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Cidmef / Arch , CONFËRENCE INTERNATIONALE DES DOYENS DES FACULTf!S DE Mf!DECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE 1 1 1 1 AFRIQUE AU SUD DU SAHARA 1 ET MADAGASCAR 1 BtNIN 1 BUAKIHA'f"ASO :1 .URUNDI j CAMEROUN CINTR"f"RIQUIt CONGO COTit O'IVOIRE GABON OUIN*r: MADAG"SCAN MAU NIQIUt RWANDA S!Nt<JAL. TOGO ZAIRIE CANAO:" QUItBEC MAGHREB M.atRIE MAROC: TUNISI. EUROPE B.LtJtQUI (1"ItÂNCO",ONln aUlsa. ( ........COfl'HO... ' ""AN cr: HAITI LJBAN PRésiDENT: A. QOUA:zt (fl'RANCIl:) VICE·PA.ê:SIOENTS: A. YANGNI.ANGATt (AI"RIQUa: AU SUD OU SAHARA) G. PIGBON (CANADA' QutBlitC) (SI Illas RtSltRvt) MAGHREB Dlè REUNION PLENIERE DELA CONFERENCE INTERNATIONALE lIèmes Journées Médicales du Gabon Libreville -samedi 24Janvîer 1987 , Président : A. GOUAZE Vice'"Présidents : À. VANGNI-ANGATE G. PIGEON T. CHKII.I COMPTE-RENDU SONT PRESENTS POUR L'AFRIQUE AU SUD OU SAHARA ET MADAGASCAR I.DIOP-MAR(Dal<ar) - A. - M. FOFANA (Conal<ry) - H.V. KINIFFO (ColonOl.Jk E. ALlHONOU (Colon ou) - A. BA (Bamal<o) - H. SEKOU (Niamey) - R.OUIMINGA (Ouagadou- gou) - A ITOUA-NGAPORO (Bra;i:zaville) -M. OLIVEIRA (libre- ville) - C. NGUEMBV MBINA(LibreviJJe) - P. CARTEREl' (Vaoundé) R. SIOPATHIS (Bangui) - E.NDABANÉZÉ (BUjumbura) .. S. BARARENGANA (Kigali-Butaré) - J. ANDRIANJATOVO (Antana- nananyo) - A. NAKPANÉ (Lomé). POUR LE MAGHREB T. CHKILI (Rabat) - A. HAROUCHI (Casablanca) - M. BELHADJ (Oran) -,A. GHACHEM (TuniS) - M. BEN FARHAT (Monastir). ptROPJl:SSIlUR A. OOU"'%11: DOyeN Olt LA FA.CULTé: DE NltOEC1NIt BI8, BOULltVARD TONNBLLt· 8 .... :$223' 37032 TOURS CItOBX (,,"RANCE)' TitI... 41'37-""'73 PROIl'.SSEUA A. 'tANGNI"ANGAT* DOYEN Olt LA ttACULTt Dlit MaDftCINE P.p'. V. HSO' ABIDJAN (COTit D'IVOIlUl:)' Tt .... "ROI"1I:5".UR c. ,.IGaON DOYEN Olt LA. ""CULTt Da. MtOECINE UN1V&RlS1Tt Olt SHI1RBROOCKE QutSIC <C",.lAOA) J1H fiN" Tilt.. $tlIH'OS'50'O!:l

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,CONFËRENCE INTERNATIONALE DES DOYENS

DES FACULTf!S DE Mf!DECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE

1

1

11 AFRIQUE AU SUD DU SAHARA1 ET MADAGASCAR

1 BtNIN1 BUAKIHA'f"ASO:1 .URUNDIj CAMEROUN

CINTR"f"RIQUItCONGOCOTit O'IVOIREGABON

OUIN*r:MADAG"SCANMAU

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MAGHREB

M.atRIEMAROC:TUNISI.

EUROPE

B.LtJtQUI (1"ItÂNCO",ONln

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HAITI

LJBAN

PRésiDENT: A. QOUA:zt (fl'RANCIl:)

VICE·PA.ê:SIOENTS: A. YANGNI.ANGATt (AI"RIQUa: AU SUD OU SAHARA)

G. PIGBON (CANADA' QutBlitC)

(SI Illas RtSltRvt) MAGHREB

Dlè REUNION PLENIEREDELA

CONFERENCE INTERNATIONALE

lIèmes Journées Médicales du GabonLibreville -samedi 24Janvîer 1987

,Président : A. GOUAZE •Vice'"Présidents : À. VANGNI-ANGATE

G. PIGEONT. CHKII.I

COMPTE-RENDU

SONT PRESENTS

POUR L'AFRIQUE AU SUD OU SAHARA ET MADAGASCAR

I.DIOP-MAR(Dal<ar) - A. VANGNI-ANGATÉ(A~idjan) - M. FOFANA(Conal<ry) - H.V. KINIFFO (ColonOl.Jk E. ALlHONOU (Colonou) -A. BA (Bamal<o) - H. SEKOU (Niamey) - R.OUIMINGA (Ouagadou­gou) - A ITOUA-NGAPORO (Bra;i:zaville) -M. OLIVEIRA (libre­ville) - C. NGUEMBV MBINA(LibreviJJe) - P. CARTEREl' (Vaoundé)R. SIOPATHIS (Bangui) - E.NDABANÉZÉ (BUjumbura) ..S. BARARENGANA (Kigali-Butaré) - J. ANDRIANJATOVO (Antana­nananyo) - A. NAKPANÉ (Lomé).

POUR LE MAGHREB

T. CHKILI (Rabat) - A. HAROUCHI (Casablanca) - M. BELHADJ(Oran) -,A. GHACHEM (TuniS) - M. BEN FARHAT (Monastir).

ptROPJl:SSIlUR A. OOU"'%11: DOyeN Olt LA FA.CULTé: DE NltOEC1NIt~ BI8, BOULltVARD TONNBLLt· 8 .... :$223' 37032 TOURS CItOBX (,,"RANCE)' TitI... 41'37-""'73

PROIl'.SSEUA A. 'tANGNI"ANGAT* DOYEN Olt LA ttACULTt Dlit MaDftCINEP.p'. V. HSO' ABIDJAN (COTit D'IVOIlUl:)' Tt.... a2~·""·4a·to

"ROI"1I:5".UR c. ,.IGaON DOYEN Olt LA. ""CULTt Da. MtOECINEUN1V&RlS1Tt Olt SHI1RBROOCKE • QutSIC <C",.lAOA) J1H fiN" • Tilt.. $tlIH'OS'50'O!:l

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POUR LE LIBAN

A. GHOSSAIN (Beyrouth):n:,.

POUR LE CANADA-QUEBEC"" ..;.;":N,"C""~ .""~

G. PIGEON (Sherbrooke)e, ,Y.GAUTHJER (Montréal) - P. POTVIN(Québec-Laval) - .J...MATHIEU(MontréaJ) - B. LEFEVRE (Vice-DoyenOttawa - repré~entantle Doyen HURTEAU).

\~;j,?l:~ -_·_······POUR LA BELGIQUE·· '. .!f.t: " "', "~Co \',< \,:',',>:::::~:",:<,,',',_,J.-':,:,','_'_':.-::,

P. MASSON (Louvain) - l: JEANMART (Bruxelles).

-<'::',:', ..,',: ':.-::'.;,-;,'

PERSONNALITES EXTERIEURE'i~.. .....consultatif ... ~

Mme H: DELR. .Ministre) '" PRelotionsN~tionale)DocteurS.ProfésseuAPPMP) , ';'cM:\'Enseigneme!l!Ii,$rAmbossade",ne '.(Ancien Tjôyèn,. A'" Professeurs;AMI .de Radiologie) '",J~riJ~'Supports techniques;de

istant.1l la Réunion li titre

~:,t1e':ltlcoopératiol1- Cabinet ducUon 'de III Cooperation et des• Frllnçai~ d~ l'Education

..0 LIbreVIlle) - Mme leonol de l'Enfonce) ­

"la Presse Médicale et',dé la Coopération ­Conseiller Culturel li

esseur; N. BENELKADI(Vice-Doyen - Tours)nçois des Enseignants

Louvain - CommIssion1• de la Conférence).

SONT EXCUSES--:<',,:;},<,-::<:,\;::~,::,< :(", ',. #.

R. NDOVE (Dakar) - M. TOGA (Mll(Seille) '" Cl. aETOURNE (Paris-Ouest) ­G. GRIGNON et F. STREIFF (Nancy) - A. DIFF (Alger) - H. JEDDI (Sfax) ­M--1EDDI ,'ÇSousse).":'JG;'CUENIJt-r;j(genève)· -. P. ZECH (PrésidentUnlYerslle.-: L!lon)'"G.M~YNIEL .(Clermonl-Ferrond) - J.Y. LACUT(Bordeaux) '" J.P. DIDIER (DI.)on) ":'J. REY (Pons-Nécker) - G. CREMER(Poris-Cochjn) - J. CLlM6ERT(Pons-Solnt-Antoine) - J.C. LEGRAND(Pons-Pitié) - M.SIMON(Renl1!ls! -: .J.M. MANTZ (Slros!bourg) -J.P. SEGUElA{Toulouse);~'~*'""'r ,'" '.."

.' " "', ',".,' ';<;i/;~-:;- ':'c>',·.',',

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SEANCE SOLENNELLE D'OUVERTURE

.

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La Vlème RélUüon de la Conférence est ouverte parMonsieur Jules BOURDES OGOULlGENDE ,Ministre d'Etat, Ministre desEnseignements Supérieurs et de la Re.cherche Scientifique duGouvernement Gabonais.

,Le Président A. GOUAZEsouligne d'abord la précieuse

signification que la Confére!1ce "eut attacher à la prése!1ce du Ministred'Etat. Elle veut y voir une reconnaissance et un encouragement.

Le Président prâsente ensuite la Conférence et ses principalesoptions, diffusion de l' iJ)fonnation scientifique et technique,recherche coopérative et fonnatiQ!1des hommes à tous les niveaux.

Il insiste enfin sur l'esprit avec lequel la Conférenceconduit sa Coopération Médicale Universitaire, esprit de service,de MULTILATERALlTE et de liberté.

Le Ministre d'Etat; à son tour, souligne combien la Conférenceest devenue aUX yeux de l'Afrique lU'l réseau exemplaire du dialogueuniversitaire dans le monde d'expression française et il souscrittrès complètement à Ses optio!15 maisinsistepartiçulièrement surles problèmes posés par la fonnatipndeshOllUlles !1otannnent aujourd'huides futurs spécialistes. Le Gabo!1, par exemple, n'est à même, pour lemoment, d'engager que deux cursus de spécialités, pédiatrie et gynéco1ogie­obstétrique.

Le Ministre d'Etat tient ensuite à assister eux premièresdélibérations de la séance ordinaire de travail relatives aux Opérationsconcrètes conduites par la Conférence.

Une courte interruption de séance permet ensuite au Ministred'Etat de se retirer.

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SEANCE DE TRAVAIL ORDINAIRE

En ouvrant la séance ordinaire, le Pr~~siderlt

- se félicite dè ce que pratiquement tous les Pays membressont représentés, dont de nombreux par tous les doyens,

- accueille chacun des J1!eII1bres de la Conférence siègeant pour laprenière fois en Réunion plénière

"., M "~,;::,:~<:-~,~';"-""'- '-;"";;\'-'>':';"':r:S:;jIî.k'~:'i;';;,i;,;c:',~;,\~:,~.;,,.~p.':;'~";' ;~"".;::',,"::.' ;.~: ,;",.; .:'::_:-:;."''':;''''"uÇ;ceSSeur de A. SRAIRI,2~~:;~ur de J. NAFFAH,

C. VROllSSOS C Grenoble) suc~esseur de R. SARRAZIN,, "c.<',,',:

, ' ,succllsseur de P. GRANfMOTTET,;~,,; dOit succéder à R.V. KINIFFO,

/:~-'Y::/-":"',' - -;. ','sseur de A. AMEIX::ME,

eSseur de ,J. ROŒlJN,

"n.prédécesseur la reconnaissancetous ses membres dont la sieme,

ftésextérieures invitées à la réunionet de l'lùde précieuse qU'elles vont

rence, ,

.4éjlluner a rassemblé dès le toutes de la Conférence, dans une

{(CapJ3sterias) ce qui a permis, membres, les rencontres précocess,et:plus fructueux tout au long

,cemeles 'Opérations concrètes de la'rts, préliminaires ont été diffusées'coI.\Ts, de Réunion en ne s'attardant,

'qûè sur les derniets développements

- rappelle enfin, 'aûssi', qu',une réflexion sur "le Rôle des Universitésdans lès1Stratégies ,de:fà,'Santépour Tours" est inscrite 11 l'ordredu jour de la Réunion à partir de trois rapports CA. YANGNI-A'\GATE,A. GHACHIM, A. GOUAZE et M. GUEROIS).

',' , '" ".,,«\ ,,','.

Le Président aIU1once,enfin 'élection de T. OOILI (Rabat) en qualitéde Vice-Président de la Conférence Internationale pour les Pays du ~1aghreb.

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1. DIFFUSION DE L' INFORMATION SCIENTIFIo.UE, TECHNIQUE

ET PEDAGOGIQUE

Il. OPERATIOÀ "BIBLIOTHEQUES"

- RAPPORT DU 6.12.86 DIFFUSE AVANT LA REUNION

- DERNIERS DEVELOPPEMENTS

- CONCLUSIONS

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DES FACUL.TËS De: MÉDECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE

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PRltSJOENT : A. GOUAZE (FRANCE)

VfCE~PR4sI0ENTS1 A. YANQNI~ANQATt(",,"'AIQUll AU 3UQ CV S"'''' •. '''''.G. IlIG itON (CANADA' OU talle)

(SICCU: Rt:UtJltvt) MAQHR••

,CONFÉRENCE INTERNATIONAL.E DES DOYENS

SUC DU SAHARA

<'OTI: O'IVOIl".

G".ONQUINte... .40AGASeAR

RAPPORT

SUR L'OPERATION"BIBLIOTHEQUES If

"WAHDASIl:HtcUl.TOGOZAIlll;C

,André GOUAZE

6 Décembre 1986CANADA' QU4SEC

MAGHREB

ALGt"11Iw."oeTUNIS'"

EUROPE

••LGIQUtr ~1't1"'NCQ""ONII

SUI:UU:: (II'.AN(::O"'"O""

""ANca

MAI'"

L'opération "Bibliothèques" de la Conférence a débutéen 1979 grâce à l'a~de du Ministère Francais de la Coopération,avec la dotation,des ETABLISSEMENTS D'AFRIQUE FRANCOPrKlNE AU SUD.DU SAHARA, d'une BIllLIO'IHEQUE MININALE (Revues - Collection del'E.M.C. - Ouvrages de base dans les disciplines essentielles ­Manuels pour étudiants).

. Une "!'olISE A JOUR". AJ'INUELLE a essayé ensuite de prendreen compte les sounaits les plus pressants des Etablissements,pour ce qui concerne les Ouvrages et d'assurer le suivi desabonnements aux qUelques 20â 30 Revues et aux Mises à jourde l'E.M.e.

En 1984, à la demande des Etablissements, le BureauPermanent a souhaité que les opérations annuelles apportentnotanrnent une dotation en l1)a;I!uels en nombre pour les étudiantset que lesEtablissementssbient dotés des abonnements à l'IndexMedicus et aux Bulletins Sign,üétiques du C.N.R.S. (Sciences II ba \'ieSciences Médicales).

Parallèlement. la Conférence a réaliséfavec l'aide duMinistère Francais de la Coopération, une MISSION D'I:VALUATIO.\DES BIl3LIOTtiEQUES ET AUTRES AIDES PEDAGOGIQUES. La PHASE lde l'opération a conduit en Juin-Juillet 1983 le ProfesseurJ. LEROY en Afrique Centrale, avec Cotonou, Libreville, Brazzaville,Yaoundé et Bangui. Cette phase l a aussi conduit le ProfesseurA. MAZER à Madagascar et le Professeur J. MATHIEU en Haïti.La PHASE Il a conduit J. LEROY, en Novembre-Décembre 1984 puisFévrier-Mars 1985 en Afrique OCcidentale avec Abidjan, Lomé, Bamako,Niamey. Ouagadougou, Dakar et Conakry.

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...-orUUUR A. GOVAzt DOYIN DI LA. ''''CULTt DI tdOIClttl2 OIS. "OUL.VARD TONNELLE ~ D,". :12,2.3·3'0.12 TOURS ctCI:X (",...,Nell)· TtL... ,·"·•• ·1 S

""OP'ISSIUA A........NGN1· ... NQATi: DOYEN DC LA , ...CULTe: Olt MItPe:C::lNC.,P. V.t4è ~ ABIDJAN (COTit D'l'laiRd -TtL. 225·4 ....·.2·'.

"'''OI''CS3I:U'' Q. ,.I(;I:ON DOYf,N DE 1.A. l''ACULTt DI MtOI:CINEUNIVEMS1Tl!: or: 3HI!"ROAOOCKe:· autacc (CANADA) J1H IHU . TitI- .llit·tJ."·ss·s"

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Ces missions ont permis de formuler des propositionsconcrètes qui ont donné un caractère très concret à l'opération.

A la fin de 1984, une OOUVELLE DONNEE MAJEURE est venueconfortée l'opération. Dans le cadre d'une opération conjointe,la Conférence et le Syndicat National de la Presse Médicale (SNRol)avec l'Association pour la Promotion de la Presse Médicale de,Langue Française (APPMF) ont demandé aux Editeurs français

- d'une part, de servir à partir du 1er janvier 85un abonnement à chacune de leurs Revues Médicales essentiellesaux Bibliothèques des Etablissements de formation médicaled'Afrique Francophone au Sud du Sahara, Madagascar,Haïti et Liban,

~ d'autre part, de cOnsentir à partir de la même dateun service de presse aux mêmes Etablissements pour chaquenouvel ouyrage édité enéd.ition ou en réédition.

tous les Editeurs Ont accepté.

Les Revues et Ouvrages sont centralisés à la BibliothèqueUniversitaire de la Faculté de Médecine de Paris - Xavier Bichat.Les ENVOIS GROUPES se font vers les Etablissements concernés avecl'aide du Ministère Français de la Coopération par AI~ŒC et parl'intermédiaire des Missions Françaises de Coopération à raison de4 A 5, PAR AN, pat voie aérienne et éventuellement, pour les envoistrès lourds, de monographies par voie maritime. Aujourd'hui, dans lecadre de cette opéra1;ion en pleil) épanouissement., sont conduitesplusieurs composantes

- Revues,Ouvrages nouvea~(éditions) - avec le SNF'!>!, l'APINFet les Editeurs,

- Numéros manquants aux Collections de Revues - avec lesEditeurs et les Bibliothèques des C.H.U.,

- Comptes-rendus des Congrès et Colloques des Sociétés,. Revues très spé<;ialisées ("pointues") - avec les _So,ciétés

savantes,

- Documents d'enseignement, cours de perfect}onnement ­<lvee les Collèges d'Enseignants,

- Polycopiés d'enseignement à l'intention des Enseignants ­avec les Facultés de Médecine,

- Editions spécifiques et collections de documents d'enseignement(diapositives ••• ) - avec l'Industrie Pharmaceutique,

- Mises à jour annuelles des "Bibliothèques"

- Index Medicus, Pascal Sigma du CNRS,- Mises à jour de l'EMC,- Ouvrages et manuels souhaités par les Etablissements,

avec le Ministère Français de la Coopération.

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Ainsi. dans le cadre de l'opération "Bibliothèques"

troi~ envois ont été acheminés en 1985 à partir de la BibliothèqueUniversitaire de Paris II (Faculté de Médecine Xavier-Bichat)en direction des Etablissements du groupe 1. En 1986, cinq envoisont eU lieu dans l,es mêmes conditions

- ENVOI 86-1 - Février 86 - voie aérienne.

Etablissements du groupe l - POLYCOPIES d'enseignementpour enseignants. M::JNOGRAPHIES des Laboratoires,

. C.R. colloqu\\s de recherches lNSERM et CNRS,OWRAGES NJUVEAUX, brochurèsCIE, collectionsDIAPOSITIVES des Laboratoires •

Etablissements du Groupe 11- POLYCOPI~S d'enseignementpour enseignants, M::JNQGRA1'HIES des Laboratoires,C.R. colloques de recherches INSERM et CNRS,OUVRAGES hPUVEAUX, .brochures CIE, collectionsDIAPOSITIVES des Laboratoires, RAPPORTS COKGRESFrançais de Médecine )977 à 1985.

,.- ENVOI 86-2 - Avril §6 - voie aérienne.

Etablissements du groupe l -REVUES. 90 titres.

- J:NVOI 86-3 - Juillet-Septembre 86 - voie aérienne.

Etablissements du groupe l - REVUES à l'ordinaire,(70 kg.)

Pour Abidjan,Yaol,l1ldé, Ouag<idougou, Niamey, Butaré,Bangui et Sousse - NUMEROSMANQUANfS aux collectionsexistantes (lJ\CUNES) pour ces Etablissements qui enont fourni la liste.

- ENVOI 86...4- Novembre-Décembre 8(\ - voie aérienne.

Etablissements du groupe l _. REVVES à l'ordinaire,OUVRAGES édités. M::Jl>lJGRAPHIESdes Laboratoires,POLYCOPIES d'enseignement.

Et<iblissements dl.!. grol.!.peU- M::JmGRAPHIES,POYCOPll~·d'enseignement.

- ENVOI 86-5 - Décembre 86

Il s'agit de la "MISE A JOUR 1985 DES BIBLIO'ltlEQUES"avec donc des abonnements 1987 11 l'Index 1-1edicus,Pascal-Sigma, CNRS, Mises 11 jour de l' El-IC et desOuvrages et Manuels par les Etablissements.Groupe l avec une opération de plus grandeimportance pour Conakry.

Groùpe l - Etablissements des Pays d'Afrique au Sud du Sahara et

Madagascar, Halti et Liban (18 Etablissements).

Groupe II ; Etablissements des Pays du Maghreb (10 Etablissements).

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Il faut souligner par ailleurs que

• La REVUE D'EDUCATION MEDICALE qui s'est restructurée et aorienté ses objectifs, est diffusée directement dans lesEtablissements membres,

- Comme cela a été recommandé, lors des Réunions antérieures,

-TOUTES LES COMPOSANTES de l'opération SONT DEVELÙPPEESdans toute la meSUre du P9ssible,

.- T()(JTES LES REVUES DE LANGUE FRANCAISE SONT SOLLICITEESpar rappel aux Editeurs Canadiens, Belges, Suisses,du Maghreb et Africains,

- Le rythme de croi.si.êrepour ce qui concerne les envoisest atteint dès cette année 86.

REC~ATIONS DU BUREAU PERMANENT

- Lacompos::mte "NUMEROS MANQUANTS - LACUNES" doit être intensifiée

et un nouvel apPel est fa.it aux Etahlissements quLn'ontpas adressé

de relevé des lacunes de lel.lrs 'çollectionsde Revues •.

- La composante "POLYCOPIES D'ENSEIGNEMENT" mérite d'être développée

carelle s'avère très P9sitive et doit intéresser TOUS les

Etablisseme.nts. Les problèmes pratiques d'un échange très large

entre TOUS les Etahlissements (Maghreb, Afrique, Europe,. Canada)

serontétud,iés. .

- Les Etablissements du MAGHREB doivent bénéficier des envois

de REVUES, ce qui leur permettrait de reporter leur possibilité

de financement sur d'autre.s besoins.

- Il est veillé à ce que Beyrouth et Haïti bénéficient, comme

les autres Etablissements, de l'Index Medicus et des Mises à jourde l'EMC.

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DERNIERS DEVELOPPEMENTS

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- Toutes les composantes de l'Opération sont suivies avec attentionavec un effort particulier pour ce qui concerne les NlMEROS Mi\NQUAi'ITSAux COLLECfIONS DE. REVUES (tous les Etablissements n'ont pas fournila liste des lacunes de leurs collections)., ltes POLYCOPIES D'ENSEIGNFNEi\'Tà l'intention des ENSEIGNANI'S (plusieurs f;1cultés françaises ont déjàadressé à BICHAT une sélection de leurs meilleures productions) et lesMANUELS DE BASE POUR ETUDIANTS quidoiv~ntfigurter dans les bibliothèquesen nombre suffisant.

Lorsque les Etudiants auront à leur disposition polycopiés spécifiquesrédigés par leurs Enseignants et manuels de base à·la Bibliothèque,l'ENSEIGNEMENT TIlEORIQUE pourra être A\iENAGE pour devenir MOINS SCOLAIRE,PLUS UNIVERSITAIRE et donc plus efficace (la dictée pourra disparaître !)

Une OPERATION ''MOYENS DE PRODUCfION ET REPRODUCfION" avec système machineà traitement de textes-photocopieuse (et bien sÙr, formation du personnel)devrait résoudre le problème des P?lYCOpiés. Par ai~leu:s, la ''MI~E AJOUR ANNUELLE DES BIBLlotHEQUES" Clncluse dans l'OperatIon) devralt peuà peu résoudre le problèn\e des manuels de base surtout si des MOYENSCQ\lPLEMENIAIRES peuvent être dégagés.

~. La REVUE D'EDUCATION MEDICALE organe.de 1;1 Conférence Internationale,s'estrestructuréeeta réorienté ses objectifs. Elle fait partie del' "Opération llibliothèques" et chacun a pu juger qe sa nouvelle qualité.

- La NOUVELLE REVUE "INTER-FAC ÀFRIQUEorgane de ;La Confértence des Doyens. des Facultés de Médecine d'Afrique Noire d'Expression Française et crééepar 1. DIOP MAR sort son numéro 0 quip;1rviençjral;ln nombre aux Etablisse­ments Oans le prochain envoi de l'Opération Bibliothèques à charge pourles Doyens d'enassuTer la qistribution à leurs Enseignants.

- Une OPERATION SPECIFIQUE d'aménagement et d'équipement de la BIBLIOTHEQUEde CONAKRY est conduite avec l'aicltedu Ministère Français de la Coopération(1986-87)

- Enfin, surtout l'OPERATION BIBLIOTHEQUES" a été proposée aux Connnissionsqui travaillent Oans le cadre du CCMITE 00 SUIVI DU SCMMET DES ŒffiFSD'ETAT FRANCOPl-ONES ET RETENUE pour être prise en charge par le Comité.La décision définitive doit être arrêtée lors de la prochaine réuniondu Sommet et du Comité qui doit se tenir en Septembre prochain au Québec.

Il est certain que la proposition des Commissions reconnait l'Opérationcomme exemplaire (elles proposent aussi son extension aux autres ordresde disciplines !). Son intégration dans les Opérations du Suivi luiapporterait ,un plein épanouissement définitif et permettrait de reporterun financement précieux sur d'autres Opérations.

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CONCLUSIONS

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- La Conférence considère que la MlJI'ATION PROGRESSIVE DE L'ENSEIGNElffiNTWEORIQUE EST ESSENTIELLE.

L'effort visant à doter les Enseignants des meilleùrs polycopiés deréférence et les Bibliothèques des manuels de base en nombre suffisantpour les étudiants doit être intensifié. TOUTES LES FACULTES qui enpossèdent DOIVENT SELECfIONNER LEURS MEILLEURS POLYCOPIES et les adresserà Bichat (28 exemplaires).

- L'OPERATION ''MOYENS DE PRODUCfION ET REPRODUCfION" devient me ur'gence.Elle doit être souple dans sa formule (sans négliger la nécessaireformation du personnel), et prendre en compte les problèmes de main­tenance du matériel.

- L'OPERATION SPECIFIQUE SUR LA BIBLIOTIlEQUE DE CONAKRY est excellente.Il serait non moins excellent que la Bibliothèque de BEYROUTHsoit aussi l'objet d'me opération spécifique identique et qu'uneffort particulier soit consenti vers les Bibliothèques d'HAITIet MADAGASCAR.

- La Conférence se félicite enfin de la reconnaissance de l' "OpérationBibliothèques" par les Commissions du CCMITE DU SUIVI DU SCMI1ET DESo;EFS D'ETAT FRANCOPHONES. Elle souhaite que le Comité et le Sommetadoptent définitivement l'Opération en Septembre et prennent ainsi en chargeSON PLEIN EPANOUISSEMENT. Elle charge le Président de veiller au pleinaboutissement des négociations.

,L'opération aura alors fait la preuve de son exemplarité avec son extension

propre, avec son extension aux autres disciplines de Santé et aussi son extensionaux autres ordres de disciplines,.

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- 12 - ,

12. OPERATION "BIBLIOGRAPHIE ­ACCESAUX BANQUES DE DONNEES".

- RAPPORT DU 10.12.86 DIFFUSE AVANT LA REUNION

- DERNIERS DEVELOPPEMENTS,- CONûLUSIONS

1

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- 13 - ,CONFÉRENCE INTERNATIONALE DES DOYENS

DES FACULT~S DE M~DECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE

",P'AIQUiEAUSVO CU $AHARAt:TMAO,6,GA5CAR

."NtN

.UJltJ'CIH,,·fI'ASO

liV'Ù,lNOICAME"OVNC«NT"A'IUQUICONGOCOTe O'lYOIlt&

4 ....0,.GUINIJ:)l4ADA~".çA'"

"".~,~"'-:-]if;li"l;r·

NleU;""WANDA.II:Nt:QALTOGO:tAllit.

PReSIDENT: A. GOUAxt Ü'AANCll)

VICE-PRE:t;IlPENTS 1 A. "'...NGHt·... NO...TI: ("""UQl,le AU .UO OU SAt-U.·Jt ... 1

G...lGllON (CANADA· QUll:8C<:)

Cl$ltOC".II11RVt> MACH"••

RAPPORT SUR L'OPERATION

- "BIBLIOGRAPHIE ET ACCES AUX BANQUES DE DOl\'i\'EES"

ID Détembre 1986,André GOUAZE

e...NADÂ"Qu4SEC

'WAGHRe:a

...1.(1.",.""'lOCTtJNUlI1:

- Les abonnements à l'INDEX MEDlaJS etau PASCAL SIGMA CNRS et maintenantau COURRIER DU C.I.E. et à l'INDEX MEDECINE TROPICALE CNRS ont ouvertl'opération définie il y a trois ann~spar la Conférence.

.1t.I::'IOUC (i"IIIAf'tCCU""ON.':tUISSIll ("....NI:';U·"O".I

'''ANce

- La "Cellule de Bibliographie" de:l.aGçmfé:rence (Secréta:riat à laFaculté de l>!édecine de Tours) fournit, sans fr1?is , listings puistirés à part à partir de mots-clefs et de terminaux interrogés par lesEnseignants de la Spécialité •.

La cellule a ainsi répondu, au cours de ces deux dernières années,à de nombreuses demandes d'enseignants (publications et rapports)et d'étudian!:s (préparation de !:hèSl'l)de Ouagadougou, Abidjan, l\iamey,Bujumbura, Libreville, Co!:ono\.i,Bey.rputh•••

- HEDEXI'RESS, édi!:é par l'M'FM!', sous le patronage de la Conférence,es!: une REVUE BIBLIOGRAPHIQUEHENSUELLEDES S(M.IAIRe9 DES PRIl\CIPALESREVUES MEDlÇALES DE LANGUE FRANCAISE •. Médexpress oçcupe maintenantle créneau des "CURRENT CONTENTS" en bibliographie médiçale de LangueFrançaise.

Medexpress dont le premier numéro a paru fin 1985, a été creeà la demande des prindpaux édi1:eursfrançais à l'ini!:iative de l'.'cPi':'IF.

Il est devenu un trait d'union entre les Facultés de Nédeçined'Expression Française et il fau!: no!:er que des pages son!: réservées,sur recommandation de la Conférence, aux Revues afriçaines, afin d'aiderà leur promotion et à leur diffusion.

""O"U~EVR A. oou,,:;* DOVIEN Da t..A. ","CUL,TtOt: MtOltClNlt2 81:S. BQUt.E.VARO TONN~l.Lt - D.". "23 - 3703a TOUAS ctDltX V'RANCi::) • TtL. "'l"37'l!I4'7S

l"flto"':SSI:UR A. YANGNhA.HOATt DOYEN Olt LA ,.,,(:u\.:1'* Oll MtoeCJNail."'. Y.Hla· ... 810JAN (COTI; O'l\l'Oll'tl) ~Y*L. a:l15-".·"';I-16

""Ol'"t:'U:uflt G. ",tO(ON DOYEN DE LA f"ACUL.Tt Ott "'taletHIUNIVf;R'!lI1Tf:!: Dt SH(RBROOCKr:· cutele (CANADA) J1H ISN" • Tl!:t-. 81.-"3'5'-"

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. - création d'une banque)lationale de données médicales ,

-interrogation des banques. de dOnnées internationalesnotamment PASCAL (CNRS et MEPUNE).

Le Département étudie ,des modalités plus pratiques de consultation(diffusion de disquettes semestrielles ou annuelles) et une deuxièmeapproche, plus ambitieuse, permettant à partir des Facultés africainesune consultation directe de la banque.

- Le '7HESINDEX AFRIQUE" réalisé par le Département Santé et Développementde l'Université de BordellLPC II (Professeur M. LEBRAS avec l'aidedu Professeur Cl. RICHIR) enregistre les thèses de Doctorat soutenuesdans les Etablissements francophones d'Afrique Inter-tropicàle et lesthèses de Pathologie tropicale soutenues à Bordeaux et dans d'autresFacultés francophones et adressées au Département. Il s'est limitéun moment à une rétrospective à quatre ans avec 1.400 ouvrages environet est actuellement en extension.

Dès maintenant ce Thésindexpeut fournir sur demande d'unebibliothèque~ listing correspondant à une interrogation par mots-clefs.

,- 14 -

- LA GESTION INFORMATIQUE DES BIBLIOTI!EQUES, L' ACCES AUX GRANDES BANQUESDE OONNEES INrERNATIONALES ET LA CONSTITlJl'ION DE BANQUES DE OONNEESNATIONALES sont des optlions qui préocC1JP1lnt la Conférence.

A la demande du Bt1reau Permanent, J. LEROY a présenté devant laRéunion de la Confé1;ence à Abidjan (Janvier 1986) un rapport sur"les Apports de l'informatique médicale et des liaisons par satellitespour l'établissement de la bibliographie".

A la demande du Bureau Permanent, o. LEROY et T.T. PARRE'I' om:ensuiteeffectllé une missionàla Faculté de Médecine d'Abidjan enJuin 1986 afind 'étudier la possibilité de la.créa.tion d'un CE.\TREINFORl<1A.TlQUI; MEDICAL IJOCUME,NTAIl\Esitué entre la bibliothèque de laFaculté et le Centre Universitaire d'Iliformati@e et de Programmation(C.u.I.P;) dépendant du Rectorat. Ce Centre aurait deux missions

11 serait animé , sous l'égide du Doyen de la Faculté, par leDirecteur du CUlP et le Conservateur de la Biblio'l:4èl'(ue de la Faculté.La mission' a été préparée par les prises de contact nécessaires li Pariset li Abidjan (avec les. responsables de la DGT, du r~se~u Transpac, deTélésystem, de l'INSERM, du aJIP .•• ) • ./lu cours de lamlSSlOn œJ . LEROY , uneliaison utilisant un ordinateUr APPLE II et un M)DEM, a été établie avecles banques de données internationales. Une présentation du thème" création d'un centre informatique de dOcumentation médicale" a eu lieudevant l'ensemble du corpS enseignant de la Faculté de Médecine et li lasuite de la discussion qui a suivi, le Doyen A. YANGNI-ANGATE a décidéde faire passer dans les faits les propositions présentées.

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Il a été décidé que la Conférence organisera à ABIDJ~~,

au cours du PREMIER TRI"lESTRE 1987 ,un SEMINAIRE DESTINE AUX UTILISATEU;:,s

DES BANQUES DE DONNEES SCIENTIFIQUES. Ce Séminaire qui rassemblera des

participants de Côte d'Ivoire (CUIP,. Faculté de Médecipe,Rectorat et

bibliothèques desautresbranc;hes desuniversitésJ ,\ID.représentant

du euss de Yaoundé et du euSSdeLibreville, vise à permettre. l' interro­

gation de banques de données scientifiques à partir d'AI.>idjan et de

mettre en place une banque nationale ivoirienne de données mi!dicales.

Ce Séminaire préparera également des projets .similaires. pour le Camerou:1

et le Gabon (ces trois Pays sQntactl.lellement les trois?ays au Sud du

Sahara accessibles par le Transpact). Les animateurs du Séminaire seront

un Conservateur d'une bibliothèque médicale française de référence et ~

Spécialiste des banques de données (Télésystem) et une Do<:umentaliste

du SNI? La Conférence n'oublie Jll$ les centres pays ,notamment le Sénégal.

un accord est·sur 1e~oint d'être signé entre la Conférence

et l'UNESCO qui apporte sa plllrticipation financière à ce Séminaire

qui aura lieu donc sous l'égide de la Çonférence Internationale,de l'UNESCO, de l'AUPELF et de l'AcCT, dans le cadre d'une opération

conjointe qui devrait être très constructive.

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- 16 -

DERNIERS DEVELOPPEMENTS

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- La "CELLULE DE BIBLIOGRAPHIE" de la Conférence s'ouvre donc dans le cadrede l'accord qui vient d'être signé entre le CENTRE INTERNATIONALDE L'ENFANCE (C.I.E.) et la Conférence Internationale elle-même(voir plus loin).. Dans me première action conjointe le crE se chargede faire lesbibliograplli!ls demandées à la Cellule pour tous les thèmesconcernant.LA SANTE DELAMBRE ET DE L'ENFANT.Ces bibliographies seront raites par des spécialistes quiSELECTIONNER()NT ;tes référe!1~esintéressantes sur les listingset fourniront les tirés à part dès dix li quinze meilleurs travau.'Cdu moment.Le MATERIEL SELECTIONNE sera transmis par les soins de la Conférence(éventuellement avec les. envois deI 'Opération "Bibliothèques'').Les demandeurs pourront dès réceptiondemlUldèr à Ce que les sélectionsdes tirés à partsoientcq,fi'LETI;~.

- MEDEXpRES a 1:>ouclé Sa l'REMIERE .ANNEE avec dix n\.ll11éros. L'APR-IF saitque son développement ne sera satisfaisant que lorsqu'il rapporteratoutes les revues de 1angue française donc lorsqu'il sera EXP.~USTrF.

- GESTION INEORl4ATIQUEDES BIBLIO'I'HEQUES, ACCES AlIX BANQUES DE OOXXESINTERNATIONALES ETCQNSTI'fUI'ION DE BANQUES DE DONNEES NATIONALES.Le premier Séminaire destiné aUX animateurs et utilisateurs de banquesde données (BD) , vislUlt a l'installation des interrogations des BDinternationales et à la constitution de BD nationales aura donc lieuà ABIDJAN du 27 au 30 AVRIL 1987. L'accord Conférence-UNESCO (qui apportesa participation financière) a été signé fin décembre 1986.A. GOU~E.

J. LEROY et ~me T.T. l'ARRE! Y représenteront la Conférence.

CONCLUSIONS,

- La Conférence

- souhaite ledévebppement harmonieux de MBDEXPRESvers l'Exr~USTIVITE et se déclare prête à entreprendre toutesactions susceptibles d'atteindre ce but,

- se félicite de la RECONNAISSANCE et de l'AIDE précieuse du CIE,

- considère que le SEMINAIRE D'ABIDJAN NE SERA QU'UNE PRIHIERE P!!.-\SI:de l'Opération "B.D." qui doit atteindre son objectif pour cc quiconcerne Abidjan, préparer son atteinte pour ce qui concerneLibreville et Yaoundé, mais elle sOlL;aite que les autres paysmembres soient peu ~ peu concernés ct équipés (Afrique au Suddu Suhara et ,,;aoagascar avec notillJnent Dakar et Pays ùu l!ag:lre1.lJ .

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- 17 - ,

Il est à noter que le SEMINAIRE D'ABIDJAN VISE PRECISEMENTà l'installation

- d'une ligne définitive d'interrogation des B.D. avec deux postesd'interrogation (Bibliothèque Médicale et Rectorat),

- d'une liaison avec les B.D. Internationales par satellite,'

- d'une B.D. Nationale avec saisie des catalogues des thèseset publications ivoirümnes et saisie aussi de ce qui serapris par les interrogations dès B.I). Internationales,

- d'Abidjan comme centre pilote pour l'utilisation bibliographiquedes C.D. RCM (disques compacts pouvant contenir 200.000 pages)qui impliquent Té1ésystème, INSERM et CNRS.

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13. OPERATION "FORMATION DES BIBLIOTHECAIRES"

- RAPPORT DU 10:12.86 DIFFUSE AVANT LA REUNION

- DERNIERS DEVELOPPEMENTS

- CONCLpSIONS.

,• 18 .

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RAPPORT SUR L'OPERATION

.. FORMATION DES BIBLIOTIlECAIRES ..

10 Décembre 1986André roUAZE

La nécessité de mettre l'accent sur la FORMATION SPECIFIQUEdu personnel technique ~s bibliothèques de Médedne fut une descOnclusions les plus i.mp<lrtantes du rapport de mission d'évaluation'des bibliothèques d'Afrique au Sud du sahara de J. LEROY. Les bibliothèquesafricaines manquent de personnels techniques et le personnel existantpossède une bonne formation générale mais pas de formation spécifique.Il faut donc favoriser par tous les moyens ce complément de formationdans le cadre de la FORMATION CONTINUE et aUssi, sansaucun doute,PREPARER ce personnel, dans le cadre de cette formation, AU DEVELOPPE-œ.>,'TDE NOUVELLES TECHNIQUES DE BIBLIOGRAPHIES PAR INFORMATlQUE ET TELECCf.NU-NI CATION qui ne manquera pas ~ devenir rapidellX!nt considèrable.

Dans ce cadre,

- un PREMIER SEMINAIRE DE FORMATION PERMANENTE DES BIBLIOTIIECAIRESdes Facurtésdl;! Mé~dne d'Af'rique Francophonl;! s'est tenu àBAMAKO du 23 aU 26 Juin 1986 sous l 'égi~ de la ConférenceInternationale, de l'AUPELF et de l'ACCT. Il a rassemblé laplupart dl;!s biblioth~caires ~s Facultés de Médecine d'Afriquede l'Ouest (J•LEROY représentait au côté du Doyen Aliou BA,la Conférence Internitionale. T.TPARRET était aussi présente) •

Ce Séminaire a porté sur- le traitemenl:, la conservation et la communication des documllnts,- les besoins ~s utilisateurs et la recherche bibliographique,- l'administration et la gestion d'une bibliothèque médicale

et les nouvelles technologies en développement dans lesbiblio­thèques médicales.

Ce Séminaire de Bamako a permis de mieux percevoir les problèmesvécus par les bibliothécaires médicaux et surtout d'établir les grandeslignes d'une action future à l'égard de leur formation.

- A la suite du Séminaire de. Bamako, la Conférence a souhaité vivementque cette phase l puisse être suivie d'une DEUXIIME REUNION DESBIBLIOTIJECAIRES DES ETABLISSEMENTS FRANCOPHONES DE FORMATION ~lEDICALE

D'AFRIQUE AU SUD DU SAHARA ET MADAGACAR AU PRINTEMPS 1987.Ce Séminaire aura lieu à l'ECOLE DE L' ACCT à BORDEAUX au' mois de ~lai

1987 sous l'égide de la Conférence Internationale, de l'AUPELF,de l'ACCT et de l'O.M.S.

SeS objectifs serontla pratique des grands instruments de bibliographie mis à ladisposition dl;!s bibliothèques africaines,

- l'utilisation des microfiçhes,- l'utilisation de l'informatique, bibliothèconomique et la

recherche bibliographique,- l'accès aux documents à distance par prêt inter-bibliothèque.

Uhe réunion plus restreinte et rassemblant les bibliothécaires desEtablissements de formation médicale des Pays du Maghreb est aussià prévoir dans le cadre de cette phase II.

Ainsi seraient jetées les bases d'une ASSOCIATION DES BIBLIOTIlE­CAIRES DES ETABLISSE.lENTS DE FORMATION MEDICALE D'EXPRESSION FR:l,NCAISE.

J. NATIllSU. membre du Bureau Permanent avait été chargé deprésenter les détailS techniques de cette phase II de l'opérationà l'AUPELF et à l'ACCT.

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- 20 -

DERNIERS DEVELOPPFMENTS

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Il est évidpnt que le développement de l'informatique et de l'indispen­

sable accès au B.D. par satellites, de même que la nécessaire création de B.D.

nationales impose une fORMATION des bibliothécaires, SPECIFIQUE d'abord et

PERMANENTE ensuite.

- La DEUXIEMEllEUNION DES BIBLIOTHECAIRES des Facultés de Médecine

d'Afrique au Sud du Sahara et Madagascar aura lieu du 18 au 29 Mai 1987

~ l'Ecole de l'ACcr à Bordeaux avec donc pour objectifs

.. formationllPécifique "tformation permanent",

.. préparation au développement des teclmiquesnouvelles de

bib:liogra,phie par informatique et télécOJJlJl\.Ullcations.

j

Durant cette réunion l~s bibliothécaires pourront prendre part au

Verne SEMINAIRE FRANCOPHOOE DE PEDAGOGIE MEDICALE (AUOIOVISUELLE)

aui aura lieu aussi à Bordeaux les 26 et 27 Mai 1987.

CONCLUSIONS

,La Conférence

- souhaite que la Réunion de Bordeaux permette la constitution

d'un RESEAU DES BIBLIarHECAlRES MEDICA.UX Sous forme par exemple

d'une ASSOCIATIOO DES BIBLIOTHECAlRES MEDICAUX D'EXPRESSIONFRANCA.ISE qui prendr<iit en mains la formation permanente de

ses membres avec des SHolINAIRES REGIONAUX de fORMATION et aussi

de MISE EN RELATION et de REFLEX:ION,

- souhaite que les BIBLlarHECAlRES DES ETABLISSFMENTS DES PAYS

DU MAGHREB soient RASSEWlLES avant la fin de l'année au cours

d'tin premier SHolINAIRE REGIONAL ayant les mêmes objectifsPUIS UITEGRES au cours de l'année 1988 au RESEAU DES BIBLIOTHE­

CAlRES MEDICAUX D'EXPRESSION FRANCAlSE.

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La Conférence

CONCLUSIONS

,- 21 -

- APPROUVE les efforts de la REVUE MEDICALE DE COTE D'IVOIREqui veut ouvrir ses colonnes aux autres Pays africains dansle cadre de PRESSES MEDICALES AFRICAINES,

- rappelle qu'elle a chargé J.LEROY, après la réunionBureau Permanent - Editeurs du SNTM et de l'APPMF

et le débat de la Réunion Plénière de la Conférenced'Abidjan,d'étudier dans le cadre de l'APIMF et avecle SNTM et les Presses Médicales Africaines le projetau fond afin de proposer une réalisation concrêtedans la mesure où elle sera souhaitée par les Etablissements,

- se réjouit de l'émergence de presses médicales nationalesafricaines de plus en plus nombreuses et suivant diversesformules (notanunent les Annales Universitaires des Sciencesde la Santé de YAOUNDE.

La Conférence tient à rappeler que

~ les revues médicales sont indispensables au développement de lapolitique de Santé (au sens large) spécifique de chacun des Payset à celui de la politique de Santéinterafricaine,

- compte-tenu de toutes les données de la conioncture actuelle.la formule associative est élégante et séduisante,,

- toute formule doit veiller à préserver l'autonomie de chacune deséquipes rédactionnelles nationales,

- des actions conjointes entre les Etablissements et les autoritéssanitaires de chaque Pays sont à envisager afin d'unir les diversfinancements possibles, la formule Bulletin de liaison - lettremédicale éditée à l'aide des moyens économiques pouvant être àretenir comme formule de départ.

14. OPERATION "PRESSES MEDICALES REGIONALES ET>NATIONALES"

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- 22 - ,

,2. PEDAGOGIE ET SUPPORTS TECHNIQUES DE LA FORMATIDN MEDICALE

21. LA POLI TI QUE DE LA CONFERENCE EN AUD lOV1SUEL

-RAPPORT DU '10.12.86 DIFFUSE AVANT LA REUNIO~

- DERNIERS DEVELOPPEMENTS,- CONCLUSIONS

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DES FACULTÉS DE MÉDECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE

Les membres du Bureau Perma:nent ont pu assisterrécel11llent aux excellentes Mmes JOURNEES FRANCOPHONES DEPEPAGCGIEMEDICALj3 DE LILLE (30-3HlAI198(i) sous l'égidede la CONFERENCE INTERNATIONALE.

- 23 -

10 Décembre 1986. ,André GOUAZE

PRQS10ENT: A. COUA%* ('''ANCe:)

VICe;·PRltSIDENTS, A. VAHONI-AN<l4Tt(A"..IQUC AU sua Cv SAW"'''''''Q. ,.IO_OH (CANAOA • Qut••C)

<altoc RC.CRVI) MACHAU

POLITIQUE DE LA CONFERENCEPOUR CE Q.JI CONCERNE L'AUDIOVISUEL

,CONFËRENCE INTERNATIONALE DES DOYENS

AI"IUQUE AU sul> OU SAHARAET- MACAGASeAR

atHIN.UIllKt.......·I"ASQaUIIlUNOICAt<fCIllOUHC:CHT,,""'IIlICUECONGOCOTa 0""011111:

<o".ONOUIHI.WÀOAGA,aCAIIl

... A"'INIOC.1Il"WANDASINeG"'"1'000<t""UUr:

NAITI

••LOIQUll U."'4...cO_O"•.'

aUis.slE II'''''''''CO''"O''''.'"IIlAHCI:

MAGHREB,,&.Q(;u.NA'U:;)(;:TUNI.'1l

CANAOA· QUt8ltC

L'intervention du Président, lors de la Séanced'Ouverture de ces Journées,rés1.ll1le l'état d'esprit du débatque le Bureau Perma:nent à ouvert.

" ••• La Conférence a voulu une rencontre annuelle,autour de l'audiovisuel, sans doute dans le but premierd'aider sur ce plan les jeunes Etablissements des Pays en voiede structuration au plan l1.ospitalo-universi~aire. Ainsi sontnées en 1982, à Bordeaux, les Journées Universitaires Francophonesde Progral11lles Audiovisuels de Formation Médicale. L'esprit de cesJournées était à l'origine essentiellement de FAVORISER L~

PRESENTATION ET L'EŒANGE DE PROGRMMES DE PORMATION SUR DIAPO­SITIVES SONORISEES.

Les IIèmes Journées ont eu lieu à Tours en 1983.y sont apparues d'autres techniques, l'ç.A.O. en particulier.

'ftO'ISUVft A. COUA%t DtWIN 01 LA rAeUL1't Dt MtOI:CnU;Z 81S. BOUl.eVARD TONN....Le:· .,1'. :1112;1' 3'70:112 TOURS ctDitX (!"RANCltl· 'ft.... 41'''7'04'7'

.."or«s••u" A. YANQNI'ANOATt DQYltN Olt t.A P"ACUl.TI oc MIIDIECINI8 .... v.tee" ABIDJAN (COTE D'lvalRC)· TtL. 22"'4"'42".

,."OrtSSIVIIl G. "IOION DOV'!N oc LA P"ACUL.TÉ OC MtOItCINItUNIVERSlTt DI: SHIR8ROOCXC -outSIC (CANADA) JU. Ill", .... Ttt.••,t-C'J-l'lI-'"

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- LES VèmesJOURNEES FRANCOPHQNESDE pEPAGCXJIl3MEDlCALE (audiovisuel)se tiendront à l'U!'lIVERSlTEIlE BQRIlEi\!lX,avl1J\t la rétmion duBureau Permanent qui doit avoir lieu à TUNIS les 1er et 2 JUIN 1937.Elles présenteront les technologies, mais feront une large partaux programmes. Le thème devrait en être "Apports et limites del'audiovisuel et de l'informatique 9ans l'enseignement de laMédecine" •

Elles doivent aussi, bien sOr, savoir présenter à côté,mais sur le mode expérimental, les technologies très séduisantespour l'esprit mais non encore opérationnelles sur le terrain,pour des raisons diverses et éventuellement aider au choix, lesfaire adopter dès lors' qu'elles restent simples, deviennentutilisables par le plus grand nombre et restent abordablesfinancièrement.

Ces Journées ont enfin su devenir un laboratoired 'idéeset c'est excellent, disions-nous•••".

Compte-tenu de l'importance des engagements pédagogiques et desinvestissements liés aux nouvelles technologies, le BureauPe.manent sol.Jh#te pouvoir prendre position en temPs opportun.

Une CCMMISSION " SUPPORTS TECliNIQUES DE L'ENSEIGND!E.\T~DICAL", interne à la Conférence ,présidée par J. MATIiIEU,et composée des Professeurs J. BURY (Louvain) Secrétaire,D. CARLES (Bordeaux), St. HAlMONf (Louvain), E. LEMARlE (Tours),

. P. RIVEST (Montréal) et H. FLOQi (Brest) qui ont animé (personnes­ressources) les Séminaires de Bamako, Libreville et Rabat,aura pour objectifs

- établir un inventaire des supports,- en faire une analyse critique,- conclure par des propositions de choix en étudiant

tout particulièrement les problèmes posés par lamaintenance et le vécu sur le terrain par lesutilisateurs.

,- 24 -

Puis ces Journées ont évolué Vers la présentationparallèle de supports technologiques plus que de programmes,supports technologiques de plus en plus sophistiqués. Il en futainsi à Lyon en 1984 et il en a été ainsi aussi à Lille.

Parallèlement, ces Journées sont aussi devenues desrencontres de confrontation des idées et c'est excellent.Les différentes données de ces Journées ont leur place, t04tes,mais il serait dommage qu'elles sacrifient la présentation desproductions réalisées par les Etablissements, qu'il s'agisse desdiaposons ou d'autres méthodes maintenant éprouvées,comme l'E.A.O.par exemple, car elles constituent/après tout, l'objectif ultimeau plan pédagogique. Les supports ne restent que des moyenssusceptibles d'aider à atteIDdrecetQPjectU.

Ces Journées doivent savoir aussi rester de pédagogiede tous les jours, de pédagogie de terrain, simple et efficace ,de présentation de production de chaPUn,conduisant à l'échangedes meilleurs.

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Le BUREAU PERMANENT A DEMANDE A LA COOISSION qui pourraêtre ultérieurement élargie et prendra les contacts nécessaires

- de se réunir courant 1986,- de 'présenter un pré-rapport en Janvier 1987

lors de la Réunion Plénière de Libreville,- de se réunir une deuxième fois au printemps 1987

et de prendre une large part aux Vernes Journées de Bordeaux,- de proposer tm RAPPORT lors de la rétmion du

Bureau Permanent de JUIN +987 à TUNIS.

La Conmission a alors rédigé tm QUESTIONNAIRE (J. BURY)qui a été DIFFUSE en Octobre 1986 à tous les membres de la Conférence.

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DERNIERS DEVELOPPEMENTS

- La CCM-lISSION "SUPPûRfS TECHNIQUES DE L'ENSEIGNEMENT MEDICAL"n'a ou établir le pré-rapport qui lui avait été demandé car ellen'a reçu que neuf réponses au questionnaire cliffusé en Octobre.Il aurait été plus aisé de répondre au questionnaire si celui-ci avaitdistingué d'une part les méthodes etappareilsc;lassiques (certainsclevant être sürement abandonnés, tel l'épidiascope, d'autres conservéstels le rétroprojecteur et le projecteur de cliapositives) et d'autre partle matériel induisant une nouvelle pédagogie (tel l'E.A.O.) et qui doitfaire l'objet d'études attentives avant de prendre position.

- Les Vèmes JOURNEES twIVERSITAIRESFRANCOPHONESDEPEDAGOGIE MEDICALEauront donc lieu à l'Université de BorcleaUlC!I les 26 et 27 Mai 1987.La première partie sera centrée sur la pédagogie classique alors quela deuxième sera orientée vers les techniques d'avenir (premier festivaldu vidéodisque laser, salon des/productions réalisées avec les nouvellesteclmiques ••• ) • 1

CONCLUSIONS

w La CCM-lISSION

- reverra le QUESTIONNAIRE dans le sens de. la S]}fPLIFICATIONdans les prochaines semaines afin qu'il puisse être diffuséen temps opportun,

- prendra une large part aUlC JOURNEES DE BORDEAUX,- proposera un rapport lors de la Réunion clu Bureau

Permanent à TIJNIS (1er et 2 Juin 1987).

- Le BUREAU PER>1ANENJ'- discutera le rapport- et établiera un RAPPORT DEFINITIF.

- Le PRESIDENT- DIFFUSERA le rapport définitif du Bureau Permanent

avec le compte-rendu de la Réunion de Tunis.

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22. OPERATION "AUDIOVISUEL - DIAPOSONS"

_ RAPPORT DU 10.12.86 DIFFUSE

- DERNIERS DEVELOPPEMENTS

- CONCLUSIONS

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Dans le cadre d'une opération conjointe, ConférenceIntemationale - AUPELF - ACcr, quatre phases ont été définies àl'opération

- IA PREMIERE PHASE de l'opération a_ pernis, dans les récentesannées, à une mission de tester la rémanencll des diaposonssur des étudiants de Cotonou, Brazzaville, Yaoundé et decomparer ces tests à ceux établis à Bordeaux et à ~Iontréal.

Les résultats de ces tests ont été positifs et il est à noterque dans chacune de ces Facultés, un enseignant a été alorsconcerné et s'est déclaré motivé ?Our le développement desdiaposons.

- La Conférence a souhaité, par ailleurs, former dans un premier tempsles enseignants des Etablissements de fonnation médicales à unaudiovisuel simple et efficace, de terrain. Dans cet esprit, elle adécidé de développer, -avec l'aide de l'AUPEFL et de l'ACcr, uneOPERATION "DIAPOSONS" -dont les deux éléments essentiels sont

- la fonnation des enseignants,- la: fourniture de l 'équipement audiovisuel indispensable

Ccaramates ou équivalences).i

Il s'agit là d'ailleurs de l'une des options essentiellesde la Conférence qui concerne toutes les opérations qu'elle mèneet qui réclament un matériel miniJm.ml. Il est excellent de formerles enseignants. mais cette fonnation ne peut être efficace, surle terrain, que si elle s'accompagnedelafoumiture du matérielnécessaire à la pérennité de l'opération. Il est indispensable queles enseignants concernés quittent le S~minaire avec le matérielindispensable à l'installation de l'opération chez eux Ou retroU\"entle matériel chez eux en rentrant du Séminaire.

- 28 -

RAPPORT SUR L'OPERATION

" AUDIOVISUEL- DIAPOSONS "

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10 Décembre 1'986André GOUAZE

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- Zg - ,

- La DEUXIEME PHASE de l'opération proposée par le Bureau. Permanent lors de la réunion de Juin 1983, a eu pour objecl:if

l'organisation de SEMINAIRES - ATELIERS >DE FORMATION.DE JEUNES ENSEIGNANTS A LA FABRICATION OES DIAPOSONSet à la motivation de leurs collègues à ces méthqdesaudiovisuelles. LE PRFMIER SEMINAIRE organisé par l'AUPELF

à BAMAKO du 22 au 27 Avril 1985 a réuni 16 participantsappartenant aux Etablissements d'Afrique au Sud du Sahara.

Ce Séminaire

- a permis de former réellement un Enseignantde chacun des Etablissements présents, à cetteteclmique audiovisuelle de base et .

- la création de liens étroits entre les participantsen vue des échanges ultérieurs,

- a donné aux quatre animateurs une expérience leurpermettant· d'intervenir très effic;acement.

Il est à noter que parmi: les 14 diapasons réalisés alors,

5 étaient destinés à la formation des personnels paramédica~~.,Deux mini-séminaires (MONTREAL et LIBREVILLE 1985)

ont fonné des enseignants d'Haïti et de Libreville.

Un quatrième Séminaire, organisé à RABAT en Avril 1986,a réuni les enseignants de la plupart des Etablissementsdu MAGl1R.eB. et .de BEYROUI'H.

Tous. les Etablissements. du Maghreb, d'Afrique au Sud du

Sahara, Haïti et Beyrputh, ont donc pu participer par unou plusieurs enseignants à l'un des "Séminaires-diapasons"

de la phase II, excepté Conakry et Bangui.

- La PHASE III, PHASE INl'RA-FACULTAIRE, doit maintenantpermettre d'organiser DANS QlACUN DES ETABLISSENENTS UN

"SEMINAIRE -. DIAPOSONS" à l'intention des Enseignants

de l'Etablissement, sous la direction d'animateurs oupersonnes-ressources ayant participé aux Séminaires de la

phase n, avec l'aide aussi de l'enseighant de l'Etablissement

fonné dans le cadre de la phase II.

C'est ainsi que cette phase III a débuté par un SEMIK~IRE

à CONAKRY durant les dix derniers jours de Novembre 1986.

Conakry n'avait pu participer jusqu'ici à la phase II et

il s'agissait en ~ait, paUl' cet Etablissement, de la phase II

et de la phase III.

La phase III a ensuite été continuée par un SEMINAIRE à

l'intention des Enseignants de la Faculté de Médecined'ABIDJAN durant les dix premiers jours de Décembre.

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- La PHASE IV devrait voir laré~isationd'uneMEDIATHEQUEdont les objectifs seraientlaprQc!uction et l'échange desdocuments audiovisuels, diapQsOllSd'abord, mais aussi detous les prograrranes audiovisuels d'enseignerrent médical.

- L'opération "Audiovisuel-diapasons" aPparait ainsi commeune opération exemplaire conjointe de la ConférenceInternationale, de l'AUPELF, de l'ACCT et donc de l' 1. 1.C.

Ce programme conjoint apparait maintenant avec'l'Opération"Bibliothèques"comme l'une des opérations phares de laConférence Internationale.

Ces deux premiers Séminaires de la phase III ont été trèspositifs, ils'ont eu lieu sous la direction de J. MATHIEUavec l'aide'de personnes-ressources bien formées et efficacesy compris des techniciens photographes.

Cette phase.devrait se prolonger durant l'hiver 1987,(février-Mars) par les SFMlNAIRES de BANGUI et de MADAGASCAR,puis à l'automne 1987 par les Séminaires de CarONOU et de LC1>!E.Elle devrait ainsi, à raison de'quatre Séminaires par an,(deux en hiver et deux au printemps) concerner successivementTOUS LES ETABLISSEMENl'S DE.. FOFMA.TION MEPJCALE 0 'AfRIQUEAU SUD OU SAHARA ET MADAGASCAR,. pour se terminer à l'automne1989. Le calendrier précis a déjà été établi par J. ~t~THIEU.

Ellle pourra ensuite concerner les Eltablissements du Maghreb.

Le fmancement de cette Opération "audiovisuel-diapasons"qui se révèle exemlaire et d'une parfaite continuité,ainsi que d'une parfaite efficacité, revient à l'AUPELF,à l'ACCT et àl'I.I.C. (Institut International de la Commu- .nication de Montréal). L'Lr.C. intervient dans le cadredu programme d' assistarre technique en communication pourle développement de l'A.C.D.I.

Il est à noter aussi un point important, c'est que tous lesEtablissements au Sud du Sahara sont maintenant dotés d'unminimum d'équipement pour ce qui concerne les diaposons(caramates ou projecteur Prestinoxavec magnétophone Bell Ho",el).

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DERNIERS DEVELOPPFMENTS

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- La PHASE III DE L'OPERATION, PHASE INTRAFACULTAIRE est actuellementen plein développement.

Ont été tenus lesSémina.ires- de Conakry du 9 au 15 Novembre 1986, avec 12 enseignants,- d' Abidjan du 17 au 27 Novembre 1986, avec 12 enseignants égalemen

Seront tenus prochainement les Séminaires- de BangllÎ en Février 1987,- d'Antananarivo en Mars 1987.

j

Il est essentiel, pour la crédibilité de l'Opération,que cette phase IIIconcerne tous les Etahlissements avant que la phase IV visant àlaréalisation d'une Médiathèque de la Conférence ne soit entamée.

Sont ainsi prévus des Sémina.ires à- Cotonou et Lomé à l'automne 1987,- Dakar et Bamako à l'hiver 198$- Bujumi)l.\ra et Butaré auprinte!f!Ps 1988- NyameYlltQu;lgadougou à l'automne 1988- Yaoundé et Libreville à l'hiver 1989- Port au Prince au printemps 1989- Brazzaville et Kinshasa à l'automne 1989.

Il faut soulîgner le succès des premiers sémina.iresde Cette phase III.Les retombées positives en sont déjà sensibles à Abidjan et Conakry.

- Il est aussi. souligné que dans cert!linesdisciplîhes où l'imagerie tientune place essentielle, une méthode encore plus simple consiste à couplerun jeu de diapositives (facilement rep;roduites..,) et un texte écrit(facilement photocopié).Au terme d'une discussion animée il est proposé, pour clarifier les débatde distinguer trois niveaux de matériels et méthodes pédagogiquesaudiovisuelles

- un premier niveau, le plus simple, constitué par les jeuxde diapositives couplés a un texte écrit,

- un deuxième niveau, intermédiaire, constitué par les diaposons,- un troisième niveau, le plus sophistiqué et le plus réçent, étant

l'E.A.O.

Il est d'ailleurs probable que les solutions doivent être différentesselon les enseignants et selon les spécialités, selon les étudiantssans doute aussi.

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- La Conférence souhaite que la FACULTE DE CONAKRY puisse recruterun PHOTOGRAPHE et soit mise en mesure de mettre sur pied un LABORATOIREde PHOTOGRAPHIE MEDICALE.

- La Conférence se réjouit de l'EPANOUISSEMENT DE L'OPERATIONpuisqu'en 1989 tous les Etablissements d'Afrique au Sud du Sahara, Mada­gascar et Haïti auront eu leur Séminaire de formation des Enseignants.

- La Conférence redit ses profonds RFMERCIEMENTS à l' AUPELF, à l'ACCTetà l' ICC, à J. MATIlIEU membre du Bureau Permanent et consultant Santéà l'AupEL!;', coordonnateur de l'Opération, aux animateurs des Séminaires(Québècois, Français et Belges).

,- 32 -

CONCLUSIONS

- La Conférence estime que CES SEMINAIRES OOIVENT INDUIRE DES PROGRESET DES ACTIONS· AU PLAN PEDAGOGIQUE et faire que, par exemple

- les Facultés prévoient une MEDIATHEQUE à côté ou dans la bibliothèque,,- les emplois du temps des étudiants réservent du temps

pour l'AUTOENSEIGNBItENT,

- les enseignants INClTENI leurs ETUDIANTS à utiliser les documentsaudiovisuels disponibles et acceptent deROOLACER DES LECONSMAGISTRALES par des séances de discussion après leur utilisation,

- les Facultés permettent l'utilisation des DIAPOSONS lors dessoutenances de TIlESES (fabriqués parles étudiants),

- les efforts des enseignants' pour produire des documents, pédagogiquessoient PRIS EN CO>lPI'E DANS LES TITRES ET TRAVAUX.

- La PHASE IV DE L'OPERATION qui vise à la réalisation d'une MEDIATHEQUE(production et échange des documents audiovisuels et diaposons d'abord)doit être d'ores et déjà définie. Le Bureau Permanent établira en Juinun projet qui sera soumis à la Conférence plénière en Janvier 1988 à DAKAR.Le projet définitif devrait pouvoir être soumis à l'AUPELF et à l'ACCTcourant 1988.

,- La Conférence a déjà souhaité un SEMINAIRE DE FORMATION PERMANENTE

A L'INTENTION DES PHOTOGRAPHES DES ETABLISSEMENTS D'AFRIQUE AU SUDDU SAHARA ET MADAGASCAR. Un projet de Séminaire sera soumis à l'AUPELF 'et à l'ACCT.

- Il sera proposé enfin au CENTRE INTERNATIONAL DE L'ENFANCE d'amorcerla réalisation des JEUX DE DIAPOSITIVES COUPLEES A UN TEXTE ECRIT dans lecadre de thèmes se rapportant à la SANTE DELA MERE ET DE L'ENFANT.Cette Opération serait ainsi la deuxième,entreprise cOnjiontement par leCIE et la Conférence Intetnationale.

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23. OPERATI ON "ATELI ERS Dt AUTO-ENSEIGNEMENT",

La Conférence rappelle qu'elle a pris acte du développementde l'auto-enseignement et de l'auto-contrôle dans le cadre de l'installationd'ateliers,dans de nombreux Etablissements,qui s'avère très positive.Ces ateliers, de plus en plus fréquentés par étudiants et généralistes,constituent de précieux lieux de rencontre entre étudiants en formationinitiale et profession en formation permanent.,.

;

CONCLUSIONS

La Conférence rappelle les conclusions de la Réunion d'Abidjan(Janvier 1gS6).

- L'OPERATION INITIEE par la Conférence, DANS LE CADRE DES ACCORDSINTERUNIVERSITAIRES avec en particuli.,r les ~UINSpermettant les gestes de Séméiologie Pratique difficilesà imposer en séri., au patient (touchers, palpers ••• ) DOIT lITREDEVELOPPEE avec

- mannequins- diapasons (importance donc de la phase IV de l'Opération

"Audiovisuel-Diaposons- création d'une Médiathèque) ,- collections de radiographies,- progranunes d' EAO,- matériel vidéo pour diffusion de films,

Noter que la maquette d'lm projet chiffré, raisormaMe, d'atelierd'auto-enseignement figurait en armex., au Compte-rendu de ta Réuniond'Abidjan.

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CONCWSIONS

24. OPERATION "ENSEIGNEMENT ASSISTE PAR ORDINATEUR - EAD"

La Conférence rappelle qu'elle a pris acte du développementde l'RAO, de son insertion dans les ateliers d'auto-enseignementde nOl1lbreuses faeultés, de la multiplicationdesprogrammes dansde nombreuses disciplines,

Elle rappelle ainsi qu'elle considère que les conseils de prudencefOI11l\.!lés li propos de l'audiovisuel en général sont particulièrement valablesici et que l'avis de CCM4ISSION "SUPPORTS TECHNIQUES DE L'ENSEIGNEMENTMEPICAL" pilotée par J. MATiiIEU sera ici particulièrement utile.

,- 34 -

La Conférence rappelle les conclusions de la Réunion d'Abidjan(Janvier 86). Cette Opération - qui n'apparaitpas de première urgencecompte-tenu des conclusions de l'Opération "Audiovisuel - Diaposons" ­doit~tl:'e construite à l'image de cette dernière.

- Une" Pl-lASE l RAO" INTERFACULTAIREdevrait permettrel'organisation de Sl'MINAIRES REGIONAUX IlE FOBMATIa-l DES ENSEIGNANTS(un par Etablissement), les enseignantS formés !W'PORTANT avec euxDANS LEUR ETABLISSl'MENI L'EQUIPl'MENI PE· BASE· INIHS$lSABLE(pas de hiatus).

- Une "PrIASE II RAO" INTRAFACULTAIRE organiserait ensuite desSH4INAlRES DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DANS CHAQUE ETABLISSl'MENIautour de l'Enseignant formé dans la phase l et. avec l'aide depersonnes-ressources (experts).

- Peut-être qu'une ''phase préliminaire" devrait, corrane pour l'Opération"Audiovisuel-diaposons" évaluer l'efficacité de la méthode. Maiscompte-tenu du développement de la méthode dans de nombreux Etablisse­ments d'Europe et du Canada, on peut sans doute considérer que cetteefficacité est réelle.

- Une "PrIASE III RAO" s' incluera alors d'elle-même dans la MEDIATHEQUEdes prograrranes audiovisuels, le moment venu.

n faut rappeler qu'un proj(·t d'équipement de base, raisonnable etchiffré, et une maquette de Séminaire Expériemental de formation desEnseignants figurait en annexe au Compte-rendu de la Réunion d'Abidjan(Janvier 86).

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25. OPERATION "MATERIEL DE PRODUCTION ET REPRODUCTION DEDOCUMENTS"

La Conférence rappelle qu'elle a pris acte de ce que la productionet la reproduction de documentsavèC traitélllentde'textepa.r micro-ordinateur(production) puis reproduction par photocopieuse ou imprimante à laser devientperfonnante notanunent pour ce qui concerne la production-diffusionde documents de fonnation et d'infonnation dans le cadre d'une collectivitéet sans doute surtout pour ce qui concerne les POLYCOPIES D'ENSEIGNIMENl'.

La Conférence redit aussi le prix qu'elle attache à la MUrATIONPROGRESSIVE DE L' ENSEIGNEMENI THEORIQUE ( cf. opération ''Bibliothèques­composante polycopiés pour les enseignants") qui ne se fera que par lamise à la disposition des étudiants de documents de base en quantitésuffisante (POLYCOPIES SPECIFIQUES PREPARES PAR LES ENSEIGNANIS RESPONSABLESET MANUELS DE BASE).

CONCLUSIONS

- L'OPERATION ''MATERIEL DE PRODUCTION ET DE REPRODUCTION DE DOCUMENIS"DEVIENI UNE URGENCE et DOIT ETRE INITIEE.

Elle doit être SOUPLE dans sa famule. ,

Elle doit prendre en compte les problèmes de CCMPATIBILITE ET deMAINIENANCE DES MATERIELS.

Elle doit aussi prendre en compte les problèmes de FORMATIONDES PERSONNELS TECHNIQUES.

- L'Opération sera proposée à l'O.M.S. lors de la prochaine visite à Genèvedu Président et du Vice-Président.

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26, OPERATION "MICROINFORMATIQUE"

Cette opération qui consiste à équiper les Etablissementsen micro ordinateurs et à former les. Enseignants et les Etudiantsà leur utilisation, est proposée par G; PIGEON dans le cadre des conclusionsdu SolIlTlet des Chefs d'Etat francophones. Neuf facultés de Médecine d'Afriqueont déjà reçu matériel et logiciels IBM compatibles offerts par leGouvernement du Québec.

CONCLUSIONS

La Conférence souligne que cette nouvelle opération s'avèretrès complémentaire de plusieurs Opérations concrètes qu'elle conduitet qui nécessitent l'utilisation de micro ordinateurs.

Mais elle souhaite que l'OPERATION SOIT CONDUITE POUR SON PROPRECOMPTE car elle a déjà donné d'excellents résultats dans les Etablissementsoù elle a déjà été initiée.

G. ~I~N fera de~ pr~~sitions précisés au Bureau Permanentlors de la Tetnllon de 1WllS (JUIn 1987) pour ce qui concerne les diversesphases de l'Opération, leurs modalités et si possible leur financement.

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Le Président donne lecture d'un message du Docteur J.P. OKIASMinistre de la Santé Publique du Gabon qui souhaite que les Ministresde la Santé soient étroitement associés allX problè)lles de la formationdes médecins à tous les niveaux. La Conf;'îrence accueille, bien s(lr, trèsfavorablement ce message.

31. FO~TI(1l DES FtJllJRS SfICIALISTES

- Derniers développements

- Troisième cycle français de spécialités - Concoursd'Internat - D.B.S. - D.l.S.(P.MALVY).

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Madame le Secrétaire d'Etat vient d'indiquer que 60 postesbudgétaires d'Internes à titre étranger avaient été dégagés.

Le concours de l'Internat qualifiant leur est ouvert(mémes épreuves, même jury, même cursus J

1- 3R -

Cette année, les concours d'Internat étant passés, un concoursparticulier va étre organisé sous peu pour pourvoir à ces postes , dèsl'année prochaine, il n'y aura plus qu'un seul concours.

Depuis notre dernière réunion, la situation a très sensiblementévolué. Les voeux qui avaient été exprimés ont été, semble-t~il, largementpris en compte. .

Des postes leur sont réservés en surnombre, répartis dansles interréqions i ces,étudiantsn~peuventêtreadmisque s'ils ontobtenu au moins autant de points que le dernier candidat français reçu.Seule particularité : il ne sera pas tenu compte du rang de classementpour le choix de la spécialité, ce qui revient à dire qu'au moment deson inscription au concours l'étudiant indiquera la spécialité qu'ilpostule, et qu'il pourr~ donc faire quel que soit son rang, dès lorsqu'il est reçu.. J

En effet, TROIS VOIES SONT OJNERTES AUX ETUDIANTS ETRANGERS(a~tres que les ressortissants de la Communauté Européenne) qui désirentse Ïormer en France à une spécialité, totalement ou partiellement.

Le D.I.S total sladresseparticulièrement aux Docteursen Médecine originaires de pays dans lesquels le schéma des étudesne correspond pas au programme français ni à la docimologie du concours.Il serait évidemment inconcevable de mOdifier des cursus qui ont étéétablis en tenant compte des besoins spécifiques de ces pays.

n y a d",ux faits nouveaux. D'une part, la DUREE DU D.I .S.est désormais la même que celle du D.E.S, au delà de l'année préparatoire.D'autre part,les postulants peuvent être dispensés de cette année par lacommission du D.I.S (la même que celle du D.E.S) compte tenu des formationssuivies antérieurement, et de l'appréciation formulée par les véritablesautorités universitaires de leur pays d'origine: les enseignants auprèsdesquels ils ont entrepris leurs études de spécialité et le responsablede l'Etablissement universitaire dans lequel ils ont accompli leur cursus.Il n'y a donc, sur ce dernier point, aucune ambiguité.

Il est claiT oue les étudiants DOIVENT PARTICIPER AUX ACTInTESmSPITALIERES DANS DES SERVICES DONT LE CA.AACTERE FORt'1ATEUR A ETE RECOX\1J,et qui sont par conséquent les mêmes qu'il s'agisse du D.E.S ou du D.I.S.Ils peuvent être rémunérés, ce qui correspondrait à exercer des fonctionsd'Interne qvec toutes les prérogatives qu'elles comportent. Il est évidentqu'ils ne peuvent pas prétendre au statut applicable aux étudiants quiont passé 'le concours d'Internat 1 mais il devrait être possib~e de leurassurer des fonctions d'Interne, notamment dans les spécialités où lesbesoins hospitaliers ne sont pas couverts, en raison de la diminution dunombre des Internes français. Il y a lieu de bien distinguer les cursus

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de fonnation, îdentiques pour les étrangers et pour les français, etla régulation des flux qui est un objectif national de Santé.

Le 0.I.5 est alors délivré par les autorités universitairesde l' interrégion.

Le D.I.S partiel. Il permet aux médecins étrangers qui,dans leur pays, ont entrep~is l'étude d'une spécialité, de suivre unepartie des enseignements théoriques et pratiques des O.I.S. Dans cecas, une attestation sera donnée",à,cesétudiant:.s,.,1.nQ;f.q\l,a,nt .lanaturedes formations théoriques ou pratiques qui. "'l1r0nt été suivies et validéesen France. Il appartiendra alors aux autorités du pays d'origine de lesintégrer comme elles le souhaiteront dans le cursus du futur spécialiste,puisque ce sont ces autorités qui lui délivreront le diplôme qui leurest Propre.

A noter enfin que ~es étudiants étrangers peuvent accéder .aUX diplômes inter-universita,ires de spécialité complémentaires, (DESe) àcondition d'être au préalable titulaire d'un O.I.lloU du diplôme demédecin spécialiste permettant l'exercice de la spécialité dans le paysd'obtention ou d'origine. .

Après son exposé P. MALVY rappelle les réserves exprnnees toutparticulièrement par A. ANGATE, lors de la Réunion d'Abidjan (Janvier 1986).A. GACHIN rappelle les réserves qu'il a émises lors de la réunion duBureau Permanent à Paris (Juin 86).

A. ANGATE, appuyé par les interventions de 1. DIOP MAR, P. CARTERET,H.V. KINIFFO et R. SIOPATHIS considère que le nouveau dispositif prendtrès largement en compte toutes les iJlquié1;udesetremarques qui avaientété exprimées il y a déjà trois années lors d'une réception du BureauPermanent par la Conférence des Doyens français à Paris (Juin 84).

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CONCLUSIONS

La Conférence

- SE FELICITE de ce que SES SOUHAITS ON!' ETE PRIS EN C(MPfEDANS LES TEXTES en cours de signature·. (et qui seront diffusésavec le compte-rendu de la présente réunion)

- tant auniveaude!'!N'Ï'ERNÂi'··- que des DIS PARJ'IELS OU ceMl'LEfS- que des DESC,

- souligne que si, auhourd'hui il n'est question que du troisièmecycle de Spécialités français, en raison de sa réfonne,la fonnation des futurs spécialistes reste par excellence unproblème qui ne peut s'envisager que dans la MULTILATERALITEet A PAlU'IRDES FOR>!ATIüNS QlJI EXISTENT DEJAOU SE METTENT ENPLACE DANS CHAQUE PAYS,,

- souhaite que lors des néunions à venir, le problème soit replacétrès complètement dans ce cadre,

- souhaite enfin que CHAQUE ETABLISSEMENl' D'ACCUEIL confie à unENSEIGNAN1' RESPONSABLE la COORDINATION DU SUIVI DE LA FORMATIONDES FlJftJR') SPECIAl,ISTES F.rnANr,F,llS (accueil, pédagogie, correctionprécoce des dérapages ••• )

32, LE CAMES

La troisième session des Concours d'Agrêgation Interafricains pourles SCiences Médicales s'est déroulée à. LCNE en Novembre 1986. Un brefrapport diffusé avant la réunion a fait le point sur cette session et surles Concours d'Agrégation du CAMES en général.

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CONFËRENCE INTERNATIONALE DES DOYENS

DES FACULT~S DE M~DECINE D'EXPRESSION FRANÇAISE

lIOVEMBRE 1986LCME- TOGO

André <Xll1AZE

j

. Le Conseil Afrie,ain et Malgache de l'Enseignement Supérieur(CAMES) est unOtganisme inter Etats dirigé par le Conseilde!i Ministres chargés de l'Enseignement Supérieur et de la RechercheSCientifique des Pays membres, Pays d'Afrique· au Sud du Saharad'Expression Française et Madagascar.

Le Président en exerciceduC':)J).!ieil des Ministres du CAl-lESest leProfesseurD.ABIBI; Ministre <:lel'En!ieignement Secondaireet Supérieur de la Répulllique Populaire du Congo.

L'une des actions les plus marquantes du CAMES reste l'orga­nisation des Conco\1rs d'Agrégation pour les disciplines de Santéet aussi les disciplines Juridiques.

Les troispremiilressessioll!; desçoncour!i d'agrégation pourla Médecine et les disciplines de Santé ont fait preuve de rigueuret dl une qualité !icientifique, technique et pédagogique exemplaires.

Le CAMES démontre maintenant la<réalité de 'la CoopérationUniversitaire interafricaine. Avec ses jurys internationaux notammentil démontre que la Coopération Nord...Sudestaussi une réalité,Il démontre que l'une ne veut en aucunemaniilre se substituerà l'autre mais que les deux deviennent parfaitement complémentaires.

D'ailleurs dans le cadre de cette complémentarité, lescandidats qui ont concouru à Lomé ont pour la plupart été fomésdans leur FaCulté d'origine mais ont tous aussi reçu une large formationcomplémentaire à l'étranger (France notanunent, mais aussi Canada ­Québec, Belgique voire USA).

- 41 -

PReSIDENT t A. QOUAxt (,.RANCIl)

VICE·PR4sI0ENTS ~A.YANQNI·"HQ"T.(",MIQUe AU .tUD QU ."H""AIQ. f'IGaOH,'(CAHAO,,· out.CC)

(SI'O.'RtSIt:RVe)MAOHRI.

CONSEIL AFRICAIN ET MALGAOŒDE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (CAl-lES)

. CONCOURS D'AGREGATION

INI'ERAFRICAIN

DE MEDECINE,PHARMACIE, ODQNlD­

STCMATOLOGIE ET MED.ECINE VETERINAIRE

QUI! AU SUD CU sAJofARA;A:O.AQA~C,AA

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'U~I<:I""·"'UOa'ÜlIIUNOIC;:~"lll'OUN

P:CNTIt"""IQueCONGO'Ç0'l'1 O·IVQUU.

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La Conférence des Doyens des Facultés Africaines de Médecined'Expression Française animée par le Doyen A. YANGNI-ANGATEd'ABIDJAN se considère comme l'une des pierres angulaires de cetteaction du CAMES.

La Conférence Internationale des Doyens des Facultésde ~decine d'Expression Française se considère aussi commeprofondément engagée dans cette action.

Les Pays d'Afrique s(mttrès fiers ,à juste titre, de leurCoopération Universitaire notamment dans les Sciences de la Santé,très fiers des actions du CAMES.

Le Togo en a d'ailleurs fait la démonstration et montrétoute l'inlportance qu'il attache,comme les autres Pays membresaux dÏ)lersf;ls actions de l'Institution et noramment il cette phasede sélection des Universitaires Africains.

Son organisation a été remarquable.

La Séance d'Ouverture qui fut un grand spectacle animépar la jeunesse '1'og9laise,a rassemblé dans le grand Auditorium du RPrplus deq\lelquestrois millepersollIl.es. Elle a été présidée parle Président de la République, le Général EYADEMA, en présence duPrésident en exercice du Conseil des Ministres du CAMES.

Au cours de la Séance de Clôture présidée par le Ministrede l'J;ducationNationale et de la R",cherche Sçientifique en présencedu Ministre de la Santll, les diplôJ)lf)sont étll remis aux nouveauxagrégés.

- 42 - ,

Après DAKAR (1982)'et ~RAZZAV1LLE (1984), la troisième sessiondes Concours d'Agrégation Interafricains de ~decine Pharmacie,Odonto-St011U1tologie, Médecine Vétl!r.insire et Productions Animaless'est:iéroulée à l'Université de J..(lylIJ au'I'OGO du 1er au 10 décembre 1986

Pour ce qui concerne la ~decine, 64 candidats appartenant il10 Paysd'Afrique au Sud du Sahara d'Exprf)ssion 'Française (Benin,Burkina-Faso, Centrafrique, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée,Madagascar, Sénégal et Togo) étaient répartis en 3 sections, 11 sous­sections et 30 spécialités.

Les Jurys internationaux étaient c~sés pour moitiéd'Hospitalo-Universitaires Africains (pratiquement tous les Etablisse­ments de Fonnation Médicale d'Afrique.auSud du Sahara d'ExpressionFrançaise étaient représentés) et pour moitié d'Hospitalo­Universitaires étrangers (Français surtout appartenant il 11 CHUdifférents, les Universités BelgeS et du Canada-Québec étantaussi représentées).

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Nous avons été séduits par la riguetlr des Jurys, argumentéed'ailleurs souvent par les membres Afriçains eux-mêmes qui savent(ils l'ont montré) que la qualité et le haut niveatl de leurSEtablissements et de leur'Médecine passent par la rigueur.

Nous avons été frappés par le haut niveau sci~ntifique ettechnique, les qualités pédagogiques de nombreux candidats,l'élégance de leurs présentations •••

Les candidats Ivoiriens notarranent ont sans doute séduit lesJurys par la qualité de la préparation pédagogique qu'ils ont reçuede la Cellule Pédagogique de l'Université d'Abidjan.

Tous les candidats ont, bien sûr, effectué un stage prolongésinon reçu letlr formation de troisième cycle à l'étranger (Francesurtout mais aussi Canada-Québec, Belgique voire USA). Ils ontsouvent effectué des stages dans d'autres Pays Africains d"ExpressionFrançaise. ,

3 épreuves ont été subies parchaçun des çandidats - exposédes titres et travaux (les dossiers des candidats avaient auparavantété adressés aux membres des Jurys) - leçon pédagogique de 4S minutesaprès S heures de préparation en bibliothèque - épreuve pratique(examen de malade et exposé, dissection, travaUX pra1:iques •• ~).

Une grille de notation prenant en compte toutes les activitésHospitalières et Universitaires et différente pour les SciencesCliniques et les Sciences Biologiques était proposée aux Juryspour chacune des 3 épreuves.La candidature de chacun des candidats ,était rapportée par unMembre du Jury.

Une note inférieure à 8 à l'une des épreuves était éliminatoire.

5eul<s pouvaiellt être norranés les candidats atteignant à lafin des épreuves au moins la note de 12.

43 candidats sur 64 ont au bout. du compte été norranés.Il faut souligner ici que toutes les candidatures avaient reçul'avis favorable du Conseil de leur Etablissement. Les candidatsétaient donc susceptibles d'être ensuite norranés sur un poste.

• . l

Pour ce qui concerne la Pharmacie, sur 7 candidats présentéspar DAKAR et ABIDJAl'l ,4ont été admis.

POtlr l 'Odonto-Stomatologie, lesZ candid;lts présentés parDAKAR et ANTANANARIVO ont été admis.

Les 2 c;;mdidats e!1Médeçine Vétérinaire (DAKAR) ont étéajournés.

- 43 - ,

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La Session a été remarquablement organisée comme les deuxprécédentes sous la direction du Secrétaire Général du ~~le Professeur NA'l}lANIELS, et de son Conseiller, M. MICHEL, S~crétaireGénéral de l'Université de Lille II, le CHU de LaME, ont à cetteoccasion, démontré leur pleine maturité atteinte Sous la directiondu Recteur JOHNSON d'abord, du Recteur SEDDOH ensuite et du DoyenJŒJŒH d' abor<;t, du Doyen AMEDCME ensuite. .

CONCLUSIONS

La ~CE INrERNATIONALEET LA CONFERENCE DES DOYENSDES FACULTES DE MEDECINE D'AFRIQUE NOIRE D'EXPRESSION FRANCAISESOUTIENNENT ardeJmlent l'AcrION DU CAMES et SE CONSIDERENr l'uneet l'autre (XMIffiLES l'JERRES ANGULAIRI'.$ de l'Institution pour cequi COllDne 1<1 Hédecine et particulièrement les concours d'agrégations.

Elles redisent qu'elles ' Sont à la disposition du Conseildes Ministres du CAMES et du Secrétaire Général du ~~ pour lesaides dans leur mission.dans toute la mesure de ses moyens.

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33, FORMATION ET PERFECTIONNEMENT DES ENSEIGNANTS

Actuellement les tages de perfectiolUlement des Enseignantssont esselltiellement inscrits, s~mb1e-t-il,d.anslesaccord1;inter-universitaires et leur durée est en général limitée. . .

Surtollt CeS derni~resalU1ées se développent les sessions deformation et perfectiOlUl(llllent des Enseignants

- à la rédaction des objectifs et aux méthodes docimologiques(thème devenu sans doute un peu ancien aujourd'h\li),

- a\l raisolUlement et à la décisi~ médicale,- à larédacti~ médicale,- à l'expression orale,- à l'enseign(llllentlassisté par ordil!ate\lr,- à la méthodologie de la Recherche,- aux objectifs et !-byens de la Santé pOur Tous,- et éventuellement d'autres créneauxQutec!)niq\les spécifiques

dès lors qu'elles sont éprowées.

L'INSl'ITIll'SUPERIEUR DEÇa.MUNICATIONET DE MANAGEMENT MEDICAL(IS(J>t.1) né de l'expérience acquise par l'Assocaiti~ Eç:onomie et Santé·et du partenariat avec l'Ecole Supérieure deConmerce de Paris veut intégrerles notions de management, de gestion, de cOll1lllIDÎ.cation aux domainesmédicaux et de la santé, valoriser l'expérience professionnelle acquiseen la complètant pour la rendre plus efficace,maitriser l'ensemble desfonctions d'un responsable hospitalier ou hospitalo-universitaire.

L'ISOO propose des actions de formation à la carte ou inscritesdans un programme long de Mastère délivré par l'ESCP.

L'ORGANISATIONENAl'RIQUEAlJ SOO DU SAHARA ET AU~J> DE SESSIONSDEFOllMATION regroupant un ellseignant de ç:hacunedesFacultés d'un groupeplus ou moins large et destinées à les former à une tec!)nique ou.àplusieurs,à charge pour chacun de motiver et d'initiér les collè$Ues de leur proPreEtabliss(llllent, est sans dollte à étlldier. Il ~uts'agir de Sessions courtesne concernant qll'une technique ou longues (et c'est sans doute préfèrable)concernant alors plusieurs techniques.

L' IS(M.l s'est déclaré prêt à étudier, dans le meilleur esprit,les modalités d'accueil des enseignants africai,ns dans ses sessions deformation à PARIS. Il s'est déclaré prêt aussi à participer à l'organisationde sessions de formation en Afrique.

Le Directeur Régional de 1'00 pour l'Afrique, G.L. MONEKOSSO,a donné aussi au Président un avis favorable de principe à la participationde 1'00.

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CONCLUSIONS

,

- La Conférence souhaite que Œ1AQUEFACULTED'ACCUEILdésigneun ENSEIGNANTRESPONSABLE de tout ce qui concerne les STAGESINTRA-FACULTAIRESDE PERFEqIONNE-lENI DES ENSEIGNANTS ETRANGERS (modalités pédagogiqueset .pratiques, suivi et· correction des dérapages, contaCts divers etcompte-rendu terminal ••• ).

- La Conférence souhaite que soient organisées POUR LES PAYS D'AFRIQUEAU SUD DU SAHARA ET MADAGASCAR (à Brazzaville· et/ou Bamako par exemple)ET pour LES PAYS DU MAGHREB, Ms SESSIONSDEFOW.lATION COURTES OU LONGUES(à une ou plusieurs tecJm~ques)de formation et ~rfectionnementdesenseignants dans le cadre d'un ACCORD TRIPARTITE CONFERENCE-CMSAFRIQUE-ISCM4 et mandate l~Président POUl' prllndre les contacts nécessaires.En attendant, la Conférence souhaite vivement que L'ACCES AUX SESSIONSDE L' ISa.M soit LARGIMENT OWERT AUX ENSEIGNANTS AFRICAINS et demandeau Président de prendre aussi les contac;ts nécessaires.

34, FORMATION CONTINUE DES PRATICIENS GENERALISTES <F',M,C,)

La F.M.C. du généraliste (et du spécialiste, bien'sOr, mais le problèmeest en général moins ai!l\l) est de la mission des Etablissements de FormationMé(licale. taFMC est fondamentalement indis~nsableau médecin généralistemais desurcroî't et c'est très précieux, laFMCpermet à la CommunautéHospitalo-Universitaire de se dépasser vers une OM4lJNAlITE MEDICALE REGIONALEOU NATIONALE "SANS MURS" dont la Faculté reste la gardienne des valeursessentielles.

Les Etablissements français, québècois, belges, du Maghreb et les .plus anciens d'Afrique au Sud du Sahara sont déjà très attentifs à cette mission.;Les plus jeunes des Etablissements, qui sortent leurs premières promotionslsont décidés à profiter d'emblée de leur jeunesse qui facilité sans doute 1leur mission. ilNous n'en voulons pour preuve que les mini-journées médicalesqui doivent se tenir à Ban!l\li à l'occasion des Vèmes soutenances de thèseset qui seront avant tout des journées de PMe très spécifiques.

LA CONFERENCE EST DECIDEE A SE PENCHER SANS TARDER SUR LA ~1ISSlONDE R>lC DES ETABLISSEMEl\'fS MEMERES ET A AIDER A SA PRQ\1OTION.

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,- 47 -

La Conférence est très attentive ~ ces deux problèmes qui ont ététraités plus haut en leur temps.

GROUPES D'APPUI SPEC~ALISES - GROUPE EXPERIMENTAL DERADIOLOGIE

36.

Les Facultés les plus anciennes ont forgé leur politiqueen général dans le cadre d'une COLLABORATION ETROITE AVEC LA PROFESSIONet souvent au prix de DIFFICULTES CERTAINES. 1). faut que CES ENSEIGNEMENTSPROFITENT AUX JEUNES ETABLISSH4ENI'S.

Ils résument ensuite les 9Pérations soncrètes déjà entreprisespar la çOlllllission de coopératioll4u CERF (Ph. ROULEAU) dont les objectifssont les ~mesque ceux de III Conférence. Un inventaire des actions decoopération menées par les radiologistes français en as et des moyens decoopération proposés par les différents services, a été établi. Le CERF .participe déjà, après contacts avec le Président de la Conférence, à;r' "Opér;ition Bibliothèques" et étudie une éventuelle participation àd'autres 9Pérations de III Conférence. '

Le· CERF veut jeter lesb;iSes d'une CCM>lISSIONINI'El<NATIQNALEUNIVERSITAIRE DE RADIOLOGIE D'EXPRESSION FRANCAISE, à représentationgéographique, travaillant en accord étroit avec la Conférence. Pour celaune enquête a été lancée sous forme de QUESTIONNAIRE ADRESSE A TOUS LESMEMBRES DE LA CONFERENCE reprenant les trois objectifs

- diffusion des informations,- formation des hommes,- recherche.

Les Professeurs J. Pl-UEL (Président) etPh.RûULEAU (Secrétllire)invités ~ la Réunion de la Conférence définissent le CERF .(Collège desensei~an,tsfrançais de Radiologie) et SeS objectifs de promotion del!en,seignement et de la recheI'che en radio;ro~it}.pssolllignentsa volontéde privilégier .la compétence et l' indépendl!nse)néq;ossairedù taitdel'impOrtance des enjeux liés aux investissements actuels dans l'imageriemédicllie.

35 fORM.l\TION DES BIBLIOTHECAIRES ET DES TECHNICIENS DEPHOTOGRAPHIE

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La Collll1ission Internationale de Radiologie prendra les contactsutiles avec le Collège Européen de Radiologie (Président - L. JEAI-MART ­Bruxelles) qui a déjà engagé des actions de coopération universi~aire avecYAOUNDE.

La COllll1ission Internationale de Radiologie se réunirait tous les ans,par exemple à l'occasion de la Réunion annuelle de la Con:t;érenceInternationale.

CŒCLUSIONS

,- La Conférence demande instanment à ceux de ses membres. Qui n'ont vas

encore transmis l~ QUESTIONNAIRE DU CERF à leurs radiologistes, de le1eur TRAN$.'>lE'ITRE en leursou:!.ignant l'URGENCE DE LA REPONSE.

-La COrttérence est très attentive à la MISE EN PLACE DE LA Ç(M.fiSSIONINfERNATIONALE UNIVERSITAIRE DE RADIOLOGIEP'EXpRESSION FRANCAISE etfera tout ce qui est en. son pouvoir pour l'ai~rà.atteindre ses objectifsde coopération qui s'inscrivent dans le cadre ~sactions de la Conférence.

Elle souhaite que III mise en plllCe ~. laCoJmlission devienneeffective lors des Journées Médicales de DAKAR (Janvier 88) et queses actions s'inscrivent d'emblée fonnellel11(lntcotmne celles de laCon:t;érence, dans le clldre~ la MlJLTlLATERALlTE.

-La Conférence se félicite enfin de la structuTlltion d'UI'l PRI$1IER GROUPED'APPUI EN RADIOLOGIE. Elle le considèrecotmneEJ(PERIMENTAL et souilaitequ'il devienne un EXEMPLE pour les autres disciplines pour aboutir à lacréation, llutourde ·laConférence, <l'un vlêritable RESEAU DE GROUPES D'APPUI'SPECIALISES.

Il remercie le CERF d'avoir vou1u ouvrir cette voie prometteuse.

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Il faut souligner d'abord

- l'action menée au niveau de l'ACCES A LA BIBLIOGRAPHIE-ETAUX BANQUES DE DONNEES

- abonnements il l'Index Medicus, -. Pascal Sigma·CNRS,Index Médecine Tropicale CNRS,

:.. soutien il la création de Medexpres, du thesindex Afrique,- cellule de bibliographie de la Conférence et opération

conjointe ConféJ:once - CIE pour la santé de la Mère etde l'Enfant, ,

- l'entrée de la Conférence çlans la FONDATIONNORD-SUD, essentielle­ment l:lJ(ée sur la formation des chercheurs,

- La mise en place par l'INSERM des RESFAUX DEjŒOIERCHE NORD-SUD ­sO\ltien lie projetséle recherche,S\lrthèmesIlréférentiels,associant au minÏJ1lLll1lqtJatre .laboratoires{aumo~ns deux françaisdont au moins un relevant de l'INSERM et au moins deux appartenantil des Pays en liéveloppement),

- la mise en place par le Minist(,re français de la Coopération duPROJ:E1' CAMPUS,

,

DERNIERS DEVELOPPl3I1ENTS

- INSERM

Le bilan d'une PRlMIERE OPERATION 86 portant sur les RESEAUX NORD-SUDpeut être ainsi résumé (Docteur Simone DORMONf, chargée de mission àl'INS~I et au CIE) -- trente déclarations d'intention, vingt sélectionnées,cinq réseaux retenus, plus deux autres réseaux financés directement par leMinistère français de l'E,S. et de la Recherhe. Ces réseaux concernent quatrePays d'Afrique (Burkina Faso, cameroun, Maroc, Mali) trois Pays d'Amérique­Latine et le Vietnam.

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LA MB-lE OPERATION EST RENOWELEE POUR 87 avec le calendrier suivant

- dépôt des déclarations d'intention avant le 28 Février 87,

. - dépô,t des contrats définitifs avant le 15 Juin 1987.

- PROJET ~\œUS (Coopération avec l'Afrique et ~~dagascar pour la PromotionUniversitaire et Scientifique).

~dame H. DELRIEUX expose le projet CAMPUS du Ministère françaisde la Coopération qui vise à DEVELOPPER DANS LES UNIVERSITES AFRICAINESDES POLES DE RECHERCHE D'EXCELLENCE, dans le cadre de PROGRJI1.MES CONJOINTSnégociés entre les Laboratoires FRANCAIS Er AFRICAINS qui s'engagent surdes objectifs arrêtés en commun.

Pour sa mise en oeuvre le programme CPMPUS est placé sous l'autoritéd'un CCMITE D'ORIENTATION qui sélectionne les projets répondant auxCRITERES suivants

,- 50 -

,- contribuer au développement,- favoriser la constitut ion d'équipes de chercheurs africains.- s'appuyer sllrdes unités scientifiques universitaires de valeur,- être reconnu parles inst!lllCespolitiques de l'Etat partenaire,- présenter des garanties de viabilité à tenne.

L'initiative de présentation des PTQjetsau C9mité peut être lefait deslJniversités 9uCentres de Recherche ilfricains et frllnçais ou desadministrations responsables de la CoClpération.

Les projets doivent être adressés au ProfesseUr Ch. PILLEr,PrésJ~nt du Comité CAMl?US iluMinistère français de la Coopération.

Les moyens affectés à chi1que projet sont arrêtés par décisiondu Ministère sur proposition du Comité .

,•A. GCUA2E est Responsable du secteur "Sciences de la Vie" au sein

du Comité CPMPUS,

Le Comité s'est déjà réuni pour examiner les premiers projets.

- DCRI (Direction de la Coopération et des Relations Internationales duMinistère Français de l'Education Nationale),

Le Professeur Cl. RICHIR annonce le lancement de PROGmMESINTEGRES DE COOPERATION INfERUNIVERSITAlRE dont l'objectif est la PORI>lATIONde haut niveau PAR LA RECHERCHE sur progranmes qui associent deux LaboratoiresUniversitaires (France-Afrique) sur un projet élaboré en commun et dont laréalisation peut s'étendre sur deux à trois ans.

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Le financement (stages, missions, matériel, documentation et

logistique) sera mis directement à la disposition des Etablissements

universitaires responsables de la gestion.

- O.M.S.

, ,A. GOUAZE et A. YANGNI-ANGATE doivent rencontrer le Docteur

H. NAI-n.ER le 19 février 1987 à Genève.

La Rechllrche et son développement fp!lt partie des thèmes qui

seront abordés.

Il est certain que l'(MS ET LA CONI'ERENCEOOIVENT COLLAOORER

étroitement dans ce sectllUr, cette collaboration dllvant s'avérer très

bénéfique pour le DEVELOPPl'MENT COO~'ED'UNE RECHERCHE SPECIFIQUE

ET BIEN CIBLEE.

CONCWSIONS

- LA CONfERENCE SE FELICITE DE L'EPANOUISSl'MENTDE SON OPTION "RECHERCHE"

avec

- le développement des Mseaux Nord-Sl.ldde l'INSERM,

- la création du Projet CAMPUS du Ministère:/,rançais de la

Coopération,

- le lancement deprogramneS intégrés de eoopér<ltion Inter­

universitaire à laDCR! du Ministère français de l'Education

Natipnale.

- La Conférence souhaite qu'un Efl'ORT soit entrepris au niveau de

- l'INfORMATION,

- la COORDINATION au niveau des Grands Organismes et aussi des

Groupes de Recherche sur le terrain et qtte le problème du

développement et de la Recherche soit étudié sous cet angle

avec le DIRECTEUR GENERAL DE L'O.M.S., le 19 Février à Genève.

Le compte-rendu de la rencontre de Genève sera diffusé

avec le compte-rendu de la Réunion de Libreville.

- Le problème de la MULTILATEPALITE DU DEVELOPPl'MENT DE LA REOIERCllE

reste posé et la Conférence y est très attentive. Elle souhaite que

des SOLUTIONS se dégagent A COURI' TERME d<lns ce sens.

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- S2 - ,

5, lf ROlf DES UNIVERSITES DAfI!S lES STRATEGIES DE LA SANTEPOORTaJS

Dans le cadre de la.. préparation...delaRéunion .trois rapports ontété diffusés (A. ANGA'J'E 4'Abi4jllll-A, GAGlEM de 1\mis -A. GOUAZE et M. GUEROISde Tours). Mais plusieurs autres documents se rapportant aux actions d'unEtablissement ont été reçus au Secrétariat (J. ANDRIANJATOVO pour Madagascar,G. QJARLIERpour Haïti, C. VRQUSOSpourGrenoble, A. REBEL pour Angers .•• ) .

. ,A. GOUAZE a. pu aborder très récemment longuement le problème avec le

Directeur Régional de 1 '00 pour l'AfriqueG. L. MONEKOSSO.

Il est certain que· le problème se pose avec de très réelles différencesselon les Pays ou les grands En~embles de Pays.

,Le RAPPORT DE A. ANGATE ~pparait un fait très exhaustif. Son exemplarité

a d'ailleurs justifié sa récente publication dans la Revue de 1'00, "Santé duMonde" •

Le débat de ce jour ne peut être qu'une étape pour la Conférence qui sefélicite que le thème soit inscrit à l'ordre 4u jour des JOURNEES Médicales deDakar en Janvier 1988.

G. CCNLAN, représentant de 1'00 au Gabon, regrette que les Universitésaient tardé à éclairer les décisions des responsables. Il souhaite qu'ellesengagent une réflexion créatrice pour dégager une solution au problème posé"LE PRODUIT FINI EST-IL APTE APRCMOWOIR LA SANTE POUR TOUS 1". En somne, lesFacultés préparent-elles actuellement les meilleur.s mé.decins pour un système deSanté basé sur les Soins Primaires.

Il faut signaler que le GUSS de Yaoundé a créé trois centres pilotespour former les étudiants a leur intégration dans les Soins Primaires.,

La discussion générale souligne cependant que la politique de 1'00a été élaborée sans consultation des Universités mais aussi que LA CONFERENCESOUHAITE PROFONDEMENT QUE LES ETABLISSEMENTS DELIVRENT UN ENSEIGNEMENT ADAPTEAUX MOYENS DONT LE PERSONNEL DE SANTE DISPOSERA SUR LE TERRAIN.

CONCLUSIONS

La Conférence décide

- D'AIDER dans toute la mesure de ses moyens, LES ETABLISSEMENTSmembres A DELIVRER UNE FORMATION ADAPTEE aux moyens dont le personnel

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- 53 -,

de Santé disposera sur le terrain, fonnation devant s'inclure dansle cadre des STRATEGIES DE LA SANI'E POUR TOUS,

- de demander a ses membres des c;a.jPUMENTS personnels ougénéraux AUX. RAPNRTS précités, '

- de demander à tous les Etablissements de motiver, de CONCERNE!davantage LES ETUDIANTS,

-d'utiliserlesrapports déjàdiffw;és et les rapportscomplémentaires à venir pour constituer l'APNRT DE LA CONFERENCE àla discussion qui aura lieu dans le cadre des JOURNEES MEDICALES DEDAKAR.

, .. .'La Conférence demande à A. GOUAZE et A. YANGNI-ANGATE d'aborder le

problème lors de leur prochaine renc,ontre av<)\; le Directeur Général de l '(MS

à Genève le 19 Février.

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Le Directeur de l'Institut de troisième cycle des E}udes Médicalesde l'ILE MAURICE, le Professeur S. BALIGADOO et le Doyen de la Faculté mixtede Médecine, Pharmacie et Odontologie de l'HN<l'4 - PENH (R. P. KAMPUCHEA), leProfesseur M.Y. SAMEDY souhaitent être accueillis au sein de la Conférence.

Lors de la dernière réunion du Bureau Pennanent (Paris - Juin 1986),à la lumière de sonexpériencede~membre~du~~Hl1.ut ~CQnseilde la Francophonieet du remarquable rapport du .•. Secrétaire Général· du Hal.ltConseil St. FARANDJIS,le Président a estimé que la question d'un éventuel élargissement de laConférence se pose aujourd'hl.li tout en soulignant que poser la ql.lestion nesignifie pas forcément lui apporter une réponse positive.

Le Bureau Pennanent

- a voulu poser le problème EN TERMES d'ETABLISSEMENTS et non de Pays,

- avec comme critère essentiel, le fait que L'ENSEIGNEMENT EST DELIVREtotalement ou partiellement EN LANGUE FRANCAISE, le deuxième critèreétant L'ADHESION VOLONTAIRE,

- a souhaite une INFORMATION LARGE sur les objectifs, les actions,l'esprit d'ouverture de la Conférence, auprès des candidats potentiels,

- a demandé au Président de PRENDRE LES CONTACTS NECESSAIRES (en restantau plan de l'information) soit directement, soit par l'intermédiairedes grands Organi~s de Coopération,

- a demandé à St. FARANDJIS; Secrétaire Général du Haut Conseil de laFrancophonie d'envisager la DIFFUSION DU RAPPORT SUR L'ETAT DE LAFRANCOPHONIE DANS LE MONDE" qui fait une large part à l'action de laConférence.

- S4 -

6, ELARGISSEl''ENT DE LA ClHERENCE

,

CONCLUSIONS

La Conférence

- ACCUEILLE favorablement la candidature de l'ILE MAURICE.

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- ss - ,

- demande au Présiclent de préciser ses contacts avec le Doyen MY SM1EDYdonne un AVlS FAVORAELE DE PRINCIPE à la candidature de PHNQ\f - PENH,et souhaite qu'une information large soit conduite en direction desautres Etablissements de Formation Médicale d'Extrême Orient délivrantleur enseignement totalement ou partiellement en langue française,notamnent ceux du VIETNAM et de SHANGHAI,

- remercie vivement St. FARANDJIS, Secrétaire Général du Haut Conseil dela Francophonied'avcir permis une LARGEDIFFQSION PU RAPPOIU' SURL'ETAT DE LA FRANCOPHONIE DANS LE MONDE.

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7. INFD~TIONS G8'EPALES

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- La XIe REUNION DU BUREAU PERMANENT aura lieu il TUNIS, les 1er et 2 JUIN 1987.

- LES XIlemes JOURNEES MEDICALES de DAKAR auront lieu du 18 au 23 JANVIER 1988sur le thème "la maladie atheromateuse et ses facteurs de risque" et lesous-thème "Santé pour tous en l'an 2000".

La VIlerne REUNION PLENIERE DE LA CONFERENCE INTERNATIONALE auralieu il DAKAR dans le cadre des JOURNÉEs MEDICALES.

- Les soutenances de thèses de Bangui qui se dérouleront durant la prémièresemaine de mars seront suiviés des ''MINI-JOURNEES MEDICALES DE BANGUI".,

- La SOCIETE AFRICAINE DE PEDIATRIE DE LANGUE FRANCAISE est née récemmentil Abidjan.

- Madame H. DELRlEUX du Ministère français de la Coopération signale la récentecréation de la FEDERATION HOSPITALIERE INTERNATIONALE dont l'objectif estd'aiderâ la solution des problèmes de gestion des Hôpital1X en Af'rique.

- A. GOUAZE sera présent il Québec en septembre lors du sommet des Chefs d'EtatFrancophones en sa qualité de membre du Haut Conseil de la Francophonie etde Président de la Conférence Internationale.

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8. . CONCLUSIONS GENERALES

Plusieurs points essentiels sont à souligner

81 - Plusieurs OPERATIONS CONCRE'l'ES conduites dans le cadrede~a DIFFUSION DE L'INFORMATION SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUEarrivent à un PLEIN EPANOUISSIMENr,

- L' "OPERATION ,BIBLIOI'HEQUES" , opération phare, a été. retenue par les Conmissions du Comité du Suivi du Sommet

des Cl1efs d'Etat Erancophones pour être proposée auSommet de Montréal en Septembre 87 (avec élargissement auxàUtres discipline~ de santé et aux autres ordres dedisci­pline).

-l' "OPERATIONBIBJ,IQGRAPHIE- accès aux banques de données"conforte .seséléments de base (ceIWle. bibliographiquegrâce au CIE, medexpres •• ) et s'ouvre sur des réalisationsp:rO!lletteus.es dans le cadre de l'accès aux B.D. Internatio­nales en Afrique avec un premie:rSé)ninaire à Abidjanen Avril 1987.

- Parallèlement l' "OPERATION FORMATION DES BIBLIOTIlECAIRES"entre dans une phase très concrète avec la Réunion desBibliothécaires d'Afrique au Sud du Sahara et Madagascar

;e~~~c~;::as;;Aâ~:eAs~~~~:~O~nd:iBi~iroih~c:~;i~sEtablissements de Formation Médicale d'Expression Françaisequi prendra en charge la formation continue de ses membrestout en constituant un réseau très précieUlC de rencontreset de réflexion.

- L' "OPERATION AlJl)IOVISUEL - DIAPOSONS", opération phareaussi, terminera superbement en 1989 la phase III intra­faeultaire de formation des enseignants puisque tous lesEtablissements auront eu leur Séminaire propre. La phase IV(médiathèque) devrait couronner cette opération dans lesprochaines années.

- LA POLITIQUE DE LA CONFERENCE POUR CE QUI CONCERNE L'AlJl)IO­VISUEL devrait trouver aussi sa cohérence, lors de laprochaine réunion du Bureau Permanent (Tunis - Juin 87)avec les travaux de la Connnission "Supports Techniquesde l'Enseignement médical",

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- 58 - ,82 - Pour ce qui concerne la FORMATION DES HCM<1ES A TOUS LES NIVEAUX

la Conférence se réjouit tout particulièrement de la prise encompte de Ses remarques et voeux relatifs à la réfonne duTROI~~ENE CYCLE FRANCAIS DE SPECIALITES avec la mise en placede l lnternat (pour les étrangers), des DIS partiels et completset des DF.sC.

. Elle se réjouit aussi de la qualité et de la rigueurdes CONCOUllS D'AGREGATION DU CANES qui en font lUle institutionde haut niveau dont elle veut être l'un des socles.

Elle se réjouit de l'ère de collaboration sans doute frutueusequi s'ouvre, avec l'OMS et l'ISCMM dans le cadre de la formationet du PERFECTIONNI:MENI' DES ENSEIGNANrS.

La Conférence enfin est heureuse de la mise en place duGROUPE D'APPUI SPECIALISE DE RADIOLOGIE qu'elle veut expérimentalet exemplaire vers la constitution d'un. réseau de groupes d'appuispécialisés autour de la Conférence.

83 -Pour ce qui concerne .la rœo-lERŒlE, la Conférence se réjouit dudéveloppement des Réseaux. Nord-Sud de l'INSEl1M, de la créationdu Projet CA\1PUS du Ministère français de la Coopération, dulancement des prbgr~es intégrés de Coopération Interuniversitairede la DeR! du Ministère français de l'Education Nationale.

Elle sait qu'une collabcration étroite avec l'OMS est nécessaireau développement c09rdonné d'une Recherche de haut niveauspécifique et bien ciblée.

Elle sera trèsattelltive aux conclusions de la Rencontre du19 Février à Genève entre le Directeur Général de l'CNS et lesPrésident et Vice-Président de la Conférence.

Enfin la Conférence reste très <attentive à la MULTILATERALlTE DUDBVELOPPE>lENr DE LA REŒlERCHE.

La Conférence n'est pas riche d'argent. Elle est riche de lareconnaissance et de l'aide des Ministères de tutelle des Paysmembres au premier rang desquels il faut placer les Ministèresfrançais de la Coopération et de l'Education Nationale (DCRI)riche de la reconnaissance et de l'aide des Grands Organi~nes

de Coopération, CNS. AUPELF, ACCT. ICC, UNESCO, 155, riche dela reconnaissMce et de l'aide des grands organismes de Recherche,(J'IS. INSERM, CA"lPUS •••

La Conférence a, lOrS de la Réunion de Libreville, ratifiéd'enthousiasme un PRafOCOLE D'ACCORD AVEC LE CENTRE NATIOI\AL DEL'ENFANCE qui pennettra la conduite d'opérations conjointesdans le cadre de la Santé de la Mère et de l'Enfant avec deu.xopérations déjà définies (bibliographie et jeux de diapositivescouplées à texte écrit).

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REMERCIEMENTS

A l'issue de cette VIe Réunion Plénière, le Président tientà souligner encore le soutien au plan de l'esprit et l'aide efficacedans la réalisation des Opérations concrètes de la Conférence, apportéspar les Ministères de tutelle, les grands Organismes de Coopération'etde Recherche et un certain nombre de personnalités qui, dans leurs fonctionsoeuyrent pour la réussite de l'action de la Conférence.

Les Remerciements de la Conférence yont tout particulièrement

- aux Ministères de tutelle des Pays membres au uremier rangdesquels il faut sans doute placer les Ministères françaisde la Coopération et de l'Education Nationale et aussi dela Santé.

- à l'O.M.S Afrique,

- i'l l'AUPELF,

- i'l l'ACcr,•- au Haut Conseil de la Francophonie et son Secrétaire Général

St FARANDJIS,

- à l'Institut des Sciences de la Santé et son Directeur leDocteur R. OCCELLI,

- au SNPM, à l'APPMF et aux Editeurs Français, Québecois etAfricains,

- à la Bibliothèque Universitaire de Paris VII - Faculté deMêdecine Xavier Bichat et singulièrement à son ConservateurMadame VERAGUE,

- à l'INSERM et i'l ~1adame le Docteur S. DCRMONT, au CNRS, auxBibliothèques des CHU et à leurs Conservateurs,

- aux Facultés françaises de Médecine,

- au Département Santé et Développement de l'Université deBordeaux II,

- aux services de Documentation des Firmes Pharmaceutiques,

- aux Sociétés Médicales Spécialisées et aux Collèges Médicauxd'Enseignants,

- aux Missions françaises de Coopération des Pays membres,

- à l'AUDECAM,

et enfin, avec une mention particulière, à l'AIRMEC et àMademoiselle M. LIEGEON.

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- Monsieur le Doyen du GUSS.

Les Remerciements de la Conférence vont aujourd'hui auss.itout particulièrement

- au CENTRE INTERNATIONAL DE L'ENFANCE et à son Présidentle Professeur P. ROYER,

- aux PERSONNALITES· INVITEES qui. ont vQuluapporter l'eur précieuseréflexion à cette réunion.

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La Conférence rem<;lrci~ enfin profondément les AUTORITES POLITIQUESET ACADEMIQUES ru GABON qui ont fait sous la Haute Autorité de SON EXCELLENCEM:)NSIEUR LE PRESIDENT DE LAREPlmLIQUE et tout particulièrement

- Monsieur le Ministre d'Etat. Ministre des Enseignements Supérieurset de la Recherche Scientifique,

- Monsieur le Ministre de la Santé Publique •

- Monsieur le Recteur de l'Université CMARBONGO,

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TABLE DES MATIERES

C.R. VIè REUNION PLENIERE DE LA CONFERENCE INTERNATIONALE

sEANCE SOLENNELLE D'OUVERTURE ---------------------------------- 3

SEANCE DE TRAVAIL ORDINAIRE ------------------------------------- 4

1. DIFFUSION DE L'INFORMATION SCIENTIFIQUE,TEŒNIQUE etPEDAGOGIQUE -------------------------------------------------- 5

11. Opération "Bibliothèques" --------------------------- 612. Opération "Bibliographie - Accès aux banques de

données" --------------------------..----------------- 1213. Opération "Formation des Bibliothécaires" ----;.------ 1814. Opération "Presses Médicales Régionales etNationales" .J 21

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2. PEDAGOGIE ET SUPPOlITS TEŒNIQUES DE LA FORMATION MEDICALE ---- 22

21. La Politique de la Conférence en Audiovisuel -------- 23

22. Opération "Audiovisuel - Diaposons" ----..------------ 27

23. Opération "Ateliers d'Auto-Enseignement" ------------ 3324. Opération "Enseignement assisté par ordinateur -

EAO" ------------------------------------------------ 3425. Opération ''Matériel de Production et Reproduction de

Documents" ------------------------------------------ 3526. Opération ''Micro-Informatique'' ---------------------- 36

3. FORMATION DES HOMMES ----------------------------------------- 3731. Formation des futurs Spécialistes ------------------- 38

32. Le Cames ------------------------------------,------- 4033. Formation et Perfectionnement des Enseignant.s ------- 4534. Formation Continue des Praticiens Généralistes

CF.M.C.) -------------------------------------------- 4635. Formation des Bibliothécaires et des Techniciens de

Photographie ---------------------------------------- 4736. Groupes d'appui spécialisés - Groupe expérimental de

Radiologie ------------------------------------------ 47

4. DEVELOPPFMENT DE LA RECHERCHE COOPERATIVE -------------------- 48

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5. LE ROLE DES UNIVERSITES DANS LES STRATEGIES DE LA SANTEPOUR TOUS ------------------------------------------------ 52

6. ElARGISSEMENT DE LA CONFERENCE --------------------------- 54

7. INFORMATIONS GENJ?RALES ----------------------------------- 568. CONCLUSIONS GENERALES ... ,;. ,..__ 5?-

REMERCIEMENTS --------------------------------~---------~~