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Sous le Haut Patronage de Son Altesse Royale la Princesse Mathilde
9emes RENCONTRES INTERNATIONALES DE THEATRE AMATEUR
Un festival de création théâtrale avec thème mais non compétitif
Thème 2012 « Ailleurs »
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12
ESTIVAD’EDITO
Lorsque la beauté règne sur les yeux,
il est probable qu’elle règne encore ailleurs.
Maintes fois, tout en errant dans les lieux publics, je me suis mis en cause en tant
qu’homme. Pas l’Homme en tant qu’« humanité » mais l’homme comme être de sexe mâle.
À la cinquantaine, le regard de l’homme se détourne
souvent vers les créatures fantasmagoriques qui
remplissent les magazines en tous genres ou qui se
dandinent en vous souriant. Ceci au détriment, et sans
vergogne, des Dames d'autres âges qui, elles, ont été
outragées par les effets du temps qui passe.
Nous rendons-nous compte du bouleversement, je dirais
même du traumatisme, que nous leur infligeons en plus de
ce que la nature leur a déjà fait ? Pourtant si vous regardez
de plus près ces Dames, vous y contemplerez les traits si
précieux qui nous ont fait tant rêver.
Perdus dans quelques rides insolentes, les yeux n’ont pas changé, ils sont aussi bleus, aussi
bruns, aussi verts, enfin aussi beaux qu’aux premiers jours où elles nous ont séduits. Le
timbre de leur voix, certes un peu plus grave, ne dit-il pas les mots tendres d’avant ? Les
mains, bien sûr un peu ridées, ne caressent-elles pas avec autant de tendresse que dans vos
esprits vagabonds ? Ne sont-elles pas les braises ardentes et réchauffantes qui suivent le feu
de bois…
En y regardant de plus près, un soir devant un miroir, demandez-lui : « Miroir, mon beau
miroir, suis-je toujours le plus beau ? » Et cherchez vous-même la réponse. Mes rides ? Mes
cheveux ? Mes mains ? Arrêtons ici, vous m’avez compris…
Alors, mes Dames, pardon, pardonnez-nous de n’être que des hommes. Vous êtes toutes
Belles !
Jean-Luc
« UN PLUS : »Tous les « Estivades Infos » se trouvent en version « .pdf »
(Adobe Reader©) sur :
http://estivades2012.cifta.org/index.php/estivades-info
Les photos en couleurs y donnent de bien meilleurs résultats.
ON A VU ET APPLAUDI
L'après-midi, au Studio : la Compagnie TA 58, de
Suisse,
avec "Le dernier train" de Natacha Astuto
Le public toujours friand de pièces policières, de
polars, de thrillers... autrement dit de pièces dites "à
suspense" a été conquis et comblé. Les ingrédients
étaient présents : une cellule de prison, deux criminels
prisonniers confrontés à une gardienne et une
mystérieuse visiteuse un soir d'orage. Bien sûr, le genre
est actualisé; on y parle de psychopathe, d'enfant abusé... et d'une enquête sur les conditions
carcérales avec une conclusion non moralisatrice.
L'auteure a habilement construit sa pièce, le décor sonore et lumineux poursuivait dans ses
intentions et la metteure en scène a su diriger ses comédiens, excellents, vers un climat
général assurément anxiogène ! Dans ce huis clos s'affrontaient quatre comédiens, et malgré
le handicap de ses apparents jeune âge et bonne santé dans le cas du "détenu" Jacky
Emson/Grégory Jacquet, Jean-Pierre Durieux, Janine Constantin et Natacha Astuto
constituaient un quatuor homogène, redoutablement efficace.
Le soir : à la Maison de la Culture : la Giovane Compagnie ITAF, d'Italie,
avec "Pane e Corragio" de Giovanni Ferrari
A un autre niveau se situait le message de ces jeunes
comédiens italiens : plus novateur dans sa forme,
davantage ancré dans une réalité universelle crue et dure
pour le fond.
Un texte poétique et engagé, allant à contre-courant du
"petit racisme ordinaire" - ces "étranges étrangers" - était
dit en italien, après un passage polyglotte, mais aussi
surtitré en français. Il rappelle sans misérabilisme, la condition de tous ceux qui, à notre
époque comme en d'autres, ont quitté le sol natal pour, avec beaucoup de "courage" trouver
"du pain" ...ailleurs, en des pays pas toujours favorables a leur arrivée. Combien d'eldorado
de pacotille pour combien de vraies terres d'accueil ?
Ce spectacle est le résultat parfaitement abouti d'un travail intense sous la direction d'un vrai
"pédagogue", Giovanni Ferrari qui lors des saluts, le dédia en quelque sorte aux victimes
d'une catastrophe minière, en Belgique, qui fit des victimes en grande partie immigrants
italiens.
Il semble que le langage non verbal ne soit pas encore compris par des spectateurs non
habitués à une technique artistique de plus en plus employée, comme les nouvelles
technologies, dans les formes actuelles de spectacles professionnels. Mais tous furent
profondément remués par le talent déjà bien affirmé, la ferveur, l'implication, la générosité,
la conclusion pleine d'espoir, de tous ces jeunes qui n'ont du reste pas hésité à s'investir en
allant à la rencontre des spectateurs dans la salle.
Suzane
A NE PAS RATER AUJOURD'HUI
Au Studio :
I Matiröö, Suisse, présente : "Ul temp d'un stralüsc"
Après la "Compagnia della notte", voici d'autres amis du Tessin... et que nous avons déjà
retrouvé avec plaisir lors de la première Animation sur la place de Marche.
Aux Estivades 2009, nous avions découvert avec eux, "Les Matiröö" - appellation qui vient
d'un surnom donné à un personnage réel qui fut surnommé "matiröö ou "le fou"- qui nous
viennent de la charmante localité de Vacallo, que si l'on parlait bien italien au Tessin (un des
cantons de Suisse), il y avait une différence, plus ancienne, remontant au temps des petits
états découpant le territoire italien. A cette lointaine époque, le "Ticino" dépendait du Duché
de Milan avec sa langue propre appartenant aux dialectes lombards... Les "Matiröö la voient
comme "la langue du coeur, l'expression des sentiments les plus profonds, le regard simple
et populaire" avec ce que cela suppose de bon sens et de comique bon enfant. Un dialecte
qui a un "un goût de pain de seigle", suivant le titre (traduit) d'un recueil de Giovanni
Bianconi...
Et donc, on peut parler de "commedia dialettale" à propos de la pièce écrite par Gianni
Delorenzi, dont il assure la mise en scène. On peut en traduire le titre par "Dans la lueur
d'un éclair".
Du reste, gageons que nous allons certainement trouver des analogies avec certaines
coutumes de chez nous. N'y parle-t-on pas de sorcière ("européenne", donc une vilaine
méchante), de château, et de paysans crédules ? Un contexte ancien, voire moyennâgeux
mais qui veut rappeler pourtant que la vie moderne ne guérit pas de l'obscurantisme et du
fanatisme.
A la Maison de la Culture :
Le Studio de Monaco présente : "2012 après J.C...."L'an pire de Rome"
Le "Studio de Monaco" est un fidèle parmi les fidèles ! Il est jumelé avec le STL de Liège
et, aux Estivades de 2009, c'est tous ensemble que nous fêtions ses 80 ans d'existence ! Qui
dit mieux ! Un bel exemple de "verdeur" (et de verve), de "longévité active". Son équipe,
non contente de monter des spectacles, organise également son propre festival :"le Mondial
de Monaco".
A chaque édition des Estivades, il est frappant de constater que, sans que la diversité des
genres soit la règle exigée, un beau mélange de genres et de styles est bien présent, et sur le
même thème, imposé, lui.... C'est ainsi, qu'ici, avec ce nouveau spectacle monégasque, on
peut annoncer une "comédie drôle et parodique", rien qu'en voyant son titre.
Certes, nous avons eu déjà de l'ironie, de l'humour noir, de la dérision, du nonsense, de la
fantaisie... mais voici de la franche rigolade, de l'exercice visant à faire travailler les
zygomatiques, un exercice indispensable à la bonne santé, parait-il. Un conseil médical bien
agréable à suivre...
A NE PAS MANQUER NON PLUS
UNE AVENTURE APPELEE… THEATRE
Quelle belle aventure humaine...nous avons tous vibré ce dimanche sous les coups de
pinceau du collectif québécois.
En quelques traits, le genre humain nous est dépeint dans ce qu'il a de bon et de moins bon.
A travers la vie de ce groupe on perçoit très bien la personnalité de chacun et ce qu'il peut
apporter à la collectivité. Chaque personnage a un passé, un présent et un devenir. Les
comédiens ont réussi ce tour de force de nous donner du ressenti à travers des faits sans
sombrer dans le mélodramatique ou les pièges du récit psychologique.
Un spectacle tout en sensibilité où la puissance de l'interprétation nous emporte
brusquement au pied de l'arbre à Manu.
Nous avons pleuré... tous ensemble: Tito, Pat, Théo,...et nous.
Cécile
Un "œil extérieur" sur "Les Colloques" : Un moment d'échange très riche !
Quoi de plus intrigant que de se retrouver en petit comité avec les acteurs que l'on a
applaudis la veille ?
Ils comblent notre curiosité en racontant leur parcours, la naissance de leur troupe et son
évolution, la genèse de la pièce qu'ils sont venus jouer aux Estivades.
Ce n'est pas tous les jours que l'occasion nous est donnée de pouvoir poser des questions
aux artistes que l'on vient de voir en scène.
Le plus touchant, c'est de voir un comédien en complimenter un autre, d'un autre pays,
d'une autre culture, avec son émotion, sa sensibilité et sa perception d'artiste, évoquant des
aspects qui avaient échappé aux simples spectateurs.
Un vrai moment de convivialité donc, mené de main de maître, avec tact et respect par
Marjorie qui passera la main dès...mercredi à Joseph Simon.
La toute première fois...
Je n'imaginais pas, vu mon âge, que le mois d'août 2012 serait pour moi l'été des "premières
fois" ! Premier séjour à Marche-en-Famenne. Premier contact avec les Estivades, qui
m'étaient inconnues jusqu'à ce jour alors qu'il s'agit déjà de la 9ème édition !
D'emblée je fus touchée par la générosité de chacun des membres du staff et ce à tous les
niveaux : accueil, cuisine, rédaction, photo...etc. Chacun donne le meilleur de soi-même
avec enthousiasme, dynamisme et énormément de savoir-faire.
Et puis il y a les acteurs, bien sûr, dont le théâtre est qualifié d'"amateur" dans l'intitulé mais
dont la performance, en revanche, relève du professionalisme pour la plupart d'entre eux. Il
est vrai que chez nous le terme amateur a une connotation souvent péjorative qui n'a pas du
tout sa place ici si ce n'est au sens premier de "amare" signifiant aimer. Et ce sont des
acteurs passionnés qui nous offrent deux spectacles par jour, et de très haute qualité. Serait-
ce donc le terme "amateur" qui refroidit les médias et qui empêcherait les journalisrtes
d'accorder à cet événement triennal la place qu'il mérite vraiment ?
Dans ce cas, il serait temps pour eux d'ajuster leur lorgnons et de venir constater par eux-
mêmes que les Estivades sont un festival bien "huilé" qui n'a rien à envier à certains
spectacles dits professionnels, hauts en couleurs et qui ne méritent pas toujours le battage
promotionnel qui leur est accordé.
Nadine
FESTIVADES et ESTI…STAGES
Recette pour réussir une bonne animation Estivadière (toujours nocturne... mais avec pluie
ou/et temps menaçant ! ) :
Mettre les estivadiers et leurs amis, dans une cafétéria surchauffée. Montez l'ambiance.
Au préalable y avoir ajouté quelques ingrédients qui vont donner de la force à l'Animation :
petit podium, micros et autres…
Choisir quelques bons ingrédients de comique éprouvé et quelques éléments fantaisistes
laissés à l'inspiration du Chef (si, si, il en faut toujours un). Osez, osez...
Mélangez le tout et arrosez à discrétion des produits liquides artisanaux se trouvant à portée.
Agitez vigoureusement mais sans fouetter (éviter les grumeaux ou "margailles").
Prêts pour le feu, enfournez.
De temps à autre, vérifiez la température et au besoin, rajoutez des bouffées de musique,
des pincées de déconnage, et laisser faire... Ne jamais glacer.
Vous en avez pour deux bonnes heures.
Merci et bravo à toute l'équipe du Centro di Teatro Internazionale qui nous avait fait la
démonstration lundi soir... et bravo aussi à tous ceux qui, déjà, ont repris le flambeau (enfin
les spots et projos) et qui nous ont gentiment proposé leurs spécialités ainsi qu'à ... ceux qui
continueront cette semaine encore ! Suzane
SUITE DES INFOS : à l'instant
tombe la réponse officielle du Comité des J.O. !
Nous sommes très contents que l’esprit olympique aie gagné les Estivades donnant lieu une
belle compétitivité artistique. Nous avons apprécié la volonté qu’a pu démontrer la
Belgique lors de sa participation aux J.O. Sur ce, les juges ont visionné à nouveau les
résultats afin d’analyser de plus près le classement. Suite à un pot de vin, nous avons
décidé de modifier les résultats et de donner un prix à la Belgique. Ce prix pourra être
retiré au près du comité olympique après l’exécution publique d’un exercice de rythme.
Le Comité Olympique.
COLLOQUES
« Dove suonano i comignoli» par la Compagnia della Notte de Suisse
« Barouf en PME» par le Théâtre du Défi de Namur
«Dove suonano i comignoli»
Jeune compagnie de 5 ans d’âge. Ils suivaient des cours dans une école de théâtre et ont
décidé de créer une compagnie afin de mettre en scène des pièces écrites par un membre de
la troupe, expressément pour eux, en fonction de la personnalité des comédiens. Ensuite, ils
ont évolué vers des pièces d’auteurs et ils ont alors dû construire leurs personnages avec
l’aide du metteur en scène.
Le spectacle est en constante évolution selon la technique de la Comédia dell’arte, une
même pièce n’est jamais jouée deux fois de manière tout à fait identique, les comédiens se
renouvellent continuellement, apportent de nouvelles touches à leur personnage, de
nouveaux éléments qui influencent le jeu de tous.
La pièce est composée de 4 histoires évoquant 4 lieux :
1- l’Afrique : être prisonnier et payer une liberté d’un jour en acceptant la mort
2- la Turquie : la condition de la femme
3- L’Europe : une civilisation âgée, malade
4- l’Asie : la culture qui s’affirmera à l’avenir
Le travail de création a duré 8 mois, chacun a apporté un peu de son imaginaire. Le metteur
en scène proposait un thème, les comédiens improvisaient sur ce thème et, sur ces
improvisations, le metteur en scène et les acteurs travaillaient, combinaient, structuraient et
construisaient un ensemble cohérent. Il y a donc une très forte participation des comédiens
dans la construction du spectacle. Ils ont vécu cette aventure avec passion et beaucoup de
plaisir. Ils ont apprécié de pouvoir jouer des personnages différents, de vivre des vies
différentes et de faire ressortir leurs différentes personnalités.
Ceci est la troisième forme de création collective (avec le « cycle repère » et « les
personnages-animaux ») que nous appréhendons à ces 9èmes Estivades : la liberté de
chacun dans une structure « encadrée » et acceptée ; chaque comédien apporte sa
personnalité, prend son propre chemin... et le metteur en scène utilise et structure ce que les
comédiens lui apportent.
Les Estivades, festival de création !
La scénographe donne son interprétation de l’élément de décor qui se trouve en fond de
scène durant les 4 histoires : un grand carré, un « tout » dont on a ôté des morceaux
représentant les silhouettes des comédiens et dans lequel apparaissent des symboles (un
bateau par exemple).
Chaque comédien s’occupe de la recherche et de l’élaboration de ses propres costumes qu’il
propose ensuite au metteur en scène afin que celui-ci veille à la cohérence de l’ensemble.
Qu’est-ce qui motive le comédien amateur et l’amène vers la créativité en utilisant des
processus variés… ? C’est le PLAISIR !
«Barouf en PME »
Le Théâtre du Défi existe depuis 32 ans et a été créé par des amoureux du théâtre, tous
débutants, qui se sont lancé des défis successifs, ont fait appel à des metteurs en scène qui
leur ont permis d’évoluer, de progresser. Le nombre de comédiens varie en fonction des
pièces programmées, mais le noyau est composé d’une vingtaine de personnes. Chaque
année, ils montent un nouveau spectacle et proposent une reprise.
Ils jouent également en milieu scolaire. Cet aspect est essentiel pour former les jeunes au
théâtre, les sensibiliser à cette forme d’expression et, peut-être, susciter des vocations. En
France, il y a maintenant une option « Théâtre » au Bac.
Le Théâtre du Défi a fait appel à un metteur en scène dans le but de présenter un spectacle
aux Estivades. La première répétition s’est faite sur la base d’un texte de trois pages
proposé par le metteur en scène. Ensuite, en fonction de la personnalité de chaque
comédien, de sa sensibilité et de l’évolution de la construction des personnages, en
mettant en commun l’apport de chacun, le metteur en scène a poursuivi son travail
d’écriture, le texte s’est étoffé et s’enrichissait à chaque répétition.
Et c’est la quatrième forme de création collective pour les Estivades !
C’est après une première présentation publique du spectacle, encore inachevé (lors du
festival « Tous en scène » organisé par la Province de Namur) que le personnage de
Vincent s’est ajouté. D’abord très fugitif, il a pris de l’importance au cours des répétitions
et de l’évolution de l’écriture. Le personnage de Vincent a amené une tension
supplémentaire et les comédiens ont dû s’adapter.
La jeune comédienne, d’abord rebelle, change et quand son mentor (Marie Jeanne) lui dit :
« pense à toi », elle devient celle qui reste et qui se soumet à Vincent.
Le sujet étant sensible pour beaucoup de personnes, ils ont souhaité apporter un souffle
plus léger, plus humoristique et c’est le personnage de Colette qui permet ce recul par
rapport à un thème qui interpelle, qui est le reflet de la vie réelle et d’un problème
universel.
Deux sujets sont abordés par les intervenants :
- Les spectacles exportés dans certains pays où la liberté d’expression est moins large que
chez nous, dans lesquels la culture comporte des tabous au niveau de la religion, du sexe,
du régime politique… Certains spectacles évoluent vers une version qui n’est plus tout à
fait celle qui a été sélectionnée.
- Le théâtre est libérateur, entraîne la réflexion, aide à acquérir un esprit critique
Christiane
SUR LE VIF… VU PAR Jean-Luc
Les après-midi, 15 h, au STUDIO, soit le CENTRE-VILLE Samedi 4 : Luxembourg « Studio Théâtre de Luxembourg » Comédie sur un quai de gare Dimanche 5 : France « Atelier TA3 » Le trou noir Lundi : annulé Mardi 7 : Suisse « Compagnie TA 58 » Le dernier train Mercredi 8 : Suisse « Imatiröö » UI temp d’un stralüsc Jeudi 9 : Belgique « L’Etincelle » Manipulations Vendredi 10 : Belgique « Art-Scène » Hôtel des deux mondes Les soirées, 20 h, à la MAISON DE LA CULTURE Samedi 4 : Italie « Centro di Teatro Internazionale » Mowgli City Dimanche 5 : Quebec « Théâtre des deux rives » Traits d’union Lundi 6 : Suisse « Compagnia della notte » Dove suonano i comignoli Mardi 7 : Italie « Giovane Compagnia ITAF-Fita » Pane e Coraggio Mercredi 8 : Monaco « Studio de Monaco » 2012 Av JC… L’an pire de Rome Jeudi 9 : Roumanie « Osono Theatre » As Water Reflects the Face Vendredi 10 : Belgique « Les K’pgnons dèl Sinne » Lès Foyons
LES ANIMATIONS : Le lieu de rendez-vous des soirées-fins de nuit est LA PLACE ROI ALBERT, au CENTRE-VILLE, de 22 à 24 h… Organisées par : Samedi 4: Suisse Lundi 6 : Italie Mercredi 8 : Québec Dimanche 5: Monaco Mardi 7 : France & Luxembourg Jeudi 9 : Italie
MIDI/Lunch/Pranzo SOIR/Dinner/Cena
MERCREDI/WEDNESDAY/MERCOLEDI 8/8:
Potage, Melon au jambon, Boulettes sauce
provençale, Frites, Dessert.
Sop, Melon wuth ham, Meatballs "à la Provençale",
French fries, Dessert.
Minestra, Proscutto e melone, Polpette alla
Mercredi/Wednesday/Mercoledi 8/8:
Pêche au thon, Crudités, Charcuteries, Dessert.
PEACHES WITH TUNA, COLD DISHES,
DÉLICATESSEN, DESSERT.
PESCA AL TONO, INSALATA, SALUMI, DESSERT
Jeudi/Thursday/Giovedi 9/8
Potage, Filet de colin meunière, Purée, Epinards
à la crème, Dessert
Soup, Colin filet coocked with flour and fried in
butter, Mashed potatoes, Creamed spinash,
Dessert
Minestra, Fileto di merluzzo alla mugnaia, Pure
di patate, Spinaci alla pana, Dessert.
Jeudi/Thursday/Giovedi 9/8:
Vol au vent, Riz créole, Dessert.
MORSEL MUSHROOM,"CREOLE" RICE, DESSERT.
VOL-AU-VENT, RISO ALLA CREOLA, DESSERT.