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L’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin a 20 ans cette année ! Par un heureux hasard, l’Association Française des Orchestres a décidé d’initier sur cette même période une vaste opération nationale

Orchestres en Fête ! Ces deux manifestations sont incontestablement en lien et en résonance l’une avec l’autre. L’OSRL trouve en cette occasion deux raisons supplémentaires d’aller, une nouvelle fois, à la rencontre d’auditeurs fidèles depuis deux décennies, mais aussi de rencontrer un public toujours renouvelé, de rassembler tous les âges et tous les milieux, sans distinction, avec pour seuls objectifs le plaisir, l’échange et la convivialité.

L’OSRL est financé par le Conseil Régional du Limousin avec l’aide de la Ville de Limoges. Ces deux manifestations sont organisées en région par l’A.T.C.R.L en partenariat avec l’Opéra-Théâtre de Limoges.

Contact presse : ATCRL

Stéphanie Ballet, chargée de communication Tél : 05 55 45 13 82 / atcrl-communication@wanadoo.fr

Dossier de presse réalisé par Frantz Doré

Responsable de production Tél : 05 55 45 13 85

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20 ans ! / Orchestres en fête ! ............................................................................................ p 1 Sommaire ............................................................................................................................................... p 2 20ème anniversaire de l’orchestre .................................................................................. p 3 Concerts Dvorak /Dates ........................................................................................................................ p 4 Antonin Dvorak ......................................................................................................................................... p 5 Concerto pour violoncelle .................................................................................................................. p 6 Jérôme Pernoo .......................................................................................................................................... p 7 Symphonie n°9 « du Nouveau Monde » ....................................................................................... p 8 Guy Condette ............................................................................................................................................. p 9 Orchestres en fête ! .................................................................................................................. p 10 Communiqué national......................................................................................................................... p 11 Orchestres en fêtes ! en région........................................................................................................ p 13 Orchestres en fêtes ! dates ................................................................................................................ p 14 Les artistes et intervenants d’Orchestres en fête ! ................................................................ p 19 Renseignements et réservations ............................................................................... p 22 Contacts ................................................................................................................................................ p 23 Les partenaires .............................................................................................................................. p 24

Sommaire

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En novembre 2008, l’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin va fêter ses 20 ans … Il est impossible de passer cet événement sous silence tant l’OSRL fait maintenant partie intégrante du paysage culturel régional. Cette formation « tout terrain » a parcouru un chemin considérable depuis ses débuts qui l’a conduit à être aujourd’hui reconnu unanimement pour la constance de sa qualité musicale. Ces deux dernières décennies ont été l’occasion d’un travail musical inlassable. L’orchestre a abordé tous les types de répertoires allant jusqu’à l’innovation et à l’audace en commandant très régulièrement des œuvres originales à des compositeurs contemporains. Mais c’est aussi sur le terrain de l’action culturelle voire sociale, que cette formation a su occuper une place prépondérante. La mission de proximité et de popularisation de la musique symphonique est devenue au fil du temps l’affaire de tous : du technicien de plateau au chef d’orchestre, sans oublier, bien entendu, les musiciens. Cet anniversaire sera l’occasion d’évoquer une partie des souvenirs que nous partageons tous : artistes, publics, décideurs, techniciens, administratifs, journalistes … À cette fin, les concerts consacrés à Dvořák seront prétexte à nous retrouver et échanger. Ainsi ces concerts seront présentés par Gilles Favreau qui, outre l’éclairage qu’il apportera aux œuvres, permettra les prises de paroles. Par ailleurs, un programme « spécial anniversaire » sera offert à chaque personne assistant aux concerts.

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Mardi 18 novembre - 20 h 30 Espace Ventadour à Egletons (19)

Jeudi 20 novembre - 20 h 30 Pôle Culturel La Mégisserie à St-Junien (87)

Vendredi 21 novembre - 20 h 30 Opéra-Théâtre de Limoges (87)

Concerto pour violoncelle Soliste invité : Jérôme Pernoo Symphonie du Nouveau Monde

Concert Dvořák

Durée du programme 2 h environ (entracte compris)

Direction : Guy Condette

Dvořák est l’un des compositeurs le plus significatif de l’école romantique en Bohême. Acteur majeur du courant nationaliste de la fin du XIXe siècle, il a su combiner son fort enracinement dans la culture traditionnelle de son pays avec l’influence de l’école germanique. Les deux oeuvres au programme de ce concert, ont été composées à l’époque où Dvorák enseignait à New York (1892-95). La Symphonie du Nouveau Monde demeure sans conteste l’oeuvre maîtresse de cette période. Composée au début de ce séjour américain, elle a été partiellement inspirée par un texte du poète américain Henry Longfellow, le Chant de Hiawatha. Elle a connu un véritable triomphe dès le jour de sa création, et ce succès ne s’est, depuis, jamais démenti. Le Concerto pour violoncelle constitue la dernière partition que Dvořák ait écrite aux États-Unis. À peine moins populaire que la Symphonie du Nouveau Monde, il est reconnu sans conteste comme l’un des plus importants concertos de tout le répertoire de violoncelle.

Soirée anniversaire présentée par Gilles Favreau

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Avec Smetana, Dvořák est le compositeur le plus significatif de l’école romantique en Bohême. Mais on a peine à imaginer, aujourd’hui, à quel point ses débuts furent modestes.

Né dans un petit village situé à une quarantaine de kilomètres de Prague, le jeune garçon n’a que onze ans lorsqu’il quitte l’école pour se

préparer à devenir boucher, métier exercé par son père. Mais son talent musical étant vite devenu évident, on l’envoie chez un oncle pour parfaire sa formation. En 1857, il est admis à l’Ecole d’orgue de Prague dont il ressort deux ans plus tard avec un diplôme. Il gagne ensuite sa vie en jouant de l’alto dans un orchestre de variétés puis dans le tout nouvel orchestre du Théâtre Provisoire de Prague ; c’est de cette période que datent ses deux premières symphonies. En 1871, il quitte son poste de musicien d’orchestre pour se consacrer essentiellement à la composition, assurant cependant sa subsistance au moyen de leçons particulières. Le vrai succès vient enfin en 1878, avec la publication chez un important éditeur viennois, du premier recueil des Danses slaves pour piano à quatre mains. A cette époque, il a déjà à son catalogue cinq symphonies et autant d’opéras. Grâce à des musiciens aussi illustres que Brahms, Hans von Bülow ou Joseph Joachim, la musique de Dvořák connaît une large diffusion et apporte à son auteur une réputation d’envergure internationale. Il se rend ainsi une dizaine de fois en Angleterre et fait même une tournée en Russie. Au sommet de sa gloire, on lui offre le poste de directeur du Conservatoire de New York qu’il occupe de 1892 à 1895. C’est au cours de ce séjour qu’il écrit ses œuvres les plus célèbres, la Neuvième Symphonie, le Quatuor américain et le Concerto pour violoncelle. De retour dans son pays natal, Dvořák se consacre principalement à la composition de poèmes symphoniques et d’opéras ; il exerce également les fonctions de directeur du Conservatoire de Prague.

Dvořák fait partie du vaste courant des écoles nationales, un des courants les plus importants de cette période si complexe qu’est le romantisme. Mais le terme de nationalisme ne doit pas être entendu, ici, avec l’acception négative qu’il a de nos jours en politique. Bien au contraire, ce courant a joué un rôle extrêmement positif dans l’affirmation de nations demeurées longtemps sous la domination culturelle de l’une ou l’autre des grandes puissances de l’époque, et a fourni aux compositeurs un moyen, parmi d’autres, d’enrichir le langage

musical et d’assouplir le cadre stylistique et technique hérité de la période classique. Le catalogue des œuvres de Dvořák est important et aborde à peu près tous les genres pratiqués à l’époque (à l’exception notable du ballet) : musique pour piano, lied, musique de chambre, musique symphonique, concerto, cantate, musique religieuse et opéra. De toute cette production se détachent tout particulièrement les dernières symphonies, les derniers quatuors à cordes, les trois grands concertos, l’opéra Rusalka et les grandes œuvres religieuses.

Antonín DVOŘÁK (1841-1904)

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Allegro – Adagio ma non troppo – Finale : Allegro moderato

n crédite habituellement Dvořák de la composition de trois concertos : le Concerto pour piano opus 33, le Concerto pour violon opus 53, et le Concerto pour violoncelle opus 104. Mais il existe un autre concerto pour violoncelle, dépourvu de numéro d’opus et que Dvořák ne souhaitait visiblement pas inclure dans son catalogue d’œuvres. Cette partition, qui date de 1865, c’est-à-dire du début de la

carrière de son auteur, n’a jamais été orchestrée. En toute logique, le célèbre concerto au programme du concert de ce soir, devrait donc porter le numéro deux. L’œuvre a été commencée à la fin du séjour new-yorkais de Dvořák mais terminée après le retour en Europe de celui-ci, à la fin de 1895. Elle date donc de la période de haute maturité du compositeur ; elle compte d’ailleurs parmi ses créations les plus abouties. Il est généralement admis que l’œuvre possède une dimension autobiographique, et ce même si Dvořák ne s’est jamais exprimé à ce propos. En effet, le grand amour de jeunesse de Dvořák, sa belle-sœur Josefina Čermaková, est décédé alors que le compositeur travaillait encore à cette partition, et un des fils de celui-ci affirma plus tard que le dernier mouvement constituait une sorte d’hommage à la défunte. Conformément à une tradition qui remonte au XVIII° siècle, c’est-à-dire à la fin de l’époque baroque, le concerto comporte trois mouvements ordonnés selon le schéma « vif – lent – vif ». Le premier mouvement comporte deux thèmes très caractérisés et fortement contrastants : le premier héroïque et vibrant, et le second nettement plus lyrique et détendu. Les concertos de Dvořák sont tous conçus dans une optique très symphonique, ce qui lui a d’ailleurs été reproché dans le cas des concertos pour piano ou pour violon. L’orchestre joue donc ici un rôle très important, si important même que c’est lui qui est chargé d’exposer complètement les thèmes une première fois ; ce n’est qu’après cette première exposition que le soliste intervient et les énonce à son tour. Après une section centrale de développement, on entend une dernière fois les diverses idées du mouvement, mais cette fois sous la forme d’une réexposition en ordre inversé ; c’est donc avec le thème grandiose du début que s’achève le premier volet de la partition. Le second mouvement est élégiaque dans ses sections initiale et finale, et nettement plus sombre en son milieu. Selon de nombreux auteurs, cette partie centrale comporterait une sorte de paraphrase d’un lied de Dvořák qu’appréciait beaucoup Josefina Čermaková, Laissez-moi aller seul dans mes songes, op. 82 n° 1. Mais en réalité, la mélodie qui y est présentée semble assez éloignée de celle du lied. Le finale suit le plan d’une forme à refrain, et son thème principal adopte le rythme énergique d’une marche. Ce mouvement comporte surtout deux particularités importantes dans sa section finale. D’une part, il reprend le motif du tout premier thème du premier mouvement ; ce genre de procédé, assez fréquent à l’époque (on parle alors de forme cyclique), constituait un moyen efficace de relier les différents volets d’une oeuvre et d’assurer à cette dernière une plus forte cohérence. D’autre part il cite brièvement, et cette fois-ci de façon incontestable, les premières notes du lied déjà mentionné. Ce concerto s’achève donc de manière méditative et se démarque ainsi des partitions brillantes et démonstratives qu’affectionnaient les virtuoses de l’époque.

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Concerto pour violoncelle en si mineur, op. 104

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Né en 1972 à Nantes, Jérôme Pernoo apprend le violoncelle avec Germaine Fleury. Après ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (ses professeurs de violoncelle se nomment Xavier Gagnepain et Phillippe Muller), il est lauréat du concours Tchaïkovsky à Moscou et du concours Rostropovitch à Paris en 1994. Il remporte le Concours de Pretoria en 1996. Jérôme Pernoo s'est produit avec la plupart des grands orchestres symphoniques français, ainsi qu'avec le Chamber Orchestra of Europe, l'Orchestre Symphonique de Vienne, l'Orchestre Philharmonique d'Essen,

l'Orchestre de la Radio de Francfort, l'Orchestre du Teatro Regio de Turin, l'Orchestre National d'Espagne à Madrid, l'Orchestre de la Radio Suédoise à Stockholm et l'Orchestre National de Lithuanie à Vilnius. Il côtoie en récital, avec le pianiste Jérôme Ducros, quelques-unes des scènes musicales les plus prestigieuses : le Wigmore Hall à Londres, le Florence Gould Hall à New York ou encore le Théâtre des Champs-Elysées, le Théâtre du Châtelet et la Cité de la Musique à Paris. Musicien ouvert et éclectique, sensible à la diversité de la création artistique, Jérôme Pernoo œuvre également à la réalisation de projets moins traditionnels, en liaison avec le théâtre ou la danse. Il a en particulier collaboré avec la chorégraphe Régine Chopinot à un spectacle mettant en scène l'intégrale des Suites de Bach, qui a tourné pendant deux ans avec succès dans le monde entier. La saison 2007/08 est marquée par sa première collaboration avec l'Orchestre de l'Opéra de Zurich et l'Orchestre de l'Opéra national de Bavière. Il effectue par ailleurs une importante tournée de concerts et récitals en Afrique du Sud, et se produit à de nombreuses reprises en récital et en formation de chambre à travers l'Europe. Parmi les projets qui lui tiennent particulièrement à coeur, la création mondiale à Paris du concerto pour violoncelle n° 1 de Guillaume Connesson. Sa discographie comprend les Suites de J.S. Bach pour violoncelle seul (live 1998), les Ricercate de Degli Antonii et de Gabrielli (2002) ainsi que la Sonate de Rachmanivov associée aux Quatre Pièces et à la Sonate Frank Bridge pour violoncelle et piano, avec Jérôme Ducros (2002). Viennent de paraître le Concerto N° 2 de Saint-Saens avec l'Orchestre de Bretagne, sous la direction de Nicolas Chalvin (Timpani) et le concerto d'Offenbach avec les Musiciens du Louvre Grenoble, sous la direction de Marc Minkowski (Archiv-Deutsche Grammophon). Jérôme Pernoo est le créateur et directeur artistique du festival Les vacances de Monsieur Haydn à La Roche Posay, dont la première édition a eu lieu en septembre 2005.

Il joue un violoncelle baroque et un violoncelle piccolo tous deux italiens anonymes du XVIIIe siècle, école de Milan, ainsi qu'un violoncelle moderne fabriqué pour lui par Franck Ravatin.

Pour en savoir un peu plus : www.lesvacancesdemonsieurhaydn.com/

Jérôme PERNOO Violoncelle

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Adagio, Allegro molto – Largo - Scherzo : Molto vivace – Allegro con fuoco

a symphonie dite du Nouveau Monde demeure sans conteste l’œuvre maîtresse de la période américaine de Dvořák, qui compte pourtant plusieurs chefs-d’œuvre. Elle fut composée au début du séjour que Dvořák fit aux Etats-Unis de 1892 à 1895. Elle aurait été inspirée, au moins partiellement, par un texte du poète américain Henry Longfellow (1807-1882), le Chant de Hiawatha, mais les références

précises au poème demeurent incertaines.

La méthode de travail de Dvořák est conforme aux habitudes de l’époque, le musicien écrivant d’abord les différents mouvements sous une forme assez proche d’une partition pour piano pour ne procéder à leur orchestration que dans un deuxième temps. Pour être plus précis, le compositeur opéra en deux grandes étapes, puisqu’il acheva d’abord complètement les trois premiers mouvements, orchestration comprise, avant d’entreprendre la composition du finale.

Dvořák a beaucoup hésité quant au numéro à donner à sa nouvelle symphonie. Si la page titre du manuscrit autographe porte le numéro huit, barré et remplacé par un sept, c’est en tant que cinquième symphonie qu’elle fut publiée, numéro qu’elle conserva jusque dans les années soixante. La raison de tous ces changements tient au fait que le compositeur a beaucoup varié dans son attitude face à ses premiers essais symphoniques, et que ceux-ci ne furent révélés au public que bien longtemps après sa mort. La numérotation adoptée actuellement tient compte de la totalité de la production de Dvořák dans ce domaine. Dès la création de l’œuvre, les commentateurs ont voulu voir dans certains de ses thèmes des emprunts au répertoire traditionnel des Noirs et des Indiens d’Amérique ; les mélodies modales et les rythmes syncopés leur paraissaient particulièrement révélateurs. On pense naturellement à la très belle mélodie, énoncée par le cor anglais dans le largo, le plus « américain » des quatre mouvements ; les premières mesures de ce thème sont d’ailleurs basées sur la gamme pentatonique. Mais il faut bien reconnaître que les coups de timbales du début du scherzo rappellent plutôt ceux de la neuvième symphonie de Beethoven, et que la partie centrale du même mouvement évoque davantage les danses d’Europe centrale que le Far West. Dvořák s’est exprimé sans ambiguïté sur cette question. S’il reconnaissait que cette symphonie n’aurait jamais été écrite ainsi s’il n’avait vu l’Amérique, il a affirmé, en revanche, n’avoir employé aucune mélodie traditionnelle américaine : « J’ai simplement écrit des thèmes à moi, leur donnant les particularités de la musique des Noirs et des Peaux-Rouges ; et, me servant de ces thèmes, je les ai développés en utilisant toutes les ressources du rythme, de l’harmonie, du contrepoint et de l’orchestration modernes. » Il ajouta même : « Cela est et reste de la musique tchèque. » Cette affirmation surprend moins lorsque l’on sait que plusieurs des fameuses caractéristiques rythmiques et mélodiques attribuées aux chansons traditionnelles américaines se retrouvent aussi dans le folklore d’Europe centrale.

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Symphonie n° 9 en mi mineur « du Nouveau Monde » opus 95

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é en 1944 dans le nord de la France, il remporte le Premier Prix du Concours International des jeunes chefs d’orchestre au Festival de Besançon en 1969, et le Premier Prix du concours international des chefs d’orchestre à Salzbourg en 1976.

Au cours de sa carrière, il a été chef d’orchestre principal au Théâtre de Lille (ballets et opéras), premier chef d’orchestre à l’Opéra de Nancy, directeur de l’orchestre de chambre «Ensemble Instrumental de Lorraine» à Nancy, directeur de la musique et chef d’orchestre au Grand Théâtre de Limoges, directeur de la musique à l'Opéra de Nantes et des Pays de Loire, chef d’orchestre principal de l’Orchestre de chambre du Limousin.

Il est actuellement directeur de l’Opéra-Théâtre de Limoges, et directeur musical de l’Orchestre Symphonique Régional du Limousin. Il a dirigé l’Orchestre de Paris au festival de Besançon, les orchestres de l’O.R.T.F, de Lille, Strasbourg, Nice, l’Orchestre Philharmonique de Radio France au Festival du Marais en 1977. Il s’est produit dans les théâtres de Nantes, Nancy, Marseille, Metz, Rennes, Lille, Tours, Saint-Étienne, Reims, Rouen, Bordeaux, Avignon, et à l’étranger lors de concerts à Stresa, Padoue, Lausanne, Genève, Liège, Karlsruhe, Luxembourg, Barcelone, Courtrai, Bruxelles, Salzbourg. À Salzbourg, pour la radio autrichienne, il a enregistré en création mondiale trois pièces pour orchestre de César Bresgen, avant de participer, au cours de la saison 1996-1997, à des concerts en Bulgarie et en Pologne. Guy Condette possède actuellement au répertoire plus de 180 ouvrages lyriques, dont plusieurs créations mondiales, et de nombreuses œuvres symphoniques. Il a donné au cours de l’année 1998 plusieurs concerts pour la ville de Naples. L’enregistrement des concerts qu’il dirigea en Bulgarie, a donné lieu à l’édition d’un CD d’œuvres pour orchestre et chœurs. Enfin, il fut l’invité de l’Orchestre de chambre de Varsovie.

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Guy CONDETTE Chef d’orchestre Directeur artistique

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Communiqué de presse national

14 - 23 novembre 2008 L'Association Française des Orchestres (AFO) lance la première édition d’un événement national : Pendant 10 jours, Orchestres en fête ! permet aux orchestres de se dévoiler au grand public partout en France : • Une programmation de haute qualité de près de 80 concerts, alliant chefs-d’œuvre du répertoire et créations. • Simultanément, de nombreux rendez-vous originaux : répétitions publiques, ateliers, concerts en famille, actions pour le jeune public, rencontres exceptionnelles avec les artistes, etc. Dans un esprit chaleureux, Orchestres en fête !invite tous les publics à une rencontre sensible avec le monde des orchestres. 10 jours de fête et de rencontre entre les orchestres et le grand public Orchestres en fête ! propose au public une large palette de concerts d’une qualité exceptionnelle. Redécouvrez en live les trésors musicaux du baroque au contemporain : Concerto en ré majeur de Bach, Symphonie concertante pour violon et alto de Mozart, Symphonie n°9 de Schubert, Symphonie n°2 de Brahms, Roméo et Juliette de Berlioz, mais aussi des œuvres de Britten, Messiaen ou Boulez. Sont aussi présentées des créations mondiales de Martin Matalon, Pascal Zavaro ou Bruno Mantovani par exemple, ainsi que des propositions artistiques originales comme celle d’une choré- graphie contemporaine sur une musique de Bach. Parallèlement à cette programmation exceptionnelle, tous les orchestres se mobilisent. Ils ouvrent leurs portes et font découvrir leur quotidien : répétitions commentées, concerts en famille, ateliers alliant découverte musicale et culinaire, etc. Ils vont à la rencontre des publics : actions à destination des scolaires et du jeune public, concerts étudiants, concerts en zones rurales, dans les quartiers, les hôpitaux, les prisons, etc. Destiné à un large public, Orchestres en fête ! a pour objectif de mettre en valeur, pendant 10 jours, l'abondance et la diversité des concerts et des actions de médiation présentées en France. Riche de moments conviviaux, de rencontres et d’émotions, ce nouvel événement donnera désormais rendez-vous au public chaque année.

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Les formations membres de l’AFO représentent 38 orchestres et ensembles, et plus de 3000 salariés dont plus de 2500 musiciens. L’AFO recense chaque saison près de 3200 concerts, à travers 500 villes environ et rassemblant plus de 2,5 millions de spectateurs. Grâce à ces structures permanentes qui quadrillent le territoire, une offre accessible et de qualité est offerte toute l’année en France, à Monaco et au Luxembourg. Contact : Association Française des Orchestres Tél. : 01 42 80 26 27 afo@france-orchestres.com www.france-orchestres.com Contact presse : Pierre LAPORTE Communication Tél. : 01 45 23 14 14 info@pierre-laporte.com http://www.pierre-laporte.com

Toutes les informations de l’ensemble des manifestations, dossier de presse national complet et programmation nationale téléchargeables sur :

www.orchestresenfete.com Onglet « Espace presse »

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l’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin participe à Orchestres en fête !

8 jours de fête et de rencontre entre l’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin et le grand public. C’est dans un esprit d’ouverture et de dynamisme musical que l’orchestre symphonique se joindra à cette manifestation nationale et fêtera également son 20e anniversaire. L’Orchestre, véritable acteur du développement culturel de la région Limousin souhaite, dans la continuité de ses missions, proposer des actions musicales et des concerts auprès des publics les plus divers, et être particulièrement présent auprès du public jeune. La diversité, le contenu des actions proposées pendant cette période sont autant de signes donnés à cette volonté d’ouverture et de confrontation avec les publics. À Limoges et en région, outre le concert anniversaire dédié à DVORAK, l’OSRL proposera des concerts pédagogiques avec The young person’s guide to the orchestra (guide de l’orchestre pour les jeunes) de Benjamin Britten ouverts aux scolaires et à tous les publics. Une répétition commentée autour du concert Dvořák, un concert sur le campus universitaire, des rencontres avec le chef d’orchestre et les musiciens, une intervention/conférence, des concerts de musique de chambre seront programmés dans une ambiance que nous souhaitons chaleureuse. Une journée exceptionnelle, point d’orgue de la manifestation, aura lieu à l’Opéra-Théâtre de Limoges le samedi 22 novembre de 11 h à minuit. Un « bal tango » ouvert à tous clôturera de manière festive cette journée et cette période exceptionnelle. Au-delà des actions musicales, ce sont des moments conviviaux, riches de découvertes et d’émotions que le chef d’orchestre et les musiciens espèrent partager avec tous ceux qui les rejoindront.

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Samedi 15 novembre 9 h 30 - Opéra-Théâtre de Limoges (87) Répétition commentée de la Symphonie « du Nouveau Monde » d'Antonín DVORAK avec l'OSRL et Guy Condette, chef d'orchestre Intervenante : Géraldine Colladant-Hovaere Entrée libre - Durée 3 h avec entracte 15 h 00 - Bibliothèque Francophone Multimédia de Limoges/Salle de conférence (87) « Regards croisés » autour de la Symphonie du Nouveau Monde d'Antonín DVORAK Dialogue entre Guy Condette Chef d'Orchestre/Directeur musical de l'OSRL et Pierre-Michel Bédard Professeur d'analyse musicale au C.R.R. Entrée libre - Durée 2 h

Lundi 17 novembre 18 h 30 - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87) À la découverte de DVORAK Présentation des œuvres : Géraldine Colladant-Hovaere Entrée libre - Durée 1 h 20 h 30 - Opéra-Théâtre de Limoges (87) Répétition générale du concert Antonín DVORAK Direction : Guy Condette Concerto pour violoncelle et orchestre, op. 104. / Jérôme Pernoo, Violoncelle Symphonie du Nouveau Monde Présentation de la soirée : Gilles Favreau Entrée gratuite réservée aux étudiants dans le cadre de « Musique sur les Campus »

l’ « Orchestres en fête ! » de l’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin

Jour après-jour …

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Mardi 18 novembre 15 h - Espace Ventadour - Égletons (19) Concert pédagogique Benjamin BRITTEN, The young person's guide to the orchestra, op.34 (Guide de l'orchestre pour les jeunes) Direction musicale : Guy Condette Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin Récitant : Gilles Favreau Une rencontre entre le public, les musiciens et le chef est organisée à l'issue du concert Concert organisé par les Jeunesses Musicales de France en collaboration avec la ville d'Égletons Réservé au jeune public sur inscription Renseignements : JMF, 05 55 87 40 04 / Mairie, 05 55 93 00 36 20 h 30 - Espace Ventadour - Égletons (19) Concert anniversaire : les 20 ans de l'orchestre - Antonín DVORAK Concerto pour violoncelle et orchestre, op. 104 Jérôme Pernoo, Violoncelle Symphonie du Nouveau Monde Direction : Guy Condette Présentation de la soirée : Gilles Favreau Concert organisé par les Jeunesses Musicales de France en collaboration avec la ville d'Égletons Réservations, renseignements et billetterie : JMF, 05 55 87 40 04 / Mairie, 05 55 93 00 36

Mercredi 19 novembre 18 h 30 - Campus de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines Amphithéâtre Vareille-39 E rue Camille Guérin - Limoges Récital : Duo Jérôme Pernoo, Violoncelle et Jérôme Ducros, Piano DVORAK : Polonaise op. posthume Puisse mon âme ; Le Calme dans la forêt Danse slave No 8 CONNESSON : Les Chants de l'Agartha (dédié à J. Pernoo) Entrée libre tous publics - Musique sur les Campus Durée 1 h 30

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Jeudi 20 novembre 15 h et 16 h - Pôle culturel La Mégisserie St Junien (87) Concert pédagogique Benjamin BRITTEN The young person's guide to the orchestra, op.34 (Guide de l'orchestre pour les jeunes) Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin Direction musicale : Guy Condette Récitant : Gilles Favreau Des rencontres entre le public, les musiciens et le chef sont organisées à l'issue des deux concerts. Réservé au jeune public sur inscription / Pôle Culturel La Mégisserie, 05 55 02 87 98 20 h 30 - Pôle Culturel La Mégisserie, St Junien (87) Concert anniversaire : les 20 ans de l'orchestre Antonín DVORAK Direction : Guy Condette, Concerto pour violoncelle et orchestre, op. 104 Jérôme Pernoo, Violoncelle Symphonie du Nouveau Monde Présentation de la soirée : Gilles Favreau Réservations, renseignements et billetterie Pôle Culturel La Mégisserie, 05 55 02 87 98

Vendredi 21 novembre 20 h 30 - Opéra-Théâtre de Limoges (87) Concert anniversaire : les 20 ans de l'orchestre Direction : Guy Condette Antonín DVORAK Concerto pour violoncelle et orchestre, op. 104. Jérôme Pernoo, Violoncelle Symphonie du Nouveau Monde Présentation de la soirée : Gilles Favreau Réservations, renseignements et billetterie : Opéra-Théâtre de Limoges, 05 55 45 95 95

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Samedi 22 novembre 11 h - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87) Mini concert - Musique de chambre « Les tribulations de Mochatello » Récital de violon narré à 2 voix Elina Kuperman, violon solo de l'OSRL Géraldine Colladant-Hovaere, narratrice Œuvres de Bach, Ysaye, Kreisler... « Je m’appelle Mochatello. » Mochatello nous livre ainsi ses tribulations, narrant ses voyages, ses émotions, ses rencontres avec des musiciens, des compositeurs, des violons…. Il raconte et se raconte au fil des œuvres égrenées qui l’emportent dans ses souvenirs tantôt nostalgiques tantôt pétillants d’humour ... Mais qui est Mochatello ? Entrée libre - Durée 1 h 14 h 30 et 16 h - Opéra-Théâtre de Limoges (87) Concert pédagogique Benjamin BRITTEN, The young person's guide to the orchestra, op.34 (Guide de l'orchestre pour les jeunes) Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin Direction musicale : Guy Condette Récitant : Gilles Favreau Des rencontres entre le public, les musiciens et le chef sont organisées à l'issue des deux concerts. Entrée libre tous publics - Durée 45 mn 17 h 30 - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87) Mini concert - Musique de chambre Trio de guitares Alborada Christophe Calafato, Jérôme Grzybek, Mathieu Dutriat Œuvres de Dowland, Bizet, Ravel, Les Beatles ... Entrée libre - Durée 1 h

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Soirée Tango au foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87) 19 h 30 : Démonstration et initiation au Tango Nuevo par Maria et Sébastián Escobar. 20 h 30 : Concert /Bal Tango le Quatuor à cordes Osiris de l'OSRL et Frédéric Langlais au bandonéon interprètent des pièces de Piazzolla et Searle. Grand Bal ouvert à tous jusqu'à minuit avec l'association Art'ango http://artangoclub.com Entrée libre

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Récital exceptionnel Jérôme Pernoo, Violoncelle et Jérôme Ducros, Piano Jérôme Pernoo est l'un des plus exceptionnels violoncellistes de sa génération. Lauréat de nombreux concours internationaux en 1994, il se produit avec les plus grands orchestres symphoniques et en récital dans le monde entier. Musicien ouvert et éclectique à la fois « moderne » et « baroque », Jérôme Pernoo partage son temps à égalité entre les répertoires romantiques, modernes et contemporains et ceux des XVIIe et XVIIIe siècles, avec le continuel souci de s'imprégner de l'univers artistique et historique de l'oeuvre qu'il aborde. Jérôme Ducros a étudié le piano avec Françoise Thinat au Conservatoire d'Orléans, puis avec Gérard Frémy et Cyril Huvé au CNSM de Paris, où il obtient un premier prix de piano à l'unanimité avec félicitations du jury en 1993. Il poursuit ses études en troisième Cycle aux côtés de Gérard Frémy, et rencontre également Léon Fleisher, Gyorgy Sebök, Davitt Moroney... Après de brillantes études et ses prix au 1er Concours international de Piano U. Micheli à la Scala de Milan en 1994, Jérôme Ducros donne de très nombreux récitals. Il joue aux côtés de Jérôme Pernoo sur les scènes musicales les plus prestigieuses.

Mercredi 19 novembre 18 h 30 - Campus de la Faculté des Lettres

et Sciences Humaines Amphithéâtre Vareille-39 E rue Camille Guérin - Limoges Musique sur les campus - Entrée libre tous publics

Récital Elina Kuperman - violon : « Les Tribulations de Mochatello » sur un texte de et avec Géraldine Colladant-Hovaere

Elina est née dans une famille de musiciens en Ukraine, suit les cours de l’école spéciale de musique renommée de Kharkov et y obtient une médaille d’or de violon. A la fin de ses études, elle se rend à Moscou au Conservatoire Tchaïkovsky pour y travailler avec Edouard Grach (violon) et Alexandre Roudin (musique de chambre) où elle décroche le diplôme de concertiste avec les plus hautes distinctions. Vient alors la période des concours internationaux. Son talent est rapidement récompensé par le Deuxième Prix et Prix spécial au Concours International de Violon à Ekaterinbourg (1993) en Russie, et à Rome, où elle remporte le Premier Prix du Concours « Premio Valentino Bucchi » (1995). En 1999, elle gagne le Prix « Irina » au Concours Long-Thibaud, ainsi que le Troisième Grand Prix du Concours International de musique de chambre « Pierre Lantier ». En 2001, elle

devient lauréate de la Fondation Cziffra. Ces récompenses lancent sa carrière internationale qui la conduit dans différents pays de l’Europe, Japon, Corée, Israël, Etats-Unis, Russie, elle joue en soliste avec différents orchestres de Russie, Ukraine, Biélorussie, France et Etats-Unis et participe à de nombreux festivals. En 1998, Elina s’est installée en France, où elle a perfectionnée ses études avec Alexandre Brussilovsky et Philippe Aïche. Depuis 2001, elle est violon-solo de l’Orchestre du Grand Théâtre de Limoges et de l’Orchestre Symphonique Régional du Limousin, tout en poursuivant sa carrière de soliste. En janvier 2007, Elina a enregistré le CD « SOLO »

http://www.elina-kuperman.com

Samedi 22 novembre 11 h - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87) et en concert avec l’OSRL

Les artistes et intervenants …

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Géraldine Colladant-Hovaere Ateliers, récitante, texte, …

Géraldine Colladant-Hovaere étudie la contrebasse et le saxophone aux conservatoires de Châteauroux et d’Orléan. Après avoir enseigné ces deux disciplines, elle devient régisseur d’orchestre au sein de l’Opéra-Théâtre de Limoges puis de l’Orchestre Symphonique Régional du Limousin avec lesquel elle continue de collaborer. Son parcours lui permet d’appréhender dans ses multiples facettes la machine complexe du spectacle vivant. Vouant une passion aux mots et à l’écriture, un spectacle « Le Silence de l’Ange » a réuni sur scène ses deux amours, musique et poésie, poésies qu’elle a écrites

et jouées sur scène. Son recueil « Dans le secret d’un ange » a été édité en 2007 aux Editions Le Manuscrit.

Samedi 15 novembre 9 h 30 - Opéra-Théâtre de Limoges (87)

Répétition commentée de la Symphonie « du Nouveau Monde » Par Géraldine Colladant-Hovaere avec l'OSRL et Guy Condette,

Lundi 17 novembre 18 h 30 - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87)

A la découverte de DVORAK Présentation des œuvres : Géraldine Colladant-Hovaere

Samedi 22 novembre 11 h - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87

« Les Tribulations de Mochatello » sur un texte de et avec Géraldine Colladant-Hovaere

Frédéric Langlais et le quatuor Osiris de l’OSRL Du bandonéon, indissociable du tango et des musiques Sud-américaines, on connaît la sonorité si émouvante qui évoque sensualité et intensité des sentiments. Aussi, la rencontre de cet instrument avec un quatuor à cordes s’impose comme un arc-en-ciel musical aux couleurs infinies. La chaleur du timbres des cordes et la diversité de leurs palettes sonores se mêlent à la force du bandonéon, offrant une musique tantôt mélodique ou intimiste, tantôt rythmée et démonstrative. A chaque instant, la complexité des sentiments humains trouve sa représentation dans cette formation instrumentale qui nous propose une musique qui vient du cœur, et qui ne peut laisser personne indifférent… Le quatuor OSIRIS, créé en 1998, rassemble des musiciens du Limousin unis par un désir commun de pratiquer la musique de chambre sous sa forme reine : le Quatuor à cordes. Il est composé d’Héléna LYDA-MONDESIR et de Sylvie MERIOT aux violons, de Jean-François SALIES à l’alto et d’Eric LYDA au violoncelle. Tous sont musiciens de l’Orchestre Symphonique Régional du Limousin et de l’Opéra-Théâtre de Limoges. Ils sont également professeurs au sein du Conservatoire National de Région de Limoges, ou dans les Etablissements d’Enseignement musical de la région. Afin d’aborder au mieux le répertoire « tango » le quatuor Osiris s’est associé à Frédéric LANGLAIS pour son bandonéon au timbre unique. Samedi 22 novembre Foyer du public de l’Opéra-Théâtre à 20 h 30 : Concert /Bal Tango le Quatuor à cordes Osiris de l'OSRL et Frédéric Langlais au bandonéon interprètent des œuvres de Piazzolla et Searle. Grand Bal ouvert à tous jusqu'à minuit - Entrée libre

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Gilles Favreau, Récitant, présentation du concert « 20 ans » Gilles Favreau prend des cours de chant avec Daniel Delarue et suit des stages de jazz vocal du côté de Crest avec S. Lazarus, M. Hendricks. Il intègre, ensuite, la troupe de théâtre musical, La Java des Gaspards, en septembre 1997, participe à toutes les créations de la compagnie, dont Á l’heure où l’on s’embrasse dans lequel il est à la fois arrangeur musical, pianiste et chanteur. Avec les Gaspards il joue dans Irma la douce (2005) le double rôle de Nestor/Oscar. En 2000, Gilles est le narrateur dans L’histoire du soldat à l’Opéra-Théâtre de Limoges. Il participe à différents projets autour de la chanson : pour La Filature de Mulhouse (2005/06) comme chanteur et pédagogue et à la direction de Pentatonic, groupe vocal à trois voix, comme arrangeur vocal et interprète. En mars 2005, il participe, à la création d’une comédie musicale swing, En attendant le bus, où se mêlent claquettes, chansons (qu’il compose), mime et théâtre burlesque. C’est à partir d’août 2005 que Gilles intègre la compagnie des Brigands pour le spectacle Toi c’est moi (rôle du résident général), puis Les Brigands d’Offenbach (rôle du caissier) et Arsène Lupin banquier (rôle de Millepertuis). Il développe parallèlement une expérience cinématographique à travers 2 téléfilms, 1905 de Henri Helman (2005) et Les Camarades de François Luciani (2007). Les 18, 20 et 22 novembre À Égletons (19), St Junien et Limoges (87) Concert pédagogique Benjamin BRITEN, The young person's guide to the orchestra, op.34 Gilles Favreau, Récitant Les 18, 20 et 21 novembre À Égletons (19), St Junien et Limoges (87) Concert Dvorak : Les 20 ans de l’OSRL Gilles Favreau, présentation

Trio de guitares Alborada, Christophe Calafato, Jérôme Grzybek, Mathieu Dutriat

Si la guitare en formation de trio est moins représentée qu’en duo ou qu’en quatuor, elle n’en est que plus originale. C’est bien là un des aspects qui a amené ces trois guitaristes vivant leur art en limousin, à se produire au sein de cette formation : pouvoir proposer à leur public un répertoire singulier à découvrir ou à redécouvrir au travers du trio. Ce voyage musical mêle l’intimisme de la musique renaissance de John Dowland à l’énergie de Piazzolla ; indissociable de la culture guitaristique, Alborada ne peut oublier la musique espagnole telle que celle de Granados ainsi que la musique française par des transcriptions de Ravel.

L’énergie et l’enthousiasme dégagés sur scène font d’Alborada un spectacle incontournable pour tous les mélomanes !

http://trio.alborada.free.fr

Samedi 22 novembre 17 h 30 - Foyer du public de l'Opéra-Théâtre de Limoges (87)

Mini concert Entrée libre

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Renseignements et réservations

à Limoges

Renseignements : Concerts produits et organisés

par l’Agence Technique Culturelle Régionale du

Limousin en partenariat avec l’Opéra-Théâtre de Limoges.

05 55 45 13 85 ou 05 55 45 13 86 E-mail : atcrl-osrl@wanadoo.fr

Réservations :

Opéra-Théâtre de Limoges : 05 55 45 95 95

www.operalimoges.fr

Renseignements et réservations

en région

Égletons (19) Organisé par Les Jeunesses

Musicales de France de Corrèze en collaboration avec la Ville

d’Égletons JMF : 05 55 87 40 04

Mairie : 05 55 93 00 36

Saint-Junien (87) Pôle Culturel la Mégisserie :

05 55 02 87 98

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19, bd de la corderie

87000 Limoges

Nadine Fortin - Responsable administrative de l’OSRL Tél : 05 55 45 13 86 / osrl-n.fortin@orange.fr

Frantz Doré - Responsable de production Tél : 05 55 45 13 85 / frantz.dore@wanadoo.fr

Agnès Halary - Chargée des actions de sensibilisation Tél : 05 55 45 13 84 / atcrl-osrl@wanadoo.fr

Stéphanie Ballet – Chargée de communication/contact presse Tél : 05 55 45 13 82 / atcrl-communication@wanadoo.fr

Analyses des œuvres : Pierre-Michel Bédard Crédits photographiques : Frédérique Avril – Jean-Christophe Dupuy

Toutes les infos culturelles de la région Limousin sur

www.culture-en limousin.fr

Président ATCRL : Stéphane Cambou Licence de spectacle : ATCRL – Didier Simon – n°870615

:::::: Contacts ::::::

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L’OSRL est financé par le Conseil Régional avec l’aide la Ville de Limoges

Orchestres en fête ! reçoit le soutien national de :

Et de la Direction Régionale de Caisse des Dépôts

Ces manifestations bénéficient d’un partenariat régional avec :

L’ECHO