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Année. Paraütant k Dimnehe et le Jeudi Dimanche H Mars 1897 PH x de PAIneiimww^nt i P j 4 x de l’Abonneadient i rom Un an. Slk mois. . Tirâis mois. ram le B«PAETsjmn . ................... Trola mois................................. » «« < ? 0 i r i | R 1 3 B | | | I I I S X ’O I S E Béetamu» «I lw»er>toM , . ■ . : : -.1 ' ' ' Trois moi. .............................. r n i 9L .OKS l!É6 EltTl»IlfS r'akrv.». * AVI» AVX ABONNÉ» ON S’ABONNE BULLETIN Sentis» 13 Mars, Au Sénat, M. Franck Chauveau a posé une quoétion à M. Hanotaux sur les aSaires d’Orient; ce sont les-bureaux des groupes qui avaient chargé Thonorable sénateur de cotte mission Contrairement aux casse-ron de la Chambre, M. Franck Chauveau n’a pas voulu se livrer, à cette occasion, à l’une de ces bruyantes inter- peiialions plus intéressées qu’intéres santes. Mais les bureaux dont il avait mandat et lui-môme ont pensé que le M oat ne pouvait se désintéresser de ces événements et qu’en France, comme dans tous les pays pariementajres de l’Europe, l6 public et 868 représentants devaient être continnellement tenus au courant de ce qui se passe à l’extérieur. M. Hanotaux {_ .P^w tcnient , admis les motifs de M. Fi^ck Chauveau, présentés d'une MQon si correcte, et a promis que le Parlement serait associé à tous les actes du gouvernement dans ces graves oon- jonctures; A la Chambre, aussi, l’on est en train de fiire de la bonne besogne, M. Marty a déposé un projet de règlement édiotant que les interpellations seraient discutées le samedi seulement à l’exclusion des antres jours de la semaine qui pourraient alors être consacrés aux affaires sérieuses. Nous apprécions pins loin cotte excoliento idée. Disons seulement ici, que la majorité do la Chambre, obsédée des obstructions perpétuelles des radicaux et des sooia- listes, lui a fait le meilleur accueil. En Orient, il y a un temps d’arrêt. Les puissances délibèrent sur les suites à donner a l’attitude intransigeante de la Grèce. Voici^ k titre de renseignement. 1 arrangement temporaire que proposerait je gouvernement hellène : « 1* Retrait immédiat des troupes turques de la Crète ; ^ Rétablissement de l’ordre confié à un détachement des forces européennes, oui a^éc les troupes grecques de lile. bi 1 occupation mixte est décidée. 1 armée grecqüe serait placée sous les ordres de 1 officier qui commanderait la force internationale 3<> Les insurgés se soumettraient aux puissances. 4* A l’ex piration des irois mois qui seraient néces saires pour un complet réiablissement de 1 ordre dans 1 ile, un plébiscite déciderait sntre lés deux alternatives de l’autonomie ou de 1 annexion. 5* Les puissances de vraient décider le gouvernement turc à rappeler une partie de ses troupes de la frontière grecque. Le gouvernement grec, de son côté, songerait à rap peler une proportion équivalente de ses troupes. » En attendant la lutte con tinue en Crète et l’on se massacre partout ott 1 action des puissances ne peut se faire sentir. INFORimiONS d*«o.iaQt. dix .M , •uoMmbaot eo loa domicile parisieo de la rue ttm de doiuDM. dépaaee aetaeUameDt 8.000 000 de ki ognm neeanr émilliona et demi aécMeaLrM à U prodnctioa de 1« beiterave i MoreT ^ Le préaideat du Gouieil a promit d’examiner la qaeiiioa avee tout la «oin quelle comporte. enquol mooteot lei •><"»«««»» I U v.gm .ds il ï evvirovvnivilli.,dél'd«ivi SnlmpriM» .n Turooie, vh.œiga d. fer, ,o » i. trsvaui pnblii», u.lnsI;,io. .. . 1! ” ’ ï* fmnçsi. dépsSa-ni I ^ “i'bb.rrs, ea Iroiaid... i,.. l’All.magoe. fe ro v r’A * é i « l s U S?iÎ4v, •“* *P'é> nii!“xiïî!’°Ji“ Méoélik aooge i doter eon m - télégrapbiquea Une maieon de !i'V. i*'* 'f*" procéder ani! tra- Bpftû» « î prétiroioalree et de aonmettre oo KVm •“ Zeitung. ou ballon en:. g^^ïB A ;.arï.t:: peratnre de 00* an-deHooe de xéroa Séance du tO mars. CAauprau dit qu'il avait l’in- fnn I fiouvernement une ques tion sur les affaires d Orient. “I® Hanolaux et ia piés dent du Cooseiii il demandera seuie- S î i.?i? Jo ministère (legéné- dem .niî ^ *’'®“ ‘™">“>elire sa demande à ses collègues. m vn'J'Jf"*™ ' ®“'“‘ '■‘P»"'* 1“’»' ira"»- i ® '®* “ llégues le désir ?nlw‘ Chauveau. li ajoute que ses du‘s?„““ s S i ‘ ' “ ‘»®P®“ «®" b u S ;f d ïïr n Z c S ï“„b‘,i^“„ r" “ '““ ' “ d'Stô.î!.'?.!®'''•i'* ?• Hs">boarg ,i..l "• f - " - 3: «pîs: Séance du iS mars. ^aîl;®*?®'®®*’. éos air lires élran- gôres. a la parole 4 l’ouverluro de la séance, hi^’i ehauveau, dil-ii. a prévenu d J s U î i ? ” '®‘’® ‘*®* ®®“ '™ * é tr a n g è r e s q u ’il désirait lui poser une question sur ce oui sa passe en ce moment en Orient "®®®1“‘ “ lanVioH^®^ raisons pour ne puis répondre Auiourd hui • mais d peut être assuré que nous désiroos exîéfleure "®*''® ®®‘‘“ " ni. se résume en un mot : main bien.) •” 1’"'*®®®“ ®®''' « “ « P é o n . (T r è s J’espére éire en mesure, dés le début de F r a n r k r h ! •’'®®*’®,'“ ®> é e r é p o n d r e à M. Franck Chauveau. (Assenlimeut.) ivr™ Æ®®8®®®*‘®‘®. q u i s e r a l l i e i la motion Marty, a-t-elle proposé que la m rôv'îlï" ™,®‘®,'” »>‘i’®8se, en cas d’absolue wgonco’ d ordonner la discussion d’une inlerpeliation un autre jour que le sS! ThlL' ®®*‘"®‘>.»“ «st habile et raison- aable, à la condition qu’il n’y ait pas abus — mats II y aura abus, n’en doutez pas. ibu tout cas, la motion Marty, si elle est adoptée, mémo avec cotte restriction, aidera à mettre un peu d’ordre dans le chaos des débats parlementairoa. Au fond, ce qu’il ne faut pas oublier, li!.“ 11“r® i^hambre étant un pouvoir législalit, sa principale mission est de voter des lois. Beaucoup, au Palais- Bourbon, n ont pas l’air de s’en douter. v**^cü3“î *i* l'Boipîr. .Il.rasod. tSn 1 ( ^ . le oombre de* mariageH daoa l’Emoipe Allamand . . . t élevd S 414 248. .o 4 7 97 sur 1^ b.bit..l.. Mvlr. 408 060 ou 7 94 .a I8S4 87 w “.°u”; l’iïîf • été d» 1 911 644 ou it.^pvu'r l .S S K ’’ * »" éa i 216.854 vu t M p o ”; r ’i Z 5 : ’’lS Ï '’ L’heure univerMlle «a Belgique. sw 5 î’£ F ‘-i*-.îïï‘ d'™ ™ »?" * i* g«™ du Nord, i tilr. horlos. «ur laqu.ll. .oui msr- d.frî P” )"*®»** bt d .. rhaiviu. «e ter. lea eipcditione postalei et téléirraDhiouas jero« éleblie. d’epré.'lu «dreu dl CfiAMHUE OEM DEPCJTK8 Séance du éf mars, Leprôsi-Ienl rappelle que la Chambre n renvoyé à celle date la flxalion du jour oà seraient discutées lesdlversesinierpeilatioDS sur le.s événemeols de Crète I gp*“ ;^ 'iî‘®‘““**roinlslre des affaire* étran gères, dit que la réponse de la Grèce a donné lieu et donne encore lieu à un échange puissances. Aussi, désir qu’a le gouvernement de 8 expliquer devant la Chambre, il ne peut répondre avant hindi prochain. Charahrel^ ' “ "*** acceptée par la Séance du /2 mars. I .h ® Chambre discute le projet'de loi sur les bureaux de placement. vendredi!® ‘'® ®strenvojéeà d .î'rd S !;® ” '* 8'agribult.ur. pîr I. j î. * hier mlin p.r I. m ini.tf. d. l egricultur.. «iiu.'ïinî a /f* * »“"•'«“« M. Mélin. d. I. ü.» « f .* 9'" 8"'h»“ d. I. greio. de bolle- îl. j 8“' i» poivl d. di.ps,.î|,s Cette impurution, qai n'etteiguit p u 1.700.000 Un iDiri^gA à biojcielle. » f x'^li I J “a meriege i bievelelte a tu .m mlVi? «n« effcorte d« lémoiua ou in»ué,. to u «0 euloito ée soie blaocbe. IW. Util», xfljoint sa inairn, « ppocéHâ i l’uoinn PédHle, n'oub mot p“ • la ovÆflîî, “ »"■«. M. 01 M - Pérou» ont o,v’'é » d 7 S ! ;r d ’o r ” i!'“ " ‘’ ‘» » - LE PARLEMENT SEîVAT Séance du iO mars. Le Sénat reprend la discussion du budget fi A^ b^adgelde riniérieuravecqueluuc légères modifications. 4««iqut UNE MOTION Les gens à l’esprit optimiste prétendent que de i exces du mal sort le bien. Ils ont parfois raison et il faut souhaiter que ce soit le cas en ce qui concerne les inter pellations à la Chambre dont on a si bien abuse que la situation n’est plus tenable. Un a fini par s’en apercevoir et c’est cet exces de mal qui a motivé l’initiative ‘ M. Marty. M. Marty voudrait réserver un jour par semaine, un seul, aux interpellations. Ce serait le samedi, qui, étant le jour du aabbat, paraît bien choisi. Les autres jours on travaillerait. Ilfaut s’attendre à ce que la motion do M. Marty ne passe pas sans difficultés, si elle piwse. Songez donc que i’inierpelJa- tion, c est le tremplin des ambitions re muantes, c’est la vedette sur l’affiche c est parfois la notoriété subitement ac quise, c’est la réclame électorale mise à la portée de toutes les médiocrités. Le premier venu peut interpeller, mais il ne saurait parler avec compétence et autorité sur un projet de loi, et lors même qu’il le lerair, est-ce que cela peut porter sur 1 électeur comme une interpellation f Voilà de bien graves objections. Aussi NOUVELLESJMIUTAIRE.', Les Kraodes manneuvres. oa« mÜ'SL*' î®’’*’® ‘’’®™é®. ffui prendront in.H rf manœuvres combinées du S Biu I ®“ ®®®®“ * '®* ®''‘''® 8 8 u g é n é ral Billot qui, tout en étant ministre de la guerr®, est resté titulaire de la première ins- nn"rmrâ'''?lf® -®‘ '®.«''"®®®'"i'IolM"’ ® ?., «1 î ï ' “.*1“ ““ “ ®'® “*® septembre h ” ®J’®™“ P®® <'®"'®“ ®- ®e sera Je ^ é r a l de France qui dirigera les ma- L* flm®®'®i Chanoine qui prendra corps d’armée..Le géfiéi al Chanoine sera d’ailleurs, avant la fin de I année, appelé définitivement au com- m^deraeni d un corps d'armée: Trois divisions de cavalerie prenant part înn du Nord, il n’y aura pas cei e année, de grandes manœuvres de cava- [ene analogues à celles qui furent, l'an der- t'''®, P®'' <*8 f e s s é , e t q u i ont eu taut de succès. Alais en 1898 l'armée aura certainement des manœuvres spéciales de cavalerie et des maneuvres de forteresse. La ppom olioa «le ^i^aint-Maixent. Avant (le se séparer, les éléves-olïlciers. qui viennent de sortir de l'Ecole de Suint- Maixent, ont adressé un télégramme au tsar, I mfoimiim de leur décision de donner à leur proiuüliou le nom de Nicolas II lite du £Sîovago'““ ““ ‘’“ “ - C est demuin que les éiecteura seront ud- peésàseprouoncordéllnitivemeut. h»mm®® nuroiit devant eux ou H n S ^ “ “ l* ®‘ ,®PP''®“ié de tous les gens I ?■ '®“®J®® hommes d'ordre de sa SéTSit M T i “ •,.?“®her. nous l'avons oui “ ® ' '* “ “ ''®’ ®*‘ " " “ ®déré .“°® ®“™Pélouce indéniable, aû?a f r î ï ? ® débattre; il ïw I ® .” ®®‘'®® P»d''<>lrs publics, qui Sa r - Z j '’“®* ®r®‘“dre avec lui la politique f .®®™'‘ ®®h® d e son a d v e r - mlrti» .lûfi ® ^‘’'''”|®'P“* ‘*® ®“" programme Silrz ®™‘’P®.'® '■‘ Bépuhlicain. a-t-ii et dïï.'.à H ‘""J®®®* J® partisan sincère et dévoué d un gouvernement libéral et pro- rtot drèu “ i®"î réformateur et. respectueux fnio »» “ ®®‘ Paa he ceux qui, tout en parlant sans cesse de liberté, ne sê des autres ®“'’“P“*®‘*®froisser les sentiments ■as* *® Lhambre. M. Rucher combattra les dépenses exagérées eu inutiles, s'opposera 4 i '"PdB nouveaux, s'appliquera obtenir la répartition plus équitable ’ ^^.*.“*3^®*'®'®"'’ ®’aa*»oiara é toutes me- büdget ’’° “ ® ®ff“ ‘h h r e r le n.!i“lL3 "? P^dranimo solide, sérieux, qui peut réunir I assentiment de tous les ht d ordre et de progrès. 6»®™“ ’™ ®" ^“ ®®“f® a® dresse un do ces agités agitateurs qui n’ent d'autre programme que de promettre la lune et ses uiontagneHa mer et ses poissons, le Mont- ?ei?ir du toub“"' ‘ “® "®“ Enfln, le D' Baudou a achevé de donner rei.'Jf'®'^^-*’.®® Poronture que nous avons relaté jeudi dernier et Oli, après avoir visé un placard injurieux pour son adversaire, il a fui... bravémenl ia responsabilité qu’il avait assumée. ^ Entre ces deux candidats, le clioix des électeurs est déj4 arrêté, et nous leur ferions in"s°am“'’° ®“ PP®®®“ ‘ hésiteront un Lundi, lu I" circonscription de Beauvais ™hil."s!' r^'’“i ‘‘'f'"® *''®"® • ®®®®r® l'h q n o - lable M. Hucher, maire de Beauvais. G. V. ti^ves destinées au remorquage des noàveanx trains rapides charbonolers du rèsean. H/inf A I systèmes, dont les essais ont donné les meilleurs résultats, sont la Com- pound-Aord et la Compotind-Rtdt. L e s P é se rv iste s p è re s d e faoiille. Les réservistes pères de quatre enfants vivants, y compris les jioraine.s des services auxiliaires, passent do droit dans l'armée S«îlnn'''®lf de leur si- lualion. Ils changent, dès lors, de classe de iiiobilisalion.et marchent avec la plus jeune c Hssede l armée territoriaiejusqu^ l’époque où eUe est libérée du .service. Ils sont ensuite inscrits sur un contritle spécial jusqu’à ce qu Usaient complété leurs 25 ans de services rzii® R®f8«e dans l’armée territoriale des reservihies père do quatre enfants est défini- tii et nest pas révocable par suite de décès enfants*'**' survenir parmi ces quatre Le sabre dea aous-offieieFs, Le général Billot vint de décider que les ,^ou8-offl.’iers rengagés admis à faire valoir leura driiils à une pension de retraite, qui en feront la demande au ministre par voie hiérarchique, pourront, en cas d’avis favo rable de la pan de leurs chefs, ôlre autorisés aI*’ ? i’^pée ou lesabre dont ils étaient détenteurs pendant leur ser vice militaire. Les sociètéM de secours muluels. Une circulaire du minislro do l'intérieur aux préfels invile ces derniers 4 tui Irans- melire, dans lecouianl du mois, le compte rendu des opérations dos sociétés de secours mutuels pour que ie gouvernement apporte 4 leur tune loiinemeiit toutes les améliora- lions désiniblrs Le ministre réclame des dé- In.fziS r,® ®‘ ®“'"l’'6‘s sur l8 nombre des sociétte d iioinmes. des sociétés de femmes et mune ’ ®®"®'®® “ '®'®® <J®“ s c h a q u e co m - Ces documents serviront de base à la ré partition des subventions proportionnelles qui serent aliénées, en tTBT.’auf socISés qu! ont effectué, pendant l'année 1896 des ver reSes^ h®®®'®” ® »‘®eéres de I-es revendications dee greffiers. d'a^^rirs^^r'®" -?® J® P™chaioo Session d avril des Conseils généraux, ia Commission rentrale des grefflers do paix et de simple polie® de France adresse 4 chaque censeiller généra une nolice résumant l3s revendis- lions (le la corporation et les vœux au’elle «ouraelire en sa faveur aux assemblées départementales, à savoir : l'aiiî«il“i7*A •‘î? i!*«rti«eWent prévo par lariicle 17d« la Ini dn 2 mai 1856 aolt rédoit A 2“ o!i“ *V ^ ««Btimea pour le gnfâar 5 pan aoient antoru««A onnir let 10 ll?a 7 *' rtu ! ^ a & . . . 3» Que Ifla actea .d’acceptatioaa bâoéfloiMrftB «t «noac.at.ooa à .ucm.ionf loiàèfe. d e^Sa- t 00 A comcDonaoté; aoient roçaa ao graffb de la juiiice de paix, du canton daoa leonol U auMaa. Bion a’e il ouvf»rle ; ^ ■«ceea- 40 Quo lo ûôavernémont pronna lot mainrM propr.. 4 c u re r la atricla coneoraant l'organisation d«« tntillea, de. '* Pra««tion dea intérêfi p-bi.B. 1. oôuvn;or.Tti;nn?u"m :i:Yff réallaanl lea pro- m « repoiéaa. raviie le tarif dn fl?» ^ *!i“’ ’®*“ ^®olo»«nU dflt grefo 18ra ^ fl Pf*’ *“ «• de ISri et im pie’potic.” 4.. g,.ta.,.4 . Los gretliers demandent cnOn l'émission d nn voeu tendant é ce que les lois sur a ri orgaiiisatinq judiciaire viennent, sans plus larder, en discussion devant les Chambres, et que le projet de loi de M. le député Mou- geol, sur la procédure devant les justices de paix, soit également l'objet des sollicitudes du Gouvernement. SENLIS HKONIüDli I M 'I E » i i i i \ , 4 L; L élccftioii «le B«inuvciisie Depuis le commencement des opérations 6 ecioralos à Beauvais, nous avons tenu nos lecieiirs, dans chacun de nos numéros, au courant des progrès croissants de la caridi.la- ture de I honorable M. Hucher, en dénii des agitatioos de ses adversaires. Tous, a celte heure, ont disparu devant IUi> 'F rib o n d e a u et les agrietilteuFs. H.*rn’^"*’°"'*®®“' P™'6»se“r d'agriculturo do I Oise, successeur de M. Alexandre, s'est ac ivemeiit mis en relations avec les auri- çulteurs de la région. Il a demandé, par eitre, au président de la Société d'agricnl- »® . î ““ J"®*"® 1“8 J® Suciété lui dési- gndt dos cultivaleurs de l'arrondissement qui youdront bien se cilargor de fiire, sous !?"’ '°® ®«l'é''iencos sur pommes de terre, betteraves et avoines. La Suciété lui a di ®'B"é 4 cet effet, pour les poniiiies de eue .MM 1 oulet, é Jaulzy; Manclieron, 4 I ont Sainle-Miixonco; Guérin, 4 Clievrièrés S ® . ®s®®®“ ®™'®® : -'IM- Orons, 4 Bossons i Doisy, 4 Margny, et Poulin, 4 Crisolles. l’our ÎL î’T Ï'f i Lollignon, 4 Autréches H. yy. ,1 Estrées-Saint-Donis, et Deligniéres a Lunny- * ^ La Compagnie du Nord vient de mettre en circulation deux types de nouvelles locumo- (lomme tous les aus 4 pareille époque, les S h3"i ‘•'■®“*V® «'atistique du mouve- meut de la population de tour commune pour 1 année écoulée. Nous avon.s pensé être utile à nos lecteurs en leur présentant un résumé clair et concis de ces inléressanis travaux. On y verra ” ,®uo a population do notre arrondissement con tinue a progresser avec régularité, non pas seulement du fait de l'émigration ouvrière que les grandes usines de Creil, Nogent. Montataire, Verborie, Crépy, etc., y attirant mais par le fait aussi de la natalité. Presque décès'* ®“ '®®®“ ®®® J'binportent sur les La ville de Senlis fait, à peu près seule, exception 4 cette régie ; pour 124 naissances elle a donné 163 décés; mais celle anomalie apparente s explique quand on songe au grand nombre de retraités qui viennent v terminer pai.siblemerit leur carrière, et sur- loiit a I Hôpital qui apporte forcément un contingent supplémentaire à la mortalité (.epeudant, nous y insistons, dans l'on- semble de 1 arrondissement la population progresse régulièrement; ainsi, tandis que par tout le dépurtemeiii la population était restée à peu prés siationnaire pendant ces J^8^'“^ras anni'es, elle augmentait de prçs de trois mille 4ines chez nous, et pas sait de 99.ü60 en t89t a 102.127 en 1896 ‘ Ion verra par Jes statistiques qui suivent que ie mouvement s'accentue. Il serait peut-être exagéré d'espérer qu’au prochain recensement, ni môme au suivant lions compterons les 50.000 autres habitants nécessaires pour avoir droit à un troisième députe; pouriant, si les moyens de commu nication rapides et plus directs que noua Jécluuions depuis longtemps nous étaient FEUILLETON LES D E D I F B Ê R E S PAR Loüi» LÉTANG. Deuxième Partie : LE SUPPLICE D’UN PERE VIII (suite). U LIASSR B-135 Us montèrent tous deux r.lT d°m andà-|.™ h.r‘"“'” ' “ ““ J® VOUS le dirai en roule. -l» Cherehe-MÎdL'* I” '®®” d e * P h l ’i i 33î ‘'f . 3 " iean« »iS'^ ^ ««"■«■"'■“ ént dcllcat et le dnaiid3rï;'r'' ®" ®"‘. “ " «®® “ »'» inn î î û'O''' dit de son 1 fü teV «««rage I » quaSd BvaU ‘‘•'»mbre qu'on lui aMreiii L.C h’ fenô‘re grillée il “ orailles de la caseme- prison et les sentinelles, baïonnette au Mnon, qni gardaient les portes, toute son èneigie se fondit, tout son courage tomba. L*®** P®^«^ étroit qui, avec deux chaises et nue table, composaient tout le mobilier de la chambrette, et de doulou- reuses Mosées l’assaillirent. En ôlre réduit là, lui, 1 honneur môme, le soldat au cœur ardent, le patriote fanatiqiiel.. Grand Dieu! 81 son père et sa mère avaient connu l'accu- sation infamante qui pesait sur lui avant i! V " î I fit Marguerite, douce fiancée I... .'” ®* en longs san glots. Pour qu on ne l'entendit pas des cel lules voisines, il enfouit sa tôle dans les draps de lit et demeura immobile, ie corps secoué de frissons... IX. QUI V IÜ I LA PIN, VEtn® LES MOYENS Le soir de ce môme jour, vers cinq heures et demie, Aurôlien de Praberl et l’oncle Daniel étaient attablés à la terrasse dn Café Américain, fumant des cigarettes et sirotant Paris jouissait de l'été de la buint-Martin, ce bienfaisantressouvenirües beaux jours avant la neige et les frimas, et les promeneurs encombraient le boulevard U s camelots passaient devant les cafés, criant leur marchandise, faisant des offres, montrant des montres d’argent à trente sous, de larges albums de Salon à quatre- vlngt-qulnxe centimes, des Images, do» Chansons, des plies de volumes défraîchis à des prix invraisemblablesj quelques-uns commençaient à offrir la première édition des Journaux da loir. ®® journal? de- de Daniel" penchant à l'oreille n..r J’offrais mille balles pour 31^^:;;.^ Michelin, le di- à mAUxo ^•‘ousse... voulait rien faire 1 ® ?. sais... avait peur do perdre la clientèle. Mais subsides à espé rer... maigres.. besoin d’argent... pres sant., a l^ransigé pour quinze cents. Tout mon gain d hier soir au cercle. — Je te rendrai ça. — fispère bien. — fis-tu bien sûr que tout a marché selon nos désirs là-bas? — Absolument. Ai passé ma demi-journée à certaine fenêtre du Cercle de l’Ilorticul- ture du boulevard Saint-Germain, où J’ai mes entrées... donne précisément sur dé bouché de la rue de Bourgogne... vu tout le manège. Iis ont fait la chose sans éclat, raît're^* y ost bien, le journal peut pa- — Ëulileuhl pourvu que l’avenlure no tourne pas contre nous. Comment se pourrait-il ? — Si l’auire nous met en cause? —• Difilcile à débrouiller. Trop compliqué f our gens du mini>tère. Comprendront rien, nis Allevard nous couvrira. — Bon. Ne parlons plus de ces choses. Et attendons. — lU s'occupèrent exclusivement du va- et-vient des promeneurs. Soudain Ils se touchèrent du coude. Un crieur glapissait devant le café : — Le Fiÿifoni vient de paraître. Deman dez son curieux numéro. Le scandale du mmwirâ de la ffuerre/ La trahison d'un officier françaist Terribles révélatlonsl... Cinq (intimes 1... Un sou!... Demandez io vtQilant?... Une nécessité do la publicité malsaine est I '«««’e «rier clmque jour par les vendeurs üe feuilles à scandales des titres à grand effet, on achète la marchandise, une fois. 8® 5’y laisse plus prendre, et les camelots s’époumonent ordi nairement au milieu de l indiffcreuce pu- ^n lieutenant d’artillerie se trouvait en ce moment à la terrasse de l’Américain, deur «“ Péneux il appela Je ven- — Donnezl Ol-i|. ~ Voilà, mon olïlcier. Paraourutd’un trait l’article qui s étalait en première page. avoir ïu** ‘“famiel cria-l-il après .*® " ’®'“ *“ ** *8 p a q u e t d e Iras ■ camelot tenait sur son — Combien en as-tu do ces saletés-là? ~ Un cent, mon lieutenant. francs *“« jeta une pièce do cinq prends tout et ne te conseille pas d en rapporter d'autres. Tu te ferais coffier trô sÏÏ''^’ cynique et affectant de saluer ®? contraire, mon lieutenant. Je m iï? "i ®'.!“'® PS'ieet- Du mo ment que I affaire est bonne et que la vente marche, faut chauller et ferme!... Tant aue ça durera, on gagnera sa vie I... tempsi** ** ^ durera pas long- £t Tofllcier, quittant précipliammont ta I place, traversa ia chaussée et se jeta dans I une des voitures de place qui stullounaient à cet endroit du boulevard. Mais l'incidont avait été très remaniué. Les paisibies consommateurs avaient dressé I oreille et un rassemblement de badauds commençait à intercepter la circulation. Aussi quand un deuxième vendeur (le la feuille scandaleuse parut ; -■ Démailliez le FfÿHanil... Le secret de la poudre sans fumée vendu !... Le nom du coupable! Son arreslalron !... Ca fat une boasculado. On s'arracha les numéros, fit le nom, le fumeux nom fut ins- Diîrinenes ^““‘es les lèvres ; Philippe — Hein! flt Aurélien qui avait acheté en bloc, sans nu ils lussent pliés une dizaine de numéros, hem, Daniel, mon bon, notre prose produit son petit effoll... — Chut 1 murmura l’autre. Et, prudemment, ils payèrent leurs con- sommuiions et quittèrent le café. Fendant qu’ils remontaient le boulevard, satisfaits, trlomphanls, le mouvement de curiosiiô se coniiniialt et les vendeurs, exploitant la veine, se multipliaient, ne se conieiiiantplus de crier le litre, chose drfenduft, - mais détaillant rarlicle et l’en- venimant encore d'appellations grossières Leia dura une grande heure. Jamais le Fiÿi/ani n'avait été à pareille fête. Cinq ou SIX mille numéros s'enlevèrent avec une rapidité merveilleuse. Puis, tout à coud une nuée (j’agenls se répandit sur lea deux côtés du boulevard, les vendeurs furent preaemont délestés dn papier qui leur res- lall sur les bras et le Fi,(Ion( cessa de réTelullonner les Parisiens, sortis de leurs QUtilOQi prinoipalçmeDl pour Jouir de belle et froide nuit d'été factice que saint Wartiu daignart leur octroyer. Le mtuisléro. p o S ’ **’°* do Cependant Anréiien de Prabert et l'onclo Dauiei, au bras l'un de l'autre, le cieare aux lérres, avait atteint la Madeleine. — ou dines-tuf demanda Daniel. — Je n'en sais rien. Pas 4 la malsen assui|énient. Tout y est trop détraqué Mais je vais y pas.«er cependant. I — Pourquoi? I Tiens! C’est tout indiqué. Afin de faire ^kA ~ ‘leeleerausemeot, — à ma (ibère pente (musine Marguerite de Briâls de I aventure désagréable qui vient d’arri- mellesl.!"'* “ P>*a*ne Û o r - ‘’Oûcle DanieL scène intéressante... oui.,, intéressante... Mais prends garde... espère pas... pas be soin... Cette petite fille dans nos jambw. Dangereux... peut-être... r,x“ * Prands-tu pour on imbécile 1 Je vols bien la scène à faire, sols tranquille. Uiio scôno d amoureux mélancolique oui gémi des rigueurs farouche* de la destinée et qui tâche d en profiter. Je la jouerai bien va, car j y serai très sincère et très vrai... baiïês **“ ® — Sols tranquille. — Bon. Où le retrouverai-je? Aurèllen réfiècblt une seconde, et (féet- floyale" 1®* ^®*^ *e do la^Je '^Jens, IA, chez Oui'afid, daoa M&É petite heure. ‘ “ - — Veux bien. X o ie a d a . \ fÀtuienJ^

BULLETIN NOUVELLESJMIUTAIRE.',bmsenlis.com/data/pdf/js/1895-1897/bms_js_1897_03_14_MRC.pdfjo n c tu re s ; A la Cham bre, au ssi, l’on e s t en tra in de f iir e de la bonne besogne,

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Année.Paraütant k Dimnehe et le Jeudi

Dimanche H Mars 1897

P H x d e PAIneiimww^nt i

P j4 x d e l ’A b o n n e a d i e n t ir o m

Un an.

S lk m ois. .

Tirâis m ois.

r a m l e B « P A E T s jm n

.

...................Trola m ois................................. » ««

< ? 0 i r i | R 1 3 B | | | I I I S X ’ O I S E

B é e t a m u » « I l w » e r > t o M , . ■ „ . ■ : : -.1 ' ' ' T rois m oi...............................

r n i 9L .O K S l!É6 E l tT l» I l f S

r'akrv.». * AVI» AVX ABONNÉ»

ON S’ABONNE

B U L L E T I NS en tis» 13 M a r s ,

A u S é n a t, M . F r a n c k C h a u v e a u a p o sé u n e q u oétion à M. H a n o ta u x s u r les a S a ire s d ’O r ie n t; c e s o n t le s -b u re a u x d es g ro u p e s q u i a v a ie n t c h a rg é T h o n o ra b le s é n a te u r d e c o tte m ission C o n tra ire m e n t a u x c a s se -ro n d e la C h a m b re , M . F ra n c k C h au v ea u n ’a p as v o u lu se l iv r e r , à c e t te o cc asio n , à l ’u n e d e ce s b ru y a n te s i n te r - p e iia lio n s p lu s in té re s sé e s qu ’in té re s ­s a n te s . M ais le s b u re a u x d o n t il av a it m a n d a t e t lu i-m ô m e o n t p en sé q u e le M o a t n e p o u v a it se d é s in té r e s s e r d e ces é v é n em en ts e t qu ’e n F ra n c e , com m e dans to u s le s p ay s p a r ie m e n ta jre s d e l’E u ro p e , l6 p u b lic e t 868 re p ré s e n ta n ts d ev a ien t ê t r e c o n tin n e lle m e n t te n u s a u c o u r a n t d e c e qu i se passe à l ’e x té r ie u r . M . H a n o ta u x {_ .P ^ w t c n i e n t , a d m is le s m o tifs d e M . F i ^ c k C h a u v e a u , p ré se n té s d 'u n e MQon s i c o r r e c te , e t a p ro m is q u e le P a r le m e n t s e r a i t a sso c ié à to u s le s a c te s d u g o u v e rn e m e n t d a n s ce s g ra v e s oon- jo n c tu re s ;

A la Cham bre, a u s s i , l ’on e s t e n tr a in de f i i r e d e la bonne b esogne , M . M a r ty a d éposé u n p ro je t d e rè g le m e n t é d io ta n t q u e le s in te rp e lla tio n s s e r a ie n t d iscu tée s le sam ed i se u le m e n t à l ’e x c lu s io n d es a n tre s jo u r s d e la se m a in e q u i p o u rra ie n t a lo rs ê t r e co n sa cré s a u x affa ires sé r ie u se s . N o u s ap p réc io n s p in s lo in c o tte e x c o lie n to id ée . D isons se u le m e n t ic i , q u e la m a jo rité do la C h am b re , o b séd é e d es o b s tru c tio n s p e rp é tu e lle s d es ra d ic a u x e t d e s sooia- li s te s , lu i a fa it l e m e i l le u r a c c u e il .

E n O r ie n t, il y a u n te m p s d ’a r r ê t . Les pu issan ce s d é l ib è r e n t s u r le s su ite s à d o n n e r a l ’a t t i tu d e in t ra n s ig e a n te d e la G rèce . Voici^ k t i t r e d e re n se ig n e m e n t.1 a r ra n g e m e n t te m p o ra ire q u e p ro p o se ra it je g o u v e rn e m e n t h e llè n e : « 1* R e t ra it im m é d ia t d es tro u p e s tu rq u e s d e l a C rè te ;^ R é ta b lis se m e n t d e l ’o rd r e co n fié à un d é ta c h e m e n t d es fo rc e s e u ro p é e n n e s , o u i

a ^ é c les tro u p e s g re c q u e s de l i l e . b i 1 o cc u p a tio n m ix te e s t d éc id ée .1 a rm é e g re c q ü e s e r a i t p lac ée so u s les o rd re s d e 1 offic ier q u i co m m a n d e ra it la fo rc e in te rn a tio n a le 3<> L es in su rg é s se so u m e ttra ie n t a u x p u issan ce s . 4* A l ’e x ­p ira tio n des iro is m o is q u i se r a ie n t n é c e s ­sa ire s p o u r u n c o m p le t ré ia b lis se m e n t de 1 o rd r e d a n s 1 i l e , u n p léb isc ite d é c id e ra it s n t r e lé s d e u x a l te r n a t iv e s de l ’au to n o m ie ou d e 1 a n n e x io n . 5* L es p u issan ce s d e ­v ra ie n t d é c id e r le g o u v e rn e m e n t t u r c à ra p p e le r u n e p a r t ie d e ses tro u p e s de la fro n tiè re g re c q u e . L e g o u v e rn e m e n t g re c , d e son c ô té , s o n g e ra it à ra p ­p e le r u n e p ro p o r tio n é q u iv a le n te d e ses tro u p e s . » E n a t te n d a n t la l u t te c o n ­tin u e en C rè te e t l ’on s e m assac re p a r to u t ott 1 a c tio n d es p u issa n c e s n e p e u t se fa ire se n tir .

INFORimiONS

d* « o .iaQ t. dix .M , •uoM m baot eo lo a domicile parisieo de la rue

t tm de doiuDM. dépaaee aetaeUameDt 8.000 000de ki ognm neeanr émilliona e t demi aécMeaLrMà U prodnctioa de 1« beiterave i MoreT ^

Le préaideat du Gouieil a promit d’examiner la qaeiiioa avee tout la «oin quelle comporte.

enquol mooteot lei

“ •><"»«««»» I U v .g m .d s i l ï evvirovvnivilli.,dél'd«ivi

SnlmpriM» .n Turooie,vh.œiga d . fer, ,o » i . trsvaui pnblii», u .ln sI;,io . . . . 1!” ’ ï* ‘ fmnçsi. dépsSa-ni

I ^ “i'b b .rrs , ea Iroiaid... i , . . l’All.magoe.f e r o v r ’A * é i ™ « l s ™ U S ? iÎ4 v , • “ * *P'é>

nii!“xiïî!’°Ji“ Méoélik aooge i doter eon m -télégrapbiquea Une maieon de

!i'V. i*'* 'f* " procéder ani! tra-Bpftû» « î prétiroioalree e t de aonmettre ooK V m • “

Zeitung. ou ballon en:.

g ^ ^ ï B A ; . a r ï . t : :peratnre de 00* an-deHooe de xéroa

Séance d u tO m ars .CA auprau d it qu 'il avait l ’in -

fnn I fiouvernem ent une ques­tion su r les affaires d O rien t.

“I® H anolaux e t i a p iés d e n t du Cooseiii il dem andera seu ie- S î i.?i? J o m inistère (leg é n é-d e m .n i î ^ *’'®“ ‘™">“>elire sadem ande à ses collègues.

m v n 'J 'J f " * ™ ' ®“ ' “ ‘ '■‘ P»"'* 1“ ’»' ira"»-i ® '®* “ llégues le désir

?n lw ‘ C hauveau. l i a jou te que ses

du‘ s?„“ “ s S i ‘ ' “ ‘»®P®“ «®"

b u S ; f d ï ï r n Z c S ï “„b‘ ,i “„ r " “ ' ““ ' “

d 'S tô .î! . '? .!® '''• i '* ? • Hs">boarg , i . . l

" • f - " - 3 : « p îs :

Séance d u i S mars.

^aîl;® *?® '® ® *’. éos air lires é lra n -gôres. a la parole 4 l’ouverluro de la séance, h i ^ ’ i eh a u v ea u , d il- ii. a prévenud J s U î i ? ” '®‘’® ‘*®* ®®“ '™* étrangères qu ’il désira it lui poser une question su r ce oui sapasse en ce m om ent en O rien t "®®®1“ ‘ “

lanVioH^®^ ra iso n s pourne pu is répondre Auiourd hu i •

m ais d peut être assuré que nous désiroos

ex îé fleu re "®*''® ®®‘‘“"n i . se résum e en un m ot : m ainbien .) •” “ 1’"'*®®®“ ®®''' « “ « P é o n . (T rès

J ’espére é ire en m esure , dés le d éb u t deF r a n r k r h ! •’'®®*’®,'“ ®> é e répondre à M. F ranck Chauveau. (A ssenlim eut.)

i v r ™ Æ®®8®®®*‘®‘®. q u i s e r a ll ie i la m o tio n M a r ty , a - t- e l le p ro p o sé q u e la

m rô v 'î l ï" ™,®‘®,'” »>‘ i’®8se, e n ca s d ’ab so lu e w g o n c o ’ d o rd o n n e r la d isc u ss io n d ’u n e in le rp e lia tio n u n a u t re j o u r q u e le sS !T h lL ' ®®*‘ "® ‘ >.»“ « s t h a b ile e t ra iso n - a a b le , à l a co n d itio n qu ’il n ’y a i t pas ab u s — m ats II y a u r a a b u s , n ’en d o u tez pas.

ibu to u t ca s , la m o tion M a r ty , s i e lle e s t adop tée , m ém o av e c c o tte r e s tr ic t io n , a id e ra à m e ttre u n peu d ’o rd r e d a n s le chaos des d é b a ts p a rle m en ta iro a .

A u fond , c e q u ’il n e fa u t p as o u b lie r , li!.“ 11“ r® i^ham bre é ta n t u n p o u v o ir lé g is la l i t, sa p rin c ip a le m ission e s t de v o te r des lo is . B eaucoup , a u P a la is - B o u rb o n , n o n t pas l ’a i r d e s ’en d o u te r .

v**^cü3“î *i* l'Boipîr. .Il.rasod. tSn 1 ( ^ . le oombre de* mariageH daoa l’Emoipe

Allamand . . . t élevd S 414 248. .o 4 7 97 sur 1 b .b i t . . l . . M vlr. 408 060 ou 7 94 . a I8S4 87 w “.°u”; l’ i ï î f • été d» 1 911 644 oui t .^ p v u 'r l . S S K ’ ’ * »"

éa i 216.854 vut M p o ”; r ’i Z 5 : ’’l S Ï ' ’

L’heure univerMlle «a Belgique.

s w 5 î ’£ F ‘- i * - . î ï ï ‘d '™ ™ » ? " * i* g«™ du N ord, i t i l r .

h o r lo s . «ur la q u .l l . .o u i m sr-

d . f r î P” )"*®»** b t d . . rh a iv iu .«e te r. lea e ipcd itione postale i e t téléirraDhiouas je ro « éleblie. d’epré.'lu «d reu d l

C f i A M H U E O E M D E P C J T K 8

Séance d u é f m ars, L eprôsi-Ien l rappelle que la C ham bre n

renvoyé à ce lle date la flxalion du jo u r oà seraien t discutées lesd lversesin ierpeilatioD S s u r le.s événem eols de Crète

I gp*“ ; ^ ' i î ‘®‘“ “ **ro in lslre des affaire* é tra n ­gères, d it que la réponse de la G rèce a donné lieu e t donne encore lieu à un échange

puissances. Aussi, désir qu ’a le gouvernem ent de

8 expliquer devant la C ham bre, il ne peut répondre avan t hindi prochain.

Charahrel^ ' “ "*** acceptée p a r la

Séance du / 2 m ars.I . h ® Cham bre discute le p ro je t 'd e loi su r

les bureaux de placem ent.

vendredi!® ‘'® “ ® stre n v o jé e à

d . î ' r d S ! ; ® ” '* 8'agribult.ur.p î r I . j î . * h ie r m l inp . r I . m in i.tf . d . l eg ricu ltu r..

«iiu .'ïin î a / f * * »“ " • '« “ « M. M élin . d . I .ü . » « f .* 9' " 8" 'h » “ d . I . g re io . de bolle- î l . j 8“ ' i» poivl d . d i .p s , . î | , s

Cette impurution, qai n 'e tte ig u it p u 1.700.000

Un iDiri^gA à biojcielle. » f x' li I J “a meriege i bievelelte a t u

.m mlVi? «n« effcorte d« lémoiuaou in»ué,. to u «0 euloito ée soie blaocbe.IW. Util», xfljoint sa inairn, « ppocéHâ i l’uoinn

PédHle, n'oub mot p“ • la

ovÆ flîî, “ »"■«. M. 01 M - Pérou» ont

o,v’'é » d 7 S ! ; r d ’o r ” i ! '“ " ‘’ ‘» » -

LE PARLEM ENTS E î V A T

Séance d u iO m ars.Le S énat rep rend la discussion du budget

f i A b^adgelde rin iér ie u rav e cq u e lu u c légères m odifications. 4 ««iqut

UNE MOTIONLes g e n s à l ’e sp r it o p tim is te p ré te n d e n t

que de i e x c e s du m al s o r t le b ien . I ls o n t parfo is ra iso n e t il fa u t s o u h a ite r q u e ce s o it le ca s en ce q u i c o n c e rn e les in te r ­p e lla tio n s à la C ham bre d o n t on a s i bien a b u se q u e la s itu a tio n n ’e s t p lu s te n a b le . U n a fini p a r s’en a p e rc e v o ir e t c ’e s t c e t e x c es d e m al q u i a m o tiv é l’in itia tiv e ‘ M . M arty .

M. M arty v o u d ra it ré s e rv e r u n jo u r p a r sem ain e , u n se u l, a u x in te rp e lla tio n s . Ce s e r a i t le sam ed i, q u i , é ta n t le j o u r du a a b b a t, p a r a î t b ien ch o is i. L es a u tre s jo u r s on tra v a ille ra it .

I l f a u t s ’a t te n d r e à ce q u e la m o tio n do M . M arty n e passe pas sa n s d iffic u lté s, si e l le piwse. S ongez d o n c q u e i ’in ie rp e lJa - t io n , c e s t le trem p lin d es am b itio n s r e ­m u a n te s , c ’e s t la v e d e tte s u r l ’affiche c e s t p arfo is la n o to rié té s u b ite m e n t a c ­q u ise , c ’e s t l a réc lam e é le c to ra le m ise à l a p o rté e de to u te s le s m éd io crité s . Le p re m ie r v e n u p e u t in te rp e lle r , m ais il ne s a u r a i t p a r le r av e c co m p é te n ce e t a u to r i té s u r un p ro je t de lo i, e t lo rs m êm e q u ’il le le ra ir , e s t-c e que c e la p e u t p o r te r s u r 1 é le c te u r com m e u n e in te rp e lla tio n f

V o ilà d e b ien g ra v e s o b jec tio n s . A ussi

NOUVELLESJMIUTAIRE.',L e s K r a o d e s m a n n e u v r e s .

o a « m Ü 'SL*' î®’’*’® ‘’’®™é®. ffui p rendron t in.H rf m anœ uvres com binées du

S Biu I ®“ ®® ®®“ * '®* ®''‘''®8 8u géné­ra l Billot qui, tou t en é ta n t m in istre de la guerr®, es t resté titu la ire d e la prem ière in s-

nn"rmrâ'''?lf® -®‘ '®.«''"®®®'"i'IolM"’ ® ?., «1 î ï ' “.*1“ “ “ “ ®'® “*® septem bre

h ” ®J’®™“ P®® <'®"'®“ ® - ®e sera Je ^ é r a l de F rance qui d irig era les m a- L* flm®®'®i Chanoine qui p rendra

corps d ’arm ée..L e géfiéi al Chanoine sera d ’a illeu rs, avant la fin de I année, appelé défin itivem ent au com- m ^ d e ra e n i d un corps d 'arm ée:

Trois divisions de cavalerie p ren an t part în n du Nord, il n ’y au ra pascei e année, de grandes m anœ uvres de cava- [e n e analogues à celles qui fu ren t, l 'an d e r-

t'''®, P®'' <*8 fe ssé , e t quiont eu tau t de succès. Alais en 1898 l'arm ée aura certainem ent des m anœ uvres spéciales de cavalerie et des m aneuvres de forteresse.

L a p p o m o lio a «le ^i^aint-Maixent.Avant (le se séparer, les éléves-olïlciers.

qui viennent de so rtir de l'Ecole de Suint- Maixent, ont adressé un télégram m e au tsar,I m foim iim de leu r décision de d o n n er à leur proiuüliou le nom de Nicolas II

l i t e du £S îovago '““ “ “ ‘’““ -C est dem uin que les éiecteura sero n t ud-

p e é sà se p ro u o n c o rd é lln it iv e m e u t.h»mm®® nuroiit devan t eux ouH n S ^ “ “ l* ®‘ ,®PP''®“ié d e tous les gens

I ?■ '®“®J®® hom m es d 'o rd re d e sa S é T S it M T i “ • , . ? “ ®her. nous l'avons oui “ ® ' '* “ “ ''®’ ®*‘ " " “ ®déré

.“ °® ®“ ™Pélouce indén iab le , aû?a f r î ï ? ® d é b a ttre ; ilï w I ®.” ®®‘'®® P»d''<>lrs publics, qui Sa r - Z j ' ’“ ® * ®r®‘“ d re avec lui la politique

f .®®™'‘ ®®h® de son ad v e r-m lrti» .lûfi ® ^ ‘’' ' '”|®'P“ * ‘*® ®“ " program m e S i l r z ®™‘’P®.'® '■ ‘ Bépuhlicain. a - t- ii e t d ï ï . ' . à H ‘""J®®®* J® partisan sincère e t dévoué d un gouvernem ent libéral et p ro -rtot d rèu “ i®"î réform ateur et. respectueux fnio »» 1® “ ®®‘ Paa he ceux qui,tout en parlan t sans cesse de liberté , n e sêdes au tres ®“'’“P“ *®‘*® froisser les sen tim ents

■as* *® L ham bre. M. R u ch er com battra les dépenses exagérées eu in u tile s, s 'opposera 4 i '" P d B nouveaux, s 'appliquera

obtenir la répartition plus équitable ’ ^ ^ .* .“*3^®*'®'®"'’ ®’aa*»oiara é toutes m e- büdget “ ’’° “ ® ®ff“ ‘h h re r le

n .! i“lL3 " ? P ^d ran im o solide, sérieux, qui peut ré u n ir I assentim ent de tous les ht d ordre e t de progrès.

6»®™“ ’™ ®" “®® “f® a® dresse undo ces agités agitateurs qui n ’e n t d 'au tre program m e que de p rom ettre la lune e t ses uiontagneH a m er et ses poissons, le M ont-

?ei?ir du to u b “ " ' ‘ “ ® "®“Enfln, le D ' Baudou a achevé de donner

rei.'Jf'® '^^-*’.®® Poron tu re que nous avons re la té jeudi d e rn ie r e t Oli, après avoir visé un placard injurieux pour son adversaire , il a fu i... bravém enl ia responsabilité qu ’il avait assum ée. ^

E ntre ces deux candidats, le clioix des électeurs est déj4 a rrê té , e t nous leu r ferions in"s°am“ '’° ®“ PP®®®“ ‘ hésiteront un

Lundi, lu I " circonscription de Beauvais™hil."s!' r^ '’“i ‘‘ 'f'"® *''®"® • ®® ®®r® l'hqno- lab le M. H ucher, m aire de Beauvais.

G. V.

ti^ves destinées au rem orquage des noàveanx tra in s rapides charbonolers du rèsean .H/inf A I systèmes, dont les essa is on tdonné les m eilleurs résu lta ts, son t la Com-p o und-A ord e t la Com potind-R tdt.

L e s P é s e r v i s t e s p è r e s d e f a o i i l l e .Les réservistes pères de quatre enfants

vivants, y com pris les jioraine.s des services auxiliaires, passent do d ro it dans l'arm éeS«îlnn'''®lf d e leu r si-

lualion. Ils changent, dès lors, de classe de iiiob ilisalion .et m archent avec la plus jeune c Hssede l arm ée te rr ito r ia ie ju sq u ^ l ’époque où eUe est libérée du .service. Ils son t ensuite inscrits su r un contritle spécial ju sq u ’à ce qu U saien t complété leurs 25 ans de services rzii® R®f8«e dans l ’arm ée terr ito r ia le des reservihies père do quatre enfants est défini- tii e t n e s t pas révocable par suite d e décès enfants*'**' su rven ir parm i ces quatre

L e s a b r e d e a a o u s - o f f i e i e F s ,Le général B illot v in t de décider que les

,^ou8-offl.’iers rengagés adm is à fa ire valoir leura driiils à une pension de re tra ite , qui en fe ront la dem ande au m inistre p a r voie h iéra rch ique , pourron t, en cas d ’avis favo­rab le d e la p a n de leurs chefs, ô lre autorisés

aI*’? i’ pée ou lesab redont ils é ta ie n t dé ten teu rs pendant le u r ser­vice m ilitaire .

L e s s o c i è t é M d e s e c o u r s m u l u e l s .

Une c ircu laire du m inislro do l 'in té r ie u r aux préfels inv ile ces d e rn ie rs 4 tui Irans- m elire, dans le c o u ia n l du mois, le compte rendu des opérations dos sociétés de secours m utuels pour que ie gouvernem ent apporte 4 leu r tune loiinem eiit toutes les am éliora- lions désin ib lrs Le m inistre réclam e des dé-In.fziS r,® ®‘ ®“ '" l’'6‘s su r l8 nom bre des sociétte d iioinmes. des sociétés de femmes etm une ’ ®®"®'®® “ '®'®® <J®“ s chaque com-

Ces docum ents serv iront de base à la ré­partition des subventions proportionnelles qui serent aliénées, en tTBT.’a u f socISés qu! o n t effectué, pendant l 'an n é e 1896 des ver

r e S e s ^ h®®®'®” ® »‘®eéres de

I-es revendications dee greffiers.

d 'a^^rirs^^r'® " -?® J® P™chaioo Session d av ril des Conseils généraux , ia Commission re n tra le des grefflers do paix e t d e simple polie® de F rance adresse 4 chaque censeille r g énéra une nolice résum ant l3s r e v e n d is - lions (le la corporation e t les vœux a u ’elle

«ouraelire en sa faveur aux assemblées départem entales, à savo ir :

l'aiiî«il“i7*A •‘î? i!*«rti«eW ent prévo par lariicle 17 d« la Ini dn 2 mai 1856 aolt rédoit A2“ o!i“ *V ^ ««Btimea pour le gn fâ a r 5

p an aoient antoru««A on n ir l e t 10 ll?a 7 * 'rtu ! ^ a & . . .

3» Que Ifla actea .d’acceptatioaa bâoéfloiMrftB «t «noac.at.ooa à .u cm .io n f loiàèfe. d e ^ S a - t 00 A comcDonaoté; aoient roçaa ao graffb de la juiiice de paix, du canton daoa leonol U auMaa. Bion a’e il ouvf»rle ; ^ ■«ceea-

40 Quo lo ûôavernémont pronna lot mainrM propr.. 4 c u r e r la atricla coneoraant l'organisation d«« tn tillea, de. '* Pra««tion dea intérêfip-bi.B. 1. o ô u v n ;o r .T t i ;n n ? u " m :i :Y f f

réallaanl lea pro- m « repoiéaa. raviie le tarif dnfl?» ^ *!i“’ ’® *“ ^®olo»«nU dflt grefo18ra fl P f* ’ *“ «• de IS ri et im p ie’potic.” ‘ 4 . . g , . t a . , . 4 .

Los gretliers dem andent cnOn l'ém ission d nn voeu tendant é ce que les lois su r a ri orgaiiisatinq jud iciaire v iennent, sans plus larder, en discussion devant les Cham bres, e t que le pro jet de loi de M. le député Mou- geol, su r la procédure devan t les justices de paix, soit égalem ent l'ob jet des sollicitudes du G ouvernem ent.

S E N L I S

HKONIüDli I M 'I E » i i i i \ ,4L;L é l c c f t i o i i « le B « in u v c iis ie

Depuis le com m encem ent des opérations 6 ecioralos à Beauvais, nous avons tenu nos lecieiirs, dans chacun de nos num éros, au courant des progrès croissants de la caridi.la- tu re de I honorable M. H ucher, en dénii des agitatioos de ses adversaires.

Tous, a celte heu re , on t d isparu devant

IUi> ' F r i b o n d e a u e t l e s a g r i e t i l t e u F s .

H .* rn ’ ^"*’°"'*®®“ ' P™'6»se“ r d 'agricu lturo do I Oise, successeur de M. A lexandre, s'est ac ivemeiit mis en re la tions avec les a u ri- çu lteurs de la région. Il a dem andé, par e itre , au président de la Société d 'agricnl-

»®. î “ “ J"®*"® 1 “8 J® Suciété lui dési- gndt dos cultivaleurs de l'arrondissem ent qui youdront bien se cilargor de f iire , sous

!?"’ '°® ®«l'é''iencos su r pommes de terre , betteraves e t avoines. La Suciété lui a di ®'B"é 4 cet effet, pour les poniiiies de e u e .MM 1 oulet, é Jau lzy ; M anclieron, 4

I ont Sainle-Miixonco; G uérin , 4 C lievrièrés S ® . ®s® ®®“ ®™'®® : -'IM- O rons, 4 Bossons i Doisy, 4 Margny, e t P oulin , 4 Crisolles. l ’our Î L î ’ T Ï ' f i Lollignon, 4 A utréches

H. yy. ,1 Estrées-Saint-D onis, e t D eligniéres a Lunny- *

La Compagnie du Nord vient de m ettre en circulation deux types de nouvelles locumo-

(lomme tous les aus 4 pareille époque, lesS h3 "i ‘•'■®“*V® « 'atistique du m ouve- meut de la population de tour com m une pour 1 année écoulée.

Nous avon.s pensé ê tre u tile à nos lecteurs en leu r p résen tan t un résum é c la ir e t concis de ces in léressanis travaux. On y verra ”,®uo a population do notre arrond issem en t con­

tinue a progresser avec régu la rité , non pas seulem ent du fait de l'ém igration ouvrière que les grandes usines de Creil, Nogent. M ontataire, Verborie, Crépy, etc ., y a ttiran t mais p ar le fait aussi de la nata lité . P resque décès'* ®“ '®®®“ ®®® J'binportent su r le s

La v ille de Senlis fait, à peu près seule, exception 4 cette régie ; pour 124 naissances e lle a donné 163 décés; m ais celle anom alie apparente s explique quand on songe au grand nom bre de re traités qui v iennent v term iner pai.siblemerit leu r ca rriè re , e t s u r - loiit a I Hôpital qui apporte forcém ent un contingent supplém entaire à la m ortalité

(.epeudant, nous y insistons, dans l'o n - semble de 1 arrondissem ent la population progresse régulièrem ent; ainsi, tandis que p a r tout le dépurtem eiii la population éta it restée à peu prés siationnaire pendant ces

J 8^'“ ^ras anni'es, elle augm entait de prçs de tro is m ille 4ines chez nous, e t pas­sa it de 99.ü60 en t8 9 t a 102.127 en 1896 ‘ Io n verra par Jes statistiques qui su ivent que ie m ouvem ent s'accentue.

Il serait peut-ê tre exagéré d 'espérer qu ’au prochain recensem ent, ni môme au suivant lions com pterons les 50.000 autres habitan ts nécessaires pour avoir dro it à un troisièm e députe ; pouriant, si les moyens de commu­nication rapides et plus directs que noua Jécluuions depuis longtemps nous éta ien t

FE U IL L E T O N

L E S D E D I F B Ê R E S

PAR

L o ü i » L É T A N G .

Deuxièm e P artie :

LE SUPPLICE D’UN PERE

VIII (su ite ).U LIASSR B-135

Us m ontèren t tous deux

r . l T d ° m a n d à - | . ™ h . r ‘" “ '” ' “ “ ““ J® VOUS le d irai en roule.

-l» Cherehe-MÎdL'* I” '®®”

d e * P h l ’i i 33î ‘ ' f . 3 "iean« » iS '^ ^ ««"■«■"'■“ é n t dcllca t e t led n a iid 3 r ï; 'r '' ®" ®"‘. “ " «®® “ »'»inn î î û 'O ''' d it d e son1 f ü t e V ‘ «««rage I » quaSd

BvaU ‘‘•'»m bre qu 'on luiaM reiii L.C h ’ fenô‘re g rillée il

“ o ra illes de la casem e- prison e t les sen tinelles, baïonnette au

M non , qni gard aien t les portes, toute son è n e ig ie se fondit, tou t son courage tomba.

L*®** P® « é tro it qu i, avecdeux chaises e t n u e table, com posaient tout le m obilier de la cham brette , e t de doulou- reuses M osées l ’assa illiren t. E n ô lre réduit là , lu i, 1 h o nneur m ôm e, le so ldat au cœur a rd en t, le pa trio te fanatiq iie l.. G rand Dieu! 81 son père e t sa m ère avaien t connu l'accu- sation infam ante qu i pesait s u r lui avant

i! V " î I fit M arguerite,douce fiancée I....'” ®* en longs san­

glots. P o u r qu on n e l'en ten d it pas des cel­lu les voisines, il enfouit sa tôle d an s les d raps de lit e t dem eura im m obile, ie corps secoué de frissons...

IX .

QUI V IÜ I LA PIN, VEtn® LES MOYENS

Le so ir de ce m ôm e jo u r , vers cinq heures e t dem ie, Aurôlien de P rab e rl e t l ’oncle D aniel éta ien t attab lés à la te rrasse dn Café A m éricain, fum ant des cigarettes e t siro tan t

P aris jou issa it de l'é té de la b u in t-M artin , ce b ien fa isan tressouven irües beaux jo u rs avant la neige e t les frim as, et les prom eneurs encom braient le boulevard U s cam elots p assa ien t devant les cafés, c r ia n t leu r m archandise, faisant d es offres, m o n tran t des m ontres d ’a rgen t à trente sous, de larges album s de Salon à quatre - vlngt-qulnxe cen tim es, des Im ages, do» Chansons, des plies d e volum es défraîchis à des p rix invraisem blablesj quelques-uns com m ençaient à offrir la prem iè re édition des Journaux da loir.

®® jo u rn a l? de-de Daniel" p enchan t à l'o reille

n . . r J ’offrais m ille balles pour31^^:;;.^ M ichelin, le d i-à mAUxo •‘ousse... voulait rien faire

1 ® ?. sa is ... avait p eu r doperdre la c lien tè le . Mais subsides à espé­re r .. . m a ig re s .. besoin d ’a rg en t... p res­s a n t . , a l^ransigé pour quinze cents. Tout mon gain d h ie r so ir au cercle.

— Je te ren d ra i ça.— fispère bien.— fis-tu bien sû r que tout a m arché selon

nos désirs là-bas?— Absolument. Ai passé m a dem i-journée

à certaine fenêtre du Cercle de l’Ilo rticu l- tu re du boulevard S ain t-G erm ain , où J’ai m es en trées ... donne précisém ent su r d é ­bouché de la ru e de B ourgogne... vu tout le manège. Iis on t fait la chose sans éclat, raît're^* y ost b ien , l e jo u rn a l peut pa-

— Ë u l i le u h l pourvu que l ’avenlure no tou rne pas contre nous.

Comment se pourrait-il ?— Si l ’a u ire nous m et en cause?—• Difilcile à débrouiller. Trop compliqué

fo ur gens du m ini>tère. Com prendront rien , nis Allevard nous couvrira.— Bon. Ne parlons plus de ces choses. Et

attendons.— lU s'occupèrent exclusivem ent du va-

e t-v ie n t des prom eneurs.Soudain Ils se touchèrent du coude.Un crieu r glapissait devant le café :— Le F iÿifoni vient de p ara ître . Deman­

dez son curieux num éro. Le scandale du m m w ir â de la ffu e r re / L a tra h iso n d 'u n

officier fra n ç a is t T errib les ré v é la tlo n sl... Cinq ( in tim e s 1... Un so u !... D emandez io vtQ ilant? ...

Une nécessité do la publicité m alsaine est I '«««’e « rier clmque jo u r p ar les vendeurs

üe feuilles à scandales des titres à grand effet, on achète la m archandise, une fois.

8® 5’y laisse plus prendre, e t les cam elots s’époum onent o rd i­nairem en t au m ilieu de l indiffcreuce pu -

^ n lieu tenant d ’a r ti l le r ie se trouvait en ce m om ent à la terrasse de l ’Am éricain, d eu r «“ P éneux il appela Je ven-

— Donnezl Ol-i|.~ Voilà, mon olïlcier.

P a ra o u ru td ’un tra it l ’artic le qui s éta la it en prem ière page.avoir ïu * * ‘“ fa m ie l c r ia -l-il après

.*® " ’®'“ *“ ** *8 paquet deI r a s ■ cam elot tenait su r son

— Combien en as-tu do ces saletés-là?~ Un cen t, mon lieu tenant.

francs *“ « je ta u n e pièce do cinq

p rends tout e t ne te conseille pas d en ra p p o rter d 'au tres . T u te ferais coffier t r ô s Ï Ï ' '^ ’ cynique e t affectant de saluer

®? contra ire , mon lieu tenant. Je m i ï ? "i ®'.!“'® PS'ieet- Du m o­m ent que I affaire est bonne e t que la vente m arche, faut chauller e t fe rm e!... T an t au e ça d u re ra , on gagnera sa vie I...

tempsi** ** ^ d u re ra pas long-

£ t Tofllcier, qu ittan t précipliam m ont ta

I place, traversa ia chaussée e t se je ta dans I une des voitures de place qui stullounaient

à cet endro it du boulevard.Mais l'incidont avait été très rem aniué.

Les paisibies consom m ateurs avaien t dressé I oreille e t un rassem blem ent de badauds commençait à in tercep ter la circulation.

Aussi quand un deuxième vendeur (le la feuille scandaleuse paru t ;

-■ Démailliez le F fÿH an il... Le secret de la poudre sans fumée vendu !... Le nom du coupable! Son arreslalron !...

Ca fa t une boasculado. On s 'a rrac h a les num éros, fit le nom , le fumeux nom fut ins- Diîrinenes “ “ ‘es les lèvres ; Philippe

— H ein! flt A urélien qui avait acheté en bloc, sans nu ils lussent pliés une dizaine de num éros, hem , D aniel, m on bon, notre prose produit son petit effoll...

— Chut 1 m urm ura l ’au tre .Et, prudem m ent, ils payèrent leu rs con-

sommuiions et qu ittè ren t le café.Fendan t qu ’ils rem ontaient le boulevard,

satisfaits, trlom phanls, le m ouvem ent de curiosiiô se coniiniialt e t les vendeurs, exploitant la veine, se m ultipliaient, ne se co n ie iiian tp lu s de cr ie r le litre , chose drfenduft, - mais déta illan t ra r lic le e t l ’en - venim ant encore d 'appella tions grossières Leia d u ra une g ran d e heure . Jam ais le F iÿ i/an i n 'avait été à pareille fête. Cinq ou

SIX m ille num éros s 'en levèren t avec une rap id ité m erveilleuse. Puis, tout à coud u n e nuée (j’agenls se répand it su r lea deux côtés du boulevard, les vendeurs furent p reaem o n t délestés dn p a p ie r qu i leu r res- la ll su r les bras e t le F i,(Io n ( cessa de réT elullonner les P arisiens, sortis de leurs QUtilOQi prinoipalçmeDl pour Jouir de i«

belle et froide nu it d 'été factice que sa in t Wartiu daignart leu r octroyer. Le m tuisléro.

p o S ’ **’ °* *® doCependant A nréiien de P rab e rt e t l'onclo

D auiei, au bras l'un de l'au tre , le c ieare aux lé rres , avait a tte in t la M adeleine.

— o u d in es-tu f dem anda Daniel.— Je n 'en sais rien . Pas 4 la m alsen

assui|énient. Tout y est trop détraqué Mais je vais y pas.«er cependant.

I — Pourquoi?I Tiens! C’est tout indiqué. Afin de faire

^kA ~ ‘lee leerausem eo t, — à m a(ibère pente (musine M arguerite de B riâls de I aventure désagréable qu i v ien t d ’a r r i -

m ellesl.!" '* “ P>*a*ne Û or-

‘’Oûcle DanieL scène in téressante... o u i.,, in téressan te... Mais prends g a rd e ... espère pas ... p a s b e ­so in ... Cette petite fille d an s nos jam b w . D angereux... peu t-ê tre ... r,x“ * Prands-tu pour on im bécile 1 J e vols bien la scène à faire, sols tranquille . Uiio scôno d am oureux m élancolique oui gémi des rigueurs farouche* d e la destinée e t qui tâche d en profiter. Je la jouera i bien va, ca r j y serai très sincère e t très v ra i...

baiïês **“®— Sols tranquille .— Bon. Où le re trouvera i-je?Aurèllen réfiècblt une seconde, e t (féet-

floyale" 1®* ®* *e do la ^ J e

'^Jens, IA, chez Oui'afid, daoa M&É petite heure. ■ ■ ‘ “ -

— Veux bien.— X o i e a d a . \ fÀ tu ie n J ^

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«Dim acço rd é i, il e>t p o u ib le qne ce m o- in eo t, q a i p a ra it lo in ta io à ce lle heu re , se ra p p ro ch e ra it seosihiem eD tl...

l*our p lus de cla rté , dous avons groupé en u n tab leau les ré su lta u des chefs lieux de canton d abord , pu is en un a u tre tableau, ceux d es cantons e n tie rs ; en lln ceux de i ensem ble d e l'arrondissem ent.

i l i l L S H T ' n T : «orlira r é r i ulleinent du cliché oui dom inn i7ilnAi>alaman

'arrondissem ent.

MoHvammt da la Population on 1896.C H EPS-U EU X DE CANTONS

,Nout . r o o s fftli un Iravaii analogue pour

8.000 b ab ilu n l. : 'c h ” n i i i |™ 'Ï Ï û ” iouj'.”H on- I fcf of^^uSure'V d T c ! T a n 1 l î î ; W ; K » l l l . d e ' ; r n o ï “ " ‘

“ ' ' “ ÿ ? 'f « < « a u l r a s i r â im é a T n n ) ° b Ü ^ I r e “ .‘ " 'î . '* ' ' '« î* " . ' 'h » ™ »au jo u rd ’hu i à le u r p l a c e / « u a l i u r a rubri. ques spéciales. q ,

P r t» n t« r o n t d e-J f .? i 5®**? sen lisien , si am ateu r e t I cependan t s f p riv é d an s ce g en re d e récréa-

BUBRiQUfis

Population d'après la damierracM sament..........................

Enfants n is v icants................Garçons légitimes .Garçons naturels..................Pilles légitimes......................

"Pillas naturelles....................Enfants présentés sans v i s . . .

Garçons légitimes..................Garçons naturels..................Pilles légitimes.........................Filiss naturelles....................

Jrartoiges....................................JHvorees.....................................D ieis .................................

' Sexe masculin......................Sexe féminin........................

E b t s . Cr b il .C aévT

BN

- -V a l o is .

6 6 0 8 .9 9 3 4 .4 7 11 6 2 4 6 1 2 0

4 1 2 2 64a 10 1

11 9 9 6 9a 16 6

2 14 21 4 11 2 ua 8 1a a »4 6 5 4 2a 3 43 162 1 0 91 75 6 03 . 77 49

Cb é p ï Nantkuii, Niuillt ' PontSaints

1.643 l .M l 3.627

31

131

141

16

871

37

7.357184

67

2718

191

811110

412711

CANTONS

RUBRIQUES Bb t z . Cr b il .C R É pr

ENN a n t e u il N e u iLly

LE KMVa l o is . B a u d o u in T h b u b .

Population d’après le dernier—

~recensement.......................... 8 .0 9 6 3 4 .3 1 9 1 5 .9 0 6 8 .6 2 1 1 0 .7 6 7

E nfants nés v iv a n ts .............. 171 8 6 8 4 2 5 1 9 3 2 0 9Garçons légitimes................ 7 2 4 1 8 2 0 6 8 8 105Garçons naturels.................. 7 3 0 7 0 i 8• Pilles légilifflei.......... .. 84 3 7 4 1 9 3 9 0 8 9Pilles uaturelles.................... 8 4 6 1 9 9 7Enfants présentés sans t j i c . . . 1 0 4 3 21 U

Garçons légitimes................ 4 15 11 6G arons naturels................... 1 4Filles tégiUmes.....................Pilles naturelles....................

5• a

204

73

1 3

Total des naissances........... 181 911 ' 4 4 6 1 9 9 2 1 8M ariages ................................... 6 0 2 8 3 1 4 0 6 5 8 3Dicorcea..................................... a 7 7 3 5Décès........................................... 1 6 4 7 0 0 3 0 8 1 4 8 241Sexe masculin............ .. 8 8 367 1 7 2 73 131Sexe fémiuln......................... 7 8 343 1 8 6 7 5 110

PontSaints

217100

410310

15.35031214710

14114

. “ ‘ i s c o n ’e k lp a .S i ï L ï T ™ .‘ << peisqueD e S « ï J® ’ ' “ .P''<«’'>«> d 'u n é lè re de K n . U Ï Ï i . ' ' ® . * ’ loloncelllsles qui ru ren l appelés a I h o n n e u r de Jouer d e ra n in u l. d ’ni. rh * ; '* '’® l'H diel-dn-V illui ra n o m m î. . « « “ ‘-S a r ra ls d e n t la

î f o“ ™ Pd«une; pu is d ’un chef P a rU ^ 'n .îf . « “ “ “ % P™“ iè ™ scénes.de f a . /J i ’i .H n ‘• " " d M ulatrlce , é lé re

n i® ®»“ lau*»r; pu is. p u is ... affêlops- avons assex d it pour a o l i t r e r

v aillan teK r S r V ice-Président,u ire c ie u r. Commission en tête , v eu t faire quelque chose qu i p rim e, aidé en ce la p a r m irc * * !? ““ ÿ*®"™ dislingués, é lite d e ce 3ôSt lo i Bifulî®™® artistiques,tous im . é S h ! " '* “ï “>PP»uiques se n t pourtous un Véritable enchantem ent.:

«'■éo à l'issu e du eil® aussi, comme un

h fn JS ® euccôs. C’est un em b a llem en t; les ?À1iÎ ht i* rap idem en t, e t le u r fuite n îflv ï Snm lorsque la listé d é li-Sibli^A lot», seranofre v I lS V * '®“ oolabiliW s de

* arrond issem en t on t voulu en e n ^ m ^ W a ^ b ie i»our la S en lü ien n e fi5s r ü i • ? ^ ® % u w m en t d e magniOques

nnVS ^ ‘• '“ “ e Pi*®® à’o r desit?n!i nn?.® P*“ *‘‘®“ ''« bons A lots d e i ’B x ^ .

C hauyeau; u n e m agniOque g a rn itu re deâ ’®o‘*?l® ë u ô r c d p d ô ïâ b r è o r e n -

yoyôe p a r M. G aillard , d ép u té ; tin superbe

22773

1518170

321112

1313

ini haai ui7|fuie, u a superoe™ n i SI I h” ° " 5.®.“ graciouse-r? p a r M. Je duc d Aum ale, e tc ., etc.o u bÏa ®® ^®"®' ®®*’ ®*‘ certàint o l ^ M r o n t é J i S “ “ “ " • « '“ K l . i l -

com nl'L*’®!''®^"?® P™ ai.ainem ent la liste e m p iè te des lots avec le program m e du concert e t le p rix des places. ’, • ®

Un ifélom ane.

ETAT CIVIL DE 8E N L I8d u 6 s u 43 m ars 4807.

irafMoncss.(N éant).

8 m a rs . m « F réchou (H élanle-D om inU q u elle) , épouse de H . Momus, 62 an s , ru e du H oulin-du-G ue- d e-P o n t.

8 m ars . U . O rigan (E m ile), cavalier do 2* c lasse au 2 rég im en t de hus­sards , 24 ans , ru e du F auboum - S ain t-M arlin . .

P o irée (J u l ie -V ic to ir e ) , épouse de U . Levasseur, i6 a u s . ru e lle Saiiit-T ron.

44 m ars . M « M ary (A délaïde-Ju lie Féli­c ité) . veuve de M. Noôl, 6 7 ans, place d e la Foutaine-des-Eiuves.

M. IsC^ros (A iexaudre-F rançois). m égissier, 69 ans, ru e d u F au - bourg-Saint-M arU n.

J s ’T C e b é u T ï e t t S u l ' Œ ô I ■ * « * » • !

I . . r i S / “."'® .!«^ tî« ™ « '•" '“ i™ 4 sensation, f fom lt belle recette lundi.NI I on eesavalt, tou t de m êm e I

Il, f o r' «*•“ “•* Pi>“ Iç e vau d ra b ien ça , n est-ce pas f

- .< - «OUP* Ce M.oBsun» irravM <■tï if ® . 1® ?®!*«'-che p o u r a l le r le lo S lr i I h éte l d es faaricoU; m ais il a p ris la m S J d ^ t^ m p e t te san s L is se r

0 . V ., sa larié .

40 m ars.

43- m ars .

7 m ars,

Mariages^ (N éant).

P u b lica tio n s de H ariages.

FAITS LOCAUX

l ^ v i g n e n .

I . P®** « a n lc lp a liié n»M u n ^ M m ii! dî ®i *“ M ivisfon d e îpeurs-

nJ!;®/®®'*^^® *a n ' ^ i ^ e Œ p re n d ra u n e q u inza ine d'hom m es.

A c j-e n -U a lU e n . llIo n lm (a lre .d e M R rm flî î J '® " ‘ i« dém ission •'«Pn 'M ion d ’ep rés le d e rn lè r reconsem s»!?® .?k .?‘î î « “ '*«.“ ‘J » “ " l » o s d ’a d m io l.tra - I 7.465 hab itan ts. ““"I

V o u c cm m t de, la p o p u la tio n en /S 9 e ; |L o r d u B n i ^ u - r f e a ; ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^

i d“1Ü“ ** 4cy-on-M nltlen. in J Î ™ . ««• '■'“ip lacé p a r U . D ebarle- ^ i S r , ; «Ojnnio m em bre d e la com m ission a d m ln ls tra iire d u B ureau d e BlenfalM n ™

A u m o n t eS u r m an d a t d u p a rq u e t d e la S eine ta

f r / ï ï ‘,'ï'®V,®“ M i e !I w 7 » ïag e u r d e com m erce, InculoéI esCrOQUeria mi mupiana a.... —__ _■ . rM. B im ont (T h é o p b ile -E m e s t) , d ’i8croaüflr‘îfl’ Af.*1^^"i®®®®“ “ ®*’®®'*^

c h a rre ü e r , dem euran t A Sonlis d a m m ariage, s u r u n e p la in tee t M » G érard iRvHiinfl\ I .A rV . *"?®®î*.®®®» P*®f®8^ur d ang la is , h a b t-w. M « G érard (E ve lina ). m v é tanrPm rî» n".® ’ „ a o t- id e M. F e rre t, m anouvrié re A l e i i i iM h A m m ^ ®*^®*®P*^i®*^P®rS en tis. -« u u v r ie re a | le je u n e hom m e avec sa cousine « « • Je a n n e

E nfants n és vivants.

Enfanta p résen tés san s ylo

Haria*es.*.*‘ ' ^ " ‘ < ' ^ " ™ ) ‘ ..............D écès? . !.*!!.*!!!.’ !.’ ; ................

Sexe m asculin V i i ' ........................... ^S exe fém inin : 72:

U

7 m a rt . M .H ie l^ A iï^ ) , ju rd in ie r ,a a e m e u -

I . . 5 ; l “ i-« i. .chez qui se s o S î j r é s e n t é . le ,ifiu ■ *

y a “ f ê u T , : 3 r i i ' . , r ^ ^ ^a » ç rîson , p o u r’cotara n t à S en lis e t

à C o u r le u il ,e t M ^ i iM ^ n r r s î^ I «« *

SL"“ “i®Æ*.';«>- ii“ » 4 ™ ,a e L u - I « ; n m i M ? e s s e r m î a * s ” “ ^ "® ' “ ™ra n t A S en lis.7 m ars M. Boulliy (D ésiré) , m aréchal-fér-

ra m . dem eu ran t a S en lis, et Soissous (V ii^ioie-A ugüs-

t in e ; , dom estique, dem eurant A Sen iis.

A u t h c v u i l - e n - V a l o I s .

oaq i" Ç“ “ ®n>ode, b ien Iqu II exerce la profession Oorlanesque de

ibni*B . _. .. ns i

le 30 n o m m îm d Æ e r . “b aVan K deut, qu i n e T e n t p a sd e T h o so ita f l

C “ s 1 o ï X p s “ ‘ "''■■®- a » p j

A f o id e n v a l *Un acciden t qn l au ra it p u UToIr de o ra J

d ° î ^ n “ to “ L®”i . “ ' 'S ' 'a j . “ “ a.< d e rn ie r à l’J

TOTAUX POUH TOUT l ’ABRONDISSEM ENTE nfan ts nés v ivan ts .................................................................E n fan ts présen tés sans v ie..........................i ..* !! !!.* ! ! ! .......................Total des n a issan c es.........................................* ........................................

2 .395408

D ivorces ....................... 84623

2 .0 8 5

P o u p l e s e n fa n ts .On non. prie d’insérer In note snirante :

I n r ? Æ “ ‘* 9“ « 'q “ “ é in d e s le Carême est I n''®'' chré tien d e passage

inv ité expressém ent é cet effet.- « . ‘i® " " “® 4’ ™ s le bonheur de

' E n t t a l l ® "■ f des P ères de la

Un gendarme de Creil ayant qniltd l’arme ton cheval sera vendu mardi prochain, le 18 couratit, d qualrc heure, d u aoir. à SenUs place de la Halle, par le mlnuiére de » • Baraoaer' commtssaire-priseitr a tsenlis. “ "rsheor.a ? ®!‘ 1S® *'*•« ™ dtal, nonSgéo do 18 ans, sous poil hai-hrim.

vacher, c’es t H enri Z bluden , égé de Î 6 ans® I " " i d e rn ie r A l’t

« v S “ r t î , r ; 7 d T n i é ï “ "u lt'h ;® '-® "^^ P r e s n ? , - f a T v i t . “ - ®'®""®‘’ " '® "" '“m atin M. P iv o t lu i d o n ia l t tSngé et’ h d chOTa'ldede.an"^^ ré g la it son com pte. A dix h eu res il ™ .« n ïti I , a»™ “ t d ’u n e vo itu re charoée i p o u r p re n d re ses effets d an s le g re n ie r ouM I statmHre'i™ ® 1' "“" J^ 'd zéd se m en t q ? i l n occupait, m ais e n m êm e tem ps tïïro B ta i’t d e cheva » cn'Si® “ « d u LI occasion oonr ac cn .n r .u n I® I ®“ é 's> se cassa u n e ïam he d e davam S.roccasion ponratmuaer soiTnciôn®pa7ond; I UM Mrm “d®»'® t"“® a d e devant: C’,1

I " H

t u B u reau de oomm andan de la I i" ' .™''d“ é ta joue gauche, pivot dïi«Ininoi. t . VELUT (V in. e t C herb o n .) î “® ®'®" ZWnden qui l’aurmte e t t r e n e f é r é ru e du Pultm TIphalne! I un’anïé. ® J Î , ‘"«(«“rs est-iln M , e u neuveeu dem laile de

Q ue se p a s s a - m en su ite rZbtnd®n p ré ten d que P ivot s’o s l.je lé su r

lu t e t I a m ordu A ta jo u e gauche. P i.n i .it, ■aire, q u e c e s t Zbii au m ôm e eo d ro ii

I V é r y

Ia *®®Ï“ ” a^® convoqués pI® d im an ch e 4 av ril, à l'effet d’é llM .,

®“ « “ placem entS M. O e liga iè rçs, ad jo in t, décédé.

* m e i n u « o m io i le .m. MALONp em ployé de le m eieon.

B H H m e i r s

é c h â Û s “ptaot“ i“ 8 ° ' ' ' ® r ® * D .

s S S ™ - " » - » ’ ' w . t . s s . ’ —, .. e te n au t p riso n n ier Z hi„H .„ I ^ o u v e m m l de la p o p u la tio n m I S tâI • . . . .* **et®Danl p riso n n ie r ZbindAn

Le cham nétre aursse n r ^ u ^ ’en te n d re avec le gar<^-cham p6tre e t l ’on i r a s ’exnli q n e r devan t le trib u n a l. ‘

M. ü'paack-Chauveati e t la question cx«étoise«

M. M arcel H utin , du G aulois, a recueilli les im pressions d e quelques séna teu rs su r n o tre ac tion diplom atique en O rient.

H. F ran c k Chauveau, sén a leu r de l ’Oise, 8 b ien voulu lu i in d iq u er les motifs qui 1 av a ien t am ené A poser une question à M. B an o tau x s u r les affaires de Crète.

J 'a i été déiigné par Im bureaux pour poser uoeinmuliAM ?________ . , • . ^

5® S û 'ûi-G eorges e s t affecté au 49« rég im ent d e dragons.

..«» I» i. ’ »— • *” “ • “«•o H auüI m n . n ° “ ','.® “ “ d e rn ie r soi-

des m ères dein ^ n d f M i“ '■® C®” '®."'® « ‘ l 'é s s e n li-

3 e t l O .

p a K é f e ï ï ? A t o f * ® " « ‘«“ iq»» a»em en t înLÎ^Tm®.*. “ “ ‘"e n li-

ï o i r falre^une peliie re t'raU o ru 7 jeu M s‘’o!î-" I ü Ü S , ‘®iL®?‘„ '“ “ " ‘®“ “ a®® «u PÂ ita : fan is au -dessus do 40 ans . | V a S r •* “ ®“ ®

ni, acm dent, a rriv é ce tte sem aineau lieu ten an t D anger, est venu a ttris te r n o tre rég im ent d e hussards, n i i î ' 4® i“*®‘' chasse, jeu d i d e i-s a m ' an ?®,“ “i“ ' ’ « " franch is­sa n t un obstacle, son cheval s ’ab a ttit en

t a gouvArotmeat aor iea événemeota I Tompant une des étrievléi'es.^ r i a o t e t a u r l’intflrvflQtion de la Fraoce dana I L e j e u n e l i e u te n a n t fu t D rô ielé à lArrA ai

S i r . ' • ‘xV'®!®’ "* ®“ “ hé l e , e n se re le v an t, v K L L r d e ’toSBUR6 dea affurea étraugèrea ne ae trouraut oaa I le noida Ha enn «B..-.A.rv r*®*sova0 iouigouTAruement, BU début de la séance, } son cavalier I® v e n lre d e

\ !* En eollégoea pré>eota de trauamettre â M . Méiioe e t i M. Haootaux mou lotentioo de pooer cette question. Je viens d'être averti par le ministre des affaires étrangères qu’il viendra• ex^iquer demain devant le Sénat. Notez que M. Hanotaux, en venant s’ « expliquer » ainai devant le Sénat, ne s’engage pas à une discussion immédiate de la question ni même é une fixation• date ferme de la question.

^ En ce qui coneerne les événements de Grèce,qoelle u t votre opinion — et celle du S én a t_■ur la ligne de condaito que doit tenir la France dans le conflit gréco-turc?

Le Sénat est d’avia, je le suppose, a répondu M Pranelc Chauveau, que la diplomatie française doit continuer à marcher d’accord avec laa puis- MBcea européennes pour éviter une conflagration en Orient. Mon intention n’est donc nullement, an demandant dea explications au gouvernoment, de eritiqner la ligne de conduite q u’il a observée depuis 1 ioterveDt.on des puiB»aoces. Mais je pense que le Sénat no saurait se désintéresser des

R eteyé d an s u n é ta l g rave c l Iransporlé

ma'Ô|! sk™ o“ ' ' “‘ ''® '“ ‘ '®* ®°'“ ® «'“ p rassés du

1..?,'!.™ “! ” ? " ® ''^ ® '" ,™ ''“ '•« '« “ zsie. «nefrac tu ie du bassin e t des lésions aux reins, k i i A j m ois, M. Ü auger avait étéchev I ®“ *® “ 0“ ®

« f a i l e com m encera donc m ardi A sept heures e t dem ie p a r la m esse suivie d une coui le in strucllon , d e m anière

I r ie n d é ran g er d an s leu rs études.Le so ir, à une h eu re v ingt, seconde in<

truclioa su iv ie d ’un cantique p répara to ire A la g ran d e fôle de Sain t-Joseph vendredi p a r laquelle se clô tu rera ta re tra ite

je succès désirable au R . P è re Levillain qui a bien voulu nous p ré p are r à ce lte belle féie de Pâques, et nous esprro iis qu il développera dan» ce i jeunes Ames le gout d es chan ts popu lain s ii a lend a se perd re de p lus en plus dan^ u- ' ;o na-ro iK se o d o n ae itb ee n av o irp e riL ie s i ven irévanoui sous les voilles de la t . hôdrilV

A i a r e h é d e M e u U eDU MARDI 2 MARS 4897,

B e a a p e p a ir e .aue®7fl h îS ï ï î ? ® “ ® acïaeH em ent

“ “i* 8a population va "8 des propor-

i 'an n é e der-m ariage, n i’ifrcéi. “ “ '**“ “ ' 6. »i

U ne com m une où l ’on ne m eure nas 1 E m igrons-, lous, voulez-vous r

[irobablem enl p rogresser d an s îles i lions c o n sid é rab les; en effet, l ’an n é e du r

■' „“ « . ® “ ™ “ “ “ i n a i s " s " a r “ ’

Enfanta nés v iv an ts .. . „ .

“ “ . i f j ('*«?• 3*ï«ffilime'sy,01 48 fflles (d o n l 4 i légitim es).

E nfants p résen tés sans vie

M a r ia g e s * .* " r . ‘. ! ’‘ ' ("®‘“ ” ‘®V’ 'Divorces..*.*.’ ] ! ................ ............................Décès................... .'.*.*.*.*.*.*.*.*”

Sexe m asculin *;*29.*Sexe fém in in : 26.

DB8IONAT10N DXS Oaàl.NS

, leq u e l. Promeat.f 2» __

Seigle . Avoine. 1 " quai.

Prixd«9

100 Ul,

21 »» 7 820 a» 7 619 Da 74IH 7 417 ma 4 216 »» 4 0

Poidsde

l'baot.

6 40 15 20 14 05

7 156 40

P e p o y - I e s - G o m b r i e s .a . ™ ' ‘‘“ ' ®' «" hn 14 m a is ,'.

la dém ission de P ou la in d e i J tenolions d e so n s-iiea le n an l de la Compi

Oburnlieu

'.,0 ,75 c, Id.Id

SsDs var Id.Id.

B. V.

Nous faisons des vœux sincères pour nue le lieu ten an t D auger, prom ptem ent rétabli

marad6s“ ‘’®“ ‘‘“ “ ’® ®î“ ‘'®“ >'a h® sas ca^

G o i - r - e s p o n c i a n o e .

Boclété am icale des médaillés «le l'Oise.

<*®8 anciens m ilitaires m td a illé s de 1 O ise, fondée le 4 février 4896? r ie ? 48W® Æî,’’ préfectoral du I fé!I réunion générale di-

l ” au 16 Mars, iBit-blano 0,'!» —“ j

[ F .r ia , 11„ IO O k iro ir3 T ? ira i.~ s . . .

Uétbis^'.ééalnt-Pleppe.l a c im p ag n ie des sapenrs-nom niers de I * " ‘® ‘•® ®“Pa"ra-pom piers.

B é th isy -S a in l-P ie rre , s ’eSl r é u n i e X a n c h ;™ liï'® ï' '•“ “à™ *‘®“ '®® *«''■• h la m airie I ï * o n t p o f n t .

L u t e n Ï Ï ® '« ®«“ *- note” lrt?® d® .ref‘'®” ‘ i?'®*i ■’’■£''"•• ‘ ' '« " 4

s a r e ï r f o u ^ S te n l S^®” '^'^*®'"®® ® ^ifférenta I hùcheron . âgé d e OTans'J'éteR Ô M u n é " ^ i |

ré té 8 u Ï Ï ‘* n A a ^ “ '’*’“ '‘*®/” ' *® ér- I Placé u n e é c h e^ e s u r le t r o i t o f r t

p l ï ? . ^ n e X a r S ^ e " S ? „ ® f f r s “i?'--®"'- I i î V

S S d S S ? “ '« ^ '« “ “ 3 " n K I t r ' L l i u r e m e M r i V r é æ

f i i t ti® "hàz M ' V u ? „ r . ’ , i r r ' ’’a-

f C n i L “l.S.“ ” '“ “ ‘' ” “ “ ® " • B “ “ ^«qh?"’ h '®’s ‘ n‘ '5 ”taTL?i f V ”“ ‘

CiPea-les-Mello. | PauU nrereïe'i^tfïï; '® “ Ih a r t a l l ’ t a i . ï .v * ^ '® 'r ‘aa. « . Chanoine

1 420 mi I g éran t Ig n e il , I I transvi l in lr o d i I Gooteoi

U ne I cabrioi I de b a n p ê tre exi

Le VI I C ar, jn I lad ite é I Ajoui I l 'écurie I n 'a rien I avaien t

Jusqti

CHANTILLY

Monsieur le Rédaclour,9 mars 1897.

,™“ ” 'h® <larn ier,dan® la salte d'e ir™ s lic e inia*a- ^^^®*:<le-ViIle de Compiègne. Une c in quanhune d e ces braves, su r la

O llr in A rlH>insi<xl.s Kpüi..:__ j_m M 'inta?® ’?.®'®- '’""® '® "‘ <•« "om brm ,:® m td a ille s , tém oignage de leu rs bous et’VI/vao n !.. . . . - —«iao v»

T hé tlp * d e Chantilly.q ue nous l ’avons annoncé c’est Ha

Le célèb re dram e

Etude d<

I place Sal

s . t a i ' » “ " i â r ’«8riioré'n"é“ enB elgiqi.et n a tu ra lisé F rançais.

eoasôquMcos que pourrait onlrHÎnflr la répoose 3 décembre dernier iino'’l«xu *?” ^id e Ib Q 'è:a et qu'auraua actinu aolive no saurait | m.>piv«..> ..i_________ uuo leltre signée « Un Com-elra eugiigés p^r les forces frauçaises, avant que

.................V «i^udtaioui, , • uo luurs nous e t I . - “•«aoio uiaiiiu u e I Amoigu-ComlniiA .. • uu inem e jo u r

* ® -“ 3n I a L Ï h d’ H - g a a ^ ^ “ ’ “ '®"‘ I S a r , t a r K L ' ; " . “ i ? i ,® .“Æ ^ I q” a“ m o ïfp r 'L 'ir .t ’i “ .fl»»® '»

I U I —•■-V/ * a ouçttlt,.

n o tee . “n ée O a -éclata,,,s e t les plus incontestables de l’E

le gouveroemeut n’ait donne au Parlenieniles explioalious iiécaBsairessur ses vues et ses inien- tioos. et n’ait obtenu sous une forme ou sous une autre, lastentim ent des deux Chambres,

mcrçaiil abonno du journal .~d.:n”s"lloüoïlo 7 m I A stoV llton" '/.!.® Pr«“' “ ‘« " ''d o ce lte I ‘" '™ “ qteinpoi a iiie r'h O O rep résrn la lions

P atroB la^ es a co la ip e s .

„ a f'®"?®,"' « " “ ™ •■“ '« " m ë l o â dern iorem emla séance en pré®enlanl le compte- I a n . i t e de M. le P ré s id e n t de ta R épu-â û r c ^ : ; ‘; r r ï ï r I '* ? ®® '® ‘« ' " ® « • -« ^ ® ®

. ' I , . - V.X. xjx/iiaoij ||J4A«n cip.ll qm, daus ime réunion, avait émis l’idce que la ville fasse à ses frais l’iustallation d’4*fi4:ivrnu x r... ..

11 ouvn rendu moral (

arriv e r

’oplnionpuhlione I P '“ «- 'œ uvre en lre ■1 S / '“"'■‘I ''" ' “ membre n ’a-t-il rien dli au j *!' « ra ss io r rappelle en outre que su r le

M. le P ré fe t v ien t de d o n n er son ap p ro - • . 3™*®“ question à la dernière réu- 3,'î®''’ '« ffrande chancellerie de la1 fiiiv a l-x tiiio .Inc e..,.:A iA .. .1 :.___ >_ ' I n io n fin r n n e a i l i . . ^ 1 n l in n i ia i i i - In c<nc:A.x . . . ~

qualité d e F ran çaise que lui a v â i tf a i rü è r j r e son m ariag e avec un é tra n g er , ' ‘ I*®"™

CREILlagcnaarm erierechercholesnom m dsvalllant

28 ans, inanouvrier, et tloulanger (Joseph , a i füigoron, condamnés tous deux l’année dri -

. , 1 uw. uv.JSItal OUII 4JIIU.U'Dation aux statu ts des Sociétés dites do i P a ­tronage sco laire », instituées auprès des écoles publiques de garçons de Senlis. Ver- h e r ie e t V erneuil.

Ces Sociétés, qu ’on ne sau ra it trop déve­lopper e t encourager, on t notam m eut pour

4» De constituer le patronage des jeunes sociétaires p a r les anciens e t de tous p a r les m em bres honora ires ;

S* D’éta b lir e n tre tous les sociétaires des re la tions am icales, e t de con tinuer l'œ uvre d e 1 école dans des réun ions instructives et am usantes;

3® D’aid e r à p rocurer des em plois à ceux qui on sont dépourvus, et de soulager leurs jo ro rlu n e sd a iis la m esure du possible;

4® De d o n n er chaque anuee, au nom du patronage, une récom pense au m eilleur •s ^®A j • ^«1®» désigné p a r ses cam arades e t Agé de 12 an s ;

5® D honore r tout p articu lièrem en t lam é- m oire des m ilitaires, anciens sociétaires, m orts sous les drapeaux e t de ven ir on aide, flans la m esure des ressources de la Société a ceux qui serv iron t aux colonies ou pieo-’ d ro n t p a r t A u n e expédition.

I îi'a” , ' ' ! ? ” ®'®" “ “ " “ K I to'” oë77é-re‘n(ta I So 'cteié 'ye d i i” S rdé™ ^^! . . . î_ll i®”® éil an passant). I ®“ ®i •’«“ '' '«I"® '

l i n c h n f l t a » ! l î r i ‘h“ !,®®‘,'®.«°“ " ® I “«"® «0 a»nO>”nrê“r ; u h ï “ “ s‘La I m n i ï ii-ri •“ •'®‘ral..<Io p ié iu ter o rd re . P ™ "- •“ n ’om pas allondu la visita de la mi

l « u t e i i Œ ; Z t a L “ ™ i," ? ,“ ®..?" ^ ^ ^ I î.!.'!®®.“ ®.'® rachérchBdola cite hea.

Ie% tn’cn fait pas monlion. Paul-il en couclnro nue ' f j ® . ' ®®‘ Sronpor tons les nh-

adminislralionrannicipata est contre le projol? S n™ ita«® >ln m édailles commé-0 IIA vniiv n-h.: >D ovr.!.... P UJOl f i mOCatiVOS. SftnS H ISl in/>li/vrt .Iw j _ . « ^ .. “ o r a t i v e s , s a n s d i s t i n c t i o n d e g r a d e T S Â Ire-ssarrflp nniPû ûi.v éj. . . . ^ e '" « « s «un, ne

u i I 'ë s T p ’Su’Æ e ï & l ' i l ' T ^ ^ ^

S t a o 'ir'I!®",’® ‘®f .• " ‘« '•P ''« “a o n t é“techoisis p a r l uu teu r lu i-m ênio , qui a d iriué 1 personne les répétitions.

iï,“ ï,®.“ ®,,‘' ‘;!!‘S,“ ?.l'“®.‘l “ ’' l y “ il foule d i-

P 0 1 V T . S A I R I T E .M A X E .V C Eflo rd iv illé , don l te m ari « i l

o u v rie r c h a rp eo iie r an service de M. R oee-I ! L’ ‘ra o y a it il y a cinq ou six jo u rs , dans l i |

«“ “ * «« oo“ *o d ’épargne s s inom d e Leroy, e t s u r lequel une certalusl som m e en dépôt é ta it in scrite I

Im m édia tem en t ce lle dam e le fit re m e ilrs l au m aire q u i, ap rès ce rta ines démfrcÏÏIto n ! et .1m '« “ «•" <*« dépc-lsan t et non son ad resse), ap p rit nue so o l

. p io p rrém ire é ta it de B rasseuse. Ip arv en ir un m aire d e ee lls l

T e T o e lk ^ a ' r a o d iU s o n proprié taire ,! g is lré ’’ “ ®''‘'® «“ ' • • I

G r a n dimée à ]

lieu di I entre i’anc

l 'I 'S l 'FSise è ]

Je uo veux p.is le croire. ___ _______Il faut, si l’on veut ahoullr, provoqncrdes con- I stecéro®rin?1rart®“ * '®®i ''®“® d ’one bonne e t I £? .“ «•*« au Ihéâlro , cl®nou8’engugeo“ns

fcroncos ronnions, non scnlenionl pour ta ca- fàmUtes îëë S t a l ’ 1 ® ‘'""® '»® ®“ " ® ""«•■ “E fla u d ir les D c î* Gosses,.vcrno d’inrautarta, mais aussi sur vJire rcu ta î- I I n . ' / ™ « “ ' «' !® d« dévoue- ' qitahlc acliclo do dinianclio dernier sur tascoinmnnicalions, car ce .......... ;„ „ „ mI aniinalion cl rendra notre villa prospère, c'est d arriver h amener loule la popniallon des cain- pagneS’ a leur facihlcr leur ravllalltainenl an chef-heii d arrondisseinenl. Il faut sorlir do celle qneslion de Iraniivoy..; no vicul-ll pas do so tanner, a Pans, une sociclo d’éludo de tramways el de voilnres auloinohiles tarmée dos grandes

nien t e t de sncriflces â ta P a trie , de vë.iir en aide â scs membre.s actifs en cas de m aladie, e t de c réer un stan d eû seron t appelés à s exe rce r les jeu n es gens do 48 à 21 SE,

I l engage les m em bres à faire au tonr

aai“» '“. penl-élre serait-ce un pas

Ses paroles sont saluées p a r tes annlaii-d issem enls de l'assistance. appiau-

.rma,EEM' ' ,ta®' ' l‘. d e ta

F aits d ive rs.Carrez, jeune homme plein d’avenir, a débute

n s ,w ! r® "® ,®“ ®"™®™ “ "latandrin. (tan- damné I anuee dernière à quinze jours do prisonpour bris de cldlino, il est aclueliemenl s o T taC0U|1 d un niaudal d'amener; mais vexé que tas gendarmes veuillent l’empêcher do conUnucr son honnête et Incrotlf métier. Il “ " “ ""aa 'a n

, . ■ ' r - ' - - X- •’taiiin-iiO UU lias(IHIIS la voie d exécution, espérons-le, mais .iboii- hssous au plus tût, pour le bleu-étre de noire |

Recevez, Je vous prie, Monsieur le Rédacieiir mes respectueuses salutations. '

tion , liiquelle dem ande l ’autorisalion

E p c u i s *

a * ^ ® • ’ é c o m p e n s e h o D o r i O n u a

;a îe‘ K ' d ? v “o’u e t e " n r ™ “ ® ® '® » " ^

Fleurines.

Fleu"ine“ !” ® ®°“ ''‘’® ‘•®''“ ‘®'' 3.tttaqué au ca rre fou r S arro h e rtu n d acnet

luonle au M ont-Alta, descend au Coureotet rem onte au Moiit-Alt.i

H ’USUFRI[ d 'une ronfi

Un sophism e ju r id iq u e .On doub priA d'iosêrer Ib note auivaute } Chacun,m, «c A .®“ « m onde, lien t à ce a n ' l l i l

chacun frtîd'A J ' sem blera it logique q u a i S o î ™ P®®»* d^^fendre les pairi* Im oines to n ire ceux qui on t des tendances i l

I 81s terroir c lieu dit la

L’nanfrnltl

I pour défendre les pair!»

L c m o ta fE .,»a'® ’ ®‘ ')"® ^“ ®“ “ - P a 'ifaEE^’^E™ ®®®'?? * ■ “ al>a»«e in c e s- i IfiS!.®’ “ ® «“ ' “ '• P“ “ '' les an im aux n u i - r

Un cieu* 6’en/i«»er» de Senlis.

' absoiuraenTaS:teoorae e t d av o ir son mége à S o n lis ;

CRÉPY-EN-VALOIS

Conseil de révision.. . 1 que r i l in é ra ire de la tournée do ré-

Il-DâM P®“ publié, ni mémo Icroyons savoir

On nous éc rit :RozIèrOiS, 11 mars 1897.

Mousieiir le Rédacteur,

l’oratent; estim e q u ’il E Ç a î ie ï 'd ë s o u to r i r e A ce dé>ir, é ta n t donné que cette préientioo est Contran e a u x s ta tu ts . Il est décidé a u ’une r tu n io n au ra it lieu â .Senlis tté s ^ Ô Z i T

Il es t ensuite procédé à l’appel nom inal et 1 la rem ise des livrets niatriciiiA» a . . . __

Œ d Æ S ^ ' r ® ® Æ d i S t e I d 'a r a o n d t a t o n . c n / ï r V t a . u ’ Ü Ï Ï E E E ^ ë ' i : ,Conseil de__révts|on siégera, dans l'a rro n - | mano de Hozièros une somme de loo lyEncs

I . (•«* l ' ' r a “ m a l r t a i i t e s a u , s o c i "cnipriiuier les colonnes do lînîfvAHV*^?. ' * •’*“ « « actuelle,

jo tro ^u riia l pour adresser nos romerciemenis à I 1 . , cJiiffre respectableM.I.sldor0Tliiénard, notre sympathique conseiller I ’ *?,’ honorai res,

d lssem ent d e Senli.s, aux itatesV uivantes” Crépy. — Lundi 29 m.irs.

com- l)oiir I

Betz. — Mardi 30 m ars. N anteuil. — M ercredi 31 m ars se n lis . — Jeu d i ! • ' avril. N eullly. — V endredi 2 avril. F o n t. — Sam edi 3 avril.Creil. — L undi 5 av ril.

coiiirlbiu'r h rarqulsitiou d ’une horloge Cette horlogo doit étro pincée sur le proiine

scotnire conslruil il y a deux nns, d’nnrôs les plans et devis dressés par M. Tliiénard,

do ta"tf,''°'® ''® ®1'.®“ “,« ® 'a «zatlon du H ««««ôBe. la da te du 4 4 Jullie

adoptée. P u is la séance est levée.

_ jo u r 4 ju ille t est

Un habiiant.I ^ I ' * s ® h e d e c o d e l e t i r e n o <

f é l i c i t a t i o n s b i e n v i v e s â l ' a d r e s s e d e l ’ h o n o - r a b l e c o n s e i l l e r d ’ a r r o n d i s s e m e n t p o u r ce

I d o n g é n é r e u x . *

A u l iU H s ia rd H .

•''■'•'Ma"! de la Républlqiio ÂE Saint “ if® • « " ’ « • '•e FadEleS ? h î s «''E®®’ R eulenanl au S- rég im ent a n c ten E ltax ’ «®‘ “ «i” '"® eaiiitaine (4* to u rS » b E ™ â r e ! '”“ ‘’ “ °'®“ ‘‘'® *'’ '‘®‘'™ "««’

C o n c e r t d e « 1» S e n l l e i c n n o »DU 28 Mahs

r l é S i ’h Z K .® ! '* I?!®« la s o -ciété chorale organise , p o u r te Î8 m ars p ro -

Slte S l i r u t u m i é ? ; . " ' ’ " " •'«“ •

T . C . F .Los licreonncs siiivmitas ont élé admises ,

févrtai"l897 “ “'® ‘Clinmlily : hlgot l„ , pro[irlétnlrp.Senlis : Mlrvitlc G., 10, rue do ta It,vlle.

L n (a x ie s u r l e s T i ! lo o l |i f .d M .M. Lo Provo.sl de l.oiimiy n saisi le sénat d’on

amciiilcnicnt J la loi do llnances, modillant ta taxe anr lo.s vélucipèdcs et établissant ta tarif Ota™." i P ' a a a . francs ; à deux

* '™'® «I au-dessus,

Le ppoois Romm elln, co n tra Aug C asta lian t a t « l’Echo du V aloia.»

h.mïi* ™“ ’" 'V '® 1 “ « ' '« " • ‘• « 'a n t le ir i-to ,12 oEE u «« '« P™“ > in -,t1 i h I « *1; ,';»“" n o l'n . riio n o ra b le m aire M j J “ ®'®'®aR®''iiié, co n tre n o tre excellent

?* L’aste llan t (A uguste, pour les daines, hom m e d e le ttre s , pour les ines- s ieu rs), e t «on com père Lrconte, Im prim eur-

1 Echo d u Fufots, qu i a estam pillég éran tla prose du susdit,

à coup p a r l ’a ra i­gnée qui h an te son plafond, n trouvé drôleUese liv re r co n tre M. Hoinm’e tin , aux injures

.«'•atijle quiconque n ’a-liuire pSi génie fhiiii) t i r fia.iiino s i .... .x ,. . A . . : . . / ! ' ' 4, ^ - ' - ' - ' • V ' i x a v u a ' I I U I I t l p u s s o ngénie (hum I) ; d e plus, il y a ajouté unedose l o K ^ ' ** « « K eiien t d S f a S

M alheureusem ent, le cas é ta it prévu Ptir 33, § 2 d e la loi du

29 ju ille t 4884, qui éd ic tem co n tre les d iffi- m aiburs une am en d e de 25 A 2 000 fr .. e t un em pi'isonpem ent du 5 jo u rs A 6 mois.

S ix mois de p aille hum ide, parm i les no- l |is parasites prolifiques I. . B r r r l . . . P récau- tioiine-toi d un dém êlo ir d ’ac ier, ô Aucuste- ça « g ra tte » m ieux I E l là , tu seras forcé, ail m o iu s .d e to p e ig u e r . . . au

16 Araiei, Du haut du elel, ti domoura dernlÔM,0 doux JSBB JaoçQh, tu v b i être... marri 1

sibies. , sem ble que d an s un certain

F leuri,tes e t an c a r r e L S E SE„rea‘u"E“ fëi1 « ' a " m "uV homm®."'d'i

L S S È S ! ? I s S S , S s î i ï î ï

I L’a^judicaii s i x

hI Kn l’audleni

d v ild epv llaep i I Palus

r u e d e h

exécv

t e a s e V i g i o ^ c o m ë ë ' ë E l a r e ^ t l E Œ -C l t S r a ' r " " “ ™ •’'®‘' ® “ •

ët™„l”é ë É "n " te ? " “ “ •“ “ •<“ ■?«"« « œ S é u t ;e t q u e ce n es t pas une exciiso dn l’avnim t»it II duc d e

Gondreville.Domain d im anciie, M. P au ly . alîifa.lAii rlAnncMn A. t_ .

pas une excuse d e l ’avo ir fait I

f o r t s e t t t e s t a d i i ^ r ^ t t ^ f e ' l / E t S M

I d e D h e r b e ,J H a x o n c e , e i

I m i l b u l l c e u I r e g l s i r é e t t r

E l a u x r e I g e n c e d e :

H. H e n r i I m e u r a n t A Pi I m é r o 1 ;

adro iiem en t.Au m oral com m e i

macien, don n era dans "ta sal& dS"c1axaëH « I S , " F i o icger tes faibles co n tre tes forts- G ondrev tli. une conférence " p e t l M | • « " • « « ^fc té tc m c n tc , l e s S u i Z n Z S l e l "

clpe n e serait-il pas le îném e? b n ''a^ m a t ii- a* P « !^ 8 e f les faibles co n tre les forts*

p u s’in itie r A toutes Sd e ro u eries n est-il pas au trem en t fo r t.a u

lAlm m it v-acia a __ . F. .r a n u é o d e r n ié > e l^ j i : M : v ; i d r a f i i t su r I ï ® "®'"‘ I"* - “ ®>® d«»s sEE S b l E

1 hygiène u u e sé rie d e conférence-s fm-i in ia . ( occasion de conna ître les

Ayant pou 1 ®ar Savary, I place Salnt-F

Et eu prési Madame l

I marchande : I Pont-Sainte-J

rossantes e t qui E m m é“ E E ® ,r îE ta é rë ir é » I S ^ ? ® œ E d r ë Œ T E f â l Ip o r u n p u b l ic n o m b re u x di U o n d re v f ite “ ’ ® ‘ ‘' “ “ ® '•« f« c n ii“. < “ ."™ I

N'ayaot pai

environs.Gouvieux*

Population d 'ap rès le d e rn ie r recensem ent 2.678 liabiiuius.

M ouvem ent de la p o p u la tio n en é896 • Enfants nés v ivani.s ,

’ ° “,t ’ ilf,'/ ’«!'? ( '•«"• ** K 'I in io ay ,e t 46 liiles (dont 45 légitim es). Enfants présen tés sans vie . . . . i

4 garçou ( lé g it im e )...................Mariages................................Décès.................................................................

Sexe m iisculin ;*25.*.........................Sexe fé iu iu in : 48.

I doaé.x’'p e '‘u M e ‘’m a i1 " ‘" ' ‘‘' " " ®“ f '® "« “ ™ n«ent |

1 " £ !» 7 '« .a a l (fau ten t Iplus ag réJb te e t ie,v®a&n res p lu s ‘preEnéîS,

I dSncst'^tesEëra" Ivoirs publics veu len t assu re r la conflin re Iqui donne le b ie ii-é ire , la logique veut qu'ilsrép rim en t ceux gui lo re n Je m imnossib Ànous obligeant A ê tre toujours méfiants ltes 'to tl? : n.»RP®«"'<™ pan do chères ieçeniM o isés ®“ ® “ “ "d"»'® nous sommes oxpose®. j g . p j j i j

I 11 sera, le i J «NI quatre- I de m idi, en I I Tribunal civil I lais do Justic I la Répul)liqu(> J enchères pubi I «es feux, des I goation suit :

D Ë S l

ï - e ■‘le w Its .R e llev lI to .J ? “ ' ® ® ' P » ® • • “ * ’ « “ ' U d U é q u ’ i l

a j H , m a i s d u o a u t r e g e n r e d e d é l i n q u a n t ;

sur‘'î e ‘'vo"i'do re E '? “ ‘"®".‘“ ® «“ m®'»8ur le vot de 480 fr. com m is au nré ludiM Ha«tfg iile r, e t don l nous avons d é jl I

rendu com pte. Les soupçons de « ■ • M aentar

ta n m lx V a a l’Jt®” ' ' «« p S rté . ï u r ' t n e l e m i U G A a r e r d y , q u i T t o a i i s o u r e o t l a T o l r * j

M l S l1 „ 1’ Uno gi«i

Popi-Salnte M I Sainio-Haxenc

nouvolto route «nui : un four“ agisiDs eu .«lejiis élevés 8 avec maiiège, SOI» d’babitaiio ■istantendem M ècurls desso

; « n r ,4 g é d e S 6 > in , , Jornlèrn 4 Irais m oi,! el blessuras g n n i 1 pour aller le le iw ]

mais II a pria la pou laisser son estampi

i g n e n .

ta r ia n a o le ip a l i té D .' la subdivisfoa de ■ itdcomaiuRe ont tiN iveile sQbdirisioQ c ne d'hommes.

« l a l r e .d e rn lè r reeenseffleail

labilanls. Po p u la /io n e n 4896

font 7# légitiines). *162 légitimes). ,8 T ie ................g itim es).

JOURNAL DE SENLIS

1 - ^ î e “ r p . r r e : 1 . = r a r - d S ; . T „ ' e T rcbM U B l . i w Æ r ! î r r a n ' ' a t a . ’o r a f î e l ï ï f L l , d « “o U n «“r i X ^ M a î d e t e t “

««ndarm erie , aass itô l p ré ren n e , a télégraphié dans tontes les d irec tions, m ais ju s q u ic i les recherches n 'o n t donné aucun

c h e rc h e on noinJ mploTé d ’usine, « de prison , pour cc«- 'em b re d e rn ie r. Mil >Qt.pas d e l ’bospitalM *e, s ’es t tiré des p j ^

lit p u UToir de g r a J é lund i d e rn ie r à r J filo n d et, m en n ie r l

irem e n t' brusque L ) Toiture c h a rg é e 'J ireusem en t q u l i i J le : d a e s sa chale, 1 mbe d e d e ta n t. C’Jl'SOO francs p o a r^

yson t convoqués Pv, à l'effet d ’élire I,

n rem placem ent ii décédé.

■V ierges, t ro ie r recensem eotl I tin ts .* la tio n en 4896 ;

it 95 légitimes), i légitim es).i e ..............lie (na tu re ls).

»mbrlea.on du 11 mars,' J «VI. P ou la in d e n

lan l de la Comu

I n t .it p rodu it à PodiA ihauffour (A lbert)! é ta it occupé, T en | m alin , à é lagoâr

le M. L efé^r»; î r le tro tto ir de (i_ ü le u t don t il e n ] I. Tout ^ coup, ü l e t fut précipité l | eu t le b ra s üroill , e t se flt une pn>>l

ipelé auasitét pari , te flt traospONi Qie«Uaxence. | It le m édecin n t l

I d u vol.P r é c y H B u r - O I s e .Vol d 'u n e bioyetette .

Le 7 couran t, vers q u atre heures e t dem ie [ d u ^ i r , le je u n e Coîin (A uguste), m açon, I Agé d e 20 an s , dem eu ran t à G ouvieux, a r r i -

I T ait en bioyelette A Précy . A vant d 'a lie r fa ire 1 ses différentes courses dans le pays, il déposa

; «a m ach ine sous u n e petite rem ise d e l ’hotel [ Salh t-E Io i, ten u p a r H . Legros, san s la don>

J n e r e n consigne à personne.I Vers sept h eu res e t dem ie, il re n tra it pour | i m re p ren d re , m ais e lle av a it d isparu . I l c ru t I farce , n e s’en inqu ié ta pas trop e t r e - | , T int A .p ied A Gouvieux. Mais te lendeuia in , 1 n ^ recherche de sa bicyclette,n i iiri Id t 'Im possible d e la re tro u v e r e t fut j b io n d b K g é d è reco n n aître qu ’e l le 'lu i avait I é té volée. E lle e s t d ’un systèm e ancien, A I caoutchouc creux , A peignée en os b lanc, e t I p o rte u n e p laque a u nom de Ju les P achu t,I e o lre p re n eu r A Gouvieux. S a v aleu r es t [ d u n e ceu ta in e d e francs.

U n b riq o e tie r d e P récy , Alfred M onroy. a été volé d an s la n u it du 7 a,u 8 courant.

I d un sunerbe lap in q u ’il estim e A 5 fr , m al- I p é la fe rm etu re do clap ier A l ’a ide d 'u n e I b a r re d e fe r e t d ’un cadenas. Le rô deur noc- I tu ro e av a it p én é tré d an s la cour non close. In io o té s u r l e to it d u c lap ier, en levé des I w l e s e t f e i t tom ber la porte dan s l ’in té rieu r I d e la n iche , d 'o d i l a a insi ex tra it le prison - I n ie r .

S a i n t i n e s *Le Conseil m unicipal a , d an s sa de rn iè re

■ séance, décidé d e fa ire 'c o n stru ire un bAti- r a te gym nastique,

Saint-M axlmin.I ü n paQTra hom m e, C ousin /N arcisse), âiré I d e M ans, c a rr ie r , affligé ï-n n e aBeclion

I t r a v a i i très p én ib le e t a lla it sous peu l ’obli- ■ g e r A d em e u re r A la charge d e ses enfants ■ avec lesquels il v ivait, s’eat pendu m ercrediI I cham bre, A l ’aide d ’un fou-

«Ole, p en d a n t u n e absence d e sajp e lle - f l ile . Son inhum ation v ien t d ’avoir f l i e u A Sain t-M axim io .

V erberie.Oa Boai écrit x

D ans vo tre num éro du 7 courant, vous l a v e z re la té incom plètem ent le vol d 'u n e lu - I m e n t M m m is c h t* U H . P elers e t C‘% fa b ri- I çante d e su cre a u P o rt-S a lu t, dans la n u it du | o au é m ars.I Voici exactem ent com m ent les choses se I son t passées :

I j o f ï i . *' 8® 4 environ I « 0 m étras d e l ’u sin e e t de l ’hab itation du I gé ran t, longeant la ro u te de V erberie à Loo- Ig u e tl , e t ferm ée au verrou e t p a r une ba rre

* 9®®.*® l®8 voleurs s e s o u tI i n l i ^ u i t s p o u r en le v er nue ju m en t de 8 ans I cou leu r ba i-cerlse , avec sa selle e t sa bride.I ® P®“ ** eu le v er un

rab rio le t, sous un e rem ise voisine, m ais faute

éira S ’lél''’ ''' * “ P“/i.î:® com m is ap rès onze heures.

I I ^ M. P eters é ta it encore danslad ite écu rie où se trouvaien t h u it chevaux i*A . g a rd ie n é ta it couché dans

V l l l e r s - M a i n t - P a u l *P o ftr u n to u de cornichons.

Le 8 m ars d an s la so irée , H orbet, 36 ans . v an n ie r am bu lan t, envoya chercher o n sou de corn ichons chexM . C ham brelant, ép ic ier.

bohém ien , légèrem ent pris d e boisson. A ce m om ent, trouva q u ’il avait été insuffl- sam m ent serv i. I l a lla tro u v er l’épicier, l ’in ­ju r ia , lu i déc lara n t qu ’il lu i fe ra it son affaire, e t cassera it sa devan tu re .

M. ^ a m b r e l a n t flt appe ler le gard e cliam - p eire G ueudet p o u r ca lm er ce forcené. Mais H con tinua se.s invectives e t le gard e cham ­p être d û t l ’enferm er.

Ce sou d e corn ichons va probablem ent oa tro u v er en to u ré d ’une sauce qui coûtera plus d un sou A l ’irasc ib le am bulant.

« M i l . i!üp.’» , Ang™!io,‘'“b î ï t * SSî,” pro.’ j déllbéra lion , I , • p ri...D a m .it p o ir .oI qui > <U eh u ié i

ETAT_C1VILC b a n t l l l j r .

* Mois dejantner.^ a ^ a n c « . - 7 j»pvi#r : Aona Maria, Alla da

^ r a e t mèra M n déaignéa. — 8 ; Chocart, R»*, R«batt-Victor C b arl4

ftli-n n l !'«««». - »4 : OiMOOligDT,SuuQDa 0*roMioa. - 18 : Bura»n, E rnaaJjJ- N « m 7 .,” “ • " • ■ « • « • i» » . - 28:

s V I ' 8 ““' ’ . . g r .• M* 11 moii. « . 5 . Dfoleon roaxamaaooüD), préaanté m u via. — 5 : Oraiaoo tiaxa

2 r ’ ^ *“ ® ~ Jntianna.LooiM-BliM venve Bompiarra, 61 so i 11 moia - - U . U n lla . Clémaaoa, eélibauira, 59 aos 1/2 (Uo«piea Condé) J6 : OanaaramaiaoQ. Ju a u h -

kT ’ — 18 : Oodefroy. t a -“ 21 : Hérault (aaxa féminin), pré-

Baléiaaw. Maria An- to in^ta Carolina, vouva Bertrand, 79 a u 1 m. — 30 . Quantin, Charlae. Laurent, oéUt>aUira 78 aua 5 mou iHoipiea Condé). • .

J>Mélica«o»M de mariages — 3 10 : Dalbéa, T^nï‘jî!r2 '’î i" ' vériflcataor à Chantilly, atTaupin. Halène-Jeanne, mq* profesrion A Cban-

l V e u l l l j r . e n - T h e l l « .Jfo is de fa n o ier .

N aiuaneet. — (Néant).. — ,1 'ïj“ « f f 5 Blad, Armandina- Héléoa,épousa Oordaqny, fil a u 4 moi*. — 26 : Daacoa^ tara (mort né dn aaxa fémiom). — 22 ; Jumel. noaa, é p o u a Daanbonna, 89 a u 8 moia._ MaWffgM. - 16 Janvier : Beorgola, Stéphiaa- BUéga, m iw jd e a , domieUiéi Nonilly-en- Tholl# et damoiMlla Praina, Laeia-LéonUne, contariéra. domiciliéa A Paria, rna Simart, 6.

Mariages. - 17 24 Janvier : Kovachiohe, Piarra JoMpb, cocbar, tiomimlié A N aaillj.aa Tballe, e t damoiMlia Pialex-Margne- (CVânM)" *“ domiciliée A Aubauon

V e r b e r i e .Jfois de ja n v ie r .

2 jaa ?iar : Maroalla, Zulm’ée- î R«aé- - 22 : Lebaux.

Vollard, Marguarilta-

les questions, A l ’exception des 5«et 18* m i-

l u ï ï e S S / ’ s 4 , i ~ , , * . î £ ; . ' : ; . x s :1 ,7 fa ra u r d e Dinjeon. • “ ““ < h.bitu i . d . l’u e u . t (obwrvé. .^ i> i .g i .g t

André'Cbtriaa. — Marie.'

Publications de mariages. - Br«.hH>t, Léi)ii Kmiià», qutuUHilli 3*10 Janvier

o ■' r ”77 ....... . dumt-uraDt.k î J Ï «t Amaury. Albarlina-Adé.laiJe-Emélia, m u profeasion, damanraot A Ver

— P janvier : Brasaart, Léon- Rmii?: * Amaofy, Albertina-Adélaïde iSmèlia, auB-nomméa....i?/®*'* ~ : Cocbolat. Franooia, pro*

8*'“*»'“ ®. médaillé nilitaira, M arfalu 2“L 2 7 S ««tanaoiar. Renée-

î ’ f*?® ■” 21 ; Brébant. Rav-mond, At(é de 2 ana, — 16 ; Vollard. Soorata œaoonvrier. Agé da 24 ana. ’

A rcennaw ancai - 2 Janvier : Daboat. Ra- ph-ei, ft<e d a 3 an» 6 mois. — 8 : Lamaira, Lucie-

ég®e de 18 ans. — 8 : Lamaire, Bartba*Marie, Agée de 9 a u .

Théophile, « rç o n hou- Louiaa-Juliatte, a a uproffluion A Chantilly.

^ ' M ^ a l i é , Jean, obarraliar A Parla, et Harbar, Biisabatb, oontnrièra A Paria, at nré* eéaamment A Chantilly. . ^

17-24 s Jarriar, Arthar-Jnlea-DÔriré, eonduo- Bupuia, Auguati.

ne-Aibertina, Mna profeaaion A Oonviani.17 24 ; Dumont)

meouimar A marriohéra

\ Arthur AlhaDaaa-Augnila,■AGhaotillT, et Gaillanx, Virginia-Jolie, ra A Saint Léonard (Oiae).

Jfa ria i,« - 18: Dalbéa. OnaUva-Henri, Tao- pin, néiena Jeaooa, ei-deaiua.

Gouvieux.y o is d e ja m i tr 4897.

V i a ^ ° " a ’: a .o r g « .k .f oi** .• Vicior-Rieul. — 3 : Trou-

- 6 : Orianx, Yolande Marder, Juliette. — 81 :

Mariages. — (Néant).

t o o r d 'A s s i s e s d « l 'O i s e .i '* SISSIOR DB 1897.

P résidence de M.‘P i n s o n .

Audience d u 9 m ars.Affaire O iujeon e t Aloronval,

Acte d 'accusation :D . . . U .a i t du 8 . . 8 j . g r â r 1897, la . nom-

ï S ; o u , ™ n s , **■ ^(Eloi-

ré c ô rie T o i8 in 7 7 '’ l« i5 i ie r ta ê h “es“ ë î qu“ l I q r P “" " ’

Une foi» d a u Je place, eaa daux dangerauz OM vw té a t foniilé laa maobtaa! cha^

chw i du numéraire ou daa valanra i lontea laawiiSÏÎ. '*• *•“"

Lea danx complieaa, aprAa avoir fruotoré pin. aleoM aerrurea a l forcé nombre -le portas, ont dd « S S a î . ‘* •*“ teura

Ne trouvant rien A lenr convananea dana la maiaon, Diojoon at Moronval aa rabattirent aur ta cave. Moronval brisa la grillage en far protégeant la porte da la oava, qui Æt égalemaot forcée. Poia le» deux voleora •emparèrent de,plnaiaura bou-w l i i i . ila ae con.o-lèrant da l losucceada leurs tenUtivea crimineitaa.

Lea empreinte» de pas, relevées an conra da 1 enquêta qui suivit la vol, amenèrent, ainai ona p uiieur^ a u t ^ indice», l'arre>Utioo des coupa- ble», qui, habilement interrogée, firent bientôt daa aveux complets.

Dinjeon a des antécédents déplorables ■ H a subi neu f condam nations dans l ’esn a ced e quelques années.

Le passé de M oronval es t plus déplorable encore que celui de D injeon. 11 possède à son ac tif treize condam nations, dont n lu- sieurs p o u r vols e t au tres fa its graves.

condam né A h u it années de ü'avaux forcés e t A la relégation.

Affaire C b a F |» e n U e F *Vol qualifié

"'>» seconde niraire de volI . Brecéd‘e“nf'e du«la précédente, à en ju g er o a r les Héiaiucl-apr6s re l.v é s p a r r i i ,t ru c l° o n .

Acte d ’accusation ;■^Dao» la suit du 17 au 18 uovambre 1896. d u

i a L 1»/« 'n ie du iieur Mahieux. cullivMteur etîîrïT éfr .l I d “vai ent ■

‘ 8.r r c .u . , .1 V d6. , valeur de 350 fr.^baieo t douice uiouuiu» d'uun vuie

,anc.eu berger parvenu A uue cer-mur! “u ’i quelque.C i t l®|roapeau de Mahieux. Les recherches ÉMiee pour découvrir les auteur, de ce vol auds-

d®2“ réiultat UnC ^ re h e r d AoiauviHera avait bien aperça le 16 oovembre au matin, en ae rendant aux champs î ï . »®n«nt de la direction de Bucamp.

5?* ““® ^’* " “® ^® mouton., et ^ l i a i e n t détournés , de la route

«a rencontre 5 mai» il ne pouvait don. ner leur signalement, mgme approximatif.

Lm eouprana ne Urdèr4-nt pas cependant A m S h Ïp !? '“ K**“’P®.®hyr dont le . agiaaemenu ain- gtüier. depuis qn il fanait le commerce de mou-dn n.fh?« *® méfiancedu pub.ic e t que l on accusait de participation aux vol. du même genre qui se sont ré p é té dans i î

f î J®** coure de 1 année écoulée 1p»« Charpentier,

« n ® ? * ®® lornisr, insisU pour visiter 'immédiatement, mus

pqw ent, 1 un de ses moutons marqué d’un cercle r o ^ p r ^ de la queue. Mahieux. informé de cette déeouyerte. procéda de son côté aux mImM anJmiM I®*'®®.”® «gaiement quatre desîf^P Les initialesu k Ç®** *“ “ ®‘® «l® j«'il«t 1»Ü6 sure ^ n o gauche de ses moutons, avaient é !6 rem- i«i ?® i*’®’’ '* “ ®'9«® fie Charpentier, 0 . A.

« a u le lavage récent qu’avait subi la laine afin de ^ rm e tire cette sub-titution de lettres, faisait queInini p “ ® V"‘ ‘’'®“® ® «‘ <iépourvue do« in t . En outre, la marque de Ch.rpentier, plus

T d - ’ u Æ “ '» " •V«n,n.eni, lg œ „ é ,„ j p „ i„ ,o

d . .g . , l lè g „ .., a u . ' i o g g , ; ;go îî,« H ‘, I ' ’ '"i” T »"ll'V.t»nr. vols.portsDt dspo,. longtsœp, ,m p „ i„ t„ 0 A, et3ît 1 .0 fseoevelsp quinze joero pin.S . î ? * '* P" ' ‘ - U"« -idiple e o n i t lu -

‘ “ • “ plicepoee : .-il r t le i t borné 1 rem.rqnsr, eogiine il le prdieod. loe. Je. inontOD» indistinctement,

marque» broniHées ou snrbhargéea.ce qui leur um oait une provenance suspecte, on n’est pm étoune du Jugement défavorable que porte aur luib ï u r î o i r ” (■'''‘“••x ? ? P'"®-vilr Z ê ? . " " '" J '• '» “'*»• 8» J«n-- 1er dernier • rn r l’un des qu.Ire mouton, re- « m .“r ' *'1' ?■"» I» Itoepeen de l’nooo.6S e î î e r i l e " ' ‘" 'i '* '" “ ' • “ ■«J“-> * M .-

ï " ' " « • " • " l • * « lu l-iue qui f d . ô . i î ™ m î i - “u 'u lellro P (deniième lettre de lu marque de Maliieei) .e f .i.u il remarquer elor. an d eu e , de le le tito A deJe f.çon ,m ..n to ; A P i e u qui indique que lu deuxième Inttre de l ’empreinte Gbarpeotier a été ieti™ V I ï ' r ' ' '“ J»” '» * - iuKrieur de iei o . 'e " s to „ r t , ‘ ‘’" “ ““« . î l " 'V ,'''•.'^‘‘- .,.0- qui ps.rn i .e r lui, (ib.rpon- I fierS , ,u'r I ™n-«igeeorenle I

■ S e iï . m , " ' " ’ «''■"'“«‘"■■l '« lu .o-I ra o ie ., Il s déjj élu rtindiiiuud qustre foi., no- I

i î r : i “ e.Ç“" ' “ “ ■‘■'“ P " - 1Cherptolier e .l '

Stot V r W " 18915, i Bucuoip, i .bJti',n.el î i d’effrmîüon, d .e i unIraïl fm ideiï" ; ï ' " ' “ •'■0» bubitéo, . 00.-dSiitrS . * “ “ “• d " ■" préjudice

<l’4u8 ience sou- r“ î 1“ '^ ’ ' “ffb 're C liarpenlier est

de l’o ise P™'*>»iue session des assises

peut retard pouruot umenw non. ul queniMu trdu lio i,u « » “ *“ -’Ve t î î r e id â d ® * ! .ÎPI’"8"e lul-mlmn l’uVeieerondâdomieiiounrdeinund., -y

j - î* ? ? ’ ™ 8**«>os eo s lec teers 4 liiv

I l l l - S S E d u niOKU Pi d e l 'E -S T1 5 , R u e d e D i i n k e r q u e , P A R I S

( t 'n face Gare d u N ord). Dom iciliatioo d ’ElTets.P aiem ents p o u r Comptes d e T iers

G u é F i s o n F a d i c a l eDB LA

h e r n ie

.... , on ne verrait pas tracece lavage caractéristique de la laine qui ne

lobwrvo que sur les moutons revendiqués nar Mahieux. Toutes les indication» fournies par Ma- ûieux. Toutes les indieatious fournies par Char- pemior sur la prétendue provenance de ces bêtes ^ n t la prom ete lui e»t contestée, ont été con- l^uvees. Une autre charge de euipabilité est née de 1 ox|iéri.-nce à laquelle ont eu remurs le» gen-lîfcsTsîl'A T * • 00 piésence drsintéressée. Le» cinq moutons extraite du iroupeau de Charpentier, sur la réclamation da Mahieux et de f ï" h ? •“ ' «“ plaine, à 600mèlre»delhabiU t.on de Mahieux : ils se .ont aussitôt m u A pfiturer dans une pièce de sainfoin od le Mrger de celui-ci avait coutume de les ronduire.

J î . L® 9uetque» heures, ont regagné la £ *»«• «'arrêter devant

J . habitation de l’accusé.j . 'V ' “ ' " ï '* 8» oburgo. l'on r.pproci» ie.

•ntooedento do Cberpenlier qui n déji oncoutu pineiour. eondimnatioD. dont nue à un moi. d’om-

P lu s d a GAne,S ou lagem an t e t A m èllopatlon oeptelne.

spécialiste-herniaire, a l’hon­neur d informer toutes les personnes atteintes de to i i'o ' Z î “ " / T ' • - r E o t ow le seul moyen de leur faire obtenir un erand Mt an T ® •0“y®0t la guérîson si le bandageest appliqué par lui-raeme. — La hernie étanÉ maintenue radicalement e t de façon queT» i n S h û . ne permettant plus U dilatS.on’de rtn iee ui“ S z ; " " " “ “«•

dou“7m’ o * ! S „ i : n ' M "Horaliou qui aurait pu se produire, ainsi que d’ap­porter les rectificalious nécessaires A KappareS e t p^our ces raisons bien sérieuses, il urie »e» nombreux clients, ainsi que toutes les personnes désirant etre soulagées de cette infirmité, de venir le voir A son passage A :

^ ^ ® " ’

Noro», S i M . n . s m . l du I f .r d

8 o o T r « ‘„Vj“uzutof”'" '" ’ ®»"‘» - 'i2 7 M „ ., BCM Couti.

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Nous conseillons .lono aux intéressés en cette matière, de ne pas Urder à aller le consulterTÏ;

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a U S e n li i . - Im prim erie Tb N ourian

A m é o b c m « fin d lo is iip e * .

A b t . 3 . S adresser :Pour vlslier, sur les lieux d un bout M.Demachy.otd’autrebom

to chemin du Thierry à Viliers.Elude de .M’ PÉTizOH, notaire

A

l A X E .V C Efont le m ari es tl rice de M. Roge-I ûx jo u rs , d a n s l i l sse d 'épargne a i l ■el une certaloel te. Ile le flt re m e tirs l tu es dëm archM |

nom du dépo*l Apprit que sodI se. I3 m aire d e ee lts l >0 propriétalre.1 te d ’ô tre eore*!

ique. suivante : at à ce qu 'il i l l i t logique q u a i m die les patri« I es le o d a n c e sé l I Justice, p a r i chasse in c e s- l an im aux nui* F

8 un certain I r les v o leu is ;! in hom m e d a l e fort a u volé, I ie pas se faire I

A b t i c l i 1 ” .Etude de ■ ' Oscar SATART, a

I A Seolis,I place Salnt-Frambourg, numéro 3

Successeur de M* Pelbois. '

^ T - I B n - ' C F C BS U R 8 A 1 S IB IM M O B ILIBR B

r d’uni

G r a n d e PROPRIÉTÉSituée A PONT-SAINTE-MAXKNCE

lieu dit la Croix S--Maxence, entre i ancienne et la nouvelle route

de Piaudre;(S* DB

l 'I 'S l 'F R l I T D’tlIIB «AiSOIÏSise i Pont-Saintb-Maxbncb,

rue Neuve, n* 62 ;3 ' BT DB

lL 'l lS lIrR ll lT D '[)^ P E T IT ilR D iltI d ’une eonlenamee de i ares 50 cent.I environ,Sis terroir de-PoNT-SAiKTB-HAXtNCB,

lieu dit la Croix Sainte-Maxence, L’nonfridttAre es t figée de 60 ans.

I L’adjudication aura Heu le M a r d i ' s i x A v r i l 1 8 9 '3 '» '

heure de m idt,K nJ’audience des criées du Tribunal

«vil de première instance do Senlis, an PalaiB de Justice de ladite ville, rue de la République.

re que si les I ips des gens | uaieg de nos I sub tiliser le I

1er que pren- f rte comment, | ie l ’avo ir fait I

30, il y a des I oüc le prin - [ f O n admet lire les forts; f toutes sortes on t fort, au 8on hum ble f anna lira les liions mémo [ iliés insuffl* iMindamne à I ftrieuremeot |

ist d ’au làn l j s prospères j SI les pou*

I conflance |' veut qu'ils impossible, s iiiéflants, I )res leçons is sommes tTlT.

0 enquête 'é ju d ice d e avons d é ji • H agnier,1 s u r line i n t l a v o i r . I

exécution d’un procès-verbal lisie immobilière au ministère

I de Dherbe, huissier A Pont-Sainte- I ‘l®*® dii buit DécembreI mil huit cent quatre-vingt-seize, en- I regisiré et transcrit ;

Et aux requête, poursuite et diii- I gence de :

M. Henri Gerbauit, négociant, -o- I ®«urant A Paris, rue de la Perle, nu- |m é r o l ;

Créancier poursuivant;Ayant pour avoué constitué M’ Os-

I Savary, demeurant à Senlis, 3. I place Saiut-Frambourg;

Et en présence de ;I Marle-Pauilne Boucher,I foraine , demeurant aI Pont-Sainte-Maxence,

N'.to . Partie saisie;N ayant pas d avoué constitué ;

inier régnant sur le tout; toits à porcs en ace de la maison; puits à l’eniiée de la propriété.

Tous ces immeubles sont construits en pierres et couverts en tulles.

Cour, terrain en culture, sablon- nière el jardinage autour des bâti­ments.

11 existe dans ce terrain vingt bres fruitiers : pommiers, poiriers, noyers el pruniers.

Le tout, d’une contenance de qua- tre-vingt-buil ares dix-neuf centiares environ, tient d'un côté nord à H Üuquesne-Séguin, de Poul-Sainte- Maxeuo', d’un bout est au représen­tant Véry (François), s’avance ei triangle vers le sud entre les pro- priéiés du HH. Grospiron (François), de Pont-Sainte Maxence, et Hobert d Apgicouri, revient ensuite à angle droit on lougeant la propriété de f Roliert, sus-uomiué, puis en biais è ,u vieille route de Flandre, et enfin tient d un bout est à M. Duquesne-Séguin,

Mise à p r ix : 1.000 fr.S* L usufruit d'une Maison, sise

Pont-Sainte-Maxence, rue Neuve, nu­méro 52, comprenant : corps do logis composé d’un r< z de-chaussée divisé en trois pièces à usage de chambre à coucher el cuisine; alcôve, grenier audessus avec mansarde, escalier pour accéder au grenier.

Cour dans laquelle se trouvent ma­gasin, écurie, fournil av<-c grenier au-dessus, loii à porcs, cellier, grango avec cave du-sous, deux hangars.

Grande portu donnant accès do la rue â cette cour ; fuutaine dans cette cour.

I A,I .Q'jatre tin g t‘d ix -se p l, heure I Trik* ,’ ®.“ ,!’«daicnce des criées du I hti. Senlis, séant au Pa-I la DA i^“ ®*'C0 de ladite ville, m e de

InSJPr à la vente auxd S s & * l'extinction0n!.i ’ Immeubles dont la dési-I goation suit :

D é s i g n a t i o n

M I S E S A P R I X[ Pnrii e P .8'**»*® Propriété, située è

R»ito, î i" ‘® Maxence, lieu dit la Croix «n ,J en lrerandennoetlanouyolte route do Flandre, compre-

I nnni : un four â faire cuire la chaux,m în il ï i a“ h côté; bflli-

m ®“ '' ^oûte d’un fournil î f t^ i iT ’t f P î piètre; mal-

»*««* pièces par bas: cave; n •cari# dessous, g ru g e k côté, g re-. Enregistré.

Observation est faite que M. Ale­xandre P iene. propriétaire et m ar­chand de bois à Pont-Salnle-Maxenco a un droit do passage par la porté cochère et la cour pour accéder à son magasin.

Cet immeuble, d ’une conlenance totale de deux ares trcnle-ueuf con tiares envirou, tient du nord â M Gossicr et à la Fontaine Cavillé, du sud à MM. Alexandre Pierre et Gros- piron, du levant à la rue Nt-uvo, et du couchant & MM. Pouparl et Ran- curel.

Mise k prix : 300 jr.l* Et l’usufruit d’un petit Jardin à Pont-Saiute-Maxeuce, d'une con­

tenance de deux ares cinquante cen­tiares environ, section D, numéro 194 lieu dit la Croix Sainte-Maxence, te­nant d ’un côté da leVBUt â la route de Flandre, d’autre côlé au chemin Chantilly, d’un bout du nord à une maison dépendant de la succession de Madame veuve Balny, et d’autre bout i H. Spilzenlallur.

Mise k p r ix : 80 Ir.L'aaafraltlère es t figée de 60 ans.

I * u r ^ e IDéclaration est ici faite en confor­

mité do l’article 696 du Code de pro­cédure civile que tous ceux du chef desquels il pourrait être pris inscrip­tion p 'iur raison d'Iiypoihèques lé-

Sales, devront requérir laditu inscrip- on avant la transcription du juge­

ment d’aifludioatiOD/ a peine de dé­chéance.

8’odfMser pourles renseignements: 1* A M* SAVARY, avoué à Senlis,

poursuivant la vente ;2* Au Greffe du Tribunal civil de

première instance de Seuils, où le cahier des charges est déposé ;_ Et à M* DHERBE, huissier à Pont-Sainte-Maxence.

Pour insertion ; (Signé) 0 . SAVARY.

« Pris au nom el com m e, « subrogé-tuteur ad hoc du « mineur Couet, sus nommé;« M. Drieux nommé à cotto « fonction qu’il a acceptée,« par délibération du conseil« defamilleduditmineur, prise« sous la piésidence do M. le ® i*®'* du canton0 Nord de Versailles, le vingt « et un Janvier mil huit cent « quatre-vingt-dix-sept, enre- « gistré, et reiiiplissani dans ■ [espèce les fonctions d esu - « brogo-tuteur à causu de « I opposition d’intérêts exis- « tant entre la mi re tulricii ot « son fils mineur, le subrogé- « tuteur ordinaire M. Eqiiy « remplissant lui-même les « foctions de tuteur; »

H sera procédé, le Jeudi hu it .<pri'f ♦njf hu it e'nlquatre-vingi-dix-sept, h*Hre de m idi, en l'audieuce ocs

' I L / T j û k T t £ 2 t / " ^ T V T I? . 1“ .Tribunal civil do pn>miôro J n jjostancodu Versailles, séant au Pa-

Slse à GLAIGNES (nise). jl-'is du Justice de ladite ville, placearrondibSt-meut do Senlis, | “*®,tribunaux, à la vente et À l’ad-

canton de C iepy-en-V alois IJuarcation, en un seul lot, au plusrue du Beau Marais ou de la Croix IpÎÎ5?-” “5'®'®/ enchérisseur el à

en face la Fontaine S”-Marguerite. ’ | *,®\"nction des feux, do i’immeuble ?.?fîLto. et la mise à prix

A r t . 2 .

Etudo de M* G. P K L L E R IN , avoué à Versailles,

avenue de Saiut-Cloud. n’ 36.

V E N T E S U R L IC IT A T IO N IEn l’audience des criées du Tribunal I

civil de Versailles,E n u n seul Lot,

D’UNB

' J - c a S 3 - ' c p î aPAR ADJUDICATION PUDLIGUB

AU PLUS OFFRANT KT DBRNIBR BNCUBRISSEUR

P ar suite de décèa,SANS ATTRIBUTION DB QUALITÉ

Fonds d e C om m erceDE SCDGE 0£ RIRBAE

fw lo ilii A S E N L I S , lieu dit le Moulin de Siiiut-Etienno.

suivent :

D É S I G N A T I O N U n e M a i s o n , sise àGlaignes'

a p p ^ tS ïd S ? ? " '

L’adjudication aura lieu le « le u d i 8 A v r i l 1 8 9 7 ,

heure de m idi.

^ , I ‘•o la Croix, en faceQuen exécution d’un jugement r® FontHino Salnte-Margueri e con-

reiidu contraüictoiremunt entre p-s p ir ie o t «'n corps de logis, divisé en parties y dénommées, par la première M*®*** P '^ e s avec grenier au-dessus chambre du Tribunal civil do Ver-I®®< ''®>‘< «n tui es; sailles, le vingt-ciuq Février mil huit] Grange de deux travées, couverte ceut quatre-vingt-dix-sept, enregis-|®°®>'fioises; tré ; I Cour, j-ardin el terrain.

“ .. »1 f-evassBiir, d ’,u lio boutMadame Léomo-Israéno Drieux, | “ * Lefèvre, par devant la rue des

sans profession, demeurant è V e r - l®®'“ x Marais, par derrière M. Lofè- sailles, rue do Houireuii, numéro 37 ,1veuve de M. llenri-Pierre Couol ; I Section A, numéros 850 et 851 par-

Ayani pour avoué constitué près le i * partie de 852.Tribunal civil do première instauce I M I S E A P R I X

" Versailles, M’ Geonros-Krnest-1 nniM u» ..k. ,Pellerin, demeurant ou ladite 1011100^00 la

, aranue de Selnl-Cloud, nu. m éro36 ' I rom reçues .sur la mise a pnx fixée’ par le Jugement sus-relaté du vingt-

En présence de ; cinq Février mil huit cent quatre-M. Uyaclnthe-Alfred Ermy, épicier. J f '

demeurant à Glaignes (Oise), canton( ^ l u'*•' Crépy-en-Valois, arrondissement Fait ot rédigé â Versailles, le deux

’ n-i- . . . I Mars mil huit cent quaire-vingt-dlx-“ w comme sept, par l'avoué poursuivant souis-'subrogé-tuteur du mineur signé.

« Hyaciulbe-ViotorCouet.issu Signé : G. PELLERIN.

r a a v r c t t ,« avec feu son mari. M. fqiiÿ *d*.L. **'.L®®Î!Î.

L’adjudication aura lieu le M a r d i * 8 M a r s 1 8 9 7 ,

a deux neures.A Sbxms, on l’Etude etpar le ministère

de M* F é t iz o n , notaire.

,®*écution d ’une ordonnance do référé rendue par M. le Pré.sident du Tnbuuai civil de Senlis, le dix Mars nul limt cent quatre-vingt-dix-seni en r^ ia réo ;

Fait et rédigé par l’avoué poorsttl- vant soussigné,

Senlis, le 12 Mars 1697.

(Signé) 0 . SAVARY.

remplissant dans t’e'pèce les fonctions de tuteur è cause du l'opposition d’iülérôis exislaut enu-o ledit mineur el Madame veuve Coiiet, sa m ère et tutrice légale; »

Ayant pour avoué constitué près ledit Tribunal civil do première lus- tance de Ver>ailes, M’ Jean-Gcorges Legrand. demeurant en ladite viliu avenue de Saint-Cloud, numéro 41 ; '' Et encore en présence, ou lui dû­

ment appelé, de :

sept. Reçu un franc quatre-vingt huit ceutimos, décimes cumirris.

Signé : L ac om b b . s’adre.vter tw iir le* rensetgnemem.- :

A Vb r s a il l v s : r A M'G. PELLERIN, avoué pour­

suivant la vente, rédiicl- iir et dépo- Biluire d’une coplo de l’enchèro, ave­nue de Saint-Cloud, 36;

2* A H* LEGRtND, avoué co-lici tant, avenue do Saint-Cloud, 41;

3* A M* DËPINAY, notaire, rue Sa tory, 17;

M. Viotor-Aiexandre Drieux, m ar-l tes lieux , â G iafprsohând grainetier, demeurant à N e u i t ly . ' (Oise), P®tir visiter, su r-^ in e (Seine), rue dM Graviers, j Pour Insertion :

I Signé ; f .P lL U m N .

Il sera, à la requête de :.1* M. Juios-Constontin Canard, in-

geiJieur, demeurant à Sous-lc-Bois ijiubourg du Maubfugu (Nord) ;

2* itafamo Lauru-Adèlu Canard vnuvu en prumiores noces do .M Adol- ptie-liurre-Mariu-Josepli Buisson ot épouse en secondes noces üe.M. Al reJ Longuet, Imprimeur, demeuraiii eu- semiito i P aris, rue du Pout-aux- Clioux, num éro '7;

3’ Et Madame Eugénie Canard.louse do M. Caiiiille-Emmanuei-

Fiederic Pradeaux, pr ipriélaire dc- inourant ensemble à Garches (Seiue- et-Uise) ; '

Après l’accomplissement des for- formalités prescrites par la loi pour le.s yenies faites sans aitributiou do qualité;

Procédé è la vente paradjudicntion pubiiquu, au plus olfi aiit et dernier eucbt'riiiseur, du fonds do commerce de smago de marbre, dont la désigna- bon suit, dépendant do la succession de H. Maximilien-Denis-Joseph Ca­nard, en son vivant m arbrier à Sen­tis.

‘D É S I G N A T I O N Un Fonds do Commaroo, do

solago do m arbres et p ierres d uresi exploité à Senlis, lit-u dit Moulin Saiul-Eiienno. installé su r la rivière ta Nonotlü, comprenant la clientèle et l'achalandage qui y sont qui y seul attachés, et tu druii au bail |iour le temps qui en reste à courir des ticux dans. lequel s’oxploito ce ronds du commerco est exploité.

Sur la mise de cent francs, fixée par I ordonnance sus- 4 A / s G uüiicée, ci l U U

Et pour tous rensoiguemenis, à L oiitro los charges le4“ E bE , ? , 1 1 . '™ '* ’" “ ' * “ «'•<cahier des charges.

Art. 4.Etude de M* S A IN T E -B E ü VE

avoué à Senlis.

I » u r s e L . 6 g a l e

Suivant exploit de Lenoir, huissier a Si-nlis, on date du onze Mars milnuit centqualre-viugt^lix-sept, enre-

Nolification a été faite â M. le Pro- curiiur de la République, près le Tribunal civil de Senlis;

Vota. — L ^djadioataire sera tenu 0 6 reprendre, è d ire d 'experu . le m atériel, l e m obilier in d as- tr ie l e t le s m archandises ont aèrent d ans l ’asln e an Jour de la priM de possession , e t U continuera le baH d es Uenz M ectés fi l ’exploitation dndit foods de oommeroe expirant le 2 0 Août 1897.

l O U I I I I I I c r i l l E O I I T E

*'■ Charles- Amedee Demnchy, propriétaire do- meiiram a Ognon; 2' M. Enirst-Au- guste-Paul Dovouge, agriculteur, de­meurant à brasseuse; 3* M. Julien- Mario Floury, cultivateur, demeurant

Ognon;Pour lesquels domicile est élu â

h i'’’!.*’ ÏÏ® République, on i étude do M Saïute-Bouvo, avoué qui est constitué et continuera d’oc­cuper pour eux tant que besoin sera;

Ite l’oxpédition d'iiu acto dressé au Greffe du Tribunal civil de Senlis le yiiigt-1-iuq Février mil liuitcent «ùa- tre-vmgt-dix-sept, enregistré, consta­tant le dc|iôt effectué audit Greffe lo mémo jour, par M* Sainte-Beuve’ avoué, de la copie collationuéo «i enregistrée ;

charges dressé par M Petit, notaire à Senlis, eu date du viiigt-huit Novembre mil huit cent quatre-vingt-seize,enregistré, et d ’un procès-verbal dressé par ledit M Pe­tit, le vingt Décembre mil huit cent quatre-vingt-seize, cnrogislré ;

A la requêlodo Mademoiselle Marie- Elisabclh Mulot, cutiivnirice, demeu­rant a.Saini-Eiietine-rdu-Rouvrav rue do Paris, numéro 47;

ou eux.dûment appe-

1* Mademoiselle Anasthasié-Angé- lina Mulot, sans profession, dcmcu ran la Morgny-la-Ponimerayo •

y M. Emilo-Toussnint Mulot, culli- valeur, demeurant è Saint-Etienne- du-Rouvray, rue Lazaro-Carnot. nu-

"l'P®*'* 9»o la nue- propriété ffcs immeubles ci-après désignés a été adjugée, savoir ;

L — A M. Demaohy ;Terroir d’Ognon,

Ouatro-vingt-qualiu ares qua-

cinq«an/e /rana,.Terroir de Brasseuse.

Soixante-sept ares ciuquantc- iTtli d’après titres, et soi-r f - i centiaresr,.n •« RosséCent Sols traversés par le clieiuiucôiÏ ^ m" deuxMte» M. Vint, « ’uii bout M. de Caters et d autre bout M. Viat et Madanuî Roland do Villnrgucs.

Moy. Diiant, outre les charges le<1 quatorze

... “ • A M. Devouge :lorT Jî'‘nti8reR doterre, d après lUres, ci -viDgt-quaire ares dix ceiuiares, d’après mesurage

M to , '■ " “ “'S . lem nl d’miï vito V, '• r '™ !■»“'foiir ' “ ■

Moyonnaai, omro les clinrcos leeinluanlc

. III. — A M. Floury :

toires de lorro, d ’.i,irCs jijics, et ..oi- x ji 10 clu".iroo soixoiilo-ilixaniliares d ojire,s imisiitogo, lorruir d.i jj-'ilagnï- h. M “ ""niih" do Cll.lilia .'t.i ra - ' “"““I d’un côJo

m ï ; ? .1 ; “ ''.'I'";'. d outre ciiio M.'’° ' ' '“'* " " '" ' 4 ' '“ situs. «1.1-

htou « i'"*’.',"".'" •''■■uliii. d ’unS t o ■ ‘■'outra boutMadi-moiseile d Avessens.

do I:

ranle-doux centiares de terre, lieu dit I l m ère los Miirailios du Parc, tenani du toutes p a rs M. Demnchy

Moyoïmaiit, outre los cliarges. le prix principal de qurnar ctnisfranr*.

2' Six hi-ctaro^ vingt-trois arcs quarauio-deiix centinre» de terre d après titres, et six hectares vingt- six a r .s dix-huii rcmiares, d’nnrès mesurage, lieu dit les Vingt-Cimi Ar­pents, teuanid'un côté M. Demnciiv daiitre côté le mémo et l’llos|iico d()gnon,d un bout lo chemin do l'Or- melet, et d ’autre bout MM. Landragin, Domachy, Ilubori, Gaucher otJodanI

Moyennant, outre les charges, le /)^adc5 ^ thfffc ctnçuan Je

3* Deux hectares trois ares quaire- vinri-sept centiares do terre, fieu dit In ^ re n n o , tenant d’un côté l’hospice 4 ^ 1 0 e t M, Jedart, d ’entre côté et

Moyennant, outro les charges, prix pnucipal do onze crnis Iranc*.

Avec déclaration à .M. ie Procureur ) ia Repubiiqufl ■1' Que i’UMifruitierdes immeiihies

i-dus>us est né te sept Mai mil huit cent lieutu-dcux;

2’ 0«o ladite notilicailon lui était laite, coiiforuiéimmt aux dispo.sitioii.i

qu il eût à prendre, s’il le jugeait cou- yeiiabio, et uunrolit do qui do droit dans un délai do deux mois, iuscrip tlon diiypotiièquo légale sur los im- raoiibiüs sus-designés, faute do quoi icsdils immeubles seraient ot demeu­reraient déliniiivemuut purgés de toute hypoth^uo dn celle nature;nn?iLS“® précédents propriétaires, onire les vendeurs, étaient *v . I a . ' l 'S f ", '■'“1",™ -8m8o-rooss»lnl Mulot cl \ icior-Adnuis Mulot •

Aifre i-l)enis Miiiuei ■

■t- Ej qiio Jous ceux ilii clicr 8w- r ■■"■“ ''''‘I"'* ioscrin-

»J - j Ils IiTJif'iiJm insiii lion conformo-.r«ISi l e o " " ’ “ “

Pour iuscrtiou : Signé ; A. SAINTE-ÜKUVR.

Art. 5.Etude do M* Paul DBLAPORTE

Uccncié on d ro it, avoué b Seuils. ruo da ia République, n* 22.

ï ^ u r s p e J L é g a l e .

SiUraBt «F lfilt d« B é n , fitUiritr k

Neuilly-en-Theilc. en date du six Mars mil imu cent quatre-vingt-dix- sept. euregistré ; ®

Notification u été faite è M. le Pro­cureur do la République près lod ï s 3 s : ® ‘'' instance

A la requête de :

n .w . .? ' ,^“8^“®*Joseph Pommard, majeur, deniuiiraut a Boauvais rue des Jacobins, numéro 13; ’

3* M. Lucien-Alphonse Canchois « f j « do'Hcurant à Neuiliyim m S : '■ '“ ■"l'-

“ Agissant comme co-nro- “ pneiuires indivis de n m -: s i '.'““J" “ ilf .a c h flé p a rJJ . Stanls- « las-Alj)lionso Cauchois, cl- « dessus nommé; »

4 Mxidjimo Louise-odille Hévin®''“,">''8-TWoplliJe Dé

Croii ■‘‘‘l ‘*8l cllo demeura il

î™ ’ '■ ">"1151! seule lidrillfro de -M- Sjtnoii-ndsiré lldviii, son ptre

. 6- Lcdil siciir Dédier, pour «uto-e-''h r i dlieuse el la'ailditüdu ia |irocédnru ;

Li tli.n,’employé do comimTcO’ demeurant à Baiagny ; lihiinnr G'U"les-iMidorc Geolfriu, ins- Mi'llS - à Cires-les-

8’ M. _____ _demeurant

Louis-Francisso Tassarimarchand do clievaux ....... -audi t Bulngny ; '

■'■II»". PIO- pritiairo, demeurant a Bury •10' M. Ilenri-Juies Valift iirarpnr

sur boiS' demeurant audit Baiagny • 11 M. Louis-Jorej-ii Deliure. n ra ’

piielairo. et Madame F ra n ç o is e -C ta u -

autorisée, demeurant ensemble à Clicliy-la-Gareiine, boulevard Natio­nal, numéro 1J8;t o ? * ’ - î/K“ ''*®*EugèueOdemer propriétaire, dimeurani audit Bala-1 P 'y .

n , Co-intéressés 'Pour lesquels domiciio est élu à

90 «n r o® 1 *1® P<’P“W‘que. numéro leur "'■'"I»"».

A la requête do ;

çljwl d 'eœ m m m ^ ’Z to u ’S lS n - r f l T '

J M. J''nn-EmmanuclPéirez.nrota u ii ‘•*“1® Ernesiine-Mélanii* Fraiitz. son époii.'se, de luib k T r i r r h ’v*'* ® r f e ^ r a u l ensom-

adjudioaiion do • Tj.L^n® * B«l»gny-sur-îir^ÏÏ to '!’* P'‘’'''sfl?8 commun, ayant accès sur la route de Cleimont à Boaumont. comprenant deux pièces

nier aii-dossus couvert en tuHos puitxS mitoyen ; jardin de l’antre oôtd du passa®) commun, clos parim o haie on bois, et dans lequel re trouvé toAi - • ®®R® maison tenant d’un

P'issago commun, d’autro ^ l é 01 d’un bout Néron, d ’a u l r e Œ

4 i . « « , ,

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« • ei 19J, sdciioo B. ^' *®l® dressé au

^ “ Tribuntl civil de Senlis, ^d o u x eW v rie i- mil huU'cem qua-

«nregisiré, m us- u> n ®® *®dme jour,

’ £î»3fî« l*60fte, avoué, de la copie collatiODQée et enregistrée de '

Premièrement. - Un procès-ver­bal drw sé p tT H* Collas, nouire MoUo, le Tlngi-quatre Juin mil huii OMt quatre-vingt-quatorze, enregis-

Au profit de H Stanislas-Alphonse Caocbols, moyennant, outre les char­gea, te prix principal de d c m mille êOiMinte-qutnte francs.

^ Sapt.ares quatre-vingts cenüa- i ^ d ap rte titrro. de terre, sis mémo terroir, lieu dit la Colline, tenant d o n ç d té Hévin, d ’autre c^ téhéri- tiprs Renard et Harnault, d’un bout PolfloM*’ *“* hériüers

Cadastrés numéros 116,117,118 et IS I, section C.

Au profit de H. SImon-DésIré lié- vin, propriétaire è Balagny-sur-Thé' raln, moyennant, outre les charges le |« x principal de eenf soUcanie- diss fixants.

3’ Six ares tren te-huit centiares daprM titres, de. terre, sis mômelArmiv lioti Ia niA* iw.

même terroir, lien dit vers Mouv. te- d’autre

côté héritiers Renard, d ’un bout la roule, d autre bout plusieurs.

Cadastrés numéros 1014 et 1015 section D. '

Æ Maison sise audit Balagny- '* Crande-Ruo, vers

Mouy, divisée, au rez-de-chaussée, en deux pièces avec corridor et es- alior; au premier étage, en deux

*Oa ttVOA n«AnlA- . . . .1-

a après, titres, de terre terroir, lieu dit le Clos Hoquet, tenant d u n Marcel Poilleux, d’autre Je foss/** d’un bout Caret, d ’autre

Cadastrés numéros 357 et 368 tien C. ’

Au profit de H. Charles Leflan,- D^yennant outre les charges, le prix principal de ctnguunte fi-anes.

4* Cinq ares dix centiare.s d'après titre^ de ^ r r e , situés même terroir, lieu dit 1 Hôtel-Dieu, tenant d’un cél< Casimir Delille, d’autre Désiié Aubin d un foqut le Rideau et d'autre ' w ote.

Giidaitrés numéro 1076, section B. Au profit de H. Charlos-Isidore

Geolrno, moyennant le prix principal ûe trente francs en sus des charges

0* Trente-huit ares quatre vingt- t u centiares de terre, d’après lities situés même terroir, lieu dit le Maraistenant d’un côté Trouari, d’autre Gi-nart, Gouet, Eloi, Dubois et François d'un bout héritiers Demouy, d’autrô bont la sente.

Cadastrés numéro 245 partie, sec­tion A et 171 section B.

Au profit de M. Louis-Francissc Tassart, moyennautoutre les charges, le prix principal de quinze cent cin­quante finance.

6* Onze ares vingt-cinq centiares de terre, d après titres, sis même ter­roir, lieu dit la Couture, tenant d'un côté héritiers Renard, d’autre Joseph Bonoel. d ’un bout le Fossé des Ma­rais, d auü« bout Dampierre d’Hor- moy.

Cadastré numéro 684, section A.1 M. Claude-Augustin-Admé Pillon, moyennant le prix prin­cipal de cent soUrante-quinze francs en sus les charges.

T Six ares douze centiares do terre, d après tities, sis même ttrroir, lieu dit le Petit Marais, tenant d’un côté veuve Briot et Casimir Eiol, d’un bout Ginard, Gouet, d’autre M ausardetles héntiors Bonard.

Cadastrés numéros 211. 242 243 section A. ’

Au profit de M. Ilenri-Julos Vailet moyennant outre les charges lo prixprmcipaldecenfguatre-i)iMi//s/VflnM.

8* Deux ares ciiiquaule-cinq ceu uarea de terre, d’après titres, si: môme terroir, lieu dit vers Mouy, te­nant d'un côté héritiers licnnegrave, d autre côté Jean-Fraiiçois Grevin d un bout Martin frères, d’autre bout le Rideau.

Numéro 979, section D.Au profitdudit sieur Vallet, moyen-

rn n t outre les charges le prix prin­cipal de trente-cinq francs.

9* Donze ares soixante-neuf cen­tiares de pré, d’après titres, sis inôrne terroir, lieu dit le Petit Marais, te­nant d un côté Jcau-Fraiiçois Grevin et Desclèves, d’autres plusieurs, d’im bout Cantrelle, d’autre Poiret et Du­bois,

Cadastrés numéros 282,283.284 et 286. section A.

10' Et deux ares trente centiares de pré, d ’après titres, sis même ter­ro ir et iieu dit. tenant d’un côté Casi­mir Delilte, d ’autre Nicolas Pulon d ’un bout ia sente, d’autre bout l’ar­ticle précédent.

Cadastré numéro 289, section A.Au prolit de M. Louis-Joseph üo-

lâttre, moyennant ie prix principal do cent quatre-tingts francs outre les charges.

Deuxièmement.— Uncoiitrat nassedevant ledit M* Coilas, notaire le vingt-ciuq Novembre mil huit cent quatre- vingt - quatorze, enregistré coutenant vente par M. Frautz et M «t Madame Petroy-Frautz, sus-nom més, a M. Auguste-Eugène Odeiiier ,

De ouzo ares Irenle-ciiiq centiares de terre, d après titres, sis terroir do Balagny-sur-Tbérain, lieu dit lu Gi aud Marais, tenant d’un coté iiéritit-rspoii- leuxet Soiiière, d ’autre côté Trounrd d un bout Désiré Cliautrello ut autre d aiitre bout Tellier et Danipiorrù dHorraoy.

Moyennant, outre les cliargcs le prix principal de cent qualre-tinais francs. ^

Troisièmcmonl. - Et d'uri autre contrat reçu par ledit M’ Coiiiis „„ taire, les dix-buii et vingt-deux jaii vicr mil huit cent quaire-vingt-dix- sept, enregistré, coniouaiil vente par M. Frantz et M. et Madame Putrcv- Frantz, sus-nommés.

A .M. Loüis-Josi'pii Delattre et dame Françoisc-Ciaudiuü Vittc, son cpuiise ci-dessus nommés, do : ’

r Due Maison bourgeoise, sise à Balagny-sur-Therain, eu la Graiidu- Hue, entre cour et jardin, compre­nant au sous-sol cinq pièces: au rez- de-chaussée. grand vestibule à droite duquel salie à manger, ofllco et cui- »m o,et a gauclio deux salons- au premier étage, quatre chambre à cou-

«'■•'n'”'’ cou­vert en ardoises ; jarilin d ’agrément Knuciie dans

lequel petite serre, puits «vue pompe et réservoir, |iehlo remise et caiiim d aisance ; communs sur la droite sé­parée par un m ur d'appui, consistant en une ov.inl cour avec porte cociière dans laquelle puits .avec immpe, grand baiinii-nt divisé en écurie, gr.inge et

ou d étabio; cour fermée derrière dans laquelle cabanes à lapins, toits a porcs, une ancienne mare briquo- téo, une remise et un hangar: ladite propriété close de murs. Cada.stréc

P*'’*’*'®’ ^62 partie, 193 contient environ

trente et «f^aro.s soixante-cinq cen- liares, et tient d’un ci’dé i-t d ’uo bout

Tmir-de-Viltu, d ’autre côté a 1 article 4 Ci-après, d’un bout -i la sonie.

,2* Trenlo-neuf ares cinq contiorug d après titres, do terre eu pâture, .s|s môme terroir, lieu dit lo Petit Marais tenant d u n bout des sentes et dus deux cotés aux acquéreurs.

Cadastré numéro 228, section A. l u l - soixante-seize ceu-liares, d après litres, de terre, sis

.U1.II10, vauluuiten cen.trucllon ; lo to iË S o r" jô

B. numé-i ®‘ Be»> «l'nnc«l« f l d’un boni l'onlolo promior.

dai.lre cdld Delatlro, d 'aulre bout par devant à la rue.. . . . Ï - J T ” ” » '1 principal do qutnze mille firancs, en sus des charges.

d o W p S C e :^ '' ' '’'’™™'’"r Que ladite notlfloulon lui était

Ih de l’article 2194.Aui^ P°“ '‘ à prendre telle inscription d hypothèque légale U ! dans le délai de deuxinois, faute de quoi les Immeubles ci- dessus désignés seraient otdumoure- ratenldéfinitlvoment purgés et libé­rés entre les mains des requérants dé tomes hypothèques légales ; o S , onciens propriétairessont. Indépendamment do M. Franiz et lies époux Pétroz-Frantz. ven­deurs : '

Madame Barbe liée, veuve en nre- mieres noces do M. Augustu P rater ot en deuxièmes noces de M. Charles- Nirolas Renard ;

p r S r s r ^ ‘‘“ '™Joan-B|int'isio Porllor ot dnmo Ma-

rie-HadeleineGrévio, son épouse : Vicior-Juste Duplessier et dame

Marle-Appollne-Justine Crévin. son épouse ; !

Lucien-Octave Grévin :Jean-Louis Depuilio; Clnude-Auguste Pillon ;Dame Marie-Adeiphino-Léopoldlne

Piilpo.veuvodeJoseph-Armand-Almévirion ;Jean-Louis Toussaint et dame

Alcxandriue-Pélagie Penneiier, son épouse; ’

Jeap-Pierro Granger ;3* Et que les requérants ne con-

aissant pas tous ceux du chef d.-s- uels il pourrait ôiro pris des iiisorip- uns d’hypothèque légale, ils feraient

publier ladite notification couformé- « la v is du Conseil d'Etat du

neuf Mai mil huit cent sept.Pour insertion :

Paul DELAPORTE.

P oiv 1m lam enblM MBMnnu de NeoUly-en-TheUle. I

H le même jour v in K tf u n M a r s « 8®1,

d tra is heures d« relevée,iK LA HAIIIIB DB OIBUDONNB

Par le ministère de M’ Toubtillb notaire.

Pour lea immenblei bIb commune ot terroir de Diendonne.

S 'odreiier pour les renseignementêy A M‘ DEMELIN. avoué è Senlis.

poursuivant la vente ;SAINl'E-llEUVE, OTOué i

Senlis, présent è la vente ;8 ' p h M’ TOURTILLE, . notaire è

dépositaire du ca­hier des charges.

A r t. iSiuvant acte reçu par M« Pillebout.

notaire à Crépy-on-Valois (Oi.se) soussigné, le vingt-neuf Décembre mil huit cent quatre-vingt-seize. M Georges-ïves Avis.sb, négociant, ei Madame Julie Olitibh. son épouse demeurant ensemble à Crépy-en-Va lois, ont vendu à M. Louis-Auguste- Victor-Emmanuel Nsnvo, représen­tant do commerce, demeurant à Vo’ tier-Voisin, commune de Fresnoy-la- Rivière, lu fonds do commerce ou gros en détail d’épicerie, couleurs vernis, papiers peints, vitr rie, vins eaux-de-viu, liqueurs et spiritueux, que .M. et Madame Avi.ssBcxploiicnt et mut valoir dans une mai>on etdôiii-n- danccs, sises à t'répy, rue Tliiurs numéros 1" et 3, moyennant un prix ot aux charges et couditions stipulés audit acte. -

L’entrée m jouissance a été fixée au premier Avril, mil huit cent aua Ire-vingidix-sepi.

Pour l’exécution dudit acte domi- ^ en l’Etude de M Pillebout, notaire.

Pour insertion : PILLEBOUT,

Eltide de M» BmUe DEMEUN, licencié en droit, avoué A Senlis

n ie de Vlllevort, n* 7, '

8or poblloaüoDB Jadiolalros,d’unb

J V l A I S t O N TSise A CREIL,

Quai d ’Amont, a * 34 et 36,BT DB

2 P iè ce s d e T e r reSises terroir de CREIL.

L’adjudication aura lien le l ^ im a n c s h e ^ q M ^ o p z e A ia r «

à diw heures du m atin ,En l’Etude et par le ministère

de M Dbsabib. notaire ACreil, commis à cet effet.

S a d ru H r pour l a n m r i t n m m l t

uÀ 'iu “ ÇxEUN, avoué iSenlis, pouivoivant lavante;i l l r “ * «EUPORTE, avouéA Senlis, présent A la vente;

6ESABIE, notaire A Creil dépositaire du cahier des charges;

AIAZOYER, receveur de rentes A Creil.

Etudes (

M" G. LEVIEOX, avoué à Senlis, meSaint- llilaire, n* 10;

BALÉZEAU X. no­taire u Chantilly.

Aht. 7.Suivant ,iclo reçu par M* Dlet, no-

tairo A Crepy-on-Vaiois. lo viiigi-cinq Février mil biilt cuiii qiiaire-viiigi' dix-sept, M. Louis Bontemps mar- çiioiid ch.nrcuiiiT. épicier ei déliiiaut de vins, ut Madame Aiigusiino Me- LAYB son épouse, deCrépy. ont vendu A ” •.}•'■>» ^0 ' ION et MadameAngèlc-Loiiiso FmoN, son épouse, du Pans, rue Cardliict. numéro 88. Je rmids de commeroe do marciiaiid charculiur. ufiicier ot débiiant du vuis qu lis font valoir dans une maison A Crépy, rue Fai<ilieibe, miméio 4 audi'l’ach * Pnxul conditions indiqués

L’entrée en jouissance a été fixée au prumiçr Avril mil huit cent quo- lre-vmgt8ix-sopl. et domicilu a été élu à Ciepy, en l’Etude de M’ Diel.

Pour insertion :DIET.

Art. 8.Suivant acte soii.s signaiiircs nri-

vees, enrughiié, «.Théodore Dlci!ot. maruciia -i-rr.ntit ;i Soniis. a cédé à M. ÜuKiré BouiLLy, ouvrier maicchal a Seiiiis, te fonds de maréclialuric qui! exploitait .i Senlis, rue des Vignes, iiK.yunrjniil le prix et lescou- ditiotis énoncés audit acte.

Entrée en joui.ssanco le nremiur Mars mil huit cuiii quaire-viiiut-dix- -sept et uluciioii de domicile un l Eiudt do M’ Foulon, huissier .i Senlis.

Pour insertion : FOULON.

Î2 1 5 5 2 T «C P C aP ar suite de licitation,

1* d ’ün b

M A I S O I Vse A COïË, en la Grande Rue;

3* d ’unb a u t b b

m A l > U NSise A COYE, Heu dit le Four à Chaux;

s ares 1 9 cent J g J g p p g

Terroir de LAHORLAYE;4' BT

l O i a r e s g g c e n t J , .

Terroir do COYE; L’adjudicatioB aura lieu le

D i m a n c h e v i n f r t - u n M a r s 1 8 9 - 7 ,

a deux heures de relevée.En la Mairie de Coye,

Par le ministère de M* UalAzbaux notaire A Cbamilly. ’

S’adresser pour tous renseigaements : 1’ A M* LEVIEUX, avoué A Senlis.

poursuivant la vente;2; El A M- DALEZEAUX, notaire a

Chantilly.

Elude de M'DOMODUM, notaire ALaFerté-MiloD.

tOk 2 2 “ 7 3 “ d e P ré sEU PABTIE PIIIITCS

Situés terroir de LA PEHTi-MlLON. près de la Gare

et le Canal de l’Ourcq,X vendre par adjudication

En 11 laotB,La Dimanohe 21 Mars 1897.

d une heure précise.A La PiBié-MiLoif

j P*** *® ministèrede M Dümouun, notaire.

m é u b At u d b

M* CHARTIEB, avoué A Pontoise.

î t t M tOfA t aAu Tribunal de Pontoise,

l u n d i U Mars ta v j, i m idi.En ploslears iota e t snr dlvereM

mlM8 A prix

Mitison avuc Ja rd inSise à VËHARS,

72 P iè ce s de T e r reP i l É & B O I S

terroirs de V én ia ra, U In t-W ilx , Survllller*,

t ^ p o h e a , Fobsbb, CfiennavlÂ- ^ B - ié B -U u v r e a , A pnouvllla, B onneu I, MouBBy-la-Nauf, Nan- taull-la-H aiiilouin,Laany-ia-Sao et La Cliapalla-en-Sapval;

M aisun av ec Ja rd inSise A Nxntbuil-lk-Haui>ouin;

Petit Corps de FermeE t a n J a r d i n

Au même lieu ;

Deux Coupas.Deux VIetorias. , -----------------

74 0»' de TerreS la 'lS iS àîl'S '1 tb e îïl* ’ ™ ’ P tS s I I H A t lS EEt quantité d’autres objets. ■ 1 A 'v e n d t B p a r S o U l id je a t io n

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Le Mardi é t Mars, à i heures, *

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U N E M A I S O N I “• P*“ l ^ i i l s t è i é deo, A ^ ^ * * 1 E Lombois, notaire APrécy-

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