acceptables, les éléments probants d'un audit doivent: a) être signés par l'auditeur en charge de la mission; b) s'appuyer sur une documentation suffisante et faire l'objet de références croisées dans les documents de travail; c) être assez convaincants pour que l'audité soit d'accord avec l'auditeur; d) être directement liés à la constatation de l'auditeur et inclure tous les éléments de celle-ci. 5. Dans un échantillon aléatoire de 1.000 enregistrements comptables, un auditeur externe relève une fréquence d’erreur de 2%. Il peut donc déclarer que le taux d’erreur de la population : a) ne dépasse pas 3% b) n’est pas inférieur à 2% c) se situe probablement aux environs de 2% d) n’est pas inférieur à 1% 6. Le coût des matières premières diminue régulièrement depuis un an. Toutes choses égales par ailleurs, la méthode d’évaluation des stocks de matières premières qui minimisera le bénéfice net sera celle du : a) coût moyen pondéré b) prochain entré – premier sorti (next in – first out, NIFO) c) premier entré – premier sorti (first in – first out, FIFO) d) dernier entré – premier sorti (last in – first out, LIFO)

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1. La responsabilité d’un auditeur interne n’est pas :

a) de déterminer les activités les plus sensibles à la fraudeb) d’évaluer l’environnement de contrôle de l’organisationc) d’assurer qu’il n’y aura aucune frauded) d’évaluer l’efficacité des mesures prises par la direction pour détecter

les fraudes

2. L'exposition au risque est:

a) inacceptableb) la combinaison de l'impact et de la probabilité de survenance d'un risquec) parfois acceptabled) toujours acceptable, dès lors que sa probabilité est connue

3. Quand un auditeur est-il responsable de la détection d’une fraude ?

a) Lorsque la fraude ne résulte pas d’une collusionb) Lorsqu’il est probable que des tiers s’en remettront aux états financiers

de l’entreprisec) Lorsque l’auditeur juge inadéquat le système de contrôle interne de

l’entreprised) Lorsque l’application de normes d’audit généralement reconnues aurait

permis de découvrir la fraude

4. Pour être suffisants et acceptables, les éléments probants d'un audit doivent:

a) être signés par l'auditeur en charge de la mission;b) s'appuyer sur une documentation suffisante et faire l'objet de références

croisées dans les documents de travail;c) être assez convaincants pour que l'audité soit d'accord avec l'auditeur;d) être directement liés à la constatation de l'auditeur et inclure tous les

éléments de celle-ci.

5. Dans un échantillon aléatoire de 1.000 enregistrements comptables, unauditeur externe relève une fréquence d’erreur de 2%. Il peut donc déclarerque le taux d’erreur de la population :

a) ne dépasse pas 3%b) n’est pas inférieur à 2%c) se situe probablement aux environs de 2%d) n’est pas inférieur à 1%

6. Le coût des matières premières diminue régulièrement depuis un an. Touteschoses égales par ailleurs, la méthode d’évaluation des stocks de matièrespremières qui minimisera le bénéfice net sera celle du :

a) coût moyen pondéréb) prochain entré – premier sorti (next in – first out, NIFO)c) premier entré – premier sorti (first in – first out, FIFO)d) dernier entré – premier sorti (last in – first out, LIFO)

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7. Pour contrôler correctement l’accès aux fichiers comptables d’une base dedonnées, l’administrateur de cette base devrait s’assurer que le systèmecomporte des caractéristiques permettant :

a) l’accès, pour consultation seulement, aux fichiers de la base dedonnées

b) la mise à jour à partir d’utilitaires spécifiquesc) l’accès aux vues logiques autorisées exclusivementd) la mise à jour par les utilisateurs de leurs profils d’accès

8. Les contrôles internes sont destinés à fournir une assurance raisonnable que:

a) les erreurs et fraudes significatives commises par le personnel serontprévenues et détectées et qu'il y sera remédié

b) le personnel ne contrecarre pas délibérément les plans de la directionc) le service d'audit interne atteint ses objectifs avec économie et

efficience

d) les plans de la direction, les processus et les activités de contrôle sontévalués

9. Laquelle des procédures présentées ci-après est une procédure de contrôleinterne propre à empêcher qu’un ordre de paiement déjà exécuté ne soitprésenté une deuxième fois ?

a) Les chèques non signés doivent être préparés par les personnes quisont chargées de les signer

b) Les ordres de paiement doivent être approuvés par au moins deuxmembres de la direction habilités à cet effet

c) La date mentionnée sur l’ordre de paiement ne doit pas différer de plusde quelques jours de la date à laquelle il est présenté pour exécution

d) La personne qui signe le chèque doit le comparer avec l’ordre depaiement et elle doit invalider ce dernier

10. La gestion des risques concerne:

a) la gestion des crisesb) la gestion de l'assainissementc) la gestion des risques aux niveaux supérieurs du cycle de vie d'une

activitéd) l'investissement dans l'avenir

11. La responsabilité première de la mise en place et de la mise en œuvre descontrôles internes incombe :

a) à l’auditeur interne sous la surveillance du comité de suivi des audits(« audit committee »)

b) aux auditeurs interne et externec) au responsable du service financier, sous la surveillance de l’auditeur

interned) à la direction

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12. En comptabilité, un coût est généralement défini comme une mesuremonétaire du sacrifice économique consenti pour obtenir un produit ou unservice. La plupart des entreprises disposent de systèmes qui enregistrent lescoûts réels, les classent dans des catégories déterminées avant d'affecterpériodiquement leur montant cumulé aux différents procédés et activités donton mesure la performance, puis au produit ou au service qui en résulte. Au fildu temps, la complexité croissante et la diversification de l'activitééconomique ont fait apparaître une multitude de coûts, tels que: coûtsbudgétés, coûts standard, coûts historiques et coûts réels, coûts deremplacement, coût d'opportunité, coûts irrécupérables, coûts communs, coûtsfixes, coûts variables, coût marginal, coûts pertinents, coûts directs, coûtsindirects, coûts semi-variables.

Laquelle des affirmations qui suivent est-elle la plus exacte?

a) aucun des coûts énumérés ci-dessus n'est utile à la gestion des dépensesdes Communautés européennes

b) certains des coûts énumérés ci-dessus sont économiques et ne sont doncpas utilisés en comptabilité

c) tous les coûts énumérés ci-dessus existentd) seuls certains des coûts énumérés ci-dessus existent

13. Dans le cadre d’une comptabilité patrimoniale, lequel parmi les éléments ci-après ne devrait pas être pris en compte comme une charge de l’année N :

a) l’achat de marchandises livrées en N, mais payées en N+1b) une prime d’assurance couvrant l’année N, mais qui a été payée en N-1c) les honoraires d’avocat payés en N, mais correspondant à un service

fourni en N-1d) les honoraires, payés en N, d’auditeurs ayant effectué un contrôle

diligent en N.

14. Parmi les énoncés ci-après, lequel correspond à une situation n’ayantnormalement aucune incidence directe sur le rendement du capital investi(« return of investment ») ?

a) Une réduction de 50% de la marge bénéficiaire pour lesproduits/services fournis par l’entreprise

b) L’utilisation des coûts historiques plutôt que des coûts actuels pourl’évaluation des éléments d’actif

c) Une baisse, du même montant monétaire, des ventes et du coût desproduits vendus

d) Une augmentation, dans la même proportion, des ventes et des chargesd’exploitation

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15. Le trésorier exécute des paiements, est autorisé à signer des chèques eteffectue le rapprochement entre les relevés bancaires et la comptabilité. Enmatière de contrôle de cette activité, quelle conclusion convient-il de tirer ?

a) Le contrôle interne sera amélioré dans la mesure où ces tâchesincombent au trésorier

b) Le trésorier pourra faire et dissimuler des paiements sans autorisationc) Le trésorier aura la possibilité de procéder sans autorisation à des

ajustements du compte caissed) Les contrôles seront améliorés du fait que le trésorier aura deux

possibilités d’identifier les paiements inclus.

16. Dans un budget public, le principe de spécialité signifie que

a) chaque dotation budgétaire a un objectif spécifiqueb) chaque dépense s’appuye sur une base réglementaire spécifiquec) chaque service dispose d’une dotation spéciale assurant son autonomied) chaque recette est affectée à un ou plusieurs types de dépenses

spécifiques

17. Il existe différentes méthodes d’amortissement des immobilisations. Laquelledes méthodes citées ci-après produit un taux d’amortissement qui croîtd’année en année ?

a) la méthode de l’amortissement à intérêts composésb) la méthode de l’amortissement linéairec) la méthode de l’amortissement dégressifd) la méthode de l’amortissement proportionnel à l’ordre numérique

inversé des années

18. Les transactions effectuées entre la date de lancement et la date de règlementd’une nouvelle émission obligatoire sont effectuées sur

a) le marché monétaireb) le marché primairec) le marché secondaired) le marché de devises

19. En vertu du principe de non-contraction

a) les dépenses et les recettes sont inscrites pour leur montant intégral aubudget

b) le budget est établi sur des bases approximatives, sans chiffres exactsde dépenses ou de recettes

c) chaque dépense est déduite de la recette correspondante, de sorte queseule la différence apparaît au budget

d) les agences et autres organismes publics se voient attribuer un budgetcadre, dans les limites duquel ils affectent librement leurs créditsbudgétaires.

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20. Le principe de la séparation des pouvoirs entre l’ordonnateur, le comptable etle contrôleur financier veut que :

a) les opérations de recouvrement et de paiement ne soient pas effectuéespar le comptable

b) seul l’ordonnateur soit habilité à engager des dépensesc) le contrôleur financer ne soit pas habilité à inspecter les documents

comptablesd) les services opérationnels ne soient pas habilités à prendre des

décisions d’achat

21. En quoi réside la différence entre l’analyse coût-efficacité et l’analyse coût-bénéfice ?

a) Dans l’analyse coût-bénéfice, l’impact du programme évalué estmesuré en unités non monétaires, alors que dans l’analyse coût-efficacité, il se mesure en unités monétaires

b) L’analyse coût-efficacité ne peut être réalisée que par des expertsexternes indépendants, tandis que l’analyse coût-bénéfice peut êtreeffectuée également par les gestionnaires du programme

c) L’analyse coût-efficacité est pratiquée essentiellement par desentreprises privées, tandis que l’analyse coût-bénéfice est unetechnique utilisée dans le secteur public

d) Dans l’analyse coût-bénéfice, l’impact du programme évalué estmesuré en unités monétaires, tandis que dans l’analyse coût-efficacité,il se mesure en unités non monétaires.

22. Lequel des postes suivants ne rentre pas dans le calcul du ratio de liquidité ausens strict ?

a) valeurs à court termeb) valeurs disponiblesc) stocksd) dettes à court terme

23. Laquelle des formules suivantes est correcte ?

a) fonds de roulement = Actifs circulants moins Dettes à long termeb) fonds de roulement = Actifs fixes moins Dettes à long termec) fonds de roulement = Actifs circulants moins Dettes à court termed) fonds de roulement = Capitaux propres moins Valeurs disponibles

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24. Pour protéger les intérêts financiers de l’union européenne, la Commissioneuropéenne doit s’assurer de la solvabilité des candidats à une subvention.Laquelle des mesures ci-dessous offre-t-elle la meilleure protection ?

a) La Commission européenne exige une garantie bancaire équivalente àtout ou partie de la subvention sollicitée

b) le candidat présente un rapport d’audit établi dans les deux ans quiprécèdent par une société d’expertise comptable agréée

c) la Commission vérifie la solvabilité du candidat en consultant desbases de données externes

d) le candidat accompagne sa demande de subvention d’un exemplaire deses comptes annuel

25. Lequel de ces comptes n’est pas un compte de charge ou de produit mais uncompte de bilan ?

a) dotation aux provisions pour dépréciation financière du compte clientsb) TVA à récupérerc) revenu des titres de placementd) entretien et réparations

Pour répondre aux questions 26 à 29, les informations ci-après serontnécessaires.

European Solutions (ES) est une société à responsabilité limitée dont les actions nesont pas négociées à grande échelle. Vous avez été sollicité, en qualité de consultantfinancier, pour conseiller un acquéreur potentiel qui souhaite reprendre toutes lesactivités de ES. Une analyse des médias financiers révèle que des sociétéscomparables opérant dans le même secteur versent un dividende de 20 %, affichent unratio cours/bénéfice de 14 ainsi qu'un rendement boursier de 4 %.Vos mandants vous ont aussi fourni les critères d'évaluation suivants:

- rendement minimum exigé sur actif corporel net: 10 %,- rendement minimum exigé sur actif incorporel: 15%,- la survaleur (goodwill) doit être évaluée sur la base d'un taux de

capitalisation de 12,5 %, reposant sur la valeur actualisée nette du bénéficenet futur pour les 5 prochaines années. Pour vos calculs, utilisez desmoyennes annuelles.

Vous disposez des informations financières suivantes concernant ES:

Exercice Bénéfice net Revenu desplacements

Dividende brut

2000 250 000 euros 20 000 euros 50 000 euros

La valeur actualisée nette du bénéfice net futur est estimée à 300 000 euros par an enmoyenne. La valeur actualisée nette du produit futur des placements devrait s'élever à25 000 euros en moyenne.Le dernier bilan connu de ES concerne l'exercice 2000.

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euros euros euros eurosCapitaux propres - Actions ordinaires intégralement libérées, valeur nom inale 1 euro 1 000 000

Immobilisations corporelles nettes au coût historique 1 230 000

Réserves Placem ents 120 000Réserve générale 250 000Résultat reporté* 150 000 400 000Passif à court terme Actif à court term eFournisseurs 40 000 Stocks 70 000Impôt sur les sociétés 60 000 Clients 60 000

100 000 Caisse/Banque 20 000 150 000

1 500 000 1 500 000

Les immobilisations sont réévaluées à 1 400 000 euros, la valeur des stocks estramenée à 20 000 euros et les placements sont réévalués à 150 000 euros. La valeurdu passif à court terme reste celle affichée au bilan. L'amortissement cumulé surimmobilisations s'élève à 770 000 euros.

* Note : La perte reportée cumulée s’élève à 100 000 euros.

26. Sur la base de l'actif net, les actions de ES peuvent être évaluées à:

a) 1,40 eurob) 2,20 eurosc) 1,43 eurod) 1,55 euro

27. Sur la base du ratio bénéfice/cours (earnings yield), les actions de ES peuventêtre évaluées à:

a) 3,78 eurosb) 4,55 eurosc) 4,48 eurosd) 4,62 euros

28. Sur la base du rendement boursier (dividend yield), les actions de ES peuventêtre évaluées à:

a) 5,00 eurosb) 1,25 euroc) 3,50 eurosd) 4,20 euros

29. Sur la base de l'actif net et de la survaleur, les actions de ES peuvent êtreévaluées à:

a) 2,76 eurosb) 2,91 eurosc) 1,80 eurod) 1,95 euro

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30. L’acronyme IBAN correspond à :

a) un réseau de transmission d’informations bancairesb) un numéro de compte formaté selon des standards internationauxc) un système électronique d’accès à des informations bancairesd) un réseau standardisé d’informations comptables

31. Le grand livre est le document comptable :

a) où l’on consigne, par ordre chronologique, les écritures relatives auxdifférentes transactions

b) où l’on enregistre les données économiques brutes de chaquetransaction

c) qui contient un compte distinct pour chaque élément de l’actif, dupassif et des capitaux propres

d) qui individualise les effets économiques de chaque transaction.

32. Lesquelles des affirmations ci-après s'appliquent-elle aux états financiers desinstitutions des Communautés européennes?

32.1 les quatre principes comptables de base (continuité de l'exploitation,permanence des méthodes, comptabilité d'exercice, prudence) sont appliqués dansl'élaboration des états financiers32.2 les états financiers de la Commission sont élaborés selon la méthode lacomptabilité de caisse32.3 les états financiers des Communautés européennes font apparaîtrel'exécution du budget, mais ils ne contiennent ni bilan ni compte de profits etpertes

a) 32.1 et 32.2b) 32.2 et 32.3c) 32.1, 32.2 et 32.3d) aucune des trois affirmations ne s'applique

33. Les actifs liquides d’une entreprise comprennent :

a) les stocks et les valeurs mobilièresb) les immeubles et les créancesc) les disponibilités et les valeurs mobilièresd) les disponibilités et les dettes à court terme

34. Quelle notion s’oppose à celle de « capital fixe » ?

a) le capital financierb) le capital circulantc) le capital constantd) le capital monétaire

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35. L’économie, l’efficience et l’efficacité sont les éléments du principe de labonne gestion financière. Quel est l’objectif visé par la notion d’efficience ?

a) le respect des échéancesb) l’atteinte des objectifs spécifiques fixés et l’obtention des résultats

escomptésc) pour la réalisation d’une activité spécifique, la disponibilité des

moyens dans les quantités et qualités appropriées et au meilleur prixd) le meilleur rapport entre les moyens mis en œuvre et les résultats

obtenus.

36. Une analyse « coût-avantages » apprécie une décision :

a) en fonction de la somme de tous ses effets positifs et négatifsb) en fonction de l’importance des objectifs recherchésc) sur la base de la possibilité pour une entreprise de recourir à l’emprunt,

compte tenu de sa structure financièred) sur la base de la capacité d’honorer rapidement les engagements

financiers

37. La distinction entre dépenses en capital (ou investissement) et dépenses (oucharges) d’exploitation est essentielle en comptabilité. Lequel des éléments ci-après ne constitue pas une dépense en capital :

a) achat d’une machine d’occasionb) entretien d’une machinec) dépenses de transport et d’installation d’un équipementd) peinture et cloisonnement de nouveaux bureaux

38. Dans le financement du budget communautaire, la ressource basée sur le PNBdes Etats membres :

a) a été réduite ces 10 dernières années, la ressource TVA ayantaugmenté

b) a été définie en pourcentage constant du PNB annuelc) constitue à présent la deuxième source de recettes du budget

communautaired) garantit toujours l’équilibre du budget communautaire

39. En vertu du principe de l’unité, énoncé dans le Traité et dans le règlementfinancier :

a) toutes les dépenses de la Communauté doivent être présentées dans undocument unique, sans la moindre exception

b) l’euro doit être la seule unité monétaire utilisée dans le budgetcommunautaire

c) toutes les recettes et toutes les dépenses doivent être présentées dansun document budgétaire unique, sans compensation entre recettes etdépenses

d) l’adoption du budget communautaire requiert l’unanimité entre leConseil et le Parlement

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40. Le rendement des capitaux propres (Return on Equity) est une mesurecourante de la performance d’une entreprise. Si le capital social d’une sociétéA passe de €400 000 au début de l’exercice à €600 000 à la fin de celui-ci etque le bénéfice de l’exercice se chiffre à €100 000, quel est le rendement descapitaux propres ?

a. 10%b. 60%c. 40%d. 20%