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Bruits de comptoirs

Le "petit noir", nouvelle arme de la restauration rapide :

Le prix moyen du café vendu au comptoir d’un bistrot est de 1,45€ en 2012 (source : GIRA Conseil équip’hôtel2012), tarif qui ne cesse d’augmenterdepuis 2010. Ce produit se valorise, impliquant ainsi une hausse de la consommation du « petit noir » en hors domicile : 30% des cafés sont prisà l’extérieur.

Source :GIRA Conseil 2012Cependant, les enseignes stars de la restauration rapide montent en gamme et se positionnent elles aussi sur le sillon de la valorisation du café. Elles proposent donc le café à1,25€ en moyenne (source : France Snacking 2012) et captent ainsi de plus en plus d’actes d’achat : plus d’un café sur deux est consommé dans une enseigne de restaurationrapide.

Sempé pour Vittel :Sempé, un illustrateur célèbre, habille la bouteille de Vittel exclusivement dédiée au Café Hôtel Restaurant, pour une édition limitée. L’une des eaux préféréesdes français porte désormais une étiquette élégante, que nous retrouverons sur les bouteilles en verre des tables françaises jusqu’à la fin de cette année.L’univers est inspiré par le Café de Flore, célèbre brasserie parisienne. La note de rouge propre à Vittel est retrouvée sur le nœud papillon du garçon de café.Cette bouteille, proposée en trois formats différents, risque fort d’attirer le regard des collectionneurs.

Lifting complet pour Castalie :A peine deux ans après son lancement, l’eau nouvelle génération destinée aux CHR (cafés hôtels restaurants) a décidé de rénover intégralementson univers graphique.En effet, cette alternative durable directement affinée sur le lieu de consommation, revoit l’ensemble de son image, à commencer par le nom,désormais nommée « Castalie » et non plus, « eau de Castalie ». Ce nouveau visage permet ainsi à la marque d’affirmer sa personnalité. Unenouvelle signature « Eau d’aujourd’hui » a été choisie afin de mettre en avant le caractère local de ce produit. Castalie s’apprête donc àconquérir l’ensemble du territoire national, après le vif succès rencontré en Ile de France et dans les Alpes.

Priorité aux sirops 1883 chez Routin :Après un changement de main durant le mois de juillet, le repreneur, Olivier Lecoeur, souhaite désormais appuyer sa stratégie sur l’innovation etles segments dynamiques. C’est ainsi que Routin a décidé de mettre l’accent sur sa marque premium, 1883, s’adressant à des établissementshaut de gamme recherchant des saveurs tendances et qualitatives. Au programme, le développement des usages nouveaux du sirop commel’aromatisation du thé, du chocolat ou des cocktails. La Marque souhaite ainsi imposer sa différenciation et valoriser son image, grâce au travaildes experts qui, quotidiennement, produisent des arômes exclusifs et branchés destinés aux Cafés Hôtels Restaurants.

Le taux de la restauration à 10% et c'est mon dernier mot !C’est une des mesures destinées à améliorer la compétitivité de la France, dans le cadre du pacte national pour la croissance. Le Président de laRépublique l’a bien précisé et ne changera pas d’avis : en 2014, le taux de la restauration sera fixé à 10% ! Le taux normal passera de 19,6% à20%, le taux intermédiaire, de 7% à 10% et le taux réduit visant les produits de première nécessité, de 5,5% à 5%. Cependant, la question est desavoir quels produits entreront dans le champ de la fiscalité à 5%. Les professionnels de la branche craignent que ces augmentations impactentprioritairement les emplois et fragilisent plus encore une profession déjà très mise à mal.

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Entrez dans la tendance

Les spiritueux gardent le cap:Malgré un contexte difficile, les boissons spiritueuses confortent leur position en CHRavec 57 millions de litres consommés (+1,6% vs 2010), voire tendent à la hausse.Une situation plutôt inattendue, tant la fiscalité imposée à ce segment estdisproportionnée. En effet, les spiritueux représentent près de 83,85% des recettesfiscales sur les boissons alcoolisées, alors qu’ils ne représentent que 22,7% de laconsommation d’alcool pur en France.Cependant, ces produits, consommés seuls ou en mélange, ont toujours bénéficié d’un

dynamisme de l’ensemble des acteurs de la filière (les producteurs et distributeurs-grossistes en boissons) pourdiversifier et faire évoluer les assortiments vers des références de plus en plus haut de gamme. Ajouté à cela, lephénomène de premiumisation (consommer moins mais mieux), les spiritueux gardent ainsi une bonne stabilité dansleurs ventes. Cette progression ne concerne pourtant pas toutes les catégories, certaines d’entre elles jouent un rôlede locomotive.

Le whisky : star historique en CHRIl possède certains atouts que d’autres n’ont pas, à savoir une montée en gamme permanente et surtout un public de connaisseurs. La France est eneffet le premier pays consommateur mondial de whisky et absorbe 11% des ventes de whisky écossais réalisés dans le monde entier. Les françaisconsomment en moyenne 5 litres de whisky par an et par foyer. Pour 92% des cas, il s’agit de « scotch whisky ». Le marché a atteint 1,7 milliardd’euros en 2011, tout circuit de distribution confondu, il est donc incontestablement l’alcool préféré des français, ce qui lui confère un ancrage prononcésur le territoire. Il est même devenu en quelques années le produit plaisir, anti-crise permettant d’oublier les difficultés l’espace d’un instant. Côté filière,d’importants investissements publicitaires ont été débloqués, notamment la création de bouteilles d’exceptions en édition limitée à destination desétablissements de nuit. Les codes traditionnellement dédiés à l’univers du luxe sont donc repris et le segment est de plus en plus valorisé. Cependant,cela ne l’empêche pas de développer sa stratégie de diversification, permettant ainsi de séduire tous les profils. Les anisés se maintiennentVictimes de leur image vieillissante, les anisés ont marqué un virage cette année en se tournant vers des innovations marketing et en surfant sur la vaguedes cocktails, l’objectif étant de viser les jeunes adultes. Le petit jaune se transforme ainsi en perroquet et autres mauresques, des cocktails bénéficiantd’une forte notoriété pour la génération des quarante ans, mais beaucoup moins chez les jeunes. L’objectif est donc de rester sur un segment premium touten restant populaire.

La stratégie Ricard : En France, Ricard est la 1ère marque de spiritueux, tous types de produits confondus. Pour lacatégorie Anisés, un marché par ailleurs très mature, sa part de marché atteint 45,5% en valeur et n’a jamais décroché.La raison principale réside en une vision marketing singulière et une recette unique. En effet, depuis 1932, date de sacréation, le produit n’a jamais été changé, l’authenticité a donc été conservée jusqu’à aujourd’hui. La marque a fêté cetété ses 80 ans, preuve que cette stratégie de ne rien modifier fonctionne ! La marque s’est simplement permis demodifier le design de la bouteille en 2011 afin de la rendre un peu plus moderne. En terme de communication globale, lamarque s’est très rapidement insérée dans les Cafés Hôtels Restaurant via des objets publicitaires et ce, depuis 1935.Elle n’hésite pas à diffuser en grand nombre cendriers et autres pichets. Cette démarche lui confèrera une visibilité sansfaille.

Les alcools blancs, une croissance insolente :S’il y’a bien une catégorie qui surfe sur la vague des cocktails, c’est bien celle-ci. Résultat, les hausses des taxes ont à peine ralentileur croissance. En effet, lorsque le gouvernement Fillon décide d’augmenter en 2011 les droits d’accises des spiritueux titrant plus de 18°, lesventes de vodka s’envolent de 15% en volumes*. La vodka devient donc le segment qui pèse près de la moitié des alcools blancs, bénéficiant del’engouement pour son mélange avec les boissons énergisantes par la génération des 18-30 ans.Le rhum, segment fort puisqu’il pèse 47% de parts de marché* pour la catégorie alcools blancs, surfe également avec beaucoup d’aisance sur latendance des cocktails puisqu’il se mixe avec des colas, des jus de fruits et autres Boissons Rafraîchissantes Sans Alcool.*tous circuits de distribution confondus

L’offre cocktail proposée par C10 : Afin d’aider les patrons de CHR à développer une offre originale et variée, le distributeur-grossiste enboissons leur propose de bénéficier de conseils avisés et d’une offre exclusivement liée à la consommation hors domicile. Ainsi, C10 met à leurdisposition une solution clé en main mais aussi un site internet afin de les accompagner sur le marché du cocktail, le comptoir des cocktails, unportail contenant des fiches recettes détaillées pour concevoir plus de 70 cocktails et des recommandations de carte.

LES SPIRITUEUX : CHIFFRES CLE

57 millions de litres de spiritueux consommés en CHR en 2011 (+1.6% vs 2010)148 350 établissements proposent la vente de spiritueuxExportations en 2011 : 3.1 milliards d’€, soit +7.6% vs 2010-> 66% des exportations représentent du cognacExportations en 2011 : 460 millions de litres, soit +4.8% vs 2010

La distribution de spiritueux est très largement dominée par les Cash & Carry bien que la hausse la plus significative appartienne aux distributeurs-grossistes en boissons,boostée par des actions ciblant la capacité de ces derniers à accompagner le développement et le respect de la consommation responsable auprès des patrons de CHR.

Source : Gira Conseil 2011


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Tranches de vie

François Hériard Dubreuil prend le poste de président du conseil d’administration du groupe de vins et spiritueux Rémy CointreauFrançois Hériard Dubreuil a été président du groupe Rémy Martin entre 1984 et 1990, directeur général du groupe Rémy Cointreau entre 1990 et 2000 et président du conseil desurveillance entre 2000 et 2004. Il est également directeur général de plusieurs filiales dont Orpar, holding de Rémy Cointreau.

Jean-François Hettler à la tête du syndicat des siropsActuel directeur marketing de Teisseire France, Jean-François Hettler, 42 ans, vient d’être réelu pour un second mandat consécutif en tant que président du syndicat des sirops,représentant une douzaine d’entreprises et plus de 90% de la production et de la consommation française. Il vise désormais deux objectifs : « affirmer la modernité retrouvé dusirop » et « défendre la compétitivité d’une profession de PME ».

Jacques Cattin, nouveau président pour le crémantViticulteur-producteur-négociant depuis 33 ans et président du syndicat des crémants d’Alsace, Jacques Cattin reprend la tête de la fédération nationale des producteurs etélaborateurs de crémant.



Rumeurs en chaîne

La boîte à pizza passe à l'offensive :La consommation des français est en pleine mutation, tout comme leurs attentes, l’enseigne va donc poursuivre sa stratégie de monter engamme afin de se démarquer de la concurrence, en multipliant des partenariats avec les grands chefs. L’objectif sera de concevoir denouvelles recettes avec des produits nobles, tels que le foie gras ou encore les truffes. En effet, le marché de la livraison de pizza à domicile peineà se positionner sur le premium, c’est donc une belle opportunité pour Frantz Lallement, président du groupe FL Finance, qui souhaite procurer àses client les mêmes sensations qu’une pizza sortie du four. Il souhaite également à moyen terme, diversifier sa gamme de produits enl’élargissant aux pates ou aux sushis, afin de constituer un groupe dominant de restauration rapide, multi-enseignes.

Al Farooj débarque en France :Au menu de ce jour, du poulet 100% hallal ! La chaîne, venue tout droit de Dubaï et avec une quarantaine d’implantation au Moyen Orient, vientd’ouvrir son premier point de vente à Sarcelles (Val d’Oise). Ce restaurant, situé à mi-chemin entre le fast-food et la restauration traditionnelle,propose diverses spécialités, soit une quinzaine de recettes, déclinées à la sauce hallal. Les ambitions du chaîné, détenu par le groupe Al IslamiFood, leader du marché agroalimentaire en Asie et aux Emirats Arabes Unis depuis près de 40 ans, sont d’ouvrir cinq restaurants d’ici fin 2012.

La potato mobile teste l'appétit des passants :La marque, Mc Cain, bien consciente du potentiel du marché du snacking, tente sa chance dans la rue en investissant la piste de la street Food,très en vogue ces derniers temps. Le véhicule, visible durant le salon Equip’hôtel, a été conçu dans le même esprit que les Food TrucksAméricains, avec pour spécialité, la pomme de terre. Différentes recettes sont proposées et déclinées pour tous les goûts. Ce véhicule n’estcependant qu’un prototype pour le moment, la version définitive sera affinée au fil du temps. Le but sera de multiplier le nombre de camions dansles rues des grandes villes de France.

La Brioche Dorée remet le laurier d'or à son meilleur franchisé :Le chaîné a profité de la convention annuelle de l’enseigne pour remercier ses meilleurs franchisés par la remise d’un laurier. Ils ont étésélectionnés selon la moyenne hygiène et qualité de son point de vente, mais aussi sur l’évolution de son chiffre d’affaires. Le grandgagnant est le directeur du restaurant de Nantes Bouguenais, qui s’est vu remettre le laurier d’or.

Alfred Neuhauser met le grappin sur Pomme de Pain :On s’attendait pourtant en ce début d’automne à que le Groupe Le Duff (propriétaire notamment de la Brioche Dorée) fasse main mise sur lachaîne de bougeries-sandwicheries mais c’est finalement l’industriel Alfred Neuhauser qui en sera l’heureux propriétaire. Il s’installe ainsi sur lemarché très porteur qu’est le snacking, en détenant désormais un réseau de 117 établissements, générant un chiffre d’affaire établi en 2011 de43 millions d’euros. Cette reprise est d’autant plus intéressante pour lui qu’il contrôle l’un des tout premiers groupes français de boulangerie-viennoiserie-pâtisserie, créé par sa famille au début du XXème siècle.

Burger King s'implante en France, en collaboration avec Autogrill :Son arrivée était annoncée depuis longtemps, la voici désormais confirmée : le numéro 2 mondial du burger arrive en France en s’installant àl’aéroport de Marseille Provence avant la fin de l’année. Le chaîné s’est associé à l’enseigne Autogrill, le leader mondial de la restauration desvoyageurs, qui s’étoffe au passage de 140 Burger King, partout dans le monde. L’accord porte exclusivement sur les sites de transport : lesgares, les aéroports et les autoroutes, le 2ème établissement à venir sera d’ailleurs implanté sur l’aire de Reims Sud aux côtés d’une BriocheDorée.

Echos des DCHD

Ce que les français attendent des Cafés Hôtels Restaurants...Dans un contexte où le secteur de la restauration est en pleine mutation, tant sur l’offre que sur la demande, où l’environnement réglementaire estde plus en plus agressif et la morosité ambiante se fait de plus en plus grande (hausse du chômage et baisse du pouvoir d’achat), lesdistributeurs-grossistes en boissons doivent tout de même, coûte que coûte, conjuguer avec ses variables qui créent une lourde incidence sur leursanté financière. En effet, la fréquentation des Cafés Hôtels Restaurants est en en baisse de 1.7% (1er trimestre 2012) tout comme le taux deprise des boissons, pénalisé en partie par les boissons alcoolisées avec une baisse de 1.3% en 2012. Il s’agit donc bel et bien d’identifier les leviers de croissance indispensables pour les patrons de CHR, afin d’assurer un avenir plus serein à laprofession qui conseille et alimente chaque jour ces établissements en boissons.

La mutation de l’offre & la demande :

Les habitudes de consommation ont beaucoup évolué ces dernières années, notamment avec le nomadisme alimentaire, la crise et les pausesdéjeuners plus courtes : le temps moyen d’un repas pris en hors domicile en 1975 était de 1h40, tandis qu’aujourd’hui, il est passé à 31 minutes.La restauration rapide est en phase avec cette tendance de fond, ceci traduisant son expansion depuis ces 10 dernières années.

Pourtant et pour la première fois, une baisse de fréquentation de 2,4% en 2012 est observée au sein de la restauration rapide. Le snacking est en effet synonyme denourriture trop riche et peu variée. Le consommateur maintient désormais son niveau d’exigence, quel que soit le type d’établissement fréquenté, souhaitant bénéficier d’unchoix de produits de qualité et équilibré. Les enseignes, notamment les chaînés, se positionnent dorénavant sur un marché premium, tout en conservant un prix de vente s’accordant avec le ticket moyen des français,soit 10€ boisson comprise.Leur nombre se fait donc de plus en plus grand, au détriment des restaurants traditionnels indépendants.

Les grands chefs (Paul Bocuse, Alain Ducasse…) ont par ailleurs tous ajouté à une leur carte une offre snacking haut de gamme. Les français à la recherche du plaisir :La France connaît aujourd’hui deux manières de consommer lorsqu’elle souhaite se restaurer à l’extérieur de son domicile :Le repas nommé « plaisir », soit la restauration à table, est une sortie exceptionnelle où le client est en recherche d’un produit de qualité, que l’on ne consomme pas chez soi,afin d’y trouver plaisir et convivialité. Le souci de différenciation est donc dominant, tout comme le niveau d’exigence, élevé. L’objectif est cependant toujours le même : passerun moment agréable entre amis ou collègues et découvrir de bons produits, quitte à payer un peu plus cher. Le ticket moyen est situé aux alentours de 30€, boisson incluse.Le repas nommé « quotidien » est quant à lui un repas de nécessité. Les consommateurs de ce type de repas, rapide et économique, recherchent des concepts séduisants,efficaces et proposant une véritable alternative, sans omettre la notion d’équilibre et de qualité. 90% des consommateurs choisissent d’ailleurs les établissements suivant leurcapacité à proposer des produits de qualité. Le CHR de demain doit donc se pencher sur différentes pistes telles que la premiumisation, la valorisation des produits et la différenciation. Le vecteur commun estcependant le même pour tous les français, la notion de plaisir : 77% des consommateurs déclarent fréquenter le CHD pour « changer du quotidien ». Le restaurant, bar,brasserie, pourrait être plus encore aujourd’hui qu’hier un véritable remède contre la morosité… En aura-t-il encore les moyens ?

« Service en tête » où l’accompagnement au changementCréée en 2006 à l’initiative de France Boissons, Service en tête est une association loi 1901 visant à prodiguer aux professionnels des conseilspour dynamiser leur point de ventes afin d’en optimiser leur offre et leur service. L’association a su se constituer un excellent réseau, comptantdésormais 450 patrons de CHR, adhérents en France. Des conseillers « service en tête » accompagnent les responsables d’établissement pourdécrypter précisément le « profil client » afin de répondre au mieux aux attentes des consommateurs. Un plan d’action est défini entre l’adhérentet son conseiller, afin de bénéficier de conseils personnalisés mais aussi de formations et d’informations diverses.


Congrès RHD, le RDV annuel des acheteurs,fournisseurs et distributeurs de la RHD4 et 5 décembre 2012 - ANTONY Expoprotection, le salon de la prévention etgestion des risques4 au 7 décembre 2012 - Porte de Versailles -PARIS

Sirha, RDV mondial de la restauration &hôtellerie26 au 30 janvier 2013 - Eurexpo - LYON

Sandwich Snack & Show, le RDV leader surle marché de lu snacking et de laconsommation nomade20 et 21 mars 2013 - Porte de Versailles - PARIS

SITL, solutions logistiquesdu 26 au 28 mars 2013 - Paris Nord Villepinte

Pack & Gift 2012, salon de l'emballage12 et 13 juin 2013 - Porte de Versailles - PARIS

Solutrans, salon européen des solutions detransportdu 19 au 23 novembre 2013 - Euroexpo - LYON


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