AUTOMNE HIVER 14 15

UN FOYER DE CRÉATIONAu Manège des artistes vivent, travaillent et créent tout au long de l’année. rdv p. 53

AVEC DE LA DANSE, DU CIRQUE, DU THÉÂTRE D’OBJET, DES CURIOSITÉS…Une trentaine de propositions se partagent l’affiche cette saison, à raison d’une par semaine en moyenne.

OUVERTPremier rendez-vous, du 23 au 26 septembre avec Domaine public de Roger Bernat : et si pour débuter la saison, nous faisions connaissance ? rdv p. 04

À TOUSEn famille, seul ou entre amis, d’une génération à l’autre… Le prix moyen d’une entrée au Manège ? Moins de 10 €. Voir tous nos tarifs p. 57

ET DES AVENTURES…Ateliers partagés, formes interactives, design culinaire… Au Manège, chacun est régulière- ment invité à cultiver son goût de l’aventure. Un exemple ? rdv p. 36

LE MANÈGE DE REIMS

SOYEZ LES BIENVENUS !Nous vous accueillons dès le 09 septembre.

EN RELATION AVEC VOUSDe A comme artiste, à Z comme zygomatiques, de Givet à Troyes, l’équipe des relations avec le public occupe un large territoire… rdv p. 50

À SUIVRECette saison, trois fils rouges traversent la pro-grammation, à commencer par LES NOUVEAUX MONDES p. 03. Ce programme couvre les mois d’automne et d’hiver. Une nouvelle brochure sera publiée au printemps. Mais vous pouvez d’ores et déjà retrouver p. 49 la suite de la programmation en résumé.

EN TOUTE CONVIVIALITÉExemple à l’appui : trouvez quatre partenaires dans la cour, rendez vous à la billetterie pour bénéficier du tarif VAP (Venez À Plusieurs) et faites plus ample connaissance au bar du triporteur. rdv. p. 57

Vo u s p r o p o s e r l a d é c o u v e r t e d e « n o u v e a u x m o n d e s » p o u r d é b u t e r c e t t e s a i s o n n o u s p a r a î t u n e i n v i t a t i o n d e s p l u s t e n t a n t e s . L e s n o u v e a u x m o n d e s , c a r l a p l u r a l i t é d e s r e -g a r d s p o r t é s p a r l e s a r t i s t e s s ’ a v è r e p l u s q u e j a m a i s s a l u t a i r e p o u r b â t i r u n m o n d e c o m -m u n . R é u n i s i c i , i l s s ’ e m p l o i e n t à f a i r e d u j o u r p r é s e n t u n e p a s s e r e l l e e n t r e h i e r e t d e m a i n : e n r é a c t i v a n t l a f o r c e d e s a r c h é t y p e s a n c e s -t r a u x à l ’ i n s t a r d e L o ï c To u z é d a n s Ô M O N TA G N E , e n a p p u y a n t c o m m e H a l o r y G o e r g e r e t A n t o i n e D e f o o r t s u r l a t o u c h e r e s e t p o u r t o u t r é i n v e n -t e r o u e n p o r t a n t s u r l e l i v r e d e l a G e n è s e l e r e g a r d d u c l o w n a v e c L e 6 è m e J o u r p a r A r l e t t i … L e s N o u v e a u x M o n d e s ? Ç a c o m -

m e n c e m a i n t e n a n t !

NOUVEAUX MONDES

23 27SEP NOV

L’ouverture d’une nouvelle saison, c’est l’occasion de découvrir un programme, des artistes… Mais quid des autres spectateurs ? Et si pour une fois, une soi-rée d’ouverture servait d’abord à faire connaissance ? Pour cela, nous vous proposons de vous prêter au jeu imaginé par le metteur en scène Roger Bernat. Rendez-vous dans la cour du Manège ; équipez-vous du casque audio mis à votre disposition et écou-tez. Une voix vous interroge. Certaines questions sont anodines ; d’autres le sont moins. Mais toutes appellent de votre part un déplacement ou un mouve-ment précis en guise de réponse. Écoutez, agissez, observez… et découvrez les affinités qui vous lient aux autres membres de l’assistance. À mesure que vous évoluez ainsi de manière quasi chorégraphique, la communauté éphémère dont vous faites partie change, les trajectoires individuelles se croisent et les identités se révèlent dans leur complexité, jusqu’à basculer dans la fiction…

23 26UN SITE DE RENCONTRES

DOMAINE PUBLICROGER BERNAT / FFF

SEP

MISE EN SCÈNE ROGER BERNAT / FFF

LES ÉTUDIANTS QUI ONT COLLABORÉ À LA CRÉATION ADRIANA BERTRAN, ALEIX FAURÓ,

ANNA ROCA, SONIA ESPINOSA, TONINA FERRER

ET MARÍA SALGUERO MUSIQUE W.A. MOZART,

A.P.BORODIN, G. MAHLER, A. DVORÁK, B.

SMETANA, J. SIBELIUS, J. WILLIAMS ET

E.GRIEG SÉLECTION MUSICALE, MONTAGE ET VERSIONS JUAN CRISTÓBAL SAAVEDRA VIAL

COORDINATION HELENA FEBRÉS FRAYLICH

VOIX OFF CHANTAL AIMÉE / CASPAR PHOTO-GRAPHIE TXALO TOLOZA, CRISTINA FONTSARÉ

GRAPHISME MARIE-KLARA GONZÁLEZ.

PHOTO BLENDA.

MARDI 23 SEPTEMBRE . 19H30 MERCREDI 24 SEPTEMBRE . 19H30 JEUDI 25 SEPTEMBRE . 19H30 VENDREDI 26 SEPTEMBRE . 19H30

DURÉE 60 MIN. JAUGE LIMITÉE RÉSERVATION CONSEILLÉE.

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UNE COPRODUCTION DE LA MEKÁNICA / APAP (ADVANCING PERFOR-MING ARTS PROJECTS), TEATRE LLIURE, CENTRO PÁRRAGA ET ELÈCTRICA PRODUCCIONS (BARCE-LONA) AVEC LE SOUTIEN DE CONCA (CONSELL NACIONAL DE LA CULTURA I DE LES ARTS), L’UNION EUROPÉENNE - DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ÉDUCA-TION ET LA CULTURE / PROGRAMME CULTURE 2007-2013 ET L’INAEM - MINISTERIO DE CULTURA DE ESPAÑA.

SOIRÉES D’OUVERTURE

À l’issue de Domaine public, retrouvons-nous pour évoquer cette nouvelle saison images à l’appui, autour d’un verre et de quelques gourmandises iodées préparées par l’équipe du restaurant le Bocal, qui fait aussi sa rentrée au Manège !

QUAND LE PUBLIC PLANCHE

Et si, au mois de janvier, nous vous pro-posions de passer aux travaux pratiques en prenant pied sur le dispositif de Celui qui tombe ?

Rendez-vous page 37 pour en savoir plus sur l’invitation que vous adresse Yoann Bourgeois.

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Acrobate, acteur, jongleur, danseur, Yoann Bourgeois est avant tout joueur. Inventeur aussi, liant étroite-ment sa recherche à la création d’espaces mobiles, de machines de cirque qui démultiplient les potenti-alités des corps, du texte, du mouvement, du son… Dans Celui qui tombe, six interprètes évoluent sur un plancher de bois de six mètres de côté. Suspendu dans l’espace, mis en mouvement par de multiples mécanismes, ce panneau agit comme une surface sensible aux moindres transferts de poids, matéria-lisant les relations d’interdépendance qui se tissent entre les corps en présence. Il est avant tout conçu comme une simplification extrême de tous les agrès de cirque, pouvant tour à tour, balancer, tourner, monter, pencher… C’est ainsi un terrain propice à remettre en jeu les figures circassiennes canoniques telles que le vol, la chute, le ballant, les déséqui-libres… À mesure que celles-ci sont revisitées, les acteurs ouvrent de nouveaux espaces imaginaires, faisant de leur scène mobile un écran de projection mentale où les images naissent à foison.

02 04SIX PERSONNAGES EN QUÊTE DE HAUTEUR

CELUI QUI TOMBEYOANN BOURGEOIS

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YOANN BOURGEOIS EST ARTISTE ASSOCIÉ DE LA MC2 : GRENOBLE PRODUCTION CIE YOANN BOURGEOIS COPRO- DUCTION MC2 : GRENOBLE, BIENNALE DE LA DANSE DE LYON, THÉÂTRE DE LA VILLE - PARIS, MAISON DE LA CULTURE DE BOURGES, L’HIPPODROME - SCÈNE NATIONALE DE DOUAI, LE MANÈGE DE REIMS SCÈNE NATIONALE, LE PARVIS SCÈNE NATIONALE DE TARBES PYRÉNÉES, CENTRE CULTUREL AGORA - PÔLE NA-TIONAL DES ARTS DU CIRQUE DE BOULAZAC, THÉÂTRE DU VELLEIN, LA BRÈCHE - PÔLE NATIONAL DES ARTS DU CIRQUE DE BASSE-NORMANDIE CHERBOURG-OCTEVILLE AVEC L’AIDE À LA CRÉATION DE LA DGCA, DRAC RHÔNE-ALPES, RÉGION RHÔNE-ALPES ET CONSEIL GÉNÉRAL DE L’ISÈRE, ET LE SOUTIEN DE LA SPEDIDAM ET DE L’ADAMI LA COMPAGNIE YOANN BOURGEOIS EST CONVENTIONNÉE PAR LA VILLE DE GRENOBLE ET BÉNÉFICIE DU SOUTIEN DE LA FONDATION BNP PARI-BAS POUR LE DÉVELOPPE-MENT DE SES PROJETS.

CRÉATION LES 20 ET 21 SEPTEMBRE 2014 -

BIENNALE DE LA DANSE DE LYON CONCEP-TION, MISE EN SCÈNE ET SCÉNOGRAPHIE YOANN BOURGEOIS ASSISTÉ DE MARIE FONTE

AVEC MATHIEU BLETON, JULIEN CRAMILLET,

MARIE FONTE, DIMITRI JOURDE, ELISE LEGROS

ET VANIA VANEAU.

PHOTO ARESTEANU / SALEZ-POIVREZ.

JEUDI 02 OCTOBRE . 20H30 VENDREDI 03 OCTOBRE . 20H30 SAMEDI 04 OCTOBRE . 18H30

DURÉE 1H15

10ON VOUS Y EMMÈNE

C’EST COMME ÇA !LE FESTIVAL DE L’ÉCHANGEUR

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PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE DE MICKAËL

PHELIPPEAU INTERPRÈTE ETHAN CABON INS-TALLATION CONSTANTIN ALEXANDRAKIS CRÉA-TION LUMIÈRE ANTHONY MERLAUD REGARD EXTÉRIEUR MARCELA SANTANDER CORVALÀN

PRODUCTION, DIFFUSION, ADMINISTRATION

BUREAU CASSIOPÉE - ISABELLE MOREL ET

MANON CROCHEMORE.

PHOTO ALAIN MONOT.

PRODUCTION DÉLÉGUÉE BI-P ASSOCIATION COPRO-DUCTION À DOMICILE, RÉSIDENCE D’ARTISTE, GUISSÉNY, BRETAGNE. THÉÂTRE BRÉTIGNY, SCÈNE CONVENTION-NÉE DU VAL D’ORGE AVEC LE SOUTIEN DU QUARTZ, SCÈNE NATIONALE DE BREST LA BI-P EST SOUTENUE PAR LA DRAC CENTRE – MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION, AU TITRE DE L’AIDE À LA COMPAGNIE, PAR LA RÉGION CENTRE ET PAR LE CONSEIL GÉNÉRAL DE L’ESSONNE. MICKAËL PHELIPPEAU EST EN RÉSI-DENCE LONGUE À L’ÉCHANGEUR - CDC PICARDIE (2014-2015-2016).

DE JÉRÔME MARIN AVEC MARIANNE BAILLOT,

DANIEL LARRIEU ET JÉRÔME MARIN ACCOM-PAGNÉS MUSICALEMENT PAR JEAN-YVES

RIVAUD CHORÉGRAPHIES MARIANNE BAILLOT,

DANIEL LARRIEU & JÉRÔME MARIN DIRECTION MUSICALE JEAN-YVES RIVAUD SCÉNOGRAPHIE SYLVAIN DUFOUR CRÉATION LUMIÈRE NICOLAS

LAMATIÈRE & SYLVAIN DUFOUR CRÉATION SON

MANU VAILLANT.

PHOTO ÉRIC MALOT.

UNE PRODUCTION DE LA COMPAGNIE DE L’EAU QUI DORT EN CO-PRODUCTION AVEC LA CIE ASTRAKAN / DANIEL LARRIEU*, LE CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE TOURS / DIRECTION THOMAS LEBRUN ET LA SCÈNE NATIONALE D’ORLÉANS RÉALISÉE AVEC LE SOUTIEN DE LA DRAC CENTRE, LA RÉGION CENTRE, LA SCÈNE NATIONALE D’ORLÉANS, EMMETROP, LA VILLE D’INGRÉ, LA VILLE D’ORLÉANS, LE CONSEIL GÉNÉRAL DU LOIRET, LA CIE ELSE / MARIANNE BAILLOT, LE 108. DANIEL LARRIEU EST ARTISTE ASSOCIÉ AU MANÈGE DE REIMS ET À L’ÉCHANGEUR - CDC PICARDIE. LA COMPAGNIE ASTRAKAN DANIEL LARRIEU EST SOUTENUE PAR LA DRAC ILE-DE FRANCE / MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION AU TITRE DE L’AIDE AUX COMPAGNIES CONVENTIONNÉES.

Ethan est un adolescent de quinze ans. « Il a en lui cette fragilité et cette innocence des jeunes de son âge mêlées à une puissance digne d’un cheval planté dans le sol… » dit de lui le chorégraphe Mickaël Phe-lippeau qui signe cette pièce en forme d’autoportrait lumineux. Sur une scène imaginée comme un terrain de jeu où les échelles sont bouleversées, Ethan se livre par le récit, le chant, la danse… L’espace tantôt trop grand ou trop petit met en lumière le processus d’ajustement vécu par tout adolescent appelé à trou-ver une nouvelle place dans le monde.

Si la chanson française recèle des joyaux fabuleux, elle possède aussi en son sein des chansons moins délicates qui, pour certaines, eurent (hélas) aussi leur moment de gloire : flattant les bas instincts de l’homme, faisant écho à une certaine façon de penser de la société du moment, servant les idéologies en place, cherchant à stigmatiser ou peut-être, plus simplement (et plus tristement), cherchant à faire rire ! Trois artistes exhument des enfers cette obscure partie de la chanson française. Jouant du contraste par le biais de la danse et de chansons d’amour… ils interrogent la force, parfois désastreuse du diver-tissement…

POUR ETHANMICKAËL PHELIPPEAU

L’ÂME AU DIABLEUNE PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE ET MUSICALE INADMISSIBLE

MARIANNE BAILLOT, DANIEL LARRIEU ET JÉRÔME MARIN

Nouvelle édition du festival C’est comme ça !, et nouvelle raison de vous convier à faire un saut de puce en bus… jusqu’en Picardie voisine. Une soirée où il sera question du passage des anciens mondes aux nouveaux à travers deux pièces. Au programme, vieilles rengaines et jeune génération, haine, amour, danse et chanson… À l’issue de la soirée, retrouvailles à La Biscuiterie, plaque tour-nante du festival, pour échanger avec les artistes en toute convivialité !

VENDREDI 10 OCTOBRE DÉPART EN BUS À 18H RETOUR EN FIN DE SOIRÉE

FESTIVAL C’EST COMME ÇA DU 08 AU 18 OCTOBREPOUR TOUT SAVOIR : WWW.CESTCOMMECA.ORG

Goût pour l’épure, humour et relâchement, attache-ment à la mémoire, prédilection pour le burlesque et le cabaret… Depuis ses débuts de danseur à l’Opéra de Paris, Loïc Touzé a traversé maints registres avec une gourmandise intacte. De cette riche expérience, il fait aujourd’hui son miel sur le terrain ô combien sacré des mythes grecs. Façon d’engager le public à cheminer sur le fil d’un imaginaire commun, à la redécouverte des héros de l’enfance du monde. Sept interprètes forment un chœur des plus clas-siques en apparence. La troupe explore les motifs primitifs des mythes par la parole, le chant, la danse… faisant surgir peu à peu ces récits fonda-mentaux de notre imaginaire collectif. Médée, Œdipe, Dionysos, Thésée… s’incarnent sous nos yeux au fil de morceaux de bravoure aussi instructifs (pour qui n’a pas révisé ses classiques récemment) que réjouissants. Les interprètes d’Ô MONTAGNE parcourent avec bonheur l’arc qui relie le mythe et la réalité, le passé et le présent. Haut les chœurs !

14 16UNE REMONTÉE AUX SOURCES

Ô MONTAGNELOÏC TOUZÉ

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CONCEPTION ET CHORÉGRAPHIE LOÏC TOUZÉ

COLLABORATIONS ARTISTIQUES : DANSE ET INTERPRÉTATION BRYAN CAMPBELL, ONDINE

CLOEZ, MADELEINE FOURNIER, ELIZABETE

FRANCISCA, GIANFRANCO PODDIGHE, TERESA

SILVA MUSIQUE ET INTERPRÉTATION JONA-

THAN SEILMAN VOIX JENNIFER BONN LOMBARD

DRAMATURGIE MATHIEU BOUVIER SCÉNOGRA-PHIE JOCELYN COTTENCIN LUMIÈRE YANNICK

FOUASSIER COSTUMES JOCELYN COTTEN-

CIN, YOU RÉGIE GÉNÉRALE PIERRE BOUGLÉ

FABRICATION ÉLÉMENTS SCÉNOGRAPHIQUES

ANNE-EMMANUELLE PRADIER, JOCELYN COT-

TENCIN ASSISTÉ DE ELY BESSIS ET JULIEN

RODRIGUEZ COSTUMES JULIE BEAUMIER.

PHOTOS JOCELYN COTTENCIN, MATHIEU

BOUVIER.

MARDI 14 OCTOBRE . 20H30 JEUDI 16 OCTOBRE . 20H30

DURÉE 1H30

L’ENVERS DU DÉCORRÉPÉTITION PUBLIQUE

Loïc Touzé vous propose de partager l’intimité d’un moment de répétition en compagnie de ses interprètes.

MERCREDI 15 OCTOBRE . 18HEntrée libre sur réservation auprès de l’accueil.

MÉDÉEDE PIER PAOLO PASOLINI

Entre deux représentations de Ô MON-TAGNE, nous vous proposons d’assister à la projection du chef-d’œuvre de Pier Paolo Pasolini avec Maria Callas dans le rôle titre, en partenariat avec le cinéma Opéra et en présence de Loïc Touzé.

MERCREDI 15 OCTOBRE . 20H30 MÉDÉE (1969. COULEUR. 110 min.)Au Cinéma Opéra. Tarif unique 6,30 €.

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PRODUCTION ORO- LOÏC TOUZÉ, TU NANTES, CNDC ANGERS-DIRECTION EMMANUELLE HUYNH, CENTRE CHORÉGRA-PHIQUE NATIONAL DE MONTPELLIER LANGUE-DOC ROUSSILLON-PRO-GRAMME RÉSIDENCE, LE GRAND R SCÈNE NATIO-NALE/LA ROCHE-SUR-YON, LE CCN DE CAEN / BASSE NORMANDIE, DIRECTION HÉLA FATTOUMI-ERIC LAMOUREUX DANS LE CADRE DE « L’ACCUEIL STUDIO » - MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION, CCN DE FRANCHE-COMTÉ À BELFORT DANS LE CADRE DE « L’ACCUEIL STUDIO » - MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION / DRAC FRANCHE-COMTÉ. AVEC LE SOUTIEN DU THÉÂTRE MUNICIPAL VVVDE BÉTHUNE. CE PROJET BÉNÉFICIE DE L’AIDE À LA CRÉATION DE LA RÉGION PAYS DE LA LOIRE, DE L’ADAMI ET DE LA SPEDIDAM.

PHOTO DR.

CHOISISSEZ UNE SÉANCE EN FONCTION DE L’ÂGE DE VOTRE ENFANT. TROIS SÉANCES PAR JOUR SONT PROPOSÉES SAMEDI 4 OCTOBRE SAMEDI 22 NOVEMBRE SAMEDI 13 DÉCEMBRE SAMEDI 14 FÉVRIER 2015 10H30 À 12H (POUR LES ENFANTS DE 3 À 5 ANS) 14H À 15H30 (DE 6 À 10 ANS) 16H À 18H (DE 10 À 12 ANS)

TARIF 8 € PAR BINÔME

PHOTO MIRIAM KOOYMAN.

MERCREDI 22 OCTOBRE . 18H

ENTRÉE LIBRE

Deuxième saison pour cet atelier, déjà plébiscité au printemps dernier. Rappel du principe : Miléna Gilabert se propose d’accueillir parents et enfants pour découvrir, éprouver et vivre à deux le plaisir de la danse. En alternant des moments toniques, des élans, des vertiges, des jeux de rythmes et des instants de silence ou d’immobilité, elle amène les participants réunis en binôme (un adulte / un enfant) à entrer en résonance avec une musique, un espace, à jouer avec le contact de l’autre, avec les portés, avec des matériaux, à écouter au-delà des mots, pour se connaître autrement.

04 14DANSE AVEC LES LOULOUS

Au cirque, le porteur est l’acrobate qui propulse le voltigeur et se poste à la réception. Celui sur qui l’on peut compter. Mais qu’est-ce qu’être porteur dans la vie ? Voici la question que pose Alexandre Fray depuis 2006 en mettant en œuvre sa pratique d’artiste au contact de personnes âgées. Ici, le geste n’a rien d’ « acrobatique » au sens habituel du terme mais dévoile et prend soin d’une fragilité dans l’intimité d’une rencontre avec des femmes ou des hommes, invités à retrouver le fil d’une confiance dans leur propre corps.Le Projet Grand-mères connaîtra une étape rémoise de janvier à février 2015. Alexandre Fray séjournera à Reims pour travailler aussi bien dans des maisons de retraite ou des services de gériatrie qu’à domicile. Cette première ren-contre ouverte à tous se propose comme une prise de contact, destinée à faire connaître cette démarche et à susciter l’envie d’y participer.

22HAUTS LES CŒURS

Des parents aux enfants, et des enfants aux grands-parents : les circulations se font tous azimuts. Exemple avec ces deux propositions qui croisent le thème des relations entre générations et par conséquent, des nouveaux mondes à inventer pour les petits (avec la danseuse Miléna Gilabert) et leurs aînés (en compagnie de l’acrobate Alexandre Fray).

ATELIERS PARENTS- ENFANTSMILÉNA GILABERT PROJET

GRAND-MÈRESALEXANDRE FRAY

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Frédéric Arsenault est voltigeur, Alexandre Fray est porteur ; l’un vient de la Belle province, l’autre est français. Tous deux se sont rencontrés auprès du metteur en scène Guy Alloucherie, notamment lors des Veillées, ce projet itinérant destiné à faire essai-mer les arts vivants au plus près des populations. Dans ce contexte, on avait pu voir à Reims en 2009 leur duo naissant s’envoler dans les allées d’une supérette, dans les squares ou sur les toits… Autant dire que pour eux, le cirque est plus que la piste : un art de vivre et de se rencontrer. De ceci, Appris par corps, leur première création commune, témoigne pleinement. Empreint de leur expérience personnelle, ce spectacle d’une grande intensité explore toutes les ressources de la technique des portés acrobatiques pour évoquer une relation qui se noue et oscille de manière ambiguë entre douceur et violence, volonté de se fondre dans l’autre et ten-tation de lui échapper. Lauréat de l’opération Jeunes Talents Cirque, Appris par corps a rencontré dès sa création en 2007 un succès immédiat, affichant depuis quelque 200 représentations en Europe et dans le monde…

24LE SENS DU CONTACT

APPRIS PAR CORPSCOMPAGNIE UN LOUP POUR L’HOMME

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PRODUCTION COMPAGNIE UN LOUP POUR L’HOMME COPRODUCTIONS FESTIVAL THEATER OP DE MARKT, NEERPELT (BELGIQUE), ÉQUI-NOXE, SCÈNE NATIONALE DE CHÂTEAUROUX, CULTURE COMMUNE , SCÈNE NATIO-NALE DU BASSIN MINIER DU PAS DE CALAIS, LES MIGRA-TEURS / ASSOCIÉS POUR LES ARTS DU CIRQUE, JEUNES TALENTS CIRQUE, ESPACE PÉRIPHÉRIQUE, PARIS, TOHU CITÉ DES ARTS DU CIRQUE DE MONTRÉAL.

ÉCRITURE COLLECTIVE ARNAUD ANCKAERT,

FRÉDÉRIC ARSENAULT, ALEXANDRE FRAY

ACROBATES ALEXANDRE FRAY, FRÉDÉRIC AR-

SENAULT MISE EN SCÈNE ARNAUD ANCKAERT

CRÉATION LUMIÈRE, SCÉNOGRAPHIE FRANTZ

LOUSTALOT RÉGIE GÉNÉRALE ET RÉGIE LUMIÈRE CÉCILE HÉRAULT CRÉATION SON

HERVÉ HERRERO REGARD CHORÉGRAPHIQUE

MATHILDE VAN VOLSEM COSTUMES FLORA

LOYAU ADMINISTRATION PEGGY DONCK.

PHOTO ANTOINETTE CHAUDRON, R. MUSAC-

CHIO ET F. IANNIELLO.

VENDREDI 24 OCTOBRE . 19H30

DURÉE 50 MIN. À PARTIR DE 8 ANS

AUTOUR DU PROJET « GRAND-MÈRES »RENCONTRE AVEC ALEXANDRE FRAY

Permettre à des femmes et des hommes fragilisés par l’âge de retrouver le fil d’une confiance dans leur propre corps, c’est l’objectif du « Projet Grand-mères » d’Alexandre Fray. Une expérience qui connaîtra une étape rémoise de janvier à février 2015 et que l’acrobate viendra présenter au Manège à toute personne intéressée.

MERCREDI 22 OCTOBRE . 18HEntrée libre.Rendez-vous p.13 pour en savoir davantage…

Au commencement était le verbe… Ce qui est vrai de la Genèse ne va pas de soi, loin de là, pour le clown qui s’avance devant nous. Il faut dire qu’il y a de quoi être intimidé. Surtout lorsqu’on se retrouve au pied du mur, après avoir chipé sa valise pleine de notes à un conférencier endormi. Mais voilà, Arletti a rejoint la scène, irrésistiblement attirée par la lumière. Derrière le nez rouge, l’actrice Catherine Germain, qui officie depuis quelque vingt-cinq ans sous les traits de ce clown débonnaire, cabotin et attendrissant. Démarche claudicante, Arletti prend ses marques entre une table beaucoup trop haute, des papiers rebelles et un verre d’eau trop plein, avant de commencer enfin une relecture de la Genèse qu’elle ponctue de commentaires aussi admiratifs - « c’est vraiment bien écrit ! » - qu’irrévérencieux. À mesure que les jours s’égrènent, le monde prend corps dans une évocation des plus jubilatoires. Mais voilà, l’homme, lui n’a pas encore été créé… et la page correspondant au 6ème jour manque à l’appel ! Que faire de cette invraisemblable liberté ? S’en don-ner à cœur joie pardi !

04 07LA GENÈSE REVISITÉE PAR LE CLOWN

LE 6ÈME JOURCIE FRANÇOIS CERVANTES / L’ENTREPRISE

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ÉCRITURE (D’APRÈS LA GENÈSE), MISE EN SCÈNE ET SCÉNOGRAPHIE FRANÇOIS CER-

VANTES ET CATHERINE GERMAIN AVEC CATHE-

RINE GERMAIN (ARLETTI).

PHOTOS CHRISTOPHE RAYNAUD DE LAGE.

MARDI 04 NOVEMBRE . 20H30 MERCREDI 05 NOVEMBRE . 20H30 JEUDI 06 NOVEMBRE . 20H30 VENDREDI 07 NOVEMBRE . 20H30

DURÉE 1H10 À PARTIR DE 10 ANS

L’AUTRE GENÈSELE CLOWN ARLETTI

On saura tout sur la Genèse. Mais quid de l’autre genèse? Celle d’Arletti en personne ? Comment ce clown là est-il arrivé jusqu’à nous ? C’est le sujet du très bel ouvrage Le clown Arletti de François Cervantes et Catherine Germain, illustré par les images de Christophe Raynaud de Lage (éditions Magellan et Cie, janvier 2009). Il paraît qu’en tournée Arletti en tire quelques-uns à sa suite dans une vieille cantine… N’hésitez pas à lui faire signer votre exemplaire !

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PRODUCTION L’ENTRE-PRISE.

Adishatz / Adieu est un spectacle en forme d’autopor-trait. Seul en scène, Jonathan Capdevielle, artiste aux talents multiples, y convoque son parcours. Une jeunesse à Tarbes dans les Hautes-Pyrénées. La découverte adolescente de Madonna et avec elle, la naissance d’une passion mimétique. Les prémices aussi d’une vocation d’artiste. Rien de tout cela ne s’énonce à la première personne pourtant. Jonathan Capdevielle s’appuie sur un répertoire de chansons interprétées a capella. Des hymnes “ madonnesques “ voisinent avec du Purcell, des chants traditionnels du sud-ouest. Une variété de registres dans laquelle il évolue en demi-teinte, entre virtuosité et fragilité assumée. La quête personnelle d’un jeune homme en pleine métamorphose se dévoile au gré de cet exercice de travestissement et d’imitation où les figures lointaines ou proches le traversent, détourant son image qui reste énigmatique. C’est une grande solitude qui se laisse deviner, mais aussi un attache-ment et un hommage à une histoire et des racines. Adishatz signifie “ adieu “ en occitan, ou comment composer avec les identités multiples qui nous habitent ?

10UN AUTOPORTRAIT CHANTÉ

FESTIVAL LES BISQUEERS ROSES

ADISHATZ / ADIEUJONATHAN CAPDEVIELLE

NOV

CONCEPTION ET INTERPRÉTATION JONATHAN

CAPDEVIELLE LUMIÈRE PATRICK RIOU RÉGIE GÉNÉRALE ET RÉGIE SON CHRISTOPHE LE

BRIS COLLABORATION ARTISTIQUE GISÈLE

VIENNE REGARD EXTÉRIEUR MARK TOMP-

KINS. ASSISTANCE AUDIO PETER REHBERG

ASSISTANT ARTISTIQUE POUR LES TOUR-NÉES JONATHAN DRILLET ADMINISTRATION, PRODUCTION, DIFFUSION BUREAU CASSIOPÉE

– LÉONOR BAUDOUIN, MANON CROCHEMORE

AVEC LA PARTICIPATION D’ECUME, ENSEMBLE

CHORAL UNIVERSITAIRE DE MONTPELLIER -

DIRECTION MUSICALE SYLVIE GOLGEVIT AVEC

PACO LEFORT, JEAN-LUC MARTINEAU, PIERRE-

YVES BRUZZONE, OLIVIER STRAUSS, BENOIT

VUILLON.

PHOTOS ALAIN MONOT.

LUNDI 10 NOVEMBRE . 20H30

DURÉE 60 MIN.

DJ SET.

Rendez-vous au cirque à l’issue du spec-tacle pour un set surprise concocté pour la clôture de l’édition 2014 du Festival des Bisqueers roses.

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PRODUCTION DÉLÉGUÉE BUREAU CASSIOPÉE COPRODUCTION CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIO-NAL DE MONTPELLIER LANGUEDOC ROUSSILLON DANS LE CADRE DE ]DOMAINES[ (FR), CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE FRANCHE-COMTÉ À BELFORT DANS LE CADRE DE L’ACCUEILS-TUDIO (FR) ET BIT TEA-TERGARASJEN, BERGEN (NO) AVEC LE SOUTIEN DU CENTRE NATIONAL DE LA DANSE POUR LA MISE À DISPOSITION DE STUDIOS.

EN CORÉALISATION AVEC LE FESTIVAL LES BISQUEERS ROSES

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CONCEPTION ET SCÉNOGRAPHIE JULIE

ROTHHAHN / LA NOUVELLE CARTE EST RÉALISÉE EN PARTENARIAT AVEC LE LYCÉE

DES MÉTIERS GUSTAVE EIFFEL DE REIMS,

GRÂCE AU CONCOURS DES ÉLÈVES DE PASCAL

FERRAT / CRÉATION SONORE JEAN-DAMIEN

JUILLE

CRÉDIT PHOTO DR.

PRODUCTION LE MANÈGE DE REIMS SCÈNE NATIONALE.

JEUDI 13 NOVEMBRE . 19H30 VENDREDI 14 NOVEMBRE . 19H30

TARIFS 10 & 6 € DURÉE 1H10 JAUGE LIMITÉE : RÉSERVATION CONSEILLÉE

CRÉATION / PRODUCTION MANÈGE DE REIMS

Vous est-il arrivé de vous perdre dans la contempla-tion d’une île flottante ? Vous êtes-vous déjà imagi-nés comme un Gulliver minuscule, arpentant des paysages délicieux ? Julie Rothhahn, oui ! Elle vous invite avec La Nouvelle Carte à vivre cette expérience de la façon la plus concrète du monde. Prenez pied sur le rivage brumeux et goûtez l’écume… Déambu-lez, pupilles et papilles ouvertes tels des Robinsons bien lotis et découvrez fleurs et herbes rares, geysers de pop corn, cascades de crème et zones glacées… Tout ou presque se mange ici. Et surtout ne perdez pas votre carte au trésor, elle vous servira de sauf-conduit pour accéder au lac intérieur !

13 14UNE EXPLORATION CULINAIRE

LA NOUVELLE CARTEJULIE ROTHHAHN

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Si on avait la possibilité de repartir de zéro, à l’inté-rieur de huit mètres par dix, on ferait comment ? Ger-minal met en scène quatre individus qui envisagent le plateau comme un espace vierge dans lequel tout est à réinventer. « Ce projet est une allégorie globale et complexe de l’histoire de l’humanité. On en a marre des sujets trop larges » indiquent Halory Goerger et Antoine Defoort. Artistes inclassables, détenteurs d’une solide culture geek et ludophiles avérés, ils ont imaginé ce projet comme une transposition théâtrale des God games, ces jeux vidéos où l’on crée un monde à partir de rien. Dans Germinal, on est témoin de la naissance d’une société éphémère. Une pioche permet de déterrer un micro pour accéder au langage parlé… Qui à son tour autorise la classification de l’univers… Autant de prétextes pour construire de drôles de catégories et imaginer des modalités de re-lation inédites entre les comédiens qui redécouvrent le vivre ensemble à leur façon. Dans Germinal, on classe tout, on casse tout. Mais avec solennité, appli-cation et bonhomie. Au fait… À votre avis, la stabilité quantique, ça vaut vraiment la peine ?

19 22ET SI ON RECOMMENÇAITTOUT ?

AVEC LA COMÉDIE DE REIMS

GERMINALHALORY GOERGER & ANTOINE DEFOORT

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PRODUCTION L’AMICALE DE PRODUCTION COPRODUC-TION FESTIVAL TRANSAMÉ-RIQUES, LA BIENNALE DE LA DANSE DE LYON, THÉÂTRE DE LA MANUFACTURE - CDN NANCY LORRAINE, KUNSTENFESTIVALDESARTS, LE PHÉNIX- SCÈNE NATIO-NALE DE VALENCIENNES, BUDA KUNSTENCENTRUM COUTRAI, KUNSTENCENTRUM VOORUIT, LE VIVAT-SCÈNE CONVENTIONNÉE D’ARMEN-TIÈRES, CECN, ALKANTARA FESTIVAL, LE TNBA-THÉÂTRE NATIONAL DE BORDEAUX EN AQUITAINE, FESTIVAL BAL-TOSCANDAL, NOORDERZON PERFORMING ARTS FESTIVAL GRONINGEN, ROTTERDAMSE SCHOUWBURG, NTXSTP SOU-TIEN CE PROJET BÉNÉFICIE DU SOUTIEN DU CONSEIL RÉGIONAL NORD-PAS-DE-CALAIS, DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION (DRAC NORD-PAS-DE-CALAIS) ET DU RÉSEAU APAP/ PERFORMING EUROPE. ANTOINE DEFOORT ET HALORY GOERGER SONT ARTISTES ASSOCIÉS AU PHÉ-NIX - SCÈNE NATIONALE DE VALENCIENNES, AU BEURSS-CHOUWBURG - BRUXELLES, AU CENTQUATRE (PARIS) ET À APAP/PERFORMING EUROPE (DGEAC - PRO-GRAMME CULTURE). ANTOINE DEFOORT EST ARTISTE ASSOCIÉ AU VIVAT, SCÈNE CONVENTIONNÉE DANSE ET THÉÂTRE D’ARMENTIÈRES. L’AMICALE DE PRODUCTION BÉNÉFICIE DU SOUTIEN DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION (CONVENTIONNEMENT DRAC NORD-PAS-DE-CALAIS), DU CONSEIL RÉGIONAL DU NORD-PAS-DE-CALAIS, DE LA VILLE DE LILLE EN CORÉALISATION AVEC LA COMÉDIE DE REIMS CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL

CONCEPTION HALORY GOERGER ET ANTOINE

DEFOORT INTERPRÉTATION ARNAUD BOU-

LOGNE, ONDINE CLOEZ / BEATRIZ SETIÉN,

ANTOINE DEFOORT / DENIS ROBERT, HALORY

GOERGER / SÉBASTIEN VIAL ET LA VOIX DE

MATHILDE MAILLARD DIRECTION TECHNIQUE MAËL TEILLANT PLATEAU MAËL TEILLANT /

COLIN PLANCHER LUMIÈRE, VIDÉO SÉBAS-

TIEN BAUSSERON / ALICE DUSSART SON

ROBIN MIGNOT / RÉGIS ESTREICH. PRODUC-TION L’AMICALE DE PRODUCTION CHARGÉ DE PRODUCTION ET REGARD EXTÉRIEUR

JULIEN FOURNET ASSISTANTE DE PRODUC-TION MATHILDE MAILLARD ADMINISTRATION

SARAH CALVEZ LOGISTIQUE PAULINE FOURY.

CONSTRUCTEURS CHRISTIAN ALLAMANO,

CÉDRIC RAVIER, DANNY VANDEPUT (KUNSTEN-

FESTIVALDESARTS) CONSULTANTE LUMIÈRE ANNIE LEURIDAN.

PHOTOS ALAIN RICO.

MERCREDI 19 NOVEMBRE . 20H30 JEUDI 20 NOVEMBRE . 20H30 VENDREDI 21 NOVEMBRE . 20H30 SAMEDI 22 NOVEMBRE . 18H30

DURÉE 1H15

Territoire du pli, du trompe-l’œil et du vertige par excellence, l’univers baroque recèle des richesses virtuellement infinies. À la tête de sa compagnie des Fêtes galantes, Béatrice Massin en déploie les trésors avec un art de la nuance consommé au gré de pièces pleines de vivacité. L’envie de transmis-sion qui anime son parcours la conduit aujourd’hui à proposer une pièce destinée aux plus jeunes avec La Belle au bois dormant. Un conte de (re)naissance, de transition et une métaphore du passage de l’enfance à l’âge adulte qui permet à la chorégraphe d’aborder le thème du merveilleux de plein pied. Dans le conte, la Belle dort durant cent ans. Transpo-sant ceci à l’histoire de la musique, Béatrice Massin entame le voyage chez Lully et le termine chez Mozart. La danse, qui s’appuie sur une narration dis-tillée par touches, change aussi, passant du baroque pour aller vers une seconde partie, chargée de l’éner-gie d’un jeune trio de danseurs et bien éloignée de l’idée romantique traditionnellement associée au conte de Perrault. L’occasion rêvée d’éveiller les spectateurs en herbe au plaisir du mouvement !

26 27UN CONTE ENCHANTÉ

LA BELLE AU BOIS DORMANTBÉATRICE MASSIN / COMPAGNIE FÊTES GALANTES

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CHORÉGRAPHIE ET MISE EN SCÈNE BÉATRICE

MASSIN AVEC LA BELLE AU BOIS DORMANT /

LOU CANTOR, LE PÈRE - LE PRINCE /

OLIVIER BIORET, LA MÉCHANTE FÉE -

LA NOURRICE / CORENTIN LE FLOHIC LUMIÈRES

EVELYNE RUBERT COSTUMES CLÉMENTINE

MONSAINGEON CRÉATION SONORE EMMA-

NUEL NAPPEY MUSIQUES ELISABETH JACQUET

DE LA GUERRE, JEAN-BAPTISTE LULLY -

PRÉLUDE DU SOMMEIL D’ATYS, LÉOPOLD

MOZART - SYMPHONIE DES JOUETS,

WOLFGANG AMADEUS MOZART.

PHOTOS FRANÇOIS STEMMER.

MERCREDI 26 NOVEMBRE . 15H JEUDI 27 NOVEMBRE . 19H30

REPRÉSENTATIONS SCOLAIRES LES 26 & 27 NOVEMBRE À 10H. DURÉE 50 MIN. À PARTIR DE 6 ANS

À VOIR EN FAMILLE

UN GOÛTER ET UNE RENCONTRE AVEC BÉATRICE MASSIN

Mercredi 26 novembre à l’issue du spec-tacle, nous vous proposons un goûter qui sera suivi à 17h d’une rencontre avec Béatrice Massin ; l’occasion de découvrir en sa compagnie les costumes de La Belle… et l’actualité de sa compagnie.

BAROQUE & CO

Vous souhaitez plonger dans l’univers baroque, avant La Belle ? L’équipe des relations avec le public vous accueille mercredi 12 novembre de 14 h 30 à 16h30 avec une sélection de Beaux Livres et de DVD. Entrée libre.

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COPRODUCTION THÉÂTRE MONTANSIER DE VER-SAILLES, THÉÂTRE NATIO-NAL DE CHAILLOT, CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIO-NAL DE CRÉTEIL ET DU VAL DE MARNE - COMPAGNIE KAFIG, OPÉRA NATIONAL DE BORDEAUX, COMPA-GNIE FÊTES GALANTES. AVEC LE SOUTIEN DU PÔLE CULTUREL D’ALFOR-TVILLE.

2 0 1 4 m a r q u e l e d é b u t d e s c o m m é m o r a t i o n s d e l a G r a n d e g u e r r e . D u 0 5 a u 2 1 f é v r i e r, l a n o u v e l l e é d i t i o n d e R e i m s S c è n e s d ’ E u r o p e y f e r a t o u t p a r t i c u l i è r e m e n t é c h o . A v a n t c e p o i n t d ’ o r g u e , n o u s e m p r u n t e r o n s a u M a n è g e l a p i s t e d u c o n f l i t d è s l e m o i s d e d é c e m b r e a v e c l ’ e m b l é m a t i q u e s p e c t a c l e L a G r a n d e g u e r r e , s i g n é p a r l e c o l l e c t i f H o t e l M o d e r n . D ’ a u t r e s f o r m e s d e c o n f l i t s e r o n t é v o q u é e s s u r l e f i l : l u t t e p o u r l a s u r v i e a v e c l e t a u b e r b a c h d ’ A l a i n P l a t e l , r i p o s t e s f a c e à l ’ a b s u r d e d a n s L e V i d e d e F r a g a n G e h l k e r, s t r a t é g i e s c o n t r e l ’ o u b l i d a n s R h a p s o d i e d é m e n t e d e F r a n ç o i s Ve r r e t . D i f f é r e n t e s f o r m e s d e l u t t e s , c o l l e c t i v e s o u i n d i v i d u e l l e s a v e c t o u j o u r s e n l i g n e d e m i r e , l ’ i d é e q u e t o u t c o n f l i t e s t a u s s i u n i n s t a n t à s a i s i r c o m m e p o i n t d ’ a r t i c u l a t i o n , p r o j e c t i o n

v e r s u n a i l l e u r s p l u s d é s i r a b l e .

LE CONFLIT

02 21DÉC FÉV

Arts plastiques, marionnette, création sonore, vidéo… Hotel Modern pratique une fusion des genres sans équivalent. Est-on au cinéma ? Devant un spectacle ? En train d’écouter une pièce radiophonique ? Tout cela à la fois. Vous aurez peut-être en mémoire l’hilarant Shrimp Tales, présenté au Manège en 2012 : l’humanité s’y laissait saisir sous l’apparence de crevettes projetées en grandeur surnaturelle. Une ironie grinçante propre à ce collectif néerlandais qui parvient à évoquer les pires atrocités à l’aide d’objets dérisoires. Créé en 2001, La Grande guerre propose une immersion dans le premier conflit mondial. En s’appuyant sur des témoignages et des lettres authentiques de soldats à leur famille, la troupe nous conduit des premiers jours de la guerre à l’horreur des tranchées. Sur scène, un décor miniature et une équipe de tournage qui opère à vue. Les paysages du front de l’Ouest se construisent avec de la sciure, du terreau, des clous rouillés, des brins de persil… Un brûleur à gaz provoque des bom-bardements. Un paysage champêtre se change en plaie béante… Une évocation frappante de réalisme de la guerre des tranchées.

02 03UN SPECTACLE MINIATURE SUR GRAND ÉCRAN

LA GRANDE GUERREHOTEL MODERN ET ARTHUR SAUER

DÉC

AUTEURS HERMAN HELLE, PAULINE KALKER,

ARLÈNE HOORNWEG SCÉNARIO ET MISE EN SCÈNE HERMAN HELLE, PAULINE KALKER,

ARLÈNE HOORNWEG AVEC TRUDI KLEVER,

MAARTJE VAN DEN BRINK, ANOUK DRIESSEN /

LAURA MENTINK CRÉATION SON ET PERFO-MANCE LIVE ARTHUR SAUER TECHNICIEN

JORIS VAN OOSTERHOUT ADMINISTRATION

CORINNE VAN LELIEVELD PRODUCTION INEKE

KRUIZINGA COMMUNICATION SASCHA BROE-

DERS REMERCIEMENTS À ANDRÉ DEKKER QUI

A TROUVÉ LES LETTRES DU SOLDAT PROSPER.

PHOTOS JOOST VAN DER BROEK.

MARDI 02 DÉCEMBRE . 20H30 MERCREDI 03 DÉCEMBRE . 20H30

DURÉE 1H

JOHNNY S’EN VA-T-EN GUERREDE DALTON TRUMBO

En partenariat avec le Manège, le cinéma Opéra vous propose de découvrir le film culte de Dalton Trumbo Johnny s’en va-t-en guerre. Un jeune Américain plein d’enthousiasme décide de s’engager pour aller combattre sur le front pendant la Première Guerre mondiale. Au cours d’une mission de reconnaissance, il est gravement blessé par un obus et perd la parole, la vue, l’ouïe et l’odorat. On lui am-pute ensuite les quatre membres. Allongé sur son lit d’hôpital, il se remémore son passé et essaie de deviner le monde qui l’entoure à l’aide de la seule possibilité qui lui reste : la sensibilité de sa peau.

DIM 30 NOV . 17h30 . JOHNNY S’EN VA-T-EN GUERRE(Johnny Got His Gun. 1971. N&B. 111 min.)Au Cinéma Opéra. Tarif unique 6,30 €.

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AVEC LE SOUTIEN DE LA VILLE DE ROTTERDAM ET DU FONDS POUR LES ARTS DE LA SCÈNE. AVEC L’AIDE DE L’AMBASSADE DES PAYS BAS EN FRANCE.

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tauberbach (littéralement « Bach interprété par des sourds ») emprunte son titre - et plusieurs extraits - au projet musical de l’artiste Artur Zmijewski, qui hante Alain Platel depuis de nombreuses années. Deux motifs antagonistes que celui de la musique et de la surdité. Mais on ne s’étonnera pas. Car si l’œuvre d’Alain Platel est animée d’une conviction profonde, c’est bien celle que chacun, quel qu’il soit, peut trouver sa place dans le monde. Orthopé-dagogue de formation, il n’a cessé de questionner les marges ; marges artistiques, aux confins de la danse, du théâtre et d’un engagement physique sans concession. Marges sociales et existentielles aussi. tauberbach puise son inspiration dans le documen-taire Estamira, de Marcos Prado, portrait d’une femme schizophrène et néanmoins clairvoyante qui vit dans une décharge de Rio de Janeiro. En écho, l’image offerte par tauberbach est particulièrement saisissante : une mer bariolée de vêtements évoque on ne sait quel cataclysme consommé ou à venir. Au centre, l’actrice Elsie de Brauw campe cette figure de femme comme un poème vivant, environnée par le mouvement des corps saisi « dans ce coin du cerveau encore préservé de toute civilisation ».

16 17UNE HUMANITÉ EN MOUVEMENT

TAUBERBACHALAIN PLATEL

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PRODUCTION MÜNCHNER KAMMERSPIELE, LES BAL-LETS C DE LA B EN ÉTROITE COLLABORATION AVEC NTGENT COPRODUCTION NTGENT, THÉÂTRE NATIONAL DE CHAILLOT (PARIS), OPÉRA DE LILLE, KVS (BRUSSEL), TORINODANZA, LA BÂTIE – FESTIVAL DE GENÈVE REMERCIEMENTS ARTUR ZMIJEWSKI, MARCOS PRADO, JACQUES DE BACKER, KILUANGI ENRICO RUNGE, ÉTUDIANTS ET PROFES-SEURS THÉÂTRE - SCHOOL OF ARTS (GAND), ENFANTS ET PERSONNEL DU CENTRE DE SERVICE HEILIG-HART (BACHTE-MARIA-LEERNE), SHOWTEX – STAGE FABRICS, ISNEL DA SILVEIRA, DIRK VANMEIRHAEGE, BL!NDMAN DISTRIBUTION FRANS BROOD PRODUCTIONS AVEC L’APPUI DE LA VILLE DE GAND, DE LA PROVINCE DE LA FLANDRE-ORIENTALE, DES AUTORITÉS FLAMANDES.

TAUBERBACH, MÜNCHNER KAMMERSPIELE /

LES BALLETS C DE LA B. CONCEPT ET MISE EN SCÈNE ALAIN PLATEL CRÉÉ ET JOUÉ PAR BÉRENGÈRE BODIN, ELIE TASS, ELSIE

DE BRAUW, LISI ESTARAS, ROMEU RUNA,

ROSS MCCORMACK DRAMATURGIE KOEN

TACHELET, HILDEGARD DE VUYST DIRECTION MUSICALE / PAYSAGES SONORES / MUSIQUE ADDITIONNELLE STEVEN PRENGELS CRÉATION ÉCLAIRAGE CARLO BOURGUIGNON CRÉA-TION SON BARTOLD UYTTERSPROT CRÉATION DÉCOR ALAIN PLATEL ET LES BALLETS C DE

LA B CRÉATION COSTUMES TERESA VERGHO

RÉGISSEUR PLATEAU WIM VAN DE CAPPELLE

TRANSPORT DÉCOR LUC LAROY/PATRICK

LEGEIN. DIRECTION DE PRODUCTION VALERIE

DESMET RESPONSABLE TOURNÉE STEVE DE

SCHEPPER.

PHOTOS CHRIS VAN DER BURGHT.

MARDI 16 DÉCEMBRE . 20H30 MERCREDI 17 DÉCEMBRE . 20H30

DURÉE 1H30 SPECTACLE SURTITRÉ EN

FRANÇAIS

LES BALLETS C DE LA B EN 15 MINUTES

Les ballets C de la B ont été fondés en 1984 par Alain Platel. Au fil du temps la compagnie a adopté la structure d’une plate-forme de travail réunissant plusieurs chorégraphes. Un mélange unique sur lequel nous vous proposons un retour en image avant chaque représentation de tauberbach. Rendez-vous à 19h30 pour découvrir cette plongée de 15 minutes dans les archives filmées de la compagnie.

Fragilité, rythme, graphisme, vitesse, impact, per-formance, suspension, équilibre, chute : autant de termes qui délimitent le jonglage aux yeux des quatre solides gaillards de la compagnie Ea Eo… Ceci bien sûr, à condition d’être dans le meilleur des mondes. Car que devient cet art exigeant en situation de pénu-rie ? C’est l’épineuse question posée par ce spectacle. Tout débute pour le mieux sur un plancher généreux où chacun trouve sa juste place… mais celui-ci a une fâcheuse tendance à se réduire comme peau de cha-grin. À mesure que les comparses voient les mètres carrés s’envoler, leur amitié chancelle. La présence des autres est tour à tour vécue comme une agres-sion et une dépendance. Le jonglage, tout comme les rapports sociaux, subit alors les conséquences de la promiscuité. Il devient plus intense, plus dense, mais laisse aussi moins de place à la liberté et à l’indi-vidualité, se faisant plus contraignant et plus violent. À la fin il n’en restera qu’un ; on parle ici des mètres carrés. Mais quid des jongleurs ?

13 14LA LOI DE LA JONGLE

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COMPAGNIE EA EO

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DE ET AVEC ÉRIC LONGEQUEL, SANDER

DE CUYPER, JORDAAN DE CUYPER & BRAM

DOBBELAERE AIDE À LA MISE EN SCÈNE JOKE

LAUREYNS & KWINT MANSHOVEN CRÉATION LUMIÈRE ET RÉGIE TECHNIQUE DAVID

CARNEY.

PHOTOS ANKE SCHWARZE.

MARDI 13 JANVIER . 19H30 MERCREDI 14 JANVIER . 19H30

DURÉE 1H À PARTIR DE 6 ANS REPRÉSENTA-

TIONS SCOLAIRES LES 13 & 14 JANVIER À 10H

À VOIR EN FAMILLE

UNE INVITATION À ATTRAPER AU VOL

L’équipe des relations avec le public vous accueille mercredi 14 janvier de 14h30 à 16h30 avec une sélection de Beaux Livres et de DVD autour du jonglage et des arts vivants en général.

Entrée libre.

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CO-PRODUCTIONS CIE EA EO, POL&FREDDY VZW, VZW CIRCUSCENTRUM, PCT DOMMELHOF, HUMO-ROLOGIE, JONGLARGONNE AVEC LE SOUTIEN DE ESPACE PÉRIPHÉRIQUE, LATITUDE 50°, ESPACE CATASTROPHE, L’ESSAIM DE JULIE, ACADÉMIE FRATELLINI, MINISTERIE VAN CULTUUR VAN DE VLAAMSE GEMEENSCHAP.

William Forsythe, Benjamin Millepied, Maguy Marin, trois maîtres et autant de quatuors…

« Le vocabulaire n’est pas, ne sera jamais vieux. C’est l’écriture qui date. » Fort de cette conviction, William Forsythe reformule les codes de la danse classique et constitue pas à pas une œuvre majeure qui l’a porté au premier rang des chorégraphes mon-diaux. Steptext, en liant la notion de « pas » à l’écri-ture, est emblématique de cette démarche.

Benjamin Millepied a réalisé l’essentiel de son parcours entre répertoire classique et danse made in Broadway, dans les pas de George Balanchine, trans-fuge des Ballets russes, grande figure de la danse américaine et de Jérôme Robbins (à qui l’on doit notamment West Side Story). Aujourd’hui directeur de la danse à l’Opéra de Paris, remarqué également pour sa contribution au film Black Swan de Darren Aronofsky, il crée ses propres pièces à partir de 2001. Ici, un quatuor qui joue sur des Partitas de Bach, entre virtuosité et apparente décontraction.

Fidèle à elle-même, Maguy Marin puise dans la Grosse fugue de Beethoven l’énergie nerveuse dont elle nourrit ses créations ; quatre interprètes pour une danse empreinte de théâtralité, habitée par l’envie de « courir éperdument à perdre haleine, pour vivre chaque instant comme des derniers ins-tants ».

21 22 23TROIS CARRÉS D’AS

AVEC L’OPÉRA DE REIMS

BALLET DE L’OPÉRA DE LYONWILLIAM FORSYTHE BENJAMIN MILLEPIED MAGUY MARIN

JAN

GROSSE FUGUE, MAGUY MARIN

PIÈCE POUR 4 DANSEUSES - CHORÉGRAPHIE

MAGUY MARIN MUSIQUE GROSSE FUGE, OP. 133,

LUDWIG VAN BEETHOVEN INTERPRÉTÉE PAR LE QUARTETTO ITALIANO LUMIÈRES FRAN-

ÇOIS RENARD COSTUMES CHANTAL CLOUPET

CRÉÉE PAR LA COMPAGNIE MAGUY MARIN À

L’ESPACE JEAN POPEREN DE MEYZIEU LE 17

MARS 2001, ENTRÉE AU RÉPERTOIRE DU BAL-

LET DE L’OPÉRA DE LYON LE 12 FÉVRIER 2006

DURÉE 19 MIN.

PHOTO JAIME ROQUE DE LA CRUZ

SARABANDE, BENJAMIN MILLEPIED

PIÈCE POUR 4 DANSEURS - MUSIQUE JEAN-SÉ-

BASTIEN BACH / EXTRAITS DE LA PARTITA POUR

FLÛTE SEULE ET DES SONATES ET PARTITAS

POUR VIOLON SEUL COSTUMES PAUL COX

LUMIÈRES RODERICK MURRAY CRÉATION EN

NOVEMBRE 2009 PAR LA CIE DANSES CONCER-

TANTES, ENTRÉE AU RÉPERTOIRE DU BALLET

DE L’OPÉRA DE LYON EN DÉCEMBRE 2011

DURÉE 24 MIN.

PHOTO MICHEL CAVALCA

STEPTEXT, WILLIAM FORSYTHE

PIÈCE POUR 4 DANSEURS - CHORÉGRAPHIE, DÉCOR, COSTUMES, LUMIÈRES WILLIAM

FORSYTHE MUSIQUE JEAN-SÉBASTIEN BACH /

CHACONNE DE LA 4e SONATE POUR VIOLON

SEUL EN RÉ MINEUR CRÉATION EN JANVIER

1985 PAR L’ATERBALLETTO À REGGIO EMILIA,

ITALIE, ENTRÉE AU RÉPERTOIRE DU BALLET

DE L’OPÉRA LE 15 MARS 1987 DURÉE 20 MIN.

MERCREDI 21 JANVIER . 20H30 JEUDI 22 JANVIER . 20H30 VENDREDI 23 JANVIER . 20H30

DURÉE 1H30 AVEC ENTRACTE

AVEC YOANN BOURGEOIS ET MARIE-LISE

NAUD / RÉGIE DAVID HANSE.

PHOTO MAGALI BAZI.

PRODUCTION COMPAGNIE YOANN BOURGEOIS.

MARDI 27 JANVIER . 18H30 MERCREDI 28 JANVIER . 18H30 JEUDI 29 JANVIER . 18H30

TARIFS 10 & 6 € DURÉE 2H RÉSERVATION CONSEILLÉE

À VOIR CELUI QUI TOMBE YOANN BOURGEOIS 02 - 04 OCT

« En tant qu’artiste de cirque, j’ai souvent eu envie de partager avec vous, les puissances qui nous traversent, quand on se jette d’un trapèze, à la balançoire russe dans un triple salto arrière (avec des vrilles), ou en se tenant tout simplement à l’envers sur une main. Mais voilà, ce sont des choses qui demandent du temps et de l’exercice, parfois difficiles, difficilement partageables. Pourtant ces puissances se rencontrent aussi chaque jour. Elles se nomment gravité force centrifuge, équilibre… C’est avec elles, parfois contre elles, que l’on se bat, pour simplement tenir debout. Elles sont le lot de tous. Seulement au cirque, ces forces sont exacer-bées. On les amplifie et elles révèlent le drame ou la joie d’exister. Pour Celui qui tombe, la dernière création de la compagnie, j’ai conçu un grand plan-cher en bois auquel on pourrait appliquer différentes contraintes physiques, pour mettre en évidence ces forces-là. Ce sol peut, tour à tour, balancer, tourner, monter, pencher, etc.… Je le vois comme la simplifi-cation extrême de tous les agrès de cirque. Cette simplification du dispositif permet d’être arpenté, je crois, par à peu près tout le monde.Alors je propose aujourd’hui, À TOUT LE MONDE, de venir essayer, s’essayer, tenter, tester, tenir, com-prendre, sentir, observer, éprouver, résister, s’accro-cher… et s’émerveiller sans fin de cette faculté inouïe de continuer à tenir debout. »

Yoann Bourgeois

27 29DES JEUX D’ÉQUILIBRE

QUAND LE PUBLIC PLANCHEYOANN BOURGEOIS

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Fruit d’une rencontre entre deux compagnies originaires de Slovénie et de Lituanie, Show your face ! - qu’on peut traduire par « montre ton visage » - examine les effets du courage individuel et de son absence à travers le 20e siècle. De « visage », juste-ment, le protagoniste de cette aventure n’en a pas, figuré qu’il est par une simple combinaison de bébé. Manipulé avec un réalisme épatant par sept acteurs et marionnettistes, ce petit bonhomme ne manque en revanche pas de courage. Il possède une voix forte et sage qui fait de lui l’enjeu de luttes entre grandes puissances. Il faut fuir ! S’engage alors une course kafkaïenne à travers les heurts et malheurs du siècle passé où se télescopent les grands événements tels que l’invention de la physique nucléaire ou de la psychanalyse. Emaillé de nombreuses rencontres ce petit conte philosophique accompagné par un trio de musiciens invoque l’esprit de résistance contre toutes les oppressions.

10 11UN MANNEQUIN EN CAVALE

SHOW YOUR FACE !BETONTANC & UMKA.LV

FÉV

MISE EN SCÈNE MATJAŽ POGRAJC CONCEP-TION BETONTANC AND UMKA.LV AVEC PRIMOŽ

BEZJAK, ANDRIS KALNOZOLS, DAŠA DOBERŠEK,

MARCIS LACIS, BRANKO JORDAN, KATARINA

STEGNAR, GINTS ŠIRMELIS-ŠIRMANIS.

MUSIQUE SILENCE AND UGIS VITINŠ MARION-NETTES ET OBJETS BARBARA STUPICA

CHORÉGRAPHIE BRANKO POTOCAN

COSTUMES MATEJA BENEDETTI LUMIÈRES

TOMAŽ ŠTRUCL SON JURE VLAHOVIC

PRODUCTION MAJA VIŽIN

PHOTO GINTS MALDERIS

MARDI 10 FÉVRIER . 19H MERCREDI 11 FÉVRIER . 19H

DURÉE 1H15

PREMIÈRE FRANÇAISE

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PRODUCTION BUNKER & NEW THEATRE INSTI-TUTE OF LATVIA AVEC LE SOUTIEN DU MINIS-TÈRE DE LA CULTURE DE SLOVÉNIE, DE LA VILLE DE LJUBLJANA, DU MINIS-TÈRE DE LA CULTURE DE LITUANIE, VILLE DE RIGA, STATE CULTURE CAPITAL FUNDATION, THEOREM ET PROGRAMME CULTURE 2000.

« Et en-dehors de ça, vous faites quoi dans la vie ? » La voix morne et nasillarde s’échappe d’un haut-parleur. On imagine que Fragan Gehlker, ici suspendu à plusieurs mètres du sol, a dû entendre cette déstabilisante question de nombreuses fois de façon plus ou moins détournée… À quel point a-t-il intériorisé cette mise en cause de l’absurdité du cirque ? Assez en tous cas pour prendre celle-ci à bras le corps et en faire le ferment d’une pièce qui se présente comme la relecture circassienne du Mythe de Sisyphe d’Albert Camus. Le dispositif est aussi dépouillé qu’ingénieux ; quelques cordes manipulées à distance, une table et un radio-cassette actionné par Alexis Auffray, partenaire, violoniste et homme-orchestre des actions du spectacle. De lieu en lieu, Le Vide s’écrit au long cours, comme une suite de tentatives et de variations verticales, échelonnées entre aspirations fulgurantes et chutes au débotté, changeant au gré des architectures d’accueil ; Alors au final, peut-on parler de performance, de spectacle ou… d’essai philosophique ? Le Vide c’est tout cela à la fois mais surtout, la preuve que l’absurdité du labeur circassien est d’abord une voie directe vers le bonheur de se sentir vivant !

10 11UN FUNAMBULEÀ LA VERTICALE

LE VIDEESSAI DE CIRQUEFRAGAN GEHLKER & ALEXIS AUFFRAY

FÉV

UN SPECTACLE ÉCRIT PAR FRAGAN GEHLKER,

ALEXIS AUFFRAY ET MAROUSSIA DIAZ VERBÈKE

AVEC FRAGAN GEHLKER ET ALEXIS AUFFRAY

DRAMATURGIE MAROUSSIA DIAZ VERBÈKE

CRÉATIONS LUMIÈRES CLÉMENT BONNIN

COSTUMES LÉA GADBOIS-LAMER DIRECTION DE PRODUCTION MATHILDE OCHS.

PHOTO ALAN GUICHAOUA FRATELLINI.

MARDI 10 FÉVRIER . 20H MERCREDI 11 FÉVRIER . 21H

DURÉE 1H

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PRODUCTION LE POINT TRIPLE COPRODUCTIONS LA VERRERIE, PÔLE NATIO-NAL DES ARTS DU CIRQUE LANGUEDOC-ROUSSILLON, ALÈS ; LA CASCADE, MAI-SON DES ARTS DU CLOWN ET DU CIRQUE, PÔLE NATIONAL DES ARTS DU CIRQUE, BOURG-SAINT-AN-DÉOL ; LE CIRQUE JULES VERNE, PÔLE NATIONAL DES ARTS DU CIRQUE PICARDIE, AMIENS ; LE CENTRE NATIONAL DES ARTS DU CIRQUE (CNAC), CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE SOUTIENS ASSOCIATION LE POINT TRIPLE ; L’EN-SATT, ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE DES ARTS ET TECHNIQUES DU THÉÂTRE, LYON ; LE THÉÂTRE DU CENTAURE, MARSEILLE ; L’ACADÉMIE FRATELLINI, SAINT-DENIS ; LA COM-PAGNIE LES MAINS, LES PIEDS ET LA TÊTE AUSSI - MPTA/MATHURIN BOLZE, LYON REMERCIEMENTS À NOS COLLABORATEURS ARTISTIQUES ET TECHNIQUES : AOURELL KRAUSSE, BRUNO DIZIEN, ARPÁD SCHILLING, LAW-RENCE WILLIAMS, XAVIER MARCO.

Chorégraphe et metteur en scène, François Verret est de ces dramaturges qui écrivent leur œuvre à même le plateau. Passionné par la lecture des grands textes (Herman Melville, Robert Musil, Don DeLillo, Heiner Müller…), il en nourrit des pièces traversées par un incontestable souffle épique. Au carrefour de la danse, de la littérature, des arts plastiques, du théâtre, ses spectacles sont chargés de significations multiples et entrent en résonance avec les grandes problématiques contemporaines. Aujourd’hui, François Verret s’appuie sur le centenaire du premier conflit mondial et en interroge les causes, selon lui encore infiniment troubles et peut-être en passe d’être ensevelies sous la présente fièvre commémo-rative. Il se tourne ainsi vers la jeunesse et s’inter-roge : que lègue-t-on aux adolescents nés en 2000 de ce que fut le siècle passé ? Et quels peuvent être les points d’ancrage de l’esprit pour leurs vies présentes et à venir ? Ces questions sont l’enjeu d’un chantier en trois étapes pour lequel il réunit une fois encore une équipe pluridisciplinaire. Reims Scènes d’Europe en accueille la première étape, quelques semaines après sa création à Grenoble.

14AUX ADOLESCENTS DE 14-18 ANS

FÉV

AVEC JEAN-PIERRE DROUET, CHARLINE GRAND,

NATACHA KOUZNETSOVA, GERMANA CIVERA,

JEAN-CHRISTOPHE PARÉ, CHIHARU MAMIYA,

MARC SENS, FRANÇOIS VERRET SCÉNOGRA-PHIE VINCENT GADRAS SON MANU LÉONARD

IMAGES CLAIRE ROYGNAN COSTUMES LAURE

MAHÉO LUMIÈRES NICOLAS BARRAUD COLLA-BORATION INFORMATIQUE MUSICALE IRCAM

GRÉGORY BELLER.

PHOTO PAUL PONCET.

SAMEDI 14 FÉVRIER . 19H

DURÉE INDICATIVE 3H

RHAPSODIE DÉMENTEFRANÇOIS VERRET

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PRODUCTION DÉLÉGUÉE MC2: GRENOBLE COPRO-DUCTION PÔLE SUD, SCÈNE CONVENTIONNÉE POUR LA DANSE ET LA MUSIQUE, STRAS-BOURG ; IRCAM-CENTRE POMPIDOU ; THÉÂTRE NATIONAL DE BRETAGNE/ RENNES ; L’APOSTROPHE, SCÈNE NATIONALE DE CERGY-PONTOISE ET DU VAL D’OISE ; LE MANÈGE DE REIMS, SCÈNE NATIONALE ; MAISON DE LA CULTURE D’AMIENS, CENTRE DE CRÉATION ET DE PRODUCTION ; COMPAGNIE FV. FRANÇOIS VERRET EST EN RÉSIDENCE À LA MC2: GRENOBLE PENDANT 5 ANS ET EN RÉSIDENCE À PÔLE SUD, STRASBOURG.

COMPOSITION, LIVE ELECTRONIC ANA

MARIA RODRIGUEZ MISE EN SCÈNE INGRID

VON WANTOCH REKOWSKI SCÉNOGRAPHIE

FRED POMMEREHN DANSE ANNAPAOLA LESO

/ ENSEMBLE KNM BERLIN AVEC TROMPETTE

MATTHEW CONLEY TROMBONE EN COURS DE

DISTRIBUTION VIOLON THEODOR FLINDELL

ALTO KIRSTIN MARIA PIENTKA VIOLONCELLE

COSIMA GERHARDT AVEC LA PARTICIPATION

DES COMÉDIENS DE LA CLASSE DE LA COMÉ-

DIE DE REIMS.

PHOTO DR.

COPRODUCTION KNM BERLIN, COMPAGNIE LUCILIA CAESAR (BRUXELLES) ET CÉSARÉ CENTRE NATIONAL DE CRÉATION MUSICALE DE REIMS.

MERCREDI 18 FÉVRIER . 19H JEUDI 19 FÉVRIER . 20H

DURÉE 30 MIN.

Ingrid Von Wantoch Rekowski a marqué les esprits voici une quinzaine d’années avec une pièce théâ-trale et musicale devenue un hit maintes fois repris : A-Ronne II, d’après Luciano Berio. Elle y mettait en scène une galerie de personnages aux allures de por-traits flamands comme un bestiaire fantastique, drôle et inquiétant ; on la retrouve ici telle qu’en elle-même, avec ce projet inspiré du non moins étrange Stéréos-cope des solitaires de l’argentin Juan Rodolfo Wil-cock. Poète de l’absurde, Wilcock dépeint soixante-dix personnages uniques. Au détour des pages, on rencontre un centaure famélique qui peint des natures mortes oniriques ; une poule lectrice de mai-son d’édition qui mange les manuscrits qu’elle n’aime pas ; un couple d’amants décidés à ne plus sortir du lit et qui, insensiblement, passe des caresses au can-nibalisme… Sur scène divers artistes s’emparent par la musique et la danse de l’univers inimitable de cet auteur. Entre performance et concert, une aventure théâtrale qui associe le rêve et la banalité dérisoire, le fatras du quotidien et la mélancolie du mythe.

18 19LA MUSIQUE C’EST FANTASTIQUE

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CÉSARÉ CENTRE NATIONAL DE CRÉATION MUSICALE PRÉSENTE

LE STÉRÉOSCOPE DES SOLITAIRESANA MARIA RODRIGUEZ / INGRID VON WANTOCH REKOWSKI / ENSEMBLE KNM BERLIN

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CONÇU PAR SANDRA ICHÉ ET RÉALISÉ PAR

GAEL CHAPUIS, MARY CHEBBAH, ALI CHERRI,

VIRGINIE COLEMYN, SYLVIE GAROT, RENAUD

GOLO, SANDRA ICHÉ, LENAÏG LE TOUZE, CAROL

MANSOUR, PASCALE SCHAER, VINCENT WEBER.

PHOTO DR.

PRODUCTION WAGONS LIBRES COPRODUCTION LE PARC DE LA VILLETTE ; LES SUBSISTANCES ; LES HALLES DE SCHAERBEEK/FESTIVAL TEMPS D’IMAGES (BE) ; PACT ZOLLVEREIN (DE).

MERCREDI 18 FÉVRIER . 20H

DURÉE 1H

Wagons Libres est une forme mêlant performance et documentaire qui nous plonge dans l’histoire récente, présente mais aussi… future du Liban. En 2000, Sandra Iché, alors étudiante, écrit une histoire de L’Orient-Express, magazine francophone beyrouthin des années 1990, fondé et dirigé par l’historien et journaliste Samir Kassir. Sur place, elle rencontre ses artisans, noue des amitiés. Dix ans plus tard, alors que Samir Kassir a été assassiné en 2005, elle revient au Liban pour une nouvelle série d’interviews. Le regard de l’historienne se double cette fois de celui de l’artiste qu’elle est devenue. Dans ce nouveau contexte, les anciens de L’Orient-Express se prêtent à un entretien dont le protocole est pensé pour que la parole ne redouble plus le réel, indéfiniment sombre du « malheur arabe », mais s’autorise la fiction : l’interview a lieu en 2030, et depuis ce 2030, nous nous souvenons d’au-jourd’hui. Par cette démarche à la fois rétrospective et d’anticipation, le souvenir devient un outil de remise en jeu du présent. En confrontant archives sonores et visuelles, notes de travail, voix off, témoi-gnages, cadrages et mises au point, Wagons Libres profite de l’espace du théâtre pour amarrer la réalité à la fiction et poser la question de la fabrication de l’Histoire, de sa mise en récit.

18UNE PERFORMANCEDOCUMENTAIRE

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WAGONS LIBRESSANDRA ICHÉ

ARCHIVES DU FUTUR - REIMS

À l’issue de Wagons Libres, nous pour-suivons la soirée avec ARCHIVES DU FUTUR - REIMS. À l’invitation du Manège, Sandra Iché et la réalisatrice Yvonne Debeaumarché ont rencontré des Rémois d’horizons très divers pour leur demander de faire acte de mémoire et d’imagination quant à leur histoire. À partir d’un certain nombre de questions, des souvenirs sont convoqués, mais aussi la fantaisie : chacun se projette dans le futur pour porter un regard rétrospectif… sur ce qui va nous arriver. ARCHIVES DU FUTUR - REIMS s’appuie sur le film réalisé lors de ces entretiens.

MERCREDI 18 FÉVRIER . À L’ISSUE DE WAGONS LIBRES

Véritable magicien des images, scénographe, plas-ticien, Robert Wilson compte parmi les plus grands noms de la scène internationale. En cause, la force exceptionnelle de son théâtre, mélange unique de perfection formelle et de jeu expressionniste, proche de la pantomime. Il se produit pour la première fois à Reims avec une pièce consacrée à la Première guerre mondiale, en résonance particulière avec l’his-toire de notre région. Le metteur en scène relève à ce propos qu’à un siècle de distance, les situations sont proches : « Je pense que les événements de 1914 ou de 2014 sont semblables, il suffit de lire les journaux aujourd’hui, de voir les gros titres, de regarder les nouvelles à la télévision. Et ce sera probablement la même chose en 3014. C’est toujours la même histoire ». Un constat d’échec auquel 1914 oppose une satire débridée… Robert Wilson s’est appuyé sur deux textes : Le brave soldat Chvéïk de l’écrivain tchèque Jaroslav Hašek et Les Derniers jours de l’hu-manité de Karl Kraus. Il s’est aussi inspiré du cinéma naissant, de son esthétique et de sa veine burlesque qui fournissent une foule de motifs et de directions au jeu d’acteur. M. Optimiste et M. Pessimiste, sorte de duo à la Laurel et Hardy s’agitent sous le regard ironique du Temps. La guerre… ou l’éternel retour ?

20 21UNE SATIREHALLUCINÉE

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MISE EN SCÈNE, PRESTATION ET CONCEPT LUMIÈRE ROBERT WILSON CO-DIRECTRICE

ANN-CHRISTIN ROMMEN RÉALISATION LU-MIÈRES AJ WEISSBARD COSTUMES YASHI TA-

BASSOMI LIVRET MARTA LJUBKOVÁ MUSIQUE

ALEX BREZINA ASSISTANT PLATEAU KAREL KUT

PROJECTION VIDÉO TOMEK JEZIORSKI DRAMA-TURGIE MARTIN URBAN AVEC SONA CERVENÁ,

TAT’JANA MEDVECKÁ, PAVLA BERETOVÁ,

ESZENYI ENIKO, EVA SALZMANNOVÁ, VÁCLAV

POSTRÁNECKÝ, FILIP RAJMONT, JAN BIDLAS,

VLADIMÍR JAVORSKÝ, JÁN KOLENÍK, RADÚZ

MÁCHA, MILAN STEHLIK ET 4 MUSICIENS.

PHOTOS LUCIE JANSCH.

VENDREDI 20 FÉVRIER . 19H SAMEDI 21 FÉVRIER . 20H À L’OPÉRA DE REIMS

DURÉE 1H40 SPECTACLE EN TCHÈQUE, SLO-

VAQUE, HONGROIS ET FRANÇAIS, SURTITRÉ EN

FRANÇAIS ET EN ANGLAIS LES TARIFS DE 1914

SONT COMPRIS ENTRE 40 € ET 5 € PLACES

NUMÉROTÉES.

AVEC LA COMÉDIE ET L’OPÉRA DE REIMS

1914ROBERT WILSON

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COPRODUCTION THÉÂTRE NATIONAL DE RÉPUBLIQUE TCHÈQUE (PRAGUE), THÉÂTRE NATIONAL DE SLOVAQUIE (BRATISLAVA), VÍGSZÍNHÁZ (BUDAPEST).

27HAUTS LES CŒURSPROJET GRAND-MÈRES / ÉTAPE 2ALEXANDRE FRAY

Retour plateau suite aux ateliers menés cet hiver par Alexandre Fray (voir p. 13).

04 0626e PROMOTION DU CNACOVER THE CLOUDJÉRÔME THOMAS

Jérôme Thomas et les étudiants de la 26e promotion du CNAC repartent du mouvement essentiel de la marche pour prendre leur envol.

13LA PERFORMANCE ENVOIE DU BOISLA COSACLAUDIO STELLATO

Trois stères de bois et une rencontre à la clef : vous serez les premiers acteurs de cette performance échafaudée - par vous - à partir de bûches…

19 21ACROS À TANGERAZIMUTUNE PIÈCE D’AURÉLIEN BORY AVEC LE GROUPE ACROBATIQUE DE TANGER

Les acrobates tangérois retrouvent Aurélien Bory, dix ans après le phénomène TAOUB.

24DES ÉCRITURES MOUVEMENTÉESUNIVERS LIGHT OBLIQUECIE LA LISEUSE / GEORGES APPAIX AVEC MÉLI’MÔME

Alphabets, calligraphies… Entre parole et mouvement, six danseurs nous invitent pour un voyage (choré)graphique des origines de l’écriture jusqu’à nos jours. À voir dès 8 ans.

31 01DU CIRQUE AÉRIENCHAUVE-SOURISLES ESCARGOTS AILÉS / ANDRÉ MANDARINO

AVEC MÉLI’MÔME

Création de la compagnie rémoise Les escargots ailés, Chauve-souris est un duo pour acrobates aériens doublé d’un conte initiatique, à voir dès 4 ans, la tête à l’endroit ou à l’envers…

À SUIVREAU PRINTEMPS 2015

16 17DES FOLKLORES IMAGINAIRESD’APRÈS UNE HISTOIRE VRAIECHRISTIAN RIZZO

Des réminiscences de danses folkloriques méditerra-néennes se frottent au rock tribal. En scène, six danseurs font cause commune, transportés par l’énergie tellurique d’un duo de batteries.

12DES DANSES LIBRESFESTIVAL HORS LES MURS #10AVEC LE LABORATOIRE CHORÉGRAPHIQUE

19 20UN BALLET AÉRIENL’APRÈS-MIDI D’UN FŒHNCIE NON NOVA / PHIA MÉNARD

Quelques ventilateurs, des sacs en plastique multicolores. Sur la musique de Debussy, ils s’animent pour devenir les sujets libres comme l’air d’un fascinant ballet.

30LES ENFANTS PRENNENT LA MAINKEEP CALMMICHEL SCHWEIZER

Une journée durant, les enfants prennent possession du Manège pour mettre en jeu les places respectives qu’eux, et nous, adultes, tenons dans le monde et dans nos « mondes ».

09 11DEUX ACROBATES DE MÈCHECAPILOTRACTÉESSANJA KOSONEN / ELICE ABONCE MUHONEN

Deux acrobates ressuscitent un art extravagant et rare, la suspension par les cheveux ; l’occasion de tirer le fil d’un vaste imaginaire entre freak show et légendes.

ET AUSSI SURWWW.MANEGEDEREIMS.COM

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Performance Artistique Tout Terrain par la compagnie Kiaï, présentée le 28 septembre 2013 sur l’esplanade Paul Cézanne, en partenariat avec La Maison de Quartier Croix Rouge - Espace Watteau et le restaurant associatif la Marmite. Cette représentation était inscrite dans le cadre d’une série qui a aussi mené la compagnie au Collège Paul Fort, sur les Campus du quartier Croix Rouge et à NEOMA Business School. Photo Alain Julien.

De A comme Artiste à Z comme Zygomatique, de Troyes à Givet et de Château-Thierry à Saint Dizier, l’équipe des relations avec le public occupe un vaste territoire.

Elle est votre interlocutrice pour les événements et actions liés aux spectacles et elle organise pour vous toutes sortes de rencontres avec les artistes accueillis au Manège : les ateliers, sou-vent pendant les vacances scolaires, les projets participatifs et bien d’autres aventures !

En lien étroit avec de nombreuses Maisons de Quartier, elle organise des moments de pratique, des rencontres et des sorties au spectacle, pour les animateurs et les adhérents.

Elle coordonne régulièrement la diffusion de spectacles hors les murs dans tous les quartiers de la Ville. Sur les campus, dans les Grandes Ecoles et au Conservatoire, vous la rencontrerez souvent, accompagnée d’artistes, pour des im-promptus, des conférences et des workshops… À l’hôpital, dans les foyers d’accueil, un travail de fond axé sur la perception et le plaisir du mouve-ment, se poursuit depuis de nombreuses années.

Enfin, de la maternelle au BTS, elle participe à l’éducation artistique, à l’apprentissage de l’his-toire des arts et à la démocratisation culturelle. Le tout avec les compétences d’une scène natio-nale : en renforçant la présence des artistes à l’école. Le point commun entre toutes ces actions en milieu scolaire ? C’est le désir de l’enseignant-e d’emmener ses élèves voir un spectacle qui est l’élément déclencheur ! Ces actions vont du simple atelier au projet qui tient les élèves en haleine tout au long de la saison, sans oublier les formations d’enseignants.

EN RELATIONAVEC LE PUBLIC

GRÂCE À, EN PARTENARIAT, COLLABORATION ET BONNE INTELLI-GENCE AVEC LES ARTISTES INTERVENANTS, LES BUREAUX DES ARTS ET BUREAUX DES ÉLÈVES, LES BISQUEERS ROSES, LES COMITÉS D’ENTRE-PRISE, LE CNAC OU LE CONSERVATOIRE DE REIMS, L’ESAD, L’ESIREIMS, L’ÉCOLE SUPÉRIEURE DU PROFESSORAT ET DE L’ENSEIGNEMENT, LE FES-TIVAL C’EST COMME ÇA !, LES FOYERS D’ACCUEIL, LES GROUPES D’AMIS, LE FESTIVAL HORS-LES-MURS, LES INSTITUTS MÉDICO-EDUCATIFS, LES ATELIERS INTERGÉNÉRATIONNELS, LES INTERMITTENTS DU SPECTACLE, LA JEUNESSE DE TOUS ÂGES, LES K7, DVD ET LIVRES (NOUS EN AVONS PLEIN DANS NOTRE FONDS DOCUMENTAIRE), LES MÉDIATHÈQUES ET MAISONS DE QUARTIER, NÉOMA BUSINESS SCHOOL, L’OPTION ARTS DANSE AU LYCÉE ROOSEVELT, LE PROJET ARTISTIQUE GLOBALISÉ, LA QUESTION DE L’ÉQUILIBRE (ELLE COURT DEPUIS QUELQUES ANNÉES ENTRE LE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE REIMS ET LE MANÈGE), SCIENCES PO REIMS, SUPERCRAMPE, TRANSVERS’ARTS, LES UNITÉS D’ENSEIGNEMENT TRANSVERSAL CULTUREL, LES WORKSHOPS, L’ASSOCIATION EXAEQUO, LES YOUNG PERFORMING ARTS LOVERS, LES ZONES URBAINES SENSIBLES (À L’ART) !

AVEC LE SOUTIEN DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE NOTAMMENT POUR COLLÈGES EN SCÈNE, DE LA DRAC POUR TOUTES NOS ACTIONS, DE L’ORCCA NOTAMMENT POUR LES PROGRAMMATIONS CULTURELLES D’ÉTABLISSEMENT, LA VILLE DE REIMS POUR NOS ACTIONS DANS LES ÉCOLES ET LES QUARTIERS DE REIMS ET BIEN D’AUTRES PROJETS !

CONTACTSCÉLINE GRUYER c.gruyer@manegedereims.com

ÉLISE MÉRIGEAU e.merigeau@manegedereims.com

RESPONSABLES DES RELATIONS AVEC LE PUBLIC

LAURETTE HUE l.hue@manegedereims.com

ATTACHÉE AUX RELATIONS AVEC LE PUBLIC

RÉMY VIAU remy.viau@ac-reims.fr

ENSEIGNANT RELAIS, RESPONSABLE DU SERVICE ÉDUCATIF

Ambiente. Photo Laurent Philippe. À suivre le 18 septembre 2014 au Centre Pompidou-Metz.

POUR PRODUIRE

Le Manège de Reims accompagne à travers son bureau de production les projets de Stéphanie Aubin et ceux d’autres artistes, auteurs, univer-sitaires, designers, tous ouverts à des formes transdisciplinaires, tels que Benjamin Vandewal-le, Julie Rothhahn, Armando Menicacci et Miléna Gilabert.

DES ARTISTES

Tous ces porteurs de projets partagent le désir de bousculer les frontières en proposant des formes hybrides qui font interagir l’art, les publics et la cité, contribuant ainsi à la dynamique globale du Manège. Parmi eux, Chloé Moglia, Daniel Larrieu et Michel Schweizer sont cette saison artistes associés au Manège de Reims.

SUSCITER DES RENCONTRES

Ainsi que Stéphanie Aubin a notamment pu l’ini-tier avec Les Etonnistes, la scène nationale est aussi une plateforme d’échange, de partage et de collaboration entre artistes.

SOUTENIR DES PROJETS ÉMERGENTS

Chaque saison, le Manège accueille pour de courtes résidences de travail de jeunes artistes (parmi eux en 2014 / 2015, Cyrille Musy, André Mandarino, Maud Marquet, Matthieu Gary…) et apporte un soutien en coproduction à de nom-breuses compagnies.

COOPÉRER

Dans le cadre de leur réseau (La Coopéra-tion Interrégionale Stimulante et Solidaire), le Manège de Reims et l’échangeur CDC Picardie s’associent pour soutenir Julie Nioche, Kevin Jean et Claudio Stellato.

UN FOYER DE CRÉATION

LE BUREAU DE PRODUCTIONANNE ROUTIN

+33(0)6 60 49 33 81 a.routin@manegedereims.com

RESPONSABLE DES PRODUCTIONS ET DE LA DIFFUSION

PIERRE-LAURENT BOUDET

+33(0)6 87 49 63 27 pl.boudet@manegedereims.com

CHARGÉ DE DÉVELOPPEMENT INTERNATIONAL

SARAH DORIDAM

+33(0)3 26 47 93 89 s.doridam@manegedereims.com

CHARGÉE DE PRODUCTION

À SUIVRE SUR WWW.MANEGEDEREIMS.COM

EN TOURNÉE

UNE IMMERSION CINÉTIQUE

AMBIENTESTÉPHANIE AUBIN

UN SPECTACLEAvec Ambiente, c’est l’espace - presque plus que le danseur - qui se met en mouvement ! Une scénographie aussi mobile qu’immatérielle cloisonnée par des pans de brouillard lumineux où l’interprète joue les passe-muraille, cisaille les flux de lumière et peu à peu, nous révèle un monde de formes en devenir…

UNE INSTALLATIONLe dispositif d’Ambiente peut être visité par un groupe d’une trentaine de personnes. Comme un jeu proprement chorégraphique, un parcours d’actions-réactions spontanées se dessine au sein de cette architecture mobile.

UN MICRO-THÉÂTRE

ENTRE-VUEBENJAMIN VANDEWALLE

Disposées dans l’espace public, trois boîtes qui tiennent de l’entresort forain attendent qu’un visiteur curieux y passe la tête ; lumière… Un autre visage émerge de l’obscurité, apparition aussi douce que spectaculaire, propice à la ren-contre autant qu’à la contemplation ; à faire durer un peu, beaucoup ou passionnément… Rideau…

DES IMAGES CHOC’

EMPREINTESJULIE ROTHHAHN / STUDIO PLASTAC

Un laboratoire où le public est partie prenante d’une chaîne de production (et de dégustation !) de fruits en chocolat… Différents états de la matière (du chocolat fondu aux fines textures) s’y déploient avec l’appui du son et de la vidéo. Une performance de design culinaire à destina-tion de tous les publics.

UNE ARCHITECTURE EN MOUVEMENTS

MOTION LINESARMANDO MENICACCI, STÉPHANIE AUBIN, MILÉNA GILABERT

« Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu avant de renvoyer des images. » Voici un miroir - numérique - qui aurait écouté Jean Cocteau… Capable de trier et restituer l’essentiel du mouvement, il renvoie aux joueurs l’architecture changeante de leurs corps à travers des lignes abstraites et colorées et ce jusqu’au moment du vertige…

LE MONDE EN STOP MOTION

JEU DE SOCIÉTÉSTÉPHANIE AUBIN, ARNAUD BAUMANN

Une chorégraphe et un photographe reçoivent un échantillon du monde dans un couloir… Avocat, sportive, militaire, apicultrice, prélat, mioches, mamies, agent de sécurité… inventent devant l’objectif un mouvement commun, chacun partant de la position de son prédécesseur et imaginant la suite de son élan. À partir de ces instantanés, un film, un flip book ou un accrochage d’affiches en chaîne est composé image par image. Une façon unique de se transmettre le mou-vement de proche en proche pour faire œuvre collective… Jeu de Société - Reims a reçu le premier prix Idill 2011.

EN CRÉATION

UN QUATUOR D’ÉTONNANTS

LES ÉTONNISTES #2 ALAIN MICHARD, CHLOÉ MOGLIA, JULIE NIOCHE ET MICHEL SCHWEIZER

Stéphanie Aubin a invité quatre artistes venus d’horizons très différents à reprendre leur posture de spectateur pour se souvenir de ce que les œuvres - toutes sortes d’œuvres - ont touché et peut-être transformé en eux. La confidence devant se chuchoter à l’oreille, un dispositif de casques et de micros autorise une performance étrange où trois discours se devinent par le geste, pour un qui dévoile par la parole ce que nous sommes tous susceptibles de rencontrer au contact d’une œuvre : le trouble, l’effroi, l’éblouis-sement, l’étonnement…

Les Etonnistes #2 a été créé en 2012 avec Yan Duyvendak. Une nouvelle version verra le jour au 104 à l’automne 2015 avec Alain Michard.

PHOTOS ALAIN JULIEN, SAUF EMPREINTES GUILLAUME

SCHMITT JEU DE SOCIÉTE ARNAUD BAUMANN.

AU MANÈGE, LA PLACE EST À

10 €Pour les détenteurs d’une carte 5Pour 50 €, cette carte individuelle vous permet d’assister à 5 spectacles différents à choisir quand vous le souhaitez. La personne qui vous accompagne ne paie que 10 €. Une fois la carte épuisée, le tarif de 10 € vous reste acquis pour toute la saison et vous continuez à en faire bénéficier la personne qui vous accompagne. Et surtout, n’oubliez pas de venir retirer votre t-shirt ** à l’accueil du Manège !

Pour les groupes de 5 personnes et plus

Pour les adultes accompagnés de jeunes de moins de 18 ans. Les adultes paient 10 € (jusqu’à deux adultes par enfant) / Les moins de 18 ans paient 6 €.

Pour les étudiants et les moins de 30 ans *

6 €Pour les étudiants et les moins de 30 ans * détenteurs d’une carte 5Pour 30 €, cette carte individuelle vous permet d’assister à 5 spectacles différents à choisir quand vous le souhaitez. La per-sonne, étudiante ou de moins de 30 ans, qui vous accompagne ne paie que 6 €. Une fois la carte épuisée, le tarif de 6 € vous reste acquis pour toute la saison et vous continuez à en faire bénéficier l’étudiant ou la personne de moins de 30 ans qui vous accompagne. Et surtout, n’oubliez pas de venir retirer votre t-shirt ** à l’accueil du Manège !

Pour les étudiants et les moins de 30 ans en groupes de 5 personnes et plus *

Pour les demandeurs d’emploi *

Pour les jeunes de moins de 18 ans

PAYER SES PLACES ENCORE MOINS CHER ?

AU MANÈGE C’EST POSSIBLE, EN RÉVÉLANT LE VÉRI-TABLE INCONDITIONNEL DES PESTACLES (V.I.P) QUI EST EN VOUS

Pour 150 € (payables en trois fois) cet abonnement vous donne accès à toutes les manifestations de la saison, soit plus de 30 propositions. La personne qui vous accompagne ne paie que 6 €. Et surtout, n’oubliez pas de venir retirer votre t-shirt ** à l’accueil du Manège !

LES AUTRES TARIFS

PLEIN TARIF 22 € TARIF RÉDUIT* 15 €Le tarif réduit est accordé aux seniors, aux détenteurs d’une carte de la Comédie de Reims, de l’Opéra de Reims, du Centre Culturel Saint-Exupéry, de Djaz 51, de Jazzus, de l’ADAC, du Salmanazar d’Epernay, de Furies / L’Entre-Sort (Châlons), de La Comète (Châlons), de Bords 2 scènes, EPCC de Vitry-Le-François et de l’Association TRAC.Sur présentation de leur carte VIP ou carte 5, les abonnés du Manège bénéficient de réductions dans ces mêmes lieux culturels.

TARIFSPASS COMITÉS D’ENTREPRISE ET ASSOCIATIONS ÉTUDIANTES

• Si votre comité d’entreprise est adhérent du Manège, vous bénéficiez d’un tarif préférentiel de 10 €.*

• Si votre association étudiante est adhérente du Manège, vous bénéficiez d’un tarif préférentiel de 6 €.*Le PASS est à 20 € et valable sur toute la saison. Le service des relations avec le public se tient à la disposition des res-ponsables d’associations et des comités d’entreprises pour toute information sur les modalités d’adhésion :

POUR LES COMITÉS D’ENTREPRISES CONTACTEZ LAURETTE HUE l.hue@manegedereims.com

POUR LES ASSOCIATIONS ÉTUDIANTES CONTACTEZ ÉLISE MÉRIGEAU

e.merigeau@manegedereims.com

REIMS SCÈNES D’EUROPE

• Pour les spectacles du Festival Reims Scènes d’Europe, les moins de 18 ans et les demandeurs d’emploi bénéficient d’un tarif à 5 € *.

Les tarifs du spectacle 1914 de Robert Wilson sont compris entre 40 € et 5 €. Les abonnés bénéficient de tarifs préfé-rentiels.

ACHETER VOS PLACES

À LA BILLETTERIE DU MANÈGEDès le 9 septembre, du mardi au vendredi de 14h à 19h. Les soirs de représentations à partir de 14h et en continu jusqu’à une demi-heure après la fin du spectacle. Vous avez la possibilité de payer vos places par carte bancaire, espèces, chèque, chèque vacances, bon CAS, chèque culture, carte Lycéo.

EN LIGNE www.manegedereims.com

PAR TÉLÉPHONE en réglant vos places par carte bancaire.

PAR CORRESPONDANCE en nous envoyant un chèque à l’ordre du Manège de Reims accompagné d’une enveloppe timbrée à votre adresse si vous souhaitez recevoir vos billets par retour de courrier.

du mardi au samedi, de 12h à 19h / Place Myron Herrick

Attention : les places payées à la Galerie de Culture ne pourront pas faire l’objet d’un échange ou d’un remboursement.

À NOTERLes places payées peuvent être retirées pendant les horaires d’ouverture de la billetterie et jusqu’au début de la représentation.

Les places réservées devront être payées durant la semaine qui suit la réservation ou la veille de la représentation au plus tard si la réservation est effectuée moins d’une semaine avant celle-ci.

L’accès de la salle aux retardataires ne peut en aucun cas être garanti.

* Sur présentation d’un justificatif. Pour le tarif demandeur d’emploi, un document de moins de 3 mois vous sera demandé.

** Le t-shirt vous est offert pour tout achat d’un abonnement jusqu’au 8 novembre 2014.

À la lecture de la brochure de saison, chacun perçoit et ressent du désir pour la vitalité du théâtre qu’il fréquente. Mais prendre la mesure de l’ensemble des propositions artistiques et des actions en direction du public que les scènes nationales initient sur tout le territoire nécessite un effort de synthèse et un souci de communi-cation auxquels s’attache l’association qui les regroupe.

Dignes héritières du mouvement de création des maisons de la culture initié par André Malraux, sises de part et d’autre de l’hexagone et jusqu’en Outre-Mer, les 70 Scènes nationales, emploient aujourd’hui plus de 1700 permanents, offrent près d’un million d’heures de travail à des intermittents du spectacle, totalisent à elles seules plus de 3,5 millions d’entrées. Elles sont par ailleurs, un des premiers pôles de l’éducation artistique et de l’animation culturelle sur les territoires, et tout particulière-ment en direction des plus jeunes.

Au-delà de l’importance des chiffres, de l’intérêt des statistiques de tous ordres (fréquentation, nombre de représentations…) les Scènes natio-nales représentent l’un des maillons essentiels

de la chaîne des théâtres publics en Région, aux côtés des Centres Dramatiques Nationaux, des Centres Chorégraphiques Nationaux, des Scènes conventionnées, des Pôles Cirques ou des Centres Nationaux des arts de la rue, notam-ment.Elles souhaitent déclarer leur attachement indé-fectible aux artistes, venus d’horizons divers, et à la création, affirmer leur volonté déterminée d’un accès pour tous aux œuvres comme aux pratiques artistiques.

Devant la banalisation du renoncement, dont l’abstention lors des élections est un des signes préoccupants, la vigilance quant aux engagements de l’État, comme de l’ensemble des collectivités locales et territoriales est de mise. Elle conduit l’association à militer pour le développement de ce réseau, pour ce paysage culturel exceptionnel que les pays européens nous envient, et qui ne doit plus servir de variable d’ajustement financier, quand les études d’im-pacts économiques, comme l’attachement des publics, témoignent de manière indiscutable de l’importance des réalisations menées depuis près de 60 ans.

L’association des Scènes nationales

Nous sommes chargés de l’héritage du monde, mais il prendra la forme que nous lui donnerons ; André Malraux.

Le Manège de Reims Scène nationale est une Association Loi 1901 créée le 20 octobre 1999, présidée par Marie-Hélène Thienot entourée de Jacques Barbier et Anne-Catherine Fenzy. Elle est subventionnée par la Ville de Reims, le Ministère de la culture et de la communication, le Conseil général de la Marne et bénéficie du soutien de la Région Champagne Ardenne.

DIRECTIONStéphanie Aubin directrice et chorégrapheBénédick Picot directeur adjointRaphaël Bourdon directeur techniqueOlivier Fauquembergue administrateur

ACCUEIL ET BILLETTERIESophie Glab responsable de l’accueil et de la billetterieAlexia Breda attachée à l’accueil et à l’information

ADMINISTRATIONOdile Ballot secrétaire de directionStéphanie Delaire comptable principalePhilippe Raimbault comptableLoïs Cattaruzza responsable d’administration

COMMUNICATIONGuillaume Schmitt responsable de la communicationAlexia Breda attachée à l’accueil et à l’information

PRODUCTIONAnne Routin responsable de productionPierre-Laurent Boudet chargé de mission à l’internationalSarah Doridam chargée de production

RELATIONS AVEC LE PUBLICCéline Gruyer responsable des relations avec le publicÉlise Mérigeau responsable des relations avec le publicLaurette Hue attachée aux relations avec le publicRémy Viau enseignant relais

TECHNIQUEDan Reneaux régisseur généralMarie-Cécile Liénard assistante de direction technique et chargée de l’accueil des artistesYannick Kosc régisseur plateauCédric Barbillat électricienDominique Viney régisseur lumière

Ainsi que tout le personnel intermittent et attaché à l’accueil.

L’ÉQUIPE

Le Manège de Reims reçoit le soutien en mécé-nat de la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne Ardenne et du Fonds de dotation Ecureuil et solidarité de la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne Ardenne.

DIRECTRICE DE LA PUBLICATION STÉPHANIE AUBIN

RÉDACTION ET COORDINATION GUILLAUME SCHMITT

CRÉATION GRAPHIQUE BENOÎT PELLETIER - DIABOLUS

IMPRESSION UTIM

LICENCES D’ENTREPRENEUR DE SPECTACLES N°1-1000517

(LT1), 2-1000515 (LT2), 3-1000516 (LT3)

N° SIRET : 428 754 253 00014 / APE : 9001 Z

À TOUT DE SUITE !

SE RENDRE AU MANÈGE

Le Manège de Reims est situé au 2 boulevard du Général Leclerc, à 5 minutes à pied de la place Drouet d’Erlon et à 10 minutes de la gare cen-trale, au bas des Promenades.

Si vous venez en voiture par l’autoroute, emprun-tez la sortie Reims Centre, vous apercevrez le cirque à la sortie de la bretelle.

Par le bus, prenez la ligne 7, arrêt Manège.

PERSONNES À MOBILITÉ RÉDUITE

Le hall d’accueil et la salle du Manège sont équipés pour l’accès des personnes à mobilité réduite. L’accessibilité du cirque peut être sou-mise à des conditions particulières en fonction du spectacle. Nous nous tenons à votre disposi-tion pour de plus amples informations.

MANGER SUR LE POUCE

Le triporteur du restaurant le Bocal vous attend tous les soirs de spectacle une heure avant la représentation. Délices iodés au menu : soupe, croque-fish, huîtres, bulots…

Pour les spectacles commençant avant 19h30 retrouvez le triporteur à l’issue de la représenta-tion.

NOUS CONTACTER

LE MANÈGE DE REIMS SCÈNE NATIONALE2 Boulevard du Général LeclercCS 8001651724 REIMS CEDEX

ACCUEIL / BILLETTERIE03 26 47 30 40

Dès le 9 septembre la billetterie du Manège est ouverte du mardi au vendredi de 14h à 19h ; les soirs de représentation à partir de 14h et en continu jusqu’à une demi-heure après la fin du spectacle. La billetterie sera fermée du 20 décembre au 5 janvier inclus.