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BRGM
BUREAU DE RECHERCHES
GEOLOGIQUES ET MINIERES
DEPARTEMENT DES SERVICES
GEOLOGIQUES REGIONAUX
74 Rue de la Fédération
PARIS 15e
Tél. Suf. 94-00
Service géologique régional
du Bassin de Paris
65 Avenue du Gl Leclcrc
BRIE COMTE RCBERT
Tél. 146 à Brie-Comte-Robert,
SYNTHESE HYDRO0S0LOGIQÜE PROVISOIïïï
ET ETAT DE LA DOCUMENTATION SU1
LA FEUILLE TOPOGRAPHIQUE ;
U E L ü ri-
per
CL. MEGHIEN - G . RAMPON - U« TUlîLAND
D.S.G.3» 63 A 11 24 Mai 196:
BRGM DSG R
SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL
DU BASSIN DE PARIS
CHARTRES !>ûyROA*i
MÉRÉVtLtf
ETAMPES M E L U IV
Vx
. PITHIVIERSi
! PROVINSrr~
WONTEREAU. l SERGINES
CHÉROY
soi: ;.; A I S E
Texte
AVANT PROPOS DESTIÎJ2 AUX UTILISAT JL'îîS 1
GEOLOGIE REGIONALE. 3
PBEI.ÍIER IîESERVCIiî : CALCAIRE DE D . H . : 7
SECOND JÎESE3VCIIÎ : CALCAÎÙE DE CllM.X-IQllY 9
T R O I S I È M E JtESE:ïvr,iiî : sr-Ax;;Acr::: 12A U T . ^ S iíESí2ííVv'I.:S A^ülFElES 14
CONCLUSIONS ET iïECKi^C^'JS FuTU;:::s 15
Cartes
C A : Ï T E GEOLOGIQUE' ET STRUCT: HS DE 3v 17AC¿ 3-4
CALCAISS Da CitAÜPIGríY 9-10
NAPPE DU CALCAIRE DE CHAI PIG?JY 10-11
SPAîîNACIEN. . . . . * . . . , . . . . . i 1-12
Annexes
SCHEMA DE SITUATION DES SOÎiDAGES 16-17
LEG2NDE DES TABLEAUX RESUMES 17
TABL&AUÜ RSSUIIüS DES COUPES GEOLOGIQUES 19
TA3L2AÜX RESUMES DES RESULTATS HY^.'ÏOGSOLCII^USS 25
- 1 -
AVAMT PROPOS DESTINE AUX UTILISATEURS DE CETTE ETUDE
A la deoande du District de Paris, le B..Î.G.;'.. a entrepris
une étude par feuilles topograpniques des réservoirs aquirèrec cls
la région parisienne. Le bilan et le dynanianû os nappée ocrent
étudiés ûa'A3 un stade ultérieur qprer et ude sur IG
LG but de ce rapport est do donner l'état :.c la docür.ienta~
tion qui existe en interprétant les résultats sous ionio tío cartes
souterraines et eïe tableaux hyùro'jéologiqr.os.
Cette ùjntiibr.Q a été réalisée à partir du dépouil leac;L
et de l'interprétation des sonJagcs dont les élouonts provieur.ent
des docunonts suivants.
— Archivos de la documentation ùu &.II.U.L.
— Archi?es des enireprices de sondaye»
— Archives de l'Arrondissement rainéralogique de PARIS I.
— Rapports ¿es sondages pétroliers (lïAr.- CEP.- FETííGííEF. ) .
— Archives des coueessionaairec de distribution d'eau.
— Archives du Génie Rural (Seine et '-àrne).
• Publications scientifiques diverses.
L*inplantation de ces sonclacea et les coiîpes résunées
sont en annexes à cette étude, ainsi que les observations hytírogéo—
logiques qui s'y rapportent. Il n'a été tenu compte que des sonda-
ges dont la coupe, 1 lenplace::cnt, ou les résultats présentaient un
intérêt scientifique ou technique» Bien que nmaériquerieni plus i re-
portants f les ouvrages dont les renseignements sont douteux n'oat
pas été pris en considération, ils sont cependant archivés et con-
sultables au B.R.G.::.
Pour la feuille luELUN, les statistiques sont les suivantes
Sur 399 points é"xas.iinés au dépouilieieut de la documentation, on s.
pu situer 223 points sur les atlas au l/20CQCe et parrai ces der -
niers, 113 points seulement sont interprétés dans ce rapport et
reportés sur les cartes ci—jointes au 1/1í0000e«
a» 2 •»
Ce travail de synthèse étant fait à partie d'observations
ponctuelles, nous deaandoas aux utilisateurs qui auraient connais-
sance d'autres ouvrages pouvaat modifier le détail de ces cartes
de nous les signaler afin que nous puissions en teair compte dans
lea éditions ultérieures»
- 3 -
- GEOLOGIE REGIONALE
A -
La caxtx. géologique ci—jointe de la feuille de UELüN est
à l'éc&elle du l/lOOOGOe, réalisée par extraits des feuilles MELUîi-
PRO?INS au 1/öOOOOe, elle a reçu les simplifications nécessaires
pour faire apparaître les cinq formations principales suivantes:
1- ta vallée alluvionnaire de la Seine qui coule à la
cote 36 à MELUI-J, est caractérisée par une série d*étranglements et de
larges dépots d1alluvions nodemes« Les oéaudres sont surnontés dp
terrasses dfalluvions anciennes pouvant s'élevor à 30-35© au-dessus
de l'étiage (Bois le Soi.- Meiim). Sur les plateaux, des vallées
sèches »très pauvres ea al luvioanecient, contrastent forteneni avec la
Vallée de la Seine.
3- La Seine est bordée par une petite falaise d'une tren-
taine de mètres» constituée essentieliencnt par le Calcaire de Chaîu-
pigny«
3— La grande plate—forme est faite de Calcaire de Brie
( altitude 80 à IOOia).
4— Elle supporte des buttes de Sables de Fontainebleau
selon uae orientation préférentielle ESE-1.N/,
3- Ces buttes sont couronnées par des buttes terr.oiir; ein
Calcaire de Beauce vers les cotes 135—140*
B - STRATIGRAPHIE RESUMEE
En dehors de l'alluvionnenent quaternaire des vailéos et
des dépots pliocenes des plateaux, la série est la suivante Î
CALCAIRE OS BEAUCE t Calcaires compacts blanchâtres en lits avec
. intercalation de maraes árameleuses crayeu—(CHATTIEPI;
ses et silicification par endroit»
(Epaisseur : 6 à 20 m. à la limite sud de la
feuille de MELÜN).
MELUN
CARTE GEOLOGIQUE258
TECTONIQUE
50'
Courbes de niveau au sommetdu calcaire de Champigny
d'après les résultatsdes forages
B.R.GM. S.G.R. BASSIN DE PARIS— r ^ w - • • V : : . ' : V : . : V N M I ' '•••'' & * i ' i • 1 | ™ ~ | "^ .i rJ-.-t'.n
-^m;H±mk
^7^^^^^^
Slil7Í>'-:;."-;;j¿_l __.. SlilAVRIL 1963
8Km 0 1
ECHELLE : 1 / 100.0002 3 ¿ 5 6 7 S 9 10 Km
GEOLOGIE
Alluvions-Pliocène
Calcaire de Beauce(Chattien )
Sables de Fontainebleau(Stampien)
Calcaire de Brie et marnes(Sannoisien-Ludien)
Calcaire de Champigny(Ludien-Bartonien-Lutetien)
— A,
SABLES DE FONTAINEBLEAU ï Sal/ios ïïnz nic^oJs -vcc brnes grésou~:
aoií coTitiimís z" zor:..xùt$ et intercalations
aro i. 1 o. UG o 3 à ¿a ör.so»
(STAÎvIPÏEN)
CALCAIHE DE B2IE
(SANNOIST^fí silPSIilEUi?)ac :-::; . 'ÜIJ.K o:-
VESTES
sri IÎJFE;ÏIL*U:Oet
MARHI5S
(LÜDI^J SÜPESIEU )
L o sí lift i T ; ';. " to"
V.;*, y " Í". I VÍ •-:: .GOí.'.vr- ,-" S Ï C : . )
lo te.:-:..
tí*
: ' Ï ; ) -,ÍV-.-J se r ie u uc:ú^:v.'.lo
a)".M;-r;::^; v e r f,ori" (á:\) Ai-jilcr, :";.ar«iu;:os
vo:.".;ï cr.i'î-O;.?.'; I-'i., hxrrùCD»
.-.•.n:-. i ni '5 r;c:::jûa» r . -u 'vóeo, verlor) et o c r e s .
cr-.lc;..i"c-• L!l:.-.nc;.-.*lre:'., ^ ' a p
as:«:í c-:••":;? I c-.':to a "lor.vo;;!- c ' i n t u r c a l o L d o s
nivcn',:x m a r c e e ; : 7Gri;3 ci lo soianeí c t
fxCiiJor^avi s i í ici l ió ( c u í c o trc.:ial":ciüe
j r ÍGo ea Ivrnrc) . Po . -no lacustre e s s e "
c cm .vi ante«
d)«lí;i.r: • ;j rt ' A r ü o u t e u i l " (G à I O n ) .í.íarnos
nlí:3!:.i.:,::.-:ü f eu i l lGtóes vert-fonct- ou v e r t -
bloi. d é v o u a n t jaiuiflires et i ndu rées r̂
la base«
- 5 -
CALCAIRE DE(LÜÖIEH - DARTOKIEN -
LUTETIEN)
: Le calcaire de Champí rjny pris dans sca
acception la plus large est une formation
principalenent lacustre et constituée d'une
grande nasse de calcaires compacts plus ou
moins sil ici fit's altorar-r.t, partout vor?, 1¿
baso, avec des caraos calcaires blanchâtres«
Dans îc tíetaíl lorsque les coupes tío sonco-
«jes sont assos precióos* om peut distinguer:
— 35 cetros do calcaires lacustres siïici~
fiés ein Lud i en dont ÎG soin-.-et comprend sou-
vent quelques ne tro ¿i avec intercalations
uarneuses et In bnr-:î ÛQC baies êniihreizoiit
siliceux«
— 20 rJ.- iron ci o c r. 1 c c-, i res c oii;: :. ; «- s^ u i u^ u » fassez riclioa en nivc-r¿*.:s aerseus teac'a*oe#
ñiite^i les f o m ^ o îr.cu^ii'oc du B a r t o -
aien et du
Les niveaux suivarits «*affleUreut plue car la feuille IIELVU
mais sont rencontrés en sondage*
: II est constitue d»une façon hdtorooèno per
des argiles plastiques grises, vord*trc-3fblancîies et rongentresjCOHpoos de banc« de
sables fian et grossiers. Ce.-: uiyoau-x sa-
bleux peuvent imliíTé'ror-zx-üt oc trouver ci
soar^et ou l. la bac o do la fer.:. ..lion: 12c
peuvent l'envahir presque totaler.ic:ii f>u
encore n'exister que sous forne de trèc
niñees níveaiis grc3ixiés.
(Epaisseur très variable de qnelquoo nôtres
h plus de 60 raetres),
t Importante nasse de 507 h 596 m ûo craie
blanche , tendre ou coEipacte représentant
le Sénonien, le Turonien et le Cunonanien
(dont la base devient plus flarnense).
CRAIE
GAULT t Argiles compactes bleues de lfAlbien Supérieur
de 16 à 42 m d'(5paisseur0
SABLES VEHTS » Sables de l'AIbien moyen et inférieur. Le «oit
de ces sables est en général grossier et graïe—
leux sur une vingtaine de ¡aètres tandis que la
base est constituée ûe sables fins glaî'^-iieux
et argilcrs.
(Epaisseur totale de 96 à 116 n)
Mous nous borneront en profondeur à ce niveau qci est le
dernier réservoir aquifère iPt<5recc;ant pour les recherches d'eau
potable» Les aiveaux inférieurs, qr'il sragisso du Néocoaien on du
Jurassique, représentent trop de problèmes de peméabilite ot de
potabilité pour qu'ils soient retenus dans catte <5tude.
- 7 -
XX - PREMIER RESERVOIR - CALCAIRE DE BRIE
RESULTATS GEOLOGIQUES
L*examen de la carte géologique ci-joint© nontre 1 »étendue
du Calcaire de Brie, sur lea plateaux entourant MELON« L'allure
tectonique et structurale de ces calcaires est conforme au toit du
Calcaire de Champigny dont les courbes de ai?eau,, tracées en rouge
sur la carte géologique, montrent bien l*existenee d'une cuvette
synclinale que nous appelerons cuvette de l'JSLUN • Les pend ages
faibles au centre de cette ondulation synclinale (3 \ >ur 1000 en
direction de HELPS), semblent se relever ?ers VALENCE EN BRIE pour
atteindre 10 pour 1000 tandis qu'une ouverture se nanifeste vers
1»Ouest,
RESULTATS HYPROGEOLOGIQUES PROVISOIRES
Les sources sont tres nombreuses à la base du Calcaire de
Brie, au contact des marnes vertes imperméables; par contre les
débits semblent en général assez faibles, de 3 à 15 m3/heure en
moyenne. Une seule souree parait importante et atteindrait lOOraS/h
(source du FU de MAINOT 250/3/6/). On peut expliquer ce fort débit
par la position privilégiée de la souree dans l*axe de la "Gouttière
synelinale de UELBN, fournissant ainsi des conditions d*alimentation
et d« tectonique assez exceptionnelles*
Les puits qui sollicitent cette nappe sont très nombreux
surtout en zone rurale, puisqu'il suffit en général de 5 à 10 mètres
da profondeur pour obtenir am débit suffisant pour une petite ex-
ploitation« II faut cependant signaler une assez forte variabilité
piézométriot"?.
captages importants par puits sont plus rares, d*aprèsdocuments dépouillés nous n'en connaissons que 6 sur la feuille
UELUN,
- 8 -
ees 6f il y en a d«ailleurs 2 qui captent ¿gaiement les sables
de Feataiaebleau# Sur le débit moyen situé eatre 50 et 100ia3/heure,
deux ouvrages se distinguent : le puits des FOSGES à ST MARTIN en
BIESE {258/5/1I) arec 200n3/heure aux essais, et celui de la
GLAMDEE à DANNE&ARIE les LYS exploité par la Société des Eaux de
MELIÍN avec 250m3/heure lors des essais«
Au point de vue du chiniisne des eaux 9 on remarque «a
général (voir annexe}*
- un degré hydrotiaétrique total assez fort ( 30 à 55**}
- une teneur de ealore non négligeable (16 à 41 ng/l);
de mtiae qu'en SO. (25 à 112 rag/l)
a» Q —•
III - DEUXIEME RESERVOIR - CALCAIRE DE CíIAlPIGílY
RESULTATS GBCLOGIf¿úa;S
Les résultats géologiqíies dfcasenble concernant es ni-
vea« sont résumés sur la carte "Calcaire de Caanpigny" qui comporte;
— en rouge, les courbes structurales correspondant eux
cotes d*égalo altitude absolue du nur de ta fciraaticn
(confondue airee la base du Lutétien, ce dornior étar-'
inclue dans le groupe lacustre de Ckaspigny) »,
— en bistre,les épaisseurs aoyennes du calcaire de Clian»
pigny»
On rexaars, les phénonènes suivants ï
— Un épaississeaeut des calcaires selon mi a>:e BÂ'llBÎZQïï—
ST MERY.
— une allure structurale de la base du calcaire sensible-
ment différente de celle du toit ( voir première earte
géologique)« Alors que le toit marquait une euvette
syaclinale fors MELUN, le mur, lui, fait apparaître r.;<
dédoublenent de la cuvette avec un •épaississeneni beau-
coup plus marqué daas la cuvette Suû ( CIIAnT^îiTTES),
cuvette qui est séparée de celle de liELUîî per tine ride qui
correspond à l1 anticlinal do CHAILLY en BIEIÎS»
RESULTATS HYDROCEOLOGIQUES PROVISOIRES
La carte "nappe du Calcaire de Cliaspigny" résur.ie l'état
actuel de nos connaissances sur les eaux contenues dans ces calcai-
res.
— i-es cercles portés en bleu indiquent leo débits obtenus
lors des essais de débit initiaux dos ouvrages. Trois
catégories ont été retenues * 0 à 2Ora3/h| 20 à 100ia3/hj
et an-dessus l00n3/h.
MELUN 258
CALCAIRE DE CHAMPIGNY
ISOBATHES
oSondages traversant leCalcaire de Champigny
+20'
Courbes de niveau àLa base du Calcaire
de Champigny
B.R.G.M. S.G.R. BASSIN DE PARIS
ISO PAQUES
Epaisseur totale duCalcaire de Champigny
< 50
50-60
> 60
m
m
m
ECHELLE : 1/100.000Km 0 1 6 7 a 9 10 Km
- t-a plupart des points d'eau notés dans le dépouillementont été revus sur plaee et relevés dans un délai de 45heures poor essayer de présenter un schéma de ear te pié-ztmáiriane.
Sur celte earte on remarque x
- Un écoulement général de la nappe vers A« u t de laSeine «mirant ûem courbes isopiéze&étriques dont 1*allaregénérale se superpose très bien afee la tectonique dutoit du Calcaire de Charapigny, te gradient qui sur lesplateaux»est de 3 pour 1000»baisse pour atteindre 1 pour1000 en bordare de la vallée de la Seine»
— Sa ce qui concerne les débits,on distingue nettement
deux régions t
a)- tes plateaux où les ouvrages n'atteignent que rare-ment 20 ssSitt.
b ) * ta vallée de la Seine et la partie basse da rû de 1*Ecole eu sont concentrés toas les ouvrages donnant debons débits »20 à I00m3/heure en solenne avec 9 captagesdépassant lOOaS/heure»
un est en présence d'un phénomène assex général dans ioscirculations d'eau en réservoir calcaire où il est fré-quent de voir la fissuration se développer à l'approchedes vallées principales« Remarquons en outre que sousn*avons vbserTé que des débits médiocres dans les allu-vions de la Seine lorsque le calcaire sous-jacent s'estpas atteint; l'ensemble alluvions et Calcaire de Chaapi-gny semble ne former qu'une seule nappe dans la vallée«
Les tableaux résumés ( voir annexe) donnent une idée d*
ense&ble sor la composition chimique des eaux du Calcaire de Chaïa-
on peut relever les observations suivantes :
MELUN
NAPPE DU CALCAIRE DE CHAMPIGNY258
COURBESISOPIEZOMÊTRIQUES
Courbes de niveaudu sommet de la nappe
(AVRIL 1963)
Sens d'écoulementde la nappe
/ "7Barbizon
B.R.G.M. S.G.R. BASSIN DE PARIS
DEBITBrut en m 3 / h
O O à 20 m 3 / h .
20 à 100 m 3 / h .
100 m 3 / h .
ECHELLE : 1/100.000Km 0 1 2 8 9 10 Km
- Il -
— Minéralisation généralement plus faible que eelle du
Calcaire de Brie
- te degré aydrotiiaétrique se situe entre '22 et 35^ ïe
cblore entre IS et 30ag/lt le sulfate en SO entre O et
7© mg/1»
MELUN 258
SPARNACIEN
ISOBATHES
Courbe de niveau à labase du Sparnacien
-30
Sondages atteingnantle Sparnacien
O
B.RG.M. S.GR. BASSIN DE PARIS
8
ISOPAOUES
20-30
Epaisseur totale duSparnacien
FACIÈS
> 5 0 V . desabte
50 à 80 V« d'argile
» 8 0 7« d'argile
ECHELLE: 1/100.000Km 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Km
- 12 -
I? - TROISIEME RESERVOIR - LE SPARNACIEN
RESULTATS GEOLOGIQUES
La carte intitulée "SPARNACIEN* rdsune les principaux
résultats géologiques obtenus sur ce réservoir par le dépouilleoen
des sondages« on a report<5Î
- En rouge,les courbes de niveau de la base du SPASMACIEÎ
c'est à dire le toit de la craie sur laquelle il repos
» Ses cercles avec an figuré bistre représentant la nain«
re sableuse ou argileuse de Sparnacien, c'est à dire
aoà faciès* Les catégories sont les suivantes:
— pointillés t le sondage a rencontré plus de 50£ de
niveaux sableux dans sa fornâtion.
- traits obliques légers s le sondage a rencontré un
sparnacien riche en argile (50 à
traits horizontaux épais : le sondage a rencontré un
spaenacien entièrement argileux ( plus de 80% d'ar-
gile).
L'examen de la carte conduit aux résultats suivants;
- L'allure tectonique est très différente de celle du
Calcaire de Chaspigny. On observe us pendage de Ö pour
1000 dirigé vers le NW avec des anomalies correspondant
à la placée synclinale de CHARTRETTES et à l'anticlinal
d« CHAILLY en BIERS.
le détail,le toit de la craie se montre très irré—
julier et il faut admettre une érosion anté -sparnacienne
- 13 -
- L'épaisseur du Sparnacicn se réduit ûu NV: vers le SB et
passe de 60 aètres et plus à des zones où les sondages
ae trouvent plus à cot étage quo des puissances inférieures
à 20 mètres.
(Sondage RAP 90 a° î/'-V^O o": *e 3parnr:.cion no fed'-, qnc
17 m)
— Quant à la aaîuro cîêne ÍVL Sparvincíon uns rsiaar que
s'impose s il est exiréaenû-ui arduous ci; ou doit nône
s étonner qu& de n ombrons es röCiiorcheö d'oau aient sollicité
ce réservoir U2.1$T4 îott Jc:¿ccn rf'-'.-t-.':.;,
0eu3î zones sableuses soulcr.,cní nüGGüpíibíes 'i'Sti-c- aquí—
feres se trouvent respecf.i?OLic.ut au S uo -.IELIÏH et au S du
CUATELET.
RESULTATS HYDBOGEOLCGIQ.ÜES PROVISRIRES
Quant on dépouille les dossiers relatifs à la feuille
îiELUN on s*aperçoit que trois sondages seulement semblent capter
uniquement l'eau du Sparnacien, s'eu:-: autres auraient en r.ônc temps
capté le Calcaire de Chanpi'juy et il est alore difficile de dire
la part qui revient à chaque nappe*
Ces trois sondages (?AU;; le i íIJlL - ¡ÎBiiICY - LE CHAÏELET)
ont donné respectivement 32, 18 et 12 n3/hei:re ot ils sont tons
trois progressivement ensablés» Mous possédons peu d'analyses nais
l'eau parait très ninéralisce et des observations concernant la
couleur rougeâtre de l'eau laissent supposer une teneur inportante
en fer*
? - AUTRES RESERVOIRS AQU1FESES
1 - LA CRAIE
Nous possédons très p«t: Ce renseicnerents sur la craie;
car il n'existe pas h notre- cr--->:-\r -. "--¿ace <Ie forage captant unSque—
nent la craie. Seuls certain ""•.-r-.i-.-os l'ont atteinte^ neis il est
impossible de preciso.? 'ii i*e;r. :.,-•*• ée ea provenait rceîlcceui.
L*étude úos forto": ;c boue des sondages pétroliers ne
pernei pas ác definir .Î-J. par ó:J';:¿ "; ite de la craie» On a en général
des pertes de boue do :'C •; . -0 ¡;;; 200 m, nais le trou n'étant
souvent pas tubé^ il :.'•! -.?:;:•;•':;:.).-' que le Calcaire -je Chacpigny soit
le seul responsable- de ces •••?-;.-:"•.*
2 - LES SABLES VERTS :;E L^ALDIgi;
Biea que nous nfa¿:-aü aucune nesure du débit ou cîu ni-
veau hydrostatique sur l'Albien. nous savons qu'il existe un excel
lent réservoir situé vers 6C! oas ¿íELUN et qui protégé au toit
par 20-25 d'argile est consti;.--JÓ par des sables sur près d'une
centaine de raètre
- 15 -
TI - CONCLUSIONS I - RESULTATS, COMPARAISONS
ET RECHERCHES FUTURES
Le Calcaire de Brie, important par son étendue contient
une nappe limitée dans laquelle les ouvrages h gros débits ne sont
dus qu'à des positions exceptionnelles« Les petits puits indivi-
duels et les sources sont abondants Dais il faudrait étudier les
possibilités restantes et protéger cette nappe de surface des
pollutions causées par les aonbreux puisards existant dans les
agglomérations•
Le Calcaire de Champigny est la ressource principale
en eau souterraine de la région étudiée* Nous avons donné les
cartes permettant de définir en chaque point les conditions et la
profondeur du réservoir, ainsi que l'écoulement général des eaux.
Il reste cependant certains problèmes importants)
— L'accroissenent des prélèvements dans la zone de LIE LUI?,
n'est—elle pas dangereuse? Certains points de la nap-
pe ne sont-ils pas déjà plus bas que le niveau de la
Seine?
— Quels sont les débits que l'on peut obtenir encore et
surtout dans les zones pauvres en ouvrages? (région de
BARBIZON par exemple)*
lío us avons montré que les zones favorables dans le Spar—
nacien sont rares et que l'on se heurte à de grandes variations de
faciès et d'épaisseur* Par ailleurs le cuisisse de l'eau ne semble
pas parfait, l'ensablenent des ouvrages est la règle générale*
- 16 -
D'autres réservoirs seraient à étndier et si la craie
parait offrir des garanties médiocres,il n'est pas exclu qu*ën
certains points elle soit aquifère. De nêmetle problème des
Sables verts serait à considérer dans un ensemble plus grand, mais
pourrait présenter un certain intérêt dans cette région où cette
nappe est peu exploitée»
Lors de l'étude systématique sur le terrain,il faudra
rechercher la cause des baisses de niveau, constatées à la fois
dans les trois principaux réservoirs aquifères. Cette baisse
peut-être due soit à des variations climatiques, soit h des
surexploitations de nappef à titre indicatif,on connaît les chif-
fres suivants«
- Calcaire de Briet Puits de la Glandée (25S/6/60)
Baisse constatée de 3m du niveau statique de 1913 à
1935*
- Calcaire de Chaapigny» Forage de la Glandée (258/6/59).
Baisse un niveau statique de 5m de 1949 à 1962,
MELUN
PRINCIPAUX FORAGES ET POINTS D'EAU258
B.R.G.M. S.GR. BASSIN DE PARIS
Forage pétrolier.
Forage d'eau oude reconnaissance.
Q Source importante.
ECHELLE : 1 / 1 0 0 . 0 0 0Km 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Km
Marnes supra-gypseuses
Cote toit Champigny
Calcaire de Champigny
Cote mur LutetienSparnacien
LEGENDE
R E S U L T A T S G E O L O G I Q U E SHUITIEME DE FEUILLENUMERO DU FORAGEALTITUDE DU SOL
Avant-puits
3+ 42 -
13-
\
Cote toit CraieCraieGaultSables verts
PROFONDEUR TOTALECOTE DU NIVEAU STATIQU^ANNÉE
n° du huitième de feuille où se trouve le sondage
n° d'ordre sur le huitième do feuille
cote de l'orifice arrondie au mètre
épaisseur dea terrains inconnus de l'avant puits
colonne dos cotes ou des épaisseurs
Colonne des faciès traversés
colonne des niveaux stratigraphiquos régionaux
"la cote absolue du toit du calcaire se trouve h. une cote supérieure à + 29n"
"le calcaire a été traversé sur 49n"
le faciès rencontré est du calcaire silicifié"
"la coto absolue du nur du calcaire, qui est lutetien à sa base, est de -20"
"Sparnacien exploré sur lOn mais non traversé entièrement"
"le faciès rencontré est formé de 7C^ de niveaux sableux et de 3Oj2 de niveaux argileux"
"la cote de la craie sur laquelle repose le sparnacien se trouve être inférieure à -30,car elle n'a pas été atteinte par le fornge"
profondeur totale arrondie au mètre
Cote absolue du niveau statique
Année de cette observation ( ou i II = voir résultats hydrogéologiques j- P = perte de boue observée
SYMBOLES EMPLOYES POUR LES FACIES t
C » Calcaire M = Marne A = Argile
US = Marne ASCM = Calcairemarneux
CQ Calcairesilicifié
MD
Marnesableuse
Marnedolomitique
Argilesableuse
D = DoIonio
BU B DoIoniomarneuse
Q » Silice
G = Qypso
L s Limons
S » Sable R^ = Remblais
Sg = Sable grossier p » Pyrite
Sf = Sable fin Lignite
LEGENDE 18.-
RESULTATS HYDROGEOLOGIQUES PROVISOIRES
(*) Les renseignements hydrogéologiques peuvent être améliores par des nouvelles mesures tandis que Ie3 renseignements géologiques sont en
général définitifs à la fin du sondage •
Nappe nornalcnent captée d'après la coupe des terrains et la position des tubages
Cas où le forage oapte accessoirement une autre nappe
n£ du huitièno de feuille
n° du sondage sur le huitième
cote absolue du niveau de l'eau au repos
année d'observation
ici nappe captivo, l'eau remontant plus haut que le toit du réservoir
réservoir de faoiés "Sables argileux"
hauteur laissée libre a l'entrée de l'eau
Débit maximum pour un plan d'eau stabilisé lors des preniers essais
Dépression du niveau statique au débit considéré
Débit rapporté ù un mètre de rabattement
Année de l'essai de débit ( et souvent do l'analyse)
Débit journalier moyen rapporté à une heure
Résistivité électrique de l'eau en ohm/cia à 16° C
degré hydrotimétrique total
Chlore Cl"" en iag/1
Sulfates SO4"~ en ag/l
Calcium Ca + + en iag/1
NAPPE CAPTÉEAUTRE NAPPE
NUMERO DU FORAGE
COTE DU NIVEAU STATIQUE
ANNÉE
COTE DU TOIT DU RESERVOIR
FACIES
HAUTEUR CREPINÉE
DEBIT MAXIMUM M / H
RABATTEMENT R m
DEBIT SPECIFIQUE D/R
ANNÉE
UTILISATION JOURNALIERE
CHIMIE DE L'EAU
mgl
R1 6
dH
Cl
SO*
Ca
Fe
Mg
OBSERVATIONS
SPARNACIEN
2
9
+45
1937
+43
SA
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3.25
9.9
1937
19
1830
29°
24
24
76
1 1
Ensable»Dont194919ra3/U
Fer total
Magnésium Mg en ug/l
U E L U N RESULTATS GÉOLOGIQUES 25619
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
•
AfANÏ-PUITS
QUATERNAIRE
C* DE DEAUCE
S« DE FONTAINEBLEAU
C , DE BRIE
ïftSSfSoYPSEUSES
UUTKTOIT CHAMPION*
C . DE CHAMPÍGUT
COTE MUS LUTETIEN
SPARNAGIEN•
COTE TOIT CRAIE
CRAIE
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SABLES VERTS
PROFONDEUR TOTALE
COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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13
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M E L U N RESULTATS GEOLOGIQUES 20*-
258
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
AVANT-PUITS
QUATERNAIRE
m Jr fil H K A. iJ(.j C«
So DE FONTAINEBLEAU
C t DR RRIEMARNES
COTETOIT CHALîPIGNY
C . DE CHALIPIGNY
COTEMUP LUTETIEN
SPARNACIEN
COTE TOIT CRAIE
CRAIE
GAULT
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COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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A
109
H
M E L U N RÉSULTATS GÉOLOGIQUES 256
21 a -
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
AVANT-PUITS
QUATERNAIRE
C . DE BEAUCE
S«, DE FONTAINEBLEAU
C, DE BRIE
MARNESSliPRA-ffYPSEUSBS
COTETOTT CHAîiPTGNY
Co DE CHAMPÍGNY
COTEMUS LUTETIEN
SPAÎÎNACIEN
COTE TOIT CRAIE
CRAIE
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PROFONDEUR TOTALE
COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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FU 5-160
U E L ü N RÉSULTATS GEOLOGIQUES 25622 •'
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
AVANT-PUITS
QUATERNAIRE
C . DE BEAUCB
S.DE FONTAINEBLEAU
C.DE BRIEMARNESSUPRA-.GYPSEUSES
COTETOIT CHAMP!GNTf
C . DE CHAliPIGNY
COTE MUS LUTETIEN
SPARNACIEN
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COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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1737
U L U N RÉSULTATS GÉOLOGIQUES 20639 *-
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
AVANT-PUITS
QUATERNAIRE
C . DE BEAUCE
S* DE FONTAINEBLEAU
C. DE BRIE1IAKNESSUPIÎA-GYPSEUSES
COTETOIT CHAMPIGNY
C . DE CHAMPIGNY
COTE MUR LUTETIEN
SPARNACIEN
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COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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L u N RÉSULTATS GÉOLOGIQUES 23024 —
HUITIÈME DE FEUILLE
NUMÉRO DU FORAGE
ALTITUDE DU SOL
•
AVANT-PUITS
QUATERNAIRE
C o DE BEAUCE
S. DE FONTAINEBLEAU
C a DE BRIE
MAKNESSUPRA-GYPSEUSES
COTETOIT CHAÏ.SPIGNY
C . DE CHAMPIGNY
COTE îiUR LUTETIEN
SPAKNACIEN
COTE TOIT CRAIE
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PROFONDEUR TOTALE
COTE DU NIVEAU STATIQUE ET ANNÉE
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ÜELUN RESULTATS HYDROGÊOLOGIQUES PROVISOIRES 25. -N« 288
NAPPE CAPTÉE
AUTRE NAPPE
NUMERO DU FORAGE
COTE DU NIVEAU STATIQUE
ANNÉE
COTE DU TOIT DU RESERVOIR
FACIÈS
HAUTEUR CREPINÊE
DEBIT MAXIMUM M V H
RABATTEMENT R m
DEBIT SPECIFIQUE D / R
A N N É E
UTILISATION JOURNALIÈRE
CHIMIE
DE
L'EAU
mgl
R18
dH
Cl
scuCa
Fe
OBSERVATIONS
C A L C A I R E O B B B I B
3
S
4-93
1984
CQ
16
6,5
2,4
19S4
126S
sa«41'
112
146
S
S
U
+64
1949
C
0,9
200
0,7
285
1949
•
6
$4
+78
1961
C
40
7
1961
1960
37*
20
25
ill
6
6
55
+76
1933
ff
80
5
10
1933
Sabio daFon ta i nab leai
6
60
+74
1913
CQ
irle
pieria
110
1913
fc.S.laissede an•» 22an*
6
61
+72
19SQ
ca
250
3
83
1950
175
B S O U R C E S
3
6
+72
100
1961
Baisséd« t,ken *0|
— 1
3
7
+67
1953
45
1953
36«
22
67
n
3
8
+80
1944
3
1944
31*
27
41
115
2
7
+67
1944
1944
45*
42
96
5
6
+66
1943
CM
IT
1943
2049
31°
22
40
Bauagro«sire
5
13
+64
- -
CQ
3,4
1944
S
14
+66
1944
CQ
16
1944
•
8
13
+88
1943
15
1943
1550
40°
35
54
8
14
+90
1943
2
1943
8
IS
+82
1947
3
1947
1633
30*
16
50
121
RÉSULTATS HYDROGÊOLOGIQUES PROVISOIRES H» 256
26 —
NAPPE CAPTÉEAUTRE NAPPE
NUMERO DU FORAGE
COTE DU NIVEAU STATIQUE
ANNÉE
COTE DU TOIT DU RESERVOIR
FACIÈS
HAUTEUR-CREPINÊE
DEBIT MAXIMUM M V H
RABATTEMENT R m
DEBIT SPECIFIQUE D / R
A N N E E
UTILISATION JOURNALIERE
CHIMIE
DE
L'EAU
mgl
R18
dH
Cl
SO4
Ca
Fe
Ug
OBSERVATIONS
C A L C A I R E O B C H A J ü P I C N Y
1
5
4-46
1963
+50
CQ
19
5
4
1
1961
•
1
6
+3f
1963
CQ
20
120
0 t4
300
1931
1940
19
43
1
f
439
1963
+50
CQ
28
1
29
19.34
2327
22«
16
32
90
1
8
+39
1944
CQ
90
1944
1
9
+40
1959
+56
CQ
20
26
4,6
6
1959
16
1945
20«
22
11
* Ô
0
10
2
1
+40
1963
+54
CQ
46
29
0,2
125
1936
23»
20
12
2
2
+3T
1963
10
130
6,2
24
1959
2
4
+53
1963
+70
CQW
26
72
51
1952
2
5
+55
1958
+66
CQ
15
15
6
2*0
195Ö
2005
33°
21
76
109
0
7
2
0
+38
1949
+S0
CQ
16
6
11
0,5
1949
2
12
+43
1963
+51
CQ
14
150
0,4
375
1957
335
2070
28«
16
13
109
7
Liai*4« l,2i» 5 ai
2
73
+38
1963
CQ
15
110
6
18
1962
i
4
6
+54
1963
+80
CQ
14
11
1,6
6
1954
2219
35 •
21
18
99
16
4
5
+65
1963
+83
CQ
10
17
10
1,T
1949
5
9
+42
1960
Q
10
35
4
9
1960
25
4150
11»
13
475
0
4
5
10
+47
1963
+60
CQ
21
V210
1937
S
12
+40
1937
+59
CQ
8
20
2
10
1936
5
15
+40
1963
CQ
3
20
0,3
66
1964
2485
28«
16
41
86
9
6
56
+41
1963
+32
CM
34
60
14,5
4
1962
30
2625
26«
16
5
83
0
9
6
58
+40
1955
CQ
7
7
1
1965
2545
26°
15
ireoe
81
4
6
59
+35
1963
+53
CQ
rlea
116
10
12
1949
62
29*
3
Jaïâiele Sam 13a
7
11
7
1960
is
7
13
+43
1963
C
6
280
115
1951
2240
30«
16
16
167
MELÜN RESULTATS HYDROGÊOLOGIQUES PROVISOIRES
a? . -
N° 256
NAPPE CAPTÉEAUTRE NAPPE
NUMERO DU FORAGE
COTE DU NIVEAU STATIQUE
ANNÉE
COTE DU TOIT DU RESERVOIR
FACIES
HAUTEUR CREPINÉE
DEBIT MAXIMUM M 3 / H
RABATTEMENT R m
DEBIT SPECIFIQUE D / R
A N N É E
UTILISATION JOURNALIERE
CHIMIE
DE
L' EAU
mgl
Rie
dH
Cl
S04
Ca
Fe
Mg
OBSERVATIONS
C A L C A I R E D E C H A ïi P I G N Y
7
14
+43
1963
CQ
4
144
4,2
34
1960
2165
22°
21
72
38
0
6
6
12
+74
1955
+96
CQ
17
12
0,9
13
1955
2450
24°
16
0
53
23
ß
16
+7Ö
1956
+ 101
CQ
39
1
14
0 , 0 7
1956
A L L U V I O N S
1
3
+39
1961
C
33
2,5
13
1961
1646
32«
30
19
116
0
3
1
4
+41
1961
C
1
52
1,9
27
1961
20
2640
22°14
8
72
0
11
1
12
+37
1963
CQ
20
4,7
4,2
1954
1050
36°
21
41
64
7
2
6
+39
1963
CQ
6
57
+39
1963
20 +galerie 2,7
288
22
13
1950
142
32°
ft.SBaisse0,70en 8ati
40
1936
s
7
9
+43
1953
CQ
SPARNACIEN
4
7
+55
1963
+73
CQ
7 +galerie 17
•288
7,85
37
1953
2305
26°
13
27
94
0
6
14
1906
12
Sif
7
15
+41
1931
+65
CQ
28
4
7
1931
Débitparnáonsigniiant
SPARNACIEN+ CRAIE
3
4
+90
1936
+67
C
26
1936
1695
30°
23
65
72
-
8
11
+57
1950
+21
SA
12
10
1,2
1950
Forage
serai-
obst
rué
SOUR-CE
1
11
+44
1944
CQ
18
1944
SPARNACIEN
2
9
+45
1937
+43
SA
6
32
3,25
9,9
1937
19
1830
29°
24
24
76
7
12
+53
1931
+31
SA
IG
1932
11 |
1949il ,*!§ $
to fi 'S*
LÄÄÄ
CRAIES
7
10
+45
1933
+12
SA
20
1933
h«9
O 1O«9 C»M 3O
ht