N° 8 JUIN 2011 DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : GÉNÉRAL LE GARREC

Capitaine AURENCHE Bernard

ÉCOLES MILITAIRES DE BOURGES

QUARTIER AUGER CARNOT 18000 BOURGES

EEMMBB AAccttuu LLAA PPAAGGEE DD’’IINNFFOORRMMAATTIIOONN MMEENNSSUUEELLLLEE DDEESS EECCOOLLEESS MMIILLIITTAAIIRREESS DDEE BBOOUURRGGEESS,,

PPÔÔLLEE DDEE RRÉÉRRÉÉRREENNCCEE DDEE LLAA LLOOGGIISSTTIIQQUUEE DDEE LL’’AARRMMÉÉEE DDEE TTEERRRREE

SOMMAIRE

Éditorial……………..……p.1 - Éditorial du Cne Aurenche L’école du Matériel……....p.2 - Exercice en série pour la B5 - Journée du souvenir du Matériel L’école du Train…………p.3 - La fête du Train - Destination Tlemcen Le Ruchard, un nouvel envol………………….... p.4-5 L’actu en bref ………….....p.6 -Le CFL en réunion aux USA -visite d’une délégation anglaise -Challenge cross Train Matériel

Réalisation et contact : LTN Ganz

Tél : 02 46 08 80 85 Intraterre :

oci@esam.terre.defense.gouv.fr

Deux ans déjà. Deux ans…. En effet, pour nous, les hommes du Ruchard, l’aventure des écoles militaires de Bourges commence en avril 2009, lorsque le général LE GARREC nous confie le transfert du monument aux morts de l’arme du train de Tours à Bourges. C’est un redoutable et immense honneur. C’est aussi une chance extraordinaire et d’autant plus inespérée qu’en 2008 on nous annonçait une nouvelle fois la fermeture du Ruchard. Survivant encore, nous allions prouver notre allant et notre unité. Tendus tous ensembles vers les mêmes objectifs : rallier Bourges, construire et nous faire adopter ! Constant, présent, infatigable au monument, le Ruchard s’attache tout de suite à l’école du matériel. A l’été, le monument est prêt. Nous sommes connus et reconnus. Ces derniers mois nous ont attiré la sympathie de tous. Une estime réciproque est née. Dans tous les domaines, les contacts sont pris. D’emblée, nous faisons tout naturellement partie des écoles militaires de Bourges. La confiance de nos nouveaux chefs nous est acquise. Nous allons pouvoir compter sur le soutien sans réserves des services de la DGAR des écoles et travailler sereinement pour les EMB dans le cadre de la formation des lieutenants et des sous-officiers, et soutenir les séjours de la CCS et des CIEC. Mais aussi, comme avant, accueillir toutes les unités qui auront besoin de nos capacités. Assurés d’un futur immédiat, nous pouvons nous détendre et préparer l’avenir. Notre désir, servir. Notre ambition, être utile. Notre pensée, prouver à tous que c’est une chance incroyable de nous avoir et qu’il faut nous garder. D’ailleurs, très rapidement, cette idée fait son chemin aux écoles militaires de Bourges. Pourtant, finalement, l’EMAT confie le Ruchard aux écoles militaires de Saumur pour servir avec le camp de Fontevraud en 2011. Dommage…. Mais qu’importe ! Ces deux dernières années auront permis au camp de poursuivre son aventure militaire. Maintenant, à Saumur. Avec nous, sinon d’autres. Le Ruchard vivra !

Le capitaine Bernard AURENCHE Chef du détachement du

camp du Ruchard

L’ECOLE DU MATERIELL’ECOLE DU MATERIELL’ECOLE DU MATERIELL’ECOLE DU MATERIEL KjKjKjKj KKKK La 5ème brigade de la division d’application de l’école du Matériel, à l’instar des deux autres brigades de la division, a réalisé un exercice au camp du Ruchard du 31 janvier au 3 février 2011, afin de s’entraîner à commander une Section Réparation Mobilité (SRM). En effet, après des cours théoriques dispensés aux écoles militaires de Bourges, forte de ses quatorze lieutenants, elle a mis en œuvre ses savoir-faire sur le terrain. Afin de rentabiliser notre déplacement, la première journée a été essentiellement consacrée au tir, pour permettre aux lieutenants de parfaire leur entraînement

dans ce domaine ainsi que de les préparer à leur future fonction de directeur de tir. C’est après cette mise en ambiance que l’effet majeur de ce terrain a pu commencer. Chaque journée s’est déroulée selon le même schéma, permettant simultanément, la mise en situation de commandement de six lieutenants. Après un ordre préparatoire diffusé la veille au soir, chaque lieutenant a préparé ses ordres pendant une bonne partie de la nuit en vue de commander tant d’un point vue tactique que technique la section qui lui a été confiée. Chaque phase, d’une durée d’environ six heures, a permis de tester les réactions du lieutenant ainsi que celles de sa section, sur plusieurs incidents. Alertes NBC, attaques commandos, interventions de medias, réfugiés, foules hostiles et MEDEVAC, en plus des interventions techniques étaient devenus le lot quotidien des lieutenants de la 5ème brigade. Tout ceci se rapprochant au plus près des situations qui peuvent être rencontrées en opération. Cette manœuvre a été rendue possible grâce aux partenariats de trois régiments du SMITer, avec une section des 6ème, 7ème et 8ème régiments du Matériel, ainsi que de leur chef de section en titre, stationnés respectivement à Besançon, Lyon et Mourmelon. Cet exercice s’est avéré indispensable aux lieutenants en application afin de leur permettre de mieux appréhender leur futur métier. En effet, le contact humain reste la clé du succès et ce type d’exercice nous montre une petite, mais indispensable, partie de la réalité du corps de troupe et des hommes à commander dans les mois à venir… Lieutenants De Moustier et Gibeau, Division d’application de l’école du Matériel

Depuis la fin d’année 2010, les lieutenants de la DA de l’école du Matériel, ainsi que de nombreuses formations du Matériel, peuvent profiter de l’expérience opérationnelle de leurs plus proches aînés, de jeunes capitaines stagiaires au CFCU (cours des futurs commandants d’unité) dont les témoignages en tant que chef de section maintenance en opération ont été rassemblés dans un recueil. Le commandant Léger explique cette initiative :

« Cette initiative fait suite à un constat : le métier de chef de section du Matériel est mal connu, particulièrement aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan. C'est en prenant connaissance des différents parcours des capitaines du CFCU que l'idée est venue de les faire connaître, pour qu'enfin la valeur du métier de chef de section de maintenance soit reconnue, ou tout au moins jugée sur les faits. Nous avons donc sélectionné un panel représentatif de capitaines, tous stagiaires au CFCU, au regard de leur spécialité et de leur expérience sur divers théâtres d'opérations. Ainsi nous découvrons un officier qui a vécu le conflit du Liban en 2006, un autre qui a armé un détachement de soutien dans le Helmand en 2010, ou encore un lieutenant embarqué pour quatre mois sur la mythique "Jeanne d'Arc", ici sur la photographie.

Nous avons voulu des témoignages personnels, assez succincts, non des comptes-rendus de fin de mission. Ce fut le plus difficile, que d'obliger ces

capitaines à se dévoiler, mais c'est essentiel pour transmettre cette passion du métier à des officiers-élèves ayant une connaissance partielle, voire partiale de notre arme. » Commandant Léger, Commandant le CFCU de l’école du Matériel Recueil disponible sur les sites intranet et internet des EMB : http://www.esam.terre.defense.gouv.fr/spip.php?article89 http://www.emb.terre.defense.gouv.fr/IMG/pdf/OPEX_MAI_temoignages-2.pdf

Exercices en série pour la B5

Les capitaines du CFCU témoignent

DSC03415.JPG (4 Mo)

jL’ECOLE DU TRAINL’ECOLE DU TRAINL’ECOLE DU TRAINL’ECOLE DU TRAIN KKKKjjjj KKKK

Cette année encore l’école du Train, maison mère et gardienne des traditions de l’Arme du Train a organisé les 25 et 26 mars, deux journées

exceptionnelles du souvenir de l’Arme du Train aux EMB. Pour ce 204ème anniversaire de création de l’Arme, tout était mis en œuvre pour offrir aux autorités et invités une fête d’Arme mémorable, qui a débuté le 25 mars avec notamment un concert de jazz donné par la musique des parachutistes. La journée du 26 mars a vu se dérouler un prestigieux programme : après une cérémonie d’hommage au monument aux morts du Train, a eu lieu le baptême d’une allée du quartier Auger-Carnot au nom du lieutenant Roimarmier, Tringlot mort pour la France lors de la bataille de Gennes-Saumur en 1940. Son fils, monsieur Philippe Roimarmier, était présent pour l’inauguration de la stèle en l’honneur de son père et percevoir l’hommage rendu par toutes les générations de Tringlots. Faisant suite à l’office religieux en la cathédrale de Bourges, la prise d’arme avait cette année un caractère spectaculaire avec plus de 300 militaires dans les rangs, ainsi que de nombreux engins militaires historiques et modernes exposés pour l’occasion sur la place d’armes. Les régiments et bataillons du Train étaient représentés par leur chef de corps et leur étendard. Cette fête d’Arme a permis également de réunir les généraux (2S) de l’Arme, afin de maintenir l’esprit de cohésion entre les générations de Tringlots. A l’issue, un défilé des troupes clôturait cette cérémonie, puis, clou du spectacle, cinq sauts en parachute ont été parfaitement effectués par le 1er RTP. Le poser sur la place d’armes des EMB a pu mettre en évidence la grande précision et le professionnalisme des cinq chuteurs. Une fête réussie, retraçant plus de 200 ans d’histoire et de traditions de l’Arme du Train.

Lieutenant GANZ, Officier communication information

Saut du 1er RTP sur la place d’armes

Une délégation française composée de 3 officiers a rendu visite à l’École d’Application des Transports et de la Circulation (EATC) de l’armée algérienne implantée à Tlemcen, du 13 au 16 mars 2011. Cette visite éclair mais complète de l’école s’est terminée par un exercice combinant le transport et la circulation routière. La délégation, composée du lieutenant-colonel LOYAU (EMB/ECOTRAIN), des lieutenants MARECHAL (517°RT en stage au CFCU) et PORCHER (chef de peloton de transport au 515°RT) a été encadrée en permanence et a pu apprécier un accueil et une attention exceptionnels durant les quatre jours. La visite de l’EATC a montré de nombreuses similitudes entre la formation des cadres officiers et sous-officiers algériens et l’enseignement dispensé aux EMB. Outre les savoir-faire techniques dédiés au cœur de métier, l’école s’ouvre aussi à la simulation (tir, conduite des véhicules, ...) et à l’apprentissage de l’anglais et de l’informatique. Un exercice combiné pratique a clos la visite du site. Après une présentation rigoureuse de l’exercice et une diffusion précise d’ordres, la délégation a pu assister à l’appui d’une rame de transport par une patrouille de circulation. Forte de six régiments de transport (un par région militaire), d’un régiment de circulation routière et de son régiment-école, l’arme du train de l’armée de terre algérienne ne cache pas sa tendance à prendre exemple sur le modèle français. Le résultat fait apparaître une arme du Train dont l’organisation générale reste assez similaire celle de l’armée de terre française des années 1980.

Les Tringlots commémorent la création de l’Arme du Train

Destination Tlemcen, en Algérie

Une demi-patrouille de circulation en mouvement durant l’exercice

Lieutenant MARECHAL Stagiaire au CFCU TRAIN

KKKK

L’histoire du camp du Ruchard est forcément étroitement liée à celle de nos armées. Créé en 1872 peu après la défaite de Sedan, il contribuera à l’intensification de l’entraînement des formations jusqu’en 1914, servira d’hôpital militaire lors de la première guerre mondiale, fermera à l’euphorie de la victoire, verra une recrudescence des manœuvres à l’approche de la seconde guerre, sera occupé par les troupes allemandes de 1940 à 1944, participera activement aux relève et à la mise en route de soldats rejoignant l’Afrique du Nord pendant la guerre d’Algérie et manquera disparaître lors de la précédente réorganisation de l’armée de terre lancée en 1996. Si le camp a vécu des moments intenses tout au long de son histoire, la dernière décennie a pesé lourd sur sa survie, son avenir et son présent…

Il m’a donc semblé utile sinon nécessaire de reprendre le cours du temps, plus précisément depuis trois ans, les évènements s’étant précipités. De nouvelles restructurations des armées ont été lancées en 2008. Le ministère de la défense a entamé une profonde transformation visant à adapter les capacités opérationnelles aux exigences des conflits et à moderniser son administration, en réduisant notamment son coût global de soutien et de fonctionnement. Dans les grandes lignes : les écoles de formation doivent se regrouper ; les unités et organismes se rassembler ; la plupart des camps et terrains de manœuvre fusionner. Dans ce nouveau contexte, il est intéressant de voir ce qu’il s’est passé pour le Ruchard, ce qu’il devient et où il va…. Revenons à 2008… A cette époque, le Ruchard fait partie des écoles de la logistique et du train de Tours (ELT). Il sert la formation des lieutenants et des sous-officiers des ELT principalement. Mais aussi, en fonction de ses capacités, les troupes des armées et personnels des autres ministères selon sa disponibilité et le besoin. Cette année là, les restructurations prévoient le départ des ELT pour fusionner avec l’école supérieur et d’application du matériel (ESAM) sur Bourges afin de créer ensemble les écoles militaires de Bourges (EMB) en 2009. Dans le même temps, la fermeture du Ruchard est pressentie voire même sérieusement envisagée. Très vite, le temps s’accélère. Les ELT doivent vider et fermer le quartier Beaumont de Tours pour se réimplanter au quartier Carnot de Bourges avant l’été 2009. L’objectif majeur est d’être opérationnel pour l’arrivée des nouveaux stagiaires en septembre. La fenêtre est étroite, mais le Ruchard pourrait bien bénéficier de cette urgence pour survivre encore. En effet, les écoles de la logistique et du train emmènent dans leurs bagages tous les dossiers d’exercices sur le camp. Elles connaissent le terrain et les capacités du Ruchard et savent pouvoir compter sur des installations fonctionnelles. La décision de conserver le camp est rapidement prise. Sauvé, il rejoindra les écoles militaires de Bourges en même temps que les ELT. Pendant ce temps, les restructurations se poursuivent. Les dissolutions, les regroupements et fusions se précisent. Les unités et organismes de la défense d’une même aire géographique sont regroupés en bases de défense (BdD). La base de défense est l’un des moyens de la réforme dont l’objectif est de réduire les coûts de fonctionnement en mutualisant, pour réinvestir les économies dégagées au profit de la capacité opérationnelle.

Focus sur…

LE CAMP DU RUCHARD,

Un nouvel envol

Le 1er janvier 2011, 51 bases de défense sont créées en métropole… Le Ruchard est dans le périmètre de la base de défense de Tours. Il lui est tout naturellement rattaché. Son soutien dans les domaines du fonctionnement courant, notamment la santé, le budget, l’infrastructure, l’énergie, l’alimentation, les systèmes d’information et de communication pour ne citer que les principales fonctions lui vient maintenant de cette base qui assure aussi et de la même façon le soutien des quelques 5000 hommes des unités et organismes de la défense implantés sur son territoire. Parallèlement à cette mutualisation des moyens, une étude sur la rationalisation des camps et terrains de manœuvre est menée. Il s’agit principalement de porter l’effort sur les camps nationaux tout en regroupant les plus petites structures et de réduire le nombre des emprises à l’exact besoin des unités à entrainer, instruire et former. L’intention est aussi d’abonner les unités sur les camps ou terrains les plus proches de leur garnison.

En 2010, les décisions sont prises. Les camps du Ruchard et de Fontevraud seront fusionnés pour créer ensemble l’espace commun d’instruction numéro 12 de Saumur (ECI 12). Le Ruchard quittera les écoles militaires de Bourges a l’été 2011. D’ici là, il continue d’assurer le soutien des exercices des EMB. Après, sous commandement des écoles militaires de Saumur, il servira avec Fontevraud les troupes de proximité.

L’effectif au complet du personnel du camp du Ruchard Modernisation de l’administration militaire, mutualisation du soutien, rationalisation de l’organisation et des moyens, diminution des coûts de fonctionnement au profit de l’opérationnel. Aujourd’hui, nos armées vivent une véritable transformation. Il n’est plus temps de faire comme avant, mais bien de faire autrement. Tel est l’enjeu de ces restructurations menées sur tous les fronts. Le Ruchard doit s’adapter. Les effectifs du détachement servant le camp seront encore réduits pour un fonctionnement et un soutien plus rustique. À l’avenir, ses terrains de manœuvre, ses zones de bivouac et ses champs de tir seront très certainement ses atouts principaux. Mais la pérennité du camp nous laisse encore une fois au carrefour de tous les possibles…. Capitaine AURENCHE

Chef du détachement du camp du Ruchard

L’ACTU EN BREFL’ACTU EN BREFL’ACTU EN BREFL’ACTU EN BREF Le COL GODFRIN, Colonel Adjoint du Centre de Formation Logistique, accompagné du COL EUDELINE Directeur de la DEP Logistique s’est rendu aux États-Unis du 11 au 16 Janvier dans le cadre des réunions régulières qui réunissent des représentants des logistiques des armées américaine et française. Cette réunion a eu lieu à Fort LEE qui regroupe, à l’échelle des États-Unis, à la fois la formation et la préparation opérationnelle du personnel (active, garde nationale et réserve) de la logistique américaine sur une base regroupant de l’ordre de 40 000 personnes. La délégation française, dirigée par un représentant de l’EMAT, a réuni, outre les représentants du CFL (Formation logistique et doctrine), trois officiers du CFT (Préparation opérationnelle et montage des exercices). Au cours de la réunion ont été abordés de nombreux sujets aussi divers que le montage de l’exercice franco-britannique « Flandres » qui aura lieu en Juin 2011, la rédaction d’un manuel d’interopérabilité logistique entre les armées britanniques et françaises ou la participation d’un capitaine de l’arme du Matériel et d’un capitaine de l’arme du Train au prochain « CFCU » organisé par Fort LEE. La réunion a été l’occasion d’un échange de « souvenirs » (à prononcer à l’anglaise) entre les différentes délégations : sur la photo ci-dessus, le COL GODFRIN remet une médaille des EMB à Mr Skip WILLIAMS représentant le G4 de l’US Army en présence de Mr David R. HOSLER Jr chargé des relations internationales à l’US Army Combined Arms Support Command (CASCOM) Dans le cadre des réunions, le COL GODFRIN présente à l’assistance le CFL et les différentes formations que celui-ci conduit. Colonel EUDELINE Écoles Militaires de Bourges Centre de Formation Logistique Directeur des Études et de la Prospective

Une délégation Allemande

de la Technische Schule

Landsysteme und

Fachschule des Heeres Für

technik de Aachen

(TSL/FSHT) conduite par le Général OHM Walter, à

visité les écoles les 4 et 5 avril 2011. Le but de cette visite

était de comparer les méthodes de travail des deux écoles. La délégation allemande a successivement été reçue par l’école du Matériel et par le centre de formation logistique qui ont pu présenter leur différents matériels et savoir-faire.

Patrick MILLION Adjoint de l’OCI

des écoles militaires de Bourges

Les EMB ont

organisée pour la

deuxième année le

challenge de cross

regroupant les

armes du train et du

matériel, afin de

promouvoir les

activités de tradition

et de renforcer les liens de cohésion entre les deux armes. Cette manifestation sportive s’est déroulée le 05 mai 2011 dès 09h00, une ambiance fraternelle réunissait l’ensemble des cadres et des stagiaires des Écoles Militaires de Bourges. A l’arrivée c’est le soldat BOUALLAGUI Oussam du 3éme RMAT né en 1990 qui à bouclé les 8,40kms en 0:28:41. La première féminine est le Lieutenant GOLFIER Noémie des EMB, née en 1986 elle à parcourue la même distance en 0:35:14. Quant à l’équipe qui à remportée le challenge cette année,

c’est à nouveau l’arme du train et celle du matériel

puisque se sont les EMB qui sont arrivées en tête du

classement.

21 et 22 juin : médaille du sport allemand, 28 juin : passation de commandement de la CCS 12 juillet : rallye SAIQ 21 juillet : cérémonie de fin d’année et adieux aux armes du GBR LE GARREC

Les prochains rendez-vous des EMB…

Participation du CFL à la réunion Staff Talks (discussion d’états-majors) du mois de janvier

aux USA

Une délégation Allemande aux Écoles Militaires de Bourges

Challenge de cross des EMB