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Construction de maisons individuelles Des constats Aux bonnes pratiques 2 décembre 2020

Aux bonnes pratiques - Dreets

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Page 1: Aux bonnes pratiques - Dreets

Construction de maisons individuelles

Des constats

Aux bonnes pratiques

2 décembre 2020

Page 2: Aux bonnes pratiques - Dreets

Alain TESTOT

Directeur Régional Adjoint

Responsable de l’unité départementale du Var

Page 3: Aux bonnes pratiques - Dreets

Evelyne VILLADOMATDirectrice adjointe du travail UD 83

Des constats : Guillaume BESSET-inspecteur du travail

Aux bonnes pratiques : Stéphanie BUCO

David BOTTREAU et Éric GORNISKI

Page 4: Aux bonnes pratiques - Dreets

La réalisation des fondations expose les travailleurs

de la société de gros œuvre à des risques

d’ensevelissement en particulier lors des travaux

suivants:

▪ Travaux de réalisation des rigoles et de coulage des

semelles superficielles au pied des talus verticaux de la

fouille en pleine masse (hauteur pouvant atteindre ou

dépasser les 2,50 mètres selon la nature des sols)

▪ Travaux d’élévation des murs du vide sanitaire ou d’un

soubassement de type sous-sol souvent réalisés au pied

des talus verticaux de la fouille principale

▪ Travaux d’étanchéité des soubassements : présence

d’un opérateur entre la paroi et le mur de maçonnerie

ou banché

▪ Les entreprises font intervenir leurs salariés aupied ou à l’intérieur des fouilles sans avoirconnaissance de l’état des terres et enl’absence de dispositif de blindage

Page 5: Aux bonnes pratiques - Dreets
Page 6: Aux bonnes pratiques - Dreets

La circulation en périphérie des fouilles expose les

travailleurs à des risques de chute de hauteur

Les abords des fouilles sont trop souvent dépourvus de

tout dispositif de protection collective contre le risque

de chute de hauteur

La mise en place de ruban de signalisation en rive de

fouille ( rubalise ) est préférée à des garde-corps

rigides répondant aux exigences réglementaires

L’exposition à un risque de chute de hauteur existe

également lors de la descente des salariés à l’intérieur

de la fouille.

Des échelles plates fixées en équilibre au sommet des

talus sont privilégiées par les entreprises intervenantes

Page 7: Aux bonnes pratiques - Dreets

L’élévation des premières rangées de murs en

parpaings expose les travailleurs à un risque de

chute de hauteur depuis la dalle du RC à l’intérieur

des fouilles périphériques

Très fréquemment, les fouilles en périphérie de la

dalle, n’ont pas été remblayées par le lot concerné

Les travaux de terrassement dans les CMI sont en

principe effectués soit :

✓ par le MOA particulier lui-même : peu

préoccupé par les condition de travail du GO

✓ par une société de terrassement : souvent une

microentreprise ou un entrepreneur individuel

✓ Aucune coordination n’est organisée entre la

société de GO et le lot ou la personne en charge

du terrassement ( aucun phasage des travaux)

Dans l’attente du remblaiement aucun garde-corps

n’est installé en rive de dalle

Des passerelles de franchissement constituées de

simples planches en bois ou des planchers

d’échafaudage sont installés pour accéder au plan de

travail

Page 8: Aux bonnes pratiques - Dreets

De manière générale, les entreprises de maçonnerie

mettent à disposition de leurs salariés des tréteaux

de maçon équipés de planchers en bois afin de

réaliser l’élévation des murs de la maison

Ces dispositifs présentent les irrégularités suivantes:

▪ les planchers sont souvent en bois

▪ Les différents éléments ne sont pas assemblés de

manière sûr

▪ Ces équipements sont constitués d’éléments

incompatibles : planchers en bois et tréteaux

métalliques ou potelets métalliques et lisses +

sous lisses en bois

▪ Les moyens d’accès ne sont pas sécurisés : pas

d’échelles d’accès, obligation d’escalader et de

se hisser à la force des mains

▪ Des vides existent entre les différents planchers

Page 9: Aux bonnes pratiques - Dreets
Page 10: Aux bonnes pratiques - Dreets

Les protections plaquées ou grimpantes sont très répandues pourprotéger les planchers du R+1 contre le risque de chute de hauteurdans le secteur de la maison individuelle

▪ Ces équipements sont peu couteux + permettent d’élever les mursen rive de dalle sans être gêné par la protection collective

▪ Une simplicité apparente dans leur installation

De très nombreux modèles présentent des problématiques deconformité inhérentes à leur conception

▪ Des systèmes d’ancrage traversant la maçonnerie incompatiblesavec des matériaux fragiles (parpaing ou brique)

▪ Des potelets ne permettant pas la fixation d’une plinthe

▪ Des potelets uniquement compatibles avec des planches en bois

▪ Des systèmes d’assemblage des garde-corps ne garantissant pas lacontinuité de la protection collective au niveau des angles

Les protections plaquées sont très rarement installées conformément àla notice d’utilisation

▪ Les distance maximale entre les perches ou les ancrages ne sontpas respectées

▪ L’absence d’installation du dispositif permettant de prévenir lerisque d’arrachement ou d’éffondrement du mur

▪ L’aménagement d’un accès sécurisé au plan de travail n’est paspossible sauf en bricolant

▪ Les éléments constitutifs de la protection ne pas sont de mêmeorigine

Point de vigilance:

• Les protections plaquées ou grimpantes sont incompatibleavec l’obligation de mise en commun des moyens deprotection collective à la charge de la personne débitrice del’obligation de coordination ( maitre d’œuvre en charge dela maitrise du chantier / lot principal en phase réalisation )

Page 11: Aux bonnes pratiques - Dreets

L’absence de protection des trémies est un

constat récurrent dans le secteur de la

maison individuelle

La quasi-totalité des corps-d ’état amenés à

circuler ou à travailler à un moment

quelconque des travaux au niveau du R+1

seront concernés par un risque de chute à

l'intérieur de la trémie ou en rive des

escaliers

Lorsqu’une protection est mis en place, il

s’agit trop souvent de garde-corps de

fortune bricolés sur place et ne répondant

pas aux exigences réglementaires

Page 12: Aux bonnes pratiques - Dreets

La pose des fermettes expose les salariés à des risques

multiples :

◦ Un risque de chute de hauteur sur la dalle : la pose

des fermes se fait souvent à partir d’échafaudages

ou de plateformes de travail non conforme (

trétaux )

◦ Un risque de chute de hauteur à l’extérieur de

l’ouvrage : la fixation des fermettes se fait dans le

chainage au sommet des voiles avec le souci de

garantir un espacement identique entre les fermes

◦ Un risque de heurt voir d’écrasement lors de la

manutention des fermes : il est peu fréquent de

constater la présence d’une grue de type GMA sur

les CMI pour manutentionner les fermettes

Page 13: Aux bonnes pratiques - Dreets
Page 14: Aux bonnes pratiques - Dreets

La pose des contreventements permet de

garantir la stabilité des éléments verticaux

et horizontaux de la charpente. Elle permet

également de prévenir le risque de

déformation de la charpente industrialisée

sous le poids de la couverture

Ces tâches impliquent la réalisation de

travaux en hauteur à l’intérieur de la

charpente en cours de montage

Les opérateurs sont exposés à des risques

de chute de hauteur manifestes depuis les

différents éléments de la charpente à la fois

sur l’intérieur et sur l’extérieur de l’ouvrage

Les opérateurs effectuent les travaux de

montage sans dispositif de protection

collective ou avec une plateforme de travail

« maison » dépourvue de garde-corps

périphérique

Les échelles plates sont également utilisés

pour accéder à la charpente en cours de

montage ( non fixées) et tant que poste de

travail

Page 15: Aux bonnes pratiques - Dreets
Page 16: Aux bonnes pratiques - Dreets

Les travaux de pose de la couverture se font

généralement à partir de la charpente dans les

conditions suivantes :

◦ Soit en l’absence de tout dispositif de protection

collective périphérique afin de prévenir le risque

de chute à l’extérieur

◦ Soit en utilisant des échafaudages sur console

composés de planchers en bois reposant sur des

éléments métalliques avec une fixation traversant

la maçonnerie

◦ Soit en utilisant des échafaudages non conformes

◦ Soit en utilisant des protections collectives de

classe A souvent ancrées dans la maçonnerie (

pente < à 10%) avec des filets non conformes

◦ De manière systématique, les salariés interviennent

à partir de la charpente en l’absence de dispositif

permettant de prévenir le risque de chute à

l’intérieur

Page 17: Aux bonnes pratiques - Dreets
Page 18: Aux bonnes pratiques - Dreets

La console de couvreur s’analyse comme un

échafaudage d’un type particulier assujetti à la

réglementation traitant des échafaudages

Les matériaux qui la composent doivent être de

même nature et les consoles « maison» sont interdites

par la réglementation

Il ressort des constats effectués sur les chantiers les

irrégularités suivantes concernant ces équipements:

◦ Des planchers en bois composés de bastaing reposant sur les consoles

métalliques : l’assemblage n’est pas réalisé de manière sûre avec des

éléments d’une solidité et d’une résistance appropriée (art R4323-72

CT)

◦ Les matériaux ne sont pas de même origine

◦ L’accès au poste de travail n’est pas sécurisé (R4323-79 CT)

◦ L’équipement ne contient ni notice de montage ni notice d’utilisation

: achat séparé des consoles métalliques et des bastaings(art R4323-70

CT)

◦ Absence de garde-corps (art R4323-77 CT)

◦ Les ancrages sont installés dans des matériaux fragiles (parpaing,

brique) présentant une résistance aléatoire à l’arrachement (art

R4323-73 et 74 CT)

◦ L’examen d’adéquation est inexistant (arrêté du 21 décembre 2004)

◦ Les salariés l’utilisant ne sont pas formés au montage d’échafaudage

et aux travaux en hauteur (art R4323-69 CT)

◦ La continuité des planchers et de la protection collective est rarement

assurée au niveau des angles (art R4323-78 CT et R4323-65 CT)

◦ Cet équipement de travail ne répond pas aux exigences réglementaires

concernant la mise en commun des moyens de protection collective

dans le cadre de l’obligation de coordination (art R4532-2CT)

Page 19: Aux bonnes pratiques - Dreets

Lors des travaux de pose de la couverture, les salariés sont exposés à un risque de chute hauteur à

l’intérieur de la maison en construction à travers la charpente

Ce risque est très rarement pris en compte par les professionnels du secteur : très souvent aucun

dispositif n’est mis en place pour protéger les salariés en sous-face de la toiture

Lorsqu’un dispositif de protection est mis en place par l’employeur, il est fréquemment

inapproprié et / ou inefficace

▪ Le choix d’une protection individuelle de type harnais stop chute est trop souvent privilégié dans le secteur

des CMI

▪ Pourtant :

➢ Les systèmes de harnais anti-chute sont dépourvues de toute efficacité contre les risques de chute de hauteur à l’intérieur

de la toiture d’une maison individuelle ( hauteur comprise entre 2,50 mètres en bas de pente et 4,50 mètres au faitage)

➢ Un opérateur équipé d’un harnais qui chute d’une toiture à une hauteur de 4 mètres tombera sur le sol avant d’être retenu

par le dispositif

➢ En effet : 6,15 mètres sont nécessaires pour stopper la chute de l’opérateur équipé d’un système d’arrêt de chute muni

d’une longe de deux mètres avec absorbeur d’énergie ( R431 CNAMTS du 7 juin 2007)

▪ La mise en place d’un filet en sous-face peut être envisagée mais présente des contraintes techniques

suivantes:

➢ la norme NF EN 1263-1 indique que la surface des filets de sécurité doit être supérieur à 35m² et la longueur du plus petit

coté supérieur à 5 mètres afin que l’absorption de chute d’un opérateur soit suffisante pour empêcher les lésions graves

➢ Les caractéristiques des filets de sécurité en grande nappe apparaissent comme incompatibles avec la prévention des

risque de chute de hauteur depuis la toiture d’une maison individuelle ( problématique identique au harnais)

➢ En effet : pour un filet de 5 mètre de coté, le tirant d’air du filet est estimé à 2,65 pour une hauteur de chute d’un mètre. Il

convient d’ajouter 2 mètres de sécurité pour éviter la collision avec d’autres travailleurs au sol soit à minima une hauteur

de 4,65 mètres pour que filet puisse être réellement efficace pour protéger le salarié

Page 20: Aux bonnes pratiques - Dreets

Stéphanie BUCO - David BOTTREAU - Eric GORNISKI

Page 21: Aux bonnes pratiques - Dreets

Prévention des chutes • Accès pavillon (remblaiement, passerelle…=• Protection des trémies (planchers, GC…)• Echafaudage commun

Gestion des manutentions

• Aire de livraison au plus près du chantier• Matériaux légers• Mécanisation des manutentions

Hygiène • Eau dès le démarrage du GO• Electricité • WC mutualisé pour l’ensemble des entreprises

Coordination SPS • Formation SPS niveau 3 du conducteur de travaux• Formation du PGC

Prévention des chutes Prévoir mesures de prévention pour IUO

Page 22: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Ce que l’on souhaiterait observer sur les chantiers afin de limiter le risque de chutes de hauteur et apporter un confort de travail et de sécurité à l’ensemble des intervenants

Page 23: Aux bonnes pratiques - Dreets

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« Travail en hauteur » : il faut tendre vers

Page 24: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Mise en place d’un échafaudage de pied périphérique

Page 25: Aux bonnes pratiques - Dreets

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« Travail en hauteur » : Montage charpente

Page 26: Aux bonnes pratiques - Dreets

01/12/2020FFB14 / OPPBTP 26

▪ 3 salariés ▪ 20 pavillons▪ CMH = 30 €/l’h▪ 1 journée de gain en production par

pavillon (1 journée à 3 salariés)▪ 300 € de location de grue par pavillon

Ex : cas prévention et performance

Assemblage de charpente constituée de fermettes au sol

Rendement : 2,82

Page 27: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Prévenir:

• le risque ensevelissement• le risque de chute de hauteur

Page 28: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Prévenir les risques de chutes de hauteur, chutes de plain-pied Faciliter les approvisionnements

La réalisation du remblai périphérique dès le coulage de la dalle du RDC et l’empierrement de la zone d’accès

Page 29: Aux bonnes pratiques - Dreets

Prévention des chutes • Accès pavillon (remblaiement, passerelle…=• Protection des trémies (planchers, GC…)• Echafaudage commun

Gestion des manutentions

• Aire de livraison au plus près du chantier• Matériaux légers• Mécanisation des manutentions

Hygiène • Eau dès le démarrage du GO• Electricité • WC mutualisé pour l’ensemble des entreprises

Coordination SPS • Formation SPS niveau 3 du conducteur de travaux• Formation du PGC

Prévention des chutes Prévoir mesures de prévention pour IUO

Page 30: Aux bonnes pratiques - Dreets

Livraisons au plus près des travaux pour limiter les manutentions

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▪ Choisir les matériaux et techniques constructives facilitant la manutention (hourdis légers, joints minces…)

▪ Privilégier les conditionnements les plus adaptés (parpaings retournés, matériaux en sac…)

Page 31: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Matérialiser sur le terrain des zones prédéfinies

• emprise projet de construction,

• position de la clôture,

• accès depuis la voie publique jusqu’au chantier,

• zone de livraison et de stockagematériaux,

• installations sanitaires,

• stockage des terres et déblais,

• compteurs eau et électricité.

Page 32: Aux bonnes pratiques - Dreets

Prévention des chutes • Accès pavillon (remblaiement, passerelle…=• Protection des trémies (planchers, GC…)• Echafaudage commun

Gestion des manutentions

• Aire de livraison au plus près du chantier• Matériaux légers• Mécanisation des manutentions

Hygiène • Eau dès le démarrage du GO• Electricité • WC mutualisé pour l’ensemble des entreprises

Coordination SPS • Formation SPS niveau 3 du conducteur de travaux• Formation du PGC

Prévention des chutes Prévoir mesures de prévention pour IUO

Page 33: Aux bonnes pratiques - Dreets

Pour se laver les mains et se désaltérer,

le point d’eau ne suffit pas.

Compteur d’eau dans le regard en limite de propriété

Branchement d’eau avec robinet d’arrêt dans la maison

Page 34: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Ce que l’on souhaiterait observer sur les chantiers afin de limiter le risque électrique, de manutentions manuelles, de perte d’audition, d’intoxication, dû à l’utilisation d’un groupe électrogène.

Mise en place d’un coffret électrique provisoire de chantier

Page 35: Aux bonnes pratiques - Dreets

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Mise en place d’une base vie

Ou

Page 37: Aux bonnes pratiques - Dreets

Prévention des chutes • Accès pavillon (remblaiement, passerelle…=• Protection des trémies (planchers, GC…)• Echafaudage commun

Gestion des manutentions

• Aire de livraison au plus près du chantier• Matériaux légers• Mécanisation des manutentions

Hygiène • Eau dès le démarrage du GO• Electricité • WC mutualisé pour l’ensemble des entreprises

Coordination SPS • Formation SPS niveau 3 du conducteur de travaux• Formation du PGC

Prévention des chutes Prévoir mesures de prévention pour IUO

Page 38: Aux bonnes pratiques - Dreets

01/12/2020 38

Réglementation applicable sur les chantiers de CMI ?

Quelle est la catégorie du chantier ? : En très grande majorité, ce sont des chantiers de 3ème catégorie.

Quelles sont les obligations pour les chantiers de 3ème catégorie ?

- Nomination d’un coordonnateur : non, mais la coordination est assuré par la personne qui assure effectivement la

maitrise du chantier. L 4532-7

Le constructeur doit faire :-Etablir un PGC simplifié R 4532-1 si TRP

-Registre journal de coordination : R 4532-38Mettre en œuvre une coordination L 4532-2 c’est-à-dire mise en

commun notamment les protection collectives

Coordination

SPS : OUI

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Investir dans des matériels plus sûrs: Des aides de la CARSAT pour les entreprises de moins de 50 salariés intervenants sur vos chantiers

Plateformes à maçonner et recettes à matériaux

Bungalow de chantier à usage de vestiaire, réfectoire,

sanitaires

Circulations et Accès

Les manutentions L’hygiène

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Matériels de protections des trémies dans le sol

Passerelles d’accès et de franchissement

Echafaudages MDS fixes ou roulants

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Eric GORNISKI