ANNEE UNIVERSITAIRE 2014- 2015 - … · Ressources numériques en ligne ... "Marketing management", Pearson Education, 912 pages, 14e édition. * Lebon Yvelise, Van Laethem Nathalie

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UNIVERSITE PARIS 1 PANTHEON SORBONNE

INSTITUT DE RECHERCHE ET D'ETUDES SUPERIEURES DU TOURISME (IREST – UFR 21)

LIVRET PEDAGOGIQUE

ANNEE UNIVERSITAIRE 2014- 2015

Master professionnel de SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Master 1 Mention "TOURISME"

Spécialité DEVELOPPEMENT ET AMENAGEMENT TOURISTIQUE DES

TERRITOIRES

I.R.E.S.T. - Université Paris 1 12, place du Panthéon 75231 PARIS CEDEX 05

Bureaux : 16, boulevard Carnot - 92340 Bourg-la-Reine Site Internet : http://www.univ-paris1.fr/ufr/irest/

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Table des matières

Calendrier de l’année 2014-2015 ............................................................................................................ 3

Programme pédagogique ........................................................................................................................ 4

Semestre 1 M1 ........................................................................................................................................ 4

MODALITES DE CONTROLE : Semestre 1 ............................................................................................... 24

Programme pédagogique ...................................................................................................................... 25

Semestre 2 M1 DATT ............................................................................................................................. 25

MODALITES DE CONTROLE : Semestre 2 ............................................................................................... 50


M2 DATT semestre 1 ............................................................................................................................. 51

Tableau récapitulatif : évaluation Semestre 3 ...................................................................................... 81


M2 DATT semestre 2 ............................................................................................................................. 82

Planning et salles ................................................................................................................................... 83

Le stage et le rapport de stage .............................................................................................................. 86

L’apprentissage et le rapport de stage - apprentissage ........................................................................ 89

Le mémoire de recherche ..................................................................................................................... 90

Ressources numériques en ligne ........................................................................................................... 93

Le voyage d’études ................................................................................................................................ 94

Vos contacts .......................................................................................................................................... 95

Centre de documentation et bibliothèques .......................................................................................... 98

L’accès en Master 2 ............................................................................................................................... 99

Association d’étudiants et anciens étudiants ..................................................................................... 101

Les bonifications .................................................................................................................................. 103

Annexes : les documents utiles durant la scolarité ............................................................................. 104

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Calendrier de l’année 2014-2015

12 septembre 2014 Journée de pré-rentrée

15 septembre Début des cours

15 septembre au 9 janvier 2015 Période des cours du 1er semestre M1 et M2

22 au 26 septembre Soutenances des mémoires M2 2013 2014 (soutenances publiques, dans la limite des places disponibles)

22 au 25 octobre Voyage d’étude M1 à Bruxelles

25 octobre au 2 novembre Vacances de la Toussaint

20 décembre au 4 janvier Congés de Noël

9 janvier Date de rendu projet mémoire M1 et M2

12 au 16 janvier Examens de 1ère session M1 et M2

6 janvier Cérémonie des diplômes

19 janvier au 09 mai Cours M1 2ème semestre (12 semaines)

11 mai au 19 mai Examens M1 première session

10 juin Second rendu des M1

Du 10 au 14 juin Semaine pédagogique

22 juin au 26 juin Examens M1 2e session

28 août 2015 Date limite de l’envoi par mail des rapports de stage des M1 et rapports de stage M2

3 Septembre 2015 Oral de passage en Master 2 (étudiants non admis de droit en M2)

4 septembre 2015 Dépôt des mémoires et rapports de stage M2

21 au 25 septembre 2015 Soutenances Master 2

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Programme pédagogique

Semestre 1 M1

Tronc commun + cours spécifiques M1 DATT

UE 1 : Les outils de l’action touristique Droit public appliqué au secteur touristique 10 h Laurence Jegouzo Droit privé appliqué au secteur touristique 10 h Laurence Jegouzo Droit communautaire appliqué aux

activités touristiques 10 h Laurence Jegouzo Les concepts économiques fondamentaux 20 h Xavier Decelle Les fondements du marketing touristique 20 h Michel Tiard Gestion 25 h Jean-Michel Chapuis

UE2 : Langues étrangères

Anglais 18 h Service des Langues Paris 1 LV2 (au choix) 18 h Service des Langues Paris 1

UE 3 : Les systèmes du tourisme et du patrimoine

Les systèmes d’acteurs du tourisme 12 h Yves Cornu Connaissance de l’économie touristique : acteurs

publics, outils et méthode d’observation 13h Jean-Michel Blanc Patrimoine culturel, patrimoine naturel

quels enjeux aujourd’hui ? 20 h Maria Gravari-Barbas Atelier de mise en situation sur le terrain 15 h Séverin Guillard, S. Jacquot Méthodologie de la recherche 10 h Sébastien Jacquot

UE4 : Territoires et développement durable

Géographie du tourisme 25 h M. Gravari-Barbas / D. Kanellopoulou Management de territoires dans le cadre

du développement durable 25 h Hervé Passamar

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UE1

Les outils de l’action touristique

Droit public, privé et communautaire appliqué au secteur touristique

Laurence Jegouzo, 40 heures

Maître de Conférences de Droit Public, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Cours 1 - Droit public appliqué au secteur touristique 15h

1 : le droit public du tourisme 1.1. Evolution historique 1.2. Les différentes lois spécifiques au tourisme, de 1910 à 2009 Exposés:

- l’apport de la loi de 1910 : création des offices de tourisme, pourquoi ? - l’apport de la loi de 1936, les congés payés, quelles conséquences sur le tourisme ? - l’apport de la loi de 1975, les agents de voyage, pourquoi légiférer ? - l’apport de la loi de 2005, quelles avancées pour le tourisme ? - l’apport de la loi de 2009, l’influence du droit communautaire ?

Dissertation :

- le tourisme et le droit, quel rapport ? - Existe-t-il un droit du tourisme dans les autres pays ?

2 : les compétences de l’Etat dans le secteur du tourisme 2.1. Les compétences nationales : La sous-direction du tourisme et Atout France 2.2. Les compétences régionales : Les CRT 2.3. Les compétences départementales : Les CDT 2.4. Les compétences locales : les OT

Dissertation :

- Quels sont les acteurs locaux les plus efficaces ? - Qu’existe-t-il dans les autres pays ? - Est-il utile de faire des catégories d’offices de tourisme ?

3 : la décentralisation 3.1. La région et le tourisme 3.2. La département et le Tourisme 3.3. Les communes et le tourisme 3.4. Les enchevêtrements de compétences Dissertations :

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- Quelles compétences pour quel acteur ? - Les enjeux de la réforme de la décentralisation

Cours 2 - Droit privé appliqué au secteur touristique

4 : les acteurs prives et le droit du tourisme 4.1. Les agences de voyage : la réforme 4.2. Les hôtels et la nouvelle classification 4.3. Les chambres d’hôtes 4.4. Les autres acteurs Dissertations :

- le régime de l’immatriculation et des agences de voyage - La nouvelle classification des hôtels est-elle efficace ? - Les nouvelles réformes et les conséquences sur le secteur du tourisme ? - (conséquences économiques, sociales, environnementales)

Cours 3 – Le droit communautaire et international

5 - les organisations internationales et le tourisme 5.1. L’OMT 5.2. L’OCDE Exposé :

- présentation de l’OMT - Présentation de l’OCDE

Dissertations :

- ces organisations sont-elles efficaces ?

6 - droit communautaire appliqué au secteur touristique 6 : l’Europe et le tourisme 6.1. Le tourisme n’est pas une compétence communautaire 6.2. L’influence des autres secteurs sur le tourisme 6.3. Les directives

Dissertations :

- Quelles sont les normes communautaires ayant une influence sur le tourisme ? - Le tourisme doit-il devenir une compétence communautaire ?

Bibliographie Manuels : Jegouzo (L.), le droit du tourisme – Lextenso 2011 Droit du tourisme, éditions Lamy : Fascicule 120 : les organisations internationales (Jégouzo, L.) Fascicule 130 : les institutions nationales (Jégouzo (L.) Fascicule 130- 4 : l’organisation territoriale du tourisme ( Jégouzo)

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Fascicule 205 – 4 : Les agences de voyages (Jégouzo) Articles : Jégouzo Laurence : La loi tourisme, un an après, avancées ou complexité ? la gazette du Palais, 26 juillet 2010 Les offices de tourisme, tourisme et droit février 2010 La nouvelle loi tourisme : tourisme et droit, Dalloz octobre 2009 Les collectivités territoriales et le tourisme : faut-il modifier la répartition des compétences ? JCP

droit administratif n°8 – 9 septembre 2009 La réforme des agences de voyages, La Gazette du Palais Juin 2009 Le touriste et ses droits, Touriscopie 2009 Le droit du tourisme : un droit en gestation ? Dalloz 2009 Un ambitieux projet de loi tourisme : Tourisme et droit, décembre 2008 Le régime juridique des chambres d’hôtes, Tourisme et droit, Février 2007

Offices de tourisme : du privé au partenariat public-privé, A.J.D.A. 2007, n°7 p.354

Revues Revue tourisme et droit (Dalloz) Newsletter : la quotidienne, l’écho touristique, hôtellerie et restauration, Tour Hebdo

Modalité d’évaluation : Contrôle Terminal (50 %) et exposé dissertation (50%)

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Les concepts économiques fondamentaux

Xavier Decelle, 20 heures

Maître de Conférences en Economie, IREST, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne L’approche économique du phénomène touristique pose deux problématiques relativement distinctes : la dimension économique du tourisme et la place du tourisme dans l’économie (d’un territoire). La première invite à une démarche allant de l’analyse microéconomique du « produit » touristique (en insistant particulièrement sur la constitution et le fonctionnement des marchés touristiques et des fondamentaux affectant l’offre et la demande) à l’analyse mésoéconomique de l’ « industrie » touristique. La deuxième invite, en revanche, à une approche plus globale, macroéconomique, où il s’agit de considérer l’importance économique du tourisme dans l’économie nationale (ou régionale) en termes d’activité, de recettes, d’emplois et/ou d’évaluer l’impact d’un événement touristique sur un territoire donné. On distinguera, pour cela, les effets du tourisme international (balance des paiements) de ceux de l’activité touristique dans son ensemble (comptes satellites du tourisme et modélisation).

Plan du cours Introduction Les difficultés conceptuelles et méthodologiques d’une approche économique du tourisme 2 : le produit touristique Les spécificités du service touristique, les problèmes de coordination posés 3 : la demande touristique Fondements, formes et fonction de demande touristique ; approche micro et macroéconomique 4: l’impact économique du tourisme : L’importance du tourisme pour l’économie nationale : méthodologies de mesures d’impact ; balance des paiements, comptes satellites du tourisme L’emploi touristique : importance des emplois directs et indirects, formes particulières d’emplois, les difficultés du marché du travail touristique

Bibliographie : Caccomo Jean-Louis, 2007, Fondements d'économie du tourisme Acteurs, marchés, stratégies, Coll: Les Métiers du Tourisme, De Boeck Sinclair M.T., Stabler M., 1998, The Economics of Tourism, Routledge London -Dupont Louis, 2002, Contribution à l'étude des dimensions économiques du tourisme et des voyages, L'Harmattan

Modalité d’évaluation : CONTROLE terminal

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Les fondements du marketing touristique

Michel Tiard, 20 heures

Professeur Agrégé de Gestion Le contenu du cours tient compte des objectifs suivants : - l'acquisition de connaissances de base dans les domaines du marketing des services et du tourisme : notions de base, "boite à outils" marketing ; - l'application des concepts fondamentaux du marketing au contexte des entreprises et structures touristiques en tenant compte des différentes spécialités de M1; - la prise en compte du développement d'Internet et de la variété des clientèles des entreprises organismes et destinations touristiques en France.

Plan du cours 1 : les concepts de base Le "modèle d'affaires" / "business model" / Le marketing / La demande touristique / Les spécificités du marketing des services, du marketing touristique / La servuction / L'offre commerciale de services, la segmentation des clientèles et la communication des entreprises / Les filières / La "boite à outils" d'analyse de l'environnement de l'entreprise. 2 : la communication Marque / Identité / Notoriété / Image / Positionnement / Charte graphique. 3 : la gestion du produit touristique Les différentes approches du produit touristique / Le développement des produits / Portefeuilles d'activités et stratégies : la "boite à outils" d'analyse stratégique. 4 : l'accessibilité et la distribution des produits touristiques La distribution touristique / Niveaux de "visibilité" des produits / Evolutions de la distribution : distribution : multicanal/ omnicanal / cross-canal. 5 : les politiques tarifaires Evolution des prix et positionnement des produits sur le long terme / Variations de prix et action sur la demande / Politiques tarifaires / Le low cost / Le luxe. 6 : le marketing touristique sur internet Comportement des Internautes et marketing touristique / E-réputation / Réseaux sociaux / Stratégie des opérateurs / Infomédiaires 7- Le plan marketing / Le benchmark : présentation / applications

Bibliographie / sources documentaires Approfondissement des connaissances * Eric Vernette (2008) "L'essentiel du marketing - Marketing fondamental", Editions Eyrolles, 488 pages, 3e édition et suivantes. * Philip Kotler, Kevin Keller et Delphine Manceau (2012) "Marketing management", Pearson Education, 912 pages, 14e édition. * Lebon Yvelise, Van Laethem Nathalie et Durand-Megret Béatrice (2007) "La boîte à outils du Responsable marketing", Dunod, Collection La Boîte à Outils, 192 pages. * Frochot Isabelle et Legoherel Patrick (2007) "Le Marketing du tourisme", Dunod, 296 pages.

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Quelques recommandations … Inscriptions gratuites à des newsletters + Facebook / Twitter / flux d'informations * "Veille Info Tourisme" http://www.veilleinfotourisme.fr "La base d'information et de partage des connaissances du tourisme" : abonnement gratuit à la lettre d'information (menu de gauche). * MITRA (Mission d'ingénierie touristique Rhône-Alpes) http://pro.rhonealpes-tourisme.com * Revue "Espaces" http://www.revue-espaces.com + Newsletter gratuite Les revues et cahiers ESPACES peuvent être empruntés auprès du centre documentaire de l'IREST : sommaire des publications sur le site Internet d'Espaces. * "Odit France" / "Atout France" http://www.atout-france.fr De nombreuses publications de référence qui peuvent être empruntées auprès du centre documentaire de l'IREST.

Modalité d’évaluation : Une épreuve écrite d'1 heure 30 minutes lors des examens du 1er semestre. (Sujets des années précédentes communiqués dès le téléchargement du premier dossier "Filex")

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Gestion

Jean-Michel Chapuis, 25 heures

Maître de conférences en gestion, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, IREST L’introduction à la Gestion vise à faire découvrir des concepts et des outils simples afin de comprendre et maîtriser le fonctionnement d’une organisation telle qu’une entreprise dans l’industrie du tourisme. Le cours aborde les théories des organisations qui permettent d’appréhender l’Entreprise. Ensuite, le cours traite des principales disciplines constituant ce champ de connaissance de manière en vue d’en actionner les outils.

Programme du cours

1. Les théories (contractuelles) des organisations

2. Deux mots de stratégie d’entreprise

3. Les clefs du marketing

4. Le contrôle de gestion et le système d’information

a. Notions de coûts

b. Pilotage budgétaire

5. La base de la comptabilité

a. Formation du résultat

b. Fiscalité et patrimoine

6. Les enjeux de la finance

a. Un repas gratuit

b. Marchés financiers et modes de financement

7. Et les ressources humaines ?

Bibliographie indicative Morgan, G. (1986). Images of Organization. Newbury Park, CA: Sage Publications Inc. Gervais, M. (2009). Contrôle de Gestion, Économica, 816 p. Lendrevie, J., Lévy, J., Lindon, D. (2009). Mercator. 9ème édition, Paris : Dunod. Leroux, É. Pupion, P.C. (2014) Management du tourisme et des loisirs, Paris : Vuibert. Thibierge, C. (2013). Comprendre toute la finance. Paris : Vuibert..

Évaluation Examen terminal : durée 1h30

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UE2

Langues étrangères

SGEL

Les cours de Langue (Anglais + LV2) sont organisés en collaboration avec le Service de Langues de Paris 1 (SGEL). Contact : Département des langues (SGEL) Centre Pierre Mendès France, 90, rue de Tolbiac, 75013 Paris 7ème étage, bureau A702, ouvert de 9h30- 12h30 et 14h-16h30, fermé le vendredi après-midi Planning, test de niveau et ressources pédagogiques, tous les détails concernant le fonctionnement du Département des Langues : voir le site des langues : http://langues.univ-paris1.fr Début des TD : lundi 15 septembre 2014 Inscriptions en langues (niveau et choix LV2) : sur serveur RESERVALANG pour les langues obligatoires et les bonus : du jeudi 4 septembre 07h00 (horaire indicatif) au dimanche 27 septembre 23h59 Niveaux de langue Différents niveaux de langues sont proposés. Les étudiants sont repartis dans les groupes en fonction

de leur niveau linguistique. Voici la nomenclature officielle des niveaux de langue.

Niveau 1 (A1) Débutant première année exclusivement Peut comprendre et utiliser des expressions familières et quotidiennes ainsi que des énoncés très simples qui visent à satisfaire des besoins concrets. Peut se présenter ou présenter quelqu’un et poser à une personne des questions la concernant - par exemple, sur son lieu d’habitation, ses relations, ce qui lui appartient, etc. - et peut répondre au même type de questions. Peut communiquer de façon simple si l’interlocuteur parle lentement et distinctement et se montre coopératif. Niveau 2 (A2) Débutant deuxième année et faux débutants Peut comprendre des phrases isolées et des expressions fréquemment utilisées en relation avec des domaines immédiats de priorité (par exemple, informations personnelles et familiales simples, achats, environnement proche, travail). Peut communiquer lors de tâches simples et habituelles ne demandant qu’un échange d’informations simple et direct sur des sujets familiers et habituels. Peut décrire avec des moyens simples sa formation, son environnement immédiat et évoquer des sujets qui correspondent à des besoins immédiats. Niveau 3 (B1) Remédiation/consolidation Peut comprendre les points essentiels quand un langage clair et standard est utilisé et s’il s’agit de choses familières dans le travail, à l’école, dans les loisirs, etc. Peut se débrouiller dans la plupart des situations rencontrées en voyage dans une région où la langue cible est parlée. Peut produire un discours simple et cohérent sur des sujets familiers et dans ses domaines d’intérêt. Peut raconter un événement, une expérience ou un rêve, décrire un espoir ou un but et exposer brièvement des raisons ou explications pour un projet ou une idée. Niveau 4 (B2) Perfectionnement

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Peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités. Niveau 5 (C1) Perfectionnement et/ou langue appliquée Peut comprendre une grande gamme de textes longs et exigeants, ainsi que saisir des significations implicites. Peut s’exprimer spontanément et couramment sans trop apparemment devoir chercher ses mots. Peut utiliser la langue de façon efficace et souple dans sa vie sociale, professionnelle ou académique. Peut s’exprimer sur des sujets complexes de façon claire et bien structurée et manifester son contrôle des outils d’organisation, d’articulation et de cohésion du discours. Niveau 6 (C2) Perfectionnement et/ou langue appliquée Peut comprendre sans effort pratiquement tout ce qu’il/elle lit ou entend. Peut restituer faits et arguments de diverses sources écrites et orales en les résumant de façon cohérente. Peut s’exprimer spontanément, très couramment et de façon précise et peut rendre distinctes de fines nuances de sens en rapport avec des sujets complexes. Evaluation CC pour les niveaux N1 à N3. A partir de N4 : choix possible entre le contrôle continu (fréquentation du TD) et l’examen terminal (ET) Examens de la session 1 : Contrôle continu : les partiels ont lieu lors de la dernière semaine de TD de chaque semestre, soit celle du 15 décembre 2014 pour le S1 et celle du 13 avril 2015 pour le S2. L’examen terminal du 1er semestre est un ECRIT Dates : le samedi 10 janvier 2015 pour l’anglais et samedi 17 janvier 2015 pour les autres langues. L’examen terminal du 2ème semestre est un ORAL (1h de préparation écrite en salle + 20 mn de passage à l’oral) Dates : entre le lundi 4 mai et le samedi 16 mai 2015 Réservations des créneaux à distance sur serveur RESERVEXAM

Examens de la session 2, dits « de rattrapage » : En fonction du niveau et du semestre, les détails seront indiqués sur le site du département des langues. Rattrapage du 1er semestre : Niveaux 1, 2, 3 : Ecrit d’1h30 Niveaux 4,5, 6 et Master : Oral (1h de préparation, 20 mn d’entretien) Rattrapage du 2ème semestre : Tous les niveaux 1 à 6 : Ecrit d’1h30 Masters : Oral (1h de préparation, 20 mn d’entretien) Dates des examens de rattrapage : Ecrits : samedi 20 juin 2015 pour l’anglais et samedi 27 juin 2015 pour les autres langues Oraux : du 15 au 27 juin 2015. Réservation des créneaux sur RESEREXAM

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UE3

Les systèmes du tourisme et du patrimoine

Les acteurs du tourisme : les apports de l’approche systémique.

Yves Cornu, 12 heures

Consultant en organisation et stratégie d’entreprise, Directeur associé chez « Capgemini Consulting », Docteur en sciences politiques, L’objectif de ce cours est double : -dans un premier temps, former les étudiants à l’approche systémique au travers d’un mode de raisonnement « l’analyse stratégique des organisations et des systèmes », -afin, dans un deuxième temps, d’appliquer cette approche à différents types de « systèmes touristiques » (une destination touristique, le tourisme durable, un marché touristique international, …). Son ambition est d’aider les étudiants à mieux appréhender leur futur environnement professionnel grâce aux outils et apports de l’approche systémique. A l’issue de cette formation, les étudiants devraient être en mesure de : -maîtriser les outils et modes de raisonnement de l’analyse stratégique des organisations et des systèmes (L’ASO pour Analyse Stratégique des Organisations), -mieux comprendre les acteurs touristiques des systèmes touristiques français et les caractéristiques de l’environnement dans lequel ils évoluent. Les étudiants seront donc amenés à travailler simultanément sur une méthode de raisonnement et sur l’application de cette méthode à un objet concret d’étude : les systèmes touristiques.

Organisation du cours Temps 1 : Les spécificités du tourisme en tant que marché, zoom sur les caractéristiques du « tourisme territorial » - Introduction, prise de contact, recueil des attentes, présentation des objectifs et des contenus de l’enseignement, calage des modalités de fonctionnement. - Présentation d’un « point de vue » sur les spécificités du tourisme en tant que marché : zoom sur les principales caractéristiques du tourisme territorial, leurs implications méthodologiques et les notions clés associées. * Le tourisme en tant qu’économie est constitué d’une multitude de « marchés » * Le tourisme territorial est une économie -de « distribution » (notions d’assortiment, de flux, de zones d’émission des flux, de format de destination, …) -de « services » (notions d’expérience client, de parcours client, de « systèmes humains de prestation », …) - « singuliers » (notions de produits singuliers, de dispositifs de jugement, …) animés par des « dispositifs d’offres multi-acteurs » (notion de « systèmes d’action », de « systèmes humains de prestation », …) -liés à des territoires : la dimension géographique est incontournable.

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Le tourisme est une question de systèmes. Les marchés touristiques sont des « systèmes d’action organisée » (au sens sociologique du terme). Temps 2 : L’approche systémique, de quoi s’agit-il ? Présentation du mode de raisonnement systémique : - L’approche systémique : un mode de raisonnement, à l’initiative d’un observateur dans une position subjective, une méthode de réflexion et d’action qui traite conjointement des effets et des causes, un outil de compréhension et d’aide à l’action. - La notion de système (définition) : un ensemble dynamique d’éléments en relation, arbitrairement délimité, structuré, et finalisé, … - Les principes de l’approche systémique - Les propriétés d’un système - Approche systémique versus approche analytique - Modéliser pour agir, les principaux commandements de l’approche systémique Temps 3 : L’approche systémique : la boîte à outils (concepts et outils de l’analyse stratégique des organisations (l’ASO) - Présentation de la méthode d’analyse stratégique des organisations et des systèmes (l’AS0) : les notions d’acteurs, objectifs, contraintes, ressources, stratégies, arrangements, régulations, coûts, effets vertueux, effets pervers, jeux relationnels. - De la notion d’acteur à la notion de système d’action organisée grâce à l’utilisation de la « grille d’analyse stratégique des organisations et des systèmes » - Présentation des concepts et des techniques d’entretien et d’observation participante. Temps 4 : Comment faire en pratique : « l’approche systémique » appliquée à la compréhension du fonctionnement et au management des destinations touristiques (1/2).

Etude de cas : Développement durable et tourisme territorial ? La notion de réseau : l’analogie avec les « réseaux de soins » Les fondements de la compétence collective issue d’un travail en réseau : l’échange d’informations Les outils d’action au niveau d’une destination : - Modéliser le système d’action en tant qu’objet d’étude et d’intervention : appréhender la destination comme un système de distribution de services. - L’offre : un réseau de partenaires concurrents - La demande : flux, stratégies d’usages et consommateurs (les phénomènes d’échelles en sciences sociales) - Ouvrir le système sur l’extérieur : écouter le marché pour agir - Doter le système de mécanismes d’orientation et de régulation : évaluer pour piloter - Doter le système de leviers pour dynamiser et encadrer les initiatives des acteurs : - Agir en mode projet - Créer et piloter des réseaux pour mobiliser les acteurs - Innover : les règles du succès. Temps 5 : Comment faire en pratique : « l’approche systémique » appliquée à la compréhension du fonctionnement et au management des destinations touristiques (2/2). Exploration de la littérature touristique pour retrouver des « traces » de l’approche systémique La notion de gouvernance. Une analogie avec la notion de « systèmes productifs locaux » (les acteurs d’un SPL)

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Evaluation du cours

Méthodes pédagogiques Chaque séance se propose d’exposer un certain nombre de notions permettant d’analyser de manière dynamique le fonctionnement des « systèmes touristiques ». Exposés, études de cas, débats collectifs, … ces différentes méthodes de travail seront utilisées de manière complémentaire pour présenter et illustrer le mode de raisonnement exposé et son application aux différents types de systèmes touristiques. Valeur ajoutée de la formation et principaux critères d’évaluation à la disposition des étudiants : - être à même de questionner et d’analyser le fonctionnement de différents types de systèmes touristiques - maîtriser des démarches concrètes d’analyse systémique (l’AS0) - connaître des outils utilisés dans le domaine du conseil pour organiser des démarches de travail collectives et communiquer

Bibliographie (lectures indispensables) : -Amblard H. et al, « Les nouvelles approches sociologiques des organisations », Le seuil, Paris, 2004 -Bernoux Ph, « Sociologie des organisations », Le seuil, Paris, 1993 ; « Sociologie du changement dans les entreprises et les organisations », Paris, Ed du Seuil, Paris, 2004. Nombreuses réédition. -Schweyer François-Xavier, Levasseur Gwénola, Pawlikowska Teresa, « Créer et piloter un réseau de santé, un outil de travail pour les équipes », Ed. Ensp, Paris, 2004, 112 pages -Revue « Pour », n°28 -Les cahiers Espaces, n°47, Juin 1996, « Gestion des destinations : l’apport de l’analyse systémique au pilotage des destinations touristiques ».

Evaluation: contrôle continu. Réalisation d’une étude de cas – cette étude sera initiée dès le démarrage du cours et sera utilisée tout au long de la formation pour faciliter l’appropriation du mode de raisonnement. Remise du travail début 2015.

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Connaissance de l’économie touristique : acteurs publics, outils et méthode d’observation

Jean-Michel Blanc, 13 heures

Le cours a pour objet de sensibiliser aux processus de décision et d’évaluation qui exigent de connaître et maîtriser les bases de l’observation touristique, le vocabulaire, les concepts, leur utilisation. Le cours présente les grands indicateurs du tourisme, et des informations actualisées sur les acteurs « observateurs » du tourisme, les centres de ressources et sources de données économiques, les statistiques publiques et privées existant aux différents niveaux territoriaux. Les outils et méthodes d’observation économique du tourisme, pilotés notamment au niveau national, sont présentés et illustrés (enquêtes, dispositif de veille, services concepteurs d’études et de recherche …). Leur interprétation et les limites sont également abordées autour des données macro-économiques nationales. L’intervention vise à permettre de mettre en perspective la notion d’observation et son utilisation dans toute prise de décision. La démarche doit conduire chaque professionnel du tourisme à comprendre la démarche d’observation, de veille, et d’analyse, et à s’approprier cette démarche dans son cadre de travail.

Plan du cours

Introduction : Intelligence économique - définition d’un processus en 4 étapes

o Organiser (selon des axes stratégiques)

o Capter (collecter, rassembler, valider, trier, résumer)

o Exploiter

o Décider

1 - Indicateurs tourisme - chiffres clés

o structure de l’offre (caractéristiques de l’offre)

o structure de la fréquentation (indicateurs simples et combinés)

o caractéristiques des clientèles (segmentation, analyses par marché, enquêtes)

o données économiques (dépenses, impact direct et indirect, ratios de gestion)

- données conjoncturelles,

o enquêtes d’opinion auprès des acteurs (exemples)

o suivi permanent de l’activité sectorielle

� suivi permanent de l’activité sectorielle (les enquêtes de fréquentation)

• Enquête sur le suivi de la demande touristique des Français

• Enquête sur la fréquentation de l’hôtellerie et de l’hôtellerie de plein air

� les indicateurs majeurs de l’hôtellerie (RevPAR, RMC, TO)

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2 – Observation : pour l’action - La connaissance de l’environnement

o Connaissance de l’environnement juridique (code du tourisme…)

o Acteurs institutionnels du tourisme (approche)

- Le positionnement

- La gestion

- La communication

- Le développement

- Les relations publiques externes

Des sources et ressources fondamentales - Veilleinfotourisme

- Mémento du tourisme

- Analyse en commun de ressources clés :

o Les comptes du tourisme

o Autres publications nationales

3 - Bâtir ses propres indicateurs - Déterminer le cadre de son action

o Développement d’une entreprise, d’un territoire (Étude de marché,…)

o Elaboration ou Suivi d’une stratégie (Marketing territorial,…)

- Recenser les informations utiles

- Rechercher les sources ‘fiables’

o Sources internes

o Sources externes

- Construire ses données

- Analyser les données

Ouvrages de référence : - Mémento du tourisme : Ministère délégué au tourisme

- Le tourisme en France : collection INSEE références – édition 2008

- Etudes et travaux thématiques AFIT - ODIT France - Atout France

- Publications thématiques de la revue Espaces

Modalite d’évaluation Contrôle Terminal

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Patrimoine culturel, patrimoine naturel : quels enjeux aujourd’hui ?

Maria Gravari-Barbas, 20 heures

Architecte, Géographe, Professeur de Géographie à l’IREST Le cours aborde la notion du patrimoine dans ses différentes dimensions (culturelle/naturelle, tangible/intangible, monumentale/vernaculaire). Il montre le contexte de la mise en place de cette notion, au XIXe siècle, et son élargissement (thématique, spatial, chronologique) au cours du XXe et du XXIe siècle. Il vise à analyser les multiples dimensions (sociales, culturelles, économiques) d’une notion polysémique. Il aborde les enjeux qui sont liés au patrimoine : économiques, sociaux, culturels, touristiques.

Programme des cours

1: Les débuts du service du patrimoine en France / Du monument au monument historique. 2 : La construction sociale de la notion du patrimoine. 3 : Processus de patrimonialisation et société contemporaine 4 : Sites naturels et culturels, conservation et restauration : enjeux de la valorisation touristique 5 : Approches de restauration du patrimoine bâti monumental 6 : Le Patrimoine de l’Humanité : contours, approches et applications / 7 : Patrimoine intangible 8 : Paysages culturels urbains, gestion, mise en valeur, tourisme

Références bibliographiques : Choay (F), L'allégorie du Patrimoine, Paris, 1992 (1ère éd). Gravari-Barbas, (M)., Guichard-Anguis, S., 2003, Regards croisés sur le patrimoine à l’aube du 3

e

millénaire, Presses Universitaires de la Sorbonne Patin (V), Tourisme et Patrimoine, la Documentation Française, 2005 Rautenberg, (M.), La rupture patrimoniale, À la Croisée, 2003 Sire (M.-A.), La France du patrimoine, les choix de la mémoire, Paris, Gallimard Découvertes, n°291, 1996 (1ère éd). Veschambre (V.), 2008, Traces et mémoires urbaines, enjeux sociaux de la patrimonialisation et de la

destruction, PUR. Modalité d’évaluation Contrôle Terminal

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Atelier de mise en situation sur le terrain

Séverin Guillard, 7,5 heures

Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Sébastien Jacquot, 7,5 heures

Géographe, Maître de conférences à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Les ateliers de mise en situation sur le terrain constituent un travail en réponse à une commande par un organisme public ou privé, mettant les étudiants en situation d’études, d’analyse et de propositions, avec un certain degré d’autonomie. Cette commande fait l’objet d’une convention entre l’organisme commanditaire et l’IREST, détaillant un calendrier, des objectifs, des engagements. Pour l’année 2014 2015, une Convention est établie entre l’IREST (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne) et le CDT du Val de Marne, pour développer une réflexion sur la valorisation des bords de Marne via notamment un projet d’incription aux itinéraires culturels européens. Le premier semestre de cet atelier terrain qui s’étend sur l’année 2014 2015 est consacré à une phase de diagnostic à partir de sujets d’étude thématiques, notamment :

- Une réflexion sur les loisirs métropolitains autour des cours d’eau - Une réflexion sur les valeurs liées à l’identité et la culture européenne - A partir de l’étude de quelques itinéraires européens, une réflexion sur les territoires

européens susceptibles d’intégrer cet itinéraire Cette phase de diagnostic impliquera donc des synthèses documentaires, des entretiens avec des acteurs, des enquêtes de terrain, éventuellement lointains. Elle nécessitera une restitution finale sous forme de dossiers et de notes de synthèse, et la mise en œuvre de compétences à la synthèse, la rédaction, la mise en forme de documents, et la production d’illustrations cartographiques. Première séance : 16 septembre 17h 19h (S. Jacquot)

Références bibliographiques Il est indispensable de lire les documents suivants en amont des premières séances : CDT Val de Marne, 2e Schéma départemental du tourisme et des loisirs du Val de Marne, 2013 2018 + présentation PPT du schéma CDT Val de Marne, chiffres clefs : Chiffres clefs 2013 / Le tourisme fluvial en 2012 Comité des Ministres, Résolution CM-Res (2013)67 révisant les règles d’octroi de la mention « Itinéraire culturel du Conseil de l’Europe » Eleonora Berti, Les itinéraires culturels européens, un produit touristique culturel ?, compte rendu de conférences, IREST, cycle 2012 - 2013

Evaluation Les étudiants sont évalués en contrôle continu, par des rendus intermédiaires (premier rendu intermédiaire le 2 novembre) et un rapport à la fin du semestre, à remettre pour le 07 janvier au plus tard par mail à S. Guillard et S. Jacquot. Le travail est mené par groupes.

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Méthodologie de la recherche, pratique du projet de recherche

Sébastien Jacquot, 10 heures maître de Conférences en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Ce cours constitue une initiation aux pratiques de recherche, en vue de la préparation du mémoire de recherche. L’objectif est de permettre à chaque étudiant de construire une démarche de recherche, en formulant une problématique, des hypothèses, et en mettant en œuvre des méthodes appropriées. L’objectif est pour chaque étudiant de réaliser son premier rendu de mémoire, définissant un état de l’art et une problématique. Les séances seront consacrées à la présentation de méthodologies de recherches, et à la discussion des projets de recherche des étudiants.

Modalité d’evaluation

Premier rendu du mémoire, début janvier 2015. Bibliographie Becker Howard, 2002, Les ficelles du métier, comment conduire sa recherche en sciences sociales, La Découverte, Paris, 352 p. (Repères) Blanchet, Gotman, 1992, L'enquête et ses méthode. L'entretien, Nathan Université, 125 p. Weber Florence, Beaud Stéphane, 2003, Guide de l'enquête de terrain : Produire et analyser des données ethnographiques, La Découverte, Paris, 356 p.

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UE4

Territoires, stratégie de territoire et développement durable

Géographie du tourisme

Maria Gravari-Barbas, 17 heures

Architecte, Géographe, Professeur de Géographie à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Dimitra Kanellopoulou, 8 heures

ATER en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Programme des séances 1. Pour une géographie du tourisme

2. Typologie des lieux touristiques : quelles approches géographiques ?

3. Brighton, l’invention de la plage

4. La Montagne, imaginaire, projets, tourismes

5. Tourisme et ville : « le centre historique d'Athènes : une destination touristique renouvelée? Evolution historique, grandes étapes d’urbanisation, enjeux, acteurs, grands projets urbains) » (séance de D. Kanellopoulou)

6. « Les petites îles grecques : vers un développement touristique alternative? » (Contexte de l'essor du tourisme de masse en Grèce après les années 60, enjeux concernant la sauvegarde de l'authenticité de petites iles grecques, promotion d'une identité touristique alternative) (séance de D. Kanellopoulou)

7. Emergence, évolution des lieux touristiques : jeux et enjeux de l’adaptation socio-spatiale des lieux.

7.1. L’exemple de Las Vegas

7.2. Abu Dhabi et Dubaï à l’heure de l’économie post-pétrolière

8. La construction touristique d’une destination ancienne : l’exemple de Paris

9. Emergence, consolidation, et conflits d’une destination urbaine : l’exemple de Barcelone

10.Tourisme et régénération urbaine (Baltimore)

Références bibliographiques Coleman S. et Crang M. 2002, Tourism. Between Place and Performance, Berghahn Books, NY. Hall, M., Page, S., The Geography of Tourism and Rectreation. Environment, Place and Space, Routledge, 2006 (3ème édition) Gravari-Barbas, Jacquot, 2012, « Tourisme et géographie, une géographie du tourisme », Dans : Morisset, Sarrasin, Ethier, Épistémologie des études touristiques, Presses de l’Université de Québec. MIT, Tourismes 2, 2005, Moments de lieux, Belin, Mappemonde, Pearce, Douglas, 1993, Géographie du Tourisme, Nathan Université,

Modalité d’évaluation : Contrôle Terminal

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Management de territoires dans le cadre du développement durable

(en cours d’actualisation)

Hervé Passamar, 25 heures

Modalite d’évaluation Contrôle Terminal

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MODALITES DE CONTROLE : Semestre 1

UE 1 : Les outils de l’action touristique

Droit public appliqué au secteur touristique CC + CC Droit privé appliqué au secteur touristique CC + CT Droit communautaire appliqué aux

activités touristiques CC + CT Les concepts économiques fondamentaux CT Les fondements du marketing touristique CT Gestion CT


Anglais CC LV2 (au choix) CC

UE 3 : Les systèmes du tourisme et du patrimoine

Les systèmes d’acteurs du tourisme CC Connaissance de l’économie touristique : acteurs

publics, outils et méthode d’observation CT Patrimoine culturel, patrimoine naturel

quels enjeux aujourd’hui ? CT Atelier de mise en situation sur le terrain CC Méthodologie de la recherche CC

UE4 : Territoires et développement durable

Géographie du tourisme CT Management de territoires dans le cadre

du développement durable CT

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Semestre 2 M1 DATT

UE 1 : Sites et marchés touristiques (tronc commun) La mise en tourisme des sites 15 h Michel Tiard Les marchés du tourisme 15 h Xavier Decelle Economie du tourisme international 15 h Frédéric Thomas Etudes marketing 15 h Jean-Michel Chapuis Conférences de spécialités 15 h coord. Séverin Guillard


Anglais 18 h Service des Langues Paris 1 LV2 (au choix) 18 h Service des Langues Paris 1

UE 3 : Introduction à la conception et au montage de projets touristiques La notion de projet, types de projets 15 h Th. Decaudain Introduction à la conduite et à l’évaluation de projets

touristiques 10 h J.-M. Blanc (8), D. Kanellopoulou (2) Le cadre administratif et juridique des projets

Touristiques 15h A. Fuchs-Cessot Processus de montage de projet public / privé 15 h A. Raharinosy Politiques nationales et territoriales de développement

et d’aménagement touristique 20 h Sébastien Jacquot

UE4 : Développement et enjeux du tourisme dans l’espace urbain

Tourisme et espaces urbains 25 h S. Guillard (15), D. Kanellopoulou (10) Introduction à l’étude de la métropole touristique ;

outils et techniques d’observation de l’activité 20 h G. Chareyron (5), S. Jacquot (5), O. Ponti (10)

Tourisme et transport 15 h A. Beyer Atelier de mise en situation sur le terrain 15 h Séverin Guillard, S. Jacquot Stage

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UE1

Sites et marchés touristiques

Les politiques de mise en tourisme des sites

Michel Tiard , 20 heures

Le cours, qui s'adresse aux 4 spécialités de première année du master Tourisme, DATT / EDTI / GATH / VTSC, complète notamment le cours de marketing du 1er semestre, prérequis du présent cours de "Politiques de mise en tourisme des sites". Les politiques de mise en tourisme étudiées sont celles des différents acteurs impliqués dans la valorisation des sites touristiques. Il s'agit notamment de mettre en application des guides et outils méthodologiques, des indicateurs et des grilles d'audit, pour évaluer les politiques et les moyens que se donnent les acteurs étudiés en vue de définir et mettre en œuvre ces politiques (étude de marché, etc.) et pour interpréter les attentes des touristes et des populations locales. Les cas d'application visent à développer une approche critique des outils utilisés. Les "politiques de mise en tourisme des sites"

- la "mise en tourisme" : ce concept n'a pas une valeur universelle, il permet seulement d'insister sur une approche qui ne se limite pas à la seule commercialisation, les dimensions marchandes et non-marchandes étant prises en compte, de même que divers thèmes transversaux concernant le tourisme, dans une optique "développent durable" (toutes les "parties prenantes" ne sont pas concernées par la seule commercialisation, les seules transactions commerciales) ; - les "sites" : de l'équipement local à la destination "à géométrie variable" (du niveau local au niveau national, voire international) ; - la "politique" sera envisagée dans une optique marketing, mais avec les adaptations nécessaires, un territoire, une collectivité territoriale, ne pouvant être assimilés à des entreprises ; cette optique marketing implique la prise en compte de la demande dans la définition d'une politique. Les acteurs de cette politique sont de nature très variée : collectivités territoriales, gestionnaires de sites et établissements, structures touristiques dépendant des collectivités territoriales (OT, CDT, CRT, etc.), entreprises (le management du site / de la destination concernant des entreprises en zones d'accueil touristiques et en zones émettrices de touristes) Une attention particulière sera portée aux aspects méthodologiques - en plus d'une première séance consacrée à la "boite à outils" et connaissances de base du cours (les pré-requis), - des dossiers et études seront analysés, des documents de travail étant mis à la disposition des étudiants au moyen de dossiers "Filex". Evaluation Une épreuve écrite, durée : 1 heure 30 minutes, en fin de semestre. Plan de cours

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1/ La mise en tourisme des destinations, territoires, sites et établissements : Notoriété - Image - Positionnement - Vieillissement (une partie de ces éléments sont des rappels du cours de Marketing)

* L'analyse systémique du produit, de la servuction, de la destination * La méthodologie, les outils des études de Notoriété, Image, Positionnement et Vieillissement * Etudes de cas de sites, villes et régions 2/ L'attractivite des sites * Les facteurs de l'attractivité * Visibilité et lisibilité de l'offre des sites touristiques * Tourisme durable et mise en tourisme * Les réseaux d'établissements, de sites et de villes 3/ Les strategies de mise en tourisme * Le plan marketing d'une destination * Les outils de l'analyse stratégique * Les stratégies touristiques des territoires * Prospective et stratégies * La programmation par les acteurs du marché des voyages 4/ La perception des sites et du patrimoine * Perception des sites et monuments par les publics et visiteurs * Perception du patrimoine rural / du patrimoine européen * Les "itinéraires" de visiteurs * Sur quoi communiquer ? (Communication sur l'établissement, le site vs la communication sur l'immatériel) 5/ Territoires et évenements * Evénements et communication des territoires * Evénements et grandes métropoles * Bilans d'événements (exemple : Impact économique de l’exposition "Cézanne en Provence" - 2006) 6/ Une forme specifique de mise en tourisme : l'ouverture au public Du patrimoine privé * Le cas des Journées Européennes du Patrimoine * Ouverture du patrimoine privé et tourisme : milieu urbain (les "traboules" de Lyon), espaces verts, etc.

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Les marchés du tourisme

Xavier Decelle, 20 heures

Maître de Conférences de Sciences économiques, IREST, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Plan du cours � les marchés touristiques et l’analyse théorique du marché

11 les mécanismes de marché : l’ajustement de l’Offre et de la Demande 12 les formes de marché :

• concurrence pure et parfaite et spécificités du secteur touristique

• le monopole naturel et l’industrie des transports

• le monopole discriminant : le yield management

• les marchés contestables et la libéralisation des transports aériens

• la concurrence imparfaite : concurrence monopolistique et différenciation : tour-opérateurs et stratégies de niche

• la concurrence spatiale : l’enjeu de la localisation

• l’oligopole simple, l’oligopole différencié, l’oligopole à frange concurrentielle

� les fondamentaux de la compétitivité des firmes touristiques

21 les fondements du comportement optimal de la firme

• les coûts : de CT, de LT : application aux différents secteurs du tourisme

• productivités et rendements : rendements croissants d’échelle, d’envergure, économies d’apprentissage, effets externes, économies de réseau : leur réalité dans l’indutrie touristique

22 avantages concurrentiels prix et rentabilité des firmes du secteur touristique

• les prix des produits touristiques

• la rentabilité des firmes touristiques

�� la structure de l’industrie touristique 31 approche générale du phénomène de concentration

• formes, barrières à l’entrée, marchés contestables

• significations : paradigme S/C/P, pouvoir de marché

• mesure : indicateur de concentration, d’Herfindhal, coefficient de Gini 32 la concentration de l’industrie touristique

• le dualisme du secteur de l’hôtellerie-restauration : importance des PME, évaluation de la concentration dans les chaînes intégrées et volontaires

• les tour-opérateurs : structure oligopolistique ou marché contestable ?

• la concentration du secteur aérien après sa déréglementation

• les grands réseaux d’agences de voyages Bibliographie

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Stafford Jean (1999) Microéconomie du tourisme, Presses de l'Université du Québec Varian H.R. (1992) introduction a la microeconomie, De Boeck Béatrice de la Rochefoucauld (2007) Economie du tourisme, Bréal 2007 Jean-Louis Caccomo (2007) Fondements d'économie du tourisme, Acteurs, marchés, stratégies,

deboeck 2007

Modalites d’evaluation : Contrôle terminal

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Economie du tourisme international

Frédéric Thomas, 15 heures

L’objectif de ce cours est une introduction aux grands principes de l’économie appliqués au tourisme avant de présenter les grandes tendances, acteurs et mécanismes du tourisme international. La dernière partie du cours pose les questions de l’utilisation et de la gestion des ressources naturelles par les acteurs publics et privés du secteur. Ce cours implique la prise en considération d’une triple dimension à propos phénomènes complexes : analyse économique, analyse sociale et environnementale, perspective historique. I. Définition, contexte et méthodologie de l’analyse économique du tourisme

1. La nature des aspects économiques du tourisme

• Ressources et besoins

• Rareté et choix

• Coût d’opportunité

• Mécanismes d’allocation

• Macroéconomie et microéconomie

• Analyse différentielle (margin analysis) 2. Méthodologie de l’analyse économique

• L’approche scientifique des sciences sociales

• Modèles économiques II. L’économie du tourisme international

1. Le tourisme, facteur de croissance économique

• Les chiffres du tourisme international

• Les méthodes de classement

• Croissance, avantages comparatifs et compétitifs 2. L’environnement commercial du tourisme international 3. Distribution des richesses et déséquilibres

• Disparité croissante entre les groupes internationaux et les entreprises familiales

• Facteur de développement ou de déséquilibre III. Le tourisme – consommateur de richesses naturelles

1. Le tourisme sans pétrole 2. Le tourisme, consommateur des espaces et ressources naturelles: Consommation des

espaces, des ressources et aménagement territorial 3. Les responsabilités publiques face au fonctionnement indépendant du tourisme

• Dynamiser le secteur touristique

• Pérenniser les performances du secteur au profit des générations futures et mise en place d’une politique de tourisme durable/responsable

Modalité d’évaluation : examen Bibliographie Aisner P. et Plüss C. (1983). La ruée vers le soleil: le tourisme à destination du tiers monde, L'Harmattan, Paris.

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Babou I. et Callot P. (2012). Que serait le tourisme sans pétrole? Tourisme et sociétés. Ed. Harmattan. Carson C. L. et Lickorish L. J. (1997). “An introduction to tourism”, Oxford: Butterworth and Hermman. Curtis S. et Knowles T. (1999). “The market viability of European Mass Tourist Destinations: A post stagnation life-cycle analysis”, International journal of tourism research, Vol. 1. Dehoorne O. (2002). Tourisme et migration, entre logiques des marchés et système des mobilités : revue Bibliographique in revue européenne des migrations internationales, vol 18, 1. Dewailly J. M. (1999). “Sustainable tourist space: from reality to virtual reality?”, Tourism Geographies, vol. 1(1). Dwyer, L., P. Forsyth, et al. (2010). Tourism Economics and Policy. Channel view publications. Forster J. (1964). “The sociological consequences of tourism”, International journal of comparative sociology, n°5. Graburn N. (1983). “The anthropology of tourism”, Annals of tourism research, 10(1). Hillali, M. (2003). Le tourisme international vu du Sud, Presses de l'Université de Québec. Krippendorf, J. (1986). "Tourism in the system of the industrial society." Annals of Tourism Research 13: 517-532. Lanfant M.F. (1980). Introduction: Tourism in the process of internationalization. Revue Internationale des sciences sociales, The Anatomy of Tourism, Vol. (XXXII), p 14-44. OCDE (2010). Tourisme 2020: les politiques pour promouvoir la compétitivité et le développement durable du tourisme (chapitre 2) dans les tendances et politiques du tourisme de l’OCDE (2010). Poon A. (1989). “Competitive strategies for a new tourism”, Progress in tourism, recreation and hospitality management, London: Belhaven press, vol. 1, 1989. Sheldon P. (1986). “The tour operator industry: an analysis”, Annals of tourism research, 13(3). Sinclair T. (1989). “The economics of tourism”, Progress in tourism, recreation and hospitality management, London: Belhaven press, vol. 1, 1989. Towner J. et Wall G. (1991). “History and tourism”, Annals of tourism research, vol. 18. Tribe, J. (2011). The economics of recreation, leisure and tourism, 4th edition, Butterworth-Heinemann. Vellas F. (2007). Économie et politique du tourisme international, ed. Economica, Paris. Wang N. (1999). “Rethinking authenticity in tourism experience”, Annals of tourism research, vol. 26, n°2. Cette liste n’est pas bien sûr exhaustive mais la lecture d'un ou de plusieurs de ces ouvrages peut être une excellente entrée en matière.

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Etudes marketing

Jean-Michel Chapuis

Maître de conférences en gestion, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, IREST L'objectif de ce cours est de préparer les étudiants spécialisés en Tourisme aux études et recherches marketing dans le domaine du tourisme. Le processus des études se compose des étapes suivantes : Concevoir, Explorer, Recueillir, Mesurer, Décrire, Vérifier. En particulier, le cours aborde les statistiques descriptives et explicatives et permet d’appréhender la notion d’inférence. Le cours est illustré par une étude concrète de satisfaction des touristes dans un parc de loisirs. Contenu : 1. Rappel marketing (1h) + objectifs et méthodologie des études (3h) 2. Inférence statistique (données, estimation…) (5h) 3. Tests statistiques (X², t-test, ANOVA…) (5h) 4. Introduction à l’analyse factorielle (1h) Modalité d’évaluation : contrôle terminal, durée 1h30 Bibliographie Evrard Y., B. Pras ET E. Roux, (2003) Market : études et recherches en marketing, Nathan. Grawitz M. (2001) Méthodes des sciences sociales, Précis Dalloz.

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Conférences de spécialistes Coordination : Maria Gravari Barbas, Séverin Guillard Depuis plusieurs années, l’IREST organise un cycle de conférences animées par des professionnels et des chercheurs, sur des grandes questions d’actualité touristique, patrimoniale et culturelle. Conçues comme des forums d’échange et de débat, ouvertes aux professionnels, aux chercheurs et aux étudiants s’intéressant aux problématiques touristiques, les conférences seront suives d’un échange avec le public. Ces conférences donnent lieu à des comptes rendus publiés sur le site de l’IREST : http://www.univ-paris1.fr/ufr/irest/conferences-de-lirest/ Trans-spécialités, elles visent à sensibiliser les étudiants aux enjeux contemporains du tourisme, et à les mettre en contact de professionnels de haut niveau, de France et de l’étranger. L’assiduité à toutes les conférences est obligatoire (listes d’émargement). Chaque conférence donne lieu à un compte rendu, réalisé par un groupe d’étudiants d’une spécialité. Mode d’évaluation : contrôle continu (1/3) + examen terminal Le contrôle continu consiste en la réalisation, par un groupe d’étudiants d’une spécialité, du compte-rendu d’une conférence (cf annexe, réaliser le compte-rendu).

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Programme des conférences Lieu : Amphithéâtre Descartes, Sorbonne, 17, place de la Sorbonne, 75005 Paris Horaire : les mercredi, de 18h00 à 20h00

Date Nom Institution Titre Conférence

17/09 Frédéric PIERRET Directeur Général, Alliance 46.2 Le tourisme est-il devenu un enjeu stratégique ?

24/09 Thierry DECAUDAIN Directeur associé, Horwath HTL France, Kanopée Consultants

Nouvelles tendances du tourisme sportif

1/10 Laurent QUEIGE Directeur, Welcome City Lab Le Welcome City Lab, un nouvel outil au service de l’innovation dans le domaine du tourisme

8/10 Aurelio MAURI Associate Professor of Marketing at IULM University, Milano

Les comportements des touristes sur internet

15/10 Serge TRIGANO Mama Shelter L’expérience Mama Shelter

5/11 Michael DUARTE Chargé de Développement Comité Départemental du Tourisme de Seine-Saint-Denis

Le tourisme alternatif dans le 93

12/11 Sébastien VALENTIN Vice-président finance Accor Les finances internationales en hôtellerie

19/11 Alice FUCHS-CESSOT Juriste, Maître de conférences à l'université Paris 8

Les communes touristiques victimes de la décentralisation ?

26/11 Hélène SALLET-LAVOREL

Directrice CDT Val de Marne L’intervention des Départements dans le développement touristique des territoires : le cas du Val-de-Marne

3/12

Frédéric NEBOUT Office de Tourisme Epernay OT Epernay ‘Pays de champagne’ – un

nouveau modèle économique –

10/12 Jean Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and

Travel Industry Sales, Europe, Four Seasons Hotels et Resorts

Mythes et réalités du marché hôtelier de luxe

17/12 Valéry LORRIC

Event Director

EFFICIO EVENT Tourisme d’affaires & Evénementiel, convergences & spécificités

21/01 Alice JUDE Experte indépendante, ancienne gestionnaire du réseau européen NECSTouR

Politique européenne du tourisme, enjeux pour les acteurs publics et privés

28/01 Deirdre SHURLAND Coordinator - Global Partnership for Sustainable Tourism UNEP DTIE

The Challenges of Sustainable Tourism: Requirements for Effective Implementation

18/02 Julien BUOT Directeur, ATR (Agir pour un Tourisme Responsable)

Panorama et enjeux du tourisme responsable en France

4/03 Laurence JEGOUZO et Valérie BONED

MCF à l’Université Paris 1 Directrice du SNAV

La directive voyage à forfaits : quelles évolutions européennes ?

Code couleur des spécialités en charge du compte rendu : GSVT DATT EDTI GATH

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UE2 : Langues étrangères :

SGEL

Voir fiche du semestre 1

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UE3 : Introduction à la conception et au montage de projets touristiques

La notion de projet, types de projets

Thierry Decaudain, 15 heures

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Introduction à la conduite et à l’évaluation de projets touristiques (en cours d’actualisation)

Jean-Michel Blanc, 8 heures


Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Objectifs Modalité d’évaluation Bibliographie

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Le cadre administratif et juridique des projets touristiques

Alice Fuchs-Cessot, 20 heures

Juriste, Maître de conférences à l'université Paris 8 Le cours aborde la question de l’encadrement des projets touristiques dans ses différentes dimensions juridiques. Il présente ainsi les spécificités des projets touristiques portés par des personnes publiques et ceux portés par des personnes privées. Par ailleurs plusieurs paramètres juridiques seront étudiés qui doivent être pris en compte lorsqu’il s’agit de déterminer les différents contrats administratifs ou privés envisageables pour mener à bien un projet touristique. Enfin ce cours présente les contrôles exercés par les juges administratifs et judiciaires sur les projets touristiques. 1) La diversité des projets touristiques des personnes publiques

1-1) Les compétences tourisme des personnes publiques 1-2) La notion de service public du tourisme 1-3) La commercialisation de produits touristiques (le cas des offices de tourisme)

2) La diversité des projets touristiques des personnes privées

2-1) Les projets purement commerciaux 2-2) Les projets liés au service public du tourisme

3) Les paramètres juridiques des projets touristiques

3-1) La nature de l’activité projetée (activité publique ou activité privée) 3-2) Le régime du foncier (domaine public, domaine privé, propriété privée) 3-3) Le régime de la maîtrise d’ouvrage (publique ou privée) 3-4) La procédure applicable (commande publique, appel à projet)

4) Les contrats envisageables pour la réalisation d’un projet touristique

4-1) Dans le cas d’une activité publique (marché public, délégation de service public, contrat de partenariat, concession de travaux publics, autorisation d’occupation temporaire du domaine public, bail emphytéotique administratif) 4-2) Dans le cas d’une activité privée (bail emphytéotique privé, bail commercial, bail à construction, autorisation d’occupation temporaire du domaine public, bail civil)

5) Le contrôle juridictionnel des projets touristiques

5-1) Le contrôle du juge administratif 5-2) Le contrôle du juge judiciaire

Modalité d’évaluation : Contrôle Terminal (cas pratique) Bibliographie F. Benech, J.L Boulin et E. Fabing, « Offices de tourisme : la vente de prestations hors territoire de rattachement », Juristourisme n°153, mai 2013, p.37-39. A. Fuchs-Cessot, « Intercommunalité et tourisme », colloque mai 2013, Université Paris I, en ligne sur le site du SERDEAUT. L. Jégouzo, Le Droit du tourisme, Lextenso, 2012. « Montages public-privé et tourisme », Cahier Espaces n°105, Editions Espaces tourisme & loisirs, Juin 2010 - 150 pages.

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Processus de montage de projet public/privé

Andria Raharinosy, 20 heures

Consultant en Développement Touristique La conception et la mise en œuvre des projets touristiques, et plus spécialement les projets structurants, impliquent plusieurs acteurs tels que les collectivités, les financeurs, les exploitants, les entreprises du BTP, etc. Le tourisme devient ainsi un domaine où secteur public et secteur privé sont inséparablement liés. En tout cas le recours au partenariat public-privé est fréquent de nos jours. Cette multiplicité des intervenants aux enjeux pas forcément convergents et la complexité du processus imposent donc de distinguer et de bien comprendre dès le départ et ensuite tout au long du processus le rôle et la mission assignés à tous ces acteurs. L’approche privilégie également la mise en évidence des contraintes et des facteurs clés de succès de toutes les phases de mise en œuvre. Le tout illustré par des expériences, qui constituent autant de cas d’école pouvant faciliter l’intégration et la compréhension de ces rouages complexes. Plan du cours 1 : Introduction Décrypter les éléments de complexité des projets 2 : Phase 1 Cadrage par la collectivite Explorer les éléments constitutifs du projet : l’intention de la collectivité, le foncier, les moyens de la collectivité et le mode de gestion souhaité 3 : Phase 2 Evaluation par le secteur prive Mesurer le contexte concurrentiel du projet et identifier les partenaires potentiels 4: Phase 3 Constitution d’equipes de projet Choisir le chef de projet, identifier les compétences requises, définir une gestion des compétences, établir un calendrier, fixer les règles de fonctionnement 5 : Phase 4 Prefiguration Valider l’attractivité marketing et commerciale du concept envisagé et traduire l’intention de la collectivité en éléments de programme 6 : Phase 5 Avant-Projet Modéliser et valider les hypothèses faites pendant la phase de préfiguration 7 : Phase 6 Finalisation Du Projet Finaliser la contractualisation avec les investisseurs 8 : Phase 7 Mise en œuvre du projet Programmer les chantiers 9 : Phase 8 Controle Identifier les outils d’évaluation des actions 10 : Applications Illustrer le cours par des expériences concrètes Bibliographie AIM Roger, 2009, Conduire un projet à l’usage des PME, PMI, TPE et des collectivités territoriales, AFNOR Editions MULLER Jean-Louis, 2009, Management de projet, AFNOR Editions ODIT France, 2005, Projets touristiques et de loisirs : les processus de montage en coproduction public-privé, Coll : Ingénierie Touristique Mini-guide ODIT France, 2006, Projets touristiques et de loisirs : 50 clés pour réussir une négociation public-privé, Coll : Ingénierie Touristique Mini-guide

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Modalité d’évaluation : Remise d’un dossier consacré à l’analyse d’un cas réel. Dossier à réaliser en petits groupes de 2 à 4 étudiants

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Politiques nationales et territoriales de développement et d’aménagement touristique

Sébastien Jacquot, 20 heures

maître de Conférences en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Ce cours vise à comprendre les enjeux et mutations de l’aménagement touristique, en examinant tout d’abord ses nouveaux principes, syntones avec les mutations de l’aménagement territorial de façon plus large : pregnance de la dimension stratégique et du cadre structurant du projet, de la contractualisation entre échelons territoriaux et acteurs publics et privés, étiolement du rôle de l’Etat dans l’aménagement touristique et rôle structurant des territoires locaux, … Il s’agit de comprendre que derrière l’idée du mille-feuille institutionnel se trouve un nouveau modèle de l’action publique touristique, générateur aussi de nouveaux territoires de l’action touristique. Ensuite sont examinés les possibilités d’un aménagement touristique local, à travers ses stratégies et outils. Enfin est examinée la problématique transversale de la gestion par l’aménagement touristique de l’existant (friches, reconversions des stations touristiques, espaces naturels …). Le cours concerne l’aménagement essentiellement en France et en Europe, mais avec en contrepoint des exemples pris dans d’autres régions du monde. Plan du cours Chapitre 1 : Introduction : Aménagement et tourisme, une relation renouvelée ?

• Nouveaux enjeux et tendances de l’aménagement

• La prégnance de la dimension stratégique et du projet

Chapitre 2 : Un mille-feuille institutionnel ? • Quelle place pour l’Etat ?

• La contractualisation (entre région et Europe)

• Les nouveaux territoires de l’aménagement touristique (intercommunalités et territoires de

projet)

Chapitre 3 : L’aménagement touristique local • L’urbanisme stratégique et réglementaire

• Aménagement touristique et projets de territoire

• La dimension touristique des approches sectorielles

Chapitre 4. Gérer l’existant • Les opérations de requalification

• Les stations touristiques : entre patrimonialisation, réhabilitation et renouvellement

• L’aménagement touristique en milieu protégé : l’exemple des UTN et des projets au sein des

territoires de protection

Modalité d’évaluation : examen Bibliographie

Ashworth, G.J. & Tunbridge, J.E., 2000. The tourist-historic city : retrospect and prospect of managing

the heritage city, Amsterdam; New York: Pergamon.

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Gravari-Barbas, M., 2013. Aménager la ville par la culture et le tourisme, Paris: Moniteur.

Knafou, R., 1978. Les stations integrees de sports d’hiver des alpes francaises : l’amenagement de la

montagne a la francaise., Paris: Masson.

Le Galès, P., 2003. Le retour des villes européennes : sociétés urbaines, mondialisation,

gouvernement et gouvernance, Paris: Presses de sciences po.

Merlin, P., 2008. Tourisme et aménagement tourisique, des objectifs inconciliables ?, Paris.

Pinson, G., 2009. Gouverner la ville par projet : urbanisme et gouvernance des villes européennes,

Paris: Presses de Sciences Po.

Vlès, V., 2006. Politiques publiques d’aménagement touristique: objectifs, méthodes, effets, Pessac

(Gironde): Presses universitaires de Bordeaux.

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Tourisme et espaces urbains

Séverin Guillard, 15 heures



Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Par une exploration poussée de la littérature scientifique et de nombreuses études de cas, ce cours aura pour objectif de s'interroger sur la rencontre entre les phénomènes touristiques et les espaces urbains. Il s'agira d'observer ces interactions en prenant en compte la diversité des lieux (de la station aux métropoles) et des espaces urbains (en Europe, Amériques, Asie...) afin d'acquérir une culture des lieux touristiques urbains dans le monde. A travers ce cours, on abordera principalement les questionnements suivants : - Comment le tourisme investit et subvertit l’espace urbain ? - Comment le tourisme crée-t-il des espaces urbains ? - Quels sont les enjeux, notamment sociaux, des pratiques touristiques urbaines ? - Comment les espaces urbains sont-ils aménagés et mis en scène pour le tourisme ? - Comment le tourisme participe-t-il de la diffusion spatiale de l’urbanité ? Une partie du cours sera par ailleurs consacré à des enquêtes de terrain dans le cadre d'un projet mené en collaboration avec le LabEx DynamiTe, une composante du PRES Hesam Université. Le LabEx développe actuellement un projet sur la rue et ses usages patrimoniaux à Paris en 2030. Dans ce cadre, les étudiants auront pour tâche d'analyser la patrimonialisation de certaines segments de rues parisiennes afin d'établir un recensement des usages et du bâti de ces espaces dans le temps. La restitution de ces enquêtes composera l'un des modes d'évaluation du cours. Références bibliographiques - Philippe Duhamel et Rémy Knafou (dir.), Mondes urbains du tourisme, Belin, Paris, 2007 - Equipe MIT, Tourismes 2, Moments de lieux, Belin, Paris, 2003 Modalités d’évaluation - Contrôle continu : compte-rendu des enquêtes de terrain

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Introduction à l’étude de la métropole touristique ; outils et techniques d’observation de l’activité

Gael Chareyron, enseignant-chercheur en informatique, ESILV, EIREST (5H)

Sébastien Jacquot, maître de Conférences en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (5H)

Olivier Ponti, responsable du département Recherche, Amsterdam Marketing. Président du groupe de travail « Recherche & Statistiques » du réseau European Cities Marketing.. (10H)

Dans un secteur professionnel où l’intelligence économique joue un rôle de plus en plus important, il est essentiel pour le développement du tourisme en métropole de savoir d’une part où trouver l’information existante et d’en connaître les limites et, d’autre part, de disposer des compétences nécessaires pour créer de l’information, notamment statistique, la traiter et l’utiliser efficacement. Ce cours est composé de deux parties. Une première partie (G. Chareyron, S. Jacquot) détaille l’usage possible des données issues du big data au service de la connaissance des pratiques touristiques, à partir des données mises en ligne par les touristes eux-mêmes sur les réseaux sociaux. Une seconde partie (O. Ponti) est consacrée aux dispositifs d’observation statistique et de veille, et présente le déroulé d’une enquête et analyse statistique de pratiques touristiques métropolitaines. Partie 1 : Big data et connaissance des pratiques touristiques : Chareyron / Jacquot (10 heures)

Cette séquence présente un panorama général des sources de connaissance des pratiques

touristiques, permettant d’appréhender l’intérêt de méthodologies de collecte et d’analyse des

données issues des réseaux sociaux, mises en ligne par les touristes eux-mêmes (les traces

numériques). Ces données sont issues de Flickr, Panoramio, Tripadvisor, Hotel.com, représentant une

masse considérable à l’échelle mondiale de données sur les lieux visités mais aussi les visiteurs et la

façon dont ils rendent compte de leur visite. Analyse géostatistique à partir des métadonnées

associées et analyse de contenu permettent ainsi à la fois de caractériser objectivement les pratiques

et selon le sens que leur attribuent les touristes.

Les étudiants sont évalués pour cette séquence à partir d’un exposé oral présentant les résultats tirés

d’une analyse exploratoire de données numériques caractérisant une pratique touristique dans une

métropole de leur choix.

10 février 14h17 SJ Introduction : sources de la connaissance des pratiques touristiques

12 fevrier 16h30 19h GC Big data et tourisme : présentation

2 mars 15h30 18 SJ (GC ?) Séance de TD

16 mars 14 17 GC + SJ Présentation des études par les étudiants (noté)

Partie 2 : Observation et veille statistique : O. Ponti (10 heures). Le cours explore la diversité des dispositifs d’observation statistique et de veille concurrentielle en place en Europe de façon à faire acquérir aux étudiants les connaissances et les réflexes nécessaires pour se livrer à l’exercice difficile des comparaisons internationales. Il les forme également aux techniques d’enquête dans toute leur diversité (enquêtes image, études d’impact économique, ROI

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marketing, enquêtes de satisfaction, etc.) et leur permet d’obtenir une expérience pratique en travaillant directement sur des bases de données. Enfin, une attention toute particulière est portée aux problématiques de communication des données statistiques (infographie, écueils à éviter, approche critique vis-à-vis de l’information présentée). Le cours s’appuie sur de nombreux exemples puisés dans les principales métropoles touristiques ayant développé des outils d’observation de l’activité innovants ou particulièrement performants. Le cours s’articule autour des thèmes suivants :

- Utiliser au mieux l’information existante (panorama des dispositifs d’observation utilisés par les métropoles touristiques)

- Mettre en place un dispositif d’observation (choisir un type d’enquête et les techniques appropriées, constituer un échantillon, construire un questionnaire)

- Traiter les résultats d’une étude (construire une base de donnée, redresser les résultats, segmenter, modéliser)

- Présenter les résultats (adapter le contenu et les supports au public cible, utiliser l’infographie)

- Développer une approche critique vis-à-vis des statistiques Séances : 2 mars (9-13h), 30 mars (9h30-12h30), 13 avril (9h-12h) Références bibliographiques Amsterdam Tourism & Convention Board, Amsterdam Visitors Profile 2012. Amsterdam Marketing, Amsterdam as a convention destination, Key Figures 2014.Bernadet, Maurice, Les dispositifs statistiques d'observation de l'activité touristique de niveau national.

Présentation et évaluation. Chareyron, Gaël, Saskia Cousin, Daniel Gabay, Sébastien Jacquot, Jérôme Da-Rugna. 2014. “La métropole du data mining : ce que l’exploration du web nous apprend des pratiques et imaginaires métropolitains”, Les cahiers de la métropole : p. 54-57. Mazanec, Josef, Wöber, Karl, Analysing international City Tourism, 2009. Numéro 316 revue espaces, coord. Claudine Desvignes et Sébastien Jacquot, dossier les nouveaux

outils de l’observation touristique

Modalité d’évaluation : contrôle continu en deux étapes Exposé oral sur les pratiques touristiques à partir de l’analyse exploratoire des données issues du big data (50%) (date de passage : 16 mars) Conduite d’une enquête et traitement statistique des résultats : remise d’un dossier à O. Ponti (50%)

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Tourisme et transport

Antoine Beyer, 15 heures (mutualisé avec le M1 EDTI)

Géographe des transports, MCF UFR de géographie et d’aménagement/ Paris-Sorbonne Objectif du cours La banalisation et la multiplication des déplacements conduit à appauvrir l’imaginaire des transports comme élément du voyage. La durée du transport est au mieux vécue comme un moment de transition, un temps d’ajustement entre deux rythmes, deux espaces. Partant du constant de cette disjonction croissante, on peut alors s’interroger sur la nature des qu’entretiennent les deux termes et la possibilité de réinventer une transition de l’un à l’autre. Plan du cours 1. Système de transport et tourisme 1.1 Mobilité/Déplacement/Transport/Voyage/Itinérance 1.2 Cadrage statistique 1.3. Tourisme et effet de distance 1.4. Tourisme et choix du mode de transport 1.5. Les nouvelles pratiques de la mobilité touristique : réinventer l’alliance transport et voyage 2. Transport et structuration des espaces touristiques 2.1 La contribution historique des transports dans la construction des territoires touristiques 2.2 Rendre les lieux du transport accueillants au touriste 2.3 La gestion des transports sur les sites touristiques 3. Stratégie touristique des acteurs du transport 3.1 La tendance low cost 3.2 Les compagnies aériennes « low cost » dans le transport aérien 3.3 La croisière : nouvelle cible des low cost 3.4 Le hub aérien support d’une stratégie de développement touristique 3.5 Le développement du tourisme de croisière 3.6 L’ouverture à la concurrence du transport international 4. Le moyen de transport comme agrément du voyage 4.1 Transport et perception des paysages 4.2 Les trains touristiques 4.3 L’essor du transport fluvial 4.4 Le cyclotourisme, nouvel Eldorado ? 5. Infrastructures de transport et aménagement touristique 5.1 Tourisme et transport public local 5.2 Tourisme et grandes infrastructures de transport 5.3 Grand événement : gestion de la masse et investissement dans l’offre de transport 5.4 Transport et développement touristique durable References Bibliographiques Cahiers Espaces n°108, Tourisme sur la route, mai 2011

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Cahiers Espaces n°100, Nouvelles mobilités touristiques, mars 2009 Espaces n°284, Mise en tourisme des voies navigables, sept. 2010 Gordon A., Naked Airport. A cultural History of the World’s Most Revolutionary Structure, The University of Chicago Press, Chicago, 2004, 305 p. Hall D. R., « Conceptualizing tourism transport : inequality and externality issues », Journal of Transport Geography, 7 (1999), p. 181 - 188. Illich I., La convivialité, Seuil, 1973, 157 p. Lumsdon L., Page S. J., Tourism and transport. Issues and agenda for the new millenium, Elsevier, 2004, notamment chapitre 1 “Progress in Transport and Tourism research : Reformulating the Transport - Tourism Interface and Future Agendas », p. 1- 27. Pine, J. and Gilmore, J. (1999) The Experience Economy, Harvard Business School Press, Boston, 1999. Preston J., « Integrating transport with socio-economic activity – a research agenda for the millenium », Journal of Transport Geography, 9 (2001), p. 13-24. Schukert M, Müller S., « Erlebnisorientierung im touristischen Transport am Beispiel des Personenluftverkehrs », in Weiermair K., Brunner-Sperdin A., Erlebnisinszenierung im Tourismus, Erich Schmidt Verlag, Berlin, 2006, p. 153 – 166. Viard J., Court traité sur les vacances, les voyages et l’hospitalité des lieux, Wackermann G., Transport et tourisme, SEDES, Paris, 1995, 280 p. Modalité d’évaluation Contrôle terminal Dissertation sur un thème de réflexion portant sur la relation entre tourisme et transport dans une dimension appliquée.

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Travaux de terrain et SIG

Sébastien Jacquot 5 heures

Maître de conférences en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Séverin Guillard 15 heures

ATER en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Objectifs

Les ateliers de mise en situation sur le terrain constituent un travail en réponse à une commande par

un organisme public ou privé, mettant les étudiants en situation d’études, d’analyse et de

propositions, avec un certain degré d’autonomie. Cette commande fait l’objet d’une convention

entre l’organisme commanditaire et l’IREST, détaillant un calendrier, des objectifs, des engagements.

Au second semestre est prolongé l’atelier terrain issu de la Convention entre l’IREST et le CDT du Val

de Marne, pour la valorisation des bords de Marne, notamment dans le cadre de la réflexion pour la

mise en œuvre d’un itinéraire européen. Durant cette seconde phase, capitalisant sur les études

thématiques et leurs conclusions menées durant le premier semestre, des propositions de

programme d’action sont menées pour l’animation des berges et la dynamisation d’un itinéraire

culturel européen.

Cette phase de diagnostic impliquera des synthèses documentaires, , des démarches comparatives,

des entretiens avec des acteurs, des enquêtes de terrain, éventuellement lointains, des ateliers

collectifs de réflexion, et une articulation étroite avec le CDT.

Elle nécessitera une restitution finale sous forme de dossiers et de notes de synthèse, et la mise en

œuvre de compétences à la synthèse, la rédaction, la mise en forme de documents, la production

d’illustrations cartographiques, la préparation de réunions et de présentations orales.

Première séance : 22 janvier 17h 18h30 : Bilan du 1er semestre et organisation du travail au second

semestre

Cartographie et SIG (Séverin Guillard)

Une partie du cours (10 heures) est consacrée à une formation aux méthodes cartographiques et à la

prise en main d’un logiciel SIG (Arc Gis).

Séances SIG : 17 février (10h – 13h), 10 mars (9h – 12h et 13h30 – 17h30)

Bibliographie spécifique (cartographie et SIG) :

On considérera certains fondamentaux de la cartographie comme acquis avant les cours de SIG. Il est

donc indispensable avant le début des séances d'avoir consulté les ouvrages suivants et d'en

maitriser les notions de base :

- Le Fur A., 2007, Pratiques de la cartographie, 2e édition, Paris, Armand Colin, Coll. 128, 128 p.

- Beguin M., Pumain D., La représentation des données géographiques, Paris, Armand Colin, Coll.

Cursus, 192 p.

Evaluation

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Les étudiants sont évalués en contrôle continu, par des rendus intermédiaires et un rapport final à la

fin du semestre, articulé à une présentation orale des résultats. Le travail est mené par groupes.

Date de remise du rapport écrit final : 6 mai.

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MODALITES DE CONTROLE : Semestre 2

UE 1 : Sites et marchés touristiques (tronc commun) La mise en tourisme des sites CT Les marchés du tourisme CT Economie du tourisme international CT Etudes marketing CT Conférences de spécialités Compte-rendu + CT


Anglais LV2 (au choix)

UE 3 : Introduction à la conception et au montage de projets touristiques La notion de projet, types de projets Introduction à la conduite et à l’évaluation de projets

touristiques Le cadre administratif et juridique des projets CT

touristiques Processus de montage de projet public / privé CC Politiques nationales et territoriales de développement CT

et d’aménagement touristique


Tourisme et espaces urbains CC Introduction à l’étude de la métropole touristique ; CC

outils et techniques d’observation de l’activité Tourisme et transport CT Atelier de mise en situation sur le terrain CC Stage

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M2 DATT semestre 1

UE 1 : Gestion de projets (tronc commun) Gestion budgétaire et financière des projets touristiques 15 h Jean-Michel Chapuis Gestion de la qualité dans les organisations touristiques 15 h Jean-Michel Chapuis

UE2 : Territoires et tourisme Tourisme et environnement 25 h A. Dubosc (19), S. Guyot (6) Patrimonialisation et territoires 25 h E. Fagnoni (10), D. Kanellopoulou (10) S. Jacquot (5) « City branding », construction territoriale et Tourisme 10 h D. Kanellopoulou Tourisme et imaginaires géographiques 20 h séminaire : coord. S. Jacquot Projet touristique, « mondes artificiels », Environnements thématiques 15 h E. Fagnoni (8), D. Kanellopoulou (4), Huberson (3)

UE 3 : Conduite de projets touristiques

Le management de projets touristiques durables 15 h A. Dubosc Conduite et évaluation de projets touristiques

en milieu littoral 10h Ch. Bouyer Projets touristiques, études de cas 15 h A. Vialleton Métropolisation, globalisation et tourisme 20 h S. Jacquot (17), S. Guillard (3) Évenementiel et projet urbain 15 h E. Fagnoni (11), S. Guillard (4)

UE4 : Méthodologies

Méthodologie de la recherche 10 h Sébastien Jacquot (6), S. Guillard (4) Interventions de terrain 20 h M. Gravari-Barbas, D. Kanellopoulou Anglais 18 h Service des Langues Paris 1 LV2 (au choix) 18 h Service des Langues Paris 1

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UE 1

Gestion de projets

Gestion budgétaire et financière des projets touristiques

Jean Michel Chapuis, 15 heures

Maître de conférences en gestion, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, IREST L’objectif de ce cours est de sensibiliser les étudiants aux problématiques des projets dans les industries du tourisme. Deux compétences fondamentales seront acquises : Savoir évaluer le coût et maîtriser les délais d’un projet. Le cours s’appuie sur les notions fondamentales de gestion financière liées à l’évaluation de projets. Contenu : L’enseignement aborde trois dimensions essentielles du développement des projets en matière touristique : le choix des investissements en univers incertain, le plan de financement, la programmation et le contrôle de la réalisation du projet.

1. L’organisation par projet 2. La planification et la mise en oeuvre du projet

- Les outils de planification - L’évaluation du coût d’un projet - La sélection financière des projets

3. La maîtrise de l’exécution d’un projet planifié - Le suivi budgétaire et des tâches planifiées

4. La fin du projet et l’architecture organisationnelle Bibliographie Gervais M., 2009, Contrôle de Gestion, Économica, 816 p. Giard V., Midler C., 1997, « Gestion et management de projet », in Y.Simon et P.Joffre, Encyclopédie de gestion, Économica, p. 1581-1604 ; Modalités d’évaluation 1h30 : étude de cas.

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Gestion de la qualité dans l’organisation touristique

Jean Michel Chapuis, 15 heures

Maître de conférences en gestion, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, IREST Objectif du cours L'enseignement introduit une discussion autour des antécédents et des conséquences de la qualité dans les organisations du tourisme (hôtels, destinations, institutions...). Le cours présente la gestion de la qualité totale (TQM) en particulier sous les aspects organisationnels (Wruck & Jensen, 1994). La seconde partie aborde la perception de la qualité, par les consommateurs de services touristiques. Les participants doivent être capables d’utiliser des outils comme SERVQUAL, développés par Zeithaml, Parasuraman & Berry (1990) ou Six Sigma. Plan du cours Partie 1 : les antécédents de la qualité

L’architecture organisationnelle et la théorie de l’Agence La connaissance spécifique et la gestion de la qualité totale (TQM) TQM et architecture organisationnelle

Partie 2 : les conséquences de la qualité Les perceptions de qualité et de valeur par les touristes Les échelles de mesures de la qualité de services dans le tourisme Les conséquences comportementales de la qualité La gestion des complaintes des clients

Bibliographie Boo, S., Busser, J. and Baloglu, S. (2009) “A model of customer-based brand equity and its application to multiple destinations”, Tourism Management, vol. 30, 219-231. Tax, S., Brow, S.W. and Chandrashekaran, M. (1998) “Customer Evaluations of Service Complaint Experiences: Implications for Relationship Marketing”, Journal of Marketing, vol. 62, (april), 60-76. Zeithaml, V.A., Parasuraman, A. and Berry, L.L. (1990) Delivering quality service: balancing customer perceptions and expectations, New York: Free Press ; London : Collier Macmillan. Wruck, K.H. and Jensen, M.C. (1994) “Science, Specific Knowledge, and Total Quality Management”, Journal of Accounting and Economics, vol. 18, 247-87. Modalités d’évaluation Contrôle écrit terminal, durée 1h30

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UE 2

Territoires et Tourisme

Tourisme et environnement

Anne Dubosc, 19 heures

Chargée de mission stratégique, Commissariat Général au Développement Durable. Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de la Mer.

Sylvain Guyot, 6 heures

Maître de conférences en géographie, Université de Limoges

Partie 1 : Anne Dubosc

Cet enseignement souhaite sensibiliser les étudiants aux impacts environnementaux (tant positifs que négatifs) de toute activité et de tout projet touristique.

Plan du cours 2014-2015

Introduction Générale : définir l’environnement 1 – Le tourisme est lié à l’environnement 1.1 – l’environnement, capital touristique 1.2. – le tourisme, révélateur d’espaces naturels 2 – Les principaux impacts de l’environnement sur le tourisme 2.1 – les risques sanitaires 2.2 – les risques naturels 2.3 – le changement climatique 3 – Les principaux impacts du tourisme sur l’environnement 3.1 – La consommation et la pollution de l’eau par les activités touristiques 3.2 – La consommation touristique d’énergie 3.3 – La biodiversité et la consommation touristique d’espaces 4 – Les principaux outils de maîtrise des impacts sur l’environnement 4.1 – Le principe pollueur payeur 4.2 – La prise en considération du cycle de vie 4.3 – Connaître l’impact environnemental de son activité (diagnostic, empreinte écologique, bilan carbone) 4.4 – Le management environnemental Partie 2 : Sylvain Guyot Séance n°1 : Front touristique et front écologique dans une région andine transfrontalière (Argentine, Bolivie, Chili)

Références :

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Amilhat-Szary A-L., Guyot S., 2009, « El turismo transfronterizo en los Andes centrales: prolegómenos sobre una geopolítica del turismo », Si Somos Americanos. Revista de Estudios Transfronterizos, 9 (2), 63-100 Guyot S., 2011, “The eco-frontier paradigm: rethinking the links between space, nature and politics”, Geopolitics, 16 (3), 675-706. Guyot S., 2012, « L’émergence d’un Front Touristique Transfrontalier dans les Andes Centrales (Triple Frontière : Argentine, Bolivie et Chili) », ACME –International E-Journal for Critical Geography, 11(2), 304 -334 Séance n°2 : Art-in-situ et protection de la nature : pour une nouvelle mise en tourisme des marges rurales (exemples pris en Europe et en Afrique du Sud).

Référence : Paquet S., 2009, Le paysage façonné : les territoires postindustriels, l’art et l’usage, Québec : Presses de l’Université de Laval. Tiberghien, G.A., 2001. Nature, art, paysage, Arles : Actes sud. Evaluation : 70% : Examen de fin de cycle et participation active à chaque séance (partie A. Dubosc) 30% : Exercice de CC (partie S. Guyot) Bibliographie : - Les stratégies nationales du tourisme et du climat - www.developpement-

durable.gouv.fr/Synthese-Les-strategies-nationales.html - Paris, Ministère de l’Écologie, décembre 2010, 28 p., bibliogr.

- Plan de mobilisation des filières et des territoires pour le développement des métiers de la croissance verte - Rapport du comité de filière tourisme - décembre 2009.- 101 p. - www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_tourisme091223_1_.pdf - Paris, Ministère de l’écologie, 2010 - tabl., graph., bibliogr., ann.

- Le tourisme des années 2020. Des clés pour agir. Origet Du Cluzeau (C), Viceriat (P) Paris, Documentation française (La), 2009 - 209 p., tabl.

- Nations Unies Programme des Nations Unies pour l’environnement, Organisation Meteorologique Mondiale, Organisation Mondiale Du Tourisme - Climate change and tourism. Responding to global challenges. Rapport.- 256 p. - Changement climatique et tourisme. Faire face aux défis mondiaux. Résumé en français.- 28 p. - www.unep.fr/shared/publications/pdf/WEBx0142xPA-ClimateChangeandTourismGlobalChallenges.pdf - Madrid, Paris, Organisation mondiale du tourisme, 2008 - tabl., graph., bibliogr.

- Sport, tourisme, environnement et développement local durable (activités récréatives et sportives et protection de l’environnement : le cas du parc national de la Guadeloupe). BRETON (JM) - Revue juridique de l’environnement n° 2, p. 219-230 - 01/06/2010

- Tourisme et climat. L’exemple des côtes nord-méditerranéennes. BILLE (R), MAGNAN (A) - Grande Europe n° 19, p. 40-49 - 01/04/2010

- Vers l’éco tourisme : quelle stratégie choisir ? - Journal des Maires n° 3, p. 38-40 - 01/03/2009 - Déplacements touristiques des Français : hyper concentration des comportements les plus

émetteurs de gaz à effet de serre. - http://temis.documentation.equipement.gouv.fr/document.xsp?id=Temis-0068535&qid=sdx_q1&n=2&q= - Lettre Evaluation - D4E n° 11 Hors série, p. 1-4, tabl., graph., lexique - 01/02/2008

- Tourisme en expansion : menace croissante ou occasion de mieux protéger l’environnement ? - http://www.grid.unep.ch/product/publication/download/ew_tourism.fr.pdf - Bulletin d’Alerte

environnementale du PNUE, n° 6, 4 p. – 01/04/2005

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- Grenelle de la mer. Rapports des comités opérationnels (COMOP). - Groupe n° 18 - Plaisance et sports nautiques - Rapport final - avril 2010.- 9 p. - http://www.legrenelle-environnement.fr/-Le-Grenelle-de-la-Mer-.html - Paris, Ministère de l’écologie, 2010 - tabl., graph., ann.

- Impacts à long terme du changement climatique sur le littoral métropolitain. - www.developpement-durable.gouv.fr/Impacts-a-long-terme-du-changement.html - Paris, Ministère de l’écologie, 2011 - 70 p., ann., bibliogr., lexique, cartes, graph. - Etudes et documents

du CGDD N° 55 - L’empreinte écologique. Boutaud (A), Gondran (N) - Paris, Découverte (La), 2009 - 122 p., graph.,

tabl., bibliogr., index - Chaîne logistique de la pomme : analyse de la consommation énergétique et des émissions de la

production à la consommation. - Cornelis (E) - TEC : Transport Environnement Circulation n° 207, p. 33-40, bibliogr., graph., tabl. - 01/09/2010 - Ministère de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement – CRDD 6

- Un outil pour calculer l’empreinte environnementale d’un projet. - Moniteur des travaux publics et du bâtiment (Le) n° 5547, p. 54, fig. - 19/03/2010 - Mobilité durable. La nouvelle révolution des transports. - Dagnogo (C), Ries (R) - http://www.jean-jaures.org/Publications/Les-essais/Mobilite-durable-la-nouvellerevolution- - des-transports - Paris, Fondation Jean Jaurès, 2011 - 89 p., lexique

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Patrimonialisation et Territoire

Edith Fagnoni (10 heures)

Géographe, MCF –HDR à Paris IV-Sorbonne

Sebastien Jacquot (5 heures)

Géographe, MCF à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Dimitra Kanellopoulou (10 heures)

Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon – Sorbonne La relation entre patrimoine et tourisme est complexe. Elle a été souvent abordée de manière univoque : le tourisme « consomme » le patrimoine, les sites patrimoniaux sont « surfréquentés », le tourisme est une menace. Le cours propose une lecture plus nuancée. Il cherche à situer l’engouement touristique pour le patrimoine dans le contexte de la société hypermoderne et à aborder la relation dialectique que le patrimoine entretient avec le tourisme : le tourisme consomme du patrimoine mais il en produit également et cette production a des impacts (économiques, sociaux, d’image) importants à saisir et à analyser dans toute leur complexité. Le cours s’interésse à la patrimonialisation du point de vue des politiques publiques et privées, mais aussi dans ses interactions avec les démarches et pratiques touristiques. Le cours est décomposé en trois parties. Partie 1 : Patrimonialisation et recyclages urbain et industriel - Edith Fagnoni - 15 septembre 2014 : 9h – 12h - 15 septembre 2014 : 13h – 17h - 29 septembre 2014 : 14h – 17h La relation entre patrimoine et tourisme sera essentiellement étudiée à partir du milieu urbain : comment intégrer le tourisme dans la politique de la ville ? Comment concilier développement touristique et protection du patrimoine ? Le tourisme urbain influence le remodelage du tissu urbain et la politique de restauration du patrimoine, encourageant aussi la promotion d’une image de marque. Ce cours insistera sur le recyclage urbain, entre démolition et patrimonialisation : quels sont les enjeux d’appropriation symbolique et identitaire de l’espace ? En certains lieux symboliques, comment gérer une forte pression touristique ? Analyse développée autour du processus de patrimonialisation au regard du développement urbain (problématique du patrimoine) / du processus de patrimonialisation / de la gestion du patrimoine / de la problématique ancien-nouveau. Ce cours insistera parallèlement sur le recyclage urbain, entre démolition et patrimonialisation : quels sont les enjeux d’appropriation symbolique et identitaire de l’espace ? L’exemple du patrimoine industriel et des villes industrielles sera mobilisé. Ville et industrie : le cours développera in fine la spécificité du patrimoine industriel qui renvoie à un patrimoine récent et de ce fait « fragile » en ce sens où il est encore difficile à accepter. Les destructions sont encore importantes. Cela renvoie à une acceptation difficile : difficile en ce sens où d’un côté il y a fermeture de l’usine et production d’un paysage répulsif (la friche) et pratiquement simultanément/parallèlement se pose la question de la patrimonialisation. Les exemples développés

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montreront que l’on est passé d’une véritable indifférence à l’égard du potentiel patrimonial de l’industrie à un intérêt en tant qu’objet (Ex : Unesco Nord-Pas-de-Calais). Partie 2 : Emotions patrimoniales et tourisme – Sébastien Jacquot (5 heures) Les deux séances seront consacrées aux émotions patrimoniales du point de vue touristique, permettant d’interroger la patrimonialisation du point de vue de sa réception et de ses moteurs affectifs. Après une présentation des liens entre émotions et mobilisations patrimoniales sous le registre de l’identité (s’attacher à, s’indigner pour, se mobiliser pour son patrimoine), la seconde séance interrogera le paradoxe d’une émotion ressentie face aux patrimoines en situation touristique, cad l’émotion face aux patrimoines de l’autre, sortant du registre de l’identité territoriale, à partir d’analyses de récits de voyage et de textes issus d’évaluations de touristes sur des blogs et tripadvisor. Quels sont les moteurs de ces émotions ? Quelles conséquences sur la mise en tourisme et la préservation du patrimoine ? Partie 3 : - Dimitra Kanellopoulou Ces quarante dernières années, les espaces publics urbains se trouvent au cœur des agendas politiques, dans un contexte de valorisation des centres villes européens. Ruelles sinueuses, placettes, promenades, quais aménagés émergent comme des éléments phares du renforcement de l’offre touristique et de l’amélioration de la vie quotidienne. Un débat florissant se focalise sur la réinvention de l’espace public, et en particulier sa dimension sociale. L’aménagement des espaces publics est appelé aussi à répondre aux enjeux de durabilité et de rayonnement économique des villes. Depuis les années 60, les centres historiques européens deviennent le terrain d’expérimentations d’une vive politique de rénovation urbaine. Parallèlement à la protection du bâti, les espaces publics jouent un rôle important dans la mise à niveau de l’héritage urbain. Les premières piétonisations des rues commerciales, au cours des années 70, ont cédé la place aux projets d’envergure métropolitaine combinant la mobilité douce à la promotion d’un environnement culturel et récréatif. Il ne s’agit pas seulement d’une transformation paysagère, mais d’une modification profonde du foncier et des pratiques quotidiennes. La mise en valeur de l’espace public émerge en tant que pierre angulaire de patrimonialisation de la ville historique. Parallèlement à des mesures de protection du bâti, de revalorisation de la densité comme qualité urbaine, de restitution des coutumes et de diffusion de l’esthétique du traditionnel, certaines pratiques de l’espace public sont aussi patrimonialisées, en vue de promouvoir un certain imaginaire autour de l’historicité de la ville. La balade, le lèche-vitrines, la rue-spectacle complètent la nouvelle identité touristique du centre historique. Le cours se structure en quatre séances. La première, introductive, examine les notions de patrimoine, de patrimonialisation, d’espace public et d’urbanité, en cherchant leurs interrelations à travers un regard historique sur la ville européenne. La deuxième séance étudie le phénomène du retour au centre, à travers le concept de piétonisation dans des cas particuliers (Naples, Bordeaux, Munich, Aix-en-Provence, etc.). La troisième vise à un approfondissement du dialogue sur les effets et les risques de patrimonialisation de l’espace public, en interrogeant des projets d’aménagement de grande échelle (rives de la Seine, cas de Docklands, Barcelone, Berlin, Athènes). La quatrième séance explore les chevauchements potentiels du phénomène de patrimonialisation avec, un, l’émergence du concept de ville événementielle, deux, les enjeux d’appropriation de l’espace public et les pratiques urbaines quotidiennes. La valorisation de l’espace public se trouve parfois génératrice de problèmes de muséification, de marchandisation, de gentrification ou d’homogénéisation. Le renouveau de la ville-piétonne porte-t-il le risque de la perte de l’âme ou de l’authenticité des espaces publics ? L’espace public peut-il être considéré comme patrimoine en dehors des politiques officielles ? Quels sont les points de contact possibles entre l’appropriation de l’espace public et la mise en valeur de son image touristique ? Comment concilier l’espace public conçu comme patrimoine avec des lieux publics vécus comme

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lieux de mémoire et d’identité collective ? Telles sont les questions proposées à partir desquelles de pistes de discussion pourront être lancées. Modalités d’evaluation Contrôle continu. Date du rendu : 7 janvier 2014 1. Production d’un essai portant sur un sujet du choix de l’étudiant relatif aux questions de la patrimonialisation et de ses rapports au tourisme. L’essai (3 000 mots) analysera le rôle que le tourisme a joué, joue ou peut jouer dans le processus de patrimonialisation de l’artefact sélectionné (monument, objet, site, ensemble urbain, paysage…) ainsi que son impact sur la « trajectoire » (sociale, urbaine, économique…) de celui-ci. Il s’attachera à décoder les processus sociaux, moteurs de la patrimonialisation et cherchera à cerner la façon dont ils ont été marqués/influencés/impulsés/ par le tourisme. La dimension territoriale des processus analysés devra être précisée. Le dossier sera accompagné d’un dossier de presse permettant de situer le sujet de l’essai. Celui-ci comprendra des articles de presse permettant de retracer les différents temps et étapes de la patrimonialisation et de la mise en tourisme de l’objet d’étude sélectionné. La présentation du dossier de presse sera effectuée par écrit et de manières raisonnée (explication des choix, classement, etc.). Bibliographie - Fagnoni E. (dir) (2013), La ressource territoriale entre patrimoine et création, Bulletin de l’Association de Géographes Français (BAGF), numéro thématique, n°2. - Fagnoni E. (2014), « Patrimoine versus mondialisation ? », Revue Géographique de l’Est (RGE), Numéro thématique Patrimoine urbain et fonctions urbaines, sous la direction de Nicolas Lebrun, (version électronique). - Fagnoni E. (2014), « La Culture comme projet de ville. Lens et le Louvre », dans La métropolisation de la culture et du tourisme, Géraldine Djament-Tran et Philippe San Marco (dir), Paris, Éditions Le Manuscrit, Coll. Fronts pionniers, p. 77-113. - Fagnoni E., (2014) « “Faire patrimoine” et “faire territoire”. L’exemple du Bassin Minier Uni/UNESCO », dans Patrimoine mondial et développement : au défi du tourisme durable, Maria Gravari-Barbas, Sébastien Jacquot (dir), Québec, Presses de l’Université du Québec, Coll. Nouveaux Patrimoines, p. 77-103. - Flon Emilie, 2012, Les mises en scène du patrimoine, Savoir, fiction et médiation, Hermès Lavoisier. - Gravari-Barbas M. (dir) (2005), Habiter le patrimoine, PU de Rennes. - Heinich Nathalie, 2009, La fabrique du patrimoine, de la cathédrale à la petite cuillère, ed. Maison des Sciences de l’Homme - Lazzarotti Olivier, 2011, Patrimoine et Tourisme. Histoire, lieux, acteurs, enjeux, Belin, Paris. - Lowenthal David, 1985, The Past is a Foreign Country, Cambridge University Press, Cambridge. - Origet du Cluzeau Claude et Tobelem Jean-Michel, 2009, Culture, Tourisme et développement, Les voies d’un rapprochement, L’Harmattan.

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City branding, construction territoriale et tourisme


Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Le branding à l’épreuve des territoires : la multiplication des espaces touristiques implique un positionnement en termes d’attractivité. La notion d'attractivité est généralement considérée comme un caractère positif, facteur de vitalité pour un territoire. Les territoires ne sont pas un objet neutre ni purement instrumental. Ils sont le résultat d’une évolution historique et demeurent au cœur d’enjeux politiques majeurs un peu partout dans le monde. Il s’agira de mettre en exergue les signes qui font sens sur un territoire et qui se trouvent dans l’interaction entre représentation (du territoire) et perception (de ce même territoire). Comment articuler ville, tourisme et attractivité ? Démarche récente et stratégies multiples, la question du branding nécessite une réflexion en amont pour attirer habitants, touristes ou investisseurs sur leur territoire. Dans cette dynamique et ce processus de construction des territoires, les villes s'inspirent des stratégies des marques. Ce cours insistera sur la « mise en marque des territoires », ses enjeux, ses impacts. Programme Dimitra Kanellopoulou - Séance 1 : Introduction générale et notions de base : brand, branding, brand identity, place branding. Exploration des enjeux et des facettes de la procédure (24 septembre 2014 : 14h00 – 17h00) - Séance 2 : Marketing urbain ou city-branding ? acteurs et processus de mise en place (6 octobre 2014 : 13h30 – 17h30) - Séance 3 : Le City-Branding à travers quelques études de cas (10 novembre 2014 : 14h00 – 16h00) - Séance 4 : Vers un regard critique du city-branding ? Cosmopolitisme & Diversité (24 novembre 2014 : 14h00 – 16h00)

Références bibliographiques - Agur, 2008, Ces territoires qui ont osé changer d'image, Dunkerque, http://www.agur-dunkerque.org/Vision_market_bd.pdf - Bost François, http://mappemonde.mgm.fr/num3/articles/art04301.pdf - Davezies Laurent, 2008, La république et ses territoires. La circulation invisible des richesses, La république des idées, Seuil, Paris. - Duhamel P., Knafou R. (dir) (2007), Mondes urbains du tourisme, Ed. Belin, Coll. Ma ppemonde, Paris. - Dumont Marc et Laurent Devisme, 2006, "Les métamorphoses du marketing urbain.", EspacesTemps.net, Mensuelles, 04.02.2006, http://espacestemps.net/document1831.html - Ingallina P., Park J. (2005), « City marketing et espaces de consommation. Les nouveaux enjeux de l’attractivité urbaine », Dossier La ville marketing, Urbanisme, n°344.

Mode d’évaluation : contrôle continu

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Tourisme et imaginaires géographiques : 20 h

Coordination S. Jacquot, 20 heures

Intervenants : V. Antomarchi, M. Gravari-Barbas, S. Guillard, A. Hertzog, S. Jacquot, D.

Kanellopoulou, E. Peyvel, L.Vacher

Avant, pendant, après, le touriste consomme (et produit) des images, relevant de différentes

origines : promotion des destinations touristiques par les offices et agences de voyage, marketing

territorial, photos produites par les touristes eux-mêmes et diffusées des soirées diapo aux réseaux

sociaux, mais aussi représentations plus ou moins stéréotypées, relevant d’un temps long et de

diverses origines (artistiques, administratives, commerciales, etc). Ces images sont spécifiques à une

destination, constituant un haut-lieu, ou génériques, qualifiant un type d’espace (la mer, la

montagne, la banlieue). Elles sont intentionnellement touristiques ou débordent ce cadre,

éventuellement recyclées à ses usages. Prises ensemble, constituent-elles des

imaginaires géographiques et touristiques ?

Dans ce cours on montrera à travers l'étude de certains lieux (Paris, Valparaiso, New York, …) ou de

certains items géographiques (l'Ile tropicale, la nature, la ruine) que leur institution en objets de désir

relève d'une construction historique et discursive qui s'articule à des usages et des visions du monde.

Calendrier des séances

Intervenant Date Titre séance

Sébastien Jacquot, MCF Géographie, U. Paris 1

Panthéon Sorbonne, IREST

30 septembre 16h30

18h30

Introduction : lire les

imaginaires

géographiques et

touristiques ?

Véronique Antomarchi, historienne et

géographe, enseignante (Professeur agrégée) à

l’IUT Paris V Descartes

8 octobre

14h30 17h30

(à Montmartre)

Montmartre, exemple

d'un lieu chargé

d'imaginaire

Sébastien Jacquot, MCF Géographie, U. Paris

1 Panthéon Sorbonne, IREST

14 octobre

15h30 17h30

Imaginaires patrimoniaux

et modèles touristiques à

Valparaiso

Kanellopoulou Dimitra, ATER Géographie, U.

Paris 1 Panthéon Sorbonne, IREST

24 novembre

16h18h

Les imaginaires du gratte-

ciel

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Séverin Guillard, ATER Géographie, U. Paris 1

Panthéon Sorbonne, IREST

25 novembre 13h30

15h30

Images et imaginaires

géographiques dans la

musique rap

Emmanuelle Peyvel, Université de Bretagne

Occidentale, MCF Géographie

1 décembre

10h 12h

L'imaginaire de la

montagne au Viet-Nam

Anne Hertzog, MCF Géographie,Université de

Cergy-Pontoise

1 décembre

15h 17h

Imaginaire de la guerre et

tourisme de mémoire

Nadège Chabloz, anthropologue, Institut des

mondes africains, EHESS, Paris

2 décembre 14h 16h Imaginaires du tourisme

chamanique

Véronique Antomarchi, historienne et

géographe, enseignante (PRAG) à l’IUT Paris

Descartes

Vendredi 1 9

décembre 10h 12h

Le Grand Nord –

Imaginaires de glaces et

tourisme

Luc Vacher, MCF Géographie, U. La Rochelle Vendredi 19

décembre 13h 15h

le tourisme et

l'imaginaire des eaux

tropicales

Bibliographie générale

Amirou Rachid, Imaginaire du tourisme culturel, Puf, la politique éclatée

Cartier Carolyn, Lew Alan, 2005, Seductions of places, geographical perspectives on globalization and

touristed landscapes, Routledge

Corbin, A., 2010. Le territoire du vide: l’Occident et le désir du rivage, 1750-1840, Paris: Flammarion.

Davis, R.C., Marvin, 2004. Venice, the tourist maze: a cultural critique of the world’s most touristed

city, Berkeley: University of California Press.

Debarbieux B., 2003, « Imaginaire Géographique », in Lévy J. & Lussault M., Dictionnaire de

Géographie, Paris, Belin.

Graburn N. & Gravari-Barbas M., 2011, Introduction au numéro thématique « Imagined Landscapes

of Tourism », Journal of Tourism and Cultural Change, vol. 3, n°3, 159-166.

Metro-Roland, M., 2011. Tourists, signs and the city : the semiotics of culture in an urban landscape,

Farnham Surrey England ;;Burlington VT: Ashgate.

Salazar, N., 2010. Envisioning eden : mobilizing imaginaries in tourism and beyond, New York:

Berghahn Books.

Salazar, N.B., Graburn, éd., 2014. Tourism imaginaries: anthropological approaches, New York:

Berghahn Books.

Evaluation : examen (épreuve sur dossier)

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Projet touristique, « mondes artificiels », environnements thématiques

Edith Fagnoni, Géographe, 8 heures

Géographe, MCF-HDR à Paris-Sorbonne


Géographe, ATER à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Ce cours insistera sur l’évolution, voire selon les cas la généralisation, de la mise en scène du territoire selon une approche déterritorialisée et thématisée dans les projets touristiques. La réflexion portera sur l’importance du projet touristique dans tout ou partie d'un schéma de développement en insistant sur le rôle des acteurs porteurs d'un projet. Les tendances pour une hybridation entre naturel et artificiel orienteront la réflexion sur la relation projets, pratiques et lieux touristiques. Cette approche soulignera la nécessaire articulation entre tourisme et loisirs. Par ailleurs, ce cours insistera – au travers d’exemples phares tels Abou Dhabi et Dubaï, les parcs Disney, …, – sur la production de nouveaux territoires et l’importance de la médiatisation dans les projets touristiques.

Planning des séances de cours : - 15 septembre 2014 : 17h – 19h (EF) : De la territorialisation à la déterritorialisation des projets touristiques. : Articulation Tourisme et Loisir. Exemple de la montagne (station de troisième génération) et exemple des parcs de loisirs.

- 22 septembre 2014 : 9h – 13h (EF) : De la territorialisation à la déterritorialisation des projets touristiques : Articulation Tourisme et Loisir. Exemple de la montagne (station de troisième génération) et exemple des parcs de loisirs.

- 29 septembre 2014 : 17h – 19h (EF) : « Mondes artificiels » : productions de nouveaux territoires et nouveaux lieux de tourisme et de loisir Abou Dhabi et Dubaï ; création de nouveaux territoires urbains (hybridation pratique du shopping et loisirs). Changement d’échelle, changement de paradigme : Vers de nouveaux modèles territoriaux ?

- 10 novembre 2014 : 16h – 18h (DK) : « Theme parks : projet touristique et création d’une identité culturelle »

- 17 novembre 2014 : 14h – 16h (DK) : « Theme parks : études de cas »

Support bibliographique - Fagnoni E. (dir) (2013), La ressource territoriale entre patrimoine et création, Bulletin de

l’Association de Géographes Français (BAGF), numéro thématique, n°2. - Florida R. L. (2002), The Rise of the Creative Class : And How it's Transforming Work, Leisure,

Community and Everyday Life, New York, Basic Books. - Gravari-Barbas M. (2013), Aménager la ville par la culture et le tourisme, Ed. Moniteur (le), Collection Ville-aménagement, n°6. - Landry Ch., Bianchini F. (1995), The Creative City, Londres, Demos. - Tremblay D.-G., Tremblay R. (dir) (2010), La classe créative selon Richard Florida, PU de Rennes, coll. « Géographie sociale ». - Sorkin M. (1992), ‘See you in Disneyland’ in Michael Sorkin ed., Variations on a Theme Park : The New American City and the End of Public Space, New York, Hill and Wang - Vivant E. (2009), Qu'est-ce que la ville créative ?, Paris, PUF, coll. « La ville en débat ».

Mode d’évaluation : contrôle continu

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UE 3

Conduite projets touristiques

Le management de projets touristiques durables

Anne Dubosc, 15 heures

A l’issue de cet enseignement, l’étudiant devra être en mesure de détecter les pistes et dimensions « durables » d’un projet touristique. L’enseignement se partage entre un cours magistral et des travaux de groupe sur des thèmes du développement durable. Plan du cours magistral Introduction : définir le développement durable du tourisme Les positions internationales, européennes et françaises en matière de développement durable du tourisme. 1 – Les principaux outils de management au service de projets touristiques durables 1.1 – La RSE 1. 2 – Le management environnemental 2 – Participer à la gouvernance locale 2.1. Les conflits d’usage liés à l’activité touristique 2.2. S’impliquer dans le développement durable du territoire 3 – Le financement solidaire ou de proximité des activités touristiques Travaux de groupe (de 2 à 4 étudiants) Présentation orale suivie d’un débat avec la classe et remise d’un dossier (15/20p) avant Noël Les thèmes sont les suivants : 1/ Proposer le référentiel de développement durable d’une activité touristique. 2/ Mettre en œuvre une politique de RSE au sein de son établissement touristique. 3/ Apaiser un conflit d’usage d’origine touristique. 4/ Intégrer son activité touristique dans un Agenda 21. 5/ Intégrer son activité touristique durable dans un PNR. Bibliographie / sources documentaires

• Tourisme et développement durable. De la connaissance des marchés à l’action marketing. Paris, Atout France, 2011 - 108 p., bibliogr., schémas, ann.

• Marketing du tourisme durable. Rouzet (E), Seguin (G) - Paris, Dunod, 2010 - 198 p., bibliogr., ann., tabl., schémas, web

• Le tourisme durable à l’étranger ou la possibilité d’un autre voyage. Borzakian (M), Gourdikian (F), Vandewalle (I) www.credoc.fr/pdf/Rech/C269.pdf - Paris, CREDOC, 2009 - 62 p., bibliogr., graph.

• Agir ensemble pour un tourisme durable. Un guide pour informer, sensibiliser, encourager et passer à l’action. www.comite21.org/docs/publications-du-comite-21/2008/guide-agir-ensemble-pour-un-tourismedurable.pdf - Paris, Comité 21, 2008 - 64 p., bibliogr., web

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• Tourisme durable : utopie ou réalité ? Comment identifier les voyageurs et voyagistes éco-responsables ? LAMIC (JP) - Paris, Harmattan (L’), 2008 - 219 p., bibliogr., web, ann.

• Réussir son projet touristique avec la finance solidaire - Dubosc Anne, Paris, ODIT France, 2005 - 108 p., bibliogr.,photogr.,cartes

• Les développements durables. Guizard (P) - Montpellier, SCEREN-CRDP, 2011 - 208 p.

• Le développement durable. Brunel (S) - PUF, 2010, 128 p. - Que sais-je ?

• Le développement durable. Arnaud (E), Berger (A), Perthuis (C DE) - Paris, Nathan, 2008 - 160 p., tabl., graph., index, photogr., cartes, schémas

• Notre avenir à tous. Rapport de la Commission mondiale sur l’environnement et le

• développement.http://www.wikilivres.info/wiki/Rapport_Brundtland - Québec, Editions du Fleuve, 1988 - 454 p., bibliogr.

• Sommet de la Terre 1992. Un programme d’action. Version pour le grand public de l’Agenda 21 et des autres accords de Rio. Keating (M) - Genève, Centre pour notre Avenir à Tous, 1993 - 70 p., graph., tabl., index

• Stratégie nationale de développement durable 2010-2013. Vers une économie verte et équitable, 2010.- 54 p. - Paris, Ministère de l'Ecologie, 2010 - 54 p. - http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/SNDD_index.pdf

• Faut-il croire au développement durable ? - Rotillon (G) - Paris, Harmattan (L’), 2008 - 220 p.

• A qui profite le développement durable ? Brunel (S) - Paris, Larousse, 2008 - 157 p., bibliogr.

• Les paradoxes du développement durable. Allemand (S) - Paris, Cavalier bleu (le), 2007 - 191 p., web, bibliogr.

• Le développement durable, l’intelligence du XXIe siècle. Bidou (D) - Paris, Editions PC, 2011 - 350 p.

• Regards croisés sur le phénomène de la responsabilité sociale de l’entreprise. Paris, Documentation française (La), 2010 - 280 p.

• L’écosociété. Une société plus responsable est-elle possible ? Paris, Ellipses, 2010 - 623 p., bibliogr.

• Le développement durable va-t-il tuer le capitalisme ? Les réponses de l’écocapitalisme.

• Paris, Maxima, 2010 - 223 p., bibliogr., ann.

• La responsabilité sociale des entreprises françaises. - Paris, Alternatives économiques, 2009 - 128 p., tabl., graph., lexique, bibliogr., web

• Gouvernance, éthique et RSE : état des lieux et perspectives. - Paris, Lavoisier, 2009 - 255 p., bibliogr., tabl., schémas

• Développement durable et entreprises. Un défi pour les managers. La Plaine Saint Denis, AFNOR, 2008 - 99 p., bibliogr., web

• Le développement durable. Le management de l’entreprise responsable.

• Paris, Editions d’organisation, 2005 - 385 p., tabl., fig., bibliogr., index

• Oser le marketing durable. Concilier marketing et développement durable.

• Paris, Pearson Education France, 2009 - 214 p., lexique

• Le manifeste du marketing vert.

• Paris, AFNOR, 2009 - 252 p., bibliogr., schémas

• Etude benchmark sur la communication des entreprises du CAC 40 relative aux achats responsables. A - Synthèse.- 23 p. - B - Fiches.- 92 p. - http://www.orse.org/ - Paris, Observatoire Sur La Responsabilite Societale Des Entreprises (ORSE) 2010

• Entreprises et biodiversité. Exemples de bonnes pratiques.

• http://www.medef.com/fileadmin/www.medef.fr/documents/Biodiversite/EntreprisesETbiodiversite.pdf - Paris, MEDEF, 2010 - 273 p., photogr., lexique

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Evaluation : Evaluation des étudiants sur la base du dossier remis dans le cadre des travaux de groupe. La notation de l’élève sera calculée à partir de : - la qualité (contenu et présentation) du dossier collectif remis avant la fin de semestre (70%) - la qualité de clarté de son exposé oral (20%) - sa présence et de sa participation active à chaque séance (10%)

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Conduite et évaluation de projets touristiques en milieu littoral (en cours d’actualisation)

Christine Bouyer, 10 heures

Déléguée générale de l’Union nationale des Associations de Tourisme (UNAT). Historienne et géographe de formation, spécialisée en tourisme littoral, nautisme,développement territorial et tourisme social. Objectifs du cours Cette intervention consacrée à la conduite et évaluation de projets touristiques en milieu littoral a pour objectifs, à partir d’une expérience professionnelle et en s’appuyant sur des exemples de mise en tourisme de l’espace littoral, la présentation des différentes démarches, méthodes et outils utilisés dans le cadre de la mise en œuvre de projets de développement touristique dans les territoires littoraux. En complément du cours de DATTM1 « Introduction à la conduite et à l’évaluation de projets touristiques » chaque séquence permet d’aborder l’ingénierie touristique dans ses différentes dimensions : aménagement du territoire, développement local, montage de projet, mise en valeur des ressources naturelles et du patrimoine culturel, équipement structurant…au travers des différentes composantes de l’offre et de l’économie touristique littorale : équipements, hébergements, activités, services, NB les exemples ne sont donnés qu’à titre indicatifs. Plan du cours 1 : territoires littoraux et mise en tourisme Prise de contact Rappel des grandes données de cadrage de l’économie touristique littorale 1.1.Mutations et évolutions des stations littorales Evolution et enjeux : réhabilitation et mise en valeur, espaces publics et hébergements Exemples : St Jean de monts /Sables d’Olonne 1.2. Valorisation touristique /protection des espaces sensibles littoraux : les Territoires insulaires Exemple : Île d’Yeu 2 : les plages et la fonction balneaire Exemple : Chatelaillon ; lido de Sète 3 : la filiere nautique ville et ports Enjeux et stratégie de développement de la filière nautique Villes Ports Tourisme : Marseille, le Havre, St Nazaire Le rôle structurant de l’événementiel ; Vendée globe References bibliographiques Publications ODIT France/ Atout France et notamment : la stratégie touristique/, la valorisation touristique des plages, îles et tourisme durable, le marché de la plaisance, la conduite des projets de ports en plaisance, la reconversion des friches portuaires, guide aménagement urbanisme et tourisme …. Etudes spécifiques : projets de stations, diagnostic de territoires, études de développement de ports de plaisance, schéma de développement touristique (régions département ) Sites internet : DGCIS, Diact , Observatoire du littoral, Europe, Atout France, territoires (Département/CDT, Régions/CRT, Communes )

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Modalites d’evaluation Remise d’un dossier consacré à l’analyse d’un type de mise en valeur touristique d’un espace littoral ou celle d’un territoire. Dossier réalisé en individuel ou en binôme s’appuyant sur une analyse documentaire complétée dans la mesure du possible de quelques interviews. Présentation du dossier : Dossier de synthèse sur un mode de développement touristique de l’espace littoral (filière) ou un exemple de mise valeur touristique d’un territoire Cadre de réflexion : politique publiques touristiques, politique d’entreprises, politique d’aménagement, politique de produits, montage de projets Echelle : pays, façades, régions, destination, territoires, stations Méthode/format/calendrier : Dossier à réaliser en binôme ou en individuel Analyse documentaire complétée dans la mesure du possible quelques interviews / format (indicatif) 15/20 pages / calendrier : choix du thème fin novembre (au plus tard) /plan détaillé début décembre / remise dossier ½ janvier. Thèmes indicatifs 1 Benchmark des produits balnéaires au niveau international Quelle offre, quelle politique de mise en valeur quels produits nouveaux ? Cibles : les concurrents traditionnels de la France : Espagne Italie … , les nouveaux concurrents, Croatie, Maghreb, autres. 2 La mise en valeur touristique des espaces naturels littoraux En France, en Europe dans les destinations lointaines … Types de produits développés Territoires /spécificités des territoires insulaires Ex d’une station, d’un site naturel littoral… Grille d’évaluation des dossiers :

- Définition et argumentation d'une problématique - Plan, problématique, mise en perspective - Maîtrise technique du thème traité - Démonstration, analyse des données, recul critique, préconisations réalistes... - Expression d'un travail personnel - Réflexions, analyses personnelles contact avec le terrain, ... - Organisation /Forme du document - Présence d'une bibliographie significative et d'annexes bien choisies et organisées - Illustration / orthographe / style

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Projets touristiques : études de cas

Alain Vialleton, 15 heures

Architecte Diplômé par le Gouvernement, urbaniste. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (DESS). Diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (DEA).

Objectif du cours

Précaution Le cours présente des expériences pratiques, pragmatiques et ouvertes sur le développement touristique. L’enseignant apporte aux étudiants des « tranches de vie professionnelle » et leur explique que la réalité de la vie fait en sorte que les connaissances techniques (évidemment indispensables) ne suffisent pas à mener à bien les projets. Il s’agit de montrer que les qualités d’ouverture, de souplesse et de fermeté en même temps, de droiture, de dynamisme et de pugnacité, des qualités humaines finalement, sont des vertus qui permettent de conduire les projets convenablement et avec efficacité et aussi de dominer des problématiques complexes avec de nombreux acteurs souvent très spécialisés.

La forme Il s’agit d’une présentation orale à partir de documents projetés depuis un ordinateur, de cas concrets de projets de développement touristique. Cette présentation décline en parallèle :

- L’historique du déroulement des actions qui conduisent à la réalisation. - Les problématiques abordées au cours du travail. - Les connaissances qu’il faut mobiliser pour atteindre les objectifs. - La manière dont les solutions sont recherchées. - Les rôles respectifs des différents acteurs (publics et privés). - …

Le choix des

projets

Ces projets (deux ou trois selon les besoins) sont choisis parmi ceux conduits par l’intervenant dans les trois dernières années. Chacun des projets présentés a des caractéristiques propres, l’ensemble des projets offre ainsi un panel éclectique de cas concrets.

Le

déroulement

L’exposé aborde successivement divers sujets faisant appel à des connaissances diverses, techniques, juridiques, commerciales et financières, mais dépendant aussi d’éléments plus pragmatiques comme la qualité des hommes, la volonté politique des collectivités, leur dynamisme et l’ouverture d’esprit ou non des acteurs privés et publics, etc… La présentation de cas concrets est l’occasion de montrer aux étudiants que leur rôle personnel (leur personnalité, leur dynamique, autant que leurs connaissances techniques) est décisif dans l’avancement et la sortie des projets. Au cours de la présentation, chaque fois que l’on doit aborder un aspect particulier de procédure de décisions ou d’avis technique à donner, l’enseignant ouvre un débat avec les étudiants en les interrogeant pour savoir s’ils ont la connaissance nécessaire pour traiter ce sujet particulier ou s’ils savent comment trouver les réponses qu’ils n’ont pas. Il insiste beaucoup sur le fait qu’ils n’auront pas la connaissance universelle, et que c’est donc une pratique de généraliste, de chef de projet ou de maître d’ouvrage délégué qui les attend. Il faut donc savoir identifier quelles sont les connaissances nécessaires, ou peut-on les trouver et qui peut aider à les apporter.

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Le cours apporte à chaque occasion, les réponses techniques qu’ils ne connaissaient pas, comme par exemple, le rôle et la pratique des procédures d’urbanisme, ceux de la maîtrise foncière, les compétences respectives de telle ou telle collectivité locale, les principes de financement public-privé, etc. Il répond aussi ponctuellement à leurs questions ou à leurs demandes. Il les fait aussi réagir à une situation donnée et leur demandant comment ils agiraient dans ce cas précis. Un dialogue permanent est instauré avec les étudiants pour qu’ils ne restent pas seulement spectateurs de l’exposé.

Exemples de

projets

présentés

Développement, aménagement et protection des sites de la station balnéaire de SÉRIGNAN et de la presqu’île naturelle des ORPELLIÈRES (Hérault). SÉRIGNAN est une station balnéaire sur la côte du Languedoc-Roussillon. Elle dispose de terrains bien desservis et bien situés sur le haut de son site, permettant un développement contrôlé pour le tourisme et la vie permanente. Elle dispose aussi d’équipements de loisirs et de sports, mais qui nécessitent une modernisation et un développement. Sur l’autre rive de l’Orb, se trouve le site naturel des Orpellières, propriété du Conservatoire du Littoral. La protection de ce site n’était pas assurée et sa fréquentation était devenue insupportable. L’étude présente les diagnostics divers sur l’état des lieux du site et les propositions stratégiques et techniques pour assurer une véritable protection, sans toutefois fermer totalement sa fréquentation et permettre aussi le développement de la station. Ce sujet permet de montrer que les situations à priori les plus désespérées peuvent évoluer vers des solutions acceptables par tous, avec du temps, des moyens, mais aussi de la patience et de la persévérance… Le dialogue avec les étudiants sur la manière de mener ces stratégies et sur la recherche de solutions souvent pragmatiques et innovantes, permet de leur faire toucher du doigt ces réalités fortes et complexes. Il permet aussi de leur montrer que seule un ouverture d’esprit et une large boite à outils de propositions innovantes conduit à des solutions raisonnables et acceptables par tous.

Evaluation : contrôle continu

Dossier : Pour cette épreuve, les étudiants disposeront du « Rapport final » de la mission de

préparation de négociations avec les acteurs privés pour le site de LOZARI, à BELGODERE en

Balagne (CORSE du NORD) qui leur sera remis sous forme informatique lors du premier cours. Toutes les questions posées trouvent les éléments de réponse dans ce document ou dans les explications données en cours. Il leur faudra ensuite analyser les situations et les commenter.

Les travaux doivent parvenir à l’enseignant avant fin janvier, par courriel à l’adresse suivante : [email protected]

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Métropolisation, globalisation et tourisme



Sébastien Jacquot, 17 heures

Géographe, Maître de conférences à l’IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Objectifs du cours Ce cours vise à analyser les nouvelles formes prises par le tourisme métropolitain, dans le contexte de globalisation, en l’articulant aux transformations métropolitaines. Loin de se réduire à la découverte de centres historiques protégés, le tourisme s’étend désormais à l’ensemble des métropoles mondiales au nord comme au sud, constitue un instrument de renouvellement des espaces centraux, se diffuse vers les périphéries. Une nouvelle géographie de la métropole touristique s’esquisse, nécessitant de nouvelles modalités de gouvernance. Dès lors, les pratiques touristiques métropolitaines elles-mêmes évoluent.

Créneau Séance

30 septembre 13h30 16h30 La métropole touristique au cœur de la mondialisation (SJ)

3 octobre 9h30 12h30 Le renouvellement des centres touristiques métropolitains (SJ)

3 octobre 13h30 16h30 Les périphéries de la métropole touristique (SJ)

20 octobre 13h30 16h30 Les enjeux culturels du tourisme métropolitain (SG)

16 décembre 14h 18h Cosmopolitisme et multiculturalisme (SJ)

17 décembre 14h 18h Gouvernance métropolitaine et tourisme (SJ)

Bibliographie Ascher F. (1995), Métapolis ou l’avenir des villes, Paris, Ed. Odile Jacob. Duhamel P., Knafou R. (dir) (2007), Mondes urbains du tourisme, Paris, Ed. Belin, Coll. Mappemonde, 360 p. Gilbert, Hancock Cl (2006), New York City and the Transatlantic Imagination: French and English Tourism and the Spectacle of the Modern Metropolis, 1893-1939, Journal of Urban History, vol 33 n 1, 77-107 Gravari Barbas, Fagnoni (dir.), Métropolisation et tourisme, comment le tourisme redessine Paris, Belin, Collection Mappemonde, Grésillon Boris, (2002), Berlin, métropole culturelle, Belin, Paris, 352 p., (Mappemonde) Hannigan J. (1998), Fantasy city : pleasure and profit in the postmodern metropolis, London, Routledge, 239 p. Judd, Fanstein, The tourist city, Yale University Press, New Haven and London Maitland R., Newman P. (2009), World Tourism Cities: developing tourism off the beaten track. London: Routledge. Sassen Saskia, 1996, La ville globale, New York, Londres, Tokyo, Descartes et Cie, 530 p., (Les urbanités)

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Weaver David (2006), The distinctive Dynamics of Exurban Tourism, International Journal of Tourism Research, N°. 7, pp. 23-33 Mode d’évaluation : examen

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Evénementiel et projet urbain

Edith Fagnoni

Géographe, MCF – HDR à Paris IV Sorbonne


ATER en géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne La multiplication des événements urbains, toutes approches catégorielles confondues - sportifs, culturels, artistiques, festifs -, trouve sa logique dans un contexte de challenge, où les villes cherchent l’originalité, la différence, pour se démarquer tout en entrant en concurrence. La question de l’attractivité territoriale sous-tendant cette démarche, est désormais essentielle pour les villes qui veulent se maintenir dans la compétition. Elles élaborent toutes des calendriers événementiels où la fréquence des « rendez-vous urbains » devient une constante. Il s’agit d’un moment privilégié où la ville sort de l’ordinaire, pour héberger l’imaginaire. L’événement apparaît comme une des manières de façonner la ville, il devient donc un outil de développement. Ainsi, véritable source d’innovation, de créativité, l’événement est donc de plus en plus incorporé aux projets urbains. L’événementiel constitue une occasion importante pour réinterroger les territoires urbains. De l’éphémère à la pérennité : comment inscrire l’événement dans la durée ? Comment adosser l’événement temporaire sur des structures permanentes ? A travers l’importance de ce prisme événementiel, ce cours insistera d’une part, sur l’articulation entre projet éphémère et pérennité et, d’autre part, sur l’inauguration d’une nouvelle cospatialité entre populations résidentielles, visiteurs et touristes. Le concept d’ « événement spatial » se trouve mis en discussion dans ce cours. Planning des séances de cours : - 16 septembre 2014 : 14h – 19h : Construction du concept d’ « événement spatial » : Projet urbain et approche théorique / Evénementiel et projet urbain / L’appétence pour l’architecture événementielle : l’exemple des nouveaux musées : un événement spatial ? (Exemple du centre Pompidou-Metz et du Louvre-Lens) (Edith Fagnoni) - 22 septembre 2014 : 14h – 19h : L’événementiel, outil de développement urbain. Appropriation/réappropriation de l’espace par l’événement : Exemple de projets éphémères : Paris-plage (Edith Fagnoni) - 07 octobre 2014 : L'inscription de l'événementiel musical dans la ville : l'exemple des festivals de rap (Séverin Guillard) - 04 novembre 2014 : Jeux Olympiques, Coupes du Monde : les enjeux urbains des grands événements sportifs (Séverin Guillard) Mode d’évaluation : Support bibliographique - Fagnoni E. et Lageiste J. (dir) (2009), L’événementiel et les villes touristiques, numéro thématique, BAGF Bulletin de l’Association de Géographes Français, n°3. - Gravari-Barbas M. (2000), La ville festive. Espaces, expressions, acteurs, Université d’Angers, 3 volumes, http://www.divshare.com/download/643360-f4c - Gravari-Barbas M., Jacquot S. (2007), « L’événement, outil de légitimation de projets urbains : l’instrumentalisation des espaces et des temporalités événementiels à Lille et Gênes », Géocarrefour, vol. 82/3, URL : http://geocarrefour.revues.org//index2217.html.

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- Masboungi A. (dir.) (2004), Penser la ville par les grands événements : Gênes, Ed. La Villette. - Pradel B. (2007), « Mettre en scène et mettre en intrigue : un urbanisme festif des espaces publics », Géocarrefour, vol. 82/3.

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UE 4

Méthodologies

Méthodologie de la recherche

Séverin Guillard 4 heures


Sébastien Jacquot 6 heures


Objectifs du cours Ce cours constitue un prolongement des enseignements méthodologiques du Master 1. Le mémoire, conduit sur deux ans, est supposé déjà bien avancé (définition d’une problématique et des hypothèses, préparation de l’état de l’art, démarche méthodologique entamée et premiers travaux de terrain), pour les étudiants issus du Master 1 Tourisme DATT, et il fait déjà l’objet d’un suivi par le directeur – directrice de mémoire. Une première partie de ce cours est consacrée à l’écriture du mémoire (y compris dans son iconographie), la seconde partie aux enjeux et techniques de la méthode d’observation. Un accompagnement plus spécifique est proposé pour les étudiants nouveaux entrants.

Créneau Séance

16 septembre 10h 13h – S. Jacquot La conduite du projet de mémoire en Master 2 : bilan de la première année. Ecrire le mémoire.

14 octobre 9h30 12h30 – S. Jacquot Illustrer le mémoire (au service de la démonstration).

20 octobre 16h30 18h – S. Guillard Démarche ethnographique et d’observation, partie 1

21 octobre 14h 17h30 – S. Guillard Démarche ethnographique et d’observation, partie 2 (sortie de terrain)

Bibliographie (cf bibliographie sur les EPI)

Blanchet, Gotman, 1992, L'enquête et ses méthodes. L'entretien, Nathan Université, 125 p.

de Sardan Olivier J.-P., 2008. La rigueur du qualitatif: les contraintes empiriques de l’interprétation

socio-anthropologique, Louvain-La-Neuve: Academia-Bruylant.

Peretz, H., 2004. Les méthodes en sociologie : l’observation, Paris: Découverte.

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Weber Florence, Beaud Stéphane, 2003, Guide de l'enquête de terrain : Produire et analyser des

données ethnographiques, La Découverte, Paris, 356 p.

Mode d’évaluation : évaluation du 3e rendu de mémoire (janvier)

L’évaluation est effectuée par le directeur / directrice de mémoire, du 3e rendu de mémoire, qui

comporte un développement sur la méthodologie opérée et les premières analyses à partir des

matériaux collectés.

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Interventions de terrain en groupes (20h

Maria Gravari-Barbas

Professeur de géographie à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Dimitra Kanellopoulou


Atelier de Terrain Master Tourisme DATT M2, 2014-2015 Candidature de la France à l’Expo Universelle 2025

1. Rappel du Contexte

EXPOFRANCE 2025 a pour objet de susciter et préparer la candidature de la France à l’organisation de l’exposition universelle de 2025. L’année 2013 et le 1er semestre 2014 ont permis de susciter un véritable engouement en faveur de ce projet de candidature, tant dans les sphères économiques que politiques et territoriales. Le second semestre de 2014 et l’année 2015 seront dédiés à : -l’amplification de cette mobilisation de tous les acteurs de la société en l’élargissant au grand public -la rédaction du dossier de candidature. Les ateliers d’EXPOFRANCE 2025 constituent la 1ère étape dans l’élaboration collective du contenu du dossier de candidature. Il s’agit d’une étape de synthèse et de propositions sur la base des idées déjà émises dans le cadre du concept novateur proposé pour l’exposition universelle de 2025, à savoir : une exposition ouverte, diffuse sur le territoire, adossée à quatre « cercles » concentriques – Paris, le Grand Paris, les métropoles régionales, l’espace numérique – et implantée dans les infrastructures, espaces publics et monuments existants. Les 6 ateliers couvriront les 6 thématiques suivantes

• Modèle économique – budget - financements

• Territoires de l’exposition - urbanisme

• Accueil – hébergement (IREST, ISTHIA)

• Mobilités

• Stratégie générale et Communication

• Innovations et application du concept de « pavillon national adossé à un lieu mis à disposition »

Tous les ateliers inscriront leurs réflexions et propositions dans et autour de la valeur de l’hospitalité, proposée pour le projet de candidature à l’exposition universelle. Les ateliers : - Rôle actif des étudiants des grandes écoles et universités partenaires. Chacune des écoles ou universités partenaires en 2013, assurera le leadership sur une thématique et aura à organiser pour celle-ci : - Un atelier d’une journée à Paris - Un atelier du même format en province, via un binômage avec une école ou université de son choix sur place, - Une synthèse des travaux à présenter lors d’une journée de restitution globale

• Chaque thématique sera ainsi couverte par deux équipes : une sur Paris, une dans une métropole régionale. Dans le cas de l’atelier Accueil-Hébergement, l’IREST travaillera en collaboration avec l’ISTHIA de Toulouse.

• Dans un souci de transversalité et de complémentarité, les étudiants des différentes écoles et universités partenaires devront se répartir dans les 6 ateliers.

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• Dans le cadre d’un travail collaboratif, tous les partenaires d’EXPOFRANCE 2025 – entreprises, élus des territoires et associations d’élus, acteurs institutionnels - seront associés aux ateliers.

• Un grand événement autour d’une journée de restitution globale à raison d’une heure par atelier, questions comprises, sera organisé début février 2015 et clôturera cette seconde séquence. La troisième séquence, en 2015, sera celle de la rédaction d’un dossier de candidature.

2. Cadrage de l’ATELIER Accueil – hébergement (texte Expofrance)

La valeur « hospitalité » est au cœur du projet. Elle a vocation à être déclinée sous toutes ses facettes et à irriguer l’ensemble de l’exposition universelle pour donner a posteriori de la France l’image d’un pays particulièrement accueillant, hospitalier et universel. L’accueil concerne tous les étrangers qui se rendront à l’exposition universelle, mais également tous les Français qui se rendront en un point de l’exposition universelle. La qualité, la clarté et l’accessibilité des informations mises sur internet sont des éléments de l’accueil. Les fonctionnalités des plateformes collaboratives de la sphère numérique sont des éléments à prendre en considération. L’accueil débute physiquement dès les ports, aéroports et gares de départ vers l’exposition universelle. Il se poursuit dans les ports, aéroports, gares d’arrivée en France et en tous points de l’exposition, dans les transports, dans les restaurants, salles de spectacles, sur les sites, etc. L’hébergement constitue un point clé de l’exposition universelle et de la qualité de l’accueil. Il conviendra de pouvoir et savoir héberger dans de bonnes conditions, en 2025, des dizaines de millions de visiteurs attendus au cours des 6 mois de l’exposition universelle. Nombreuses sont les études et travaux sur les capacités hôtelières de Paris et de la France. L’Atelier a pour objet de : - Couvrir aussi largement que possible les champs de l’accueil et de l’hébergement ; - Analyser les volumes potentiels de visiteurs et établir la réflexion autour de trois hypothèses : haute, moyenne, basse, qu’il conviendra de définir et justifier ; - Faire des propositions sur les voies et moyens d’accueillir dans les meilleures conditions l’ensemble des acteurs et visiteurs de l’exposition universelle, dans l’ensemble des territoires de projet ; et ce dès le dépôt du dossier de candidature ; - Analyser la situation spatio-temporelle des capacités hôtelières traditionnelles et des projections à 2025 ; - Etudier de la façon la plus exhaustive, les modes alternatifs d’hébergement et établir des projections quant à la capacité respective des différents modes en question, là encore dans une cadre spatio-temporel - Faire des propositions en matière de signalétique pour faciliter les déplacements et le repérage

3. Objectif de l’Atelier des M2 DATT

3.1. Rappel des acquis : Un travail conséquent de « mapping » et d’analyse des hébergements « alternatifs a été effectué par les M1 DATT au cours du premier semestre 2014. Il a permis de faire le point sur les hébergements « alternatifs » existant dans Paris intra-muros et la région Ile-de-France (http://www.expofrance.fr/wp-content/uploads/2014/07/Etude-Hebergement-Alternatif-IdF.pdf). - Les étudiants du M1 GATH ont effectué un travail du mapping et d’analyse des hébergements parisiens dans le cadre du cours « Stratégies des firmes touristiques concurrentielles. Gestion des marques touristiques et hôtelières », ils ont travaillé sur les hébergements Touristiques pour les Jeunes ; sur les hébergements alternatifs marchands ; sur l’hôtellerie innovante parisienne ; sur les résidences du tourisme ; sur la localisation de l’hôtellerie parisienne au sein de la métropolisation

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- Les étudiants du M1 EDTI ont effectué un travail d’analyse des résidences du tourisme, sur l’offre hôtelière à Paris des hôtels 3, 4, 5 * et Palaces, sur l’hôtellerie économique et sur une analyse comparative de la croissance de l’offre d’hébergement avec Shanghai et Dubaï. - Les étudiants du M2 DATT et du M2 GSVT de l’année 2013-2014 avaient réfléchi sur des idées d’hébergement atypique (Urban Camping, friches, hébergement dans des universités au cours de l’été 2025).

http://www.expofrance.fr/2014/03/un-hebergement-innovant/ http://www.expofrance.fr/2014/03/un-campus-expo-2025/

3.2. Le programme de travail de l’Atelier de Terrain des M2 DATT

Les acquis considérables de l’année 2013-2014 ont permis d’avoir une idée assez précise de l’offre hôtelière ainsi que l’offre de l’hébergement alternatif dans Paris et la région parisienne. Pour le volet hébergement : Il s’agira maintenant de tirer profit des données et connaissances cumulées pour analyser les volumes potentiels de visiteurs. L’étude prendra en effet une orientation beaucoup plus prospective, permettant de prendre en compte à la fois l’évolution des volumes des visiteurs mais aussi l’évolution de leurs pratiques et attentes. Il conviendra également de réfléchir sur des propositions d’hébergement éphémère permettant de faire face à un afflux de visiteurs qui ne pourra pas être accueilli dans l’hébergement commercial ou alternatif existant (transformation d’autres lieux – universités, friches, etc. en lieux d’hébergement). Pour le volet accueil : Il s’agira de réfléchir sur : - les « portes d’entrée » (gares, aérogares) et sur la façon dont elles peuvent d’accueillir dans les meilleures conditions l’ensemble des acteurs et visiteurs de l’exposition universelle ; - des propositions de signalétique (faciliter le repérage mais aussi l’interaction avec les résidents locaux – avant, pendant et après l’exposition ; - des propositions en matière de contacts linguistiques, de savoir-vivre, d’accueil, etc… pour des publics diversifiés ;

4. Méthodologie : / pédagogie Cet atelier fait partie intégrante du cursus pédagogique des étudiants du Master 2 Développement et Aménagement des Territoires. Les étudiants du M2 DATT travailleront en groupes de 5 à 6 étudiants Groupe 1 : Analyser, anticiper les hébergements. Synthèse des travaux des étudiants M2 DATT et GSVT (2e semestre 2013) et des étudiants M1 DATT, GSVT, GATH, EDTI (1er sem 2014). Analyse de l’offre marchande existante, de sa distribution à l’échelle de la région parisienne, de ses perspectives de développement. Préconisations pour un hébergement innovant. Est-ce qu’on pourrait imaginer un accueil alternatif et éphémère? Quelles pistes de réflexion sur les potentialités d’un aménagement (partant du principe de soft) des lieux cloisonnés/dévalorisés ? Comment développer de nouveaux types d’hébergement (inspirés de tendances de house sharing etc.) ? Groupe 2 : Portes d’entrée Catégorisation et analyse des lieux susceptibles de jouer le rôle de portes d’entrée pour l’évènement. Quels attributs et quels enjeux présentent-t-ils ? Comment le visiteur pourra-t-il se sentir bienvenu du moment de son arrivée jusqu’à ses interconnexions journalières ? Parlons-nous de hubs d’une

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nouvelle génération ? Mise à niveau de portes d’entrées/sorties afin qu’elles ne restent pas des lieux de passage mais qu’elles émergent en lieux où les choses se passent. Groupe 3 : Dispositif Signalétique La signalétique ne se restreint pas aux panneaux traditionnels. Des solutions innovantes, telles que les surfaces interactives, permettent au piéton de naviguer avec flexibilité et autonomie dans l’espace de visite. Des évènements/installations artistiques peuvent être sollicités afin de rendre le mouvement pédestre/véhiculé non seulement une pratique efficace et confortable mais une vraie expérience en traversant un espace ludique et scénographié. Groupe 4 : L’accueil en amont (réseaux, etc.) Comment communiquer sur l’évènement avant son lancement? Comment assurer la résilience entre les différentes actions et acteurs en amont et au cours de l’évènement ? Comment mobiliser la société locale, attirer des supporteurs à l’international, mettre en place une plateforme de rencontre/partage qui tisse des liens avant, pendant et après l’évènement ? (Voir les propositions sur Cloud Hospitality, Le Grand Tour etc. du M2 DATT 2013-2014) Groupe 5 : Gastronomie Est-ce qu’un bel accueil ne passerait-t-il pas par la tradition culinaire, le patrimoine viticole, la quotidienneté du repas français ? Un voyage en gastronomie française est en même temps un voyage dans des cuisines du monde. Comment mettre en avant une synergie entre territoires et produits locaux ? De la cuisine moléculaire à la cantine de la rue, comment anticiper un maillage de saveurs et des professions ? Quelle pourrait être la valeur ajoutée d’un accueil gastronomique dans le contexte de tendances internationales (slow food etc.) ? Calendrier :

• 15 septembre : lancement du projet (envoi des documents aux étudiants par mail + organisation des groupes.

• 24 septembre 14-16h : Première séance de cours. Présentation d’Amélie de Chitray (Expo France) et des étudiants ayant participé eu projet en 2013-2014. Il sera demandé aux étudiants de venir avec leurs premières réflexions sur le projet. Tour de table et premières propositions.

• 25 septembre (09h30-11h00) : Atelier de lancement par Expo France. Auditorium Deloitte, 136, avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly-sur-Seine

• 3 octobre : premier rendu par groupe (4 pages)

• 6 octobre 10-12h30 : Deuxième séance de cours. Présentation des groupes sur leur avancement

• 7 novembre : deuxième rendu par groupe

• 10 Novembre 10-12h30 : Troisième séance de cours

• 3 décembre : organisation d’un atelier d’une demi-journée journée à Paris en présence des partenaires d’Expo France

• 8 décembre 10-12h30: 4e séance de cours

• 9 décembre : rendu final de tous les groupes

• 22 décembre : rendu définitif compilé par les coordinateurs du groupe

• entre 7 janvier et 28 janvier : corrections/organisation de la présentation orale du 29/01

• 29 janvier : Journée de restitution globale. Il est demandé aux étudiants qui ne seront pas en stage/apprentissage ou qui seront en stage dans la région parisienne de réserver cette date

Enseignantes : Maria Gravari-Barbas et Dimitra Kanellopoulou

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Tableau récapitulatif : évaluation Semestre 3

UE 1 : Gestion de projets (tronc commun)

Gestion budgétaire et financière des projets CT touristiques Gestion de la qualité dans les organisations CT touristiques

UE 2 : Territoires et tourisme

Tourisme et environnement CT + CC Patrimonialisation et territoires CT « City branding », construction territoriale et CC (en lien avec expo) Tourisme Tourisme et imaginaires géographiques CT Projet touristique, « mondes artificiels », CC Environnements thématiques

UE 3 : Conduite de projets touristiques

Le management de projets touristiques durables CC (dossier) Conduite et évaluation de projets touristiques

en milieu littoral CC Projets touristiques, études de cas CC Métropolisation, globalisation et tourisme CT Évenementiel et projet urbain CC

UE 4 : Méthodologies

Méthodologie de la recherche CC Interventions de terrain CC Anglais LV2 (au choix)

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M2 DATT semestre 2

Stage de M2

Obligatoire, 3 mois minimum

Autorisé par le responsable de formation, suivi par le directeur de mémoire Soutenance septembre (rapport de stage)

Mémoire de recherche

Suivi par le directeur - directrice Soutenance septembre

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Planning et salles

Consulter son emploi du temps Les emplois du temps de toutes les spécialités sont à consulter sur internet :

https://irest.urbaonline.com/

Il est nécessaire de s’y reporter régulièrement pour vérifier les salles, connaître d’éventuels changements d’emploi du temps. En effet, ce site est actualisé en temps réel.

Calendrier : journées de cours et journées en entreprise Pour permettre l’apprentissage, un calendrier de jours de cours est établi (cf urba)

Formation Journées de cours Semaines entières de cours

Master 1 Tronc Commun Semestre 1

Mercredi, jeudi, vendredi, samedi Semaines 38,

Master 1 DATT et GSVT Semestre 2 Janvier

Mercredi, jeudi, vendredi, samedi /

Master 1 DATT et GSVT Semestre 2 Février - avril

Lundi, mardi, samedi Semaines 7

Attention : semaine 15 : cours les

mercredi, jeudi, vendredi, samedi

Master 1 EDTI et GATH Semestre 2

Mercredi, jeudi, vendredi, samedi /

Master 2 DATT et GSVT Lundi, mardi, mercredi, samedi Semaines 40, 43, 51

Master 2 EDTI et GATH Jeudi, vendredi, samedi Semaines 40, 43, 51

Ces journées de cours sont entièrement balisées « cours ». Il n’est pas possible de prendre sur ces journées pour son apprentissage ou son stage, même si en début d’année une demi-journée semble vide. Les plages vides permettent de faire face aux imprévus (cours décalé, sortie terrain, atelier terrain, etc).

Assiduité L’assiduité aux cours est obligatoire. Les absences sont notées par les enseignant.e.s. Toute absence est à justifier auprès du secrétariat (secrétariat médical), et par mail à l’enseignant.e concerné. Deux absences non justifiées au maximum par semestre sont admises ; au-delà l’obtention du diplôme n’est pas garantie.

Liste des salles de cours et adresses

Salle Adresse Matériel projection

Amphithéâtre Descartes, Sorbonne Rue de la Sorbonne, 75005

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Paris (métro Luxembourg ou Cluny-Sorbonne)

Salle D630, Sorbonne Rue de la Sorbonne, 75005 Paris Galerie Richelieu – RDC (métro Luxembourg ou Cluny-Sorbonne)

1 Vidéoprojecteur, à emprunter à la loge





Salle 2, Panthéon Place du Panthéon, 75005 Paris (escalier K 2e étage) (métro Luxembourg)

1 vidéoprojecteur à réserver auprès de l’appariteur (loge RDC)

Salle 303, Institut Michelet 3 rue Michelet 75006 Paris (salle 3e étage, juste à la sortie de l’escalier) (métro Port Royal ou Luxembourg)

Vidéoprojecteur et PC installés en salle

Salle 106, Institut Michelet 3 rue Michelet 75006 Paris

Vidéoprojecteur et PC installés en salle, et prise supplémentaire pour ordinateur portable

INHA, Salle Demargne 2 rue Vivienne, 75002 Paris (métro Bourse, Pyramides, Palais Royal)

Vidéoprojecteur et PC installés en salle Ouverture de la salle par l’appariteur

INHA, Salle Grodecki 2 rue Vivienne, 75002 Paris (métro Bourse, Pyramides, Palais Royal)


INHA, Salle Perrault 2 rue Vivienne, 75002 Paris (métro Bourse, Pyramides, Palais Royal)


Salle Tolbiac 302, Centre 17 rue de Tolbiac

17 rue de Tolbiac 75013 Paris (métro Biblio. F. Mitterrand)

Vidéoprojecteur à réserver (loge accueil)

Salle Tolbiac 404, Centre 17 rue de Tolbiac 17 rue de Tolbiac 75013 Paris

17 rue de Tolbiac 75013 Paris (métro Biblio. F.


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(métro Biblio. F. Mitterrand) Mitterrand)

Salle Tolbiac 405, Centre 17 rue de Tolbiac 17 rue de Tolbiac 75013 Paris (métro Biblio. F. Mitterrand)

17 rue de Tolbiac 75013 Paris (métro Biblio. F. Mitterrand)


Salle Tolbiac, Centre Pierre Mendès France

90 rue de Tolbiac 75013 Paris (métro Olympiades)

Amphithéâtre du Lycée Claude Monet

1 rue docteur Magnan, 75013 Paris Amphi en sous-sol (à gauche en entrant) (métro Olympiades, Tolbiac ou Place d’Italie)

Vidéoprojecteur à l’accueil RDC

Fondation Hellénique, Cité Universitaire Internationale de Paris

47 B Boulevard Jourdan 75014 Paris (métro Porte d’Orléans ou Cité Universitaire)

Vidéoprojecteur à l’accueil (installation sur demande)

Maison de la Tunisie, Cité Universitaire Internationale de Paris

45 A Boulevard Jourdan 75014 Paris (métro Porte d’Orléans ou Cité Universitaire)

Vidéoprojecteur et micro-ordinateur installés

Attention : il est nécessaire de se munir de sa carte d’étudiant pour accéder aux salles.

Enseignants munis d’un portable Mac : prévoir l’adaptateur pour le vidéoprojecteur.

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Le stage et le rapport de stage Le stage Le stage en Master 1 DATT est obligatoire. Il a lieu sur une période de 10 semaines minimum, et est soumis à la législation sur les stages :

• Obligation de réalisation d’une convention de stage avant le début du stage, tripartite (signée par l’entreprise, l’étudiant.e, l’IREST)

• Indemnité légale pour deux mois de stage, selon la législation en vigueur

• Obligation de réalisation de missions en conformité avec les études menées Procédure pour la mise en œuvre du stage Voici les étapes :

• La recherche de stage est personnelle, effectuée par chaque étudiant.e, qui sélectionne les annonces auxquelles répondre

• Dès qu’une proposition de stage se concrétise, l’étudiant.e envoie au responsable de spécialité un mail l’informant du nom de l’entreprise, de la durée du stage, du lieu du stage, d’un descriptif clair des missions proposées

• En cas de refus, il faut chercher un autre stage : le refus est motivé par l’inadéquation des missions (par exemple elles ne correspondent pas au niveau de formation Master, ou au domaine de la spécialité)

• En cas d’acceptation du stage : l’étudiant télécharge sur le site de l’IREST la convention de stage, qu’il fait remplir en trois exemplaires et signer par l’entreprise, puis par lui, et enfin par l’IREST

• La responsable de l’IREST, et par délégation le responsable de la spécialité, peut signer la convention de stage. Elle est alors remise à Mme Fleury (gestionnaire administrative des M1).

• Chaque partie reçoit un exemplaire : l’IREST, l’entreprise, l’étudiant.e.

Trouver un stage La recherche de stages est personnelle : elle peut prendre appui sur les ressources suivantes :

• Sites spécialisés (type rezotour ou espaces) • Le site de Paris 1 : reseaupro.univ-paris1.fr • Envoi d’offres de stage par l’IREST • Catalogue des stages effectués les années précédentes par les étudiants de l’IREST,

permettant une candidature spontanée • Candidatures spontanées

La réalisation d’un CV et d’une lettre de motivation est très importante. Précisions (réponses aux questions fréquentes) :

• Il est interdit d’accepter et de signer une convention sans accord préalable de l’IREST.

• Il est possible de faire deux stages, si la durée totale atteint ou dépasse 10 semaines. Une césure entre les deux stages est possible. L’indemnité de stage n’est en revanche due que si la durée atteint 10 semaines dans une même structure.

• Il est possible de réaliser son stage à mi-temps ou temps réduit : auquel cas la durée du stage et l’indemnité sont calculés en fonction, au prorata.

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• Une césure au sein d’une même structure ne supprime pas l’obligation de paiement de l’indemnité dès lors que la durée totale dans une même structure atteint 10 semaines (ou plus si temps réduit).

• Les stages réalisés à l’étranger ne suivent pas le modèle français : la convention de stage peut être adaptée, ainsi que l’indemnité.

• Les stages de plus de 6 mois sont interdits.

• Les stages allant au-delà de la période d’inscription universitaire (l’année civile en cours) sont interdits.

• Les stages ne peuvent empiéter sur le calendrier de cours de l’IREST et doivent se conformer au calendrier de l’apprentissage. Ils ne seront pas acceptés sinon.

Le rapport de stage – évaluation et passage en M2 En Master 1 le stage ne fait pas l’objet d’une notation. La réalisation d’un rapport de stage est néanmoins obligatoire pour valider l’accès en Master 2. Il doit être envoyé au directeur de mémoire, fin août, par mail, avec copie au responsable de la spécialité de Master. Le directeur de mémoire envoie à l’étudiant.e une appréciation non notée sur le rapport de stage, dans les deux mois qui suivent. Le rapport de stage - structure La finalité du rapport de stage est de développer une analyse et réflexion personnelle sur le contexte du stage (secteur d’activités, entreprise), l’expérience de stage (missions), l'acquisition de compétences professionnelles, et l’articulation avec le projet professionnel. Le rapport de stage comporte en M1 de 10 à 15 pages (hors page de garde, table des matières, annexes). Il est composé de :

• La page de garde, avec les éléments suivants : « Rapport de stage », nom de l’étudiant, « Université Paris 1 Panthéon Sorbonne », IREST, « Master 1 Tourisme », intitulé exact de la spécialité, année universitaire, nom du tuteur en entreprise, nom du directeur de mémoire.

• Une table des matières paginée

• Une introduction qui rappelle le contexte du stage et les missions (1 page à 2 pages)

• Un plan structuré, avec par exemple une première partie consacrée à la présentation de l’entreprise et du secteur d’activités, en en faisant apparaître les enjeux, une seconde partie consacrée à la présentation des missions et du rôle de l’étudiant.e dans leur réalisation, et une dernière partie qui fait le bilan des compétences et savoir-faire acquis, en lien avec la formation et le projet professionnel

• Une conclusion

• Eventuellement des annexes Le suivi du stage Voici les différents documents qui composent le rapport de stage :

Avant le stage La convention de stage en trois exemplaires, signée par l’étudiant.e, l’entreprise, puis le responsable du Master

Modèle de convention sur le site de l’IREST A remettre signée à l’IREST (gestionnaire administrative)

Au début du stage dans les 15 jours

La fiche navette 1 d’entrée en stage, Rempli par l’étudiant.e

Fiche navette entrée de stage à télécharger sur le site de l’IREST Envoi en pdf par mail au

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directeur de mémoire, responsable du master, et gestionnaire administrative du M1

Avant la fin du stage La fiche navette 2 de fin de stage Rempli par l’étudiant.e

Fiche navette de fin de stage à télécharger sur le site de l’IREST Envoi en pdf par mail au directeur de mémoire, responsable du master, et gestionnaire administrative du M1

A la fin du stage Le questionnaire « évaluation du stage par l’étudiant » Rempli par l’étudiant.e

Envoi en pdf par mail au directeur de mémoire, responsable du master, et gestionnaire administrative du M1

A la fin du stage L’évaluation du stagiaire par l’entreprise Rempli par le tuteur en entreprise du stagiaire

Envoi en pdf par mail au directeur de mémoire, responsable du master, et gestionnaire administrative du M1

Fin août Le rapport de stage Réalisé par l’étudiant.e

Envoi en pdf par mail au directeur de mémoire, copie au responsable du master

Ces différents documents sont à télécharger sur le site de l’IREST : http://www.univ-paris1.fr/ufr/irest/apprentissage-stage/stage/

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L’apprentissage et le rapport de stage - apprentissage L’apprentissage En M1 comme en M2, il est possible de réaliser son année en alternance, via un contrat d’apprentissage. Le contrat d’apprentissage est un contrat de travail. Voir les modalités auprès du CFA Stephenson.

Le calendrier d’alternance Le calendrier de l’année garantit un certain nombre de jours de présence en entreprise, en définissant les journées de scolarité et les journées en entreprise. Quelques semaines dans l’année sont intégralement dédiées à la scolarité à l’IREST. Chaque spécialité a son propre calendrier d’alternance. L’alternance suit obligatoirement le calendrier d’alternance, consultable sur https://irest.urbaonline.com/. Chaque spécialité a son propre calendrier d’alternance. Le CFA Stephenson 48 rue Stephenson, 75018 Paris Procédure pour la mise en œuvre de l’apprentissage Deux possibilités :

• L’étudiant.e identifie une offre d’apprentissage

• L’étudiant se porte candidat à une proposition d’apprentissage de la part du CFA

Le rapport de stage – évaluation, structure et passage en M2 L’apprentissage donne lieu à la rédaction d’un rapport, qui a le même calendrier, les mêmes effets et la même structure que le rapport de stage.

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Le mémoire de recherche A l’issue du semestre 2 du Master 2, l’étudiant(e) soutient un mémoire de recherche. Ce mémoire est préparé durant la scolarité à l’IREST, depuis le début du Master 1. Il constitue un élément essentiel du parcours de formation au sein de l’IREST. Ce mémoire doit s’appuyer sur une problématisation, une analyse, la mise en œuvre d’une méthodologie adaptée aux questionnements et permettant la production de données pertinentes. Bien qu’il soit souhaitable qu’il soit articulé à un projet professionnel, il constitue un rendu spécifique, qui ne doit pas déboucher sur des recommandations ou des propositions. Sont valorisés les qualités d’analyse, de construction conceptuelle, de mise en œuvre de méthodologies, de présentation et valorisation de résultats originaux. Il s’agit, au sein d’un Master professionnel, d’un véritable mémoire de recherche. Ce guide du mémoire présente les attendus formels, les étapes de réalisation, les procédures en lien avec la soutenance. Il complète les cours de méthodologie du mémoire, en Master 1 et Master 2. Le calendrier de la réalisation du mémoire, du Master 1 à la soutenance en Master 2 Ce mémoire est dirigé par un enseignant de l’IREST. Il peut éventuellement être co-dirigé par un professionnel, ou un enseignant-chercheur d’une autre structure. Il fera l’objet d’une soutenance à la fin du 4e semestre (juillet et septembre 2013, puis juin et juillet 2014) devant un jury composé du directeur ou de la directrice du mémoire et d’un second membre du jury (le co-directeur le cas échéant). Le mémoire, un travail sur 4 semestres, avec 4 rendus intermédiaires Quatre rendus successifs sont demandés dans le cadre de l’élaboration du mémoire, permettant un accompagnement pédagogique et une avancée régulière du mémoire.

• Semestre 1 : la proposition de mémoire • Semestre 2 : le bilan Master 1 du mémoire et le projet enquêtes • Semestre 3 : le bilan enquêtes • Semestre 4 : le rendu provisoire du mémoire • Semestre 4 : le rendu définitif du mémoire

Les rendus des semestres 1 et 3 sont notés dans la cadre des cours de méthodologie. Le rendu du semestre 2 est intégré à la décision du passage en Master 2, et pour les étudiants n’ayant pas validé le cours de méthodologie au Semestre 1 constitue le rendu de rattrapage. Le dernier correspond à la fin des travaux et donc au mémoire sous sa forme finale et permet d’autoriser, après avis du directeur du mémoire, la soutenance. 1er rendu, à la fin du 1er semestre (Master 1) : La proposition de mémoire Définition du périmètre du sujet de recherche envisagé, définition du sujet, exploration des sources et des ressources existantes.

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Il est demandé à l’étudiant(e) de produire un texte d’environ dix pages, accompagné d’une bibliographie approfondie et d’une liste de sources. Les entretiens exploratoires éventuellement effectués doivent également être mentionnés. La liste des sources contient à la fois les ouvrages déjà consultés par l’étudiant(e), lesquels doivent apparaître en gras, mais également les ouvrages et articles de référence à consulter dans la suite du travail de construction du mémoire. La bonne constitution et présentation de la bibliographie (classement, normes de présentation, etc.) est un élément important de l’évaluation du travail effectué. A la fin du premier semestre, l’équipe enseignante définit et diffuse la liste des directeurs de mémoire. A partir de ce moment, le directeur du mémoire devient l’interlocuteur privilégié de l’étudiant. Les questions relatives au mémoire devront être abordées avec lui et pas avec l’équipe administrative. 2e rendu, à la fin du 2e semestre (Master 1) : le Bilan M1 Elaboration de la problématique, définition des hypothèses, proposition d’une méthodologie, esquisse de plan. Un document d’environ 15 pages est demandé, comprenant la présentation - éventuellement recadrée - du sujet, à la lumière de l’évolution de la réflexion et des connaissances accumulées, la présentation de la problématique et des hypothèses ainsi que de la méthodologie envisagée pour répondre aux hypothèses proposées. Une réactualisation de bibliographie est également demandée. Le rendu de la fin du 2e semestre constitue une étape importante pour l’avancement des travaux de recherche et est pris en compte pour le passage en M2. L’évaluation et la décision de validation du sujet et de la problématique proposés prend essentiellement en compte quatre critères : - le contexte et le contenu du sujet, - la dimension universitaire de ce travail de réflexion, - la mise en forme de la problématique. - la définition d’une méthodologie appropriée. 3e rendu, à la fin du 3e semestre (Master 2) : Application de la méthodologie Test des méthodologies proposées, élaboration des enquêtes, premiers résultats. Il est demandé de se confronter aux terrains d’étude par l’intermédiaire d’entretiens de recherche, d’enquêtes par questionnaires, de démarches d’observation, de collecte de données, etc. Un document d’environ 15 pages est demandé à la fin du 3e semestre accompagné d’annexes (premiers entretiens retranscrits, questionnaires, fiches d’observation, etc.) et une bibliographie réactualisée. 4e rendu, à la fin du 4e semestre : le mémoire définitif pour soutenance Le rendu du mémoire intervient à la fin du 4e semestre, début septembre. Les soutenances ont lieu fin septembre, à des dates définies par l’administration, lors de journées banalisées par l’équipe pédagogique.

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Quelques consignes sur la forme des documents fournis à la fin des 1er, 2e et 3e semestres - le fichier numérique sous format "Word" (et surtout pas "pdf") - c'est un document paginé ; - il comporte en tête de la première page le nom, prénom, spécialité du Master et adresse e-mail de l'étudiant ; - le nom du document reprend au moins votre nom : exemple : projmemoire_M2_GATH_ 2011_Nom - la forme des différents rendus doit correspondre aux documents communiqués (celui-ci notamment) et aux séances de méthodologie de la recherche par spécialité ; Cas des étudiants entrant directement en Master 2 Les étudiants entrant directement en Master 2 remettent les documents suivants : 1er rendu, à la fin du 1er semestre : La proposition de mémoire et la méthodologie Calendrier de soutenance (Master 2) Il y a une unique session de soutenance du mémoire, fin septembre de l’année en cours. Les dates communiquées pour les soutenances constituent des dates impératives de soutenance. La soutenance (septembre de la fin du M2) La soutenance dure 45 minutes : 15 à 20 minutes de présentation orale par l’étudiant (selon les jurys), 20 mn d’échanges avec le jury, 5 mn de délibération. Le jury est composé de deux personnes au moins, dont le directeur / directrice de mémoire. Généralement la soutenance du mémoire est couplée avec celle du rapport de stage de M2. La soutenance orale n’est pas un résumé du mémoire. Mise en ligne des mémoires : La mise en ligne des mémoires ne concerne que le mémoire, et pas le dossier d’outils méthodologiques ni le résumé. Elle est proposée pour les bons et très bons mémoires, après acceptation par l’étudiant de la mise en ligne (formulaire à remplir le jour de la soutenance). La mise en ligne est effectuée sur le site de l’IREST jusqu’en 2012-2013, et désormais depuis l’année 2013-2014 sur l’application DUMAS (Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance), à l’adresse suivante : http://dumas.ccsd.cnrs.fr/. Relation avec le directeur – directrice de mémoire : Le directeur / la directrice de mémoire est défini à l’issu du semestre 1 du Master 1, lorsque le premier projet de mémoire est rendu. Il peut être un enseignant de l’IREST, ou une personne extérieure en interaction avec l’équipe pédagogique de l’IREST. C’est le responsable de formation qui informe les étudiants de leur directeur ou directrice de mémoire, et pas ces derniers qui les sollicitent. Le directeur de mémoire évalue également le rapport de stage du M1 (non noté, transmission de recommandations), et le rapport de stage du M2 qui fait l’objet d’une soutenance orale couplée à la soutenance du mémoire.

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Ressources numériques en ligne L’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne met à disposition des outils de diffusion en ligne des contenus pédagogiques : les EPI (espaces pédagogiques interactifs).

https://cours.univ-paris1.fr/ Sélectionner l’UFR 21 – IREST, puis l’espace de cours correspondant à votre spécialité.

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Le voyage d’études Le voyage d’étude aura lieu en octobre 2014, à Bruxelles. Il est réservé aux étudiants de Master 1, dans la limite des places disponibles. Le voyage d’études est un voyage d’intégration trans-spécialité, réservé aux étudiants de M1 dans la limite des places disponibles, visant à appréhender un certain nombre de problématiques touristiques, patrimoniales, hôtelières, internationales, à partir de la rencontre de professionnels et la visite de sites emblématiques. Le programme sera disponible sur le site de l’IREST. La participation au voyage vaut respect des différentes visites prévues par le programme. Modalités de prise en charge et financement : Prise en charge par l’IREST du transport pour se rendre à Bruxelles, de l’hébergement, et des visites sur place prévues dans le programme. Attention : pour les visites : si vous devez avancer une entrée prévue par le programme, elle sera remboursé à condition de garder le justificatif. A la charge des participants : nourriture et transports sur place. Modalités d’inscription : Le 24 septembre date limite de réception des dossiers d’inscription auprès de Nadège Fleury à Bourg-la-Reine. Dans la limite des places disponibles, dans l’ordre de réception des dossiers L’organisation du voyage d’étude 2015 : à partir de 2015, le voyage d’étude des M1 de la promotion suivante est organisé par les étudiants de l’IREST (8 étudiants des 4 spécialités de M1, durant le second semestre du M1).

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Vos contacts

Scolarité Privilégiez le mail au téléphone.

Gestion de la scolarité en Master 1, gestion des stages M1

Nadège Fleury [email protected] 0179419021

Gestion de la scolarité en Master 2, gestion des stages M2

Marie-Line Rabot [email protected] 0179419023

Centre de documentation, gestion des mémoires Alice Asseghli [email protected] 0179977168

Responsable administratif [email protected]

Communication

Jamela Ysati [email protected]

Gestion de la scolarité Licence, gestion des vacations

Aline Mudard [email protected] 0179419021

Apprentissage : CFA Stephenson (rue de Stephenson, 75018 Paris)

Arnaud Robert, responsable de formation Tourisme et Hôtellerie [email protected] Dan Coulangeon [email protected]

Responsable du diplôme Master Tourisme et directrice de l’IREST : Maria Gravari-Barbas, [email protected] Responsable des relations internationales à l’IREST : Xavier Decelle Responsable de la spécialité DATT : Sébastien Jacquot, [email protected] Au quotidien, le contacter par mail pour :

• Faire valider les missions de stage et le principe d’un stage

• Toute question concernant la spécialité, son orientation

• Des difficultés ayant un impact sur la conduite de la scolarité Le directeur de mémoire :

• Responsable des orientations scientifiques et pratiques de recherche du mémoire

• Référent du stage côté IREST : il donne son appréciation non notée du rapport de stage de M1, et évalue le rapport de stage de M2

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Liste et mails des intervenants du Master Equipe pédagogique de l’IREST

Enseignant Présentation Mail

Jean-Michel Chapuis MCF HDR Gestion Responsable Licence Pro Responsable Master EDTI

[email protected]

Xavier Decelle Maître de Conférences en Economie Responsable Master GATH

[email protected]

Maria Gravari-Barbas Professeure de géographie Responsable Master Tourisme Responsable Master GSVT

[email protected]

Séverin Guillard ATER en géographie [email protected]

Dimitra Kanellopoulou ATER en géographie [email protected]

Sébastien Jacquot Maître de conférences en géographie Responsable Master DATT

[email protected]

Frédéric Thomas PAST en économie [email protected]

Jean-Michel Tobelem PAST-MCF sciences de gestion [email protected]

Sarah Zararek ATER [email protected]

Intervenants à l’IRESTen Master DATT

Véronique Antomarchi historienne et géographe, enseignante à Paris V Descartes

veronique.antomarchi @parisdescartes.fr

Antoine Beyer Géographe des transports, Chargé de recherche à l’IFSTTAR – UR Splott Paris Sorbonne

[email protected]

Jean-Michel Blanc [email protected]

Christine Bouyer Déléguée générale de l’Union nationale des Associations de Tourisme (UNAT). Historienne et géographe de formation, spécialisée en tourisme littoral, nautisme,développement territorial et tourisme social

[email protected]

Gael Chareyron enseignant-chercheur en informatique, ESILV

[email protected]

Yves Cornu Consultant en organisation et stratégie d’entreprise, Directeur associé chez « Capgemini Consulting », Docteur en sciences politiques,

[email protected]

Anne Dubosc Chargée de mission stratégique, Commissariat Général au Développement

[email protected]

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Durable. Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de la Mer

Edith Fagnoni Géographe, MCF HDR à Paris IV-Sorbonne

[email protected]

Alice Fuchs Cessot Juriste, Maître de conférences à l'université Paris 8

[email protected]

Sylvain Guyot [email protected]

Anne Hertzog MCF Géographie,Université de Cergy-Pontoise

[email protected]

Laurence Jégouzo Maître de Conférences de Droit Public, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

[email protected]

Hervé Passamar

Emanuelle Peyvel Université de Bretagne Occidentale, MCF Géographie

[email protected]

Olivier Ponti Responsable du département Recherche, Amsterdam Marketing. Président du groupe de travail « Recherche & Statistiques » du réseau European Cities Marketing

[email protected]

Andria Raharinosy Consultant en Développement Touristique

[email protected]

Michel Tiard Professeur Agrégé de Gestion [email protected]

Luc Vacher MCF Géographie, U. La Rochelle

[email protected]

Alain Vialleton Architecte Diplômé par le Gouvernement, urbaniste. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (DESS). Diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (DEA)

[email protected]

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Centre de documentation et bibliothèques Le centre de documentation Localisation : Site de Bourg-la-Reine, 16 boulevard Carnot, 92340 Bourg-la-Reine Horaires d’ouverture : lundi , mardi, jeudi, vendredi, de 10h à 12h et 14h à 16h30. Responsable : Alice Asseghli L’IREST dispose d’un fond de documentation sur le tourisme particulièrement fourni, avec des ouvrages français, anglais, italiens, brésiliens, etc, constituant un centre de références sur ces questions. Ces ouvrages scientifiques constituent un support précieux pour la réalisation du mémoire ou des exposés. Le fond documentaire n’est pas numérisé. Le catalogue des ouvrages est en ligne sur le site de l’IREST. Il n’est pas possible d’emprunter les ouvrages de l’IREST, la consultation sur place est possible. De plus l’accès aux ouvrages n’est plus en libre-service. Vous devrez vous adressés au préalable à la responsable du centre de documentation pour avoir accès aux ouvrages. L’IREST est également abonné à un ensemble de revues scientifiques (Annals of tourism research) et professionnelles sur le tourisme (notamment les publications de la revue Espaces), et archive un grand nombre de rapports sur le tourisme. En outre, il archive l’ensemble des thèses en tourisme, et des mémoires soutenus par les étudiants de l’IREST. Ressources informatiques Le centre de documentation dispose égalemnt de postes informatiques, équipés de logiciels de traitement et analyse de données : SIG (Arcgis), cartographie (Philcarto et Illustrator), analyse lexicale (Alceste et Tropes), analyse quantitative de données (Sphinx). Bibliothèques de Paris 1 : Nous vous encourageons également à fréquenter les bibliothèques de Paris 1. http://www.univ-paris1.fr/bibliotheques/ Les étudiants en DATT peuvent accéder à la bibliothèque de l’Institut de géographie. http://www.univ-paris1.fr/bibliotheque/bibgeo/ Services à distance Les étudiants de Paris 1, munis de leurs identifiants Paris 1, peuvent accéder à l’ensemble des ressources numériques en ligne (revues scientifiques type Tourism Studies, etc). http://dice.univ-paris1.fr/ Accès des étudiants de l'IREST à la base de données de l'Organisation Mondiale du Tourisme Le Service Commun de la Documentation de Paris 1 rend accessible un abonnement à une ressource en ligne : UNWTO - World Tourism Organization. UNWTO, base de données dédiée au tourisme, proposée par l'Organisation Mondiale du Tourisme. Elle inclut les livres et publications de l'OMT ("e-library") ainsi que les données statistiques ("Tourism Factbook"). UNWTO est accessible à distance à partir de votre portail Domino : http://dice.univ-paris1.fr/V?RN=317072832 http://www.univ-paris1.fr/bibliotheques/obtenir-de-laide/acceder-aux-ressources-en-ligne

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L’accès en Master 2 Sont admis de droit en Master 2 les étudiants validant leur année avec 12 ou plus de moyenne générale, et qui ont remis le rapport de stage et le rendu intermédiaire du mémoire. Ne sont pas admis en Master 2 les étudiants ne validant pas leur année à l’issue de la première session. Les étudiants ayant une moyenne comprise entre 10 et 12, sous réserve qu’ils ont remis leur rapport de stage et le rendu intermédiaire du mémoire, passent un oral de passage en M2 si ils souhaitent s’y inscrire. L’oral de passage en M2 L’oral de passage en Master 2 s’adresse aux étudiants ayant validé leur M1 en première session, avec une moyenne inférieure à 12. Il a lieu début septembre, face à un jury composé d’enseignants de l’IREST. Il appartient aux étudiant.e.s de prendre leurs dispositions pour être disponible à une éventuelle convocation à l’oral. Il vise à questionner la motivation de l’étudiant.e à poursuivre sa scolarité à l’IREST, en lien avec son projet professionnel, à vérifier que les lacunes durant le M1 ont fait l’objet d’un travail permettant d’y remédier (lecture d’ouvrages ciblés), que le stage a été formateur, et que le mémoire de recherches fait l’objet d’un travail continu. A l’issu de l’oral, l’équipe pédagogique délibère et l’étudiant est informé le lendemain de la décision. Tout étudiant convoqué à cet oral mais absent est jugé renonçant au passage en M2. Valider son Master 1 Le Master 1 est validé avec 10 de moyenne, et la remise du rapport de stage. Une seconde session est organisée pour les étudiants n’ayant pas la moyenne à l’issue du Master 1. A l’issue de la seconde session, il est possible de se réinscrire en Master 1 si l’année n’a pas été validée, à l’issue d’un échange avec le directeur pédagogique.

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Mobilité internationale L’IREST a mis en œuvre de nombreux partenariats avec des universités répartis sur tous les continents : http://www.univ-paris1.fr/ufr/irest/international Dès lors les étudiants peuvent construire leur cursus en intégrant une mobilité internationale. Cette mobilité est encouragée au 4e semestre (semestre 2 du M2), et remplace le stage obligatoire (un stage facultatif est néanmoins possible et encouragé jusqu’au 31 décembre de l’année civile). Cette mobilité est également possible sur l’année entière (semestre 3 et 4), sous réserve d’un projet professionnel cohérent. Le candidat qui est accepté en programme d’échange:

1- demeure inscrit à Paris 1 et y acquitte les frais de scolarité, 2- s’engage à étudier à temps plein dans l’université d’accueil, 3- bénéficie de la reconnaissance des crédits obtenus dans l’Université d’accueil, 4- continue de percevoir, le cas échéant, l’aide financière à laquelle son statut d’étudiant français lui donne droit.

Universités ayant une convention Erasmus avec l’IREST (ou PREPUQ pour le Canada) : Brésil, Belo Horizonte: PontifIcia Universidade Católica de Minas Gerais (PUC Minas)

Brésil, São Paulo: PontifIcia Universidade Católica de São Paulo Canada, Montréal: PREPUQ : Université du Québec à Montréal (UQAM) Espagne, Madrid: Universidad Rey Juan Carlos Espagne, Girona: Universitat de Girona Italie, Roma: Università degli Studi di Roma 'La Sapienza' Italie, Bologna: Università degli Studi di Bologna 'Alma Mater Studiorum' Italie, Cassino: Università degli Studi di Cassino Suisse, Warszawa: Uniwersytet Warszawski Pologne, Sion: Institut Universitaire Kurt Bösch Royaume-Uni, Bournemouth University

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Association d’étudiants et anciens étudiants

IRESTREA L'IRESTREA est l'association des étudiants et anciens étudiants de l'IREST. Sa mission première est de créer un véritable réseau entre les promotions actuelles et antérieures. Elle a pour vocation le renforcement de l'identité de l'institut ainsi que sa valorisation dans le milieu professionnel. L'IRESTREA organise la remise annuelle des diplômes et s'occupe de la mise en place d'un annuaire actualisé régulièrement. Enfin, l'IRESTREA est une association faite par les étudiants, pour les étudiants et encourage ainsi chacun à devenir un acteur de son avenir au sein de notre institut. Nous encourageons vivement les étudiants à adhérer à l’IRESTREA. Les frais d’adhésion sont de 5€, payable uniquement par chèque à l’ordre de l’IRESTREA et à renvoyer à l’adresse du siège. L’adhésion est valable pour l’année universitaire (de septembre à septembre). Siège : Maison des associations du 5e arrondissement – Association Irestrea – 4, rue des Arènes 75005 Paris Contact : [email protected] Contact facebook : page Irestrea

AIDA- IREST : Association Internationale des Amis de l'IREST Cette association a pour vocation d'être une plateforme d'échanges entre le monde professionnel et l'IREST. Elle a aussi pour objet de contribuer au développement et au rayonnement de l'IREST en France et dans le monde, en direction du monde universitaire, du monde de l'entreprise et de la société civile, par tous moyens. AIDA-IREST a pour vocation de regrouper des professionnels, les étudiants en cours de formation étant invités à rejoindre l'IRESTREA, association des étudiants de l'IREST, avec laquelle une convention de partenariat a été signée. En ce qui concerne les étudiants actuels de l'IREST ayant un projet entrepreneurial, AIDA-IREST peut éventuellement intervenir.

Site Internet : http://www.aida-irest.fr Contact : [email protected] Compte Twitter : https://twitter.com/AIDA_IREST

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Suivez l'IREST sur les réseaux sociaux Retrouvez l'IREST sur Twitter : https://twitter.com/IRESTParis1 Vous pourrez, en vous connectant sur le compte Twitter de l'IREST, "faire votre marché" parmi le millier d'abonnements de l'IREST et bénéficier ainsi d'un outil de veille personnalisé, dans le cadre de vos recherches : informations en relation avec le thème de votre mémoire, stages, emplois, etc. Retrouvez l'IREST sur Facebook : "Institut de Recherche et d'Études Supérieures du Tourisme" https://www.facebook.com/pages/Institut-de-Recherche-et-d%C3%89tudes-Sup%C3%A9rieures-du-Tourisme-IREST-Paris-1/125684304191326 Vous pourrez aimer la page Facebook de l'IREST, et bénéficier de ses flux d'information, en bénéficiant de nouvelles actualisées sur ses activités et celles de ses partenaires, les anciens étudiants de l'Institut, les événements marquant du tourisme, etc.

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Les bonifications

Préparation du voyage d’étude en Master 1 Le bonus voyage concerne les Master 1 au second semestre, de 0,5 point sur la moyenne du second semestre. Il implique une aide active dans la préparation du voyage d’étude de la promotion de Master 1 de l’année suivante. 8 étudiants (2 de chaque spécialité) sont choisis sur motivation pour la préparation du voyage d’études. Ils accompagneront également le voyage. Les candidatures sont à envoyer avec leur motivation pour le 15 janvier à J-M Chapuis, X. Decelle, M. Gravari-Barbas, S. Jacquot. La préparation au voyage implique l’identification de solutions d’hébergement et de transport, et la mise en œuvre d’un programme de visites sur les thématiques touristiques, avec rencontre de professionnels.

Parrainage des étudiants étrangers L'obtention d'une bonification pouvant aller jusqu'à 0,5 point par semestre pour les parrains / marraines d'étudiants étrangers (et les coordinatrices). Les parrainés ne reçoivent pas de bonification. Document lié :

• Annexe X : Charte IREST du parrainage des étudiants étrangers

• Fiche d’inscription pour devenir parrain / marraine :

• Fiche d’inscription pour être parrainé :

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Annexes : les documents utiles durant la scolarité Stages (à télécharger sur le site de l’IREST)

• Modèle de convention de stage

• Fiche navette entrée et sortie de stage

• Evaluation du stage par l’étudiant

• Evaluation du stagiaire par l’entreprise Parrainage des étudiants étrangers • Charte IREST du parrainage des étudiants étrangers • Fiche d’inscription pour devenir parrain / marraine : • Fiche d’inscription pour être parrainé : Ateliers terrain

• Présentation atelier terrain M1 DATT 2014 - 2015

• Présentation atelier terrain M2 DATT 2014 _ 2015 Conférences

• Consignes pour le compte rendu des conférences de l’IREST

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CHARTE "IREST" DU PARRAINAGE DES ETUDIANTS ETRANGERS

2014-2015 Depuis sa création, l'Institut de Recherche et d'Études Supérieures du Tourisme

accueille chaque année une proportion significative d'étudiants étrangers issus du monde entier. L'IREST a pour vocation de leur apporter une formation indispensable à leur carrière professionnelle, mais leur présence est également une richesse pour l'ensemble des étudiants, les enseignants et l'Institut.

Toutefois, chacun est conscient des problèmes éventuels qu'ils peuvent et pourront connaître, en matière d'intégration, dans divers domaines : la pratique d'une langue qui n'est pas leur langue maternelle, leur évolution dans le monde universitaire français, les contacts avec les entreprises, etc. Ces problèmes étant réels, il n'est pas du tout dévalorisant pour un étudiant étranger d'avoir recours au parrainage, qui peut apporter également beaucoup aux parrains et marraines sur le plan culturel.

Le système informel d'entraide entre étudiants, qui existe déjà, est donc complété par cette Charte "IREST" du parrainage des étudiants étranger s qui a pour objectif principal de préciser ce que les parrains/marraines et les parrainés peuvent attendre l'un de l'autre tout au long d'une démarche basée sur le volontariat, l'entraide entre étudiants et la confidentialité de l'accompagnement. Cette démarche n'est pas chronophage, elle demande juste quelques heures et un peu de disponibilité à chaque parrain dans l'année.

La démarche est la suivante, elle est décrite dans la présente charte qui sera signée par le parrain ou la marraine et l'étudiante (e) parrainé(e) :

● En début d'année et avant la fin du mois de septembre les étudiants étrangers en demande de parrainage et les étudiants français et/ou maitrisant bien le français souhaitant être parrains/marraines d'un étudiant étranger se font connaître auprès de ; - Etudiants de Licence : Aline MUDARD [email protected] - Etudiants de Master 1 : Nadège FLEURY [email protected] - Etudiants de Master 2 : Marie-Line RABOT [email protected] en remplissant un court questionnaire précisant les uns ce dont ils ont besoin, les autres ce qu'ils peuvent apporter aux premiers. Ce parrainage est réalisé et suivi sur l'année universitaire et de préférence au sein d'un même niveau de formation, pour des questions de rythmes universitaires (par exemple parrain et parrainé au sein du M1, quelle que soit la spécialité). ● Les étudiants, une fois le choix effectué, échangent les moyens de se joindre réciproquement (adresse de courrier électronique / adresse postale et éventuellement adresse Skype, contact sur des réseaux sociaux, etc.). ● Ils se rencontrent en face-à-face en cours d'année, avec une fréquence qu'ils choisissent, au moins sur une base mensuelle et complètent ces échanges par un recours au courrier électronique ou autre. ● La première rencontre doit permettre de préciser les besoins du parrainé et ce que peut apporter le parrain ou la marraine dans divers domaines (linguistiques, connaissance de l'environnement universitaires, démarches diverses, etc.). Si le parrain ou la marraine ne peut apporter des réponses et solutions à tout, il peut par contre aider le parrainé à se poser les bonnes questions et l'aider à trouver l'interlocuteur approprié.

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● Un diagnostic des problèmes rencontrés par l'étudiant étranger ou pouvant être éventuellement rencontrés en cours d'année est dressé dès que possible, par les deux étudiants. Ce diagnostic reste confidentiel; ● En fin d'année une évaluation de cette année de parrainage est réalisée par chacun des étudiants; A Paris, le ………………………………………………. Le parrain / la marraine (Signature) L'étudiant parrainé (Signature)

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2014-2015

Fiche d'inscription pour devenir parrain/marraine (Septembre 2014)

■ NOM : ■ Prénom : ■ Formation suivie à l'IREST (avec indication de l'année et de la spécialité de Master ou de la Licence) : ■ Adresse de courrier électronique : ■ Adresse postale : ■ Pays d'origine : ■ Quelle est votre langue maternelle ? : ■ Autres langue(s) parlées / écrites / lues : - - - - ■ Avez-vous une connaissance spécifique de certains pays, certaines cultures ? : ■ Avez-vous déjà parrainé un étudiant, ou apporté une aide scolaire/universitaire ou réalisé des démarches similaires ? : ■ Quel est votre projet professionnel ? ■ Quels sont vos centres d'intérêt, loisirs, possibilités de faire découvrir Paris et la France ?

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2014-2015

Fiche d'inscription pour être parrainé (Septembre 2014)

■ NOM : ■ Prénom : ■ Formation suivie à l'IREST (avec indication de l'année et de la spécialité de Master ou de la Licence) : ■ Adresse de courrier électronique : ■ Adresse postale : ■ Pays d'origine : ■ Quelle est votre langue maternelle ? : ■ Autres langue(s) parlées / écrites / lues : - - - ■ Depuis combien de temps vivez-vous en France ? : ■ Avez-vous déjà suivi des études en France ? Lesquelles : ■ Que diriez-vous de votre niveau de français parlé / écrit / lu : ■ IMPORTANT- Indiquez ici les difficultés que vous rencontrez actuellement et ce dont vous avez besoin au cours de ce parrainage : ■ Quel est votre projet professionnel ? : ■ Quels sont vos centres d'intérêt, loisirs, envies de découvrir Paris et la France ?

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ATELIER DE TERRAIN DATT, 2014-2015 Projet d’inscription des BORDS de MARNE aux itineraires culturels européens Contexte & création Le territoire des Bords de Marne qui s’étend de Charenton-le-Pont à Torcy (Base de loisirs de Vaires-sur-Marne) se caractérise par un patrimoine riche entre différentes valeurs naturelles et culturelles. Il permet notamment la pratique d’activités nautiques (canöe-kayak, aviron, croisières) mais aussi de randonnées pédestres, cyclistes ou à roller grâce à ses pistes cyclables. Véritable symbole de la culture populaire et festive locale, les guinguettes constituent un élément marquant de l’identité des bords de Marne. Leur histoire est liée aux loisirs ouvriers et aux «Dimanches au bord de l’Eau ». Le Comité Départemental du Tourisme du Val-de-Marne, auparavant en charge du Pôle touristique régional des Boucles de la Marne, travaille depuis longtemps sur ce territoire. Il a notamment réalisé une étude stratégique d’orientation et de développement de ce pôle en 2008 et une journée d’évaluation de son potentiel naturel, culturel et immatériel en septembre 2013. Le cabinet en charge de ce diagnostic l’accompagne désormais dans une certification dans le cadre des Itinéraires Culturels Européens. Pour cela, le Comité Départemental du Tourisme du Val-de-Marne recherche des partenaires membres du Conseil de l’Europe qui partagent un patrimoine et une tradition des pratiques culturelles et sportives, des valeurs autour des cours d’eau et des loisirs nautiques populaires. Lancé en 1987, le programme des Itinéraires Culturels Européens (ICE) traduit les idéaux du Conseil de l’Europe en favorisant une meilleure compréhension de la diversité culturelle de l’Europe et de son histoire. Les ICE sont également un vecteur du dialogue interculturel. Les Itinéraires Culturels contribuent par ailleurs à l’amélioration du cadre de vie et au développement social et économique, en donnant une place de choix au tourisme culturel, ressource clé pour le développement durable. L’Itinéraire Culturel Européen peut avoir différents formats. Il peut y en avoir de physiquement inscrits dans le territoire comme par exemple les chemins de Saint- Jacques qui se basent sur de la randonnée, d'autres itinéraires sont plus thématiques comme par exemple le réseau des Villes thermales ou encore les Routes de l'Olivier qui englobent tous les pays de la Méditerranée. Chaque itinéraire n'est pas qu'un réseau de biens physiques et de patrimoines immatériels, qu’une série de coopérations ou qu’un produit touristique. Toutes ces composantes sont incluses dans chaque itinéraire, fondé sur un chemin historique, pour contribuer à l’identité européenne et aux principes de citoyenneté. Cette approche devient ainsi un ensemble de biens culturels complexes, formant un système de valeurs. Il y a une volonté de rendre plus visibles des thématiques qui sont en fait les fondements d'une culture européenne partagée, pour motiver les publics et inciter les personnes à voyager à travers l'Europe afin de faire l'expérience de l'autre mais aussi de soi-même par une découverte

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transfrontalière. En effet, la culture et la civilisation Européennes présentent une approche diversifiée par le patrimoine matériel et immatériel, ls paysages géographiques et culturels. Au-delà d'une approche touristique du projet, le Label Itinéraire Européen Culturel représente un véritable outil de développement durable, de coopération culturelle et patrimoniale européenne par une mise en place de partenariats transnationaux. C’est à la constitution de ce réseau européen, à la définition de la thématique précise et d’un programme d’actions ambitieux et néanmoins réaliste que travaille le CDT94, épaulé par MCC Héritage et un comité scientifique composé à la fois d’experts et de chercheurs mais aussi d’acteurs de terrain. Objectif du cours Le Master 1 « Développement et aménagement touristiques des territoires » est invité à travailler sur un cas d’étude concret, en sous-groupes sur différentes thématiques. L’objectif est de confronter les étudiants à la réalité professionnelle de terrain. Le projet d’Itinéraire culturel européen des bords de Marne constitue un cas d’étude intéressant pour les étudiants de la promotion qui sera accueillie en Master 1 à la rentrée 2014. L’étude produite par l’IREST –Université Paris Panthéon Sorbonne portera sur le dernier trimestre 2014 et le premier semestre 2015. Elle portera sur deux phases : - première phase (premier semestre 2014-2015) : réflexion sur quelques sujets d’études thématiques tels que

• Réflexion sur les loisirs métropolitains autour des cours d’eau

• Réflexion sur les valeurs liées à l’identité et la culture européennes

• Benchmarking européen et réflexion sur les territoires européens susceptibles d’intégrer cet itinéraire culturel européen

- deuxième phase (2e semestre 2014-2015) :

• Propositions de programme d’actions pour rendre cet itinéraire dynamique Méthodologie : / pédagogie Dans le cadre de ce cours, les étudiants et l’équipe pédagogique de l’IREST qui suivra ce cours, définiront la méthodologie de l’étude en étroite collaboration avec le Comité Départemental du Tourisme. Les sujets d’études seront définis et validés en collaboration avec le comité départemental du Tourisme. Quatre réunions au minimum seront organisées avec le Comité Départemental du Tourisme (lancement, 2 réunions de travail intermédiaires, 1 réunion de restitution). Les étudiants seront invités à présenter oralement les résultats de l’étude aux membres du Comité Scientifique (chercheurs et professionnels de terrain) et aux membres du Comité de pilotage (élus). Un rapport écrit sera remis au comité départemental du tourisme, qui tiendra compte des remarques faites lors de la réunion de restitution, sous format numérique, au plus tard le 30 mai 2015. Cet atelier fait partie intégrante du cursus pédagogique des étudiants du Master 1 Développement et Aménagement des territoires.

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ATELIER DE TERRAIN MASTER TOURISME DATT M2, 2014-2015 CANDIDATURE DE LA France A L’EXPO UNIVERSELLE 2025

5. Rappel du Contexte EXPOFRANCE 2025 a pour objet de susciter et préparer la candidature de la France à l’organisation de l’exposition universelle de 2025. L’année 2013 et le 1er semestre 2014 ont permis de susciter un véritable engouement en faveur de ce projet de candidature, tant dans les sphères économiques que politiques et territoriales. Le second semestre de 2014 et l’année 2015 seront dédiés à : -l’amplification de cette mobilisation de tous les acteurs de la société en l’élargissant au grand public -la rédaction du dossier de candidature. Les ateliers d’EXPOFRANCE 2025 constituent la 1ère étape dans l’élaboration collective du contenu du dossier de candidature. Il s’agit d’une étape de synthèse et de propositions sur la base des idées déjà émises dans le cadre du concept novateur proposé pour l’exposition universelle de 2025, à savoir : une exposition ouverte, diffuse sur le territoire, adossée à quatre « cercles » concentriques – Paris, le Grand Paris, les métropoles régionales, l’espace numérique – et implantée dans les infrastructures, espaces publics et monuments existants. Les 6 ateliers couvriront les 6 thématiques suivantes

• Modèle économique – budget - financements

• Territoires de l’exposition - urbanisme

• Accueil – hébergement (IREST, ISTHIA)

• Mobilités

• Stratégie générale et Communication

• Innovations et application du concept de « pavillon national adossé à un lieu mis à disposition »

Tous les ateliers inscriront leurs réflexions et propositions dans et autour de la valeur de l’hospitalité, proposée pour le projet de candidature à l’exposition universelle. Les ateliers : - Rôle actif des étudiants des grandes écoles et universités partenaires. Chacune des écoles ou universités partenaires en 2013, assurera le leadership sur une thématique et aura à organiser pour celle-ci : - Un atelier d’une journée à Paris - Un atelier du même format en province, via un binômage avec une école ou université de son choix sur place, - Une synthèse des travaux à présenter lors d’une journée de restitution globale

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• Chaque thématique sera ainsi couverte par deux équipes : une sur Paris, une dans une métropole régionale. Dans le cas de l’atelier Accueil-Hébergement, l’IREST travaillera en collaboration avec l’ISTHIA de Toulouse.

• Dans un souci de transversalité et de complémentarité, les étudiants des différentes écoles et universités partenaires devront se répartir dans les 6 ateliers.

• Dans le cadre d’un travail collaboratif, tous les partenaires d’EXPOFRANCE 2025 – entreprises, élus des territoires et associations d’élus, acteurs institutionnels - seront associés aux ateliers.

• Un grand événement autour d’une journée de restitution globale à raison d’une heure par atelier, questions comprises, sera organisé début février 2015 et clôturera cette seconde séquence. La troisième séquence, en 2015, sera celle de la rédaction d’un dossier de candidature.

Calendrier prévisionnel :

• 25 septembre (matin) : Briefing de tous les participants aux ateliers

• Début octobre à mi-janvier : Entre le lundi 6 octobre 2014 et le vendredi 16 janvier, à raison d’un par semaine, les 6 ateliers parisiens et 6 ateliers de province. La programmation sera établie pour début septembre.

• 1ère semaine de février : Journée de restitution globale

6. Cadrage de l’ATELIER Accueil – hébergement (texte Expofrance) La valeur « hospitalité » est au cœur du projet. Elle a vocation à être déclinée sous toutes ses facettes et à irriguer l’ensemble de l’exposition universelle pour donner a posteriori de la France l’image d’un pays particulièrement accueillant, hospitalier et universel. L’accueil concerne tous les étrangers qui se rendront à l’exposition universelle, mais également tous les Français qui se rendront en un point de l’exposition universelle. La qualité, la clarté et l’accessibilité des informations mises sur internet sont des éléments de l’accueil. Les fonctionnalités des plateformes collaboratives de la sphère numérique sont des éléments à prendre en considération. L’accueil débute physiquement dès les ports, aéroports et gares de départ vers l’exposition universelle. Il se poursuit dans les ports, aéroports, gares d’arrivée en France et en tous points de l’exposition, dans les transports, dans les restaurants, salles de spectacles, sur les sites, etc. L’hébergement constitue un point clé de l’exposition universelle et de la qualité de l’accueil. Il conviendra de pouvoir et savoir héberger dans de bonnes conditions, en 2025, des dizaines de millions de visiteurs attendus au cours des 6 mois de l’exposition universelle. Nombreuses sont les études et travaux sur les capacités hôtelières de Paris et de la France. L’Atelier a pour objet de : - Couvrir aussi largement que possible les champs de l’accueil et de l’hébergement ; - Analyser les volumes potentiels de visiteurs et établir la réflexion autour de trois hypothèses : haute, moyenne, basse, qu’il conviendra de définir et justifier ; - Faire des propositions sur les voies et moyens d’accueillir dans les meilleures conditions l’ensemble des acteurs et visiteurs de l’exposition universelle, dans l’ensemble des territoires de projet ; et ce dès le dépôt du dossier de candidature ; - Analyser la situation spatio-temporelle des capacités hôtelières traditionnelles et des projections à 2025 ; - Etudier de la façon la plus exhaustive, les modes alternatifs d’hébergement et établir des projections quant à la capacité respective des différents modes en question, là encore dans une cadre spatio-temporel - Faire des propositions en matière de formations linguistiques, de savoir-vivre, d’accueil, etc… pour des publics diversifiés - Faire des propositions en matière de signalétique pour faciliter les déplacements et le repérage

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7. Objectif de l’Atelier des M2 DATT

7.1. Rappel des acquis : Un travail conséquent de « mapping » et d’analyse des hébergements « alternatifs a été effectué par les M1 DATT au cours du premier semestre 2014. Il a permis de faire le point sur les hébergements « alternatifs » existant dans Paris intra-muros et la région Ile-de-France (http://www.expofrance.fr/wp-content/uploads/2014/07/Etude-Hebergement-Alternatif-IdF.pdf). - Les étudiants du M1 GATH ont effectué un travail du mapping et d’analyse des hébergements parisiens dans le cadre du cours « Stratégies des firmes touristiques concurrentielles. Gestion des marques touristiques et hôtelières », ils ont travaillé sur les hébergements Touristiques pour les Jeunes ; sur les hébergements alternatifs marchands ; sur l’hôtellerie innovante parisienne ; sur les résidences du tourisme ; sur la localisation de l’hôtellerie parisienne au sein de la métropolisation - Les étudiants du M1 EDTI ont effectué un travail d’analyse des résidences du tourisme, sur l’offre hôtelière à Paris des hôtels 3, 4, 5 * et Palaces, sur l’hôtellerie économique et sur une analyse comparative de la croissance de l’offre d’hébergement avec Shanghai et Dubaï. - Les étudiants du M2 DATT et du M2 GSVT de l’année 2013-2014 avaient réfléchi sur des idées d’hébergement atypique (Urban Camping, friches, hébergement dans des universités au cours de l’été 2025). http://www.expofrance.fr/2014/03/un-hebergement-innovant/ http://www.expofrance.fr/2014/03/un-campus-expo-2025/

7.2. Le programme de travail de l’Atelier de Terrain des M2 DATT Les acquis considérables de l’année 2013-2014 ont permis d’avoir une idée assez précise de l’offre hôtelière ainsi que l’offre de l’hébergement alternatif dans Paris et la région parisienne. Pour le volet hébergement : Il s’agira maintenant de tirer profit des données et connaissances cumulées pour analyser les volumes potentiels de visiteurs. L’étude prendra en effet une orientation beaucoup plus prospective, permettant de prendre en compte à la fois l’évolution des volumes des visiteurs mais aussi l’évolution de leurs pratiques et attentes. Il conviendra également de réfléchir sur des propositions d’hébergement éphémère permettant de faire face à un afflux de visiteurs qui ne pourra pas être accueilli dans l’hébergement commercial ou alternatif existant (transformation d’autres lieux – universités, friches, etc. en lieux d’hébergement). Pour le volet accueil : Il s’agira de réfléchir sur : - les « portes d’entrée » (gares, aérogares) et sur la façon dont elles peuvent d’accueillir dans les meilleures conditions l’ensemble des acteurs et visiteurs de l’exposition universelle ; - des propositions de signalétique (faciliter le repérage mais aussi l’interaction avec les résidents locaux – avant, pendant et après l’exposition ; - des propositions en matière de contacts linguistiques, de savoir-vivre, d’accueil, etc… pour des publics diversifiés ;

8. Méthodologie : / pédagogie Cet atelier fait partie intégrante du cursus pédagogique des étudiants du Master 2 Développement et Aménagement des Territoires. Les étudiants du M2 DATT travailleront en groupes de 5 à 6 étudiants

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Groupe 1 : Analyser, anticiper les hébergements. Synthèse des travaux des étudiants M2 DATT et GSVT (2e semestre 2013) et des étudiants M1 DATT, GSVT, GATH, EDTI (1er sem 2014). Proposition d’hébergements innovants Groupe 2 : Portes d’entrée Groupe 3 : Dispositif Signalétique Groupe 3 : Accueil en amont (réseaux, etc.) Les dates des rendus intermédiaires seront définies ultérieurement.

Enseignantes : Maria Gravari-Barbas (7,5) et Dimitra Kanellopoulou (12,5)

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Consignes pour la réalisation du compte rendu des conférences de l’IREST

Les conférences de l’IREST sont une des matières du M1 TOURISME de l’IREST. La présence est par conséquent obligatoire, à toutes les conférences. Le compte rendu est rédigé collectivement par un groupe d’étudiants d’une des spécialités du Master, en fonction du thème de la conférence. La répartition par spécialités est déjà effectuée (voir le programme dans le livret, p. 34). Chaque spécialité doit assurer le compte rendu de 4 conférences au total sur l’année. Au sein de chaque spécialité, les étudiants s’organisent pour constituer 4 groupes, chacun en charge du compte-rendu d’une conférence. Ce compte rendu est collectif, il est réalisé et signé par tous les participants d’un même groupe. Pensez à apporter un enregistreur numérique, que vous pourrez poser sur la table du conférencier après le lui avoir demandé. Il est possible d’emprunter un enregistreur au centre de documentation, auprès d’Alice Asseghli. Date de rendu Le compte rendu doit être rendu au plus tard 3 semaines (vacances exceptées) après la conférence Il y a un seul compte-rendu par conférence. Le document est à rendre au format Word. Il est envoyé par email à Mme Gravari-Barbas, M. Decelle, M. Jacquot, M. Jean-Michel Chapuis et M. Séverin Guillard. Il sera transformé en pdf par Mme Alice Asseghli qui procédera à sa mise en ligne sur le site de l'IREST. Le titre mentionne : 1. Le titre de la conférence 2. Le nom de l'intervenant et son statut 3. La date et le lieu 4. La formation qui a réalisé le compte rendu et la promotion Le compte rendu Il s'agit d'une retranscription aussi proche que possible du discours, mais lissée, de façon à passer de la langue orale à un texte correctement rédigé. Le plan du compte rendu reprend le plan de l'exposé. Il est possible, et même souhaitable d’organiser le compte-rendu en chapitres / unités, en fonction du sommaire énoncé par le conférencier ou de manière logique par vous-même s’il n’y a pas de découpage prévu. Vous n'avez pas à faire apparaître votre opinion personnelle ou votre évaluation de la conférence, mais à restituer de façon fidèle et claire le propos de l'intervenant. Le compte rendu, hors les débats, fait entre 6 et 12 pages rédigées, selon les normes de mise en forme définies plus bas. Si vous pouvez avoir accès aux Ppt ou documents iconographiques du conférencier et avec son accord, il est possible de les intégrer dans le texte (il est possible dans ce cas de dépasser les 12 pages). Des notes de bas de page peuvent apporter des précisions factuelles sur un terme ou la localisation d'un lieu. Retranscription des débats

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Après la conférence, il faut également reprendre les débats : précisez le nom de chaque intervenant, son statut (Ex XY, étudiant en M1 DATT), précisez la question, et la réponse faite par le conférencier. Là aussi pas en retranscrivant mais en rapportant de façon claire et synthétique les propos. Une question totalement hors sujet et/ou peu pertinente peut être passée sous silence. Mise en forme • Marges du document 1,5 cm de chaque côté (haut bas gauche droite) • Texte : Police Times New Roman 12, interligne 1,5, texte justifié, retrait 1,5 cm en début de chaque paragraphe • Titre des parties : Numérotez les parties, police 14, gras • Sous-titre (sous parties) : Times new roman, 12, gras • Il faut rendre un document sans fautes d'orthographe ou de syntaxe, précis dans son vocabulaire. • Les phrases doivent être rédigées, et ne pas donner l'impression d'une prise de notes rapide. Il ne faut pas abuser des listes à puces. • Respectez les règles de ponctuation, avec leurs espaces. • Si des rapports officiels ou des ouvrages ou articles sont cités par le conférencier, faites les apparaître en note de bas de page sous leur référence complète, selon les règles de mise en page bibliographique vues en cours. • Si des sigles reviennent, ils doivent être explicités lors de leur première occurrence dans le texte. • Pour une citation, utilisez les guillemets « … ».

Documents

ANNEE UNIVERSITAIRE 2014- 2015 - … · Ressources numériques en ligne ... "Marketing management", Pearson Education, 912 pages, 14e édition. * Lebon Yvelise, Van Laethem Nathalie