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    ten line newsn° 317 - nouvelle série

    Date: lundi 12 mars 2007Sélection des listes de l'AMPEditée sur !"A# $ar %uis S&%A& (((((((((((((((((((((((((((((((

    L’O r i e n t a t i o nL a c a n i e n n e

    Cours de JAM du mercredi 7 mars 2007Cette leçon inclut un mémorable hommage à Robert et Rosine Lefort récemmentdisparus. JAM souligna, avec beaucoup de tact et d’amitié, la place que tousles deux ont occupée dans la psychanalyse en général et dans l’orientationlacanienne en particulier.

    Le préambule« Il faut renoncer à l’Un. D’où je suis maintenant, il me faut renoncer à l’Unquand je vous parle encore de Lacan. Ill faut que je me persuade que je me

    tiens sur un bord quand je vous parle de Lacan, où ce que j’appellerais le «système de Lacan, se défait. C’est sans doute pourquoi j’ai différé, autantque j’ai pu, aborder cette étendue du tout dernier enseignement : ça ne tientpas ensemble !. Je constate que moi-même, j’ai du mal à renoncer à l’Un dusystème. Je n’y progresse que par des tentatives et c’est pour ça que je buttesur des aperçus hétéroclites, des éclats insolites, qu’on rencontre dans cettetoute cette dernière période. Il y a sans doute à élaborer une autre façon del’aborder que celle que j’ai pratiquée moi-même, enseignée.Cohérence à avoirà l’endroit de la contradiction. J’ai essayé de dissoudre les contradictions enpluralisant les points de vue, enfin on ne se refait pas… J’accepte dem’accorder à lavaritéde Lacan de la toute dernière période ». 

    L’introduction JAM parle avec amitié de Robert Lefort. De leur rencontre, du travailaccomplit ensemble et du Cereda, pour ensuite introduire, avec beaucoup dedélicatesse, Rosine, Rosine et sa clinique. « La clinique de Rosine était déjàancienne quand tous les deux ont commencé à en rendre compte. Rosineétait analysante de Lacan ». JAM remarque qu’un propos de Lacan adressé àRosine, lorsqu’elle est allée le voir après son analyse, aurait donné confiance,à tous les deux, pour la mettre en ordre. Ce propos est le suivant :« en ce

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    temps là vous ne pouviez pas vous tromper ». JAM commente que dans cestemps là, Lacan estimait qu’elle ne s’embrouillait pas, qu’elle était dans le

     vrai. « Est-ce pour autant dire qu’elle ne touchait pas le réel ? Ce n’est pascomme cela qu’on doit aborder la question. Il y a des moments où le réel

    touche le réel sans passer par la parole menteuse ». Quelle est la définitiondu vrai ? JAM en donne une : « c’est le rapport direct du réel au réel et c’estcela qui est bien en place dans cette clinique de l’enfant ». Puis, JAMévoquera le titre de l’un de leurs ouvrages, «La naissance de l’Autre». Ilremarque le culot de ce choix du titre, et décrit comment ils s’y sont attachésà démontrer la construction de l’Autre à partir de l’un-corps. Ainsi, ils ontété conduits à placer leur clinique du côté de l’autisme. « De l’autismecomme catégorie au même titre que névrose, psychose et perversion. C’étaitpeut-être là la catégorie fondamentale, l’autisme, comme l’état natif du sujet.L’autisme, comme catégorie fondamentale, peut se recommander du toutdernier Lacan, du système qui se défait, et où Lacan réduit l’inconscient aufait de parler tout seul. On parle tout seul, parce qu’on ne dit jamais qu’uneseule et même chose ». Quel est le symbole de cet inconscient ?, se demande

     JAM. « C’est le rond, le rond des ronds de ficelle, qui répète ce tournage enrond du parler tout seul ». 

    L’impossible de la psychanalyse etlalangue JAM reprend cette référence du Séminaire de Lacan , 1976-77, dans la leçondu 11 janvier 1977(1), et nous rappelle que la phrase se poursuit en nous

    livrant son interrogation sur comment il allait la traduire ici, maintenant :«(…) une seule et même chose qui en somme dérange, d’où sa défense ». C’est ladéfinition de l’inconscient par l’autisme de la parole, ajoute JAM. « D’où laquestion de Lacan, de savoir si la psychanalyse ne serait pas un autisme àdeux» (2). JAM observe que c’est la logique interne du discours de Lacan quile conduit « à formuler l’impossible de la psychanalyse » et qu’il inventeautant qu’il redit la même chose, à savoir que c’est impossible.« C’est donc sous les espèces du « s’il y a la psychanalyse », que tout ledernier enseignement se développe à titre hypothétique. JAM fait état de la

    multiplication des forçages opérés par Lacan dans cette dernière période. JAM se demande sur ce qui s’est imposé à Lacan pour truffer son discoursde ce néologisme,lalangue, à partir du Séminaire Encore . Il répond qu’ilfaut entendre cela avec cette référence à l’autisme, du rapport à l’un-corps. «Ce dernier est un néologisme si l’on veut, car il s’agit de l’article indéfini,

     voire cardinal, associé au substantif. Il y alalangue et il y a l’un-corps. Larelation repose surlalangue. Ce n’est pas le langage qui, lui, est une mise ensavoir de la langue ». Et encore, « Le langage est une abstraction, tandis quelalangue vise la parole prise matériellement, c’est-à-dire, phonétiquement. Si

    on le dit comme cela, elle fait couple avec l’écriture, terme que Lacan n’a pasnéologisé, mais dont il a fait un usage bien à lui.Lalangue est à l’opposé de

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    l’écriture (lalangue > l’un-corps > écriture).Lalangue, entenduephonétiquement est, du même coup, délestée de la grammaire. La grammaireest la langue que dit cela se dit ou cela ne se dit pas.Lalangue absorbe cequi se dit. Elle n’a pas de négatif. Elle se joue du lexique comme de la

    syntaxe ; elle s’ouvre à toutes les équivoques. Ce qui sauverait lapsychanalyse, c’est l’affaire commune (3) delalangue que Lacan promeutl’équivoque comme procédé majeur interprétatif. Les trois termes répondentà une orientation commune, matérialiste ». 

    La notion de matière JAM rappelle que Lacan a dit que tout ce qui n’est pas fondé sur la matièreest une escroquerie (4). Il se demande ceci : « Pourquoi la matière serait-ellela voie pour sortir la psychanalyse de l’escroquerie ?» La matière, poursuit

     JAM, est à prendre au titre qu’elle fonderait l’identité du même. « Onreconnaît le même quand on le prend matériellement dans tous les contextesoù il figure. Dans ces contextes, il diffère, il devient autre en fonction dusens. Et voilà pourquoi Lacan considère la notion de matière fondamentale,parce qu’elle fonde le même hors du sens. Le sens, la notion du sens, fondel’Autre. L’Autre, c’est précisément le sens. L’Un au sein du même, c’est lanotion de la matière ». (…) le symbolique supporté par le signifiant ne dit quemensonge quand il parle. Freud a isolé dans le terme deVerneinung,cemensonge pour faire passer la vérité (5). C’est l’opposition de matière etmensonge, et Lacan utilise ce terme de matière pour l’opposer au terme de

    mensonge. JAM signale une critique de l’échange dans le Séminaire de l’une- bévue (Livre XXIV). 

    Google JAM fait rire le public. Son essai sur Google est simplement tordant ! Del’humour, de la grâce dans ses trouvailles et beaucoup de commedia dell’artedans sa mise en scène. Inoubliable. À filmer plus qu’à transcrire.

     JAM définit notre compagnon « nouvelle génération », comme étant habitépar un désir totalitaire. « Ce que Google met à la place de l’infini, c’est la

    totalité. Le signifiant est bête comme chou, le signifiant entendumatériellement. Il y a le malentendu, bien sûr, c’est la rançon que le signalest fait des mots. Google, qui règne sur la matière signifiante, est fermé ausens. Il chiffre sans pouvoir déchiffrer. Exactement, la puissanceextraordinaire de Google, vient de ce qu’il mémorise la matérialité dusignifiant. Il apparaît que Google peut paraître intelligent ». 

    La pulsion« La matière du côté du corps, le corps se présente à nous comme

    consistant, comme ce qui tient ensemble comme unité. L’un-corps c’estéquivalent à la consistance essentielle de l’être humain. Le deuxième terme

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    qu’on trouve aussimezza voce, est celui de la consistance de l’inconscient.L’inconscient ne disant qu’une seule et même chose. Il y a rapport à établirentre l’un-corps et l’inconscient. Ce rapport était construit dans le systèmede Lacan. Ce système était habité du secret de l’harmonie. La

    significantisation du corps supposait que le corps était docile au signifiant,qu’il se laisse faire, éduquer. Il en va de même de l’incorporation dusignifiant. Cette harmonie, Lacan a donné la formule dans le deuxièmechapitre du Séminaire XI, où il étudie la pulsion. C’est-à-dire, quelque chosequi prend la suite du Séminaire de l’Angoisse. Dans le Séminaire X, Lacanconstruisait la pulsion à partir d’une communauté topologique entre le sujetet les manifestations de l’inconscient. Quelque chose dans le corps eststructuré de la même façon. Dans cette articulation, pulsion et inconscient,il y a le principe même du système de Lacan, une harmonie. C’est cetteharmonie qui est mise en question dans le tout dernier enseignement deLacan. Entre le symbolique et le corps, Lacan écrit la pulsion, en position demédiation, comme un mythe. (Symbolique > pulsion > corps)Le réel (JAM écrira au tableau ceci : Pulsion en haut, en dessous Jouissanceet encore en dessous Réel). « Le réel ici, ce n’est pas le réel sans loi, c’est leréel comme une constante, comme ce qui revient toujours à la même place,même si c’est une place inaccessible, un réel sous la domination dusymbolique, et c’est bien ce que dit le mot place. Lacan pose que la fonctionde la jouissance a une structure logique, et il s’agit de la même choselorsqu’il écrira les formules de la sexuation. Ce que devient la pulsion est

    censé représenter, par excellence, le résultat de l’action du signifiant sur lecorps. Se repose ainsi la question entre l’un-corps et l’inconscient qui dittout seul, la même chose. C’est tout ce questionnement qui s’e trouve enserrépar les schémas borroméens … »Le public offrit à JAM un joyeux applaudissement. À la semaine prochaine.Notes de EDTLN :(1)Une version inédite de cette leçon du 11 janvier 1977, du Séminaire « L’insuque sait de l’une-bévue s’aile à mourre », Livre XXIV, donne la phrasesuivante : « (…) le fait que l’inconscient, c’est qu’en somme, on parle –si tant est

    qu’il y ait du parlêtre- qu’on parle tout seul, qu’on parle tout seul, parce qu’onne dit jamais qu’une seule et même chose qui en somme dérange, d’où sadéfense … »(2) Le Séminaire, Livre XXIV , leçon du 19 avril 1977.(3) Le Séminaire, Livre XXIV, leçon du 19 avril 1977.(4) Le Séminaire, Livre XXIV, Leçon du 14 décembre 1976.(5) Le Séminaire, Livre XXIV, Leçon du 15 février 1977.(From LS for TLN) 

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    « On n’ est pas sérieux quandon a dix sept ans »*

    Conversation clinique

    Samedi 31 mars 2007de 9h30 à 18 h

    Chapelle de ille!"vrard

    Les travaux du 31 mars 2007 se dérouleront sur le mode de la Conversation.Les textes seront adressés à l’avance aux participants : pas de généralités.Seulement deux cas le matin (dont l’un, présenté par un intervenant du

    CPCT de Paris, ensuite par un praticien de l’unité de Consultationd’Aubervilliers) ; trois cas l’après-midi.Renseignements, Yves-Claude Stavy,tél 01 41 61 22 70 (From ecf-messager)

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    06.03.MINAS GERAIS. X Jornada de Catéis. Conferência de abertura: Hebe Tizio (ELP): A variedade da prática. Do tipo clinico ao caso único empsicanálise. 30/III/07 et 31/III/07. (From ebp-veredas) 

    O7.03.BARCELONA.Lunes de Cine & Psicoanálisis. El cine deLacan. Lunes 19 de marzo a las 21h. En la reunión del lunes 19 de marzo,como quedamos el 19 de febrero, hablaremos de las películas Él de LuisBuñuel y Rashomon de Akira Kurosawa. Referencias: Akira KurosawaRashomon: Jacques Lacan, El Seminario IX, La identificación (27/06/1962),(inédito).Luís Buñuel, Él: Jacques Lacan, “Kant con Sade”, Escritos. Lasreferencias de Lacan, en esta ocasión, serán comentadas por Anna Aromí.

    (From SCB) 

    08.03.PARANA. Via lacaniana On Line. (From ebp-veredas) 

    O8.03.CARACAS. Los días 16 y 17 de Marzo de 2007, la Nel Caracas –Pronunciamiento celebrará sus IV SEMINARIO DE INTERCAMBIO : *"ELPSICOANALISTA, SU CLÍNICA Y LA CIUDAD", a cargo de la psicoanalista

    invitada: Piedad Ortega de Spurrier, miembro de la NEL-Guayaquil. Seguidoa éste, se dará inicio a las IV JORNADAS de la Nel Caracas Pronunciamiento,

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     bajo el tema:"EL PSICOANÁLISIS EN LA CIUDAD" donde miembros yasociados expondrán trabajos como "Psicoanálisis contemporáneo", RaquelCors; "¿Cómo responde el psicoanálisis a los problemas de los jóvenes ennuestras ciudades?, Lucía Dragonetti; "Sobre una actividad clandestina.

    Puntualizaciones sobre el objeto mirada", Rosa Lagos; "Saber hacer con elresto", María Eugenia Domínguez ; "Obesidad: EL cuerpo desbordante",Erika Guédez y "Sobre un uso público posible del psicoanálisis en laformación médica", Gisela Cordido.(From nel-debates) 

    09.03.COPENHAGUE. KLAG seminar / Séminaire du KLAG (KlinikLacanianske ArdejdsGrupper). Copenhague le 17 mars 2007. Saturday the17th of March : 13.00-17.00.Place: Vesterbro Kulturhus, Copenhagen.Pierre-Gilles Gueguen, Paris, Vice-President of the New Lacanian School of

    psychoanalysis (NLS), “The obsessional neurotic and the impossibleprohibition”, and René Rasmussen (Copenhagen), “Toxicomania andtransference”. (From nls-messager) 

    09.03.MADRID. Grupo de investigación de las psicosis. Miércoles 14 demarzo. Intervienen: Amanda Goya: Acerca de la Verwerfung. (Comentario delcapítulo XV, Seminario III "Acerca de los significantes primordiales y de lafalta de uno") et Vilma Coccoz: Homenaje a Rosine y Robert Lefort. Un

    comentario sobre el caso Robert. (From elp-debates) 

    Ouro Preto. 10.03.MINAS GERAIS. SEMINÁRIO PREPARATÓRIO AO 3ºENCONTRO AMERICANO: "A Variedade da prática - do tipo Clínico ao casoúnico da Psicanálise". Responsáveis: Elisa Alvarenga, Jésus Santiago,RamMandil e Sérgio Laia. Quinta-feira, dia 15 de março, às 20:30hLocal: Sededa EBP/MG. (From ebp-veredas) 

    10.03. PARIS. Soirée de la Passe à l’ECF. Prendre le risque de la passe : Lapasse et ses suites. Soirée animée par Laure Naveau et Rose-Paule

     Vinciguerra. Le 20 mars, Laure Naveau : « Une fin d’analyse ». À 21h15, aulocal : 1, rue Huysmans, 75006 Paris.

    12.03.BARCELONA.SEMINARIO: LOS OBJETOS (a) EN LA EXPERIENCIA ANALÍTICA. Título: La mascarada femenina desde el Seminario X.Participante: Neus Carbonell. Fecha: 13 de marzo de 2007. Comisión: Lucía

    D’Angelo, Marcelo Curros, Montserrat Puig, Carolina Tarrida, VicentePalomera (responsable)(From elp-debtates)

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     Journées d’Automne 2007 de l’ECF

    Les prochaines Journées d’études de l’Ecole de la Cause freudienne setiendront à Paris les 6 et 7 octobre 2007 au Palais des Congrès situé à la

    Porte Maillot. Le titre en est :

    NOTRE SUJET SUPPOSÉ SAVOIR.Ses incidences cliniques, ses enjeux politiques

    COMMENT FINISSENT LES ANALYSES

    Rose-Paule Vinciguerra et Guy Trobas assureront la direction decesJournées.

     Voir la page web:

    (Fromecf-debats)

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    Paris

    Soirée de la Bibliothèque de l'ECF du mercredi 7 mars

    Pour la reprise du séminaire de la Bibliothèque de l’ECF Marie-ClaudeSureau avait demandé à Eric Laurent d’accueillir Jean-Claude Milner, à

    l’occasion de la parution de son dernier livre Le Juif de savoir : commententendre ce génitif ? De quel savoir y a-t-il « le Juif » ? Faisant d’abord valoirla tension entre le « savoir embrayé » et ce qu’il appelle « le savoir absolu » etqu’il réfère davantage à Foucault (cf Les mots et les choses, chapitre X « Lessciences humaines ») qu’à Koyré, l’auteur a évoqué la fugacité de deuxgrands moments de valorisation extreme du savoir textuel, le nom de Galiléeindexant le premier, et celui de la linguistique du XXème siècle le second.Entre temps, il était advenu que la technique s’était émancipée de lascience,ce qui conduit à poser la question de l’universel à nouveaux frais. « Une

    histoire critique de l’universel s’imposerait », nous a-t-il dit,rappelant quecette notion obscure et confuse rassemble des hétérogènes, lekatolou d’Aristote (d’où vient « catholique ») n’ayant rien à voir avecl’universum latin,l’usage de « tout » au pluriel n’ayant rien à voir aveccelui de « tout » au singulier. Lacan notait, nous a-t-il dit enfin, quel’humanité se rassemblait sous une croyance commune : au Père Noël. Or, sila communauté de la cité antique était limitée quant à l’espace sur lequel ellerégnait et quant au nombre des citoyens qui la composaient, c’est Alexandrequi, le premier, a considéré l’humanité innombrable, rassemblée par une

    determination naturelle, le Cosmos, et donc un lien de fraternité.Or ce n’estpas cet embrayage-là que le père de la psychanalyse mit enœuvre, en tout

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    cas pas dans son Moïse dont la stylistique, affine au savoirabsolu, nerésorbe pas pour autant son auteur qui affirme d’entrée de jeu son refus desacrifier la vérité à un prétendu intérêt national. Comment le nom de Juif,solidaire de l’étude et donc de la deuxième personneet de la première, peut-

    il consentir au savoir absolu sans se nier lui-même,lui résister ou s’endétacher, puisque ce savoir ne repose plus que sur latroisième personne(celle dont Lacan, citant Benveniste, énonce précisémentqu’elle n’existepas) ? Jacques-Alain Miller a rappelé la définition que Quine a donnée del’être : « être, c’est être la valeur d’une variable liée ».La logique commeavatar de la mutilation susceptible de qualifier lepsychanalyste ? Cet appuilui suffirait-il, audit psychanalyste, pours’interposer entre les choses et leurpolitique ?. Nathalie Georges Lambrichs. (From ecf-debats)

    __________________________________________

     TLN se réjouit de l'honorable distinction reçue par notre collègue etami, Don German Leopoldo Garcia, des autorités de la Cité Autonome

    de Buenos Aires________________________________________________

    Copyrigth New Yorker.(Sélection Armand Zaloszic, lecteur du NY)

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