ALGER

ma rose !

En rappel de nos beaux souvenirs d'enfance, notre

adolescence à l’école rue Duc Descart, je vous dédie ce petit mot, en gratitude d'une amitié

qui a toujours été forte et dont nous sommes tous fiers.

“L'amitié est une rose qu’il faut bien conserver“

Malgré notre séparation aux quatre coins du monde, l'arôme

de la rose est toujours là.... Nous l'avons conservé avec

amour....!                                                             

              

Il y avait une fois un pays bien-aimé,

Au ciel bleu d’azur et au sable doré.

Nous marchions les pieds nus tout lelong du rivage,

Le soleil sur la peau et le vent au visage.

Nous plongions notre corps dans lamer cristalline,

Et le soir, nous dansions au son des mandolines...

Ce fut un temps jadis, quand nous avions vingt ans,

Nous étions jeunes et beaux comme un jour de printemps...

Terre de notre enfance,terre où nous sommes nés,

D’où un cruel destin nous a déraciné,

Nous étions tous unis, on nous a divisé,

Et par le monde entier nous sommes parsemés.

Les jours se sont enfuis et nouscherchons en vain

Ces moments si précieux d’un passési lointain...

Malgré l’envol du temps et les ansécoulés

Alger toujours, sera dans nos pensées !

NOSTALGIE DU PASSENOSTALGIE DU PASSE

Il y avait une fois un pays bien-aimé,Il y avait une fois un pays bien-aimé,Au ciel bleu d’azur et au sable doré.Au ciel bleu d’azur et au sable doré.

Nous marchions les pieds nus tout le long du rivage,Nous marchions les pieds nus tout le long du rivage,Le soleil sur la peau et le vent au visage.Le soleil sur la peau et le vent au visage.

Nous plongions notre corps dans la mer cristalline,Nous plongions notre corps dans la mer cristalline,Et le soir nous dansions au son des mandolines...Et le soir nous dansions au son des mandolines...

Ce fut un temps jadis, quand nous avions vingt ans,Ce fut un temps jadis, quand nous avions vingt ans,Nous étions jeunes et beaux comme un jour de printemps...Nous étions jeunes et beaux comme un jour de printemps...

Terre de notre enfance, terre où nous sommes nés,Terre de notre enfance, terre où nous sommes nés,D’où un cruel destin nous a déraciné,D’où un cruel destin nous a déraciné,

Nous étions tous unis, on nous a divisé,Nous étions tous unis, on nous a divisé,Et par le monde entier nous sommes parsemés.Et par le monde entier nous sommes parsemés.

Les jours se sont enfuis et nous cherchons en vainLes jours se sont enfuis et nous cherchons en vainCes moments si précieux d’un passé si lointain...Ces moments si précieux d’un passé si lointain...

Malgré l’envol du temps et les ans écoulésMalgré l’envol du temps et les ans écoulésAlger toujours, sera dans nos pensées !Alger toujours, sera dans nos pensées !

POÈME

NOSTALGIE DU PASSÉNOSTALGIE DU PASSÉ

Viviane Borg-Fleri