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Branche des Bibliotheques de Recherche

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Page 1: Branche des Bibliotheques de Recherche

Branche des Bibliotheques de RechercheAuthor(s): Dominique HausfaterSource: Fontes Artis Musicae, Vol. 41, No. 2 (April-June 1994), pp. 199-200Published by: International Association of Music Libraries, Archives, and Documentation Centres(IAML)Stable URL: http://www.jstor.org/stable/23508468 .

Accessed: 15/06/2014 02:14

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REPORTS 199

that centralized services have played a major

role in supporting smaller libraries both in

Southern and Eastern or Northern Finland.

The third paper was about the principles and

practices in selecting music material in Finn

ish public music libraries. In it I tried to

explain reasons for the wide acceptance of

the principle of plurality, and to anticipate

some problems for the near future.

In addition to these papers, one profes

sional visit was organized to the music de

partment of the main library of the Helsinki

City Library. Some of our public music li

braries were also able to circulate their bro

chures. The "Directory of Finnish Music Li braries 1993," including lots of details of

Finnish public music libraries, was given to all the conference participants.

Unfortunately one of the announced

speakers at the second session, Ad Blok

land, could not attend the conference, where

he was to speak about the Dutch experience in trying to influence the repertoire of ama

teur musicians by provision of public libraries

services. We had therefore more time to

concentrate on "Networks and networking."

Although this had originally been envisioned

as a discussion of personal communication

among public librarians, it shifted to a

broader theme in response to the plight of

our colleague Blanka Cervinkovà (cf. Council

Minutes no. 9). Libraries in the Czech Re

public, threatened with the loss of their right

to lend sound recordings to the public with

out cost, did not know how to react. Other

public libraries in the former socialist coun

tries in particular have had trouble effec

tively protecting their interests within new

governmental structures.

The session's chair, Susan T. Sommer,

suggested strategies for making the public

your ally in battles with local bureaucracies

over budgets and service policies. In a sys

tem where elected officials are responsible,

lobbying at various levels can be very effec

tive. Other librarians also described in stances of public support. For example, the

Oslo Public Library was saved from closing

when an organized group of friends drew

public attention to the situation in a newspa

per advertisement.

The Branch also held an election of of

ficers for the next three years. Mary Ashe

from San Francisco volunteered to be our

secretary, and Malcolm Lewis from Notting ham UK is our new vice-chair. Having served as the secretary for six years, I

thought it was time to leave office for new

and fresh forces, but though Roger Taylor

very kindly tried to help me in my intention,

I was elected for the chair with the majority of one vote! I would like to use this oppor

tunity to thank both Maria Nyéki and Blanka

Cervinkovä for their active work as chair and

vice-chair of our branch during past years, and hope that our cooperation will continue.

The plans for Ottawa were also discussed

during the conference. We are trying to or

ganize one or two North American sessions

concentrating on public music libraries in

Canada and the United States. We would

also like to continue the topic of charges and

fees under the heading "What price music

libraries?". This session should contain pa

pers about the situation both in Europe and

America. Charges and copyright problems will also be on the program in Denmark

1995. If you out there in public music librar

ies have good ideas or anything else to sug

gest, please do not hesitate to contact Mary,

Malcolm, or myself. Fuller contributions to

Fontes are even more welcome, because no

one of us knows how much or what is going on in other public music libraries.

Heikki Poroila, Secretary I Chair

Branche des Bibliothèques de Recherche

La session des bibliothèques de recherche,

organisée cette année conjointement avec la

commission sur les archives, a été consa

crée aux problèmes de conservation. Elle a

réuni quatrevingts participants environ, re

présentant une vingtaine de pays. La ren

contre a débuté par l'élection des respons

ables de la branche. Hugh Cobbe, de la

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200 FONTES ARTIS MUSICAE 41/2

British Library, et Oyvind Norheim, de la

Bibliothèque universitaire d'Oslo, ont été re

conduits dans leurs fonctions respectives de

président et vice-président; Liesbeth Hoe

demaeker, du Gemeentemuseum de La

Haye, a été élue secrétaire.

Hugh Cobbe a alors ouvert la séance en

rappelant que les bibliothèques—et plus par

ticulièrement les bibliothèques de recher

che—sont d'abord des conservatoires de la

mémoire de l'humanité et doivent donc

penser aux lecteurs du futur. La survie des

documents musicaux est de plus en plus

menacée par leur usage intensif et les réac

tions chimiques du papier et de l'encre. Pré

server ce que nous possédons est déjà une

tâche pratiquement impossible, d'autant plus

insurmontable dans les pays où le contrôle

de la pollution n'a pas toujours été une pri

orité politique. Julius Hûlek, de la Bibliothèque nationale

de Prague, a abordé les problèmes de con

servation en Europe de l'Est, et plus parti

culièrement dans la république tchèque où la

question se pose exclusivement en termes

de prévention et de préservation, la restau

ration demeurant un luxe. Il a rappelé que la

nationalisation de certains fonds privés,

après l'avènement du régime communiste en

1948, avait provoqué le déplacement de col

lections entières, ce qui explique, avec la

négligence parfois délibérée des conditions

de conservation, la disparition ou la destruc

tion de documents parfois très précieux. On

assiste, depuis novembre 1989, à une réelle

prise en compte des impératifs de conser

vation, malheureusement freinée par des

contingences économiques, la technologie

requise provenant de l'étranger. Peu d'insti

tutions tchèques—parmi lesquelles la Biblio

thèque nationale—peuvent donc proposer ce

type de service, mais la situation se

présente sous un jour meilleur depuis la

fondation récente à Litomysl, ville natale de

Bedflch Smetana, d'une école privée de

technologie de la restauration et de la con

servation.

Liesbeth Hoedemaeker a ensuite pré

senté la situation aux Pays-Bas où la conser

vation est devenue, malgré son coût très

élevé, une priorité. Elle a distingué quatre

types de méthodes de conservation: la con

servation passive, par le contrôle de l'envi

ronnement et de l'utilisation du document; la

conservation active qui, par une action di

recte sur le document, permet de le con

server "en l'état" (23% des collections des

bibliothèques néerlandaises et 12% des ar

chives nécessiteraient un traitement immé

diat de ce type); la conversion du document

sur un autre support, le microfilmage étant

de loin la technique la plus rapide et la moins

onéreuse, surtout si on l'associe à une poli

tique de commercialisation; enfin la véritable

restauration du document, très coûteuse.

Les Pays-Bas ont choisi de privilégier la

conservation passive et le microfilmage in

tensif.

David Day, de la Brigham Young Univer

sity de Provo, a conclu la séance en exami

nant l'application du traitement numérique

de l'image à la préservation des documents

graphiques. Bien que l'intérêt premier de ce

type de technologie soit de permettre une

diffusion massive de la documentation, elle

peut aussi être utilisée à des fins pratiques

de conservation. Il s'est limité à l'examen de

solutions de coût moyen pour créer et

mémoriser des images numériques. Après avoir présenté plusieurs types de scanners,

équipement vidéos, caméras numériques, ainsi que le nouveau procédé Kodak Photo

CD, il s'est penché sur différents systèmes

de stockage des images numériques, avant

de conclure sur quelques possibilités ré

centes d'amélioration de l'image dans le

cadre de la micro-informatique, en particu lier avec le logiciel Adobe Photoshop. Cette

communication était abondamment illustrée

de projections et manipulations de l'image en

direct, permettant de mieux cerner les per

spectives fascinantes offertes par ces tech

nologies de pointe.

Dominique Hausfater, Secrétaire

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