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BONNES PRATIQUES DANS LA GESTION DES INFRASTRUCTURES DE TRANSFORMATION ET DE COMMERCIALISATION Du ………………………………….JAPON Présenté par: Monsieur KOUAME BI CHRISTIAN, DIRECTEUR PRODUCTION Monsieur ASSOUHAN JOSEPH, CHEF SERVICE TRANSFORMATION COMMERCIALE PROMOTION OF AFRICAN RICE DEVELOPMENT FOR SUB- SAHARAN AFRICAN COUNTRIES

BONNES PRATIQUES DANS LA GESTION DES INFRASTRUCTURES … · les petites unités de transformation d’une capacité de 0,2 à 2 t/h qui ceinturent les zones ... (cailloux,paille,paddy,métaux,insectes)

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BONNES PRATIQUES DANS LA GESTION DES INFRASTRUCTURES DE TRANSFORMATION ET DE

COMMERCIALISATION

Du ………………………………….JAPON

Présenté par:Monsieur KOUAME BI CHRISTIAN, DIRECTEUR PRODUCTIONMonsieur ASSOUHAN JOSEPH, CHEF SERVICE TRANSFORMATION COMMERCIALE

PROMOTION OF AFRICAN RICE DEVELOPMENT FOR SUB-SAHARAN AFRICAN COUNTRIES

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PLAN DE PRESENTATIONBONNES PRATIQUES DANS LA GESTION DES INFRASTRUCTURES DETRANSFORMATION ET DE COMMERCIALISATION

1. Généralités sur la transformation et la commercialisation du riz en Côte d'Ivoire

2. Etat des lieux de la transformation et de la commercialisation avant SNDR

3. Analyse de la situation actuelle de la transformation et de la commercialisation

4. Les facteurs de réussite et dʼéchec

5. Perspectives

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1.GÉNÉRALITÉS SUR LA TRANSFORMATION ET LA COMMERCIALISATION

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1.GÉNÉRALITÉS SUR LA TRANSFORMATION ET LA COMMERCIALISATION

HISTORIQUEDepuis la fin de lʼancienne convention de gestion des rizeries industriellesentre lʼEtat et le secteur privé en 1988, la transformation industriellenʼexiste plusLa capacité industrielle de transformation qui était à hauteur de 440 000T de paddy pour 13 rizeries a été ramenée à 60 000 T pour une seulerizerie opérationnelle à ce jour à BongouanouJusqu'en 2011, 5 660 unités (dont 3760 mixtes) petites Unités avec unecapacité de transformation de paddy de plus dʼ1 million de tonnes par an.Ces petites unités traitent la quasi-totalité du paddy produit actuellement,mais avec une qualité insuffisante pour le marchéAu niveau de la commercialisation du riz local il nʼexistait aucun circuitformel de distribution du paddyLes circuits de distribution du riz blanchi nʼexistaient que pour le rizimporté

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2. ETAT DES LIEUX DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION AVANT SNDR

Transformation

Description ContraintesSystèmes detransformation

Surtout à petite échelle et demanière artisanale avec uneseule rizerie industrielle

La majorité du riz est transformée à petite échelle etest de mauvaise qualité

Stockage de paddy Stockage au moulinExistence dʼun seul silo(Bongouanou)

Risque de détérioration de la qualité du rizpendant le stockage et perte importantes

Nettoyage dupaddy

Pas d ʼéquipementsadéquats pour enlever lescorps étrangers.

Mauvaise qualité du riz blanchi

Décorticageetblanchissage

Transformation de paddy en rizcargo et puis en riz blanchi

Le manque de magasins de stockage de paddyempêche un fort taux dʼuhtilisation des unités detransformation pendant l'année

Triage et calibrage Pas dʼéquipement pourséparer les riz dedifférentes brisuresLe riz nʼest pas souvent trié

Le manque dʼinfrastructures de triage et decalibrage : mauvaise qualité du riz car différentesbrisures sont mélangées

Conditionnement Pas de conditionnement adaptépour le riz , réutilisation devieux sacs

Commercialisation difficiles sur marchés formels

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2. ETAT DES LIEUX DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION AVANT SNDRCommercialisation

Description ContraintesRiz local Le riz local est souvent vendu

directement par les producteurs dans les villagesSeulement 10% du riz local est consommé en ville1

Le riz local a beaucoup dʼimpuretés et nʻest pas homogène(le temps de cuisson varie pour le riz de différentesbrisures ; donc, quand le riz n'est pas homogène, il nʼestpas bien cuit)

Riz importé Le riz importé est le riz le plusvendu dans les grandes villes

Collecte Les pisteurs se rendent dans les villages et achètent le paddy ou le riz blanchi des agriculteurs

Collecte en petites quantités empêchant lʼintégration dansles systèmes dedistribution urbaineLes riziculteurs vendent le paddy à un prix très bas quand ils ont besoin d'argent (récolte souvent pendant la période derentrée scolaire)

Stockage Les importateurs ont un stock pourquelques semainesLes stocks du riz local très limités

Infrastructures de stockage limitées empêchant la vente duriz local engrandes quantités aux grossistes

Transport En sac, à moto, en camion Distances importantes entre zones de production etmarchés Coûts élevés en raison de l'état des routes,des rackets, etc.

Vente au détail

Les détaillants achètent le riz local des pisteurs ou grossistes

Beaucoup d'intermédiaires réduisent le bénéfice pour lesproducteurs

Marketing Pas de marketing pour le riz localCircuit informels

Peu de marketing pour le riz local

Statistiques L̓ANADER fait le recensement agricole dans quelquesdé t t

Manque de données statistiques fiables sur laproduction et la demande, le prix, etc. empêchant lal ifi ti i l

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1 er Niveau:

2 e Niveau:

3e Niveau :

les petites unités de transformation d’une capacité de 0,2 à 2 t/h qui ceinturent les zones de production pour la fabrication de riz blanc destiné à la consommation de proximité. On en dénombre plus de 2000 unités actuellement sur toute l’étendue du territoire national

30 unités de transformation (capacité de 25 000 t/an de paddy chacune) en coursd’installation et acquises par l’Etat grâce à un financement Exim Bank Inde. Les sites sontacquis et l’attribution des marchés pour la réalisation des plateformes pour l’installationde ces unités est en cours. Les unités seront opérationnelles dans 8 mois.

Le troisième niveau qui devrait être constitué des usines terminales privées de grandescapacités de stockage et de transformation n’est pas encore totalement effectif du fait dela lenteur des opérateurs de pôle. Actuellement seule l’unité de Bongouanou estopérationnelle et intervient au travers de contrat d’usinage à façon (Tolling) pour lecompte des autres opérateurs (Novel, LDC).

3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION3.1 Dispositif de transformation

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PREMIER NIVEAU

DEUXIEME NIVEAU

TROISIEME NIVEAU

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GAN LOGIS

Burkina Faso

Mali

Guinée

Libéria

Ghana

Gpe LDCBoundiali, Tingrela, Korhogo, Ferké, Kong

CICA/CEVITALBouna, Nassian, Téhini, Doropo; Katiola, Dabakala, 

ETG Odienné, Minignan, Koro, Touba, Séguéla

Singapore AgritecBondoukou, Tanda, Agniilékro, Abengourou, Bettié,   koun Fao

Grand Lahou, Dabou, Fresco, Guitry

En cours d’attribution

LR GroupMbahiakro, Bouaké, Sakassou, Béoumi

AMCBongouanou, Dimbokro, Aboisso 

NOVELYamoussoukro,Toumodi,Tiebissou

San Pedro

Tabou

Unité 5t/hProjet usine terminal

Soubre

Guiglo

Zouan Hounien

Gagnoa

Saioua

Daloa

Vavoua

Séguéla

Mankono

Man

Touba

Minignan

Boundiali Ferkessédougou Doropo

Niakara

DabakalaBouakéBondoukou

Bouaflé

SinfraDaoukroBocanda

DivoAgboville

Adzope

Abengourou

Yamoussoukro

KorhogoBouna

Odienné

Bongouanou

Rizerie industrielle opérationnelle

Unité 2 t/h

Tengrela

Katiola

Tanda

SakassouZuenoula

MʼBahiakro

Issia

Toulepleu

Duekoué

Tiassalé

Dimbokro

AlépéBonoua

Aboisso

SITES DʼIMPLANTATION DU DISPOSITIF DE TRANSFORMATION PAR POLE

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3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION3.2 Relations entre transformateurs et autres acteurs

RELATIONS CONTRACTUELLES

DISPOSITIF DE TRANSFORMATIONPRODUCTEURS DISTRIBUTEURS RELATIONS ENTRE NIVEAUX DE TRANSFORMATION

1er niveau : 

Petites unités de transformation d’une capacité de 0.2 à 2 t/h

1er niveau             Producteurs

‐ Fourni  les inputs

‐ Collecte et achète le  paddy

1er niveau             Producteurs

‐ Produit le paddy et le commercialise avec déduction des appuis reçus

1er niveau             Distributeurs

Transforme le paddy en riz blanc et commercialise 

1er niveau              Distributeurs

Achète le riz blanc pour son circuit (distributeurs de proximité)

1er niveau                    2,3 niveaux

Collecte du paddy et produit  du riz cargo pour niveau 2,3

1er niveau                     2,3 niveaux

Financent les appuis aux producteurs, la collecte du paddy et la transformation de riz cargo

2e niveau : 

30 unités de transformation de 5t/h

2e niveau             Producteurs

‐ Fournitures d’inputs

‐ Collecte et achat du paddy

2e niveau             Producteurs

‐ Production du paddy et vente du paddy  avec déduction des appuis reçus

2e niveau      Grossiste

Transforme le paddy en riz blanc et commercialise

2e niveau               Grossiste

Achète le riz blanc pour son circuit

2e niveau                1er niveau

Finance les appuis aux producteurs, la collecte du paddy et la transformation de riz cargo

2e niveau              1e niveau

Collecte du paddy et produit  du riz cargo

2e niveau             3e niveau

Collecte du paddy et produit  du riz cargo et riz blanc

2e niveau                     3e niveau

Finance les appuis aux producteurs, la collecte du paddy et la transformation de riz cargo 

3e niveau :

usines terminales  plus de 25 000 tonnes de paddy/an

3e niveau             Producteurs

‐ Fournitures d’inputs

‐ Collecte et achat du paddy

3e niveau             Producteurs

Production du paddy et vente du paddy  avec déduction des appuis reçus

3e niveau            Grossiste

Transforme le paddy en riz blanc et commercialise

3 e niveau             Grossiste

Achète le riz blanc pour son circuit

3 e niveau                     1er, 2e niveau

Finance les appuis aux producteurs, la collecte du paddy et la transformation de riz cargo, blanchi

3e niveau                    1er, 2e niveau

Collecte du paddy et produit  du riz cargo et riz blanc

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3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION3.3 ANALYSE DES SYSTEMES DE TRANSFORMATION

SYSTEMESCRITERES

1er niveau : Petites unités detransformation 0.2 à 2 t/h

2e niveau : unités de transformation de5t/h

3e niveau : usines terminales plusde 25 000 tonnes de paddy/an

Parc + de 5000 dont 63 Etat 30 1Investisseur/bailleur

Initiatives privées et63 ETAT (Banque Mondiale,

BOAD,FIDA…)

ETAT (EXIM BANK INDE) 30 000 000 $ ETAT puis cédé aux privés

GestionSociété individuelle et informelleSARL/coopérative pour 63 usines Etat

PPP avec Société Anonyme de droitIvoirien répondant au cahier de charge

Gestion formelle par leaders depôles (AMC)

Forces

Proximité des zones de productionFaible cout de productionTransforme plus de 95 % du paddySatisfaction des besoins de proximité des

populationsCréation d ʼemplois à lʼéchelle locale

Grande capacité de stockage et desmoyens logistiques importantsMaillage national permettant de capter

tout le paddy ou riz cargodispositif formel favorisant le

financement de la collecte du paddyUnités dotées de matériels pour la

fabrication de riz de très bonne qualitéBaisse des coûts de production par la

valorisation des sous produits

une grande capacité de stockageavec silos et des moyens logistiquesimportantsrelations contractuelles avec les

petites unités pour la mise àdisposition des fonds de collecte,des intrants, de la semence encontrepartie du riz blanchi et du rizcargoUnités dotées de matériels de

finition pour la fabrication de rizhaut de gamme

Faiblesses

Mauvaise qualité des équipementsFaible niveau de relations avecdistributeurs grossistesFaible niveau de financements

*( dispositif en cours de déploiement) Pas suffisamment de distributeursgrossistesFaible niveau de financements

bancaires

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3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION

3.4 ANALYSE DE LA COMMERCIALISATIONL ʼadoption dʼune norme de riz « made in cote dʼIvoire » en vue de produire

un riz compétitif adapté à nos habitudes alimentairesUn maximum 8% de farine basse pour garder les éléments nutritifsRiz entier avec incorporation de grosses brisures, moyennes brisures.Extraction de fines et micro brisuresExempte de tous corps étrangers (cailloux, paille, paddy, métaux, insectes)Homogénéité variétaleNouvelle récolteMoins de 3% de grains jaunes

La structuration du mécanisme dʼapprovisionnement du marché par la miseen place dʼune plateforme de grossistes et de distributeurs spécialisés dans leriz de Côte dʼIvoire en vue de parvenir à une stratégie fluide decommercialisation du riz sur le marché dʼAbidjan

La dynamisation de la commercialisation par:la création de plusieurs marquesLa distribution du riz de Côte dʼIvoire dans les réseaux classiques (supermarchés,

boutiques …)Lʼimplication des importateurs dans la distribution du riz local

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PRODUCTEURS Gros producteurs

Collecteurs GVC, COOP Collecteurs

Grossistes

Petites décortiqueuses

Mini et Micro-rizeries Rizeries industrielles Importateurs

Grossistes/ Importateurs

Détaillants

Demi-grossistes

Autoconsommation Consommateurs(Producteurs)

Marché Mondial Riz Blanc et Riz Cargo:

ASIEThaïlande

ChineUSA Pakistan

FLUX DU RIZ PADDY

FLUX DU RIZ BLANC IMPORTATION

FLUX DE COMMERCIALISATION DU PADDY ET DU RIZ EN COTE DʼIVOIRE

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3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION

MARQUES RIZ MADE IN COTE DʼIVOIRE

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3. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA COMMERCIALISATION

RIZ MADE IN COTE DʼIVOIRE produit et distribué par les principaux importateurs LOUISDREYFUS ET SDTMCI

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4. FACTEURS CLES DE SUCCES ET DʼECHECSFACTEURS DE SUCCES

1. Environnement sociopolitique et mesures incitativesgénéralesStabilité dans la gouvernanceVolonté politique affichée pour favoriser le développement de la filière

riz( création dʼune structure dédiée pour la filière riz)Adoption dʼun nouveau code des investissements incitatif pour les PME et

grandes entreprises par des exonérations dʼimpôts, des réductions decontributions sociales et taxes douanières

2. Investissement publiques dans les infrastructures socio-économiquesMise en place en cours dʼun tissu industriel de transformation constitué

de 30 usines de 5 T/H qui seront cédés aux opérateurs privés dans lecadre dʼun PPP (EXIM BANK)

Réhabilitation et création des infrastructures routières

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4. FACTEURS CLES DE SUCCES ET DʼECHECSFACTEURS DE SUCCES

3. Lʼassainissement du cadre macro-économiqueLʼencadrement et la régulation de la filièreLa mise à disposition dʼinformations fiables sur la filièreLa mise en place dʼun mécanisme de prix garantissant la rentabilité pour

tous les acteurs de la chaîne des valeursLa mise en place dʼun environnement favorable à lʼémergence dʼactivités

connexes par la valorisation des sous-produits pour une meilleurecompétitivité de la filière

La mise en place de cadre normatif et de bonnes pratiques quisécurisent les banques et les investisseurs privés

Le renforcement des capacités des acteurs

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4. FACTEURS CLES DE SUCCES ET DʼECHECSFACTEURS DʼECHECS

1.Absence dʼun mécanisme de financementadapté à la filière2. Insuffisances dans la politique de régulationdes importations et des exportations3.Les problèmes de mobilisation des ressourcesaffectent sérieusement les activités de lʼONDR4.La gouvernance des activités de la filière(interprofession)

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5. PERSPECTIVESRenforcer les capacités de stockage et de conservation de paddy et de riz blancAméliorer la gouvernance des unités de 1 à 2 t/h pour leur éligibilité aux financementsRenforcer les plateaux techniques des unités de 1 à 2T/H en équipement dʼamélioration de laqualité du riz blanchiPrendre des mesures incitatives en vue dʼencourager lʼimportation de riz cargo pourlʼapprovisionnement temporaire des unités de 5 t/hRéaliser une étude pour la mise en place dʼun dispositif pérenne de financement de la filièrerizMettre en place un fonds de garantie pour faciliter l'accès aux crédits de campagneRenforcer les capacités des acteurs pour l'amélioration de la compétitivité (lʼapplication desnormes, mécanismes de fixation des prix, contractualisation…)Réaliser une étude pour la constitution d'un stock régulateur et de sécuritéMettre en œuvre le plan de promotion du riz de Côte dʼIvoireAdapter le statut de lʼONDR aux exigences du développement de la filière rizMettre en place et opérationnaliser lʼInterprofession de la filière riz