AEU ® - ZAC du Grand Clody - Commune du Fontanil-Cornillon 2 Cf. présentation du 04/06/07

AEU® - ZAC du Grand Clody - Commune du Fontanil-Cornillon 2

Cf. présentation du 04/06/07

Diagnostic AEU® du site du Grand Clody




Pour le territoire de la Métro les tendances émanant de « L’enquête Ménage Déplacements » (2002) sont brièvement décrites ci-dessous :

• Chaque personne effectue en moyenne 4,02 déplacements tous modes par jour, dont la moitié en voiture,

• Dans le secteur de Fontanil-Cornillon, Saint-Egrève et Saint-Martin-le-Vinoux, on constate que chaque personne effectue en moyenne 0,51 déplacements par jour en transports en commun contre 0,70 à Grenoble, et 1,23 déplacements à pieds contre 1,62 à Grenoble,

• Les modes alternatifs à la voiture particulière représentent 1,4 trajet quotidien par personne,

• Dans le secteur Fontanil-Cornillon, Saint-Egrève et Saint-Martin-le-Vinoux, les flux de déplacements se répartissent entre les trajets internes (43%), les échanges avec La Métro (40%), les échanges avec la grande région grenobloise (15%) et les échanges plus éloignés (2%),

• Les habitants de La Métro consacrent 1h11 par jour aux déplacements, dont 36 min en voiture,

• La Métro est un secteur de la grande région grenobloise où apparaît une clientèle quotidienne de transports en commun.

DIAGNOSTICDéplacements

Les déplacements à l’échelle de la commune (éléments extraits du PLU)

Les modes de déplacements caractéristiques du Fontanil-Cornillon sont les suivants, dans l’ordre décroissant :la voiture est très présente avec le flux généré par l’autoroute 48 qui relie Grenoble à Lyon et la présence de la RD1075 (ex-RN75),

• les transports en commun, avec la ligne interurbaine N° 3 reliant la commune à Grenoble et la ligne interrégionale n° 7150, permettent de relier Grenoble à Voiron,

• l’usage du vélo reste faible ; un réseau urbain peu dense de pistes cyclables existe, ce mode de déplacements étant surtout utilisé pour les loisirs,

• le réseau piétonnier est constitué de passages urbains et de chemins ou sentiers de promenade.

L’enquête déplacements réalisée en 2002 montre que, dans le secteur du Fontanil-Cornillon, les trajets internes et les échanges avec La Métro représentent plus de 80 % des trajets.

Le recensement de la population de 1999 montre que parmi les actifs occupés, 219 (19,4 %) travaillaient dans la commune et 908 se rendaient chaque jour sur une autre commune. Dans le sens contraire, chaque jour, 1 850 personnes viennent occuper les emplois offerts dans la commune. Soit un flux quotidien de plus de 2 750 personnes qui se croisent sur la RD1075 aux heures de pointe.








DIAGNOSTICDéplacements

Atouts Contraintes

Un axe structurant (RD1075) permettant une desserte routière efficace de la zone

Une desserte efficace en transport en commun par la ligne n°3

Un projet de renforcement des transports en commun (projet de tramway et de plateforme multimodale)

L’existence d’un début de réseau de modes de déplacements doux entre certains quartiers du Fontanil

Seulement deux accès principaux pour l’ensemble du Grand Clody au niveau de la rue de la Croix de la Rochette et au niveau de la rue des Mûriers

Des raccordements routiers sur un axe au trafic très important sources potentielles d’insécurité

Une absence de réseaux de modes de déplacement doux sur la zone du Grand Clody

Deux axes de transports importants en limite est (RD1075) et ouest (voie ferrée) de la zone sources de nuisances (cf. § Gestion des nuisances sonores)

Synthèse des atouts et contraintes








DIAGNOSTICCycles de l’eau

Hydrologie et risques d’inondation

La commune de Fontanil-Cornillon est soumise à plusieurs risques d’inondation :

• inondations de plaine ;• crues torrentielles ;• inondations de pied de versant (ne concernant pas la zone d’étude).

Un Plan de Prévention des Risques Naturels Prévisibles (PPRNP) a été initié par les services de l’Etat sous l’autorité du Préfet et soumis à enquête publique en décembre 2004. Ce document s’impose au PLU en tant que servitude d’utilité publique.

Les risques d’inondations torrentielles sur le site

Contrairement aux crues de plaines, ces crues sont rapides. Le phénomène de crue torrentielle est également aggravé par la constitution karstique du massif où s’écoulent les cours d’eau, qui est formé de tout un réseau de canalisations donnant lieu à des exsurgences.

Le ruisseau de Lanfray, bordant le site, est concerné par ce risque.

Les bureaux d’études Sogreah et Etudes et Projets ont réalisé des études sur le Lanfray en collaboration avec l’Association Syndicale des Digues et Canaux de Pique-Pierre à Roize. Il en résulte qu’un des points sensibles en matière d’inondation lors des crues centennales est localisé dans le secteur partant de la RD 1075 jusqu’à la voie ferrée. Cette zone comprend donc une partie du linéaire du Lanfray bordant le site d’étude. Cependant, les risques sont localisés en rive gauche du Lanfray, c’est-à-dire sur la rive opposée au projet. Une étude complète de sécurisation du Lanfray a été réalisée : des travaux de modification du lit actuel du torrent et une reconstruction des digues pour contenir une crue centennale, d’un débit de 20 m3/seconde.Les risques d’inondations torrentielles sont mineurs sur le site, ils concernent surtout la partie de la commune en aval de la RD75.

Mais le bon entretien du Lanfray et sa sécurisation dans la zone du projet permet la prévention des risques d’inondation en amont.


DIAGNOSTICCycles de l’eauLes risques d’inondations de plaine sur le site

Crue de l’IsèreUne étude d’inondabilité de la vallée du Grésivaudan en aval de Grenoble réalisée par SOGREAH en 2001 a conclu que pour une crue bicentennale de l’Isère (sans rupture de sa digue), le territoire du Fontanil-Cornillon ne serait pas inondable. Par ailleurs, le schéma d’aménagement et de gestion (SAGE) de l’Isère ne préconise aucuns travaux au niveau de la commune, ce qui laisse supposer qu’il n’existe a priori pas de point de rupture au niveau de la commune de Fontanil-Cornillon.L’Isère fait néanmoins l’objet d’un dispositif d’annonce de crue, et la DDE est désormais capable de prévoir les crues 10h à l’avance.

Crue du réseau de canauxCompte tenu du maillage hydrographique présent sur zone d’étude, les inondations de plaine sont particulièrement induites par les fossés et canaux qui drainent le site du projet. Par ailleurs, les inondations de plaine peuvent être liées et accentuées par la présence de la nappe alluviale peu profonde (remontée de nappe) ou à l’accumulation d’eau provenant des Rau du Lanfray ou de Charavel.De manière générale, le site est classé en zone de contraintes faibles concernant l’inondation par remontée de nappe et suffosion dans le PPRNP. D’autre part, le secteur est impacté par :

• des risques d’inondation de plaine d’aléa fort qui rendent les zones concernées inconstructible mais autorisent les ouvrages de protection et certaines infrastructure ;

• des risques d’inondation de plaine concernant des zones réservées à des aménagements de protection ;• des risques d’inondation de plaine concernant des zones inconstructibles en l’état.

La réalisation des travaux de protection des digues du Lanfrey conditionne l’ouverture à l’urbanisation des terrains situés au sud du canal de la Rochette.Ces travaux réalisés, la zone située au sud du canal de la Rochette, actuellement inconstructible en l’état, serait alors considérée comme une « zone d’aléa faible dû aux débordements des ruisseaux de plaine ». Une hauteur de référence par rapport au niveau du terrain naturel de 0,5 m serait alors à prendre en considération pour les travaux d’aménagement d’habitations.







Atouts Contraintes

Eau élément identitaire très présent sur la zone du Grand Clody, à préserver et à valoriser (ruisseaux du Lanfray et du Palluel)

Présence d’un réseau dense de fossés de récupération des eaux pluviales le long des voies et dans les parcelles agricoles

Présence des réseaux d’eau potable sur la zone du Grand Clody

Présence du réseau d’eaux usées sur la zone du Grand Clody se raccordant à la station d’épuration d’aquapôle

Inondabilité d’une grande partie de la zone du Grand Clody : aménagement possible de certaines zones sous réserve de réaliser les travaux sur le Lanfray prescris par le PPRI

Sensibilité des cours d’eau superficiels de bonne qualité

Présence de la nappe à faible profondeur ce qui la rend vulnérable à un risque de pollution

Méconnaissance de la perméabilité des sols ne permettant pas de trancher sur les possibilités d’infiltration des eaux pluviales

Insuffisance du volume d’eau potable mobilisable

Redimensionnement des réseaux à prévoir

DIAGNOSTICCycles de l’eau



DIAGNOSTICEnergie et Climat

Climat général

Le climat du Fontanil-Cornillon est à tendance continental, influencé par la proximité du massif de la Chartreuse.

Les précipitations sont abondantes (1 221 mm par an à la station du Fontanil-Cornillon) mais régulièrement réparties dans l’année.

Les températures moyennes mensuelles varient entre 1,9°C en Janvier et 20,8°C en Juillet ; les minimas et maximas observés atteignent respectivement les –1.8°C (janvier) et les 27,4°C (juillet). Ces températures correspondent à un climat Préalpin avec des chaleurs printanières tardives.

Actuellement, il n’existe pas de station météorologique de mesure des vents située à proximité de la commune du Fontanil.

Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. An

Températures minimales mensuelles (°C)

-1.8 0.1 2.1 5.3 8.9 12.1 14.3 13.8 11.2 7.2 2.1 -1

Températures maximales mensuelles (°C)

5.7 8.6 12.6 16.6 20.8 24.4 27.4 26.4 23.2 17.7 10.5 2.5

Températures moyennes mensuelles (°C)

1.9 4.3 7.3 10.9 14.9 18.3 20.8 20.1 17.2 12.5 6.3 6.35 11.7

Source : Météo France, station de Saint-Martin-d’Hères

Précipitations et températures minimales et maximales à Saint-Martin-d’Hères

Source : Site Internet de MétéoFrance


DIAGNOSTICEnergie et Climat

Vents

Les vents dominants proviennent du secteur Nord-ouest, et ne sont pas des vents très forts ; ils sont néanmoins un peu plus rapides que les mêmes vents dans le Nord-Isère car ils s’accélèrent au moment de s’engouffrer dans la vallée du fait du resserrement de celle-ci. Ces vents se dirigent donc vers Grenoble.Les vents forts proviennent généralement du Sud, mais sont des vents secondaires.La zone du Grand Clody présente quelques écrans naturels aux vents formés par des haies.

Ensoleillement

En ce qui concerne l’ensoleillement, la durée d'insolation annuelle dépasse les 2 000 heures. Le gisement solaire à Grenoble que l’on appliquera à la zone d’étude en l’absence de données plus précises sur le Fontanil-Cornillon, est égal à environ à 1 339 KWh/m2 sur une année (source : Logiciel CALSOL, Ines Education).

Néanmoins, étant donné la présence des massifs de la Chartreuse à l’Est et celui du Vercors à l’Ouest, ces données doivent être nuancées. En effet, ces massifs sont un obstacle à la course du soleil pour la zone d’étude en début et en fin de journée.

Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. An

Durée moyenne d’insolation en heures à

Grenoble (1961-1990)86 94 141 174 202 245 295 253 208 148 100 85 2031

Source : www.infoclimat.fr




DIAGNOSTICDéchets

Collecte et traitement des déchets au Fontanil

Depuis le 1er janvier 2005, la Métro a complété sa compétence de traitement et de valorisation des déchets urbains en prenant en charge la collecte. L’enjeu de cette prise de compétence est de garantir et d’améliorer la qualité de ce service de proximité auprès des usagers et de limiter la hausse tendancielle des coûts constatée depuis plusieurs années.

Actuellement, sur la commune du Fontanil les déchets ménagers sont collectés en porte-à-porte trois fois par semaine (lundi, mercredi et vendredi).La collecte sélective s’effectue également en porte-à-porte deux fois par semaine (mardi et jeudi). Les déchets issus de la collecte sélective sont envoyés au centre de tri tandis que les déchets non valorisables sont incinérés à l’usine Athanor capable de traiter 185 000 t de déchets par an.Des colonnes de verre réparties sur la commune permettent la collecte et le recyclage de ce matériau.

La déchetterie la plus proche est située à Saint-Egrève.

Poubelles grises et vertes à la Rochette

Poids de déchets produits sur la commune

du Fontanil-Cornillon

Déchets ménagers (poubelles

grises)

Déchets recyclables (poubelles

vertes)

Verre

2005

Total produit 1222,26 t 424,81 t NC

Total par habitant (2614 hab.)

468 kg/hab 163 kg / hab

2006

Total produit 1231,38 t 383,28 t 70,94 t

Total par habitant (2800 hab.)

440 kg/hab 137 kg/ hab 25 kg/ hab

Production de déchets

En 2006, chaque Fontanilois a produit en moyenne 440kg de déchets ménagers, 137 kg de déchets recyclables et 25 kg de verre.


DIAGNOSTICDéchets

Atouts Contraintes

Existence d’une collecte sélective en porte-à-porte sur le territoire communal gérée par la Métro

Contraintes du système de collecte à prendre en compte : aire de stationnement pour les camions-bennes, aires de retournement…Contraintes paysagères à prendre en compte










DIAGNOSTICPaysage et Biodiversité

Les versants méridionaux de la Chartreuse

A l’ouest, un piémont au paysage mouvementé de collines assure la transition et garantit les échanges biologiques avec les « Terres-Froides » du Bas-Dauphiné ; au sud et à l’est par contre, les hauts-reliefs du massif surplombent brutalement la vallée de l’Isère. La bordure sud-ouest du massif de la Chartreuse, sur laquelle s’adosse Fontanil, constituée d’escarpements calcaires, présente en particulier une succession de vallons et des pentes exposées en adrets, particulièrement favorables à l'établissement d'une flore thermophile, avec de nombreuses espèces témoignant d’une influence méridionale (Aster amelle, Buplèvre des rochers, Genévrier thurifère, Leuzée à cônes, Pistachier térébinthe, Stipe penné…). On y observe également des sources d’eau dure.

La faune est représentée par des espèces montagnardes (Chamois, Tétras-Lyre) , forestières (Pic cendré…) et par d’autre prospectant les versants secs et rocheux (Circaète Jean-le-Blanc, Tichodrome échelette…).

Le secteur abrite enfin un karst caractéristique des Préalpes du nord. Ce type de karst est caractérisé par l’épaisseur considérable des stratifications calcaires,l’ampleur des phénomènes de dissolution, l’incidence des glaciations quaternaires (calottes glaciaires sommitales, épaisses langues glaciaires). Le peuplement faunistique du karst de la Chartreuse est relativement bien connu. Certaines espèces (par exemple un coléoptère tréchiné) sont des endémiquesdont la répartition est circonscrite à ce seul massif. La faune pariétale est également intéressante. Elle fréquente la zone d'entrée des cavernes ;

Le rocher de Rochepleine

Ces rochers présentent une colonie de plantes méridionales intéressante, avec la présence du Genévrier thurifère en prairies et dans les rochers. Dans les vallons périphériques, des sources avec concrétions de tuf sont à remarquer.



L’ensemble fonctionnelle de la rivière Isère à l’aval de Grenoble

Cette zone intègre l’ensemble fonctionnel formé par le cours inférieur de l’Isère, ses annexes fluviales et les zones humides voisines.

Le Schéma directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du Bassin Rhône-Méditerranée-Corse (SDAGE) propose notamment ici des objectifs de restauration de la qualité de l’eau et des milieux (sédiments, toxiques). Il préconise ainsi la préservation des milieux à haute valeur écologique, la protection de la nappe de l’Isère et de celles des terrasses perchées vis-à-vis de risques de pollutions accidentelles ou agricoles.

Des milieux naturels intéressants subsistent, conservant une flore remarquable tantôt inféodée aux zones humides (Prêle d’hiver, Gratiole officinale, Ophrys à fleurs lâches, Samole de Valerand, Spiranthe d’été…), tantôt aux « balmes » sèches situées à proximité immédiate (Micropus dressé, Liseron des Monts Cantabriques, Orchis à longues bractées…).

La faune reste riche en ce qui concerne les oiseaux (ardéidés, Guêpier d’Europe, Rémiz penduline…), les insectes (odonates en particulier), les mammifères (Castor d’Europe, Campagnol amphibie…) ou les poissons (Bouvière, Toxostome…).

Enfin, le site est concerné par une importante nappe phréatique, dont il faut rappeler qu’elle recèle elle-même une faune spécifique. Il s’agit d’un peuplement à base d’invertébrés aquatiques aveugles et dépigmentés. Ainsi, 45% des espèces d’Hydrobiidae (la plus importante famille de mollusques continentaux de France avec une centaine de taxons : Moitessieria, Bythinella…) sont des espèces aquatiques qui peuplent les eaux souterraines et notamment les nappes.

De multiples interactions existent au sein de ce réseau fluvial, dont les tronçons abritant les habitats ou les espèces les plusremarquables (ainsi que certains secteurs de « balmes » sableuses proches de la rivière). L’ensemble exerce tout à la fois des fonctions de régulation hydraulique (champs naturels d’expansion des crues) et de protection de la ressource en eau. Les aquifères souterrains sont sensibles aux pollutions accidentelles ou découlant de l'industrialisation, de l'urbanisation et de l'agriculture intensive.



Synthèse des atouts / contraintes

Atouts ContraintesPrésence d’une trame paysagère variée, esthétique et multifonctionnelle (prairies, champs cultivés, haies bocagères, ripisylves, cours d’eau, fossés drainants, …)

Rapport visuel au grand paysage très valorisant (Massifs de la Chartreuse et du Vercors)

Grande richesse biologique de part et d’autre de la plaine dans laquelle s’inscrit le site du Grand Clody

Ambiances paysagères diversifiées sur le site, habitats et milieux intéressants pour la faune et la flore

Forte présence de l’eau sur le site, éléments de base du projet paysager

Ruisseau du Palluel, « épine dorsale » du site et du projet

Jardins familiaux pré-existants, support du projet paysager

Bâti existant hétéroclite et dispersé sans logique urbaine et paysagère : intégration dans le projet ?

Maintien des ouvertures visuelles Est-Ouest

Maintien du cône de vue sur le clocher de l’église du Fontanil

Maintien de la logique d’organisation et d’orientation de la trame paysagère (foncière et végétale)

Gestion des interfaces, franges, zones de contact de l’opération avec : le tissu urbain riverain, le tissu pavillonnaire à l’Est, la RD1075

Maintien de la présence de l’eau, valeur paysagère déterminante du site (identité du Grand Clody)

Conception et gestion des espaces verts compatible avec le développement de la biodiversité et les fonctions de corridors écologiques

Documents

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