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Alice CLÉON, Licence d’architecture

Alice Cleon

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Etudiante à l'ENSAPLV-ESTP

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A l i c e C L É O N , L i c e n c e d ’a r c h i t e c t u r e

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2

SOMMAIRE

Représentation RéalisationsP. 6 DESSIN TECHNIQUE

P. 8 SERRES D’AUTEUIL

P. 10 CARNET DE VOYAGE COLOGNE

P. 12 AFFICHE QU’EST CE QU’UN SYMBOLE ?

P. 14 CARNET DE VOYAGE SUISSE

P. 16 PHOTOGRAPHIE

P. 20 INTENSIF PLASTIQUE GREFFE SUR L’ESPACE

P. 22 PONT

P. 24 FICHE D’OBSERVATION ENJEUX THERMIQUES DE L’ENSOLEILLEMENT

P. 26 LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DE THOMERY FACE AU RISQUE INONDATION

P. 28 CREATION ET REALISATION DE MOBILIER

P.8

P.14

P.22

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3

Réalisations ProjetsP. 32 NOTION DE PARCOURS

P. 34 QUALIFICATION D’ESPACES

P. 36 QUATRE PAVILLONS D’ EXPOSITION

P. 38 MAISON A PATIO(S) ENTRE RUE ET BOIS

P. 40 HABITAT COLLECTIF

P. 42 BIBLIOTHEQUE, CAFE, SALLES D’EXPOSITION

P. 44 PETIT IMMEUBLE

P.38

P.40

P.44

P.28

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5 REPR

ÉSEN

TATI

ON

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6

DESSIN TECHNIQUE L’objectif de ce travail était de nous apprendre les codes du dessin architectural, afin de pouvoir dessiner les plans, coupes, élévations et pers-pectives d’un objet complexe. Nous nous sommes donc ren-dus au parc de la Villette afin de réaliser un relevé de l’une des folies de Bernard Tschumi. Ensuite, nous devions dessiner les élévations et une perspec-tive du bâtiment.Ce travail m’a permis d’ap-prendre les méthodes de re-présentation en architecture. Nous avons également du tra-vailler la mise en page de notre rendu. Tout ceci m’a permis de comprendre la précision que nécessitait le dessin d’architec-ture.

ENSEIGNEMENT : L.1.1-DA, Dessin d’Architecture, M. BeautemsDUREE : 1 semaineMODE D’EVALUATION : rendu

Folie, B. Tschumi

Élévation A Élévation DÉlévation CÉlévation B

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ENSEIGNEMENT : L.2.5 - GD, Géométrie Descriptive, Mme Malikian-Borensz et Mme MartinezDUREE : 1 semaine par épureMODE D’EVALUATION : Rendu

Géométrie Descriptive

L’objectif de ces exercices était de réaliser les dessins d’objets géométriquement complexes, en plan et élé-vation, puis d’en dessiner le patron afin d’en faire la maquette.Un énoncé nous était distribué permettant de com-prendre ce que devait représenter l’épure. A nous ensuite de trouver comment tracer la suite du dessin.Ce travail m’a apporté beaucoup pour la compréhen-sion des différents systèmes de représentation, parce qu’il nécessitait de bien voir les objets dans l’espace. L1

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8

L’objectif de cet exercice était de dessiner les plantes des serres d’Au-teuil, les courbures qu’elles présentent et les effets de la lumière sur celles-ci. Il fallait dessiner les plantes, leurs perfec-tions et leurs défauts.Lors d’une première séance, nous de-vions isoler une plante et la dessiner (page de gauche), de façon réaliste, sans son environnement.Au cours de la séance suivante, nous avions une approche différente. Il fal-lait représenter la profusion des serres, en mettant en avant les différents plans d’une profondeur importante où les tonalités sont relativement semblable (page de droite). La profondeur est alors marquée par la façon dont la lu-mière se pose sur les objets.Cet exercice m’a beaucoup apporté en ce qui concerne la précision du dessin. De plus, j’ai appris à développer un re-gard affuté quand il s’agit de représen-ter un objet aussi complexe que l’est une plante.

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SERRES D’AUTEUILENSEIGNEMENT : L.1.1 - PP, Perception et langage plastique, Mme Delarue.DUREE : 2 séances de 3h30MODE D’EVALUATION : Rendu

L1

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CARNET DE VOYAGECOLOGNE

ENSEIGNEMENT : L.2.2, Voyage d’étude, M. MourierDUREE : 3 joursMODE D’EVALUATION : Rendu

Notre promotion a réalisé un voyage d’étude à Cologne en pas-sant par différents lieux architectu-ralement remarquables. L’objectif de ces dessins était d’exprimer ce que nous a apporté le voyage à Co-logne, ce que nous en avons retenu, à travers des croquis faits sur place ou plus tard. Les dessins produits au cours de ce voyage sont faits très rapidement. Ce rythme m’a appris à mettre en évidence ce que je souhaitais réel-lement montrer dans mon des-sin. De plus, ce voyage a renforcé ma culture architecturale, puisque nous avons visité de nombreux bâ-timents, de toutes époques, ce qui permet également de se forger un avis critique sur l’architecture. De plus, retravailler sur ce que l’on a vu pendant le voyage au retourper-met de représenter dans nos sché-mas et dessins le ressenti que l’on garde des visites.

Louvre Lens , SANAA

Eglises

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11

Hombroich Insel Museum, Erwin Heerich

L1

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12

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AFFICHEQU’EST CE QU’UN SYMBOLE?

L’artiste Paul Thek a adressé un ques-tionnaire à ses étudiants composé de questions anodines, intrigantes ou déran-gantes. Chacun de nous du choisir une question pour réaliser une affiche en utili-sant la technique du collage. J’ai choisi : « Qu’est ce qu’un symbole ? »Au centre de l’affiche, j’ai créé un assem-blage de nombreux symboles noirs ou blancs formant le Yin et le Yang. Le Yang est constitué de symboles idéologiques comme la colombe de la paix, des signes religieux… Ces symboles sont très forts, ils sont représentés en gros. De l’autre coté, les symboles sont plus petits, plus nom-breux et n’ont pour la plupart aucun aspect idéologique. On retrouve le symbole du dollar, du Bluetooth, etc…Ainsi, côté Yang, les symboles sont très an-ciens et portent un vrai message alors que coté Yin, ils sont pour la plupart issus de la société de consommation.En effet, j’ai trouvé important de souligner qu’aujourd’hui la profusion de symboles implique une perte de sens de ceux ci. Pour le fond, j’ai finalement retenu celui du logo Pepsi, car la marque à repris la forme du Yin et du Yang pour en faire une image commerciale. Ceci montre bien que la no-tion de symbole a perdu beaucoup de sens aujourd’hui.

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ENSEIGNEMENT : L.4.12 - PP03, Perception et Lan-gage Plastique, M.ReipDUREE : 4 semainesMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

L2

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CARNET DE VOYAGESUISSE

Siège de l’UEFA, P. Berger et G. Clément

Siège assurances Vaudoise Jean Tschumi

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Ces dessins sont issus de mon carnet de croquis réalisé lors d’un voyage d’étude en Suisse. Au même titre que le voyage à Cologne, ce séjour m’a apporté une importante culture architectecturale. Nous avons fait de très nombreuses visites, principalement d’ar-chitectures contemporaines. La profusion d’exemples permet de se forger un avis critique sur ce que l’on voit. Enfin, nous avons vu de nombreux bâtiments nécéssi-tant des prouesses techniques importantes, tel le Rolex Learning Center de SANAA à Lausanne, qui peuvent être une importante source d’inspiration pour nos projets.

ENSEIGNEMENT : L.3.9, Voyage d’étude, M. Ducour-tieuxDUREE : 1 semaineMODE D’EVALUATION : Rendu

Musée Paul Klee, Renzo Piano

Campus Vitra, J. Herzog et P. de Meuron

Campus Vitra, Tadao Ando

Schaulager, J. Herzog et P. de Meuron

L2

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Primée au marathon photo FNAC, sur le thème «Dijon, ombre et lumière»

Tilt shift (Numérique) Canon FT QL (Argentique), double exposition

Rolleiflex 3,5 E (Argentique)

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ACTIV

ITES P

ERSO

NNEL

LES

PHOTOGRAPHIE

Rolleiflex 3,5 E (Argentique)

Dans le cadre de mes loisirs, j’aime pratiquer la photographie, tant argentique que numérque. J’ai à coeur de tester de nombreuses techniques de prise de vue et pratique le noir et blanc comme la couleur. Cette activité permet, au même titre que le dessin, d’accroitre son acuité et de poser un regard particulier sur les choses ou l’environnement.

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19 RÉAL

ISAT

IONS

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INTENSIF PLASTIQUEGREFFE SUR L’ESPACE

ENSEIGNEMENT : L.2.5 - PP, Intensif arts plastiques, M. BagotDUREE : 3 joursMODE D’EVALUATION : contrôle continu et dossier final

L’objectif était de concevoir et réaliser en groupe, au sein de l’école, une installation sur le thème de la greffe en prenant en compte les différents espaces qui s’offraient à nous et l’aspect struc-turel du bâtiment.L’idée de construire sur la passerelle s’est rapidement imposée par sa dimension monumentale perceptible par un grand nombre. Nous avons réalisé un abri à l’endroit où les élèves se retrouvent au moment de leur pause, qui deviendrait un lieu de rencontre. Le système d’ac-croche est une référence à la manière dont les oiseaux greffent leur nid sur les arbres ; notre construction est ainsi maintenue par la struc-ture existante. Les câbles rouges renforcent l’idée de tension entre l’abri et la passerelle. Une fois l’idée développée, il nous a fallu décou-per, peindre et assembler le bois mis à notre disposition. Cet exercice m’a beaucoup apporté en ce qui concerne le travail en équipe, puisque les courts délais prévus nécessitaient une bonne or-ganisation et une importante division des tâches. Ce fut également l’occasion de suivre, de A à Z, un projet construit à l’échelle 1.

L1

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Le but de l’exercice était d’imaginer un pont d’une portée de 50 mètres et d’en réaliser la ma-quette en spaghettis et ficelle de boucher, en uti-lisant le moins de matière possible. Sa résistance devait être comprise entre 1 et 2kg.Nous avons choisi une structure en sous face, afin qu’aucun élément structurel ne gène le re-gard. De plus, elle permet une optimisation de la surface exploitable du tablier et sous-entend un maximum de parties travaillant en traction, donc l’utilisation de câble, et ainsi une optimisation de la matière et du coût. L’idée structurelle correspond schématiquement à une poutre treille sous-tendue. Les assem-blages sont rotulés pour une meilleure souplesse. Des tests lors du montage nous ont permis d’ap-préhender les efforts internes et ainsi de mieux les contrôler. Le pont a resisté jusqu’à 1,8kg, au delà, la déformation etait telle que nous l’avons considéré comme cassé.Cet exercice m’a permis de comprendre des structures relativement simples. La fragilité des spaghettis et leur souplesse permettent de com-prendre comment les éléments sont sollicités.

Élévation

Plan

Les structures triangulaires sont destinées à maintenir le câble sous tendu. Elles transmettent les efforts du tablier au tiran. Sur les cotés, des câbles stabilisent les pans obliques.

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PONTENSEIGNEMENT : L.4.11 - ST, Travaux dirigés de structure, M. Albaera DUREE : 3 semaines, 3 séances de 3 heuresPROGRAMME : réalisation d’un pontMODE D’EVALUATION : contrôle continu

L2Tests de résistance à l’ajout progressif de poids

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FICHE D’OBSERVATION : ENJEUX THERMIQUES DE L’ENSOLEILLEMENT J’ai choisi d’étudier la salle 100 de l’École Nationnale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette. Elle possède une orientation nord ouest. Sa façade est de type mur ri-deau.Derrière les fenêtres de la partie de la façade étudiée se trouvent des tables lumineuses. L’abondance de rayons lu-mineux empêche parfois la lumière des tables de passer à travers les feuilles des étudiants. J’ai donc souhaité analyser l’ensoleillement et voir comment ce problème pourrait être résolu. Dans un premier temps, après avoir fait un relevé j’ai des-siné une coupe de la pièce sur laquelle j’ai tracé l’angle de pénétration des rayons lumineux, à 16 heure, à différentes périodes de l’année.

Au solstice d’hiver, aucun rayon lumineux ne pénètre dans la pièce. C’est donc au printemps, en été et en automne que le soleil est susceptible de gêner pour travailler sur les tables lumineuses, puisqu’elles sont situées dans la zone de péné-tration des rayons solaires, comme cela apparait sur la coupe.

Coupe

Équinoxes

Solstice d’été

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25

Ensuite, grâce à un extrait ca-dastral et au relevé, j’ai pu établir le diagramme solaire. Sur celui-ci, j’ai représenté :- Les automasques en bleu. - L’influence des caractéristiques de la fenêtre en jaune.

- Les masques proches en rouge (bâti-ment A sur le cadastre) et en vert (bâ-timent B).

Il apparait sur le diagramme, que dès le 1er jan-vier, la façade reçoit des rayons lumineux entre 15 et 16h. Aux équinoxes, le soleil est présent entre 14 et 16h30, et à partir de mai, elle reçoit du soleil de 14h à 16h30. Au solstice d’été, les rayons atteignent la façade entre 13h30 et 17h.Il s’agit d’heures auxquelles les étudiants sont sus-ceptibles de travailler sur les tables lumineuses, les rayons lumineux peuvent donc les gêner. Ainsi, il faudrait mettre en place un sys-tème permettant à cette partie de la pièce, et uniquement à celle ci, de se protéger des rayons solaires, tels des stores occultants.

Cet exercice m’a permis de mettre en ap-plication les outils d’analyse solaire vu en cours, et donc de comprendre comment les appliquer dans le cadre de mes projets.

ENSEIGNEMENT : L.3.7 - AM, Ambiance, Mme BalezFORMAT : A3 d’analyseMODE D’EVALUATION : Rendu

L2

A

B

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LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DE THOMERY FACE AU RISQUE D’INONDATION

Developpement économique

Jusqu’à  300  kms  de  murs  en  1900  Pour  800  Tonnes  par  an.  

La ville de Thomery, en Seine-et-Marne, se trouve à 12h en bateau de Paris, ce qui a longtemps permis une expor-tation fluviale de sa production agricole. On y cultivait des pommes jusqu’en 1800 et du raisin de table jusqu’en 1850. L’apparition du chemin de fer a mis fin à la vente de raisin. La ville s’est alors développée autour du tourisme, grâce à ses plages en bord de rives.

Le risque inondation à Thomery

Les bords de rives peu pentus de la ville ont causé de nom-breux débordements de la Seine. La conséquence quotidienne est l’omniprésence de l’eau au bord des aménagements publics et privés qui vient em-piéter sur la présence de l’homme. Tous les enjeux résident dans cette cohabitation entre activité humaine et nature.

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ENSEIGNEMENT : L.3.6-GO2, Géographie, M. BlesiusFORMAT : AfficheMODE D’EVALUATION : Rendu

Risque= Vulnérabilité x AléasL’activité commerciale de Thomery s’est donc développé autour de la Seine, sa proximité ayant pour conséquence un risque d’inon-dation sur la commune. Ne pouvant contrôler l’aléa, l’adaptation consiste à réduire la vulnérabilité de ces espaces.

Adaptation urbaine au risqueSur le terrain nous avons observé de nombreuses adaptations au risque.Les pieds des murs de culture du raisin sont ouverts pour favoriser l’écou-lement des eaux montantes ou descendantes. De plus, depuis quelques années la réglementation impose que les clôtures en bord de Seine soient faites en grillage.Les constructions surélevées sur pilotis protègent les espaces intérieurs et n’empêchent pas l’écoulement naturel de l’eau lors de la décrue.Dans certains bâtiment le RDC est surélevé par la création d’un sous sol de plain-pied.Sur les zones les plus dangereuses, l’adaptation consiste à aménager des espaces qui malgré leur vulnérabilité présentent peu d’enjeux humains : ce sont des zones agricoles en bord de seine.

SOURCE  :  Dicrim  -­‐  Mairie  de  Thomery  (  Document  d'informa=on  Communal  sur  les  Risques  Majeurs)    Source  :Annexe  du  PLU  

A l’échelle communale : A l’échelle départementale :

Enjeu

Aléa

Faible  à  moyen

0  m<h<1M

Fort

1m<h<2m

Très  fort

H<2m

Faible  à  moyen                              0  m<h<1M

Fort          1m<h<2m

Très  fort        H<2m

Possibilité  de  constructions  nouvelles  très  restreintes

Constructions  extrêmement  

limitées

Développement  de  la  ville  permis  en  tenant  

compte  du  risque

Aléa

Enjeux

Zone  urbaine  dense

Centre  urbain

Secteur  à  enjeu  fort  pour  l'agglomérqtion  ou  les  

évolutions  nécessaires  sont  possibles  mais  doivent  considérer  le  risque

Champ  d'innondation  à  préserver

Zone  urbaine  autre  que  centre  urbain  ou  zone  urbaine  dense

Champ  d'innondation  à  

préserver

Zone  urbaine  autre  que  centre  urbain  ou  zone  urbaine  

dense

Zone  urbaine  dense Centre  urbain

Secteur  à  enjeu  fort  pour  

l'agglomérqtion  ou  les  évolutions  

nécessaires  sont  possibles  mais  

doivent  considérer  le  risque

Développement  de  la  ville  permis  en  tenant  compte  du  

risque

Constructions  extrêmement  

limitées

Possibilité  de  constructions  nouvelles  très  restreintes

constructions extrêmement limitées

secteurs à enjeu fort pour

l'agglomération ou les évolutions nécessaires sont possibles mais

doivent considérer le

risque

possibilités de

constructions nouvelles très

restreintes

développement de la ville permis en tenant compte du

risque

L2

La rêglementation vise également à limiter la vulnérabilité de la ville :

SOURCE : Dicrim - Mairie de Thomery ( Document d'information Communal sur les Risques Majeurs)

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Chêne lamellé collé huilé

Chêne noirci

Chêne lamélé collé huilé

Chêne noirci

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29AC

TIVITE

S PER

SONN

ELLE

S

CRÉATION ET RÉALISATION DE MOBILIER

Dans le cadre de mes loisirs, j’ai travaillé à la conception et à la réalisation de pièces de mobilier. Ainsi ai-je créé deux bureaux aux dimensions spécifiques afin qu’ils s’insèrent dans mes nouveaux lieux d’habitation.Ces expériences m’ont entrainée à developper ma créativité et à tra-vailler le bois, matériau noble.

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31 PR

OJE

TS

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Un escalier autour d’un mur

R D C

R + 1 L’objectif de cet exercice était d’or-ganiser le développement dans l’es-pace d’un escalier de part et d’autre d’un mur. Dans mon projet, l’escalier est visible dès l’entrée, comme seul moyen de s’évader vers un espace ouvert et lu-mineux à l’étage. D’ici, on peut voir le début et la fin de l’escalier. En revanche, les percées dans les murs et certaines parties de l’escalier ne sont pas visibles. L’escalier devient donc un parcours, guidé par l’interrogation, par les diffé-rences de lumière, on avance progressi-vement de l’ombre à la clarté. Cet exercice m’a permis de comprendre que l’escalier est un élément architectu-ral à part entière, de part l’esthétique de sa sous face, le reflet de la lumière sur les marches. Il est la matérialisation d’un parcours verticale.

Coupe perspective

Coupe perspective

NOTION DE PARCOURSENSEIGNEMENT : L.1.1 - PA, Projet d’Architecture, M. Mourier et M. Dias LinoDUREE : 1 semaine chacunSITE : non existant, programme non définiMODE D’EVALUATION : Rendu

Vue de l’entrée

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Terrasses et degrés

Cet exercice avait pour objectif de concevoir un parcours ascensionnel en plein air, en disposant sur un parc rectangulaire cinq ter-rasses, de plus en plus hautes. La première terrasse de mon projet permet de s’isoler de ce qui n’est pas le parc, et crée un premier degré d’intimité. La dernière terrasse est au centre, on tourne autour jusqu’à l’atteindre. Le parcours impose de découvrir chaque terrasse, il faut la traverser pour accéder à l’es-calier suivant. A chaque étape, le visiteur sait d’où il vient mais ne sait pas où son ascension le mène. Cet exercice m’a appris à matérialiser un parcours, à créer une évolution dans la traversée d’un projet.

Hiérarchie structurelle et contrastes lumineuxR D C

R + 1

Le but était de concevoir des espaces superposés dotés de qualités lumineuses contrastées, à partir d’un système struc-turel hiérarchisé. Sur un terrain rectangu-laire, nous devions construire les limites d’un espace principal et de deux sous espaces en se servant de deux systèmes constructifs. Dans mon projet, le visiteur arrive dans un espace en double hauteur, couvert et cloisonné par des murs porteurs mais lumineux. La vue est orientée vers un es-calier, très éclairé. Pour accéder à celui-ci, il passe par un espace sombre et com-pressé, cloisonné par des murs. L’escalier mène à un espace ouvert, très lumineux, délimité par des poteaux. Cet exercice m’a appris à mettre en évi-dence des divisions d’espace, sans les cloisonner et à faire évoluer les sensa-tions du visiteur au cours d’un parcours architectural.

Plan Axonometrie

Coupe perspective

Coupe perspective

L1

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QUALIFICATION D’ESPACESENSEIGNEMENT : L.1.1 - PA, Projet d’Architecture, M. Mourier et M. Dias LinoDUREE : 1 semaine par exerciceSITE : non existant, programme non défini MODE D’EVALUATION : rendu

L’objectif était de comparer des lieux organisés selon différents grands principes topologiques d’organisation de l’espace, en utilisant des éléments préfabriqués.Nous devions constituer un espace centra-lisé autour d’un axe vertical et un espace orienté autour d’un axe horizontal.L’espace centralisé que j’ai dessiné (à gauche) possède un grand vide en son centre, qui marque la verticalité. Le toit est composé de panneaux superposés, dont les trémies sont de plus en plus grandes. La lumière peut ainsi se réléchir sur les cotés. Ce jeu crée un espace centralisé très lumi-neux, entouré d’espaces périphériques plus sombres.Dans le second espace (à droite), des por-tiques de plus en plus larges orientent le regard vers la sortie, et invitent à circuler au centre. L’espace est horizontal, le visiteur se sent plaqué au sol par l’effet des nom-breuses poutres. Cet exercice m’a appris à travailler sur la définition des espaces, ainsi qu’à guider l’usager du lieu vers un endroit précis sans pourtant être dictateur du parcours à suivre.

Topologiespatiale

Coupe perspective Coupe perspective

Plan

Plan

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35

Composition des espaces Le but de cet exercice était d’arriver à qualifier les espaces que l’on crée. Nous devions dessiner des espaces qualifiés par deux couples d’adjectifs que nous avions préalablement choisis. Ils devaient être composés à partir d’une addition, d’une division ou d’une soustraction d’espaces. J’ai d’abord choisi le couple « espace horizontal / vertical » (à gauche). L’espace horizontal est délimité par des murs dont la hauteur est très inférieure à la longueur, alors que c’est le contraire pour l’espace vertical où la surface est très petite et dont les murs paraissent plus hauts. Ils sont assemblés par soustraction : un espace prend sur l’emprise de l’autre, auquel on a enlevé de la surface.Ensuite j’ai choisi les adjectifs «ouvert» et «fermé» (à droite). L’espace ouvert per-met des vues vers l’extérieur, ce qui n’est pas le cas de l’espace fermé. Ceci donne la sensation d’enclavement. Il sont assemblés par division, une paroi vient au centre de l’espace afin d’en dessiner deux. Cet exercice m’a appris à réfléchir à la qualification que l’on veut donner à l’espace créé.

L1

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MUSEEQUATRE PAVILLONS D’EXPOSITION

ENSEIGNEMENT : L.2.2 - PA, Projet d’Architecture, M. Mourier et M. Dias LinoDUREE : 5 semainesSITE : non existantPROGRAMME : pavillons d’expositionMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

Plan masse

Étape 1 :

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37

Coupe

Plan

Plan

Coupe longitudinale

Plan masse

Coupe transversaleCoupe perspective

Étape 3 :

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R D C

R + 1

Coupe longitudinale

Coupe transversale

Plan masse

Coupe transversale

L1

L’objectif de cet exercice était d’imaginer quatre pavillons d’exposition, sur un terrain trapézoïdal, bordé sur l’un de ses petits cotés par une route et sur l’autre par une rivière. Le grand coté perpendiculaire à ceux-ci se trouve face à une forêt. Enfin, le dernier est délimité par un mur.Dans une première phase, nous devions dessiner la disposition de nos pavillons sur le terrain (plan masse de gauche). J’ai créé un parcours circulaire qui suit les côtés du terrain. De cette manière, on ne découvre que progressivement chaque pavillon. Les croquis ci-dessus sont ceux que j’ai réalisés en imaginant les pavillons est et sud. Ensuite, nous devions dé-velopper deux pavillons et enfin, nous avons travaillé sur l’un d’eux à plus grande échelle. J’ai choisi de faire du pavillon sud l’écrin d’une seule œuvre, monumentale, éclairée latéralement (maquette ci-dessus). Celui que j’ai développé (feuillets interieurs) est le pavillon d’accueil. L’espace d’exposition qui s’y trouve est divisé par des cimaises éclairées zenitalement par des puits de lumière. Le parcours est relativement évident de manière à ce que le visiteur n’ait pas à penser à son trajet, mais uniquement aux œuvres qu’il est venu admirer. Dans cet exercice, j’ai essayé de mettre en avant les notions de parcours, de qualification d’espace et de lumière vues précédemment. J’ai également appris à comprendre comment une architecture peut être agréable et abriter des oeuvres sans pour autant être trop présente.

Shémas de principe

Coupe perspective

Étape 1 :

Étape 2 :

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MAISON A PATIO(S), ENTRE RUE ET BOIS

Cet exercice avait pour objectif de nous faire imaginer les espaces et lieux propres à une maison familiale, comprenant un ou des patio(s), bordée par une rue au sud et un bois au nord. Elle était le prototype d’un ensemble d’habitations groupées. Cette problématique nécéssitait de s’implanter sur la parcelle sans faire d’ombre aux voisins.Dans mon projet, j’ai souhaité traiter le patio comme une continuité des pièces de la mai-son, ce qui se traduit notamment par l’uni-té des matériaux du sol, comme le montre la coupe perspective du patio. Grâce à des portes coulissantes, il peut être complète-ment ouvert et devenir une partie du salon. Toutes les pièces de vie donnent sur le pa-tio central, qui amène de la lumière dans la maison.J’ai également essayé de travailler le couloir de l’étage supérieur comme pièce habitée. En effet, celui-ci est bordé d’une longue bi-bliothèque et, en son centre, se trouve un bureau. Ainsi, cet espace peut être pratiqué par tous, pour travailler ou consulter un ou-vrage. Cette bibliothèque commence dès les premières marches de l’escalier, comme on le voit sur la photographie de droite. En-fin, le couloir est ouvert sur le patio, et sur le rez-de-chaussée, afin de favoriser l’échange entre les habitants.Ce projet m’a permis de découvrir les pro-blématiques de l’habitat.

ENSEIGNEMENT : L.3.6 - PA10, Apprentissage du projet d’architecture, M. Cremonini et Mme VeitDUREE : 5 semainesSITE : non existantPROGRAMME : maison familiale à patioMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

Coupe perspective du patio

Coupe perspective du salon L2

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HABITAT COLLECTIF

ENSEIGNEMENT : L.3.6 - PA10, Apprentissage du projet d’architecture, M. Cremonini et Mme VeitDUREE : 8 semainesSITE : 4 rue de Thionville, ParisPROGRAMME : Immeuble de trente appartementsMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

R D C

R + 1

R + 2, R + 4

R + 3, R + 5

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Cet exercice nous a permis d’appréhender les pro-blématiques du logement, en les inscrivant dans un tissu urbain, et de nous interroger sur les liens entre espace bâti, espace privé de la parcelle et espace public de la rue. L’immeuble que nous avions à dessiner ne pouvait comprendre qu’une cage d’escalier avec ascenseur et de-vait contenir une trentaine de logements.Nous avons commencé par dessiner un logement géné-rique. Pour cela, j’ai imaginé un système d’imbrication de duplex (plan R+2, R+4 et R+5, R+6) qui permet une circulation centrale, et répond donc à la problématique de l’unique cage d’escalier. Un bloc comprend un duplex ascendant et un descendant. L’étage du salon et de la cuisine possède ainsi toujours une orientation sud. Les es-paces extérieurs sont travaillés de manière à ne jamais se superposer pour un meilleur apport lumineux. Le hall de l’immeuble, en double hauteur, oriente la vue vers le parc au centre de la parcelle. Il est traité comme un espace d’échanges et de convivialité. Cet exercice à été l’occasion de me confronter pour la première fois aux problématiques de l’habitat collectif. Commencer par réfléchir au logement générique nous a permis de nous concentrer sur les caractéristiques que nous souhaitions donner à nos logements.

R + 7

R + 6

L2

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BIBLIOTHEQUE, CAFE,SALLES D’EXPOSITION

ENSEIGNEMENT : L.4.10 - PA01, Apprentissage du projet d’architectureDUREE : un semestreSITE : Cité Internationale Universitaire, ParisPROGRAMME : bibliothèque, café, salles d’expositionMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

Imaginer un complexe contenant une bibliothèque, un café et des salles d’exposition dans la cité universitaire, était notre objectif.On entre dans mon projet par une cour, créant un premier degré d’in-timité, puisqu’elle sépare le visiteur du reste de la cité universitaire. Une fois à l’intérieur, le café se trouve face à nous. De l’extérieur, il est la figure de proue du bâtiment et invite à y pénétrer. Dans la bilbio-thèque, l’espace de lecture collectif, spacieux et lumineux se trouve à proximité du rangement des livres pour faciliter les recherches. Ces rangements sont éclairés zénitalement par une lumière diffuse pour protéger les ouvrages. Un espace de travail personnel et les pério-diques se trouvent dans un espace plus confiné. Au rez de chaussée, on accède aux salles d’exposition. L’une, éclairée zénitalement, est ouverte sur la double hauteur de la grande salle située en dessous. Ceci permet une première découverte des œuvres, de les voir d’un angle particulier avant de descendre pour y accéder.

Plan masse

Coupe perspective salle d’exposition

Bibliothèque

Salle d’exposition

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R D C

R + 1Sous sol

R + 2

Sous sol

R D C

R + 1

R + 2

L2

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PETIT IMMEUBLE Le but de cet exercice était de dessiner un petit immeuble parisien. Le site est divisé en deux parcelles, qui ont la particula-rité de contenir des espaces verts protégés. A proximité du site se trouve un parc. Nous avons souhaité mettre en évidence les espaces verts qui nous étaient imposés par le PLU. Ainsi, chacun de nos logements possède deux vues sur les espaces verts qui l’entourent (du parc et de la parcelle), privilège assez rare à Paris. Nous avons éga-lement essayé de traiter les deux parcelles différemment, tout en laissant lire de la rue qu’il s’agit d’un unique projet. Pour ces raisons, nous souhaitions au départ insérer nos immeubles dans de grandes serres, qui magnifieraient les espaces verts. Cela au-rait aussi un réel impact environnemental, grâce à l’effet de serre en hiver, et à la création d’un courant d’air, selon le principe de Venturi, en été. Toutefois, ceci ne peut pas être réalisé pour des problèmes de coût et d’entretien. Nous avons donc décidé de réduire les serres à des volumes sur les toits. Ainsi, les habitants profitent en été des espaces verts mis à leurs dispositions au sol et en hiver, ils jouissent d’un espace sur le toit.

Plan masse

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45L3

ENSEIGNEMENT : L.5.13 -PA11, Projet d’architecture, M. Nussaume et M. KilianDUREE : un semestreSITE : 9 et 11 rue Gasnier Guy, ParisPROGRAMME : logements, résidence étudiante et bureauMODE D’EVALUATION : contrôle continu et rendu final

R D C

Coupe L3

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46R + 1

Immeuble d’habitation

R + 6R + 4R + 2

R + 5R + 3

Elévation SudElévation Nord

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47 L3

Résidence étudiante

L’implantation découle des contraintes imposées par les es-paces verts protégés. Sur la par-celle sud, nous n’avions le droit de construire que sur une petite partie du terrain. Afin de faire profiter de ce grand espace vert à un maximum de personnes, nous souhaitions réaliser un en-semble de petits logements. Ain-si nous avons choisi de réaliser une résidence étudiante (page de droite). A chaque étage, deux appartements au centre desquels il y a un jardin d’hiver. Celui-ci peut être partagé ou di-visé en deux pour plus d’intimité grâce à une paroi amovible.Sur l’autre parcelle, des apparte-ments allant du T2 au T5 (page de gauche). Deux immeubles sont desservis par un escalier et des coursives extérieures tour-nant autour de la cour centrale, pour créer une convivialité. Sur l’un de ces bâtiments, la grande serre est la figure de proue du projet, visible de très loin grâce à l’angle dégagé.Ce travail m’a permis d’appliquer pour la première fois certaines normes, comme le PLU ou les normes PMR. De plus, j’ai acquis une experience nouvelle dans la réalisation d’habitat collectif.

Elévation Sud Elévation Nord

Plan générique Coupe

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A l i c e C L É O N a l i c e . c l e o n @ y a h o o . f r

4 0 r u e d u C h a t e a u d ’ e a u7 5 0 1 0 PA R I S

1 4 4 A v e n u e d e F l a n d r e s7 5 0 1 9 PA R I S