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A Fondaudège - Février 2012 - n°03

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Journal d'information de proximité du quartier Fondaudège à Bordeaux.

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àFondaudègejournal d’information de proximité gratuit février - mars 2012 - n°3

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Février 2012 3

Ici, les petits commerçants font la grande distribution... vu d'ici100.1

édition : PAGE PUBLIQUE - SARL au capital de 5 000 € 56 rue de Tivoli, 33000 Bordeaux. Tél. : 05 56 52 94 99 Fax : 09 72 19 76 34. Mail : [email protected] directeur de la publication : Julien Pitet rédacteur en chef : François Puyo photos : Page Publique, D.R. conception : Page Publique impression : Roto Centre issn : 2119-7598 tirage : 15 000 exemplairesLa rédaction n’est pas responsable des documents qui lui sont adressés et qui engagent la seule responsabilité de leurs auteurs. La reproduction même partielle, des textes ou illustrations publiés dans ce numéro est interdite sans l’autorisation écrite préalable de l’éditeur. Dépôt légal à parution. © FévRIER 2012

Bon sens

Les jours rallongent, les premiers mimosas font leur apparition, les asso-

ciations nous envoient leurs premières activités de prin-temps... nous allons dans le bon sens. Il n’y a que ce fichu thermomètre qui a décidé de partir à reculons. L’actua-lité de notre quartier est au coeur de ce troisième numéro d’àFondaudège. Les travaux de restauration du Muséum d’Histoire Naturelle du Jardin Public débutent. Une exposi-tion visible du 6 février au 20 mars présente cet ambitieux chantier. Il faudra être patient puisque ce n’est qu’en 2014 que l’on découvrira la méta-morphose des lieux. L’associa-tion des amis de Fondaudège entend prendre son destin et ses intérêts en main. Elle va pour cela, consulter ses adhé-rents et leur soumettre des pistes de réflexion, pour ani-mer durablement le quartier et consolider ses piliers que sont ses commerces. Le dos-sier du futur tram fait l’actua-lité du Bouscat. Il nous sem-blait utile d’aller voir ce qu’il se passait chez nos voisins. Que faire de la jeune classe durant les vacances scolaires de février ? Vous trouverez des bonnes adresses et des idées pour l’occuper utilement. La Saint-Valentin approche et nous en profitons pour sou-haiter bonne fête à toutes nos lectrices et tous nos lecteurs.

Julien Pitet

àFondaudègeéditorial

Février 2012n°3

15 févrierDate de la prochaine assem-

blée générale du quartier centre ville qui se déroulera

à 18 h 3O au marché de Lerme.

Une liaison très attendueRejoindre, depuis le centre ville, l’aéroport de Mérignac dans les temps pour prendre son avion peut tourner au cauchemar. Nom-breux sont ceux qui en ont fait l’expérience. Pour être sûr d’arriver avant que son avion ne s’envole, mieux vaut ne pas tomber dans les bouchons. Pour éviter le stress de cette loterie, un système de liaison directe gare Saint-Jean/aéroport, en transport en commun, est attendue depuis de longues années. Une avancée est prévue cette année, le Préfet en personne a évoqué dans ses voeux de début d’année, la nécessaire réalisation de cette desserte. Liaison ram ou ferroviaire, bus en site propre... il laisse aux élus locaux le choix du carrosse mais il souhaite qu’une décision soit prise en 2012. Vincent Feltesse, au nom de la CUB compétente en la matière, a pris le train en marche, le projet devrait donc décoller.

Un tramway nommé vampireUne opération mains et rails propres va être lancée par la CUB, qui croit dur comme fer avoir flairé de sérieuses embrouilles dans les appels d’offre destinés à choisir les entreprises pour l’extension des lignes de tramway. «Tout» (enquête en cours) laisse à penser que les consortiums spécialisés dans ce type de chantier se sont concertés pour éviter tout dumping. Un pacte de non-agression dans les devis aurait été signé entre ces géants du BTP. La CUB entend bien faire dérailler ces accords signés en coulisse.

Expos...Connaissez-vous Alexandre Lenoir, le premier conserva-teur de musée de Bordeaux. Ne ratez pas l’exposition qui lui est consacrée au Mar-ché de Lerme jusqu’au 12 février. Cette exposition est organisée par l’association Campus Dynamique

Et aussi au Marché de Lerme : - Frederic Paquet peintre et plasticien, du 16 au 28 février.

- Marie Laure Drillet, (peintures et collages), du 6 au 16 mars.

- Expo vente du Rotary Club de Bordeaux le Bouscat,du 22 au 26 mars.

Suivez le guideTout ce que vous vouliez savoir sur les quartiers de Bordeaux et que l’on oublie trop souvent... c’est l’objectif des guides pratiques que vient de publier la ville de Bordeaux. Le pitch est d’apporter des solutions au quotidien. Dans cette ode à la politique de proximité chère à mon-sieur le Maire, on retrouve les règles de vie et d’usage lorsque l’on possède une poubelle, une voiture, un voisin, des déchets encombrants et parfois un mauvais caractère... ce qui fait au total beaucoup de monde et autant de sources de conflits. Ce guide vous aide à les résoudre.

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4 Février 2012 àFondaudège

Urbanisme

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Le conseil de quartier Grand Parc/Paul Doumer a fait salle comble le lundi 23 janvier.

Rondement menée par Anne-Marie Cazalet, cette réunion a été l’occasion d’assister au tra-ditionnel échange musclé entre l’adjointe au maire et sa collègue élue au Conseil général, Michèle Delaunay. Selon les spécialistes en balistique, cette passe d’arme a dépassé le seuil du fleuret mou-cheté sans pour autant atteindre les tirs de bazooka de la dernière campagne électorale. Cette escar-mouche en appelle d’autres et chacun s’attend dans les mois à venir à vivre des accrochages d’un autre calibre, entre les deux «pistoleras». Lorsque le drapeau blanc fût hissé, les habitants du quartier ont été informés de plu-

Nouvelles pousses au Grand Parc

sieurs opérations très positives pour le Grand Parc.

Remettre l’ouvrage sur le métier, c’est ce qui a été décidé pour la salle des fêtes. Comment redon-ner à ce bâtiment très daté une seconde jeunesse, c’est l’enjeu des discussions à venir. Toutes les idées sont les bienvenues et la ville compte s’appuyer sur les ac-teurs du quartier et notamment sur la nouvelle association SDF (la bien nommée Salle Des Fêtes) pour contourner les obstacles (de nature architecturale pour l’es-sentiel) rencontrés jusqu’ici. L’autre coup de booster annoncé

Communiqué de L’assoCiation de Commerçants «Les amis de fondaudège» :

Bonne année aux «Amis de Fondaudège»«En ce début d’année, qu’il me soit permis de présenter à tous les commer-çants et artisans de notre quartier, à leur famille, à leurs proches, tous mes voeux de santé et de prospérité. Dans le cadre des initiatives prises par notre association pour promouvoir l’image et l’activité des rues Fondau-dège et adjacentes, j’invite nos adhérents à une réunion de concertation et d’échange qui se déroulera le mardi 14 février à partir de 19 h, dans la salle des serrages du marché de Lerme. Nous vous convions à cette occasion, à un grand remue-méninge d’idées qui contribuera à définir un plan d’actions et une stratégie de communi-cation préventivement au lancement du chantier du futur tramway. Cette réunion fait suite à celle organisée le 22 novembre au Marché de Lerme au cours de laquelle des professionnels de la communication avaient lancé des premières pistes de réflexion. Le temps est venu de passer à une seconde étape afin de constituer un dossier solide, fidèle aux convictions de notre quartier, afin de définir et de chiffrer les actions que nous entendons mener au cours de l’année 2012. Nous pourrons ainsi solliciter le soutien de la ville et des chambres consu-laires, l’objectif étant de lancer ce programme au Printemps. Nous comp-tons sur vous pour que l’avenir de Fondaudège se décide avec celles et ceux qui en sont tributaires.»

Philippe AoustinPrésident de l’association «Les amis de fondaudège»

est destiné au centre commercial Counord. Peu visible, trop ancien pour être relooké... le verdict des urbanistes praticiens qui se sont penchés sur son cas a été sans ap-pel : mieux vaut reconstruire un centre neuf plutôt que de rafisto-ler l’existant. Suite à ce diagnostic, un concours d’architecte va être lancé pour proposer un bâtiment R+2 dans lequel s’installeront au rez-de chaussée les commerces en activité à Counord et dans les étages, des bureaux et des loge-ments. L’opération à mener est dite à tiroir, avec pour débuter la

construction de nouveaux bâti-ments, le déménagement des commerces et ensuite la démoli-tion du centre actuel, pour créer un parking. Ce projet immobi-lier est piloté par la SEM, ges-tionnaire de logements, In Cité. C’est aussi cet opérateur qui va prochainement lancer le chantier de construction de 36 logements au carrefour des rues Mandron et Schuman, juste en face la clinique Tivoli. Cette résidence s’appellera la Pépinière, en référence à l’an-cienne vocation de terrains sur lesquels ne poussent aujourd’hui que... des voitures.

Rue Mandron, le projet de l’agence d’architecture Xavier Leibar et Seignerin.

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Février 2012 5

àFondaudègeCommerces

Dans le cadre du pro-gramme de re-dynami-sation du commerce et

de l’artisanat de proximité, la ville de Bordeaux encourage la modernisation des magasins, à usage commercial et artisanal , concernés par les travaux et le passage de la future ligne D du tramway. Ce dispositif est réser-vé aux seuls commerces des rues Fondaudège et Croix de Seguey. Celui-ci prévoit que les travaux de réaménagement et d’investis-sement effectués dans les locaux riverains de la ligne peuvent bénéficier de subventions. Ce fonds est abondé par la ville de Bordeaux et par l’Etat. Toutes les activités ne peuvent pas pré-tendre à ces aides. Les banques, les assurances, les mutuelles, les agences immobilières ou d’inté-rim, les professions libérales, les pharmacies et les succursales d’enseignes nationales n’y sont pas éligibles. Une barre de un million d’euros de chiffres d’af-faire annuels a été fixée au-delà de laquelle on ne peut pas non plus prétendre à ces subventions. L’aide à la modernisation s’élève à 50 % du montant hors taxe des travaux pour un montant maxi-mum de 15 000 € par magasin.

Les commerçants de la rue, au rythme du OUC

Joëlle Viaud«Espace Valcocine» 15 rue Fondaudège

«  Nous allons faire poser une en-seigne drapeau sur la façade et nous allons pouvoir revoir tout l’éclairage de notre vitrine. Le pre-mier devis avoisine les 15 000 € ».

Gilles Gonzales«Dur à cuir» 163 rue Fondaudège

«  La proposition est intéressante, du coup je vais en profiter pour faire poser un store et un panneau pour être mieux vu de la rue. Coût de l’opération : environ 3 000 € ».

Mohamed Khouildi«Pizza di Roma» 22 rue Fondaudège

« Nous avons réalisé des travaux de rénovation dans notre cuisine. Pose de carrelage au mur et au sol ainsi qu’achat de mobilier pour un total d’environ 3000€. »

Joël Dupuch, de passage...Joël Dupuch, l’ostréiculteur du Bassin devenu acteur (et réciproquement) a eu du-rant les fêtes de fin d’année, pignon sur rue Fondaudège. Comme il l’avait fait l’an passé, il a occupé, l’espace de quelques jours, un pas de porte habituellement fermé, réouvert pour l’occasion. Lors de ses passages à la boutique, le philosophe taciturne des Petits Mouchoirs et des Guignols de l’Info, a volontiers signé des autographes à ses clients entre deux bour-riches.

Atelier Eco SolidaireL’exposition organisée à l’automne d’objets conçus et réalisés à partir de maté-riaux de récupération a fait sensation à la Maison Eco-ci-toyenne des quais. On peut retrouver une partie de ses collections au Grand Parc. Des centaines d’objets sont en vente dans des locaux prêtés par le bailleur In Cité à l’Atelier Eco Solidaire. Ce local situé au centre commercial place de l’Europe est ouvert du lundi au vendredi de 13 h à 19 h et le samedi à 9 h à 12 h. Originalité et inventivité sont garanties à des prix très modiques et c’est Ecolo et Solidaire à 100 %.

La liste des travaux donnant lieu à co-financement se veut la plus large possible, cela va de la rénovation des locaux à l’amé-lioration de leur accessibilité ou à l’achat de machines utilisées pour la production. Lancée en 2010, cette opération a connu un réel écho auprès des commer-çants des deux rues concernées puisque une quinzaine d’opé-rations a été lancée. La plupart

des travaux programmés a été menée à bien au cours de ces derniers mois, certains sont en voie d’achèvement. Devant ce succès, décision a été prise de reconduire ce partenariat pour que de nouveaux commerces en bénéficient en 2012 et au delà, si de nouvelles demandes se mani-festent. Il suffit de lever le doigt et de remplir les formulaires d’usage.

L’Ouc (Opération urbaine collective) propose aux commerçants de la rue Fondaudège de co-financer à hauteur de 50 %, les travaux de modernisation de leurs locaux.

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6 Février 2012 àFondaudège

Commerces

Militaria Surplus : Arrêts de rigueurA la façon d’un livre d’his-

toire, les surplus mili-taires donnent, par leurs

stocks, un aperçu des réalités géo-politiques et militaires de la planète passées et présentes. Pour se rappeler de ce que fût le prestige de l’uniforme dans les pays de feu le pacte de Varso-vie, il suffit de franchir la porte de Militaria Surplus. Dans cette nouvelle boutique revival de la rue Fondaudège, les portants et les étagères proposent du maté-riel made in Pays de l’Est. Tous les spécialistes vous le diront, question coupe ce n’est pas ce que l’on fait de plus seyant mais question solidité c’est finale-ment plus robuste que le Mur de Berlin !

A qui s’adressent toutes ces te-nues d’une autre époque ? aux camarades nostalgiques comme l’a astucieusement titré notre confrère de Sud-Ouest, mais pas seulement puisque les vête-ments et articles propices au camouflage (treillis, pantalons kakis...) séduisent la clientèle des chasseurs et un peu moins celle du gibier. Le «Scout Toujours» trouve ici la panoplie du parfait petit Castor Junior avec son lit picot, son short évasé, les chaus-

sures montantes et la gourde qui va bien. Pour le reste de la clien-tèle, tout est question de mode.

Qui aurait pensé un jour que le maillot rouge portant l’impri-matur CCCP serait un jour ten-dance ? Tout aussi flashy, mais d’un goût plus incertain, ce tee-shirt orange, réplique des tenues portées par les prisonniers de l’île de Guantanamo, s’arrache comme des petits pains. La chapka russe, par ces temps de grand froid, est du plus bel effet et le polo rayé de l’Armée Russe donne des allures de Jean-Paul Gaultier. Quant au prix de ces articles (neufs ou occasions) on peut les qualifier pour la plupart de.... canons !

Question armement, soyons ras-surés, les mitraillettes et autres pistolets à répétition sont fac-tices et destinés pour la décora-tion. Seuls les sabres sont vrai-ment en bois et permettront aux nouvelles générations de Bibi Fricotin de partir au combat.

Infos Pratiques123 rue FondaudègeTél : 09 72 27 38 56

Kéolis, hop c’est parti !«Citadins bien informés, citadins bien transportés»... Kéolis a fait sienne cette maxime des professionnels des trans-ports urbains. La dernière initiative en date consiste à mettre à la disposition des bipèdes qui veulent se déplacer sans emprun-ter leur voiture, un mode opératoire pour effectuer, dans les meilleures condi-tions, le trajet voulu en transport en commun. Pour en bénéficier, c’est simple comme un clic, celui que l’on fait avec la souris de son ordinateur après avoir tapé sur son clavier : www.infotbc.com. Apparaît alors sur son écran (et bientôt sur son smartphone) une grille

où l’on inscrit l’adresse de son lieu de départ, son lieu d’arrivée et «hop c’est parti» comme on dit chez Mappy, Kéolis trouve l’itinéraire le plus pertinent avec cet outil de guidage. Les stations de tram ou de bus les plus proches de son lieu d’embar-quement, les temps de pas-sage, les correspondances, le prix du trajet... figurent sur cette fiche transport personnalisée. La cartogra-phie fournit aussi la locali-sation des services publics des centres commerciaux ou des spots de loisirs... du prêt à voyager clés en main, sans avoir à prendre celle de sa voiture.

Spar, de marchéLes récents business-plan de la grande distribution sont for-mels : il existe un créneau pour les magasins de proximité. Un portrait type a été dessiné, pour réussir il faut : trouver un bon emplacement, être visible de la rue, disposer d’une surface de vente d’environ 250 m2, propo-ser des produits frais, adopter des horaires larges pour capter la clientèle de passage et soigner l’accueil pour fidéliser celle du quartier. C’est tout ce que l’on attend de la nouvelle supérette qui s’installe dans les locaux de

l’ancien garage Renault du Bou-levard Wilson. Son ouverture est prévue au début du printemps. Elle portera l’enseigne Spar, fi-liale du groupe Casino.

Très tendance, le vêtement militaire ? peut-on parler à son sujet de Ligne de fronts ou de batailles de chiffonniers ? Difficile de trancher...

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Février 2012 7

àFondaudègeCulture

Déménager un premier lieu pour ensuite pou-voir en vider un second,

puis un troisième... c’est ce qui s’appelle une opération tiroir. C’est ce que vit au quotidien, depuis deux ans, le Muséum d’Histoire Naturelle au Jardin Public. Au sens figuré, comme au sens propre, sachant que l’un des plus gros chantiers a consis-té à vider de leurs collections toutes les vitrines mais aussi quelques dizaines de tiroirs qui n’avaient pas été ouverts depuis des lustres ! L’opération en cours part d’un constat : l’inadaptation des locaux dévolus depuis 1857 à l’exposition des riches collec-tions du Musée d’Histoire Natu-relle de Bordeaux. C’est aussi un défi : ne pas abandonner ce lieu prestigieux en se donnant les moyens de le moderniser de fond en comble.

Transférer le matériel d’une école ou d’un service adminis-tratif, ses tables, ses chaises ou

Le Muséum d’Histoire Naturelle travaille son avenirCa y est les travaux de grande ampleur prévus à l’inté-rieur du Musée d’Histoire Naturelle de Bordeaux vont commencer. Il fallait au préalable le vider et pour cela trouver un toit au personnel et aux collections. Suivez le guide !

ses dossiers, ne présente pas de difficultés majeures. Si l’on doit, comme ce fût le cas pour le Musée, transporter le squelette d’une baleine géante, un élé-phant naturalisé, des milliers de fossiles et autant de coquillages, l’affaire est tout de suite plus compliquée. Elle a nécessité près de deux ans et touche aujourd’hui à sa fin. Au rez-de-chaussée comme dans les étages, les pièces de l’Hôtel Lisleferme sont aujourd’hui désertes, seul le brave pachyderme, gardien de l’entrée, attend l’heure de son départ. Il sera le dernier à quitter les lieux (hormis quelques souris bien sûr) la première ayant été la baleine !

A l’étage, des spécialistes de la scénographie des musées sont déjà à pied d’oeuvre pour trou-ver le modèle de vitrines qui

Le Musée Chiffres 1780 : construction de l’Hôtel de Lisleferme1857 : transformation des lieux en Musée

70 000 : nombre de visiteurs par an dont 20 000 scolaires15 000 : nombre de lots (minéraux, fossiles et faune) détenu par le Musée

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conjuguera le respect des lieux et la mise en valeur des collec-tions. Vaste chantier. Pour rendre possible le déménagement du Muséum, suivant le principe des vases communicants encore fallait-il disposer de «récipients» suffisamment grands. Deux ont été trouvés : le curieux pavillon tout en longueur (ancien bâti-ment des serres) situé à deux pas de l’Hôtel, accueille depuis peu le personnel du Musée (une dou-zaine de personnes) ainsi qu’une bibliothèque et les archives. Ceci a nécessité des travaux de rénovation de ces locaux pour les rendre opérationnels. L’autre site dans lequel l’ensemble des collections du Musée a été transféré est situé dans le quar-tier Bacalan. Il s’agit d’un bâti-ment d’une superficie de 1 000 m2 construit pour l’occasion.

Il a été conçu pour un range-ment rationnel des collections et leur préservation. Lorsque le Musée proprement dit rouvrira ses portes en 2014, il n’est pas prévu de rapatrier tout ce qui s’y trouvait auparavant. L’idée est d’instaurer des expositions thématiques tournantes. Cette politique permettra de mettre en valeur les pièces présentées et d’éviter comme ce fût trop longtemps le cas que des tiroirs inaccessibles ne soient jamais ouverts.

La grande salle du Muséum d’Histoire Naturelle, telle que l’on pourra la découvrir en 2014.

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8 Février 2012 àFondaudège

Environnement

à la barrière du Médoc, un point noir cristallise les agacements. Les cani-

veaux, les trottoirs, les aires de stationnement sont régulière-ment jonchées de détritus, de gobelets en carton et de sacs en papier. Nul n’est besoin de s’appeler Sherlock Holmes pour remonter jusqu’à la source du problème. Pour connaître le nom du principal «coupable», il suffit de lire les slogans d’un cé-lèbre fast food sur les emballages qui jonchent le sol. Cet établis-sement, situé sur le boulevard Wilson, attire midi et soir des milliers de convives amateurs de ce type de restauration. La formule consiste à consommer sur place ou à repartir avec son sac repas. C’est ce que font des dizaines de collégiens et de ly-céens qui fréquentent les écoles du quartier. Leurs petits plaisirs est de manger en plein air ce qu’ils ont acheté. Une fois finies leurs agapes, les plus motivés cherchent une poubelle pour y laisser leurs emballages, le pro-blème c’est qu’il n’y en a pas et que les rares corbeilles sont rem-plies jusqu’à la g... Résultat, ils déposent délicatement leurs sacs derrière eux avant de retourner en classe. Que faire ? que dire ? il n’y a bien sûr pas de solutions miracles. On peut s’étonner de la désinvol-ture de cette génération Hulot dont on pouvait penser que le respect de l’environnement était une valeur cardinale. Vider les poubelles du secteur plus régu-lièrement, ce ne serait pas un luxe, en augmenter le nombre et les capacités permettraient là-aussi de régler une partie du pro-blème. Penser à mettre en place de véritables containers serait la solution mais où les installer et à qui présenter la facture ? On peut également s’interro-

Propreté des rues : un cas d’écoles

ger sur la responsabilité du fast food lui-même et l’obligation morale (et sans doute commer-ciale) qui pourrait être la sienne, de participer au ramassage des déchets inhérents à sa formule. Nous avons sur ce point inter-rogé le responsable du maga-sin de la Barrière du Médoc sur ses motivations à s’impliquer dans ce service après-vente. Mr Ba est conscient du problème, soucieux de la mauvaise image de marque et désireux de bien faire. Il indique toutefois les

limites de ses capacités à inter-venir. Son fast food est installé côté Bouscat et il a pu passer une convention avec la mairie de sa commune. Cet accord prévoit qu’un employé de Mac’Donald se rende une fois par semaine dans le Parc Bordelais pour y ramas-ser les emballages abandonnés. Côté Bordeaux, de l’autre côté du boulevard, les nettoyages ne sont pas systématiques. Il se heurte à un problème de dispo-nibilité et d’assurance, le sala-rié n’étant pas couvert pour ce type de mission en dehors de son lieu de travail. Le problème n’est pas simple mais il peut dif-ficilement rester sans solution, quand on a choisi, comme c’est le cas de Mac’Donald, ce slogan commercial : «Dehors, dedans, par-tout, aidez-nous à garder nos rues propres». Mieux vaut éviter que la consigne ne s’effrite...

A côté des grands problèmes que l’on devine difficiles à résoudre comme le ramassage des innombrables sacs d’ordures ménagères abandonnés sur la voie publique ou l’obligation faite aux résidents de stocker dans des logements exigus leurs poubelles individuelles, on constate que c’est le triste paysage de certaines rues qui provoquent les plus grandes crispations.

Des policiers très «stylet»Nous annoncions, et pas forcément au rayon des bonnes nouvelles, que les agents de surveillance de la voie publique allaient être équipés de redoutables verba-lisateurs électroniques. C’est fait. Désormais, quelques coups de stylets et un simple clic suffisent pour aligner les automobilistes mal garés ou n’ayant pas acquitté leurs dettes à la collecti-vité. Comme on pouvait le craindre, la manoeuvre de verbalisation est rapide à exé-cuter et ceci permet d’aug-menter les cadences. Dans les villes où ce système est déjà en vigueur, la hausse du nombre de PV délivrés dans une journée est de l’ordre de 30 %. Il faut donc s’attendre, dans le centre de Bordeaux, à plus de PV et surtout à des contrôles dans des quartiers excentrés jusqu’ici épargnés. Derrière eux, les agents de surveillance, qui verbalisent plus vite que leur ombre, laissent une trace de leur passage sous la forme d’un papillon jaune pour la police municipale ou blanc pour la nationale. Le soir-même de la collecte, les coordonnées des contrevenants partent en direction du centre de

facturation de Rennes et 48 heures après, la

«bonne» nou-velle arrive dans votre boîte aux lettres. Le délai de paiement reste de 45 jours, la seule nou-veauté, c’est qu’on peut désormais effectuer les paiements grâce à Internet. On n’arrête pas le progrès !

Comme en témoigne cette photo prise au lendemain d’un week-end, les clients du célèbre fastfood américain ont laissé des traces derrière eux. Mais ils ne sont pas les seuls, d’autres enseignes du quartier (boulangerie, restauration rapide...) sont en cause.

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àFondaudègeUrbanisme

à Fondaudège : Dans quel état d’esprit êtes-vous ?Michel Martial : Je reste très combatif. Mon hostilité au tracé de la future ligne de tram est connue et plus le temps passe et plus je me trouve conforté dans

Les mêmes causes pro-duisent les mêmes effets... les commerçants du Bous-

cat, impactés par la future ligne de tramway ont entamé une démarche similaire à celle de leurs collègues des rues Fon-daudège et Croix de Seguey. En fin d’année, ils sont parvenus à signer avec Patrick Bobet, le maire du Bouscat, et la CCI, une convention afin d’anticiper les difficultés inhérentes au chan-tier et à la mise en service de la future liaison Eysines/centre de Bordeaux. Deux cents com-merces (de la rue de la Libéra-tion et de la Barrière du Médoc) sont concernés par de possibles compensations financières. Plu-sieurs réunions d’informations étaient programmées fin janvier et début février par les autorités compétentes. Pour les commer-çants, l’enjeu est d’évaluer l’im-pact du tramway et d’anticiper son arrivée en confortant leur outil de travail ou en décidant, dès aujourd’hui de déménager. Ce dilemme se pose notamment pour les nombreux profession-

Tram au Bouscat : mêmes motifs, mêmes solutionsnels automobiles du secteur. Les garages, concessionnaires représentent à eux-seuls, près de huit cents emplois et leurs activités occupent un foncier évalué à huit hectares. La conces-sion Renault a déjà annoncé son intention de quitter ses locaux pour s’installer à Bruges (secteur de Campilleau). Peugeot et Ci-troën veulent eux-aussi partir et cherchent à s’implanter sur un même site. Des propositions ont été faites à leur direction par la commune d’Eysines, des discus-sions sont en cours. Le magasin Jardiland, quant à lui, a décidé de transférer son activité.

Les discussions avec la CUB sur les modalités d’indemnisations pour les commerçants sont éga-lement en cours. Le maire du Bouscat se disait récemment satisfait d’avoir obtenu des résul-tats comme l’indemnisation des pertes de bénéfice supérieures à 5 %. Il semble acquis que les commerçants des rues adja-centes à l’avenue de la Libéra-tion seront eux-aussi concernés

Michel Martial : «Ce choix est une hérésie !»

par le dispositif. A l’inverse, les boutiques qui ont ouvert après l’annonce officielle du passage du tram (DUP) ne pourront pas y prétendre. Pour coordonner l’ensemble de l’opération, Le

Bouscat a crée une Commission d’Indemnisations Amicale des préjudices commerciaux, appe-lée aussi par ses initiales CIA. Pourvu que cela n’annonce pas la guerre froide !

mon point de vue. Ce choix est une hérésie, la largeur des rues ne permet pas le passage de deux rames de tramway sauf à sacrifier la circulation des voi-tures. Il en circule aujourd’hui 25 000 par jour et même si ce trafic diminue je me demande toujours où ces véhicules passe-ront demain ?

àF : L’heure est pourtant à la discussion sur les modali-tés d’indemnisations des commerçants, pas à la poursuite de ce combat...M.M. : C’est ce que l’on veut nous faire croire. Nous avons certes perdu une bataille, celle de la DUP, peut-être pas la guerre ! Des recours sont encore à l’étude et nos ingénieux ingénieurs rencontrent de belles difficultés, ce qui n’exclut pas de les voir abandonner la partie.

S’ils n’obtiennent pas le démé-nagement des concessionnaires automobiles de l’avenue de la Libération, leur ligne de tram a du plomb dans l’aile.

àF : Le jour où cette question sera tranchée, irez-vous à la table des négociations ?M.M. : Bien entendu j’assu-merai ma responsabilité de président de l’association et je me battrai pour défendre leurs intérêts. Je le ferai avec d’autant plus de conviction que j’aime ce quartier par dessus tout. Avec mon épouse Janine, j’y travaille depuis 29 ans.Je trouve à notre Barrière un charme fou. Ont y vit bien, quels que soient son âge, ses re-venus, ses activités. Chez nous, la mixité n’est pas un vain mot et le brassage inter-génération-nel est une richesse pour notre

quartier. Son tissu commercial n’a aucun équivalent à Bordeaux et je redoute que le passage du tram ne vienne casser cet équi-libre fragile et anéantir notre belle dynamique.

àF : Des regrets ?M.M. : Oh que oui ! quand je pense que nos voisins et amis de Caudéran réclament au-jourd’hui à une écrasante majo-rité le passage d’un tramway. Tout concourt à leur donner satisfaction, il n’est pas ques-tion pour l’heure de répondre à leurs attentes, alors que nous ici, nous n’en voulons pas et que l’on va nous l’imposer ! Dans l’aménagement urbain, c’est une aberration, une de plus à Bordeaux. C’est aussi un déni de démocratie.

Président de l’association des commerçants et professionnels de la Barrière du Médoc.

Partirons, partirons pas ? Les concessionnaires et les profession-nels de l’automobile installés avenue de la Libération hésitent à déménager. Ils n’entendent pas être mis sur une voie de... garage. De leur départ, dépend pourtant la pertinence du tracé de la ligne D.

Février 2012 9

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10 Février 2012 àFondaudège

économie

Avec sa façade de style 18ème, l’hôtel parti-culier de la rue Durieu

de Maisonneuve, a un air de famille avec son illustre voisin connu désormais comme l’Ins-titut Culturel Bernard Magrez. Cette ressemblance n’est pas fortuite puisque l’architecte qui l’a dessiné dans les années 20 n’est autre que Pierre Ferret, le premier de cette célèbre dynas-tie d’architectes bordelais. Pour la petite histoire, Pierre Ferret était à l’époque le propriétaire du grand Château Labottière*. Le nouvel acquéreur du terrain situé à l’arrière de son domaine, l’industriel Marcel Despax, l’a sollicité pour construire sa de-meure. Soucieux de l’harmonie avec le bâti existant dans ce quar-tier déjà résidentiel, l’architecte a opté pour un style 18ème. Le pastiche est assez réussi de l’ex-térieur, mais une fois franchie la porte des lieux, on en mesure les limites. Les intérieurs n’ont rien de 18ème. On se trouve face à un agencement de pièces parfai-tement fonctionnel répondant à la vocation des lieux : des bu-reaux administratifs et des salles de réunion. Longtemps occupé par l’Agence pour l’emploi des cadres (APEC) c’est dans ces lo-caux que le MEDEF de Gironde et d’Aquitaine déploie ses activités en direction de ses adhérents. Ils sont au nombre de 1 100, ce qui fait du syndicat patronal giron-din, l’un des plus importants de France.

Travail de lobbyLa volonté du dernier président du CNPF, Ernest-Antoine Sel-lière, en créant le Mouvement des Entreprises de France, fût de donner à ses entités territoriales, une plus grande autonomie. Chaque MEDEF cultive ses par-ticularismes sous un statut asso-ciatif. Très attaché au système de gestions partiaires des orga-nismes sociaux (URSSAF, CAF, Formations, Prud’hommes...)

MEDEF Gironde : Ce n’est pas l’avis de Châteaux

mis en place au sortir de la guerre, le MEDEF tient à être présent partout où il le peut. Il fait ainsi entendre la voix des dirigeants d’entreprises. C’est un des aspects de son travail de lob-by assumé et entretenu. L’autre grande mission qu’il s’est fixé, c’est d’apporter à ses adhérents, des conseils dans le domaine économique, juridique ou social. Une équipe d’une douzaine de permanents très pointus dans ces domaines assure ce service.Le MEDEF Gironde, chasse gar-dée des grands groupes indus-triels régionaux et de ses pres-tigieux châteaux viticoles ? Les

la direction à équiper les grilles d’entrée d’une fermeture auto-matique. Dans la réalité, les ad-hérents du MEDEF Gironde sont davantage des patrons de PME, viscéralement attachés à leurs «boîtes» plutôt que des grands commis du Cac 40.

Franc-parler80 % des entreprises à jour de co-tisation ont moins de cinquante salariés et le ticket d’entrée pour bénéficier à l’année des rencontres interentreprises, des informations et des services du MEDEF Gironde est de 300 € (ta-rifs progressifs en fonction de la taille des entreprises). La maison des patrons girondins est dirigée par un conseil d’administration composé de quatre collèges et d’un bureau. Celui-ci a élu pour trois ans Jean-François Clédel. Apprécié, autant que redouté pour son franc parler, le boss des boss donne au MEDEF de Gironde un dynamisme propre à défier la crise économique am-biante.

Pour en savoir plus : www.medef-gironde.fr

*Le château Labottière a été construit en 1774 par deux imprimeurs borde-lais, Jacques et Antoine Labottière. Son élégance, dût au coup de crayon de l’architecte Etienne Laclotte, lui valut d’être appelé le Trianon de Bordeaux. Son jardin fût restauré par Pierre Ferret lorsqu’il en était le propriétaire, dans les années 1920.

Jean-François Clédel, patron des patrons girondins.

immobilier & TransacTion de fonds de commerce

Tél : 06 64 33 79 05 mail : [email protected]

www.transmicible.com

amateurs de symboles forts s’accrochent à cette idée. Il fût un temps où le 41 de la rue Du-rieu de Maisonneuve était une destination pour manifestants en colère. Leurs visites dans ce quartier étaient souvent specta-culaires mais toujours bon en-fant. L’unique débordement, qui confirme cette règle du respect des lieux et des personnes, s’est produit lors du coup de chauffe provoqué par le CPE. L’intrusion de jeunes manifestants a conduit

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Février 2012 11

àFondaudège

Une Saint-Valentin pleine d’entrain

Mélanie vous accueille du mardi au vendredi de 9h15 à 18h et le samedi de 9h30 à 18h

1 Place Charles Gruet - 33000 BordeauxTél : 05 56 52 63 96 - Avec ou sans rendez-vous

Salon de Coiffure

Dossier

> Sortie au restaurantSans aller très loin, le quartier offre plusieurs tables

romantiques pour un dîner aux chandelles.

La promesse d’une belle soirée...

Le Bol de Riz (49 Rue Fondaudège)

Le M de Monbadon (53 Rue Lafaurie Monbadon)

Le Pavillon des Boulevards (120 rue Croix de Seguey)

> Rester à la maisonD’autres préfèreront rester dans leur salon pour profiter

pleinement de cette soirée, pensez à la livraison à domicile !

Eat Sushi (11 rue Fondaudège - Tél : 05 56 81 49 05)

La Crêpe d’Or (26 rue David Johnson - Tél : 05 56 48 29 03)

Pizza di Roma (22 rue Fondaudège - Tél : 05 56 79 18 85)

Le cadeau de fait pas le bonheur mais il y contri-bue... Voici l’occasion de déclarer ou d’entretenir votre flamme. Pour cette Saint-Valentin, ne soyez pas radin.

Pour nous : Un peu d’évasion...> Destinations bonheur !L’hiver est néfaste pour le moral, retrouvez des couleurs

en mettant le cap vers des destinations ensolleilées ! Tendance cet hiver, l’Ile Maurice, Les Seychelles...

> Girondins Horizons, 9 place Charles Gruet,

> Sud-Ouest Voyages Côte d’Argent, 130 rue Croix de Seguey

Repas en amoureux

Pour lui : mission séduction> Il y a de la musique dans l’air

avec le Loewe AirSpeakerLe Loewe AirSpeaker excelle non seulement grâce à son

design puriste et son fonctionnement bien pensé, mais offre aussi une qualité de son qui n’a pas

son pareil : deux caissons de grave ainsi que deux haut-parleurs pour les aigus et les moyens, avec une

puissance totale de 80 watts pour une expérience acoustique impressionnante.

> Loewe Gallerie, 17 rue Fondaudège.

> ça pétille !Décoincer la bulle, briser la glace... utilisez les bons arguments pour faire péter le bouchon !

> Vins Ducamins - La Médocaine193 rue Fondaudège

> Pour un regard ténébreux...Qui aime son mari prend soin de ses montures...

> Optique Tourny, 8 place Tourny

Pour elle : Toujours la plus belle> Beauté et Bien-êtreSurprenez-là grâce aux bienfaits d’un soin du corps pour des résultats de beauté incomparables. Un cadeau gagnant-gagnant !

> Institut Fondaudège, 75 rue Fondaudège

> Dites-le avec des fleurs...Un cadeau intemporel qui fait toujours autant d’effet ! > La Bouquetière, 12 rue Fondaudège

> Le nouvel Elixir de ParfumUne œuvre olfactive inspirée de la haute

parfumerie. Un nouvel absolu de parfum pour Trésor, encore plus sensuel et intense.Au cœur de Trésor L’Absolu Désir, une des

roses les plus désirées de la parfumerie, la rose Centifolia.

> Beauty Success, 7 avenue de la Libération au Bouscat

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12 Février 2012 àFondaudège

rencontres sérieuses

24 rue Fondaudège à BordeauxTél : 05 57 34 02 16 - 06 74 56 75 95Internet : www.fidelio-bordeaux.fr - Mail : [email protected]

« Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des

preuves d’amour. »Pierre Reverdy

12 rue Fondaudège à Bordeaux Tél : 05 56 44 34 42

Du lundi au samedi de 9h à 21h et le dimanche de 10h à 13h30

LABOUQUETIÈRE

FIDELIO, la rencontre durable des Valentins et des Valentines

Dossier

Quand on est seul et qu’on veut fêter comme il se doit la Saint-Valentin, recourir à Internet pour trouver un partenaire peut sembler simple comme un clic, mais attention à la claque !

C’est en résumé le dis-cours que tiennent les responsables d’agences

matrimoniales connues pour leur sérieux et la qualité des rencontres qu’elles organisent afin de trouver l’âme soeur. Les déçus d’Internet constituent d’ailleurs une part non négli-geable de leur clientèle. Arrivent chez eux, celles et ceux qui ont constaté, à leur dépens, que la plupart des sites sont d’efficaces accélérateurs de contacts éphé-mères mais sont inappropriés pour construire des relations

durables. L’Agence Fidélio, forte d’une expérience de plus de 35 ans, présente dans toute la France, propose un savoir-faire, et une écoute attentive. C’est le cas de l’agence de Fondaudège qui garantit un suivi pour opti-miser les rencontres entre per-sonnes libres et motivées pour une union durable.

Les clés en mainCette agence a pour fondement les valeurs propres à l’amour, tels que la confiance, la fidéli-té, la stabilité et le partage. Les contacts réels qui y sont orga-nisés favorisent les rapports humains et sincères ainsi que les émotions concrètes. L’objectif de sa conseillère, Stephanie Wille-mot, est de connaître ses clients, de les écouter attentivement pour comprendre leurs attentes et les aider à trouver la personne

qui leur correspond. Une fois les clés en main, il appartient à cha-cun d’eux d’écrire leur histoire avec l’ambition de faire rimer amour avec toujours.

CupidonLe célèbre atelier de couture de la rue Fondaudège, «Popeline», fourmille d’idées en accord avec l’actualité. Pour la Saint-Valentin, il propose aux couples amoureux de venir réaliser, à deux ou quatre mains, de ravissantes taies d’oreil-lers. Les valentins et les valentines pourront ainsi admirer leur travail à têtes reposées... tous les motifs de broderies sont envisa-geables, du plus traditionnel au plus romantique, en passant les modèles allusifs et même franche-ment suggestifs ! Conseil aux amoureux... n’oubliez pas votre aiguille dans votre ouvrage, l’effet sera bien moins agréable que les flèches de Cupidon.

L’atelier «Taie d’oreiller» fonctionnera le mardi 14 février de 18 à 20 heures.

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Février 2012 13

àFondaudège

Soins anti-âge et pur bonheur !Dossier

Plaire à l’être aimé(e), un investissement de tous les instants, qui plus est

lorsque les années défilent... Heureusement, les profession-nels de la beauté sont là pour nous aider à lutter contre les effets du temps. Les femmes bien sûr, mais les hommes aussi peuvent bénéficier de soins du corps et du visage. Ils sont la pro-messe d’un moment de détente, livrés aux mains expertes d’une esthéticienne. Laissez-vous gui-der vers l’apaisement. Au réveil, une peau nettoyée de toutes ses imperfections, prête à recevoir mille baisers.

Une alternative à la chirurgie esthétiqueSi ces soins n’apportent qu’un moment d’apaisement et un net-toyage de la peau, de nouvelles pratiques tendent à devenir un véritable intermédiaire à la chirurgie esthétique.A l’Institut Fondaudège, Marie-France Le Guyader propose de-

puis peu de temps une gamme de soins et de produits novateurs dans le domaine de l’esthétique. Disponible dans seulement quelques villes sur l’hexagone, on peut se vanter de trouver dans notre quartier la gamme de produits « Filorga Professional ». Ces soins spécifiques anti-âge, issus de la médecine esthétique

tels que le Peeling anti-âge médi-cal et la Mésothérapie sans ai-guille par le froid, apportent des résultats surprenants. «  Ces soins nouveaux ont un fort impact sur tous les effets du vieillissement explique la gérante des lieux. Dès le premier soin, des résultats sont déjà visibles, la peau est lissée, repulpée. Toutes nos clientes sont bluffées ! »

75 rue Fondaudège - Bordeaux - Tél : 05 56 52 93 34

Venez découvrir dès maintenantnotre gamme de soins innovants

Laissez-vous surprendre par les bienfaits de la recherche médicale pour des résultats

de beauté incomparables.

InstitutFondaudègeInstitut de beauté - Centre anti-âge

Stéphanie Willemot, gérantede Fidélio Bordeaux, doit faire preuve de psychologie dans un métier proche du coaching.

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14 Février 2012 àFondaudège

Artisanat

Un petit millier de luthiers sont encore en activité en France dont une demi douzaine à Bordeaux. Les luthiers aiment à se défi-nir comme artisan plutôt qu’artiste, c’est en tout cas la conception que se fait de son métier, Roland Landron, l’adjoint de Gilles Braem, responsable de l’atelier boutique de la rue du Palais Gallien.

Contrairement à la plupart de ses confrères, Roland Landron n’a pas fait ses

études dans les Vosges, à Mire-court, capitale de la lutherie française mais à Crémone en Italie. Cette ville est considérée comme la Mecque du violon et de ses cousins que sont les altos, les violoncelles et la contrebasse. Cette réputation, Crémone la doit à un certain Antonio Stradi-vari qui a exercé en ces lieux son talent dans les années 1660. Roland Landron travaille aux cô-tés de Gilles Braem depuis 2003. Les années 2000 marquent un tournant pour la profession et au-delà pour l’exercice du violon avec l’arrivée massive d’instru-ments fabriqués en Extrême-Orient (au Japon puis en Corée et aujourd’hui en Chine). Dans les années 90, ces pays passion-nés par la musique se sont mis à en produire des instruments à cordes avec les moyens et les méthodes qui sont les leurs. Résultat, le marché internatio-nal a été rapidement inondé par leur production. En France, ces importations ne sont pas per-çues comme une concurrence déloyale dans la mesure où la principale fabrique de l’héxa-gone, installée à Mirecourt a fermé ses portes depuis plus de vingt ans. Roland Landron, qui a examiné ces instruments sous toutes les coutures, atteste qu’après des débuts laborieux, ils sont désormais de bonne qua-lité. Ils peuvent être améliorés de façon sensible par quelques

Gilles Braem, un luthier bien noté(milieu de gamme) et encore moins le rendu du modèle propo-sé à un prix encore supérieur. Le ticket d’entrée fait dire à Roland Landron que la pratique du vio-lon, pour un débutant, ne coûte pas plus cher qu’une inscription à des cours de tennis avec l’achat de la panoplie du petit Nadal. Bordeaux possède en plus de son Conservatoire, de nombreuses écoles de musique et des cours d’initiation prodigués dans un cadre associatif sont à des tarifs abordables. Ce sont ces élèves qui constituent une part impor-tante de la clientèle des maga-sins de Gilles Braem.

Degré de séchage du boisA côté de ces instruments de série, le luthier du Palais Gal-lien perpétue la tradition en fabriquant sur mesure des pièces uniques. Depuis les célèbres Stra-divarius, tout est codifié dans cet instrument, sa forme, sa taille, ses caractéristiques techniques et les outils pour travailler le bois. Les étapes du processus de fabrication sont elles aussi restées immuables. La sonorité finale de l’instrument va dé-pendre de la qualité du bois uti-lisé, de son degré de séchage, de la composition des vernis et bien sûr de la dextérité et du talent du luthier. Avec sa quinzaine d’années de pratique du violon et sa formation chez les maîtres italiens, Roland Landron possède l’oreille et la main sûres. Ceci fait de lui l’un des plus doués de sa génération. Le progrès tech-nique n’a pas bouleversé le mé-tier de luthier et il faut, comme par le passé, près de trois mois de travail pour fabriquer un vio-lon. Coût pour ce petit bijou : 8 000 €. Un matériel seulement à la portée des pros !

Infos Pratiques Gilles Braem

121 rue du Palais GallienTél : 05 56 52 08 409 quai Sainte CroixTél : 05 56 94 69 01

Stradivarius, il maestroAntonio Stradivarius a, tout comme son compatriote Enzo Ferrari, fait de son nom une marque d’objets de culte. De son vrai nom Stradivari, le plus célèbre luthier de l’histoire, est né en 1644 à Crémone. Sa longévité fût exceptionnelle puisqu’il mourût à l’âge de 93 ans. On estime à un petit millier le nombre des violons construits dans ses ateliers. On en recense encore aujourd’hui un peu moins de sept cents dans un état de conservation exceptionnel. La rareté de ces instruments et leur réputation qui a traversé les siècles en font des objets très recherchés et leur valeur est allée crescendo. Les mélomanes se réjouissent à l’idée qu’un Yehudi Menuhin ait pu jouer sur l’un d’eux mais il reste circonspect qu’un André Rieu l’utilise l’un de ses modèles pour animer ses thés dansants. Qu’un mécène, comme Bernard Magrez ait pu casser l’une de ses tirelires pour acquérir l’un de ses violons mythiques (le prix d’un Stradivarius avoisine les deux millions d’euros) pour le confier à Matthieu Arama le soliste de l’Opéra de Bordeaux, contribue au renom artistique de notre ville.

Il faut 3 mois à Roland Landron pour fabriquer un violon de ce type.

interventions préalables à leur vente effectuées en atelier. Après, tout est question d’usage et de budget. Le violon made in

China à 350 €, destiné à l’éveil musical des débutants peut convenir. Il n’aura pas le même son qu’un instrument à 700 €

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àFondaudègeJeunesse

ArtbatoExpression plastique : pour les 5/12 ans Dessin académique : pour les 12/25 ans Dessin appli-qué : pour les 17/25 ans

81 rue Croix de segueytél. 06 64 79 79 90http://affinitiz.net/space/artbato

Atelier CitrouilleLes Bout’choux (atelier d’éveil aux arts plastiques) : pour les 2 à 4 ans. Atelier de dessin, peinture, collage : pour les 3/6, 4/10, 7/12 ans. Atelier : ados 10/15 ans et adultes.

7 rue Huguerie - tél. 05 56 44 35 49ateliercitrouille.free.fr

Atelier du jardinDessin peinture, modelage tout âge à partir de 10 ans

117 rue du Palais gallientél. 05 56 52 10 26http://atelierdujardin.over-blog.com

ExpressionAtelier peinture, méthode Arno Stern : tout âge à partir de 3 ans

21 impasse sully - tél. 05 56 01 12 41 www.associationexpression.com

Fenêtre sur rueLes Racont’arts : atelier d’expression 6/12 ansDessin, peinture, gravure 2D et 3D : à partir de 15 ans et groupe adultes

11 rue thiac - tél. 06 71 05 43 73www.fenetre-sur-rue.com

Terre de CielInitiation art plastique : à partir de 4 ansFormation dessin : pour les 6/12 ans et cours adultes

12 bis rue Colberttél. 05 56 79 18 72

Durant les vacances sco-laires de février, les stages pour enfants et adoles-

cents sont proposés en formule 3 ou 5 jours plein ou encore 5 après midi. Ils seront placés sous le signe de la mode et du sty-lisme. Le programme prévoit de confectionner une petite tenue ( un short) et un sac à main à pail-lette pour épater les copains et les copines.La préparation du carnaval se fera tout au long de la première quinzaine de février de 14h à 18h. Masque, couronne de reine, drapeau de pirates.. là comme ailleurs l’imagination est au pou-voir et le pouvoir est dans la rue puisqu’il s’agit d’un défilé dont la seule revendication sera de

Ateliers créatifs... du temps libre bien occupéLes traditionnelles vacances scolaires dites de février se profilent à l’horizon. La météo est encore incertaine et si l’on veut éviter que ces congés ne se transfor-ment en cure de télévision ou de jeux vidéos, il faut proposer quelques idées de sorties et d’occupation. En voici quelques unes dénichées dans notre quartier.

bien s’amuser et de surprendre son entourage..Toujours pour le Carnaval, le créateur de costumes d’enfants Hibobibo sera à l’honneur. La créatrice de la marque sera pré-sente le samedi 11 février de 10 h à 19 h pour conseiller petits et grands dans la composition de leurs costumes de rêve, un cos-tume unique et à leur goût en fonction de leur budget. Hibo-bibo propose une collection de tenues féériques pour filles et garçons de 4 à 12 ans conçue comme une ligne de prêt à por-ter. L’enfant compose lui-même sa tenue à travers différents thèmes de la collection tirés des contes et légendes. Les fées et princesses sont au rendez-vous

comme le prince noir, le mous-quetaire, le pirate ou l’indémo-dable cowboy. Question budget, il faut compter une centaine d’euros pour un déguisement complet pour garçons et filles.

Infos PratiquesPopeline-atelier(s)

103 rue FondaudègeTél. : 05 56 38 31 74

www.popeline-ateliers.com

Carnet d’adresses

Février 2012 15

Centre d’animation du Grand ParcDessin, peinture, art appliqué

36 rue robert shumantél. 05 56 50 31 63www.centres-animation-quartiers-bordeaux.eu

Le Passe MurailleEveil de la créativité : peinture, graphisme, volume, modelage... 4/8 ans et au-delà

9 rue f.martin - tél. 06 86 75 14 72www.passe-muraille.fr

Atelier ZAZ’ARTCours et stages de gravure, calligraphie, reliure pour adultes et enfantsAtelier à partir de 4 ans, le mercredi de 17 à 18 h 30

11 rue thiac - 06 22 50 29 55http://mezazart.blogspot.com

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16 Février 2012 àFondaudège

Actualité

Vendredi 10 février 2012, la Ville de Bordeaux orga-nise la deuxième édition de Cyclab.

Il s’agit d’une grande rencontre internationale inédite, destinée à penser le futur du vélo dans

la ville. Cyclab réunira à l’Athénée, place Saint Christoly, les acteurs du monde du vélo urbain : indus-triels, usagers et associatifs, desi-gners et collectivités locales, État et professionnels du cycle. Autour de nombreux interve-nants amoureux de la petite reine, Cyclab permettra de réfléchir au futur de ce mode de déplacement, avec des débats, tables rondes, pré-sentations de prototypes, d’équi-pements, de nouveaux vélos, etc...

A l’occasion de cette manifes-tation, le dessin final du « vélo Bordeaux » imaginé par Philippe Starck avec les Bordelais sera pré-senté. Rappelons que les premiers tours de roue de ce vélo design sont prévus à la fin de cette année. L’actualité vélo bat son plein et le Cyclab tombe à pic (attention aux bosses !) pour évoquer des récentes propositions du Ministre des Transports.Thierry Mariani a récemment annoncé que soit mis à l’étude le versement d’une indemnité trans-port pour les salariés qui utilisent leur vélo comme moyen de loco-motion pour se rendre à leur tra-vail et celui d’un crédit d’impôt pour l’achat d’un vélo électrique. Il entend aussi officialiser le tourne à droite pour les vélos lorsque le feu est au rouge. Espérons que ces bonnes idées ont d’autres usages que d’alimenter la course contre la montre des élec-tions présidentielles !Et puisqu’on évoque les questions d’actualité, signalons que les tra-vaux vont reprendre sur les quais pour rafistoler les portions pavées de la chaussée. Le chantier va du-rer durant les mois de février et de mars... seul le vélo aura durant cette période le droit de cité...

Une nécro des rues...Michel Colle, tout comme son collègue Robert Coustet se passionne pour l’histoire de Bordeaux vu à travers ses rues. Sachant que son érudit collègue avait consacré son dernier ouvrage à l’origine des noms des rues de la capitale girondine, il s’est attaché à retrouver la trace de celles qui ont aujourd’hui disparu. Le nom de son ouvrage est sur ce point explicite. Son inventaire porte sur 150 voies englou-ties au cours des siècles der-niers. A l’aide de plans et de gravures anciennes, Michel Colle (re) visite l’histoire de la ville et de ses quartiers (place des Quinconces, cours Alsace Lorraine, Pey Berland, Mériadeck...) en évoquant les épisodes qui ont conduit à la disparation de certaines rues. Ce voyage à travers le temps valait bien ce livre requiem.

Les rues disparues du vieux Bordeaux. A Editions, 35 €

la Ronde des QuartiersAlfredo Julio, le président fondateur de la Ronde des Quartiers a décidé de quitter son poste pour mieux appor-ter son dynamisme à la non-moins dynamique CCI dont il est devenu l’un des piliers. Dans le journal Sud-Ouest, il tire un bilan très louangeur de ses années passées à la tête de son association. Il s’est notamment félicité du bon usage du million d’euros qui est alloué chaque année à son fonctionnement. Sur les neuf cents adhérents que compte la Ronde des Quar-tiers, soixante dix avaient fait le déplacement pour par-ticiper à son assemblée géné-rale extraordinaire destinée à désigner son successeur. Christian Baulme, le patron du Brico Relais du Cours Victor Hugo a été établi (sic) dans ces fonctions.

A vélo dans Bordeaux, on dépasse les autos...

Le peloton des invitésCyclab donnera l’occasion de voir et d’entendre : Fabienne Ful-chéri (exposition Art et Bicyclette), Yann Hamonic (illustrateur des petites Reines de Bordeaux), Joris Daudet (champion du monde de BMX), Alain Juppé (cycliste à Bordeaux), Barbara Janke (adjointe au maire de Bristol), Hep Monatzeder (maire de Muni-ch), des élus d’Amsterdam et de Copenhague, Bernard Reichen (architecte), Jean-François Perrin (président de Vélocité).

Jeunes, des idées mais pas de pétrole...Vous êtes jeunes (13 à 25 ans), bordelais (résidents ou tra-vaillant à ...) vous avez des idées, des projets mais peu ou pas de moyens... faites-vous connaître auprès de la mairie de Bordeaux. Celle-ci relance cette année son appel à projets (opération AJC) avec à la clé le versement d’un bonus d’encouragement pour les plus motivants d’entre eux. Individuels ou collectifs, les dos-siers doivent être soutenus par une association. Le champ d’ac-tion est on ne peut plus large,

il touche aussi bien le domaine culturel que celui de l’environ-nement, du sport, de la science ou de l’économie solidaire. Une enveloppe globale de 10 000 € est prévue, chaque projet sélec-tionné recevant une dotation pouvant aller de 300 à 1 500 €. Les dossiers des candi-dats peuvent être retirés au ser-vice Jeunesse de la maire et ils sont également téléchargeables sur son site (bordeaux.fr). Une fois remplis ils doivent être ren-voyés avant le 2 mars 2012.

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Février 2012 17

Culture

L’Institut Culturel Bernard Magrezla tentation de ShanghaiCoup d’essai, coup de maîtres... l’ouverture au public de l’Institut Cultu-rel Bernard Magrez pour sa première exposition l’Etoffe du Temps a connu un succès retentissant.

Durant deux mois, le châ-teau de la rue Labottière a reçu la visite de plus de

10 000 curieux amateurs d’art et de lieux d’exception. Un cycle de conférences a permis aux ar-tistes exposés d’expliquer leurs parcours artistiques et des per-sonnalités, comme l’ancien Mi-nistre de la Culture Jacques Ailla-gon, ont par leur présence validé la démarche du maître des lieux.

Plus de cinquante journalistes ont découvert cette demeure prestigieuse et ont pu, par leurs nombreux articles (voir ci-des-sous), lui donner une indéniable réputation. Le vendredi 13 jan-vier, le clap de fin a été donné pour la première exposition avec en clôture un récital de Matthieu Arama. Ce soliste de l’orchestre de Bordeaux dispose d’un ou-til à la hauteur de son talent :

Lu dans la presse...«A 75 ans, Bernard Magrez ne cherche pas à rivaliser avec François Pinault ou Bernard Arnault. Lui veut tout simplement se laisser embarquer par les oeuvres des artistes de son temps pour mieux comprendre le monde tout en libérant ses émotions. (...) Eparpillées au sein de l’Hôtel Labottière, figurent quelques oeuvres de la collection Magrez comme des tableaux éculés de Bernard Buffet. Faute de goût inqualifiable aux yeux des pu-ristes de l’Art Contemporain ? Probablement. Mais qu’importe, c’est ce qui rend cette collection si humaine et ne la réduit pas à une accumulation de grands noms dans le vent».

Yasmine Youssi, Télérama

Lu dans la presse...«Cet Institut est une initiative purement philanthropique. Son budget s’élève à 1,2 millions d’euros par an que je finance entièrement. Nous ne souhaitons pas recevoir d’aides extérieures car nous voulons être totalement indépendants. C’est la seule initiative privée en France à pro-poser à la fois des résidences et des évènements publics dans les domaines de l’art contemporain, la musique et la littérature».

Bernard Magrez dans Beaux Arts

le violon Stradivarius acquis par La Fondation Bernard Magrez. Toute l’équipe qui anime cet Ins-titut que dirige Ashok Adiceam n’entend pas s’arrêter en si bon chemin.

Une deuxième exposition était en préparation avant même que la précédente ne s’arrête. La quête d’oeuvres originales oblige cette anticipation. Le fil conducteur du prochain rendez-vous (prévu à partir du 7 avril) sera la Chine et sa ville la plus réputée sur un plan artistique Shanghai. C’est la raison pour laquelle l’imposant éléphant en peau de buffle de l’artiste Huang Yong Ping va prolonger son sé-jour à Bordeaux. Il sera rejoint

par des oeuvres de Chen Zhen, Yan Pei Ming, Shen Huan, Zao Wou Ki, Henri Matisse, Pierre Soulages, Henri Michaux. Pour faire patienter le public, une ex-position transitoire au nom astu-cieux de Entre-Deux rassemblera des oeuvres de Marc Desgrand-champs et de Romain Bernini.

Infos PratiquesInstitut Bernard Magrez

5 rue Labottière à BordeauxTél : 05 56 81 72 77

www.institut-bernard-magrez.comDu 28 janvier au 11 mars 2012Exposition “Un Entre-Deux”

Ouvert du mercredi au dimanche, de 14h à 18h.

Kamel Mennour et Huang Yong Ping lors de la cloture de la pre-

mière saison le 13 janvier dernier.

Plus d’une centaine de personne a pu aprécier le récital de Matthieu Arama sur son Stadivarius.

Lu dans la presse...«En entrant dans le château Labottière, magnifiquement res-tauré 18ème siècle, on se croirait dans l’hôtel particulier de Serge Gainsbourg : à la fois classicisme et subversion, peintures, sculptures et vidéos».

Vincent RoussetLa Vie Economique

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18 Février 2012 àFondaudège

1er › 14 février 2012CAFé THéâTRE CHARTRONS

«Bagage Piégé», comédie de Stéphna-nie Villanti et Nicolas Diaz. Jusqu’au 25 février.www.cafetheatre-chartrons.fr

COUP DOUBLEExposition Du jeudi 19 janvier au samedi 21 avrilfraC aquitaineHangar g2, Bassin à flot n° 1

SALON DES ANTIQUAIRES ET DE L'ART CONTEMPORAIN

Du samedi 28 janvier au dimanche 5 févrierBordeaux-Lac

QU’EST-CE QUE SExE ?Du 2 février au 24 mars.théâtre Victoire, Bordeaux

JUMPING INTERNATIO-NAL DE BORDEAUx

Du vendredi 3 au dimanche 5 févrierParc des Expositions. Bordeaux-Lac

LITTéRATURE ET BANDE DESSINéE

Bord'images spécial QuébecDu vendredi 3 au dimanche 19 février Espace Saint-Rémi, BibliothèquesBordeaux. http://9-33.blogspot.com

IJAHMAN/REGGAEMardi 7 février à 20 h 30Iboat – Quai Bacalan

ExPOSITION CAP SCIENCES Mathissime (visite au pays des mathématiques)Du mardi 7 février au dimanche 16 septembre. Cap SciencesHangar 20, quai Bacalan

MICHEL PORTALJeudi 9 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

SALUT BRASSENSJoël Favreau, Christian FourcadeConcert Hommage à Georges BrassensMardi 14 février Espace Médoquine, Talence

LE DINDON DE GEORGES FEYDEAU

Du mercredi 14 au vendredi 17 févrierTbBa de Bordeaux, www.tnba.org

15 > 29 février 2012I SOLISTI DELLA SCALLA

Mercredi 15 février à 20 h 30Le Pin Galant, Mérignac

BIG BANG DU CONSERVATOIRE

Hommage à Duke Ellington et Count BasieMercredi 15 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

FESTIVAL ExIGEONS L'IMPROSSIBLE

Du mercredi 15 au samedi 18 février. Halle des Chartrons

ANTHONY KAVANAGHJeudi 16 février à 20 h 30Le Pin Galant, Mérignac

SEYFU/RAPJeudi 16 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

CONCOURS DU CHOCOLATSalon de l'Hôtel de VilleDu jeudi 16 au samedi 18 février

FRAGMENTS POéTIQUES CAROLINE LEMIGNARD

Du jeudi 16 au samedi 25 février à 21 hLa Boîte à jouer, 50 rue Lombard

THALASSA EN DIRECT DE BORDEAUx

Vendredi 17 févrierPonton d'honneur Quai Richelieu

POURQUOI LES HOMMES N'éCOUTENT JAMAIS

RIEN...Du jeudi 9 au samedi 11 février à 20 h 30, Théâtre Trianon

MUSIQUE DES BALKANSBand of Gypsies Taraf de Haïdoukset Koçani OrkestarVendredi 10 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

JULIEN CLERCVendredi 10 et samedi 11 février à 20 h. Patinoire Mériadeck

ARY ABITANVendredi 10 février 20 h 30Casino Barrière

« SAN ANTONIO ENTRE EN SCèNE »

Vendredi 10 et samedi 11 févrierThéâtre Du Pont Tournant

CABARET EN FOLIEDimanche 11 février à 20 h 30Casino Barrière

CANDELORO SHOw COMPANY

Théâtre sur glace Samedi 11 février Le Pin Galant, Mérignac

SALON DE L'éROTISMEDu samedi 11 au dimanche 12 févrierParc des Expositions, Bordeaux-Lac

LES MOUSQUETAIRES AU COUVENT

Opérette de Louis VarneyDimanche 12 février à 15 hThéâtre Fémina

2èME NUIT DES RéSEAUx D'AQUITAINE

Lundi 13 février à partir de 18 hCité Mondialewww.aquitaine.nuit-des-reseaux.com

ENSEMBLE ORCHESTRAL DE BORDEAUx SOIRéE

SAINT-VALENTIN(Saint-Saens, Wagner, Fauré)Mardi 14 février à 20 h 30Théâtre Fémina

« DIEU, QU'ILS éTAIENT LOURDS... ! »

D'APRèS CéLINEDu vendredi 17 au samedi 18 févrierThéâtre Du Pont Tournant

ACTIVE CHILD + MEGAFAUN

Samedi 18 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

AgendaPar ici la Sortie...

5ème édition du Festival Swing Art 2012 Du mercredi 22 au dimanche 26 févrierHalle des Chartrons et au Comptoir du Jazz http://swingart.swingtime.fr

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Février 2012 19

àFondaudège

« BORDèU » GRIC DE PRAT »

Spectacle bilingue Occitan-Français tout publicDimanche 19 février à 16 hThéâtre Du Pont Tournant

THOMAS NGIJOLJeudi 23 février à 20 h 30Casino Barrière

FOIRE AU PLAISIR Du vendredi 24 février au dimanche 25 marsEsplanade des Quinconces

SANKOFA SOUL CONTESTSamedi 25 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

LEE « SCRATCH » PERRY & THE ROBOTIKS/REGGAE

Mardi 28 février à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

1er › 14 mars 2012« VOTEz GâTEAU »

Jeune public. Du mercredi 29 février au samedi 17 mars à 19 h(mercredi et samedi 14 h 30)La Boîte à jouer

NOA/MUSIQUES DU MONDE

Jeudi 1er marsLe Rocher de Palmer, Cenon

PEINTURE « LES IMMOBILES »

Du jeudi 1er au samedi 24 marsPorte 44 – MC2a. Faubourg des ArtsQuartier des Chartrons

LE CIRQUE DU SOLEILDu vendredi 2 au dimanche 4 marsHoraires variablesPatinoire Mériadeck

ExPOSITION ITURRIA 40 ANS DE DESSINS DE PRESSE

Du vendredi 2 mars au dimanche 3 juinMusée d'Aquitaine, 20 cours Pasteur à Bordeaux

MARCHé DE LA POéSIEDu 3 au 11 mars, Halle Chartronsmarchedelapoesie.blogs.sudouest.fr

CARNAVAL DES 2 RIVESBilbao : ville invitée d'honneurDimanche 4 mars

ORCHESTRE NATIONAL BORDEAUx AQUITAINE

George GershwinMercredi 7 mars à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

ECOUTE-MOI QUAND JE TE MENS

Comédie de Vincent Delboy8, 9 et 10 mars à 20 h 30Théâtre Trianon

GLOBE THéâTRE« Elle a tout d'une diva »Théâtre musicalDu jeudi 8 au vendredi 16 marsCie Eclats

STROMAE (éLECTRO/RAP/CHANSON)

Vendredi 9 mars à 20 h 30Casino Barrière

RéGIS MAILHOTVendredi 9 mars à 20 h 30Théâtre Fémina

RON CARTER « FOUR-SIGHT »/JAzz

Vendredi 9 mars à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

HOLIDAY ON ICEDu vendredi 9 au dimanche 11 mars (horaires variables)Patinoire Mériadeck

« VOYAGE » LE MIME JEAN-BERNARD LACLOTTE

Du vendredi 9 au samedi 10 mars à 20 h 3O et le dimanche 11 mars à 16 h. Théâtre Du Pont Tournant13 rue Charlevoix de VillersBordeaux

ROCK THE BALLETSamedi 10 mars à 20 hThéâtre Fémina

NATACHA ATLAS MUSIQUES DU MONDE

Samedi 10 mars à 20 h 30Le Rocher de Palmer, Cenon

LES MARINS D'IROISEDimanche 11 mars 2012 à 16 hThéâtre Fémina

GASPARD PROUSTMercredi 14 mars à 20 h 30Casino Barrière

MORT D'UN COMMIS VOYAGEUR D'ARTHUR

MILLERDu mercredi 14 au vendredi 16 mars. Théâtre National de Bordeaux

15 > 31 mars 2012STéPHANE ROUSSEAU

Du mercredi 14 au jeudi 15 mars à 20 h 30, Théâtre Fémina

STéPHANE GUILLONVendredi 16 mars, théâtre fémina

CABARETDu vendredi 16 au dimanche 18 mars. Patinoire Mériadeck

« RéCITAL DE FLûTE ET PIANO »

de Juliette Hurel et Hélène CouvertSamedi 17 mars à 20 h 30Théâtre Du Pont Tournant

MACEO PARKERSamedi 17 mars à 20 h 30Saxo groove, Casino Barrière

ENSEMBLE ORCHESTRAL DE BORDEAUx

Beethoven, Mozart, Gounod)Dimanche 18 mars à 16 hEglise Saint-Seurin

PHOTOGRAPHIEDeux générations, deux regards - Pierre et Alexandre Boulatjusqu'au 18 mars, Base sous-marins

THéâTRE D'IMPROTrophée des collèges bordelaisLundi 19 mars, Musée d'Aquitaine

GUY BEDOSMardi 20 mars, Pin galant

FESTIVAL DU LIVRE DE JEUNESSE

Du mercredi 21 au samedi 24 marsLe Bouscat

VéRONIC DICAIREJeudi 22 mars à 20 h 30Patinoire Mériadeck

SI CARMEN M'éTAIT CONTéE

Vendredi 23 mars à 20 hPatinoire Mériadeck

AMADOU ET MARIAM Musique WordVendredi 23 mars à 20 h 30Casino Barrière

« L'APPRENTISSAGE » De Jean-Luc Lagarce. Du vendredi 23 au samedi 24 mars à 20 h 30Dimanche 25 mars à 16 hThéâtre Du Pont Tournant

LES ETOILES DU CIRQUE DE PéKIN

Samedi 24 mars à 20 h 30Patinoire Mériadeck

SALON AUTO-MOTODu samedi 24 mars au dimanche 1er avrilParc des expositions Bordeaux-Lac

MARCHé DE BRIC ET DE BROC

Du samedi 24 au dimanche 25 mars. Rue Judaïque

LES CHOEURS DE L'ARMéE ROUGE

Dimanche 25 mars à 15 h 30Patinoire Mériadeck

LES ESCALES DU LIVRE10ème anniversaire de la mani-festation. Du lundi 26 mars au dimanche 1er avrilwww.escaledulivre.com

TRI YANNVendredi 30 mars à 20 h 30Casino Barrière

BéNABARSamedi 31 mars à 19 h 45Patinoire Mériadeck

POUR EN SAVOIR PLUSLe Théâtre des Salinières : www.theatre-des-salinieres.comLe Café Théâtre des Chartrons : www.cafetheatre-chartrons.frLe Théâtre de la Victoire : www.lavictoire.comAu Théâtre Pin Galant : www.lepingalant.comLe Théâtre du Pont Tournant : ww.theatreponttournant.comLe Théâtre Trianon : www.theatre-trianon.com

Le Théâtre National de Bx : www.tnba.orgLe Casino Théâtre Barrière : www.casino-bordeaux.comCap Sciences : www.cap-sciences.netLe Glob Théâtre : www.globtheatre.netLe Rocher de Palmer : www.lerocherdepalmer.frL’Opéra de Bordeaux : www.opera-bordeaux.com

Rock School Barbey : www.rockschool-barbey.comLe Théâtre Fémina : www.theatrefemina.frSwing Time : www.swingtime.frLa Boîte à Jouer : www.laboiteajouer.comLa Patinoire Mériadeck : www.axelvega.fri.Boat : www.iboat.eu

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