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AUX CULTIVXTEi lÉZIEK, marchand de Chevaux honneur de prévenir MM . les On lu’il sera an Plessis-Belleyille, et 25 juin courant, avec 80 Cl onnrcs, entiers et de cabriolet. 1-2 DRE NITIDOPHILE PEEFECTIONNÉE 3spécialement pour nettoyer et i ;aux précieux, l’or, l’argent, la i . :enture et fixer le brillant sur tou r. lesCOLLAED, 8 , place Henry IT, àj ^SaEIN, place Delahante, à Crép . FEOT, cultivateur à Eve. de 1 » Boite i t Fmiae. & DBPABIS 21 , MVlEVtBD HAUMMH, , CodCMinmaiKi <ai bi« 18 M GUANO DISSOUS Dü PÉROU • Sïssoüsnl tnO tSTt ;P0TS EN FRANCE yiei MM-SANTA COl^MAêtO*» fc, ehM M. B» VINCENT, ï’ ches MM. A.-G. BOYÉ «t ÇK eradftUt chef M. B. JSeUÏ d-ORBlGNY.FAU^flli i, ch®*M . M»W ^ ri*. ieill 6 , che* Ml^:A .-G .B 0 YÉ*tCSfc m* cà®* M . IsB res, ch«* MM. JAMONT et HUAKX *. àie* MM. A. MOSNEEON-DUPm [®«airee MM. JAMONT et HTTARP» ^AJiK.issvs«KnrT tbkm. U C H ^ U PLUS BSAU lilS PYBECSES ■fM 40 W9m *»lll®®®_ 0 >^ 4 « es saUürenees trë*>ooaibreusB. A ttsatioo ®rnefentMrp«*ert^ ^ÜSSSÎi* 2 ? s ebroolques de la peau et de* muqnetuciiMi «sdelaserofule.leTùonuttse»e. - ■n iriauiïsiuinuuuBO bWiMOi nuiTüiarr des atuMB db fu ie »- ,d— -» Boeweâeee 4 oM I* eweeai m 7 morvi®w.-Bol®. «etoM , 4 ®n«Oi ‘ooTera des ootices et tôt» renaeigiuiiMMjn > P*Ct!». boolevard Hauswn^^^g. gistré à Senlis, le , case . Beçu 187 T par nous. Maire de la ville 4e. Sea]^ :: pour la légalisation de la_ai^atui»de Lefèvbe imprimeur, apjmsée à Fi 1877 . Sentis (Oise), imp. O. LEFÈYEE.; [INIÉRES NOUVELLES. Eaguse, 17juin, aoir. Turcs ont ravitaillé Nicksik, iprèe u« it d’avant-poste. LesMonténégrÊosiavliu ipêcher cette opération. a antre côté, Mehemet-Ali-Paeiaj Wrt» ian avec 28 bataillons, s’est avaoeéo*»* iténégro; mais il a été battu etfbrirf 4 »” tirer, de sorte que le Monténégrin •• î délivré des Turcs. Péra, 18 juin-, 1 dépêche de Londres informe que de 3, 000,000 de livres turques est enw it eouvert. On n’attend plu» îrâ P®® l’afi'aire que l’envoyé de 1 » ane, M. Forster. . lépart du sultan pour l’année e»t fixé* de la semaine prochaine.- Moscou, 14 j4ln.£_^ iremier convoi deTurcs fait»pri»oni^>* théâtre de la guerre d’Âsie est.inpfl^ ' et a été expé£é de là à 'WladinB*. apose de 22 officiers et 97 soldn^ Péra, 18 vapeur, portant 18 eancms pria »o*-. 8 dans le Caucase, est arrivé ici. mande le 15 , de Constantinoplé,;à R; !e de Cologne ; ^ ' dLayard a proposé officiellement à » ^ de neutraliser le canal de Suez; : tsé d’une manière conrtoipa parce qu’il serait, selon étfifi’ ini®^^^ mettre aux navires russes de aps de guerre le territoire tore, télégramme de Mouktar-PacIA ant en chefde l’armée«FAsie, en da^î edi 15 , annonce qu’un «Bgagpw*®^ , ans les environs de HoUa. Eusses ont été repoussés, rtillerie deEars'empÔohele»--- raire de» ouvrages offuJ»^- Vendredi 22 Jhgin J || 7 » SENLIS. OISE et PRBC DES ilnijiû filsmoü iS ê "' lifrii 20 S. 11 fr. 22fb; 12fe. ParaissanLJes D im iK Èp, T j ,, abonntmente se'patent d’avance, se cônrimienf jusqn’i i^ ^ ^ î ^ S ^ o n t r i i r e et datent des 1 -. et 16 dfieha^^ réceptien troiaKiils. 5 ’fr. Sfr. 60. 6 fc. •a •lioif. s ^ 4 ; Annee. £ l*D '-v ÎMOT «.HJ.l-jbjiiï :tacn» '.îohî 3 L";’ : tiîii GÊRÂÏiT, i-j'coîtfç'niaiûÿ-iï !. .i; Î..I'jap €»t;riW iiq :r) î- •' ri*-{ u l<» eblÎAJ . r> Mvîr.ti.j Aii‘:-a at tüx m I .y-, u'fl ücilisri'ûziiia» «hîvY . -AJUNQÎîC $9 •* - ■ - ------ j .œ ïS ifâ ; pùte l ^ not^ affranchie sera refusié. pâ mmucrits ne soMpae.i^ur. Cours du 20 iuin- , 69 60 : 105 80 Èây V- 69. tâtions de la RêpiMîqiiè Vràiiçàisè ét aussi les bravos des feuilles radicales. Oiundioa ^.étéinr^S^çoliBav de telles approbiatioQsdoi^^t ètreft durés*adi§^ r 6 X^e ' . C’était fini,; l î nç' sti dô^ icîïbferr^n' w BULLÉtiN La-séance de ntandi a v u l e s i ^ » ^ convul 4 ons de la .Çlpplïte des ^ u te s le r^m é rapide. Au;début. M. Proust prend la parole. M.. Airionm Proust ^ it partie, en qualitéde can^date ministre des affiawes étrimgères, de personnel de ^vem em eiit qui a sum M. Gambetta dn café Procope aux qu- reanxdelàiteintbMsMe Française, «ra- teurmédiocrev diplomate comme le pr^; mier venu, ü Affecte dé s’occu^r des af faires qui se négocient au qnai d O ^ y . n est venu à la tribune débiter quelques impertinences sur M. Id duc Decazes au^ qBel'tt«épeat^pa»donnerd’avotedéBion- ^ que rfcrn^' ne considère pas la PrânM, malgré ses matteurs, Jsomine une nation en tutelle à q u i ü w ™ coi^îüdiciairè. A M. Antenin w o^t, M '. iom s BIànc a succédé, y a redit les discours de MM. -Gambetta. ot - Ferry .en lesenseloppant dans- une empbase;amçT pwdéeqm^xanpellelestragé^esdtt^s te premier Empire. Exemple ; M. Loim Blanc prétend que l’indignation eStte sel qui empêche la nation de pourrir. Puis M. LéonBenaùltapwffiè la tribune. M..Lé(Hi Eenault est l’ancien préfet ,de ppli^' du 24 mai. n a maintenu pëndjsjn|; ttéïc^:m ois l ’ordre dans la capi^lé; eui' seiaRsnt sans: xépug 3 mnce;ide,L!étatite siégé. Depuis, il est devenu id^intéide. Cotbèili-héaà piùleui-, umtâtâeux, se sententéerasé-daimce -partifeenBernatei» j^ ’unéfordédé'notteilitëf; Û'rffei^'^^é vers la gSuche qui l’a- reçu, lea,b® ,^'^ Sa thèse dans c^c^éaBÇft:,n:-Ate4 ® soutenir que le bien quele partirépnblicà^ était ssmiaeé T tOF VbA^A 1 A Ssait’ saaofhJéaç^ A;n’en,te»ten»cun cançte. C estJt. deXîlioiflenlqm; a eu 1 nonBai^ i d» ten iteï le ,t«cte qite -ndua; doùnons piùsloin.‘'Le miniasten'avnit=ni--fcFai&|:, c é p te r - h r A ie iW e t^ il l ’a éteu té ss^ * iéi&tiotf èt t e c o t o ^ dr^fidH^^ maniéré j ...... .'applaudissâ ->■ dont la mmorité le IsÊU^tj tiiste^. Il"a mérité hfêr nteq .„.f«f'avec n^ï^ci- qôé' inm- Tes adversaires résolus des .xâaicaûX) il teng.te tectuiiA il’ïa w â t de.-Mw-Ssfeyi®, qui n’a qu’un défaut à nos yeux, C’est de n a qu un aeiaub a nu» «y; g*étgffdny'Uff*]iffTr 'lu iig'uwiutfnt liutiii;: visions q^ui séparent le Maréchal et la ra-uche. Après la lecture de ce rapport, 'Ævotée, et comme le ^ n a t *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^.------------ landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé' iglien’apasinsisté. , C’est donc aujourd’hui que) seqoua-le dernier acte. Le dénouement estjpiévu, certain. Le Sénat donneraauPrfsidentla dissolution et le pays prononcera, quand il en sera temps, entre le Mwëqhal,etla Chambre des députés, c'é^t^ié^fè entre l’ordre et la révoluüôn, En ce qui concemeja-gnerre d’Orient, il faut signaler des succès remportés sur leay»nténégTina ^pw-yle». Tuwssçoinnte réusm:A -ravitafllert'Aeur-placêt'&rte ide Niifflich investie depuis de-longs teoisîet ___ ji’in {nouveau, ■ ete sur lé {même immobilité. Danube, toujours aiesTr lESîs BÛÉSffltHÇI^ N tes ne.,pO!Won,S-I»s-P-®ïti? tes Jpur- inaux^adiëuuxisansjôitrauiTer deaphrases; dansiie genre^eicefles^i. « Qnelesib^: iiraBQais-pféiment p«rtieno«îi qoe.‘çeisi béns l^éMcais fessent-pseuve •d’unina et' dêtermétA ’ » Et c’est toujours, 1^ bons Rrânçàïs^dbrit ii;8 *a^““ , , - Et ;plptej :u<?n 8 tOTœqqô^^lltetent UPH% lendemain,du 16 mai, ils sont aillés frap^ Iper à la porte de Ffàdie, A la porte de |f»jPciBss4 ét4i»::qi^4ife) liMws^yQPfcà® ivoÿes.âoncpas;!^.eP nfflrtreaoBs-flmest ■dirigé l’acte qui vîent-«d®J«wO€ . n’.éstiivote^quntaènM*Bt 4 MÉ»réoliadde Mte41âfâfe’étsé 83 «0 Mbbri®é«te icib^sZ pi^^^npn^i W rpT&nnei-teipfflqtei^ a lw in *m itelieBy .üBioatdifcniSrVi^ea! liSt-ÏBhirope |n’»pà8 ) Ite de pactiser avec l’étranger, et il n’y a qu’à ouvrir Je martyrologe révolution- is 8 if « » 's £ Amoutd’Hüiy «ï étett«^,;-pnïeiite^ ,trouver toutesliaturèUS^ I cw âhtipatnt»^ jtiques: mnncBttfï^, qet;.iy»o,sjéJèv?;ji^ idniiseintetemalilialiqiàjteMB dormidwdç icon'tceioeaxqpi sedi*f«anettent.Eb®n- {fin,' ô comble déoV in^ence, ' ce; sont icès%(Éi«eSiqm‘.(« ^ ^ f)P :« u -u ^ ;« és iitalïem japonais, .Offli^^p^tee-Atten- jg^,in® irée,. jwàJestéfflM^üte radicaux IdeFaridiqui soBt.'seat<«Biàspondants,_a iattaquéo'lé-mimstônéaft^t^réchal de 'Mâo-Mate»nv il |mèné-qb’'«nœitetÿ'’édSM ip^ eu Al- héfflffgnë.'tte-AîftiSfelte^^'îtelie .e m Japon, tous les partis,- rendus unanimes ipAr'FiWsidh-de pgesf^--dans leurs sfihiréstetëné ™Pi^^=M!MteidbÉ«fi'^es amisai ment tant s’appuyer sur les qçintoteuc l’Allemagne, iis neJesraient pas oublier que le seul moyen trouvé par M. de mbrcMpour^ d!waw«w ■oskôïÈàrdéirteé'dùfei'i^MÎÇM^^ ' léë‘'■dïyérsës'bàTtié|^d|.’^ ^ S ' ?Mlf- leur uîontrér ri r ràjicé, ffis^see a pTOa- ^ter de ces discordes. ' iDUûé^atemeiit, et jcommia«p«siçiiAM6»ment, les divisions cessoat. - • ' - ^ _ Cbst qu'en Mlenwgitefbniadupatrio-- tisme, tendis qù’étr-''.ft*iiêë», ’a s o trouye jin I X, é*ü‘,yDus pîait, le!,peu de .. .Mten-zou , Ofineeegoii^as d’amumea:att.deà/Hti.de-lft. f^SSBH ^— ' --- ' : jcoij ssileiaim 89b liov retzaeer- l'i^teite' -des 4Henr<iétMtt ont procédé cet acte de Tinitistive ; -.’f ;■ Le-I 7 mU-, U'.' le Ifaréchsl àe ; -EÉaa.s(mVce»’ „ ------- boas!Fraiisiéî»l®*e8t une - LenboimFnmçifiBnost cens qi»prmè- rént'fiÉ>#Atrir»’lën f--^ .:E ^ ^ Français-soiit ë’étâc'^q^sont^rète- A sa- criSèF le'àr FàtMé'A ï ^ p^ : G'ést ce -lue -vous feites en nous'ménaçant de t Allemagne et de lütelie -c’-est ce que vous faites en appetent l’étranger au se- voisines entretiennent-; avec nous des rapports Qordipux,.- yotÿ. ricanez, vous vous moquézV '.Gessteïdmic cétte-pdaisanterie qui con siste: A> ^odeC: au iBomidn « p a y s dont -nnnà gm»^rimiaf±ez-->Simai-; Ift-Séeimité. Otesa»iia*oflMB8L®dresteB.jpu*.;à obtes Eranÿnazî»[Ÿ6uB!ae saveapas )ce[qne - -. ' - (J; iL .. ministèreiqûi) étaltiprés^ '^èe I M. Jules Simon. Il usait ainsi ' du loi ! appartient de etfeie&'ées-nûnügrége faisait «eanatfre' feé^géayéS’ ridsSGIÿS*.-- vaient déctd 6)s user -te'tie'tefiA ^ïieBsejifBiM p tèiea s’étàient -sneéiâé^ n^M « teü ‘ «3F MÉ; Icbéfcher ieuxi '...LE" /Séance 20 y«fri'1877. Toiit' feif espérér ^ e , .la dissolution terAyd^'.lteinirin^^ nairé,- - ' Içis' ministeëé isbnt à léur banc. D’^iffiantte, Côte, -^tts lés sénateurs ont ri'riilisé 4'exàctitndèj éauf MM. Aubre- licqnei'Lifttetet' Lanfteyi-ttd sont em- pêdiés, par la maléffié, d'occuper leurs A l’ouyertuféde te8Àincé‘ ,M;peTCyre, teppprteut dé Jà'" CominiéBion dé" dissolu tion j’mbnté r la j et ' c’est d’une ;■voixîérteèi etau {nméu'ffÀn'silence’Bo- .-lënnéï, ^ îi’il te it là" lecture du, iàpport i dont yoici. t e teneur ; -■■ ' M'. D'epeÿre. — 'SMqsie]^, ,jVi,l’,honneur de 1 déposer sur le bureau clu^riat^le rapport pre- senté par la commissfthil'qite'ies'qjiirèaœc'ent :nonÙB»:'i r-ètfetd’ètemte^te priÿo^Sôa de dSssblütisJb. ■ ' -J . -, Sur ‘'ïinvitatirâ qUl'liii en eèt feite par M, Ir-prteidéhtf'-dè-lti 'S^iffiHqn*î -le'Bénat -ést a -p ^ ’rexêwér'l#‘plù»^«teter 4e%«Bpréro- ^lteéIé'M cœt«éqü’fl^drtéSé^ ■pteHd'ei»' dé»»%épite»ÿte“riHiâ“S- f^ connaître ' son intention de )£sAiiimff'■ -la geinande wS^é«ônteiftîëi,%ufeteM te delà Cons t i t u t i o n . , '' ; ~Ija-'commission que -vous - avez nommée : -vientlroteptésentarlè résultBtde'sesdélibé- ; rations. Ppurî^ïSriét-Ieé=moti6 dè'la-reso- i Iùtion'prÿoséé-attiSénat,''il estuécessaîre de irecBBi-eawnw-iivura py . l’tetoritéaBédéBStitei^otiÉe tti assurer une -pait iTtotoencB* iSSÉfepélftlÉ<ft ' Deux-foteicette ■BspéttetettifitWéy ig .jjW ^ pendant la composition de ce» •IBInlItiBM prouvait Son détir-d^titeplM d’écarter ,len-cOHffite‘etlndiq«litSeMrotiWS ime pensée tecom»sttWe®af!M»ltelto)ig««te‘- paisementi'- ' ' Lé-Maréchal désirait ainsi' mBeneriïnederd sur le teriBte- cCTiservstBnf -at BépuÙiqud d 6 devenir î» la réalisatiim- d%n'ÿtogrtitiBein! 6iagti*t pour les viriti^tetérêts' te-paySï-(PWfe»mtiç^ On apu^gire nnjomr'' que é‘’ 8 «iti4 »“** 4'**' qui possédait te^gouVéçiéBiènli gouyérnmnratnn poatiédait pto -dé isajtmte- (Bruit.)- - , Telles sont les causas 4tt(^asentimèi^- , - ■M.-lapréti(iéntte.'l^'®é]^tetenè'é‘?tt*^* rêter ; tiers tet. fcniW‘Ie-l'ûonyte*'*«*** 5 SÎ: Alorslntéryint la protà^ iri''^ ^ hôureusùSéifl-préeéêéèpteHaïvifiasMWW'^ gné de 363 membres de’lit'^ClihfifBteMél'îflé'-' ^ A eauche :-Eh bienl ôii est â-mti f , A & ’i Hcoufez'dtoKfV^ x^umuüo aj M. Dfpeyre,,^ gr-'^s ‘SlMïÉwr subsistersur lé cwactèr^ dè iSsttsi DSti. D9 DlWèE. n (sciTS). vv-b4 ? 9 ^ ])qiteteen|fl}y^lm|^ïjtepMte.«i cite' laàu.'"' - . . _ Au ; mfflaent.oÿjlA p ^ , » j^nnaitS-ur p*s&dtbc«atnatgsi£étead« qûftlégteMtertr fHKd Adé&ut de preuves écrite», le» prqSSéé) tetnaBasi idmnei-ditetteP^fi**- :4c j:!®?® qn’nyatent ,enaw» .en!)*8jdqi««.f 9 Ste ^ «BUée laàxlsssgesîet teSiffl®ï«C9fcf5«»7 usc.fide, sAb-'dM iittnéi teri^ivoinyJtesm P indi^ufiil*&g^ nî I cb ^ neii qui indi ieia yrnteâm giée te vie tout entiçsjbüîWRÏCiï? aftSft éâafednmppMteteé d? 9nn étognante fizitéa; - 7 Ces yeux, en ce moment pôs^xfiRR Aubryot s’en aperçnttÀj»-Jte^4ft COtt^ iihêp6_--_ , pour la wçou^a - uns se cônununiqùer lesrtristes presser, .Ppnlsatxte plus graqdg.Eîirteo de,te mit,: - AuKjLnt-pe- totee, Jr. ^ :^ 8.AejP59 teM^ (exioôsi ,, . ., Jmte-ÆftGxigswM i?) gS^bi^W et-s’éteiteMS tem lV enrim ant à mi-voixtes-prqiete: qui sq-teÿéjÿ^gÇÎ 1 §Tii^fiW‘ ^ ' ^ I t e ^ h e - o«- - 1 »® 4g .^PSft- V ■ Le comte de Boqu^,;qm l’gR.ffl^t m o n ^ t , avait réalis4;raft|BSHB!^ 1P“ dana-Je com^èice -m r)jl^e, JH- I; tipu4 u;te> teWâl|Ét(ïRBB^ !®P®/- 4- 5 ü .“ i^r mirables mannsoreions *®J?P^ wqntifedquble^^ 0 ^jg®A de convoyer ses.fr^ggnori^tej dC Ç^PSft- ïer,i^-,4 ^ S»ii®.-I®®:'3“»?e® ehnemesi , ■' Ysait^wtW descehdaht doucement^ pen^T^itete Boa^ aai^û 4^ ^dtl'^wn'que teroni èf^l» antipathie. . 'hiuiuc,-_oï . Jusc Boiÿt ét taite,Aite^ut.Î8 rap^^y.',i,,j est le lottvtmin reméw li^Q unii 3 inr Wi “.'f.'t'F'!) suite séjnurie-.jNpus en ayons besoin tous les ^luioflW rsctoh fi^ if te'?i4iW?l^4i4esÇéndi^^ dans le ybt mettait' A dessein dans sa raSEe tméléitëir'griene pouyait com- ptendte'EM^iSf&'ktetmée' parl’im- inmehc'é - ’dfeé : ditetere iqttê -bourait son pëte'‘ei!rteiSnteê^i‘‘^lé télto, de celm qùi.'liii le ’ dispUter a la 'Dtebtritetetigtessés, d’aflleurs; tortu- ràiéht èoÀ:. . et Fenteéâén qd com- teenéë'%'ïéé)téVéler,'' . , ' ‘ Abteàlariâriteit'quelques centaines de péÈ e â '^ it t f & à e tevdm^ër Cep Itonnes S ù » T ii# te ilW mien rayodé -dü'^leii,' diâtj&nt ïënte^ te.èùr là^ teë W tetofiteteir, eu^’ë^é: bbfeih, deé tü i^ teîffin é ddpt elle 8 est Mtgê^, 'te’ W .-.caHcé^^des fluqrg, ^p])igfpt ^aïr^^^ f côi 4 pi^<^ .e; q u ’il y a ans, q w "V;'"* ®®“®®P*^" ^lèMtjr d d ^ ea . son br^ et re- ” 'Qvéjùeût. ‘ - - , con- 3ce Côté, m t .A’'coup;îe tus: ctquw lûini'plôih de vîA’et .de mbUVeteent, ce chî^tfqué-je m'éteis h em nlwteîiÿéhtl moriié,«bitndonnéconimè est le con^ sur lequel-ié'Sôdst^Ate statuer. , Après avoir eonstatéqü’a u c m p tf^ W to pouvtit sttfasîstérsans-reehetiatet^^pww ) la V/iuinDre. ae» uejiuvc». ,9 La cqmm^onjà te,m^gite,gefi(rô tre 3 ,;»; pense ^ par un àris Cbnfbrme l'ia prfpimmon '^^îe*i^^uri''?^®i«fitssBr hiâétiéé^ni eut tiéii aUMjet 4a‘ÀtoW: 4»-’ 4i*rfS®i^pI<ft 8 - dé'la-discussion' aJoA- Jois Koon»ttiliti<*e*Bes,- rappBHéïqnlonjabiéctmtqufelB «rteteetf oM Etti» 3 Dnisd»!ayqitpM#& 4 n 8fe ilkohiM t^ le rappoiteuri'vtiçi,cq,s»p;teFP(^,9 «^ rable M. Dufelire à cette objection : ü décla rait que la France avait besoin d’être gouver née et que ce serait une occasion naturelle pourle pays de manifmter s& vqto Cette teseuBsibnii irittement''^ caractère de là prért^tivf ' dent de'la'Hépublique. lé."{tx*r*:-— r— 7 - 7le désaccord,, ü. réraàïné; TayiS.; et voici quel est tiots îe rffie dû Sénat XjeSénat doit reàfiiBrcher ti’ Wlétesiuélft de un de vos paysans ; -il m’apprit l’éjmvte ducomte de fiognetel. iffle^nes’;* '^ après", je vous Ttireontrai-a’Si'eW compagné de''votré’^ ré. tre W suivie_dë;pte ioujoura,]jé doisle'diriéj.yoùÀ^ vaut inoi, hautaine; indüterenf détoumér les yeusf, sans iœ'j d’attention Amôn humme iine touffe - de' ■ genêts; 'qû%;te~i__™ ~ terre qu’écrasaît-te èa^ dû. Val: ;ünè-ftes' 'ÿois.'iBfy^ te bord de; la, méÿi. un’ ^ ^imantsl Le iandOTtun"’*** l’avez retrouv&Aii? îtette'i’ mt^ÛilteriiM rèpÿit^i: dé me feira;étti%lw. par ,e rétrospectife. Une seteo penste cuw': mdn peré i’ir-Ah! wtiS‘*'hié'o lau; ü ôi-’if litéde^oh ^aw— vous allez lu coinprëiiarti ^ firer» - - f Faites coniBie il' vous lâoi^ Bieur. .j.. ^ Voici : mou orguéif etttftipi je continuai A chere^r les r vous-voir, BiëhtÔt, im|bniÉib \ v i n t l e ’ c d i û p a ^ o n . •de^os; ouotidienâes'i rd'étett^v;^ b triaùtedëfit^uatte.

Annee. DRE NITIDOPHILE iî GÊRÂÏiT, · 'Ævotée, et comme le^nat *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^. ----- — landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé

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Page 1: Annee. DRE NITIDOPHILE iî GÊRÂÏiT, · 'Ævotée, et comme le^nat *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^. ----- — landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé

AUX CULTIVXTEi

lÉZIEK, marchand de Chevaux honneur de prévenir MM. les On lu’il sera an Plessis-Belleyille, et 25 juin courant, avec 8 0 C l

onnrcs, entiers et de cabriolet.1-2

DRE NITIDOPHILEPEEFECTIONNÉE

3 spécialement pour nettoyer et i ;aux précieux, l’or, l’argent, la i . :enture et fixer le brillant sur tou r.lesCOLLAED, 8, place Henry IT, àj^SaEIN, place Delahante, à Crép . FEOT, cultivateur à Eve.

de 1» B oite i t Fmiae.

&DB PABIS

21, MVlEVtBD HAUMMH, , CodCMinmaiKi <ai

bi« 18M

GUANO DISSOUSDü PÉROU •

Sïssoüsnltn O tSTt

;P 0 T S E N F R A N C Eyiei MM-SANTA COl MAêtO*»

fc, ehM M. B» VINCENT, ï’ ches MM. A.-G. BOYÉ «t ÇK

e ra d ftU t chef M. B.JSeUÏ d-ORBlGNY.FAU flli i, ch®* M. M»W ^ ri*.ieill6, che* Ml :A.-G.B0YÉ *t CSfc m* cà®* M. IsBre s , ch«* MM. JAM ONT e t H U A K X *. à ie * MM. A . M O SN EEO N -D U Pm [®«airee M M . JAM ONT e t HTTARP»

AJiK.issvs«KnrT tbkm.

U C H ^U PLUS BSAU lilS PYBECSES ■fM 40 W9m *»lll®®®_0>4«es saUürenees trë*>ooaibreusB. Attsatioo ®rnefentMrp«*ert ÜSSSÎi*2?s ebroolques de la peau et de* muqnetuciiMi «sdelaserofule.leTùonuttse»e. - ■ n i r i a u i ï s i u i n u u u B O b W i M O inuiTüiarr des atuMB db fu ie »-,d— -» Boeweâeee 4oM I* eweeai m7 mo rvi®w.-Bol®. «etoM, 4®n«Oi

‘ooTera des ootices et tôt» renaeigiuiiMMjn > P*Ct!». boolevard Hauswn^^^g.

gistré à Senlis, le , case . Beçu

187T

par nous. Maire de la ville 4e. Sea] :: pour la légalisation de la_ai atui»de Lefèvbe imprimeur, apjmsée à Fi

1877.

Sentis (Oise), imp. O. LEFÈYEE.;

[INIÉRES NOUVELLES.Eaguse, 17 juin, aoir.

Turcs ont ravitaillé Nicksik, iprèe u« it d’avant-poste. LesMonténégrÊosiavliu ipêcher cette opération. ’a antre côté, Mehemet-Ali-Paeiaj Wrt» ian avec 28 bataillons, s’est avaoeéo*»* iténégro; mais il a été battu etfbrirf4»” tirer, de sorte que le Monténégrin •• î délivré des Turcs.

Péra, 18 juin-,1 dépêche de Londres informe que de 3,000,000 de livres turques est enw it eouvert. On n’attend plu» îrâ P®® l’afi'aire que l’envoyé de 1»

ane, M. Forster. .lépart du sultan pour l’année e»t fixé* de la semaine prochaine.-

Moscou, 14 j4ln.£_ iremier convoi de Turcs fait»pri»oni >* théâtre de la guerre d’Âsie est.inpfl^ ' et a été expé£é de là à 'WladinB*. apose de 22 officiers et 97 soldn^

Péra, 18vapeur, portant 18 eancms pria »o*-.8 dans le Caucase, est arrivé ici. mande le 15, de Constantinoplé,;à R;!e de Cologne ; ^ 'dLayard a proposé officiellement à » de neutraliser le canal de Suez; :tsé d’une manière conrtoipa parce qu’il serait, selon étfifi’ ini®^^^

mettre aux navires russes de aps de guerre le territoire tore, télégramme de Mouktar-PacIA ant en chef de l’armée «FAsie, en da^î edi 15, annonce qu’un «Bgagpw*® , ans les environs de HoUa.Eusses ont été repoussés, rtillerie deEars'empÔohele»--- raire de» ouvrages offuJ»^-

V e n d r e d i 2 2 Jhgin J | | 7 »

SENLIS. OISE et

PRBC DES ‘iln ijiû f ilsm o üiSê "' lifrii 20 S. 11 fr. 22 fb; 12 fe.

P a r a i s s a n L J e s D i m i K È p ,

Tj,, abonntmente se'patent d’avance, se cônrimienf jusqn’i i^^^ î^S ^o n tr iire et datent des 1-. et 16 d fie h a ^ ^réceptien

troiaKiils. 5’fr. Sfr. 60. 6 fc.

•a•lioif.

s ^ i à i ® 4 i î ;

Annee.

£ l*D'-vÎMOT

«.HJ.l-jb jiiï :tacn»

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GÊRÂÏiT,

i-j 'coîtfç'niaiûÿ-iï!. .i; Î..I'jap

€»t;riWiiq:r ) î- • ' ri*-{ ul<» eblÎAJ. r > Mvîr.ti.j Aii‘:-a at tüx mI

.y-, u'fl ücilisri'ûziiia» «hîvY

. -AJUNQÎîC$9 •* - ■ - —------ j

.œ ïS if â ;

pùte l ^ not affranchie sera refusié. — pâ mmucrits ne soM pae.i^ur.

Cours du 20 iuin-, 69 60

: 105 80È â y V-

69.

tâtions de la RêpiMîqiiè Vràiiçàisè ét aussi les bravos des feuilles radicales. Oiundioa ^.étéinr^S^çoliBav de telles approb ia tioQ sdo i^^t ètreft d u ré s* a d i§ ^r6Xe'. C’était fini,; lî nç' sti dô icîïbferr^n' w

BULLÉtiN

La-séance de ntandi a v u le s i^ » ^ convul4 ons de la .Çlpplïte des ^ u te s

le r^m é rapide. Au; début. M.Proust prend la parole. M.. Airionm Proust it partie, en qualitéde can^date ministre des affiawes étrimgères, de personnel de ^vem em eiit qui a sum M. Gambetta dn café Procope aux qu-reanxdelàiteintbMsMe Française, «ra-teurmédiocrev diplomate comme le pr^; mier venu, ü Affecte dé s’occu^r des af­faires qui se négocient au qnai d O ^ y. n est venu à la tribune débiter quelques impertinences sur M. Id duc Decazes au qBel'tt«épeat pa»donnerd’avotedéBion-^ que rfcrn^' ne considère pas la PrânM, malgré ses matteurs, Jsomine une nation en tutelle à q u i ü w ™ coi^îüdiciairè. A M. Antenin w o^t, M'. ioms BIànc a succédé, y a redit les discours de MM. - Gambetta. ot - Ferry .en lesenseloppant dans- une empbase;amçTpwdéeqm^xanpellelestragé^esdtt^ste premier Empire. Exemple ; M. Loim Blanc prétend que l’indignation eStte sel qui empêche la nation de pourrir. Puis M. Léon Benaùltapwffiè la tribune. M..Lé(Hi Eenault est l’ancien préfet ,de ppli ' du 24 mai. n a maintenu pëndjsjn|; ttéïc^:mois l ’ordre dans la capi^lé; eui' seiaRsnt sans: xépug3mnce;ide,L!étatite siégé. Depuis, il est devenu id^intéide. Cotbèili-héaà piùleui-, umtâtâeux, se sententéerasé-daim ce -parti feenBernatei» j^ ’unéfordédé'notteilitëf; Û'rffei^'^^é vers la gSuche qui l’a- reçu, lea,b®,^'^

Sa thèse dans c^c^éaBÇft:,n:-Ate4® soutenir que lebien quele parti répnblicà^ était ssmiaeé TtOF VbAA 1A

Ssait’

saaofhJéaç^ A;n’en,te»ten»cun cançte. CestJt. deXîlioiflenlqm; a eu 1 nonBai i d» teniteï le ,t«cte qite -ndua; doùnons piùsloin.‘'Le miniasten'avnit=ni--fcFai&|:,c é p t e r - h r A i e i W e t ^ i l l ’a é t e u t é s s ^ *

iéi&tiotf èt t e c o t o ^ d r ^ f id H ^ ^ maniéré

j...... .'applaudissâ ->■dont la mmorité le IsÊU^tj tiiste^. Il"a mérité hfêr nteq

.„.f«f'avecn ^ ï^ c i-

qôé'inm-

Tes adversaires résolus des . xâaicaûX) ilteng.te

tectuiiAil’ïa w â t de.-Mw-Ssfeyi®, qui n’a qu’un défaut à nos yeux, C’est den a qu un aeiaub a nu» «y;g*étgffdny'Uff*]iffTr 'lu iig'uwiutfnt liutiii;:visions q ui séparent le Maréchal et la

ra-uche. Après la lecture de ce rapport, 'Ævotée, et comme le^n at*mtéàtfon Jra"''flWe {fe au

Jur^nçem anifes^ .------------ —landeinaiu'l» suite du; débatles termes du tt.j^rt-,;M.’lé'iglien’apasinsisté. ,

C’est donc aujourd’hui que) seqoua-ledernier acte. Le dénouement est jpiévu, certain. Le Sénat donneraauPrfsidentla dissolution et le pays prononcera, quand il en sera temps, entre le Mwëqhal,etla Chambre des députés, c'é^t^ié^fè entre l’ordre et la révoluüôn,

En ce qui concemeja-gnerre d’Orient, il faut signaler des succès remportés sur leay»nténégTina pw-yle». Tuwssçoinnte réusm: A - ravitafllert'Aeur-placêt'&rte i de Niifflich investie depuis de-longs teoisîet •___

ji’in

{nouveau, ■ ete sur lé {même immobilité.

Danube, toujours

aiesTr

lE S îs BÛÉSffltHÇI^Ntes ne.,pO!Won,S-I»s-P-®ïti? tes Jpur-

inaux^adiëuuxisansjôitrauiTer deaphrases; dansiie genre^eicefles^i. « Qnelesib^: iiraBQais-pféiment p«rtieno«îi qoe.‘çeisi béns l éMcais fessent-pseuve • d’unina et' dêtermétA ’ » Et c’est toujours, 1^ bons Rrânçàïs dbrit ii;8*a^ ““ , , -

Et ;plptej : u<?n8 tOTœqqô ^ llte ten t UPH%

lendemain, du 16 mai, ils sont aillés frap Iper à la porte de Ffàdie, A la porte de |f»jPciBss4 ét4i»::qi 4ife) liMws yQPfcà®ivoÿes.âoncpas;!^.eP nfflrtreaoBs-flmest ■dirigé l’acte qui vîent-«d®J«wO€ .n’.éstiivote^quntaènM*Bt4MÉ»réoliaddeMte41âfâfe’étsé83«0Mbbri®é«te

icib^sZ p i^ ^ ^ n p n ^ iW rpT&nnei-teipfflqtei alw in*m itelieBy .üBioatdifcniSrVi ea! liSt-ÏBhirope |n’»pà8)

Ite de pactiser avec l’étranger, et il n’y a qu’à ouvrir Je martyrologe révolution-

i s 8 i f « » ' s £Amoutd’Hüiy « ï étett«^,;-pnïeiite^

,trouver toutesliaturèUS^ I cw âhtipatnt»^ jtiques: mnncBttfï^, qet;.iy»o,sjéJèv?;ji^ idniiseintetemalilialiqiàjteMB dormidwdç icon'tceioeaxq pi sedi*f«anettent.Eb®n- {fin,' ô comble déoV in^ence, ' ce; sonticès%(Éi«eSiqm‘.(«^ ^f)P :«u-u^ ;«és

iitalïem japonais, .Offli^^p^tee-Atten- jg^,in®irée,. jwàJestéfflM^üte radicaux IdeFaridiqui soBt.'seat<«Biàspondants,_aiattaquéo'lé-mimstônéaft^t^réchal de'Mâo-Mate»nv il|mèné-qb’'«nœitetÿ'’édSM ip^ eu Al- héfflffgnë.'tte-AîftiSfelte^^'îtelie .e mJapon, tous les partis,- rendus unanimes ipAr'FiWsidh-de pgesf^--dans leurs sfihiréstetëné

™ Pi^^=M!MteidbÉ«fi'^es amisai ment tant s’appuyer sur les qçintoteuc l’Allemagne, iis neJesraient pas oublier que le seul moyen trouvé par M. de m brcM pour^ d!waw«w ■oskôïÈ àrdéirteé'dùfei'i^MÎÇM^^' léë ‘'■dïyérsës'bàTtié| d|.’ ^ S ' ?M lf-leur uîontrér ri r ràjicé, ffis^see a pTOa-

ter de ces discordes. ' iDUûé^atemeiit, et jcommia«p«siçiiAM6»ment, les divisions ■ cessoat. - • ■' - _

Cbst qu'en Mlenwgitefbniadupatrio-- tisme, tendis qù’étr-''.ft*iiêë», ’aso trouye

jin IX, é*ü‘,yDus pîait,

le!,peu de

.. .Mten-zou

, Ofineeegoii^as d’amumea:att.deà/Hti.de-lft. f SSBH

—'---': jcoij ssileiaim 89b liov

retzaeer- l'i^teite' -des 4Henr<iétMtt ont procédé cet acte de Tinitistive ;

-..’f ;■Le -I7 mU-, U'.' le If aréchsl àe ;

-EÉaa.s(mVce»’ „-------boas!Fraiisiéî»l®*e8t une -

LenboimFnmçifiBnost cens qi»prmè- rént'fiÉ>#Atrir»’lënf--^ .:E ^^Français-soiit ë’étâc' q^sont^rète- A sa- criSèF le'àr FàtMé'A ï ^ p ^ : G'ést ce -lue -vous feites en nous'ménaçant de t Allemagne et de lütelie -c’-est ce que vous faites en appetent l’étranger au se-

voisines entretiennent-; avec nous des rapports Qordipux,.- yotÿ. ricanez, vous vous moquézV

'.Gessteïdmic cétte-pdaisanterie qui con­siste: A> odeC: au iBomidn «p ays dont-nnnà gm» rimiaf±ez-->Simai-; Ift-Séeimité. Otesa»iia*oflMB8L®dresteB.jpu*.;à obtesEranÿnazî»[Ÿ6uB!ae saveapas )ce[qne

- -. ' - (J; iL..

ministère iqûi) étaltiprés^ ' èe I M. Jules Simon. Il usait ainsi ' du loi ! appartient de etfeie&'ées-nûnügrége faisait «eanatfre' feé géayéS’ ridsSGIÿS*.-- vaient déctd6)s u s e r - t e ' t i e ' t e f i A ^ ï i e B s e j i f B i M p

t è i e a s ’é t à i e n t - s n e é i â é ^ n ^ M « t e ü ‘ « 3 F M É ;

I cbéf cher ieuxi

' . . . LE"/ S é a n c e 2 0 y « f r i ' 1 8 7 7 .

Toiit' feif espérér ^ e , .la dissolution t e r A y d ^ ' . l t e i n i r i n ^ ^ nairé,- -' Içis ' ministeëé isbnt à léur banc.

D’ iffiantte, C ô t e , -^ tts lés sénateurs ont ri'riilisé 4'exàctitndèj éauf MM. Aubre- licqnei'Lifttetet' Lanfteyi-ttd sont em- pêdiés, par la maléffié, d'occuper leurs

A l’ouyertuféde te8Àincé‘,M;peTCyre, teppprteut dé Jà'" CominiéBion dé" dissolu­tion j’mbnté r la j et ' c’est d’une

; ■voixîérteèi e ta u {nméu'ffÀn'silence’Bo- .-lënnéï, ^ îi’i l t e it là" lecture du, iàpport i dont yoici. t e teneur ; -■■' M'. D'epeÿre. — 'SMqsie]^, ,jVi,l’,honneur de 1 déposer sur le bureau clu^riat^le rapport pre- senté par la commissfthil'qite'ies'qjiirèaœc'ent

: nonÙB»:'i r-ètfetd’ètemte^te priÿo^Sôa de d S ssb lü tisJb . ■ ‘ ' -J . - ,

S u r ‘'ïinvitatirâ qUl'liii en eèt feite par M, Ir-prteidéhtf'-dè-lti 'S iffiHqn*î -le'Bénat -ést a-p^’rexêwér'l#‘plù» «teter4e%«B préro-

^ l t e é I é ' M c œ t « é q ü ’f l ^ d r t é S é ^ lé ■ p te H d 'e i» ' d é » » % é p i t e » ÿ t e “ r iH iâ “S- f^ connaître ' son intention de )£sAiiimff' ■ ’ -la

geinandew S ^ é « ô n t e i f t î ë i , % u f e t e M t e d e l à Cons­t i t u t i o n . , '' ;

~ I j a - 'c o m m is s i o n que -v o u s -a v e z nommée : - v i e n t l r o t e p t é s e n t a r l è r é s u l tB t d e 's e s d é l i b é - ; r a t i o n s . P p u r î ^ ï S r i é t - I e é = m o t i 6 d è 'l a - r e s o -i I ù t i o n 'p r ÿ o s é é - a t t i S é n a t , ' ' i l e s t u é c e s s a î r e d e

irecBBi-eawnw-iivura py. l’tetoritéaBédéBStitei otiÉe tti

assurer une -pait iTtotoencB* iSSÉfepélftlÉ<ft ' Deux-foteicette ■BspéttetettifitWéy ig .j jW ^ pendant la composition de ce» •IBInlItiBM prouvait Son détir-d^titeplM d’écarter ,len-cOHffite‘etlndiq«litSeM rotiW S ime pensée tecom»sttWe®af!M»ltelto)ig««te‘- paisementi'- ' '

Lé-Maréchal désirait ainsi' mBeneriïnederd sur le teriBte- cCTiservstBnf -at BépuÙiqud d6 devenir î» la réalisatiim- d%n'ÿtogrtitiBein!6iagti*t pour les viriti tetérêts' te-paySï-(PWfe»mtiç

On a pu gire nnjomr'' que é‘’8«iti4»“**4'** 'qui possédait te gouVéçiéBiènligouyérnmnratnn poatiédait pto -dé isajtmte- (Bruit.)- - ,

Telles sont les causas 4tt ( asentimèi - , - ■ M.-lapréti(iéntte.'l '®é] tetenè'é‘?tt*^* rêter ; tiers tet. fcniW ‘Ie-l'ûonyte*'*«***5SÎ: Alorslntéryint la protà^iri''^^ hôureusùSéifl-préeéêéèpteHaïvifiasMWW' gné de 363 membres de’ lit' ClihfifBteMél'îflé'-'

^ A eauche :-Eh bienl ôii est â-mti f , A & ’i Hcoufez'dtoKfV x^umuüo aj M. Dfpeyre,,^ gr-'^s ‘SlMïÉwr

subsister sur lé cwactèr dè iSsttsi

D Sti. D9 D lW èE .

n (sciTS).

vv-b4 ?9 ‘ ])qiteteen|fl}y^lm|^ïjtepM te.«i cite' laàu.'"' ■ - . ._ Au ; mfflaent .oÿjlA p ^ , » j nnaitS-ur

p*s&dtbc«atnatgsi£étead«qûftlégteMtertr

fHKdA dé&ut de preuves écrite», le» prqSSéé) tetnaBasi idmnei-ditetteP fi**- :4c j:!®?® qn’nyatent ,enaw» .en!)*8jdqi««.f9Ste ^ «BUée laàxlsssgesîet teSiffl®ï«C9fcf5«»7

usc.fide,sAb-'dM iittnéiteri^ivoinyJtesm P

indi^ufiil*&g^ nî Icbneii qui indi

ieia y rn te â mgiée te vie tout entiçsjbüîWRÏCiï? aftSft éâafednmppMteteé d?9nn étognante fizitéa; - 7

Ces yeux, en ce moment pôs xfiRR

Aubryot s’en aperçnttÀj»-Jte^4ft

COtt^iihêp6_--_ ,pour la w çou^a -

uns se cônununiqùer lesrtristes presser,

.Ppnlsatxte plus graqdg.Eîirteo de,te mit,: - AuKjLnt-pe-t o t e e , J r . ^

: ^ 8.AejP59teM^ (exioôsi , , . ■ .,■ Jmte-ÆftGxigswM i?)

g S ^ b i ^ W et-s’éteiteMS tem lV en rim an t à mi-voixtes-prqiete:

qui sq-teÿéjÿ^gÇÎ1§Tii fiW‘ ^ ' ^ Ite^ h e - o«- -1»®

4g . PSft-V ■ ■

Le comte de B o q u ^ ,;q m l ’gR.ffl^t m o n ^ t , avait réalis4;raft|BSHB!^ 1P“ dana-Je com^èice - m r)jl^ e , J H -

I; tipu4 u;te> teWâl|Ét(ïRBB !®P®/-4-5ü.“ ir

mirables mannsoreions *®J?P^w q n tifed q u b le^ ^ 0 ^ j g ® Ade convoyer ses.fr^ggnori^tej dC Ç PSft-ïer,i^-,4 ^ S»ii®.-I®®:'3“»?e®ehnemesi ,■' Ysait^wtW

descehdaht doucem ent^ pen^T^itete

Boa aai^û 4^

^dtl'^wn'que teroni èf l»

antipathie. . 'hiuiuc,-_oï

. J u s c Boiÿt ét taite,Aite^ut.Î8rap^^y.',i,,j

est le lottvtmin reméw li^Qunii 3 inr

Wi “.'f.'t'F'!) suite

séjnurie-.jNpus en ayons besoin tous les

^luioflW rsctoh f i^ if te'?i4iW?l^4i4esÇéndi^^ dans le

ybt mettait' A dessein dans sa r a S E e tméléitëir'griene pouyait com- ptendte'E M ^iSf& 'ktetm ée' parl’im- inmehc'é - ’dfeé : ditetere iqttê -bourait son pëte'‘ei!rteiSnteê^i‘‘ lé té lto , de celm qùi.'liii le ’dispUter a la

'Dtebtritetetigtessés, d’aflleurs; tortu- ràiéht èoÀ:. . et Fenteéâén qd com- t e e n é ë ' % ' ï é é ) t é V é l e r , ' ' . ,' ‘ Abteàlariâriteit'quelques centaines de péÈ e â '^ ittf& à e tevdm ër Cep Itonnes S ù » T i i # t e i l W mien rayodé -dü'^leii,' diâtj&nt ïënte^ te.èùr là^ teë W tetofiteteir, eu^’ë^é: bbfeih, deé tü i^ teîffin é ddpt elle 8 est M tgê^, 'te’ W .-.caHcé desfluqrg, p])igfpt a ïr ^ ^ ^ f côi4pi <

.e; q u ’i l y a ans, q w "V;'"* ®®“® ®P* "

^lèMtjr d d ^ ea. son br^ et re-” ” 'Qvéjùeût. ‘— - - , con-

3 ceCôté, m t .A’'coup;îe tus: ctquwlûini'plôih de vîA’et .de mbUVeteent, ce ch î^ tfqué-je m'éteis h e m nlw teîiÿéhtl moriié,«bitndonnéconimè

est le con^ sur lequel-ié'Sôdst Ate statuer. ,

Après avoir eonstatéqü’a u c m p t f ^ W t opouvtit sttfasîstérsans-reehetiatet^^pww

) la V/iuinDre. ae» uejiuvc». ,9La cqmm^onjà te,m^gite,gefi(rô

tre 3,;»; pense ^p a r un àris Cbnfbrme l ' i a prfpimmon'^^îe*i^^uri''?^®i«fitssBr hiâétiéé^nieut tiéii aUMjet4a‘ÀtoW:4»-’4i*rfS®i pI<ft8 - dé'la- discussion' aJoA- Jois Koon»ttiliti<*e*Bes,-rappB H éïqn lon jab iéc tm tqu fe lB « r t e t e e t f o MEtti»3Dnisd»!ayqitpM#&4n8fe ilkohiM t^ le rappoiteuri'vtiçi, cq,s»p;teFP(^,9« ^ rable M. Dufelire à cette objection : ü décla­rait que la France avait besoin d’être gouver­née et que ce serait une occasion naturelle pour le pays de manifmter s& vqto

Cette teseuBsibnii irittement'' caractère de là prért^tivf ' dent de'la'Hépublique. lé." {tx*r*:-—r— 7-7— le désaccord,, ü. réraàïné; TayiS.; etvoici quel est tiots îe rffie dû Sénat

Xje Sénat doit reàfiiBrcher ti’ Wlétesiuélft de

un de vos paysans ; -il m’apprit l’éjmvte ducomte de fiognetel. iffle^nes’;* '^après", je vous Ttireontrai-a’Si'eWcompagné de''votré’ ré. tre W suivie_dë;pte ioujoura,]jé doisle'diriéj.yoùÀ^ vaut inoi, hautaine; indüterenfdétoumér les yeusf, sans iœ'j d’attention Amôn humme iine touffe - de' ■ genêts; 'qû%;te~i__™ ~terre qu’écrasaît-te è a ^ dû.Val: ; ünè-ftes' ' ÿois.'iBfy^ tebord de; la, méÿi. un’ ^^im antsl L e iandOTtun"’*** l’avez retrouv&Aii? îtette'i’

mt^ÛilteriiM r è p ÿ i t ^ i : dé me feira;étti% lw. par ,e

rétrospectife. Une seteo penste cuw': mdn peré ■ i’ir-Ah! wtiS‘*'hié'o

lau; ü ôi-’ifl i t é d e ^ o h ^aw— vous a l l e z l u coinprëiiarti ^ firer» - - f

Faites coniBie il' vous lâoi^Bieur. ■ .j..

^ Voici : mou orguéif etttftipi je continuai A chere^r les r vous-voir, BiëhtÔt, im|bniÉib \v i n t l e ’ c d i û p a ^ o n . •de^os;ouotidienâes'i rd'étett^v;^ b triaùtedëfit^uatte.

Page 2: Annee. DRE NITIDOPHILE iî GÊRÂÏiT, · 'Ævotée, et comme le^nat *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^. ----- — landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé

IIE v ^ Ç T O L L lS T E .

f lm a w l i t tU i i . d isw ih itio n , .tilt i n t w ^ % a b l i é «w s ’i l« t ie n c e d u f re in . ( In te r ru p t io n à

la Bép obéit i cède à l'i gsuchstÿr : .

Tontce q n ^ b ptéeident dé laTlépublique a dit depuis «on^éh^w ent au pouvoir, proteste contre cette deiniètè interprétation.

Le p r f l i e i ^ d e ' la Bépublique a obéi aux MatUnMHlEÏes plus généreux et les plus pa- tiioti9n4|g y ^ iii» :« p n T ie tio n profonde en demandlNiOTnablùUbn.

I a muiorité de la cdnunission croit que le conflit ne saurait trouver une autre solution, e t nous espérons que le président de la Ré­publique trouvera dans les nouveaux manda­taires du pays le moyen d'accomplir jusqu'à la fln sa noble mission. (Vive approbation à droite^}

Votre couTuiettlnii n 'a pas été unanime dans saitJWéij-tioin eefltgiiiissn smit e^tarés de la m é r i t é ; d'après eux, rienne justifie la me­sure proposée par If. le Idaréchal. En effet, ont-tto dit, il n'y a pas de c e i^ t entre la Cbambre des députés et le président de la BépnbUque.

Si lë lfsrjchal croyait devoir se séparer de Siiààii, ce n'élUit. pas une raison

pour proposer la dissolution. Ce n'était pas

v ^ ^ ^ ^ ^ S ^ ^ s ^ ^ n t ^ s sentiments pa- mfiïTTlit m t* * “ eux institutions répuUi- c ^ iss ,

Les membres de la minorité ont également dsmsadé q u e . ferait le président de la Bépu- bliquétsiles élections étaient contraires a ses d^UTIe .

' i l ,est aisé de répondre à ces objectioim. sur .la ques^on du changement de

mlpj^tirp, quélminisfre, choisi dans les rangs o(h.ifiéga.ïliunorable.-H. Dufaure, eût été plus heureux que-nptre éminent collègue 1

i l eû t fallu aller chercher plus loin et sans doqfi Remettre le gouvernement aux mains de ceux, qui ont d ^àp ris le gouvernement de 1% Ç^imbre.

4 U-«ijet des institutions qui nous régis­sent,, i l y a lisu. de déclarer que, jusqu'à l l ie ^ .o û .s l ie s . pourront être rè v i^ s , les lois conatitutionndles seront respectées.

Lé Président de la Bépublique a dit fière­ment e t justement que nul en Europe ne dou­tait de sa parole.•■Qui donc, aujourd'hui comme hier, ose en

douter en-, France? (Applaudiss^ents à droite.) ,

.&'effoteer.de.£sire otoireà l'Europequil y a en Eranoe un :parti qui veut la guerre et de fiUrâ i croire à la ^Francè qu'on nous menace à l'extéhenr est une poliÿque qui sera sévère­ment jugée et né trompera personne. (Vive approbation à droite.)

L a . F r a n c e , le s g o u v e rn e m e n ts é t r a n g e r s le s a v o M , d é s ire a u jo u rd 'h u i l a p a ix avec a u t a n t d ' i ^ n r ^ q u ’e lle , s 'o p p o s a i t ja d i s à l a g u e r re û putr|UW!e, ;.à t la q u e lle o n v o u la i t l a pousser. (A pprobûàtion à d r o i te .)

EÉSOLUTION La conùnission nommée par le Sénat pro-

POMjlSirésolution suivante :!« ,yu’ , le Ifessage de M. le Président de la

B é p ^ q u e , en date du 16 j i ^ , par lequel il fait copnaitre au Sénat son intention de dis­soudre la Chambre des députés, lui deinande l'ayis jirescrit par l'art. 5 de la loi sim les pouvoirs publics.

> Le Sénat émet un avis confornce a la pro- du Président de la Eepublique. » d w b le salve d’applaudissem ents

aeciuàllit M. Depeyre h sa descente de la tribune. '

'f liï iioi» gouvernement, M. - - S Æ U é demande la discussion immé- dikté.

\r«ia Tolain sé lève et décmre que ce'rapport a besoin d’êtee étudié par la g a r n i e , eti après quelques instants de discussion, il est décidé, M. de B ro^ e ayuitdonné son adhésion, ijue le débat commencerait le lendemain j eudi

Ces motifs sont exposés don^l® Message du16 juin. , j ,

M. de Brogliô a plus panicalièrement deve- veloppé l’argument tiré des progrès du raoi-ealisme. ‘ ' a aaM. deFourtou s'est surtout efforce de dé­montrer que le ministère du Maredml n a d'autre but que de préserver la C ^ titu ü o n des dangers qu'elle courrait, sida ré^siou de­venait in ^ ss& la ; il;..^c.défMrfa lacte; du 16 mai ^ o i r - é t é , èfr'd’être une œuvre de parti .*

Après cet exposé, les ministres se sont ims à la disposition de la commission, si elle avait des questions à leur adresser.

T ro is q u e s tio n s o n t é té p o sées :1» Que ferait le Maréchal si, la dissolution

étant votee, lie pays réélisait une Chambre ré­publicaine! ........................ ...... Les-ministres ont -dédaré quils n avaient pas à répondre à une question intempestive, à une hypothèse ne reposant sur aucune don­née précise. „ . , i, .

2* A quelle époque seraient fixées les élec­tions générales? ,

Les ministres ont répondu que dans 1 esprit de la Constitution le différend entre le pouvoir exécutif et la Chambre devait être vidé le plus .vite possible. Les élections seraient donc rap­prochées ; mais aucune date n 'a été toée.

3» T aurait-il des candidatures officielles?L e s m in is tr e s n e fe ro n t p a s de candidature

officielle au sens que l'on' attachait à ce mot sous l'empire; mais ils feront connaître quels senties candidats agréables au gouvernement; les candidats partisans du Marechal de Mac- Mahon, président de la Bépublique, seront recommandés aux a p a t h i e s des électeurs.

Les m in i s t r e s s'étant retirés, la discussiona été r e p r is e d a n s l a co m m m sio n .

A la suite d'un débat assez vif, M. Depeyre a été nommé rapporteur.

la représeaiiMteçmifh^^^ excitations à la v io la M ^ fc ^ hd;

Qii'à tous ces titres, il est un danger pour l'ordre etqroi^^la paix, en même temps qu'une cause de fhiqlfle-pour les affaires et les inté­rêts; . ...i': , ■

I)é<^aw<ïu8.'lè^inistèr©ii'apa8 la connance des rep^fleattata de la nation et passe à l’ordre du jow .4 Apr ^ j ^ ’v ^ nptè.laC ham bre décide que l a cominiaaion d u b u dget se réun ira le lendem ain gjtam iner les projets à voter d’ui^géiufBS

L’é^ipage et les passagers sont arrivés à Aden.

IN F ïilnT IO N S.

Un arrêté dû cjantè'4e . Marin, préfet de la Haute-Saôwsùsprinfpbûf deux mois le maire d e Calmoutiocpour ayojr assisté à une réunion politique dûs-laqnrilé ont étètenus des pro­pos manifestement hostiles au gouvernement de M. le maréchal de Mac-Mahon.

Le Daily News publie la dépêche sui­vante :

j , A le x a n d rie , 17 ju in .Sur l’ordre du consul général français, le

baron Baillot à été arrêté hier au Caire, sous l'inculpation de complot contre le maréchal de Mac-Mahon. '

Le R ad ica l cesse de paraître, par suite des comdamnations prononcées contre Ini.

Lan* son dernier numéro, le R a d ica l publie une lettre qu'il dit avoir été écrite en 1871 par le maréchal de Mac-Mahon à M. Thiers et dans laquelle le maréchal remerciait M . Thiers du r#le qu'il lùi avait confié et l'assurait de «on éternel dévouement.

Une note de l'agence Havas nous apprend que. cette lettre est apocryphe et que le R a d i­ca l est poursuivi pour l’avoir publiée. On nous dit en outre que le R ad ica l a été saisi dans les kiosques.

Vienne, xajadi 19 juin.. Le générai Bodich, gouverneur de Dalmatie, et le général Mohnar, commandant en chef à Agram, ont en ce moment de fréquentes con­férences en vue d'ime occupation éventuelle de la Bosnie'et l'Heriégovine par les troupes autrichiennes, au cas où les forces russes occu­peraient la Serbie.

Dans quelques jours le czar publiera un manifeste à foccasion du passage du Danube, pour lequel on fait en ce moment'des prépa­ratifs sur une grande échelle.

écrit sous signature privée sujet au.rimbre de dimension et tait sur papier non timbré.

Toute réclamation, pétition ou demande, doit être soumise au timbre quels que soient le pétitionnaire, l'objet de le demande et le fonctionnaire auquel elle s'adresse,

n n'y a d’exceptions que pour :1« Les demandes en décharge de contribu-

tiens directes ayant pour objet une cète moin­dre de 30 fr. ;

2* Les réclamations relatives à la liste des électeurs ;

3> Les actes de naissances, de mariage ou de décès, destinés à être joints à des deman­des de pensions ou de secours militaires.

Les actes présentés par des particuliers à votre légalisation doivent également être re­vêtus de la formalité du timbre.

Je vous prie. Messieurs, de vouloir bien vouS attaCher à ce que les prescriptions de li loi soient, en ce qui voua concerne, rigoureu­sement éxécutées, et de rappeler à vos admi* | - .^ nistrés que ceux qui chercheraient à s’en écarter s'exposeraient à des pénalités.

Agréez, Messieurs, l'assurance de ma consi- dération la plus distinguée. 'S

P. TaiPixa. r

MM. de Broglie et de Fourtou ont été en téndiu mercreiii par la commission chargée de atatiier sur la demande de dissolution.

Les ministres ont exposé succinctement les morifii qui obligent le président de la Bepu- bliane A demander au Sénat un avis favorable àbd isso lu tion de la Chambre des députes.

Mardi, à midi; ont eu lieu à Versailles les obsèques de M;>T5erre Lefranc, sénateur des Pÿrénées-Oriéatsles. i; .

Quelques minutes avant le départ du convoi, un détachement d'infanterie de ligne, çom-

I mandé parun lieutenant, est arrivé devant larUAMRRF nE PU T tS maisonm o r ù i a i r e e tn 'p r é s e n t é l e s a m e s l o r s -L n f t l I i D . n C U . E v “ t r U , l 1 . 0 I g tre p la ce

d a n s le fo u rg o n . L à Se s o n t b o rn é s le s h o n ­n e u r s m i li ta ir e s . -

L 'e n te r re m e n t é b u i t p u re m e n t c i v i l , le c o rp s , p récéd é d 'n n é v o itu re d a n s la q u e lle setrouvait Mme v e u v e Lefranc, s'eri immédiate­ment dirigé vers l'avonûe de Paris. . _

Trois huissiers du Sénatipréçédaient la dé­putation qui conduisait le dèuil.

Séance du ju in .Cette séance a vu se clore la série des

discours et des incidents suscités par les provocations étudiées des radicaux. Inu­tile de dire que les 363 si^atàires dw

— M. rassiers, mort sur l i tuné, prié)! que l’ont, d’un coup <

COSCOPI

Voici laJ m e n t de l'i

sEsnÇiiri

Constantinople, 19 juin, 11 h. soir Suivant les renseignements puisés aux

sources les plus dignes de foi, les Busses com­mettent toutes sortes d'atrocités dans le Caucase; ils incendient les villages musul­mans etfOreent les habitants d'abandonner leur reli^on pour devenir orthodoxes; ils pillent les mosquées, abusent des femmes et envoient les musulmans en Sibérie en masse.

D'ajùès des nouvelles également authen- tiqueSf.les même-atrocités ont été commises à Ardahan par les Russes ; ils y ont maltraité lesfemmas et les entants, et, pour comble d'horreur, ils ont incendié ,xm grand hôpital militaire où se trouvait huit cents blessés ou malades qui ont péri dans les flammes.

T « l r , A l a « u a t r i è i n e p a g e ,

l e a .D e r i i lè r e a n ro u v e llea .tile üe aire que tes ooo geuches ont voté -un ordre dd j our iMtivé, blâmant la politique inaugurée le 16 mai par le Maréchal. Cette politique, qui est un appel â la conciliation et au .traTOil, qui de plus est un sûr garant et un affer­missement des •relations avec les nations étrangères, est désavouée tout naturelle­ment par MM. les Républicains, leur e ne peuvent s’écouler qu’au milieu del a- gitation. Il n’est, toutes sortes de moyens qu’ils ne craignent pas d’einpioyer pour anéantir la confiance et le commerce, et alors, avec leur tactique habituelle, ils s’évertuent à crier que la faute du ralen­tissement des afeires provient des actes du gouvernement, actes qui ne sont pas un instant sortis de la légalité.

Les radicaux mettent d’autant plus d’acharnement dans leurs attaques, qu’ils se voient sur le point de paraître bientôt devant le pays, qui leur, tiendra compte, nous en sommes sûr, des décep­tions que leur adonnées la politique sui­vie par les gauches.

Voici le texte de l’outrecuidant ordre du jour voté par les 363 ;

La Chambre des députés.Considérant ,que le ministère forme le

17 mai par le président de la Bépublique, et présidé par M. de Broglie, a été appelé a » affaires contrairement à la loi des majorités, qui est la règle des gouvernements parlemen­taires; , _ .

Qu’il s’est dérobé, dès son entree aux affai- tes, à toute expUoation devant les représen- tan tsdu p a js ; » j» a

Qu’il a bouleversé l’administration M a de peser sur le suffrage universel par tous lesmoyens dont il pourrait disposer;

Qu'il ne représente qu'une coalition des partis monarchiques, coalition conduite par les inspirations du parti clérical ;

Que c'est ainsi que, depuis le 17 mai, il a laissé impunies les attaques dirigées contre

Dans le discours prononcé à la tribune parM. Paris, les paroles suivantes que nous prenons au compte-rendu officiel, auront satis nul doute un grand retentis­sement dans.le pays.,:

Vous parlez de coup d'Etat. Savez-vous quand on fait d«®’«oups d'Etat! c'est lorsque, BU lendemain desina^murs de la France, on s'empare de tousîea pouvoirs.

On iàit des coups d'E tat, lorsqu'on dissout les conseils généraux. , ,

On fait des coups d'Etat, alors que la volonté d'un homme s'impdsaint à celle du pays, re­tarde d'une manière indéfinie la convocation d'une Assemblée nationale.

Lorsqu'on agit ainrir: non pas seulement comme on le disait pour excuse, en pleine ré­volution, mais enij^ine invasion, alors qu'il était nécessaire de coordonner, de réqnir toutes les forces vives du pays pour résister dans un élan de patriotisme à, l'ennemi qui nous en- vabîssait......

Nous applaudisMus M. Paris d’avoir stigmatisé de cette façpn les hommes du 4 Septembre, ces mêmes hommes qui ac­cusent le Maréchal d’avoir violé la Constitution.

■ Le discours ri rassurant pour la paix de l'Europe, prononcé lundi dernier à la Cham te des députés par M. le due Dccazes, a ete affi­ché dans toutes les communes.

Suez, 20 juin, midi.Le U e ik o n g , paquebot des Messageries ma-

ritimea, allant de Shanghaï à Marseille, a ete perdu dans le Golfe persique.

Tout le monde a été sauve, les malles seu­lement sont perdues dans le navire qui a ete abandonné.

DÉPARTEMEMV o te d e s D é p iité o d e l ’O lae.

Voici quel s été le vote des députés de l'Oise sur l'ordre du jour de confiance, dirigé par les gauches contre le ministère.

O nt vo té p o u r :MM. Franck Chauveau,

Levavasseur.

O nt voté contre :MM. Dutilleul,

Léon Chevreau, ducdeMouchy.

P é t i t i o n s > r é e lo n a o t lo n s e t d e - m o n d e s a d r e s s é e s a n s a d m in i s - t r o t t o u s . ^ I i e n r a s s n j e t t i s s e - -m e n t a u t im b r e .

Beauvais, le 14 juin 1876.L e P r é fe t de l'O ise à U U . les M aires

d u dépaH eO tent.Messieurs,

Malgré les divers avis insérés au R ecueil des actes adm inislra ti/'S f sur la nécessité d observer les dispositions de la loi du 13 brumaire an V il (art, 12) qui assujettit au timbre, les pétitions et demandes adressées aux adminis­trations et établissements publics, il arrive souvent, cependant, que des plaintes, récla­mations, pétitions ou demandes sont encore libellées sur papier libre et que des actes dont la signature est légalisée par les Maires MUt produits sans être inscrits sur papier timbre. Ces infractions causent un préjudice notable au Trésor. ,

Une amende est édietee, par la loi des fi­nances du 2 juillet 1862, pour chaque acte ou

On parle de quelques prévisions relative-ment à la date des élections.............

D'après les bruits qui circulent, les électioie pour les conseils généraux auraient lieu ven le 15juillet, et les élections législatives seraieK . fixées au second ou au 3* dimanche de sep. p tembre. )

O r e l l .— Dimanche prochain, 24 jum,!;. 3 heures de l'après-midi, M. Louis Gossie, professeur d'agriculture du département è = l'Oise, donnera une conférence publique agri- cole.

n sera procédé par voie de tirage au sort, i une distribution de semences entre MM. le, cultivateurs présents.

P o n è d ro m . — Différents objets estimé i 21 fr. ont été soustraits à la veuve C horon, j ménagère, et au sieur Duchène, manouvrier.

Dans la même commune, le régisseur deM. Damainville a constaté l'enlèvement de i artichauts, de pois et de pommes de terre.. Les portes du jardin ne ferment pas à clef.

♦B E A IIV A H

Par décret du 16 juin est nommé : Substitut du procureur de la ' Bépublique

près le tribunal de première instance de hcj- dun (Vienne), M. Deribéré-Desgardes, jcqt suppléant au siège de Beauvais, en rempli- cement de M. de Trémaudan, qui est nomme juge. • . \

B ro n s lm a . — Le 6 juin, la veuve Chrétin | (Achille), propriétaire était sortie vers midi j pour aller chez son père qui demeure dans me i maison voisine.

Elle avait laissé les portes de la maison et de la cour ouvertes. L'absence dura une demi- heure.

Un voleur profitant de cette heureuse cl constance pénétra dans la chambre à «ndier, et ouvrit le secrétaire; la clé était restéedem la serrure. Deux pièces de cinq francs ont ete soustraites.

*C B lH P lÈ eM E

Une circulaire ministérielle du 9 juin lêî! indique par subdivision de région les coq» de troupe sur lesquels peuvent être dirigé lés jeunes soldats de laclasse 1876, devançant l'appel à l'activité.

Voici, pour la subdivision de Compiègne, les corps pour lesquels les jeunes gens ga­vent devancer l'appel, à partir du 1" jniUé prochain :

124* d'infanterie, à Dreux.19* bataillon de chasseurs à pied, àEennes. 3* régiment de cuirassiers, à Maubeuge.7* de dragons, à Paris.19* de chasseurs, à Lille.29* d'artillerie, à Laon.Pontonniers, à Avignon. . , . ,3* et 5* compagnies du train d'artillene «t

la 2* brigade, à La Fère.3* du génie, à Arras.6* ese^ron du train des équipages, su csmp

de Châlons.

u n e idée abaurbe, irréalisable, qui mÀdiaaait malgré mes efforts pour la a^tacïtér de mou esprit. Ce fut d abord ü i i i^ £es désirs fugitif^ qui* disparai^àent'eéiome ils sont venus, puis uneob-

s —si. Wnfln n.ie vmia dl-

indom |itûb

us fort. Et[es m’apparaissaient plus insur^

je me sentais plu i’én. YIB8 h fonnôr uu dôsscin pour

slanrsûial Ü 116n^Usé^bn- duquel j’étais décidé A ne .nen, rien absolument,

riSm ^rdèvant un crime.Bqquetel, en entendant ces

ü S w s ùn peu énigmatiques et mena- sentait grandir ses terreurs.

EHe présèntait l’approche dune c a ^ trralm. Bile , fit un

au ehâtèan. Aubr^ot la r e ^ ^ l é bias avec respect mais avec fee-

™^*Encore une minute d’attenition.dit- il. Auiottrf’hùi', rassurez-vons, je nai s iu ‘ CM eÜtàyants projets. Ils sont inu- tri5;^ ^ a à ln n que je cherchais est ve-

m ^ Je m’en empare. Mademoi- y n ^ père est su plus mal. Je puis

le » u v é r :B i je le fais, auriez-vous ^j^p^g^uance à m’accorder votre

mndre venait d’éclaiter.I— Jl-VOUbJ moi,! s’écria Elise. Mon-

iB'niBrvbns çoipprendB pas._ ^ line je vous dis, je le sais,. doit

vb^' éti^ èr. Maïs, êcodtez-moi; ja i

trente-cinq ans ; j’ai là, dans le cerveau, de la science à broyer un monde et une volonté capable de le soulever. Le point d’appui me manque. Lorsque j ai eu épuisé les connaissances humaines et que, tout fier d’avoir parcouru le globe, toujours vainqueur dans c e ^ lutte gi­gantesque que j ’ai poursuivie un peu partout contre la nature, à qui je déro­bais malgré elle ses mystères, je f“is ren­tré dans mon pays, je me suis heurté à ce qu’il y a à la fois de plus puissant et de à u s feible au monde, une société or­ganisée, repolissant impitoyablement Quiconque &mapde sa place au soleil MUS m avoir payé ce tnbut nécesMireet àbsurbe qui se compose de formalités. Tu es fort, tù es grand,tues savant, c’est possible ; mais tu n’as pM de fa­mille, pas derichesse., Meurs, crèves dans ton coin : il n’y à pas de place pour toi ànotre éÉ ^ te/oyer. , , . .

Aiibryot s'èxaltait en parlant ainsi, tandis qu’Elise s’appuyait à un arbre pour ne pas tomber devant cette épou­vantable manifestation de la puissance implacable et sombre de l’homme qui tenait en ses mains la vie de ^ n père.

Je crois vous comprendre, dit-elleenfin, se raccrochàht à un dernier espoir, n n’est pas juste, en effet, qu un géme comme le vôtre se débatte au miUeù des étreintes de la pauvreté et dépense dans uhe lutte stérile une puissance dont pourrait profiter l ’humanité tout entière. Sette inj^tice du sort, nous devons la

réparer. Mon père possède des richesses roW es. Sauvez-le èt tout est à vous. Le comte de Roquetel ratifiera les engage- ments de sanlle. . .

V o u s n*y p e n s e z p a s , m a d a m o i s e i i e rguérir le comte pour le dépouiller en­suite ! Ce n» serait pas délicat. D ail­leurs, pour dominer le monde, il me taut ses armes. Or, ses armes, ce n est pas seulement de l’or,- c’èst encore un état social, u n e famille. Je veux tout cela etje l’aurai. . . . . . i

— Mais, monsieur, c’est infâme ! Oh î je vous en prie, pas de mots

cruels. A quoi bon nous dire des choses désagréables dont le souvenir altérait peut-être nos relations futures ?

Elise était écrasée par cette logique inexorable. . . .

— P’aüleuM, continua Aubryot,vous aimez sans doute votre père plus que vous-même l ,

— Oh ! oui, s’écna la jeune fille du plus profbnû de son _âme.

— Eh biènl j ’é c h a i^ votre vie con­tre la sienne. 'Vous êtes sa rançon. Je vous le rendh èt je vous prends. Vous ne pouvez, croyez-moî, lui donner une plus grende i^tèuve de votre tendresse filiale. '

Aubryet employait tin argument a une infernale hsbüèté qui devait avoir une influence puissaMce sur ce cœur si pur et si aimant, en dorant du reflet du martwe le grand sacrificè contre lequel il se dé­battait en vaîh.

— Et si je n’étais pas libre? objecta- t-elle enfin, toute rougissante de pu­deur... Si mon cœur était donné?

— Je vous ferai observer, mademoi­selle, que je ne vous demande pas encore votre cœur. Pour le moment, je me con­tente de votre main. Le cœur suivra...je l'espère.

_ Oh ! monsieur, que vous etes cruel ! rien ne peut donc vous atten- drir?

— Rien, hélas ! Je ne m’attendris ja­mais, et jamais je ne reviens sur une résolution. Quant au vicomte, auquel vous venez sans doute de faire allusion, il faudra, mademoiaelle, vous armer d» courage, il faudra vous-même éloigner ce jeune homme. Je vous estime aszez...

— Oh ! monsieur, fit-elle avec dé­goût, épargnez-moi du moins cette in­sulte.

Aubryot se contint et continua comme s’il n’avait pas compris ;

— Je vous estime assez pour ne pas exiger d'autre garantie que votre parole. Et maintenant écoutez-moi une dernière fois. Aussi bien cet entretien est une tor­ture pour vous, je le sens, je le vois, et j'ai hâte d'en finir.

Il tira sa montre.— Il est neuf heures, dit-il ; à onze

heures, selon toute, probabilité, il sera trop tard. Il me faut pour mon «mération suprême une demi-heure, c’est donc une heure et demie que vous avez devant vous pour voiiB décider. Si vous consen­

tez à être' ma femme, je vous entourerai, je n’ai pas besoin de vous le dire, de tous les soins et de toutes les attention- qu'une femme honnête peut attendre vd'un gçalant homme. Si vous refusez, je ] . ? partirai laissant derrière moi un cadavre. celui de votre père...

— Assez, assez ! lui cria Elise affoiw. fj;— En outre, j'aürai, avant de parti',

un compte à régler avec le beau cousni que je vois rôder là-bas, et, ou je oe trompe fort, il ne sera jamais votre époux.

C'en était trop. Elise tomba sur » deux genoux. Il voulut la relever. L idw seule de subir son antact la mitdeboa et, se précipitant vers le château, ne fit qu’un bond jusqu’à la chambre ü comte. ,

A la vue de ce corps inerte dont ■ vie semblait absente, elle comme un crime son indécision et lutte. 1,

Elle déposa un baiser ardent sur » face congestionnée du moribond et co rut vers Aubryot qui rentrait toujon impassible. , j,

Avec une énergie sauvage, eue le ^ par le main, l'entraîna vers ce ut d «c nie, et là resplendissant de la sainte tation du sacrifice : jJ

— Sauvez-le, et je suis à t'®? ' i, vous le jure! s'écria-t-elle en étendsn m&lllf flûf*

Aubryot déploya sa trousse. tit en chancelant. /!,«&?.

( A m ’w e .) J'C o»® ’

Page 3: Annee. DRE NITIDOPHILE iî GÊRÂÏiT, · 'Ævotée, et comme le^nat *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^. ----- — landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé

£;.1i signatuie privée snjet a e J i p i ^ de a et fait sur papier non timt>(£- réclamation, pétition ou demande,t.;v soumise au timbre quels que soient:'^- lUnaire, l’objet de la demande et le laire auquri elle s'adresse, i d’exceptions que pour : demandes en dédarge de oontribtt- actes ayant pour objet une cdte moin-)fr-: ,réclamations relS&ves b la liste des

1 ; . • actes de naissances, de mariage ou , destinés à être joints à des deman^ ensions ou de secours militaires,:tes présentés par des particuliers à >alisation doivent également être re*;; la formalité du timbre, is prie. Messieurs, de vouloir bien : acher à ce que les prescriptions dU' 1%. it, en ce qui vous concerne, rigoureurij exécutées, et de rappeler à vos admi-’ que ceux qui cbercheraient à. s!p

s’exposeraient à des pénalités.iz. Messieurs, l’assurance de ma c o ù ^ ^ 1 la plus distinguée. . ’

P. Tamisa. _

8 E 1 S U »1 parle de quelques prévisions relative*la date des élections................. _ -

rès les bruits qui circulent, les électidèi s conseils généraux auraient lien v m llet, et les élections législatives s e r a i t m second ou au 3* dimanche de sep* '

i l . — Dimanche prochun, 24 jwftiÿ ti ■es de l'après-midi, M. Louis Goss^ leur d’agriculture du département de donnera tme conférence publique agri-

ra procédé par voie de tirage au sorti à stribution de semences entre MM. les iteurs présents.■ td ram . — Différents objets estimés m t été soustraits h la veuve Cboroa, [ère, et au sieur Duchène, manonvricctlans la même commune, le régisseb^i#^' ; mainville a constaté l’enlèvement ife W auts, de pois et de pommes de tem jr ‘t portes du jardin ne ferment pas à elA‘!

B E A IJV A 18décret du 16 juin est nommé : stitut du procureur de la ' Bépubliqaa : e tribunal de première instance de,L^*,; Vienne), M. Deribéré-Desgardes,. jM '< éant au siège de Beauvais, en rempl^ ' it de M. de Trémaudan, qui est n o i ^

M U bM . — Le 6 juin, la veuveCh^s^i lie), propriétaire était sortie vew mi® : aller chez son père qui demeure dai^ nw >n voisine. i-u - , .î avait laissé les portes de la maisoil et cour ouvertes. L’absence dura une demi:;

voleur profitant de cette heureuse ri»*' ance pénétra dans la chambre & vrit le secrétaire; la clé était res^dBW I T u r e . Deux pièces de cinq franim rai tes. - snsili

*C O M M È eW K

e circulaire ministérielle du 9 juin ue par subdivision de région les oupe sur lesquels peuvent être dirigés- lunes soldats de Isolasse 1876, devançant^ el à l’activité. . Vici, pour la subdivision de Oomjâègte.^ orps pour lesquels les jeunes gans devancer l’appel, à partir du 1" èain :

d’infanterie, à Dreux.’ bataillon de chasseurs & p ied , ,régiment de cuirassiers, à Manbeugs. de dragons, b Paris.• de chasseurs, à Lille.• d’artillerie, à Laon. ntonniers, a Avignon, e t 5* compagnies du train d’artillena la 2* brigade, à La Fère. ; :du génie, s Arras. ■ ,■ -iescadron du train des équipages, au c a l^ de Châlons.

LE î NO0:

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b être ma femme, je voue entoitfet«. l’ai pas besoin de vous le dire, de tous soins et de toutes les -Attontionê

une femme honnête peut attendre Q galant homme. Si vous refa8^» J° tirai laissant derrière moi n de votre père... _ "— Assez, assez ! lui cria Elise affola-— En outre, j ’aùrai, avant de parW> compte à régler avec le beau coiu®*! je vois rôder là-bas, et, ou j®J®® ape fort, il ne sera jamais voW ux.î’en était trop. Elise tomba sur a»II genoux. Il voulut la relevai, le de subir son pantset la «MtdaWSjK se précipitant vers le chitMW^

S t q u ’u n b o n d j t i s q u ’à l a

i la vue de ce corps inerte semblait absente, elle se 'rqrrow

ùne un crime son indécisk»

aie dépoM un baisef e congestionnée du moribond vers Aubryot qui rentrait

passible.bvec une énergie sauvage, -e U ç ^ y S '’ le main, l'entraîna v « s o o i t o e g, et là resplendissant da là sa irii? ,»^ ion du sacrifice ; ' _ ï— Sauvez4e, et je su iS;^ ’VO®*S| =i is le jure ! s’écria-t-elle en étenaa^^ in,bubrvot déploya sa trousser en enancelant.

{A ntivre,)

_ M. K»vbaud, sous-Ueureu^t au 6 m -rasaiers, ap p arten ^ manosuvrè. Cet infor- mort BUT le champ fièvre chaude, ainsi

c » » m & .d’un coup de revolver.__

coscoBïs n t m m db compibuse0 0 DIMASCH* n JOIN , .

, B aéeuSion .VAHMU*S„

ï I S x I m K d ’a ^ t , _ Bstrées-Saiut-

Denis* •«éctote (pôui; les Knfants).

» nrix médaifle do vermefl. — Conchy le^ Pore - 8* prix, médaille d’argent.-B resles.

4. ' u r i r m é d a i n e d ’a rg e n t . - eh o isy -a u - Bac I s o t o , m é d a ille d e v e r m e i l - B re s le s .,i i p i i , médaiUede v e m e ü .- - f t« ^ f» ”d8.Troisième division. — 2* .secuon (groupe B.)2. prix, médaille deverjneil. — Songeons.-

S « K ,l^ rix , médaiUe de vermeiL - Son-

2- «crioâ (groupe A.)2. p r ix , m éd a ille d e v e rm ë il . — H r a v ^ . —

3. prF" m édaille d ^ a rg e n t. > - S a n a - J j ^ n -phwiaaée — 4* p rfc medaiUe d argart. — S v i U e r s . - 1 prix, médaille d’argent. -Sépy-^V alois. - Soi.’, médaiUe de vermeil._ St-justren-Chaussée.

T ^ i m e division. — l - section (grouim B.)3* prix, médaille de verméü . — D lly-Sai^

Premüre dliiston. —2“*2* nrix, médaiUe dé ver.meil. — Liancourt,

_ Solo, SoH, 2- prix, médaille de vermeil.

Preidère division. — J iSolo, médaille de vermeil, — ophicleider de

l e c t u r e A v u e .PASFAïaS .

Trchüme division. — 3« section (groupe A.)

Troisième d iv is io n : - t '2 l’ùnanimité, medaïUe d argei^^

disirii». - 2*1« prix, médaiUe d’argent. — St-Just-en-

Chàusséé. 3" prix, médaUle ' d argent.-^»-Mello. ■> / D \Troisième division. — section (groupe B.) 1" prix, médaiUe d’argent. — St-Vaast-les-

MeUo. - ,Deuxième division. — 1" section.3* prix à l’unanimité, médaiUe d’argent. —

Chambly.Première division. — 2* section.

2‘ prix. — Fanfare de Liancourt.Division supérieure.

MédmUe de vermeil à la fanfare de Méru.

B abaeuf. — La gendarmerie de Noyon prend en ce moment des renseignements sur uneflUede cette commune, Clara BomUon, domestique à Paris, prévenue de vols de bij oux. cette fiUe possède des bijoux qu’elle prétend lui avoir été donnés par ses parents ; interrogés nient avoir rien donné & leur fiUe.

bâtions sur les différentes Ugnes télégraphi­ques. Q^non|^igpaleu.ei^^.. a id p | coupés^h Ë nnidé élsbtrique à’ I a # ta n ^ de Bochy-fiondé,;^ là ligne de S a i i^ u s ^ j t qui ont m i s ^ fnôuvemeùt la sonnerie du msque. Sur q ^ q u q s points, la tra i^ iss io n d^.déj^, pêchesAétéînterrompue.’ '

S lo r l ln c o u r a . — Par décret présidentiel du 12 juin, est et demeure rapporté^ fe -déw t du 23 février 1877, par lequel M. Denis à été révoqué de ses fonctions de maire de la com­mune de Morlincourt.

CTlievliacoiiPt, — Un grave accident est arrivé, mercredi dernier, 13 courant, à deux heures de l’après-midi, à Chevincourt : une dame Butteux, âgée de 25 ans, est tombée dans le puits de ses parents d ’une profondeire de quinze métrés environ,' Bile allait périr dans cet abtme, sans le dévoûment et le cou­rage du sieurJplydos^h^sre^çàdes sapeurs- pompiers de la commune, qùi s’èst empressé. de .descendre dans le puits,.et est parvenu à la retirer saine e t sauve. Bous sommes heu­reux d’enregistrer ce .sauvetage opéré par M. Joly, qui du reste n’an est pas à ■son premier acte de dévoûmient.

- ritB é p a rS e m e n t* to IbI i m .

(AISNB) B À iS nM è^ ia ii-B H iitd . -Nous rtcevons la nouvelle d*un crime atroce quxvient d’être commis dans èettSriômmune. Lesdétails précis nous manquent encore, mais il paraît certain que le sieur F..., maçon, aurait porté sept coups du terrible outil appelé têtu sur la tête de sa âUe, âgéof de 'Sf? 1rait tuée, dans T après-^^ d | vendr^ij dW" nier. " ^. Aussitôt que les voisins eurent counais- sanee de ce qui s’était passé, ils garottèrent

beaucoup d’argent à la Bossie ; comment se procura-t-elle (|gu^fondsî .V; B. Par des emjirtmts étranj

D» Gommentla Bttssie se dettes?

E. Par un arrangement avj en offrant un dlvTdence de

fan|;iert,

mille francs et en ne le payant même pas.

britannique, tout le corpS;: diplomatique, le

en particulier, furent su fp âsi,endormis par le colosse du Nord, qmun &UX nei.

EXPOSITION uNiv*B»UJJ,ga-1S18. — Tandis que les travaux des dëux^paiafe do l’Exposi­tion avancent conformément an^ prescriptions du cahier des cÜa^ldàüâAiÜSBion continue ses adjudicationS’pour queTien ne puisse ar- èêter les i ■. ç

Elle ,'iient;àTa4 ttgeB:V L / U 1m • l«Les vitrines du Trocadéro à M. Oha-

mouillet, sur une sojijEoi^o^. comportant unprix spécial pour c h ^ûê objet.

2o Les fondations,des, la grande saÜe ir îÆ a d S iï W m -èoédm ta de ventilation à MM. Masselin, Degé et Hotin. l)épen8e'dOjOO(Kflfawf‘** ■

3» La cascade ^MM, Masselin etTftaai<m.\D^. 66»,000 fr.’ Les teavaux de cette cascade doivent êtrecomplètement aehih'éBéiWifcttiiîltt^B^^déeem-bre.

— Le général Derroja, çommam dant la mbdivision de l’Oise (3?, division, 2 corps d’armée) est arrivé ici hier accompagne de 20 officiers, commandants d’état-major et du génie, capitaines d’infanterie et de cava-i lerie, etc...

Ces officiers supérieurs sont envoyés dans nos environs pour y faire des études de ma­noeuvre. '■

n paraît que les vallées de TOise et de l’Aisne, — c’est-à-dire l’immense cercle de terrain formé par Soissons, L a . Fère, Noyom la forêt de Compiègne, — seraient désignées penr les grandes manoeuvrea-^autcmine .:du 2* corps d’armée. On nous assure que la mon­tagne de Noyon serait l’umdes pointa straté­giques les plus recommandés de la contrée et- que l’on y simulerait une défense du passage de l’Oise. Les volontaires d’im an, incorporés dans les régiments dépendant du 2* corps d'armée, ont reçu des petits plans oh les plus importantes positions sont clairement notées.

On ajoute même, mais nous doutons de l’exactitude de ce bruit, que l'armée de Cib­lons (6« corps) et celle d’Amiens (2* corps) seraient mises en présence aux environs de Soissons.

Nous donnons, bien entendu, ces bruits soustoutes réserves. (Ami de VOrdre.)

W a e e iù e e w u ll* .— Un incendie dont la cause est demeurée inexpliquée jusqu’à ce jour, a éclaté dans la nuit du 16 au 1*7 courant vers une heure du matin.

Malgré la présence de nombrtuses per­sonnes accourues pour prêter secours, une grange a été consumée.

Le sieur Gontier a perdu en outre 156 ger­bes de paille de blé, un moulin à vanner et différents objets de ménage.

C’est une perte de 1025 francs environ .B y a assurance pour 600 francs à la Com­

pagnie La Continence.

C lJ E m O K T .B iO U ^ a l, commune de Liancouet . —

Une montoe en argent, d'une valeur de 35 fr., a été volée au sieur Prothais François-Cons- trat, cnltiTateur. .

Le sieur Prbthass victime de ce méfait avait quitté son chantier une demi-heure environ. C’est dans le gilet laissé en cet endroit que la m on^ a été prise. , . ,

Est-ce un étnmger qui a profité de l’absence de Prothais pour se faire la main?

Aucun rei^îgném ent n 'est encore venu confimer'cette conjecture.

Itoclax -C M tfé . — Un orage qui a passé sur oe^ commune a causé diverses pèrtUr«

Ifendarmerie de Chauny, ----------- —! son regret de son crime, et racontait même iiue sa fille n’étant pas tuée du premier coup lorté sur la nuque, et.Ja. voyant tpop-.souffrir,1 àvàiï fr^ ÿ é 06 nouvéâu pdtttÆ’àcliever, et

qu’il aurait voulu assommer sa femme de iuême.i Cet acte révoltant de barbarie accompli avec froideur, a causé la plus pénible impression lans la commune et aux environs, car fl'paraît 'certainque-ce. père dénature avait menacé plusieurs fois sa femme et sa fiUe, et qu ü n’àtiuïpàs en etàf'd’ïvréssè au môinènt'du Iciime. - .! Le parquet dcLabn, prévenu ipar- <MP&bé itélégrapUqne, tfest rendu immédiatement sur le-lieu du crime avec MM, ,1e j i^ e de paix de Cbauny et son greffier', le lieutenant de la tféndarmerië de Chanhy,' leniaréchal-des-logis et’ un gendarme de la même ville-, i Les obsèques de la malheureuse victime ont eu lieu samedi à deux heures du soir aumilieù dimefoule.nombreuse dlhabitants consternés.

• r i e ■■ '

Un grand concours national d’Orphéons, de BiËasiques d’Harmonie et dciFanferea, aura lièu au Cateau (Nord), le Dimanche 26 août 1877, sous les auspices de l’A dm inis^tion nninicl^lé."'” ’' ’ ' ’ _ , .

Il comprendra. Outre les prix d’Execution, des prix de Solo e t BbU. . • - j

Il y aura égalmnent; pour les Sociétés de premier rang qui ' désireront y participer, un ICONCOÜES d’HONNBüB qui aure-Uen immé­diatement après le concoitts d’exécution.

La ville de Cateau a la, ferme niteitîjon de ne rien négliger pour donnera cette Fête tout l’éclat possible, et les Sociétés Musicales quiré p o n ^ g t i l^ o K Ï ra ^de t i^ ^ e r toutes IPASIsÇ?^®® ^

ion-pS^e la ^ ïÿ o s M o it du la rd ^ ^ rem en t composé avec .'le*

grafid s f e , -S^étéCi^ont le nom ào

p a s & s ^ î P * ë l ’Annuaire ce t8 r4 'n’àwîUent pas reçuîdeifitae^aiv»- tati re

c ré# ra | ; é n ^ du Comité d’ ar^n^iM iniai

Les fbaisbs. i—^ofciun ppoèéaé de conser­vation des &âises-qu4reoomlnlnoeJe Bulletin de la Société pratiqM ^

matin, un peu après quelarosée.estressuyée, ifiles dSavent(8tre é<#»M e f cÿdBtf totece sür,

f %ne’ claiey' un- -tamM riià'WndVdé 'panier en osier, qu’on recouvre de feuilles de vigne et qu’on placS" dans tmê MW, '1Hl=a8SàUs d’un vase co.ntenant de l’eaq„fiç^he., poa, .p^iaee lesiiirèrebcjiés àlBCOusàt#»jiW»îî!“ Pe!fi»nent et fermentent rapidement, se tiendraient longtemps .fraîchoei avec ee « pfoeédé d’une grande simplicité.'■•'•’■ '- V \ ' \ y .V î

vins ràiiTATiTiVASSAasitÙT. — Un drame sanglant es t vaim-attrister la ffitiC (in Sainfe:. Sauvenr-lez-Arras. ' - "

encore cette annéel,201 numéros sur les 4,616, gO’.e s t - ^ ^ ^ p ^ d i^ g l^ r t^ ^ ^ te ^ ^ ^ ^ d

- n o m ^ S e S q i ^ " » * ® ® : *"®» “ ®l ib u z t e d ê c & te s :^ un gtend nombre de.partiéjriës.r.i ' 5--' ' ;i ;

J É ^ Ü S P R O P O S .

Un sous-préfet républicam est sur le point - de quitter son arrondissement, non sans re­gret.

Ses amis se sont; mmbs. de ;.lui faire une pe- -tite manifestation.'Les plus exaltés ont même parlé-d’entôler deq nlemsure poire li^jîircon^ tancej éptio Még © ijitiq u e ' estléepoussée à. une faible majorité, et on remplace les pleu­reurs par musiflue.de^ pompiers de là loca- ilité. ’ ''■ Le chef, un pur, nm m s par M. le sous- préfet, a promis son concours.

On se réunit à la gare. Adieu 1 nous nous reverroim’danaj pito, ri^upKquq î4«il)ffre.

Le chef dé musiqiie dit a ses hommes : —Prenez le carton ni.8,o t attention au si

,gnal.Pois, ilstayance. vars le malheureiix chef et

’taHdft;}!;' / l î î i l t *—J’ai tenu à vous faire connaître nos sen­

timents. Je tfens^nû pwpltia.long. La perole est Pargent et rhaunoaÛLfist d’or.' E t au moment où le sous-préfet monte en wagon, l’artiste faitnn geste

BCLLETni-AOipiiB/

]H f»«!|é.|le «— U s Ass A im iB .

DÉSIGNATION des Grains. l A t C t o l .

5 r l” qualité..' I j 2* qiÂBté. . § )9> quaUté. .6 (Prix moyen. .

BlénoUveau...........Seigle .....................

Avoine.Prix du Pain

20 GO

Famide

n..

lia « .1 3 iiM..

K mde

i*.1»

VT«*gw*n, o— ,impigêiatynyï^ jagroase caisse tonne, le

,itr<n4 o n i * l ^ è , e f l ’igçhestre joue à pleins . oàjttOBa^’tfir csniiui: a . -

Bon voÿage, monsieur Dumolet.Le malheureux chef s’était trompé de car­

ton !

Entre deux vielles portières : ^—Ils ne font que sauter ! Qu’est-ce que c est

donc que ces monitors ? lê- ProbàiaehMSt .darpréSeàsturcs. .

La légende de l’invalide à la tête de bois, lacontôe.par- lui-même et sténographiée par idtenêid de Fontenay :

Mon nom est Marcus, dit DnrA-Cuire. -;Pétei»-à-l4iar-où-ua- boulet m’emporta

Blanc, 40 c. le Icileg. Bia-Mane, SB e. le iS f *

AHŒNS (Somme), » jniiir ■ Cours commercianx ’

Orge, 13Sarrasin, .. .. —4 . . .. -f , : h H I

BBETEUIL, 16 juin.Blé,23 . . Méteü, 18

O r ^ IdFarines, l " qté ..;58»qté, iV àl*hect. « ^

Pommes de tàrr8,.l*h6ç t ^ : :Pain, !*• qté, 87 c., 2- qté, 82 c. le kîLBeurre. 2 ®,le 1 ^ __ ---•Œ ufi;! 751e quarteron.V a ^ . le^^kg. Y fêA , . 1 ^

Bauveup-iez-Arras. _________ _

j eu n ç fiBe, .âgée dq ^ b s , M lle C ^ ilia ,., *d fe ip e n r tn t à iA n ra h ^ 'ru e d e ®®p r^a ia it; dit rüèbfcir, à enrar&ù-bal^ Gon- demand, avec une de 'ses a iM s^ n ^ i^ U e se sentit tout a coup frappée p # im àp éu r du génie, qui s'était diM&nulé Lemeurtrier lui avait donné utf de èouteau ou de stylet au-dessons du sein droit.

n profita de la stupéfaction, général .pour prendre 1& fuite, .La lame du' Couteau, arrêtée par les vêtements et le corset, avait heureu­sement pénétré peu profondément dans les chairs. L'état de l a ^ ô to e présente Jusqu’à présent peu de gravitéi* Sauf les complications qui pourraient survehir’ pitt suite de la cha-

.J eUr*.. ..■->i«âiwi —r ni ïiat-f-. •• • ’LES m c s i s EN CAODTCHOUC.— L ’a t ts n t io n de

T a d m im s tra tio n "^ ip e lé e SUT u n av ià^jW a llem an d s , e t a y a n t ^ q v pùb lh s’ q u e d e s jo n e te . é à c a tio n f u s a i s # r = * * “an a ly se rhimiqnn à m i i i n m i i -------------tér qn'ils coutaiaientdes-proportions consi­dérables d’oxyde de zinc et présentaient par

’’ é récemment . des journaux H de prévenir le Ichouc de fabri- ..àoumis 4. une rmis de consta-

AiClUlOluA. -K( ; .On me porta à l’anriinlàiice; - ; ,Lé chirugien jetà sur'moi un regard bien- eüliûitêtfme'cHijales deux bias. î— Fa^itii çmcqse, major^tC’étaient les jam-,

b 4 i^ ’iîfalM* “ ^ ® * ^; — Ehbien, dit le chirurgien, onpeHfrelrom-per !.

U svaît’TaiBon,jéme tus. ' . „^ e TeUdèmain le 'Célébré Larrcy visita 1 am­

bulance,. 'T r.. ; .4 -Mon hrave, me dà-fl, ta carrièjçemilitmreemi brisée-. < Veux-tu servir eh même temps laiscience et ta patrie î ■ ■

Je répondis ; . Tout pour l’empereur 1 • Voyant que, je consentais, il me coupa laire.' ' .. .J ’éproùvàt une sensation particulière, qui

fut suivie d’un léger sommeil.Quandje meréveillai, on me présenta une

glape. ;Dame ! je fus vexé, ., ■ , ,— Oh ! dis-jè à M. Larrey, uUe tête de sa-

^ ^ C e n’est pas de m rfhuté, ré p ^ it- i l ,le s

sitiBiUnCette.assertion.,

'^ ju d lc e ^ ^ v e a c è n l^ rc e 'd ’expoi

-.i’aj^cultuM e tj’ IjS terle .co in i'^ à éxànrineç: qi.cîiauc, eômhiaié;

„ _ J r e 4 poïter im, t o jaesflg ticies éh>;jiotrà'. S tïra r f in ie m inW ^ ôe' commerce a cru ftavoir in-» % tatif d’hygiènq j U ^ u i i

pn de savoir m iecéastii.; i’oxyde de zi&o!É.T!fltey

^n considéré ÀBi^ie^^f- . l 'UKièlto: itive'ide

FAITS DIVERSLê Punch vienVdë publier une fan­

taisie politique très amusante, «qus f^^®. d’interrogatoiré histqriquè. Nous en dé­tachons le passage suivant ;

D. Quelles sont les bornes de laEussie ? . ,.E. La Russie est bornée au Nord pârl’Ocean

arctique, au Sud par la Méditerranée, 4 l.Est par la Chine et 4 l’Ouest par l’Irlande.

D. Qiiel est le premier ministre de laBussie? „

E. L’himorUble M. E. Gladstone.D. Quelles sont ses principales.fonctions 7E, Ecrire des pamphlets pour défendre son

maîlfce îe czar, et surveiller le transfert de ■Wettnrinster en Sibérie des quelques patriotes anglais qui survivent.

D.. Que savez-vous sur Bismarck îE . Ç’éstlu i qui a créé l ’empire allemand,

dont il est devenu, le chef, peu de temps avant, son annexion 4 la Russie !

D . Que fut lord BeaconsfieldJ . .E . Le dernier grand ministre anglms, qui

snccomba dans son oppositioiF solitaire 4 l’abàoéption de l'Angleterre par - la sainte

D. QÛellé fut la dérnière pfoyincé anglaise ahnoiéeî,; .

E.-L’HedeliVight! „ ,L. Pourquoi les indigènes reçurent-ils les

envahisseurs comme des amis et des sau--

'^^R^Parce que le. gouverneur .général du. moment, lord Lytton, avait publié une partie de ses üiivres eh nindoustan, et qu il menaçait de publier le reste. . . j

D. Quelle était 4 cette epoque la positiim de la France, de l’Autriche et de l’Allemagne?

E. Absorbées par la Russie.D. Et l’Italie?E. L’Italie, après avoir intronisé le czar

conûne Pape russe au Vatican, deriènt une simple province .du Baint-Bmpire.

D. Ces merveilleuses,conquêtes coûtèrent

le .deaific,-!......___ %%reéhî&'Lecomité a formule-san arris-dsas-lea termes sui­vants : . -, ,

«Le caoutchouA-cmnbiné.AvecJ oxyde de zînc'et vulcani8é"^t dôfflfiléléffiehiînoflé'ïïôif; les jouets dans leaijnblB cette composition entre seule ne peuvent oeçasiofluer d’accideD ts d’aucune sorte, mêffle.<^ez;.les.,..enf^ts du premier âge, et les craintes m ^festées 4 cet égard ne reposent sur aucun fondement.' -

STATISTIQUE. — Voici; .quolipios. .renseigne­ments curieux sur le Sàhm'de 1877, qui. es^ dit le Coiwti«o*to»neîile'éèii,t-qu4trième depuis la création des Exjçosittèüs périodiques do .peinture,et de sculpturè'.'

Le catalogue contient), cpmiqe ' les années précédentes, sept.dijtisibhs,, comprernant 4,616 numéros, ainsir^iaitisi'antre 4221 artistes;.

Tableaux, 2,193;''.i. é " - ,Dessins , pastels, aquarelles, porcelames

1,362; . .. ,. : .Sculpture, 634; . „Gravure en iiïédàîlïes ét sur pierres fines,

(itf

1 90.<Por«,3 . Foin, les 100 klL, 10 17 .. Recoupe^! 19,. i.

CEÉVECŒUE, 14’ juin:Yeici les prix dslour :Blél’hect l" q té 2 3 6 0 ,»

21 80, — Météil^O 75. - S i Orge -i-Avoine Irc q,^

: FOElIEEEE,18 juin.Nous cotons par MO £ il :B lélreqtéSO . . 2 *q té ,a ,

U é fe m æ . . . Seigte.. - ■Avoine Ire qté 20 . .2 4 qté K SO ,^qté . . Bisàille . . — Vesce . . —Pomme deterre

Pain les 4Kil. Ire qté 160. 2e qté 1 44.6EANDVILLBES, 18 juin. ■ ... ■ „,Blél’hect. 1 " q té 2 5 ..; 2*qté2390,8*23 ,Blé l’hect. 1” qté 2 5 ..; 2» qté 2390, a»

■a . MHWffl'a>'iB.'-!-WMli W « h ■■ {-A v o in e l " q t é 9 6 0 , 2 ' q t é 9 . ; « to 1m { IflO'kil.TÏO . . . — BisaiBe . . . . !

Piùn-les4 kil. 1™ qnalité 1?&. 85, 9 #mh1é : IfT . 35.

NOAilàiK^ l liu ih . Fromenti IW J ^ , iF;

8* qté 28 Sb1 " qté3ff 80;:2«itf » 30, i

Xî-T-2< qté M 60 —Fain â . i ” qté W e., 2> qté 35 e.,

c. e i8t« r . \ iLO^lhV

Questions usuelles

làlohs, et même Bj^ cêliiJ.dé cette p,': .au. point, de

. Architecture, 83;Gravurés, ^ 2 ;Lithogrsphira,^-. i Comparé anx einiqii ..

4 «tiie;.’ à.„Balm ras|térii ' année les d^aSsé ‘de ’ ibéatiovue du nombre. . • "■ ■ •

Les 3i281 artistes ;préseiito ;• les- variétéssuivantes comme séXè ét.^e<hi^ l'Origine :

Hommes, 2,748: feminès' 621;’artistes de Paris, 1,054; artistes d^ provimje 1.711,; étran­gers, 440. j

Les 440. étrangers appartienilAt 4 une ving­taine de nationalitée,'.^.seo3as lent ainsi ; .

Belgique,8O!Amériqnsî60è,Iti lie, 55; Suisse, 47 ;.Bussie,46; Angleterre,»): Autriche, 27 ; Pays-Bas, 25 ; Espagne, 24|i;Çiàde et Norvège 15 ; Allemagne, 14; bààèiijêiêl^ 9 • ; Grèce, 5; Turquie, 4 ; Indes jbb«W«»»i.4 j. ÏPrtUgal, 2 ,Afrique anglaise, 1 ;-Eéupminm 1., ^

LA’lsace-Lorrainer est. repTésentée par î» artistes.

. Les fonctions d’adjoint au maire d une com- mhne sont-elles incdmpatibles avec celles oem ènbre. du Congeiide.la febrifia®. !; J e io n » ^ .de :^ i îa t io n du , conseil dEmt s ^ ^ 4 flancher cette qnestson.conttoversée, à^m du un avis aux termes duquel l’incompa- t i ^ t é n’existe pas. .

Voici sur quds-pointsJa. question etai^ou- t e w r D ’aprèal’artfble'4 dn décret du 30 dé­cembre 1809,. lea-adjointS; sont.appdes a rem-

, plàcev,'d»slBS«»Bdlsdéfeiirîo^,lesmaires-qui en-sont membres "de droit’.'HS' 'sont dès lors considérés, 4 cet égard, comme les sup­pléants dû mairei ,

Les adjoints siègent de droit au.conseil de fabrique ,'éh cas d’absence ou d’empêchement dnmaire; ils. y ont une place permanentelorsque le maire n’appartienfipas 41a rp p o ncsiholique. Si un adjoint était élu fabncien .ou.ai .un.fabricien restait en fonction apiw .avoir été. élu ou nommé adjoint, le conseil oe fabrique pourrait ne jamaisêtre su comp*®*®' se trouverait'SOuvent dans l’impossibilite oe délibérer.-Cette considération f ^ m t penser.

•Qu’un' adjoint ne pouvait être fabncien.'- Le consèil d’Btat n’a pas adopté cette solu-

Un aviédn comité, de lé j^ à tio n rendu le4 août 1840.s!exprime ainsi i ... . « Considérant qu’il n’existe point dinconi- patibilité légale entre lës' fonctions d’adjointau maire e t celles de conseiller prdmuie oe fabriqué, p'iiisquC cette incompatibilité nest établie par alîCnnb disposition’des lois oü dé­crets qui règlent la ?uatidj?.!ifil“® les incomp^ tibilités sont dé ;<D^ï^teit’e t ne peuvent être

■ ' ”?%onsiâéraui.'4’aiÜeaw> qU’on ne peut « - giier d’im incpmpatibilitéde.fiiit puisque oms le cas où nu;adjoint «uMnaire-anraît etc élu . conseiller, de la fabrique.- lè' maire, ' “ > ®“ d’absence ou d^empIChèment, pourrait ^ remplacé, anx,tegpics des lois eUdCssus visées, pàr Un’autre''àdjoint, et, 4 défaut de celui-ci, paTüh'conseiller municipal, ' .u-v,-

» Estd’avi# qu’ftnîy spasincompatibiuwavec im foscti(ma:d’adjoint,»u maire et celles de conseiller .ordinaire do fabrique. »

Cet avis du, conseil d’Etat porte une «mte déjàunclehne,houa crions,néanmoins que c’est’lé document m plus, récent et que I®,“ ‘ s'eil [d’Em* u’a pas eu d.epuis 1 occasion d e ^ muieT la question 4 nouveau. .

Avoine,' l ” qté, i (taxe ofilcieuse) le I d« des bonlangeri^

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Page 4: Annee. DRE NITIDOPHILE iî GÊRÂÏiT, · 'Ævotée, et comme le^nat *mtéàtfon Jra"''flWe^{fe au Jur^nçe manifes^. ----- — landeinaiu'l» suite du; débat les termes du tt.j^rt-,;M.’lé

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ÈFi TS fUBLlCS.?mY.kYI CLOiTQRB EFFETS -PTJBLICSdu 20

AV|S EMPORTANTM. TOmàîÜBinià, me de Iteauz, n» 1,

I Senlis (Ois^,. a TJrpAirsur d'infomer lelaliÛc qu'u 4 etp' accépv.,. lentiùltde l'iiisttield'Bimkié.

, pré-•ouvBu.uoi.«uuio.uj.>v.u.»...B,uipreaitWlaaa..ilèssb de la mission qni lui est 'COnlée, i l t |

pris pour devise, ces taois mots :Ii)T45WÉ, Kt0(I?UBB,.50NNEDE.

Cette devise et l'expéiiMee. sequisejiaaa I le- c^m ecO e-et. Findustrie^ sont jm sût j «rso t pour les psKOnnes qiû .voudrçpt'bies | honpmr d e J w m n d a ^ , tant, poiur V s ^ '

4es p ro 4 u ^ de Ta' Fantograpliie voltalqne, - que ^ u r l a réparaGon'etTontémentàtion des. aiVérs bbjèts.qul'poùntieiit Ini OGe emtfés.

n jo in te cette représentatirm :

.S S S 5S S i6S !M '‘r ® ^ .L 'E m tree W sém é m e sto Im S M a d n

«eBflBgtfMuuéePour, nettoyer et p w . les métsnXiiiüétieai

Le D é p M «le l ’Emeemn A , B tlsan ^ t.U'Seebarge aassi de i»ecurer.tonte.espè«

d'el]jèts,-psr eemmission et a is^ rjeiiseigiu- pients.-

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D E R N t o E S N O D m L E S .

Le JJoilÿ. X e le sra p h prfgie, PS matin. !® dépéobe datée d'Erzeroum, mardi 19 ji®' p o r ^ t que les dernières nouyAw.reçues de Kafer annoncent que ' les Bus«)b' ont esstn plus d*taié fois' d'enlever i ' î a pointe de .» baïonnette le fort Taanar, mais qu'ils ont® constamment reponssés.

Dimanche, ils ont recommencé l'attsq^ mais, aprèa u n . cnndiat terrible, ils ont ® définitivement mis en déroute. '

Uostar, 19 juin. Oh. 10soir. U e rc r^ dernier, le corps d'armée eon-

mandé aarS . E. S u l e i m m « |^ s 8tjisin/» Kr^staçbopotir »e rendre, s Smsieh. Anin* Fresch^ li a livré une bataillé,' Tmmenu ® mis én’déroute.

Le samedi, Niksich a été ravitaillé. . . Le leUdeniain, le Corps d'armée s'-est dmp

vers le, Monténégro. Dimanche, il s occupe® défilésd'Ostrog, où il a.défsit entièremeat® Monténégrins et pris beaucoup de muaitioi» e td e f o s ^ ,

Nous pensons que ce corps d'armée s ® mis hier en route, et il est probableqtfu s®; réuni,, aujourd'hui, au corps d'armée de ocf tarie, d'Albanie.

Sslonique, 20 juin.La situation des armées monténégrines di-

vient de plus en pInsidCsSsaâéè. Un ongs;^ ment A Preqjeka, non loin ou passage de » D û ^ s'est terminé par la défaits compi^ des Monténégrins, qui se sont retirés en er sordre. .

L'armée de Suleiman-Pacha, continuât " marehervictorieuse, a forcé ensuite les dem»' d'Ostrog.

Trieste, 19 juin, so& On télégraplûe. des frontières turco-h^

niques que l'agitation qui y règne est ^ que le ministre de la guerre ottsman a l ordre Ann corps de troupes de s'y resu'' d'urgence. ,,

On s'attend d'un mmnent A l'autre s verture des hostilités.

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