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ACCÈS États Unis volume 1, n o 1, 25 novembre 2013 Accès États-Unis Information stratégique et affaires internationales Le début d’une collaboration Mot de Simon Prévost, président de MEQ Investir aux États-Unis : la stratégie avant l’action Définition de la cible Localisation géographique Stratégie financière Le secteur des technologies propres en Californie : quelles opportunités pour les entreprises québécoises? Californie et technologies vertes Financement des projets dans la Silicon Valley Les forces du Québec Le Québec en force au Greenbuild à Philadelphie Philadelphie novembre 2013 S’afficher vert Se positionner dans le bâtiment vert 3 6 8 10

Accès États-Unis - 25 novembre 2013 - Publié par Manufacturiers et exportateurs du Québec

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Information stratégique et affaires internationales, avec la collaboration d'experts, partenaires de MEQ.

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Page 1: Accès États-Unis - 25 novembre 2013 - Publié par Manufacturiers et exportateurs du Québec

ACCÈSÉtats Unis

volume 1, no1, 25 novembre 2013

Accès États-Unis Information stratégique et affaires internationales

Le début d’une collaborationMot de Simon Prévost, président de MEQ

Investir aux États-Unis : la stratégie avant l’actionDéfinition de la cible Localisation géographiqueStratégie financière

Le secteur des technologies propres en Californie : quelles opportunités pour les entreprises québécoises?Californie et technologies vertes Financement des projets dans la Silicon Valley Les forces du Québec

Le Québec en force au Greenbuild à Philadelphie Philadelphie novembre 2013 S’afficher vert Se positionner dans le bâtiment vert

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Accès États-Unis est publié parManufacturiers et exportateurs du Québec360, rue Saint-Jacques, bureau M201Montréal QC H2Y 1P5T 514.866.7774 ou SF 1.800.363.0226F 514.866.9447

À propos de MEQManufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ) est une association dont la mission est d’améliorer l’environnement d’affaires et d’aider les entreprises manufacturières et exportatrices à être plus compétitives sur les marchés locaux et internationaux grâce à son leadership, son expertise, son réseau et la force de ses membres. MEQ est une division de Manufacturiers et exportateurs du Canada (MEC), la plus importante association commerciale et industrielle au pays fondée en 1871.meq.ca

ACCÈSÉtats Unis-

Éditrice

Coordonnatrice

Infographiste

Collaborateurs vol. 1, no 1

Réviseur

Audrey Azoulay

Annie Hamel

Josée Mercier

ISSN 2292-2253

Marc Beauchamp, Marie Cambet, Daniel Dignard, Dominic Vienot et Laurent Waessa.

Maryse Lavigne

Manufacturiers et exportateurs du Québec a le plaisir de présenter Accès États-Unis, une nouvelle publication mensuelle offrant à des experts reconnus un nouveau support afin de partager de l’information et des conseils pour permettre aux entreprises manufacturières et exportatrices de mieux intégrer le marché américain. Permise grâce au soutien d’Export Québec (ministère des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur), Accès États-Unis s’inscrit dans une culture de collaboration entre les entreprises, au bénéfice de la performance globale des entreprises québécoises.

Au-delà des effets de la globalisation sur la dynamique de l’économie américaine, les États-Unis ont connu des bouleversements qui présentent toutes sortes de défis pour les entreprises du Québec désirant commercer avec ce pays. Les États-Unis resteront un partenaire commercial stratégique et il est crucial d’en comprendre les évolutions récentes et les nouvelles réalités industrielles. Cela fait d’ailleurs écho à la priorité que le gouvernement du Québec s’est récemment donnée dans le cadre du Plan de développement du commerce extérieur 2013-2017, déposé en octobre dernier et qui, dans ses cibles, prévoit augmenter la présence des entreprises québécoises au sud de la frontière.

Accès États-Unis souhaite d’abord répondre aux besoins des PME, afin de les aider à mieux saisir les opportunités de développement et de mieux appréhender les conditions d’affaires. Les enjeux sont vastes. Le commerce international touche les questions liées entre autres aux normes de produits, au marquage, à la certification, au transport, aux douanes et à la gestion des risques internationaux. Cela concerne également, par exemple, la mobilité internationale des travailleurs ou l’insertion des entreprises dans les chaînes de valeurs mondiales.

L’internationalisation d’une entreprise peut être complexe, mais elle est forcément passionnante et j’invite tous les experts intéressés à contribuer à cette nouvelle revue. En partageant le savoir, nous valorisons nos expertises et favorisons notre prospérité économique. À très bientôt,

Simon PrévostPrésident de MEQ

Le début d’une collaboration

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Simon Prévost

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Stratégies d’investissements en capitaux

Sélection de sites

Négociations d’incitatifs

Pour de plus amples informations :Xavier PaillatDirecteur, développement d’affaires

615, boul. René-Levesque Ouest Bureau 1120Montréal QC H3B 1P5

T 514.982.0095, poste 226 x.paillat @caiglobal.comcaiglobal.com

Le Groupe CAI Global est un cabinet d’expert-conseil œuvrant comme stratège en projets d’investissement en servant d’entremetteur ou conseiller aux entreprises et gouvernements. Ces services s’articulent et combinent la stratégie pour projets d’investissement, la sélection de sites et la négociation d’incitatifs. caiglobal.com

Export Québec, en collaboration avec son réseau de partenaires, offre des services individualisés ou de groupe adaptés aux besoins des entreprises québécoises afin de les préparer à l’exportation et de les aider à conquérir de nouveaux marchés. S’adressant à toutes entreprises, qu’elle soit petite, moyenne ou grande, faisant ses premiers pas sur les marchés étrangers ou déjà en opération à l’échelle internationale, Export Québec met à leur disposition un ensemble d’expertises afin de les aider à : augmenter leur chiffre d’affaires et leurs profits par le biais des marchés extérieurs ; consolider leur présence à l’extérieur du Québec ; diversifier leurs clientèles ; établir un réseau d’affaires mondial performant ; bénéficier d’économies d’échelle ; augmenter la durée de vie de leurs produits. Export Québec est une entité du ministère des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur. export.gouv.qc.ca

Le réseau Expansion Québec propose des solutions flexibles d’implantation commerciale aux exportateurs québécois qui souhaitent accroître leur présence à l’étranger, la structurer davantage ou la consolider sur certains marchés. Expansion Québec s’appuie sur le réseau de 25 centres d’affaires d’Entreprise Rhône-Alpes International (ERAI) et vise d’ici 2015 l’ouverture d’une douzaine de centres d’affaires québécois, ce qui amènera le réseau combiné à une quarantaine de centres de services. expansionquebec.com

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Les entreprises partenairesACCÈSÉtats Unis-

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Investissement

Investir aux États-Unis :la stratégie avant l’actionLa relation étroite entre le Québec et les États-Unis en termes d’échanges commerciaux est bien connue. Depuis longtemps, les entreprises québécoises se tournent vers le pays de l’Oncle Sam pour y exporter leurs biens et services. À preuve, environ 75 % des exportations québécoises se dirigent vers l’un des 50 États américains. Pour ces entreprises, les États-Unis constituent un marché à proximité avec une culture d’affaires similaire et devient souvent un premier pas sécuritaire vers la pénétration de nouveaux marchés.

Qu’en est-il lorsque vient le temps pour ces entreprises de considérer un investissement sur le territoire américain ? Souvent, les défis peuvent s’avérer multiples et complexes et il devient essentiel de développer adéquatement votre stratégie avant d’agir. Dans bien des cas, l’appât de l’opportunité peut être assombri par les embûches de la démarche. Voici quelques conseils stratégiques à retenir.

1. Définir l’objectif de votre projetAssurez-vous que votre investissement aux États-Unis est compatible avec vos orientations stratégiques. Le meilleur investissement est celui qui ne peut se substituer dans vos opérations existantes.

« Votre investissement aux États-Unis est-il compatible avec vos orientations

stratégiques ? »

« Connaissez-vous bien tous les marchés potentiels qui s’offrent à l’entreprise ? »

2. Localisation géographique Prenez le temps d’évaluer le besoin actuel et futur de votre localisation avec vos priorités stratégiques d’entreprise. Trop souvent, le premier réflexe d’investissement d’une entreprise québécoise sera d’investir juste au-delà de la frontière américaine, dans les États limitrophes et ce, dans le but de conserver une proximité avec les opérations américaines. Assurez-vous d’évaluer tous les différents marchés qui s’offrent à vous et surtout, pensez aux objectifs de croissance de l’entreprise. Quelle sera la relation entre vos opérations québécoises et américaines aujourd’hui et dans cinq ans ? Ont-elles besoin d’être près l’une de l’autre ? Connaissez-vous bien tous les marchés potentiels qui s’offrent à l’entreprise ? Quelques heures supplémentaires d’avions pour la direction peuvent permettre à l’entreprise d’assurer que son investissement trouve un endroit pour se développer à long terme en respectant la stratégie corporative.

« Il est préférable que le retour sur votre investissement soit synchronisé avec le paiement de toute dette contractée afin

d’éviter une pression supplémentaire sur les liquidités de l’entreprise. »

3. Stratégie financièreVotre investissement affectera les états financiers de l’entreprise. Au départ, votre investissement ne doit pas élever votre endettement à un niveau supérieur que celui fixé dans votre planification stratégique. Si le projet se finance avec les ressources de l’entreprise, celui-ci ne doit pas interférer avec la stratégie de financement de celle-ci. De plus, il est préférable que le retour sur votre investissement soit synchronisé avec le paiement

Marc BeauchampVice-président et associéLe Groupe CAI GlobalT [email protected]

de toute dette contractée afin d’éviter une pression supplémentaire sur les liquidités de l’entreprise.

Quelle que soit la raison d’investir aux États-Unis, la planification stratégique jette les bases sur vos orientations et permet d’augmenter les chances de réussite.

À propos de l’auteur : Marc Beauchamp a contribué à l’élaboration de stratégies d’investissements pour plusieurs entreprises d’envergure au Québec et aux États-Unis. Il a également développé plusieurs services au sein de son entreprise ayant conduit à de nombreux mandats de sélection de sites en Amérique du Nord, ainsi qu’au développement économique de plusieurs régions au Canada et aux États-Unis. M. Beauchamp possède une connaissance approfondie de la dynamique de l’attribution de mandats corporatifs à l’intérieur des multinationales. Il compte aussi une connaissance de l’investissement direct étranger dans les projets d’investissement, tant avec les partenaires d’affaires privés que publics.

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Généralement, un investissement aux États-Unis se fait pour trois raisons soit : 1) la pénétration d’un marché, 2) l’accès aux intrants, 3) l’accès à la connaissance.

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« La réorientation des technologies propres vers l’efficacité énergétique se traduit par

l’émergence de nouveaux modèles de développement comme le solaire comme

service. »

Silicon Valley

Marie CambetDirectrice bureau de San Mateo

Expansion QuébecT 415.830.2637

[email protected]

À propos de l’auteur :Après huit ans d’expérience en gestion de projets marketing, création et lancement de nouveaux concepts stratégiques pour le Groupe Casino (un leader de la grande-distribution en France), Marie Cambet s’est établie à San Francisco il y a deux ans en tant que consultante pour accompagner des entreprises françaises dans leur développement international. Elle a notamment organisé la production du festival culinaire international Omnivore et acquis des contacts privilégiés avec plusieurs entreprises de la Silicon Valley.

Le secteur des technologies propres en Californie : quelles opportunités pour les entreprises québécoises ?Après des années de croissance et malgré une résistance peu commune face à la crise1, le secteur des technologies propres a connu, en 2012, un coup d’arrêt aux États-Unis. En effet, le marché a subi des transformations et le secteur des technologies propres s’est orienté vers des produits et des services visant l’efficacité énergétique. Dans un contexte de coûts de production élevés des énergies renouvelables et de montée de la concurrence asiatique, notamment sur le marché du photovoltaïque, les investisseurs privilégient l’attractivité des services et la rentabilité des logiciels.

La Californie, épicentre des technologies propres aux États-UnisPour faire face à la montée des prix des énergies fossiles, l’état fédéral américain a toujours soutenu le secteur des technologies propres. Cependant, une baisse des financements publics est à signaler. La Californie soutient également l’essor du secteur, notamment avec la Loi 32 (Assembly Bill 32-California Global Warming Solutions Act), adoptée en 2006 et qui impose la réduction des émissions de CO2 au niveau de 1990 d’ici à 2020, l’augmentation du taux d’énergies renouvelables jusqu’à 33 % dans le mix énergétique. De plus, deux milliards de dollars viennent d’être débloqués par l’État californien pour encourager les véhicules propres. Ces décisions législatives, combinées aux opportunités de la Silicon Valley, ont favorisé l’émergence de nouveaux services et d’entreprises dédiés à l’efficacité énergétique. Les logiciels de simulation, les outils de mesure, de régulation et les activités de conseil liés à l’efficacité énergétique

ont le vent en poupe dans la Silicon Valley et sont autant d’opportunités pour les entreprises québécoises.

Quelles sources de financement privées pour le développement des technologies propres dans la Silicon Valley ? La réorientation des technologies propres vers l’efficacité énergétique se traduit par l’émergence de nouveaux modèles de développement tel que le « solaire comme service ». Le principe ? Des tiers financent l’installation des structures et revendent la production à des particuliers, sans investissement en fonds propres. Ce nouveau système de financement, notamment popularisé par Solar City, a permis aux investisseurs de lever 938 millions de dollars de fonds en 2012. Les entreprises peuvent aussi s’adresser à des sociétés de capital-risque et des investisseurs providentiels spécialisés dans

l’efficacité énergétique, tels que Khosla, Kleiner Perkins (énergie renouvelable, changement climatique) ou Burill and Company (biotechnologies).

Les points forts du Québec sur le marché des technologies propres. Québec bénéficie d’une expertise reconnue en matière de recyclage, de traitement de l’air ambiant, de technologies de mesures et de contrôle de la pollution ainsi que d’efficacité énergétique. La province, qui souhaite aussi s’affirmer comme une puissance majeure

dans l’utilisation de véhicules électriques et de mobilité durable, a donc de belles perspectives dans la Silicon Valley. D’ailleurs, les entreprises québécoises souhaitant se développer dans cette région peuvent s’appuyer sur la structure d’accueil de l’incubateur Expansion Québec qui vient d’ouvrir ses bureaux à San Mateo.

Pour aller plus loin :

• Cleantech Open Innovation 2013 - Depuis 2005, ce concours mondial, réputé dans le domaine des cleantechs, les entreprises du secteur les plus innovantes. cleantechopen.org

• Global network for energy, cleantech, corporate sustainability. agrion.org

1. Entre 2005 et 2009, les investissements dans les technologies propres ont augmenté de 94 % et les emplois de 23 % selon un rapport du Silicon Valley Network et de la Silicon Valley Community Fondation.

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• California : Epicenter of the US CleanTech Market. theenergycollective.com Juin 2013

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Le Québec en force au Greenbuild à PhiladelphieLe Québec assurait une forte présence lors du plus grand événement mondial dans le secteur du bâtiment durable, Greenbuild 2013, alors qu’une délégation de 24 entreprises s’est rendue à Philadelphie pour y vendre l’expertise québécoise. Il s’agissait d’une nouvelle occasion pour le ministre des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur, Jean-François Lisée, de promouvoir à l’étranger l’excellence du Québec dans ce secteur en forte émergence. Pour la plupart des entreprises du Québec présentes au salon, cette participation représentait un premier contact avec le marché américain. Elles en ont profité pour faire connaître aux architectes, entrepreneurs généraux et grands distributeurs, une gamme variée de leurs produits: bois usiné, isolants, systèmes d’échangeur à air, portes et fenêtres, systèmes pour la salle de bain, produits recyclés, quincaillerie, systèmes de gestion d’immeuble informatisés.

Croissance du marché du bâtiment durableLe secteur de la construction aux États-Unis a entrepris au cours des deux dernières années une lente reprise, les dépenses en construction se situant toujours à un seuil de 30 % inférieur au niveau atteint avant la récession de 2008-2009. On voit toutefois se dessiner des tendances plus intéressantes à plus long terme, soit la croissance de la demande pour le bâtiment durable ou écologique. Selon les experts, le marché de la nouvelle construction verte est passé de 10 milliards à 85 milliards de dollars entre 2005 et 2012. Les segments les plus dynamiques seraient les écoles, les édifices à bureaux, les hôpitaux, les centres commerciaux. L’objectif des grands constructeurs et propriétaires d’immeubles est d’abord d’abaisser les coûts d’exploitation en énergie,

Laurent WaessaAttaché commercial, construction, bio-médical, VCs Délégation générale du Québec à New YorkOne Rockefeller Plaza, 26e étageNew York NY 10020-2102T 212.843.0950 // F [email protected]

À propos de l’auteur :Laurent Waessa a développé, au cours des dix dernières années, une expertise et un réseau de contacts très utiles à titre d’attaché responsable du secteur construction à New York et pour l’ensemble de la région Mid-Atlantique.

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Occasions d’affaires

mais aussi de concourir à une meilleure image auprès des investisseurs tout comme auprès du grand public et des employés.

Adoption d’une approche durable par les entreprisesIl devient crucial pour les entreprises québécoises de comprendre l’influence des systèmes actuels de certification, dont le plus répandu est le LEED (Leadership in Energy and Environment Design). Plus de 40 000 bâtiments aux États-Unis se sont vu octroyer une certification LEED au cours des 20 dernières années au terme d’un exercice imposant un pointage très précis en matière d’efficacité énergétique, d’utilisation efficiente en eau, de durabilité des matériaux et de qualité de l’environnement intérieur. Administré par le US Green Building Council aux États-Unis et le Conseil du bâtiment durable au Canada, le système LEED ne certifie pas les matériaux ou produits en

Politique industrielle et de sa Politique de développement du commerce extérieur, dont les mesures favorisent le développement du marché du bâtiment durable :

• des mesures pour appuyer les entreprises sur les marchés étrangers comme celui du bâtiment durable (pour les nouveaux exportateurs, entreprises à fort potentiel, entreprises à l’étape d’implantation dans un bureau d’Expansion Québec) ;

• des mesures qui incitent les entreprises à développer et à commercialiser des technologies permettant une meilleure efficacité énergétique ;

• des mesures qui encouragent les entreprises à se doter de certifications et de pratiques écoresponsables.

tant que tels, mais il veille à établir des standards de qualité que les manufacturiers de matériaux doivent respecter. Les manufacturiers sont invités plus fondamentalement à se doter d’une approche durable qui inclut l’analyse du cycle de vie de leurs produits (ACV) et de leur processus de fabrication.

Pour le marché du bâtiment durableLe gouvernement du Québec a procédé au lancement de sa

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Accès États-Unis | 25 novembre 2013 | 1312 | Manufacturiers et exportateurs du Québec

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