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Association Française pour les Enfants Précoces n° 3 N° 2 - Décembre 2008 AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet Le mot de la Rédac’chef AFEP Jeunes LE MALICIEUX C E onzième numéro réalisé par notre fidèle équipe de jeunes journalistes, s’organise autour du thème de la lecture. Il est vrai que l’hiver nous porte plus volontiers à cette occupation. Le choix des œuvres s’est fait librement et il va sans dire que le fantastique l’a emporté haut la main. Chevaliers, druides, dragons… Chez certains cependant, l’imaginaire puise sa substance dans des faits non élucidés, comme l’affaire Roswell. Laissons donc un peu nos adolescents rêver à leur guise aux batailles de demain, qu’ils devront engager avec éner- gie et intelligence. Dans ces mondes complexes à la fois sombres et mer- veilleux, il est ainsi possible de se dépasser et de franchir toutes ces barrières, qui d’habitude minent notre quotidien. Ne seront-ils pas les héros de demain ? Alors, bonne aventure ! Agnès Denoix Voici le numéro 11 - Un journal intelligent pour les jeunes – décembre 2008/janvier 2009 Au sommaire Le Malicieux Dossier culture L’histoire du Père Noël Exemples de livres à offrir aux ados : « les chevaliers d’Émeraude » et « la Moïra » Étude sur les différents types de dragons rencontrés en littérature Dossier Société Le mystère Roswell Jeu : Testez vos connaissances 10 animaux surdoués Dossier Culture Question d’actualité : S t Nicolas est à l’origine du Père Noël. Il a été importé aux États-Unis par les immigrés du nord de l’Europe. Il pos- sède une longue barbe blanche et un long manteau rouge. Petit à petit, la légende de Saint-Nicolas est devenue celle de Santa Claus et du Père Noël, à travers les contes de Clément Clarke Moore. Ainsi en 1821, dans « The Night Before Christ- mas » (La nuit avant Noël) apparaissent le traîneau et les rennes. L’écrivain rédigea aussi pour un journal de New York : « A Visit From St Nicolas » (La visite de St Nicolas). Ce texte parlait de lutins qui distribuaient des cadeaux aux enfants par la cheminée et se déplaçaient dans une carriole guidée par huit rennes. Un neuvième renne est ajouté en 1839 : Rudolf. Il fut chargé d’éclai- rer le chemin du Père Noël avec son nez lumineux. Le récit fut traduit en plusieurs langues et fut diffusé dans le monde entier. À partir de 1863 et pendant trente ans, le dessinateur Thomas Nast représenta dans le journal new-yorkais Harper’s Illustrated Weekly, un Santa Claus ventru et jovial avec une longue barbe blanche et vêtu d’un costume rouge et portant un large ceinturon de cuir. En 1885, Thomas Nast indiqua que le Père Noël logeait au pôle nord, en créant un dessin montrant deux enfants regar- dant sur une carte du monde, avec son parcours depuis le pôle nord jusqu’aux États-Unis. Mais d’où vient le père Noël ? Par Manon Skrubej

AFEP pour les Enfants Précoces Association Française ... · vrai que l’hiver nous porte plus volontiers à cette occupation. ... Tome i-La louve et l’enfant: Aléa, jeune orpheline,

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Association Françaisepour les Enfants Précoces

n° 3

N° 2 - Décembre 2008 AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet

Le mot de la Rédac’chef

AFEP Jeunes

Le MaLicieux

Ce onzième numéro réalisé par notre fidèle équipe de jeunes

journalistes, s’organise autour du thème de la lecture. Il est

vrai que l’hiver nous porte plus volontiers à cette occupation.

Le choix des œuvres s’est fait librement et il va sans dire que

le fantastique l’a emporté haut la main. Chevaliers, druides, dragons…

Chez certains cependant, l’imaginaire puise sa substance dans des faits non

élucidés, comme l’affaire Roswell. Laissons donc un peu nos adolescents

rêver à leur guise aux batailles de demain, qu’ils devront engager avec éner-

gie et intelligence. Dans ces mondes complexes à la fois sombres et mer-

veilleux, il est ainsi possible de se dépasser et de franchir toutes ces barrières,

qui d’habitude minent notre quotidien. Ne seront-ils pas les héros de demain ?

Alors, bonne aventure !

Agnès Denoix

Voici le numéro 11 - Un journal intelligent pour les jeunes – décembre 2008/janvier 2009

Au sommaireLe Malicieux

Dossier culture L’histoire du Père Noël Exemples de livres à offrir aux ados :

« les chevaliers d’Émeraude » et « la Moïra » Étude sur les différents types de dragons

rencontrés en littérature

Dossier Société Le mystère Roswell

Jeu : Testez vos connaissances

10 animaux surdoués

Dossier CultureQuestion d’actualité :

St Nicolas est à l’origine du Père Noël. Il a été importé aux États-Unis par les immigrés du nord de l’Europe. Il pos-sède une longue barbe blanche et un long manteau rouge.

Petit à petit, la légende de Saint-Nicolas est devenue celle de Santa Claus et du Père Noël, à travers les contes de Clément Clarke Moore. Ainsi en 1821, dans « The Night Before Christ-mas » (La nuit avant Noël) apparaissent le traîneau et les rennes. L’écrivain rédigea aussi pour un journal de New York : « A Visit From St Nicolas » (La visite de St Nicolas). Ce texte parlait de lutins qui distribuaient des cadeaux aux enfants par la cheminée et se déplaçaient dans une carriole guidée par huit rennes. Un neuvième renne est ajouté en 1839 : Rudolf. Il fut chargé d’éclai-rer le chemin du Père Noël avec son nez lumineux. Le récit fut traduit en plusieurs langues et fut diffusé dans le monde entier. À partir de 1863 et pendant trente ans, le dessinateur Thomas Nast représenta dans le journal new-yorkais Harper’s Illustrated Weekly, un Santa Claus ventru et jovial avec une longue barbe blanche et vêtu d’un costume rouge et portant un large ceinturon de cuir. En 1885, Thomas Nast indiqua que le Père Noël logeait au pôle nord, en créant un dessin montrant deux enfants regar-dant sur une carte du monde, avec son parcours depuis le pôle nord jusqu’aux États-Unis.

Mais d’où vient le père Noël ?

Par Manon Skrubej

AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet Décembre 2008 - N° 3- 2 -

Père Noël et pubDepuis 1931, la marque Coca-Cola utilise le Père Noël, dont

les couleurs correspondent à celles de sa boisson. Elle essaye ainsi d’augmenter les ventes en cette période peu favorable à la consommation de ce soda, à travers des publicités dans la presse et à la télévision… De nos jours, le Père Noël est donc surtout utilisé pour faire fonctionner le commerce au moment des fêtes. Heureusement, il nous reste encore l’Esprit Magique de Noël, cette nuit où on a envie d’offrir de la joie, du bonheur et de l’amour à tous ceux qu’on aime, juste pour le plaisir. n

Côté bouquinsVoici deux collections passionnantes pour adolescents sélectionnées par notre rédaction :

La Moïra, ou l’histoire d’une jeune fille porteuse du destin

d’Henri LoevenbruckPar Jordan Nicoules

« La mémoire de la Terre est étrangère à celle des hommes. On

croit tout connaître de l’histoire du monde, mais il est des âges oubliés, où se croisaient encore mille merveilles aujourd’hui disparues. Seuls les arbres se souviennent, et le ciel et le vent… ».

AINSI commence chacun des livres de la trilogie « La Moïra », écrite par Henri Loevenbruck et publiée

par les Éditions Bragelonne.Cette trilogie de fantasy (voir enca-

dré) raconte l’histoire d’une jeune fille, Aléa, qui, un jour, en se promenant dans la lande, trouve une bague qui va chan-ger sa vie et lui donner d’exceptionnels pouvoirs. L’histoire se passe sur l’île de Gaelia (actuelle Irlande), au temps où les pratiques druidiques existaient encore.

De plus, pour nous aider à nous repérer, une carte détaillée est incluse dans chacun des livres.

L’histoireTome i - La louve et l’enfant : Aléa,

jeune orpheline, qui doit voler pour survi-vre, est rejetée par les habitants de son vil-lage, Saratea. Dans la lande voisine, elle découvre une main sortant du sol portant une bague qui va lui conférer de puissants

pouvoirs. Mais, à cet instant, elle l’ignore encore.

Aléa, pense revendre la bague à bon prix et la vole. Mais, après avoir rencon-tré un grand druide dans son village, elle s’enfuit et décide de garder le bijou. Aléa tente alors de rejoindre son amie Amine à la capitale, un chemin très périlleux…

En parallèle, l’auteur raconte l’histoire d’Imala, une louve blanche bannie de sa meute, ainsi que celle du peuple Tuathann qui, chassé par les hommes il y a des siè-cles, va tenter de reprendre l’île.

Tome ii - La guerre de loups : Aléa, le Samildanach (celle qui a tous les pouvoirs), a rencontré les Silves, une race mythi-que qui lui a confié la mission d’accom-plir les trois prophéties. Afin d’en savoir plus sur le sujet, elle compte se rendre à Mont-Tombe, la plus grande bibliothèque existant en Gaelia. Seulement, celle-ci se trouve en Harcourt, terre des Chrétiens qui sont les ennemis de la Moïra, principe reli-gieux des druides.

En même temps, elle demande à Imala la louve, de retrouver Galiad et Erwan, deux amis desquels elle a été séparée pendant la bataille contre l’Hérilim. De son côté, la Fille de la Terre, Aléa, doit à nouveau parcourir Gaelia à travers un par-cours semé d’embûches.

Tome iii – La nuit de la louve : Après les guerres et la mort de bon nombre de

ses compagnons, Aléa, blessée, se repose dans la forêt, réfléchit et parle au jeune Grand druide Finghin des trois prophé-ties. Complètement rétablie au bout de quelques semaines, elle se met en marche avec son armée vers son comté d’origine, la Sarre, afin de trouver un soutien politi-que et militaire.

Malheureusement, il est tombé aux mains des Chrétiens, et Aléa décide de le leur reprendre. Mais il faut faire vite : la puissance du Saîman, magie utilisée par les druides, disparaît peu à peu !

Pendant qu’une énorme guerre se pré-pare entre Chrétiens et alliés du pouvoir royal, la jeune fille se met en route pour le combat final contre Maolmòrdha, le mal incarné. Qui gagnera ? Qu’adviendra-t-il de l’île de Gaelia ? n

La fantasy est un genre littéraire où apparaissent des éléments surnaturels, magiques, dans un cadre souvent ancien, lointain, oublié, ou dans un ou plusieurs mondes parallèles, avec des créatures imaginaires, extraordinaires voire mythiques. Les personnages font souvent preuve d’héroïsme, la nature y reste préservée et le sacré tient une place importante. Source : Wikipédia

N° 3 - Décembre 2008 AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet- 3 -

Biographie de l’auteurNée le 9 février 1955, fille aînée d’un

professeur de ballet (Pierrette Gagné) et d’un comédien, Anne Robillard a grandi dans la magie des arts de la scène. Elle a travaillé comme secrétaire juridique pen-dant 27 ans et comme traductrice pendant 3 ans. Elle n’a écrit que du fantastique et de la « fantasie ». Pendant 30 ans, elle a cherché une maison d’édition pour publier le premier tome des Chevaliers d’Éme-raude (Le feu dans le ciel) : en vain.

On les trouvait excellents, mais il n’existait pas de collections de fantasti-que à l’époque… Anne a finalement reçu le grand prix littéraire Archambault en 2006 pour le cinquième tome des Cheva-liers d’Émeraude et le prix des lecteurs du salon du livre de Trois-Rivières en avril 2007, ainsi que le grand prix des lec-

teurs du Journal de Mickey en France en octobre 2007, sans compter les nomina-tions pour plusieurs autres prix, en France et en Europe.

résumé des livresDans une contrée nommée Enkidiev

(voir carte) des chevaliers aux pouvoirs magiques (7 au début) luttent avec leurs écuyers pour défendre les différents royaumes contre les offensives de l’Em-pereur noir Amacareth.

Pour réussir à le détruire, ces chevaliers vont devoir résister jusqu’à ce que la pro-phétie se réalise. Mais l’Empereur et ses sbires vont tout faire pour arriver à leurs fins, y compris par les manipulations et la destruction d’espèces hostiles…

La saga des Chevaliers d’Émeraude sera vraisemblablement suivie par une deuxiè-

me série mettant en vedette les enfants des chevaliers, en temps de paix… n

Auteur : Anne Robillard Nombre de tomes : 12 Parution du premier tome : 15 octobre 2002, au Canada. Type : Fantastique, Aventure. Édition Michel Lafon - Prix : 15 €

Les chevaliers d’Émerauded’Anne Robillard

Par Julien Kasmi

Tout feu, tout flamme, Étude des dragons à travers la littérature et les légendes

Par Camille Denoix et Lucas Drouin

LA dragonologie est la science du dra-gonologue, c’est-à-dire de celui qui aborde l’étude du dragon. D’après

une légende, nous connaissons les dra-gons depuis l’époque où Merlin l’enchan-teur découvrit deux puissants dragons qui se livraient bataille, non loin du château du roi Vortigern.

Depuis ce jour, de nombreux mythes sont nés à propos de ces bêtes mysté-rieuses. Mais saviez-vous qu’il existe un grand nombre de dragons différents ? Ils se répartissent dans des zones géographi-ques bien précises. Voici donc les races de dragons les plus citées :

en europe, nous trouvons :Le dragon « européen »Repaire ou nid : grotte isolée en montagne ou en bord de mer.Taille adulte : 14 m de long ; 4 m à 5 m 20 de haut.Coloration : rouge, vert, noir, parfois dorée.

Mode d’attaque : feu, queue, griffes, cor-nes.Proies : bovins, ovins, êtres humains.Le KnuckerRepaire ou nid : mare profonde, puits ou fosse.Taille adulte : 9 m de long, 1 m à 2 m de hautColoration : brun tanné, rouge sombre et bleu vertMode d’attaque : morsure venimeuse, étranglementProies : lapins, chevreuils, animaux fer-miers, enfants égarés

dans le cercle polaire nordIl existe un dragon des glacesRepaire ou nid : caverne faisant face à la mer, creusée dans un glacier ou un iceberg.Taille adulte : 12 m de long, 3,50 à 4,50 m de haut.Coloration : blanc pur ou nuancé de bleu ou de rose.

Mode d’attaque : terrifiant souffle glacial, queue, griffes, cornes.Proies : calmars géants, ours polaires, orques, morses, phoques.

en asiePlusieurs types de dragons cohabitent :Le dragon tibétainRepaire ou nid : versant déneigés des montagnes l’été, abri creusé dans la neige l’hiver.Taille adulte : 12 m de long, 3 m à 3,60 m de haut.Coloration : presque toujours rouge.Mode d’attaque : morsure ou étrangle-mentProies : yack et yeti.Le dragon serpentRepaire ou nid : trou au solTaille adulte : 10 m de long ; 2,50 m à 3M de hautColoration : entre vert et jauneMode d’attaque : griffures ou étranglements.

AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet Décembre 2008 - N° 3- 4 -

Des faits très troublants…Roswell est une petite ville

tranquille du Nouveau Mexique, jusqu’à la date du 2 juillet 1947.

Cette nuit-là, un OVNI s’écrase sur les terres de William « Mac » Brozel. Plu-sieurs témoins affirment avoir entendu une énorme détonation, plus grande que celle de l’orage qui faisait rage au même moment. C’est seulement le lendemain que le propriétaire du ranch décou-

vre un grand nombre de débris s’étalant sur plus d’un kilomètre. Celui-ci avertit M. Wilcox, shérif de Roswell.

Peu de temps après, la presse publie un article faisant allusion à une soucoupe volante. Quelques heures plus tard, cette nou-velle est démen-

tie. Selon l’État, il s’agirait d’un ballon météorologique qui se serait écrasé.

Pourtant, trois jours avant le crash, 88 OVNI ont été aperçus dans 24 États par plus de 10 millions de personnes. Les débris trouvés sont constitués d’un maté-riau très étrange ; très résistant, non décou-pable, non entaillable, incombustible… et impossible de fabriquer cette matière à l’époque.

des témoignages surprenants- M. Wilcox, shérif de Roswell à l’époque,

s’est rendu sur les lieux. Il affirme avoir observé une grande étendue de terre brûlée, ainsi que quatre extraterrestres.

- Le colonel B. aurait bien donné l’ordre de diffuser un communiqué à la pres-se, qui précisait qu’il s’agissait d’une soucoupe volante.

- B. Jonhson, est photographe de la réser-ve. On lui a demandé de se rendre au bureau du général R. Raison invoquée :

on allait ramener une soucoupe volante et il faudrait des photos. Selon lui, les débris sentaient fort le brûlé et l’ensem-ble n’était pas très photogénique…

- Le commandant M. a ramené une partie des débris chez lui pour les montrer à sa femme et son fils. Sur une poutre en forme de « I » il y avait des insignes res-semblant à des hiéroglyphes.

- M. D lors d’un transport de blessés à l’hôpital a aperçu des débris dans une ambulance. On l’a menacé de mort, s’il en parlait à qui que ce soit. Sa petite amie qui travaillait à l’hôpital, a vu trois corps dans une salle. Le lendemain elle était transférée. n

Le mystère RoswellPar Alexandra Skrubej

Proies : chameaux de Bactriane et la nuit, les commerçants qui cheminent sur la rou-te de la soie…Le dragon « asiatique »Repaire ou nid : grotte sous l’eauTaille adulte : 12 m de long ; 3,50 m à 4,50 de haut.Coloration : bleu, noir, blanc, rouge ou jaune.Mode d’attaque : cornes, dents, griffes.Proies : oiseaux ou poissons.

en afriqueNous rencontrons la vouivreRepaire ou nid : rocher escarpé.Taille adulte : 15 m de long ; 5 m à 6 m de haut.Coloration : brun ou vert vif.Mode d’attaque : dents, griffes, coup de queue, largage en haute altitude.Proies : éléphants, hippopotames, rhino-céros.

en amériqueC’est le règne l’amphiptère

Repaire ou nid : parmi les roseaux, ou sur des îles proches du littoralTaille adulte : 14 m de long ; 1,50 m à 3M de hautColoration : vertMode d’attaque : feu, coup de griffes, constrictionProies : lamas et bisons.

en australieNous trouvons le dragon marsupialRepaire ou nid : caverne.Taille adulte : 7,50 de long ; 4,50 à 5,50 de hautColoration : vert ou bleuâtreMode d’attaque : bouffée de gaz enflammée, coup de queue, de pied ou de poingProies : tout marsupial de grande taille.

En moyenne un dragon peut vivre jusqu’à…

Dragon asiatique : plus de 400 ansDragon européen : 300 ansAmphiptère : 250 ansKnucker : 120 ans

Souvenez-vous que la dragonologie est souvent le premier pas d’une longue aven-ture scientifique. Et que le dragon restera toujours une bête fabuleuse. n

Dossier Société

N° 3 - Décembre 2008 AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet- 5 -

1 Par qui fut effectué le premier vol en avion à moteur ?

Louis BlériotB Clément Ader Les frères WrightD Jean Mermoz

2 Qui a reçu un prix Nobel de physique, et huit ans plus tard un prix Nobel de chimie ?

Marie CurieB Enrico Fermi Joseph ThomsonD Werner Heisenberg

3 Quel est le fruit de l’érable ?

La faineB La samare La gousseD Le gland

4 Quel est le cri du geai ?

Il jacasseB Il croule Il ramageD Il cajole

5 Lequel de ces arbres permet d’obtenir du caoutchouc ?

Le baobabB Le seringa L’hévéaD Le séquoia

6 Qui a découvert l’eau de javel ?

JavelB Berthollet MongeD Lavoisier

7 Quelle est la couleur du safre ?

BlancB Jaune RougeD Bleu

8Qu’est-ce que l’aubier ?

Une partie du tronc et des branches d’un arbre

B L’allure d’un cheval qui galope et trotte à la fois

Le sifflement de l’oiseau au lever du jour

D Un arbrisseau épineux aux fleurs blanches

9 Parmi ces animaux, lequel n’est pas un batracien ?

Le tritonB La couleuvre Le crapaudD La salamandre

De quel végétal la cacahuète est-elle la graine ?

Du colzaB Du tournesol Du maïsD De l’arachide

L’héliciculture est l’élevage :

Des huîtresB Des abeilles Des escargotsD Des moules Parmi ces animaux,

lequel n’est pas un crustacé ?

La tortueB L’écrevisse Le cloporteD La langouste1 À qui est dû le premier

véhicule automobile ?

Delamare-BoutevilleB Cugnot DaimlerD De Dion-Bouton

Le scorbut est dû à une insuffisance de vitamine :

AB B CD D

Par qui la théorie de la relativité a-t-elle été affirmée ?

NewtonB Einstein MössbauerD Minkowski

Qu’est-ce qu’un taon ?

Un oiseau à ocellesB Un papillon Une moucheD Une antilope

Qui a inventé la chambre à air pour la roue ?

GoodyearB Thomson PriestleyD Macintosh

Qu’est-ce qu’une photosynthèse ?

Une vue photographique d’en-semble

B L’utilisation de l’énergie solaire par les plantes

Un ensemble de particules lumi-neuses

D La méthode photographique permet-tant de mettre des textes sur film

Testez vos connaissances dans le domaine « Sciences et Nature »

(suite et fin)

Ne vous inquiétez pas si vous n’arrivez pas à répondre à toutes les questions, c’est aussi fait pour que vous puissiez enrichir votre savoir actuel.

Réponses enrichies page 8

AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet Décembre 2008 - N° 3- 6 -

le perroquet gris : le plus intelligent des oiseaux

Le perroquet gris reconnaît les couleurs et peut prononcer des phrases entières.

L’intelligence des perroquets n’est plus à démontrer. Ils sont même classés troisiè-me dans la liste des animaux les plus intel-ligents, derrière les singes et les dauphins. Les perroquets gris adorent parler, et avec de l’entraînement, ils prononcent plus de trois cents phrases cohérentes, en réponse à des questions. Sa faculté de compré-hension est tellement extraordinaire pour un animal que les scientifiques cherchent désormais à faire parler l’animal à propos de ses sentiments propres, ce qui n’a bien sûr encore jamais été fait. Le perroquet gris sait même compter et reconnaître les couleurs.

Point fort : la capacité de compréhen-sion et de restitution en langage humain

En chiffres : compréhension de plus de 300 phrases

Animaux aux capacités similaires : sin-ge, dauphins

le rat : un odorat hyperdéveloppé

L’odorat des rats est devenu un atout pour les hommes.

Ce qui fait du rat un animal surdoué réside surtout dans son odorat. En effet, celui-ci est très fin et surtout très précis. C’est pour cette raison que les rats vien-nent aujourd’hui au secours de l’homme. En effet, les rats démineurs reniflent la poudre d’explosifs vieux de plusieurs dizaines d’années. Ils peuvent donc, grâ-ce à leur faible poids, évoluer dans des champs de mines sans risques, et leurs facultés d’adaptation et d’apprentissage ont permis à l’homme de dresser des rats démineurs en quelques semaines. La rapi-dité avec laquelle ces animaux se repro-duisent les rend encore plus intéressant dans l’optique du déminage de masse.

Point fort : l’odoratEn chiffres : L’odorat du rat est 300 fois

plus performant que celui de l’hommeAutres animaux aux facultés similaires :

chiens, squales

la pieuvre : le deuxième qi du monde aquatique

Une capacité au-dessus de la moyenne pour résoudre les problèmes

Très étudiée par les scientifiques, la pieuvre se révèle être un animal très intel-ligent. Fait unique dans le monde animal, plus de la moitié des neurones de la pieu-vre sont situés hors de son cerveau, dans les tentacules : cet animal a donc un petit cerveau dans chaque tentacule, ce qui lui permet de coordonner son corps très effi-cacement. Les pieuvres ont un don pour résoudre les casse-tête : placées devant une boîte fermée comprenant de la nourri-ture, elles étudient et trouvent le système d’ouverture de la boîte, même quand ce dernier change. Rares sont les animaux à faire preuve de ce genre de capacités.

Point fort : le raisonnementEn chiffres : 3/5 des neurones de la

pieuvre sont situés hors de son cerveauAutres animaux aux facultés similaires :

singes, rats

les golden : un don pour le sauvetage

L’odorat des goldens fait de ce chien un sauveteur hors du commun.

Reconnu pour son intelligence supé-rieure à la moyenne au sein du règne canin, le golden retriever possède éga-lement un sens des responsabilités. En effet, les scientifiques ont montré qu’un golden soumis à une épreuve et échouant peut adopter un comportement tradui-

sant la déception. Cette faculté, ajoutée aux qualités de bravoure et de courage de ces bêtes font du golden un chien de sauvetage incroyable. Après les attentats du 11 septembre, des dizaines de golden ont travaillé dans les décombres encore fumant durant des jours sans jamais se relâcher, alors que les conditions étaient très périlleuses.

Points forts : odorat et bravoureEn chiffres : 200 millions de cellules

olfactives chez un golden. 5 millions chez l’homme

Autres animaux aux facultés similaires : rat, squales

le dauphin : le langage le plus évolué du règne animal

Les dauphins communiquent entre eux par ultrasons

Reconnu comme étant l’animal le plus intelligent du règne animal, derrière les singes, les dauphins surprennent toujours plus les scientifiques qui sont persuadés que cet animal a conscience de lui-même et des autres. À tel point que les plus grands prédateurs des mers, les requins, les craignent plus que tout. En effet, les dauphins coopèrent, et sont capables de tuer les squales en leur infligeant des bles-sures fatales. On a même vu des nageurs menacés par des squales être « secourus » par l’arrivée de ces mammifères, qui faisait fuir les requins. Les techniques de chasse de ces animaux, comparables à celles des orques, leur permettent également d’avoir une nourriture beaucoup plus variée que les autres espèces.

Points forts : communication, coopéra-tion

En chiffres : 2e QI du règne animalAutres animaux aux facultés similaires :

orques

Dossier Info-Jeunes

10 animaux surdoués

N° 3 - Décembre 2008 AFEP - 111 boulevard Carnot - 78110 Le Vésinet- 7 -

l’orque : l’intelligence de groupe des orques

Les orques chassent en groupe et sont redoutablement efficaces.

L’orque pourrait être le plus grand pré-dateur des mers. Il est beaucoup plus grand que le requin, mais son tempérament gré-gaire et sa grande intelligence font que l’orque vit en bande et refuse d’être un chasseur solitaire toute sa vie. Ainsi, les chercheurs ont répertorié une dizaine de techniques de chasse pour les orques, cha-cune dépendante du contexte géographi-que, ce qui prouve que les orques, comme les dauphins, s’adaptent à leur milieu : les orques de l’Arctique font bouger des bouts de banquise afin d’en faire tomber des otaries, ceux évoluant en Amérique du Sud restent près des barques des pêcheurs pour leur chiper leur butin, et certaines orques suivent même des baleines encein-tes pendant des semaines pour dévorer leur progéniture !

Point fort : coopérationEn chiffres : 12 techniques de chasse

différentesAutres animaux aux facultés similaires :

dauphins

la sauterelle : elle saute 300 fois sa taille

La sauterelle fait des bonds incroyables proportionnellement à son corps

La sauterelle ne brille pas par son intel-ligence, mais elle a aisément sa place parmi les animaux disposant de capacités hors du commun. En effet, les sauterelles peuvent accomplir des bonds de plus de sept mètres, ce qui proportionnellement à leur corps est simplement exception-nel. Les raisons de ce don sont purement physiques : en effet, ces insectes disposent de pattes très musclées et le poids de leur corps est très peu élevé. La combinaison de ces deux facteurs, ajoutée à l’aérody-namisme du corps des sauterelles fait de cet insecte bondissant un sauteur hors du commun.

Point fort : le sautEn chiffres : Un humain doué

des mêmes facultés que la sauterelle ferait des bonds de 300 mètres !

Autres animaux ayant les mêmes caractéris t iques : puce

le cachalot : une plongée à plus de 3 000 m

Le cachalot est l’animal le plus doué pour la plongée en apnée.

Pouvant mesurer jusqu’à vingt mètres, le cachalot est connu pour ses combats titanesques avec les calamars géants. Ces combats, qui se déroulent en dessous de mille mètres de profondeur, le cacha-lot peut y prétendre grâce à une capacité unique au sein du règne marin. En effet, les cachalots peuvent descendre en apnée jusqu’à 3 000 mètres de profondeur pour aller chasser, et ceci pendant une durée pouvant atteindre deux heures. Deux facultés qui en font un chasseur redoutable puisque les calamars qu’il chasse peuvent mesurer jusqu’à vingt mètres de long.

Point fort : l’apnée et la plongéeEn chiffres : le cachalot peut plonger

jusqu’à 3 000 mètres de profondeurAutres animaux aux facultés similaires :

aucun

le puffin : 65 000 km de migration

Les puffins migra-teurs parcou-rent plus de 65 000 km au cours de la migra-tion.

Le puffin fuligineux est l’oiseau migrateur qui réalise la plus grande migration. Cet oiseau exception-nel parcourt en effet 65 000 km, peut être plus, au cours des six à sept mois que dure sa migration. À une vitesse pouvant aller jusqu’à 900 km par jour, les puffins doivent disposer de réser-ves énergétiques suffisantes. Pour cela, ils plongent en pleine mer, parfois à plus de 50 mètres de profondeur, pour se nourrir de Krill et accumuler des réserves et pou-voir par la suite voler pendant plusieurs semaines.

Des biologistes, filmant du krill, ont même eu la surprise de voir un puffin venir chasser du krill à plus de 70 mètres

de profondeur !Points forts : le vol

et la plongéeEn chiffres : 65 000 km

de migration

Autres animaux aux facultés similaires : aucun

l’araignée : le fil le plus solide du monde

Le fil de soie de l’araignée est propor-tionnellement plus solide qu’un fil de fer.

Tout le monde sait que les araignées ont cette capacité presque unique dans le règne animal, à savoir la faculté de sécré-ter un fil de soie qui leur permet, entre autre, de tisser leur toile. Mais ce que l’on ignore le plus souvent, c’est que ce fil est, à épaisseur égale, beaucoup plus solide que du fil de fer.

La composition de cette sécrétion, constituée d’un enchevêtrement de fibres, est d’une solidité à toute épreuve, et pos-sède une autre qualité qui fait l’admiration des scientifiques, le coefficient d’absorp-tion des chocs, très élevé : quand un alpi-niste est suspendu à un fil, il tourne sur lui-même, alors que quand une araignée est suspendue à son fil, elle reste immobi-le. Cette propriété du fil de soie reste pour l’instant inexpliquée par les scientifiques.

Point fort : le fil de soie qu’elle sécrète à l’arrière de son abdomen

En chiffres : 4 fois plus résistant que de l’acier

Autres animaux aux facultés similaires : chenille dans une moindre mesure.

AFEP111 boulevard Carnot - 78 110 Le VésinetTél. : 01 34 80 03 48

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1 BLe 9 octobre 1890, l’ingénieur fran-

çais Clément Ader effectua le premier vol au monde sur un avion monomoteur, qu’il avait construit lui-même, s’éleva à un mètre de hauteur et parcourut 50 mètres.

Dès 1893, il améliora son record en gagnant quelques mètres de hauteur, pour un vol d’environ 300 mètres. Les frères américains Orville et Wilbur Wright pri-rent ensuite le relais, enchaînant quatre vols en 1903, et atteignant une altitude de 50 mètres en 1908.2 Marie Curie, physicienne française

d’origine polonaise, obtint en 1903, avec son mari Pierre Curie et Henri Becquerel, le prix Nobel de Physique pour leurs tra-vaux sur la radioactivité du thorium. Elle fut de nouveau récompensée en 1911 par le prix Nobel de Chimie pour sa décou-verte du radium et du polonium.

Le physicien italien Enrico Fermi reçu le prix Nobel de physique en 1938 pour ses travaux sur le bombardement neutronique de l’uranium, Sir Joseph John Thomson fut récompensé par le même prix en 1906, et le physicien allemand Werner Heisen-berg en 1932.3 BArbre des forêts tempérées, pouvant

atteindre 40 mètres de haut et dont le bois est très apprécié des ébénistes, l’érable produit des fruits secs munis d’une paire d’ailes et dispersées par le vent, nommés samares.

La faine est le fruit du hêtre, la gousse celui du genêt et le gland celui du chêne.4 DOiseau passereau de la famille des cor-

vidés, à plumage brun clair tacheté de bleu, blanc et noir, le geai cajole lorsqu’il émet son cri. C’est la pie qui jacasse, alors que la bécasse croule et que les petits oiseaux ramagent.5 Issu de la famille des euphorbiacées,

l’hévéa est un arbre venant de l’Amérique du Sud et cultivé surtout en Asie du sud-est pour son latex, dont on tire le caout-chouc.

Le seringa est un arbuste souvent culti-vé pour ses fleurs blanches et odorantes. Le séquoia est un conifère qui atteint 140 mètres de haut et peut vivre plus de 2 000 ans. Quant au baobab, c’est un arbre des régions tropicales (Afrique, Australie) dont le tronc peut faire jusqu’à 20 mètres de circonférence.

6 BLe chimiste français Claude Berthol-

let (1748-1822) découvrit les propriétés décolorantes des hypochlorites (eau de Javel) en 1789. Il les utilisa pour le blan-chiment des toiles et des fils, qui se faisait alors sur le pré et durait des mois. Avec Laplace, il fonda la Société d’Arcueil qui rassemble de nombreux savants.7 DLe safre (de saphir) est un oxyde de

cobalt de couleur bleue. À ne pas confon-dre avec le safran qui est un crocus cultivé pour ses fleurs, dont le stigmate fournit une teinture jaune (d’où la couleur du même nom) et une poudre servant d’as-saisonnement.8 L’aubier (du latin albus, « blanc ») est la

partie jeune du tronc et des branches d’un arbre, située à la périphérie, sous l’écor-ce, constituée par les dernières couches annuelles de bois encore vivantes, et de teinte plus claire que le cœur.9 BLes couleuvres sont des serpents des

lieux humides, excellents nageurs et dont les proies habituelles sont les grenouilles qui, elles, appartiennent bien à la classe des batraciens. Également appelés amphi-biens, les batraciens sont des vertébrés à larve aquatique, munis de branchies et à température variable, qui se divisent en trois super-ordres : les urodèles (salaman-dre, triton), les anoures (grenouille, rai-nette, crapaud) et les apodes (cécilie). DLa cacahuète, ou cacahouète, (mot

aztèque) est le fruit ou la graine de l’ara-chide, dont on extrait 45 % d’huile pour la cuisine ou la savonnerie, ou que l’on consomme torréfié. L’héliciculture est l’élevage des escar-

gots : ceux-ci appartiennent à la famille des hélicidés, nom qui provient de la forme en spirale de leur coquille (du grec hélix, « spirale »). Le site lui-même de l’élevage s’appelle une escargotière. L’ostréicul-ture concerne les huîtres, l’apiculture les abeilles et la mytiliculture les moules. La tortue n’est pas un crustacé mais un

reptile de l’ordre des chéloniens. En géné-ral, les crustacés sont aquatiques (mer ou eau douce), mais ils englobent un nombre important d’individus de différentes espè-ces et il en existe aussi des formes terres-tres, comme le cloporte (de la classe des isopodes).

BL’ingénieur de génie militaire français

Joseph Cugnot construisit en 1770 la pre-mière voiture automobile à vapeur. Un an plus tard, il récidiva avec un second modè-le, appelé « fadier », destiné au transport des canons ou des lourdes charges. Le scorbut est provoqué par une caren-

ce en vitamine C et entraîne hémorragies, chute des dents et altération des articu-lations. Il touchait surtout les habitants des villes assiégées et les navigateurs. En 1747, le médecin James Lind s’aperçut que les oranges et les citrons conduisaient à la guérison et, à partir de 1795, la Marine anglaise rendit obligatoire une ration quo-tidienne de jus de citron, ce qui fit dispa-raître le scorbut dans ses rangs. BAlbert Einstein, physicien allemand,

puis suisse et naturalisé américain en 1940, est célèbre pour sa théorie de la relativité générale émise en 1916, après celle de la relativité restreinte en 1905. Son profes-seur, le mathématicien allemand Hermann Minkowski, donna une interprétation géo-métrique de la relativité restreinte, tandis que la théorie de la relativité générale fut confirmée en laboratoire en 1960, grâce aux découvertes du physicien allemand Rudolf Mössbauer. Le taon (du latin, tabanus) est une mou-

che dont la femelle pique l’homme et les animaux et leur suce le sang. Sa longueur est de 10 à 25 millimètres. BLa chambre à air, ce tube circulaire en

caoutchouc placé autour de la jante d’une roue et que l’on remplit d’air comprimé, a été inventée par l’Anglais William Thom-son en 1845. L’Américain Charles Goo-dyear avait découvert en 1839 la vulcani-sation du caoutchouc. Le chimiste anglais Joseph Priestley avait découvert la gomme caoutchouc en 1770. Quant à Macintosh, il créa le vêtement de pluie imperméable. BLa photosynthèse (du grec phôtos,

« lumière », et sunthesis, « mélange ») est la synthèse d’un corps chimique, de substances organiques (glucides) à l’aide de l’énergie lumineuse, par des végétaux chlorophylliens. Autrement dit, les plantes vertes, pour vivre, convertissent l’énergie solaire en énergie chimique. Ce phénomè-ne fut mis en évidence en 1845 par le phy-sicien et médecin allemand Julius Robert Von Mayer.

Résultats du jeu « Sciences et Nature »