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Lehaim velivraha Bamidbar 24 Iyar 5774 / 24 Mai 2014 N.262 Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ ב״הUne grande Mitsva ??? Un Hassid rendit un jour visite a son Rabbi et il en profita pour lui demander des conseils pour ses affaires. Le Rabbi répondit à toutes ses questions puis, juste avant de sortir, le Rabbi lui demanda: « Peux tu me rendre un service ? » « Oui bien sur ! » « Combien d’argent as-tu sur toi ?? » « J’ai 300 roubles ! » « Pourrais tu me les prêter pour quelques jours? » « C’est-à-dire que je vais en avoir besoin! » « Même pour trois jours ! » « Je pourrai vous prêter 30 roubles si ca peut vous aider ! » « Tu sais, c’est une grande Mitsva de prêter a son frère !» N’ayant d’autre choix, il sortit les billets et les remit au Rabbi. Sur le chemin du retour, le Hassid se fit attaquer par une bande de brigands qui lui volèrent tout ce qu’il possédait ! Arrive chez lui, il se remit de ses émotions puis réalisa soudain que ce n’est pas pour rien que le Rabbi avait insiste! * Pirke-Avot CHAPITRE 5 * Chabbath Mevarhim Hodech Sivan * Roch-Hodech Sivan tombe Vendredi 30 Mai Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK 347-627-9209 Entrée de Chabbath: 7.41 pm Sortie de Chabbath: 8.46 pm

Bamidbar 5774

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Judaïsme, vive le ROI, HASHEM, TORAH, education juive, 770, LEHAIM VELIVRAHA, J'ai ressenti ma petitesse !!

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Page 1: Bamidbar 5774

Lehaimvelivraha

Bamidbar 24 Iyar 5774 / 24 Mai 2014

N.262

Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

ב״ה

Une grande Mitsva ???

Un Hassid rendit un jour visite a son Rabbi et il en profita pour lui demander des conseils pour ses affaires.Le Rabbi répondit à toutes ses questions puis, juste avant de sortir, le Rabbi lui demanda:« Peux tu me rendre un service ? »« Oui bien sur ! »« Combien d’argent as-tu sur toi ?? »« J’ai 300 roubles ! »« Pourrais tu me les prêter pour quelques jours? »« C’est-à-dire que je vais en avoir besoin! »« Même pour trois jours ! »« Je pourrai vous prêter 30 roubles si ca peut vous aider ! »« Tu sais, c’est une grande Mitsva de prêter a son frère !»N’ayant d’autre choix, il sortit les billets et les remit au Rabbi.Sur le chemin du retour, le Hassid se fit attaquer par une bande de brigands qui lui volèrent tout ce qu’il possédait !Arrive chez lui, il se remit de ses émotions puis réalisa soudain que ce n’est pas pour rien que le Rabbi avait insiste!

* Pirke-Avot CHAPITRE 5* Chabbath Mevarhim Hodech Sivan

* Roch-Hodech Sivan tombeVendredi 30 Mai

Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK

347-627-9209

Entrée de Chabbath:

7.41 pm

Sortie de Chabbath:

8.46 pm

Page 2: Bamidbar 5774

Résumé de la Paracha bamidbar

*Hachem demande que l'on procède à un recensement des Bne-Israël. *Moche dénombre 603 550 hommes âgés de 20 à 60 ans. *La tribu de Lévi, comptée à part, compte 22 300 hommes âgés d'un mois et plus. *Hachem demande que la Tribu de Lévi soient consacrée au service du Temple à la place des premiers nés car ces derniers ont participé à la faute du veau d'or. *Le nombre de premiers nés étant supérieur à celui des Lévites.*La Paracha décrit ensuite la manière dont le peuple d’Israël campait et voyageait. *Lorsque le peuple levait le camp, les Leviim procédaient d'abord au démontage du Michkan. *A l'arrivée, ils le remontaient. *Kéhat est responsable du transport des objets sacrés (l'arche sainte, le candélabre, etc...). *Gershon transportait les tentures qui recouvrent le Tabernacle. *Merrari transportait les panneaux de bois et les socles.

Dans notre Paracha, Hachem demande à Moche de compter les Bne-Israël.Mais les Bne-Israël et les Leviim ne sont pas comptes ensemble.Moche compte d’abord les Bne-Israël par l’intermédiaire du demi-Shekel.Les Leviim sont comptes séparément et de manière miraculeuse; Moche passait devant les tentes et une voix sortait qui disait combien de Leviim étaient présents dans cette tente !

Aaron n’était pas compte ni avec les Bne-Israël, ni avec les Leviim.

Pourquoi les Leviim n’ont-ils pas été comptés avec tout le monde ??1-Tous ceux qui ont été comptés naturellement seront touchés plus tard par l’épidémie et mourront! Ceux sont ceux qui ont faute dans l’épisode du veau d’or !Les Leviim n’ont pas participe à cette faute, ils ne méritent donc pas de mourir! C’est pourquoi Hachem demande de les compter séparément !

2-De part leur fonction et leur statut particulier, il n’est pas convenable de compter les Leviim avec les autres !

3-Une des raisons de ce décompte, est de montrer la bonté d’Hachem qui a fait multiplie de manière miraculeuse les Bne-Israël durant ces années d’esclavage.Ils étaient à peine 70 en arrivant et quelques générations plus tard, ils sont plus de 2.000.000 !!!Mais comme ce miracle ne concernait que les Bne-Israël et non les Leviim, il est normal de séparer les deux catégories pour bien mettre en évidence ce miracle !

La tribu de Levi était composée de 22.000 personnes; c’était la moins nombreuses de toutes les tribus.Il y a deux raisons a cela: 1-Lorsque Paro vit les Bne-Israël se multiplier, il déclara: « De peur qu’ils ne se multiplient ! » ce à quoi Hachem répondit: « Ainsi ils vont se multiplier ! »Les Bne-Israël ont reçu une bénédiction pour se multiplier pour répondre aux paroles de Paro.Mais nous savons que les Leviim n’étaient pas asservis et donc, ces paroles de Paro ne les concernaient pas!Donc, la réponse d’Hachem ne les concernait pas non plus !2-Lorsque Amram a entendu les décrets de Paro, il a décide de se séparer de sa femme, et comme c’était le maitre de la génération, tous les Leviim l’ont imite, ce qui a largement diminue leur nombre !

k

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Les verres de cristal !!!

Un homme pénètre dans un magasin de cristal et demande ou se trouvent les verres.On lui indique le chemin et l’homme se retrouve devant un mur plein de verres en cristal étalés sur plusieurs étagères.Il souhaite acheter de jolis verres pour son épouse mais n’a pas de grands moyens aussi il s’approche de l’étagère du bas, là ou les prix sont abordables.Il regarde l’homme qui se trouve près de lui et voit comment celui-ci regarde le reflet du verre à la lumière, comment il tape avec son ongle pour entendre le son du verre, comment il fait passer son doigt sur le bord du verre pour le faire siffler…Puis il se met à copier les gestes de son voisin tout doucement, méticuleusement!Lorsque l’homme le voit, il se met à rire et lui demande ce qu’il fait.« Eh bien je fais exactement comme vous, je ne vois pas pourquoi vous riez !?! »« Mais c’est justement ce qui me fais rire !Vous êtes en train de m’imiter alors que vous avez dans la main un verre à 2 dollars alors que moi, j’ai en main un verre qui coute au moins 50 dollars !Il est donc naturel que je vérifie la couleur, la pureté et le son pour m’assurer que c’est du véritable cristal, mais vous, que vérifiez vous donc ??? »L’homme comprit son erreur et se dépêcha de quitter le magasin.

D’une certaine manière, nous sommes des verres de cristal et il existe différentes qualités.Hachem nous met régulièrement à l’épreuve afin de s’assurer de notre valeur.Mais de même qu’il est ridicule de tester des verres de basse qualité, de la même manière, il serait inutile qu’Hachem envoie des épreuves à des personnes qui n’ont pas les forces de les surmonter !En d’autres termes, lorsqu’Hachem nous envoie des épreuves, même si elles paraissent parfois démesurées, une chose est certaine, c’est que nous possédons les forces nécessaires à cela. Car sinon, cela signifierait qu’Hachem cherche à nous faire tomber ce qui n’est évidemment pas le cas !

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A Vitebsk habitait un Juif du nom de Haïm Moche, fils de Rabbi Zalman qui était le frère de la Rabbanit Rivka, l'épouse de mon grand-père, le Rabbi Maharach.Il avait une famille nombreuse et gagnait péniblement sa vie en faisant du commerce de lin et des produits de la forêt. Pour cela, il se rendait souvent à la banque et en connaissait tous les employés.C'était un homme simple ; il n'avait que des connaissances limitées dans la Torah et ne savait pas grand-chose du monde qui l'entourait. Cependant, il donnait beaucoup d’argent a la Tsedaka bien qu'il fût très pauvre, que sa femme fût souvent malade et que ses dettes fussent plus nombreuses que les cheveux de sa tête. Il ne pouvait pas donner lui-même beaucoup d'argent, mais il faisait donner, allant de maison en maison pour ramasser de l'argent pour des Juifs plus pauvres que lui.Son logis n'était qu'une ruine dans un des faubourgs éloignés de la ville, près du fleuve Dvina. C'était un proche de notre famille et j'ai eu plusieurs fois l'occasion de me rendre chez lui : la pauvreté y était grande.Ainsi s'écoula la vie de Haïm Moche durant douze ans. Il travaillait beaucoup pour nourrir sa famille et passait beaucoup de temps pour trouver de l'argent pour les pauvres. Au bout de quelques années, sa situation s'améliora, il devint employé de deux banques ; il était en contact avec des hommes d'affaires qui travaillaient pour les grands commerçants Guinzbourg et Solovaï.Un soir, Haïm Moche rentra avec un de ses amis, un bon Juif du nom de Mendel Yossef. Celui-ci raconta qu'un de ses voisins – lui-même habitait au bout de la ville – était un forgeron juif, un homme simple et craignant D.ieu. Il venait tous les matins tôt à la synagogue pour réciter les Psaumes ; entre les prières de Minha et Maariv, le soir, il écoutait un cours de « Ein Yaakov ». Comprenait-il ce qui s'y disait ou non ? Cela, Mendel Yossef ne le savait pas, mais il était là et écoutait. Il gagnait bien sa vie mais il avait une famille nombreuse et avait à peine de quoi vivre.Un jour arriva un événement terrible : sa fille, une gentille fille de dix-huit ans, simple et pieuse, plaisanta avec les non-Juifs qui entraient dans la forge et prétendit qu'elle voulait se convertir. Certains la prirent au sérieux et se dépêchèrent d'avertir le prêtre de la ville de Sloboda, une ville chrétienne près de Vitebsk : ils lui expliquèrent qu'une jeune fille polonaise souhaitait se convertir, mais qu'il était évident que ses parents ne seraient pas d'accord. Comme elle était majeure, il fallait donc la sortir de là avec la police.Et c'est ce qui se passa : soudain la police arriva dans la maison du forgeron et saisit la jeune fille. Pendant quelques jours, nul ne sut où elle se trouvait, jusqu'à ce que finalement on apprenne qu'elle avait été placée sous l'autorité du prêtre de Sloboda, qu'elle n'arrêtait pas de pleurer et de supplier qu'on la sauve de là.« Voici la situation, dirent-ils : nous avons besoin de cinq cents roubles pour la faire sortir de là. Son père, le forgeron, a vendu tout ce qu'il pouvait et a réuni 215 roubles. Toute la journée, je me suis démené et j'ai réussi à ramasser encore 235 roubles. Il nous manque encore cinquante roubles et nous devons remettre la somme ce soir même à des proches du prêtre, à la police et à l'intermédiaire dans cette négociation pour faire sortir la jeune fille de chez le prêtre.

de simple forgeron a

banquier !!!

Après cela, nous l'amènerons dans la maison d'un de ses proches qui habite dans la ville d'Orcha où elle pourra rester un certain temps pour que les non-Juifs de la ville oublient toute cette affaire.« Nous venons donc demander un don important : cinquante roubles qui nous manquent ; vous pouvez les prêter jusqu'à ce que nous réussissions à vous le rembourser. »L'histoire nous laissa bouleversés. Nous réussîmes à collecter trente roubles et Haïm Moche établit un chèque au nom de sa banque pour les vingt roubles qui restaient. C'est ainsi qu'on put sauver cette jeune fille juive.Peu de temps après, arriva chez mon père un commerçant juif de Smolensk qui lui demanda conseil à propos d'une forêt qu'il possédait et que la banque Tolé-Pasemelné proposait de lui racheter. Mon père, Rabbi Chalom Dov Ber lui dit de traiter plutôt avec la maison mère de la banque, située à Pétersbourg, par l'intermédiaire de Reb Haïm Moche. Le commerçant accepta. Reb Haïm Moche remplit sa mission avec succès et, pour la première fois de sa vie, gagna en une seule fois deux mille cinq cents roubles !Durant son séjour à Pétersbourg, Reb Haïm Moche fit une forte impression sur son interlocuteur, le patron de la banque ; celui-ci lui proposa d'en devenir l'administrateur principal. Il lui trouverait par ailleurs un logement confortable à Pétersbourg. Reb Haïm Moche accepta et signa le contrat qui l'engageait pour dix ans.Avec sa famille, il s'installa dans une maison somptueuse. Il reçut 5000 roubles de sa banque pour acheter des meubles et tout ce dont il avait besoin. A partir de ce moment, il devint très riche et put donner la Tsedaka avec largesse.Haïm Moche, celui qui avait été si misérable, était devenu le vice-président de la banque !Dans sa grande maison, située au 45, rue Zagarodna à Pétersbourg, se tenaient souvent des réunions philanthropiques. C'était toujours Reb Haïm Moche qui donnait le premier sa contribution tout en disant : « J'ai été pauvre, j'ai vu ma femme ne pouvoir se soigner correctement et mes enfants souffrir de froid et de faim. C'est pourquoi je compatis avec ceux qui souffrent de froid et de faim. »Chaque année, à la date anniversaire du jour où il avait signé le contrat qui le liait à la banque, Reb Haïm Moche rassemblait ses proches – auxquels il avait confié des postes de responsabilité dans ses différentes entreprises – ainsi que ses bons amis et leur faisait un discours sur le thème « J'ai été pauvre ». Il racontait alors tout ce qu'il avait enduré et il distribuait beaucoup d'argent publiquement et en cachette.

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Pirke-Avot Michna chapitre 5

« Avraham Avinou a subi 10 épreuves

Et il les a toutes surmontes ».

* Pourquoi la Michna nous précise-t-elle Avraham notre père ? La particularité d’un père c’est qu’il donne en héritage à ses enfants ses qualités de cœur. Ainsi, Avraham nous a fait un cadeau inestimable en surmontant cette épreuve, il nous a offert une protection pour toutes les fois ou Hachem s’emporte contre nous.

Mais Avraham Avinou nous a aussi ouvert la voie d’un service de D… base sur le Messirout Nefech !

* Que signifie « il s’est tenu dans toutes les épreuves » ?

1-Tout au long de l’épreuve, Avraham Avinou n’a pas perdu son zèle et son empressement du début; Bien souvent, la première fois nous sommes tout excités à l’idée de faire une chose, mais lorsque l’action se répète durant des mois voire des années, on perd la vitalité pour laisser la place l’habitude et la routine. Avraham a su préserver cet élan. Comme par exemple un jeune garçon qui va mettre les Tefillin pour la première fois, il va être pressé, heureux et plein d’enthousiasme à l’idée de mettre les Tefillin, mais sera-t-il capable de garder cette ferveur et ce zèle durant des mois ???

2- Bien souvent, les épreuves nous fatiguent, affaiblissent ou nous découragent alors que pour Avraham Avinou, non seulement il n’a pas été touché par les épreuves mais au contraire, elles l’ont élevé spirituellement.Le mot « Nissayone » (épreuve) vient d’ailleurs du mot « Nissa » qui signifie élevé.

3- « Amad » peut aussi se traduire par (il est reste) car malgré les épreuves qu’Aavraham Avinou a eu a surmonter, il est reste le même, simple et humble comme avant l’épreuve ! D’ailleurs, le texte dit clairement: « Et Avraham est retourne jusqu’à ses serviteurs, ils se sont levés et sont partis ensemble ….. »Ensemble signifie qu’on ne voyait aucune différence entre Avraham qui venait de surmonter une des plus dures épreuves de toute sa vie et Ichmael et Eliezer qui l’avaient attendu pendant tout ce temps !Il n’y avait aucun orgueil ni fierté chez Avraham Avinou d’avoir eu cette force et ce courage de sacrifier son fils !

* « Pour nous dire à quel point Avraham Avinou aimait Hachem. »Hachem n’envoie des épreuves que dans le but de mesurer la grandeur et la force de la personne éprouvée; il est donc évident qu’il ne mettra pas à l’épreuve une personne faible puisqu’il sait pertinemment qu’elle va trébucher !Le but n’étant pas de faire tomber mais uniquement de nous faire progresser.D’ailleurs il est écrit: « Hachem ne met à l’épreuve que le Tsadik » !Donc en voyant combien d’épreuve Avraham Avinou a eu à surmonter, on voit combien il était aimé et apprécié d’Hachem et réciproquement !!!

* Lorsque nous dormons, la nuit, le corps est en position horizontale et quand mous nous levons le matin, nous prenons une position verticale. Nous remercions donc Hachem pour cela.

* Redresser les courbés signifie aussi qu’Hachem soutient les hommes dans l’épreuve; soit en leur donnant la force nécessaire à surmonter l’épreuve, soit en annulant complètement l’épreuve.

* L’homme a la particularité d’être le seul parmi les créatures à se tenir debout. De cette manière, la tête (règne de la pensée) se trouve au dessus du cœur (règne des sentiments) qui lui même est au dessus du foie (règne des pulsions) alors que chez l’animal, ces trois domaines sont alignés au même niveau. Car, alors que l’animal réagit de manière émotive uniquement, l’homme se doit de donner un sens à sa vie, c’est donc au cœur de diriger notre vie.

*La tête correspond à MOAH, le cœur, LEV, et le foie, Kaved.Les initiales de ces trois mots nous donne MELEH, un roi.Lorsque nous organisons notre vie de manière à ce que la tête dirige les deux autres, nous sommes comparables à un roi.Mais si on change l’ordre, on obtient LEMEH qui signifie un clown (un rigolo).

*Un des principes énoncés par la Hassidout est que « MOAH CHALIT AL HALEV » l’esprit doit diriger le cœur ! C’est uniquement dans ce cas que nous pouvons maitriser les différents traits de caractère !

Redresser les courbes peut aussi signifier qu’Hachem élève ceux qui sont courbes (humbles). Car il n’est de plus belle qualité aux yeux d’Hachem que l’humilité. Il ne faut pas avoir peur de se faire écraser quand on est humble car Hachem se soucie de ses enfants et il les protégé.

C

Tefila

« ZOKEF KEFOUFIM »« qui relève ceux qui sont courbés »