Association Cultuelle Israélite de Lille • 5 rue Auguste

InfoExpressב"ה

Association Cultuelle Israélite de Lille • 5 rue Auguste Angellier - 59000 Lille

Décembre 2014 | Kislev 5775

ACIASSOCIATION CULTUELLE ISRAELITE

L I L L E

Cinq mois se sont écoulés depuis l’élection du nouveau Conseil d’Administration. Un premier bilan s’impose naturellement.

De nombreuses activités ont été organisées les unes plus riches que les autres :

La visite à Lille de Monsieur ‘Haïm Korsia, Grand Rabbin de France, et de Monsieur Joël Mergui, Président du Consistoire Israélite de France à l’occasion de l’installation du nouveau Conseil d’Administration a mobilisé un très grand public composé de membres de la Communauté, de personnalités et d’amis. Cette rencontre a certainement insufflé une nouvelle dynamique à toute la communauté.

Nous étions très nombreux pour les recevoir et pour les écouter, et c’était d’autant plus important que nous vivons des temps difficiles tant au plan national, international et au Moyen-Orient en particulier, sans parler de ceux qui veulent importer le conflit en France.

Ce jour, les autorités communautaires ont rencontré les personnalités clés de la Région et ont exposé leur inquiétude pour l’avenir de la Communauté de l’Hexagone.

Depuis, vous êtes de plus en plus nombreux à participer aux activités communautaires.

Les fêtes de Tichri ont rencontré un franc succès notamment avec un office de Roch Hachana repensé pour que les messages de la Communauté pour la nouvelle année soient mieux appréciés par les autorités et par nos frères et sœurs.

Les Hazanim de Kippour ont su donner toute la solennité aux prières du Saint Jour. Puis, s’enchainèrent le traditionnel Kidouch du premier soir de Souccot, la soirée d’accueil des étudiants, la Soucca mobile et les visites des communautés avoisinantes, pour finir en apothéose par les danses de Sim’hat Torah et son grand Kiddouch.

Chaque vendredi soir la synagogue, se remplit et le repas des étudiants rencontre un succès grandissant. L’office de Chabbat matin est suivi d’un Kiddouch qui nous permet de nous rassembler.

Le Talmud Torah compte à présent une vingtaine d’enfants, ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps.

Chaque lundi et jeudi matin, le Rabbin réunit désormais des Minianim pour les offices.

Les conférences attirent également de plus en plus de monde. Celles-ci sont l’occasion de rencontres et d’échanges culturels de qualité. Et je pourrais poursuivre la liste d’activités tout aussi riches que diverses (C Teen, Après-Midi de la Femme, Gan Israël, EEIF…)

Alors tout va pour le mieux ! Non, pas vraiment...

Nous sommes plus nombreux, certes, mais il nous faut être encore plus nombreux. C’est le point de vue que l’on adopte face à la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine !

Trop de personnes ne sont pas encore concernées par nos propositions qu’elles soient faites par courrier ou par mail. Notre prochain défi sera de trouver des solutions pour mobiliser encore plus nos coreligionnaires.

Je veux profiter de la fête de Hanouccah qui approche pour formuler le souhait suivant : telle la lumière qui émane de nos fenêtres pour éclairer la Communauté, que nos programmes communautaires soient reçus par tous, et que chacun puisse y trouver l’activité de son choix et le plaisir à se retrouver ensemble.

Au nom du conseil d’administration, je vous souhaite une bonne fête de Hanouccah.

Eryck ZizaVice-Président

mes

sage

du

Prés

iden

t

Newsletter 2 Dec2014.indd 1 09/12/14 14:20

mes

sage

du R

abbi

n

InfoExpress

‘Hannouca commémore le miracle de la petite fiole d’huile qui dura huit jours au lieu d’une seule journée. Nos sages s’interrogent dans le Talmud sur la manière avec laquelle nous devons rappeler ce miracle. Tout le monde s’accorde à dire qu’il faut allumer des lumières. Mais comment doit-on procéder ?

L’Ecole de Beth Chamaï affirme que nous devons, le premier jour, allumer huit lumières, le deuxième sept et ainsi de suite pour finir le huitième jour avec une seule flamme. L’Académie de Beth Hillel défend, pour sa part, que nous devons allumer une flamme le premier jour, deux le second, et ainsi de suite jusqu’au huitième jour où toutes les branches brilleront.

Nos sages tranchèrent et décidèrent de suivre l’avis de Beth Hillel ; ainsi, chaque Juif allume sa Ménorah en ajoutant chaque jour une petite flamme. Ceci suit le principe énoncé par nos sages que « nous devons perpétuellement monter en matière de Sainteté. »

‘Hannouca – de même que les autres fêtes – ne se limite pas à commémorer un événement tiré d’un passé lointain. Les lumières transmettent un message qui se lit et se vit au présent. Une bibliothèque tout entière ne suffirait pas à rassembler la littérature écrite par nos maîtres au sujet de la fête de ‘Hannouca et ses enseignements. Cependant, certaines de ces leçons

sont évidentes; elles viennent à l’esprit de tous ceux qui allument la ‘Hannoukia. Le plus dur est de passer de la réflexion à l’action.

Une des leçons les plus fondamentales découle justement de la manière avec

laquelle nous allumons les lumières de ‘Hannoucah. Car dès que nous prenons conscience que “ le soleil se couche ”, il est alors de notre devoir de répandre la lumière.

Aller à contre courant, résister à ce qui paraît fatalement naturel n’est pas une chose facile. C’est pourquoi le premier jour, une flamme suffit. Mais attention, on ne peut pas s’endormir sur ses lauriers, le lendemain il faudra fournir encore un effort et allumer une lumière supplémentaire. Car l’acte glorieux de la veille fait partie maintenant des choses acquises, des habitudes, de la routine et des choses naturelles. Alors, le lendemain et le surlendemain, nous allumerons des lumières supplémentaires jusqu’à éclairer toute la ‘Hannoukia.

La mission d’apporter la lumière autour de soi n’incombe pas seulement à un groupe d’aventuriers, de personnes engagées ou au Loubavitch de service. Chaque Juif doit allumer la flamme de ceux qui l’entourent avec le même entrain qu’il éclaire son propre foyer par sa Ménorah.

Le Talmud définit le fait d’allumer chaque jour une lumière supplémentaire comme un Hidour Mitsva, c’est-

à-dire une “ Mitsva de luxe ”. Aujourd’hui, ceci ne peut être qualifié d’acte de luxe, bien au contraire, nous ne pouvons nous payer le luxe de stagner. Ajouter une flamme et encore une autre est en fait un devoir et une nécessité, il y va de la survie du Judaïsme. Chacun doit, sans exception, s’engager à éclairer le monde qui l’entoure. Une autre Mitsva, encore une pièce à la Tsédaka, une autre Mézouza, une autre minute de Torah, une bougie de Chabbath, chaque enfant en plus qui sera éduqué dans la voie de la tradition, tout cela compte.

Nos maîtres affirment que “ peu de lumière est capable de repousser beaucoup de ténèbres ”. Alors, pourquoi ne pas se décider aujourd’hui d’apporter beaucoup de lumière ? ! Maïmonide ne dit-il pas que la Guéoulah dépend d’une bonne action en plus. C’est peut-être la mienne ; c’est peut-être la vôtre !

Rav Eliahou DAHAN

Une Lumière

dans la Nuit


InfoExpress

votreagenda communautaire

Mardi 2 décembre 2014 19h30 : Cours de Pensée Juive

Mercredi 3 décembre 2014 15h30 : Mommy & Me

Vendredi 5 décembre 201418h30 : Office de Chabbat 20h00 : Repas Chabbatique Étudiants

Samedi 6 décembre 20149h00 : Office de Chabbat 16h15 : Cours sur la Paracha

Dimanche 7 décembre 20149h30 : Talmud Torah 13h30 : Bath-Mitsva Club

Lundi 8 décembre 2014 20h00 : Cours de Talmud

Mardi 9 décembre 201419h30 : Cours de Pensée Juive



Dimanche 14 décembre 20149h30 : Talmud Torah 14h30 : Après-Midi de la Femme

Lundi 15 décembre 201420h00 : Cours de Talmud

Mardi 16 décembre 201412h30 : Repas AFIL 20h00 : Soirée de ‘Hanouccah à Lens

Mercredi 17 décembre 201420h00 : Soirée Étudiants et Cteen de ‘Hanouccah

Jeudi 18 décembre 201420h00 : Conférence de Frédéric Encel



Dimanche 21 décembre 201418h00 : Allumage Public de la Ménora 19h00 : Grande Soirée Communautaire de ‘Hanouccah

Du Lundi 22 au Vendredi 26 décembre 20149h00 – 16h45 : Gan Israël



Vendredi 26 décembre 201418h30 : Office de Chabbat





récit de ‘Hanouccah

Jeté en prison en 1977 pour avoir osé demandé à émigrer en Israël, Natan (Anatoly) Sharansky passa huit ans au Goulag en Sibérie. Ce génie en mathématiques fut finalement libéré lors d’un échange de prisonniers entre l’Union Soviétique et les Etats-Unis en 1986. Après

avoir longtemps joué un rôle important en Israël, il vient d’abandonner toute activité politique. Il est aujourd’hui le Président de l’Agence Juive.

‘Hanouccah approchait. J’étais le seul Juif dans ma prison, mais quand j’expliquai à mes codétenus que ‘Hanouccah

symbolisait la liberté d’une nation, la renaissance d’une culture face à des envahisseurs puissants et cruels, mes camarades décidèrent de célébrer la fête avec moi. Ils confectionnèrent même une Menorah en bois, la décorèrent et trouvèrent quelques bougies.

Le soir, je pus allumer la première bougie et récitai une courte prière que j’avais inventée pour l’occasion. On servit du thé et je décrivis le combat héroïque des Maccabim pour sauver leur peuple. Chaque Zek (prisonnier du Goulag) qui m’écoutait avec attention ressentait personnellement l’importance de cet épisode. A un moment, l’officier de garde apparut, procéda à l’appel de tous les détenus présents mais ne fit aucun commentaire.

Chaque soir, je pus ainsi allumer une bougie supplémentaire avec ma prière si personnelle. Puis j’éteignais les bougies pour les réserver pour le soir suivant car je n’en disposais pas d’autres. Gavriliuk, le

gardien dont la paillasse se trouvait face à la mienne, regardait et grommelait : «N’importe quoi ! Il se croit à la synagogue ! Et si jamais un incendie se déclarait ?»

La sixième nuit de ‘Hanouccah, les autorités confisquèrent mon matériel sous prétexte que le chandelier avait été confectionné avec du bois volé à l’état. De plus, les autres prisonniers prétendaient que les risques d’incendie étaient énormes.

J’insistai : il n’y en avait plus que pour deux jours et je promettais de «rendre à la glorieuse Mère Russie» ce morceau de bois qui menaçait sans doute de l’acculer à la ruine… L’officier de garde hésita, téléphona à son supérieur – bref mit en branle toute la bureaucratie soviétique – et reçut la réponse suivante : «Un camp n’est pas une synagogue et nous n’autorisons aucun Zek à prier ici !»

Outré par la sécheresse de cette remarque, je déclarai une grève de la faim. J’ignorai qu’une commission devait venir de Moscou pour inspecter le camp, ce qui explique sans doute pourquoi je fus convoqué, le dernier jour de ‘Hanouccah, dans le bureau d’Osin, le commandant.

Cet Osin était un homme énorme, gonflé, avec des yeux minuscules perdus dans une masse de graisse. Tout ce qui l’intéressait semblait être la nourriture mais aussi les intrigues et le pouvoir. Il aimait voir souffrir les Zeks mais ne perdait pas de vue que ceux-ci étaient la clé de l’avancement de sa carrière.

Osin me toisa d’un regard qui se voulait bienveillant pour me persuader de cesser ma grève de la faim, sans doute pour ne pas avoir de problème avec sa hiérarchie. Il me promit de veiller dorénavant à ce que personne ne m’empêche de prier.

- Alors quel est le problème ? rétorquai-je. Rendez-moi ma Menorah et laissez-moi allumer les dernières bougies de la fête !

- Qu’est-ce qu’une Menorah ?

‘Hanouccah de Natan

Sharansky


InfoExpress

- Mon chandelier.

Le problème était que les documents concernant ce terrible vol de la propriété publique avaient déjà été signés et Osin ne pouvait se ridiculiser devant tout le camp. Tandis que je regardais ce prédateur, assis de l’autre côté d’une élégante table vernie, j’eus une idée amusante : «Pour moi, cette dernière nuit de ‘Hanouccah est très importante. Je pourrais allumer les bougies ici, maintenant, je réciterai les prières et je cesserai ma grève de la faim !»

Osin réfléchit un instant puis… la Menorah confisquée apparut comme par hasard sur la table. Il ordonna à Graviliuk d’apporter une grande bougie.

«J’ai besoin de huit bougies !» affirmais-je sans sourciller (de fait il m’en fallait neuf avec le Chamach – mais j’ignorai à l’époque tous les détails du rituel). Gavriliuk prit un couteau et tenta de couper la bougie en huit. Mais son couteau n’était pas très efficace ; alors Osin sortit de sa poche un magnifique canif et coupa prestement huit morceaux de bougie.

«Partez !» ordonna-t-il à Gavriliuk. Celui-ci ne pouvait qu’obéir, mais il me jeta un regard furieux.

Je disposai les bougies, pris mon chapeau sur la patère à manteau tout en expliquant à Osin que : «Durant la prière, vous devez avoir la tête couverte et, à la fin, vous répondrez Amen !»

Docilement, il mit sa casquette d’officier et se leva. J’allumai les bougies en récitant une prière que j’avais moi-même rédigée en hébreu : «Béni sois-Tu, Eternel notre D.ieu pour m’avoir permis de fêter notre libération, la fête où nous retrouvons les traditions de nos pères. Béni sois-Tu D.ieu qui me permet d’allumer ces bougies. Puisses-Tu me laisser allumer ces bougies de ‘Hanouccah dans ta ville sainte Jérusalem, avec mon épouse Avital !»

Inspiré par le spectacle réjouissant d’un Osin au garde à vous devant mes bougies, je rajoutai en hébreu

: «Que vienne le jour où tous nos ennemis – tous ceux qui aspirent à notre destruction – se tiendront respectueusement devant nous, écouteront nos prières et répondront : Amen !»

- Amen ! répondit Osin en écho. Soulagé, il reprit son souffle, s’assit et ôta son couvre-chef. Ensemble nous avons longuement contemplé en silence les bougies qui brûlaient. Puis leurs bouts fondirent et la cire se répandit joyeusement sur la surface vernie de la table. Osin se reprit comme s’il se réveillait brusquement et appela Graviliuk pour qu’il nettoie.

Je retournai à la baraque dans un état d’extase impossible à décrire. Mes camarades me servirent du thé et ensemble nous avons célébré la «presque» conversion d’Osin : à ce moment-là, je sus avec certitude qu’un jour je serais libéré !

► Nathan Sharansky aux côtés d’Eli Wiesel


recette de ‘Hanouccah

Latkès roumaines aux pommes de terre et aux courgettes

ingrédients1 kg de courgettes2 grosses pommes de terre1 oignon moyen3 œufs1 c. à café d’huile végétale¾ de tasse de farine de matsa (matsa meal)Sel et poivre à votre goûtHuile végétale pour friture

Donne 18 grandes crêpes pour 6-8 personnes.

préparationPelez les courgettes et râpez-les jusqu’aux graines (jetez les graines). Pressez le liquide.

Pelez les pommes de terre et râpez-les dans la courgette. Une fois de plus, éliminez le liquide. Ceci est impor-tant !

Râpez l’oignon et ajoutez-le au mélange de courgettes. Ajouter les œufs, l’huile et la farine de matsa, en commençant par tasse de matsa meal et continuez à ajouter si nécessaire, jusqu’à donner corps au mélange. Saler et poivrer et bien mélanger.

Dans une grande poêle à frire, faites chauff er de l’huile végétale jusqu’à ce qu’elle fume presque. À l’aide d’une cuillère à soupe, étalez en rond une portion de mélange dans la poêle et faites dorer des deux côtés. Servez chaud avec de la crème ou de la compote de pommes.

Note : Vous pouvez également ajouter des carottes, du persil et de l’aneth à cette recette.


carnet de famille

NAISSANCES15/05/2014 – 9 Iyar 5774

- Lola-Suzanne-Yoli LETKO, fille de Karine et Ouri LETKO, soeur de Mina et Lison,

petite fille de Mathilde BURIAN, de Yitzhak LETKO, de Muriel et Alain SCHRAUB,

arrière petite fille de Thérèse BURIANet de Sonia AOUIZERAT

09 /06/2014 – 11 Sivan 5774 à Paris

- Solal-Joseph-Léon VANHOVE, fils de Alice et Sylvain VANHOVE - SEROKA,

petit fils de Anita et Stéphane VANHOVE - ABOULKHEIR

et de Sylvie et Marc SEROKA-BAUMZAMEN

25/06/2014- 27 Sivan 5774

- Sarah FLAMENBAUM, fille de Johanna et Marc FLAMENBAUM, soeur de Liah,

petite-fille de Fabienne et de Robert FLAMENBAUM et de Sylvia et Michel LECOQ-HARBOUN, arrière

petite-fille de Suzanne FLAMENBAUM et de Mme KOSSOWSKI

04/10/2014 (Yom Kippour) – 10 Tichri 5775 à Paris

- Shaylie BECHNAINOU, fille de Jonathan et Sarah BECHNAINOU, petite fille de

Sylvie ROSENBOIS,

arrière petite- fille de Cécile et Meier SZIKMAN

25/11/2014 -3 Kislev 5775

- Elicha fils de Stéphanie et Benjamin CHEMOUNY,frère de Liah et Naomie,

petit-fils de Viviane et Bernard TELLER, de Claudine et Isaac CHEMOUNY

Mazel Tov aux familles

MARIAGE1/06/2014 – 9 Iyar 5774 à la Synagogue

Chasseloup-Laubat à Paris

- Déborah KANNER, fille d’Annie et de Robert KANNER avec Grégoire CORCOS,

fils de Mr et Mme Jacques CORCOS – Mme Chantal CORCOS – MORVILLERS

12/11/2014 – 19 ‘Hechvan 5775 à Tel Aviv

- Julie BECHNAINOU avec Samuel ASSOUS, fille de Sylvie ROSENBOIS

et de Dov BECHNAINOU, petite-fille de Cécile et de Meier SZIKMAN

Félicitations aux familles

DECES9/5/2014 – 9 Iyar 5774 à Nice

- Mr Maurice MARRACHE

27/5/2014- 27 Iyar 5774- Docteur Paul KOSSOWSKI, époux de Monique KOSSOWSKI-CHAPIRO, père d’Alain, de Corinne

KOSSOWSKI-AUSLENDER- de Fabienne KOSSOWSKI-FLAMENBAUM,

grand-père de Marc, Elisabeth, Stéphanie, Nathan, Valérie, arrière grand-père de Liah, de Sarah

07/2014 – Tamouz ou Av 5774- Mr Moïse BENHAIM

12/09/2014 – 17 Eloul 5774- Mr Emile FROUMSON, époux de Jacqueline

WAINSTEIN, père de Michel, de Maryse, grand-père de Anne-Claude et d’Elise

09/2014 - Eloul ou Tichri 5775- Maman du Dr Jacques WEILL

09/2014 – Tichri 5775 - Mr BLEITRACH

04/10/2014 – 10 Tichri 5775 à SAINT-QUENTIN- Mr Henri MARGULIES

03/11/2014 – 10 ‘Hechvan 5775 à Strasbourg- Mme Victoria-Judith LEJDZAR – MORGENSTERN,

mère de Mr Serge MORGENSTERN

14/11/2014 – 21 ‘Hechvan 5775- Mme BIRS MAACHE Veuve AGOU Adolphe, mère de

Charlotte, Jacques, Richard, Marlène,

Michèle, grand-mère de David-Michael, Ruben, Daniel, Jonathan, Yohanna, Yaël, Jérémie, Lanna et Ethan, arrière grand-mère de William, Camille,

Elliott, Aaron et Nathan

Que l’E.ternel les fasse participer à la résurrection et console les endeuillés de Sion et de Jérusalem


Tous vos infos communautaires et plus sont en ligne surwww.judaismenord.com

AAAAAAACIIIIASSOCIATION CULTUELLE ISRAELITE

L I L L E


Documents

Association Cultuelle Israélite de Lille • 5 rue Auguste