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AUTOMNE/HIVER 2017 CATHOLIQUE OTTAWA UNE ANNÉE DE JUBILÉS ! Par Archbishop Terrence Prendergast, S.J. Dans l’évangile de Luc, il est écrit que dès le début de son ministère, Jésus a annoncé qu’il était venu porter la Bonne Nouvelle aux pauvres et proclamer une année jubilaire, une année favorable accordée par le Seigneur. Dans le Lévitique, la loi de Moïse avait fixé, pour le peuple hébreu, une année particulière, un jubilé qui serait proclamé chaque cinquantième année, une année au cours de laquelle les habitants seraient affranchis de leurs dettes et les pauvres pourraient recouvrer leurs terres. Les années jubilaires sont des années de grandes célébrations. Ce fut certainement le cas en 2017, pour nous, à Ottawa. En effet, cette année nous célébrons : Le 170e anniversaire de la fondation de notre diocèse de Bytown, qui porte maintenant le nom d’Ottawa (le 25 juin, 1847); Le 150e anniversaire de la Confédération canadienne (le 1er juillet 1867); Le 100e anniversaire des apparitions de la bienheureuse Vierge Marie à Fatima (mai-octobre 1917); Le 70e anniversaire du grand Congrès marial tenu à Ottawa et de la consécration du Canada au Cœur Immaculé de Marie (juin 1947). En notre centième fête diocésaine, nous nous sommes rappelé les chemins parcourus depuis la fondation de notre diocèse ainsi que le Congrès marial de 1947. Le 1er juillet dernier, en la fête du Canada, en ce jour qui marquait le 150e anniversaire du Canada, de nombreux fidèles se sont joints à moi alors que je renouvelais la consécration de l’archidiocèse d’Ottawa à Marie. Le 26 septembre, les évêques du Canada, menés par les cardinaux Thomas Collins, Gérald Cyprien Lacroix et Marc Ouellet, se sont rassemblés en la cathédrale Notre-Dame pour consacrer, tous ensemble, notre pays au Cœur immaculé de Marie. Le mois suivant, les évêques de l’Ontario ont tenu leur Assemblée plénière à Ottawa et ont célébré ensemble la fête de sainte Marguerite d’Youville, dont la vie est bien en lien avec les Sœurs de la Charité d’Ottawa. Le 13 octobre, jour anniversaire de la dernière apparition de Marie à Fatima, j’ai célébré une messe solennelle en la cathédrale Notre-Dame accompagné d’une grande foule de personnes qui avait parcouru les rues d’Ottawa en procession depuis la basilique St. Patrick. Les jubilés sont des occasions qui nous sont données pour nous rappeler les nombreux bienfaits que nous avons reçus de Dieu et notre devoir de partager avec les autres. En cette fin d’année, prenons le temps de méditer le message du pape François pour la première Journée mondiale des pauvres, du 19 novembre. En cette fin d’année jubilaire, prenons le temps de rendre grâce à Dieu et de tendre la main à ceux et celles qui ont besoin d’aide, soit-elle matérielle ou spirituelle. Que Dieu vous bénisse ! Nouvel autel pour la Basilique-cathédrale Notre-Dame Représentation conceptuelle du nouvel autel proposé pour la Basilique-cathédrale Notre-Dame. Installation et dédicace dans la nouvelle année. Source : Maxime Brault, architecte

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AUTOMNE /H IVER 20 1 7

CATHOLIQUE OTTAWAUNE ANNÉE DE JUBILÉS !Par Archbishop Terrence Prendergast, S.J.

Dans l’évangile de Luc, il est écrit que dès le début de son ministère, Jésus a annoncé qu’il était venu porter la Bonne Nouvelle aux pauvres et proclamer une année jubilaire, une année favorable accordée par le Seigneur.

Dans le Lévitique, la loi de Moïse avait fixé, pour le peuple hébreu, une année particulière, un jubilé qui serait proclamé chaque cinquantième année, une année au cours de laquelle les habitants seraient affranchis de leurs dettes et les pauvres pourraient recouvrer leurs terres.

Les années jubilaires sont des années de grandes célébrations. Ce fut certainement le cas en 2017, pour nous, à Ottawa. En effet, cette année nous célébrons :

• Le 170e anniversaire de la fondation de notre diocèse de Bytown, qui porte maintenant le nom d’Ottawa (le 25 juin, 1847);

• Le 150e anniversaire de la Confédération canadienne (le 1er juillet 1867);

• Le 100e anniversaire des apparitions de la bienheureuse Vierge Marie à Fatima (mai-octobre 1917);

• Le 70e anniversaire du grand Congrès marial tenu à Ottawa et de la consécration du Canada au Cœur Immaculé de Marie (juin 1947).

En notre centième fête diocésaine, nous nous sommes rappelé

les chemins parcourus depuis la fondation de notre diocèse ainsi que le Congrès marial de 1947. Le 1er juillet dernier, en la fête du Canada, en ce jour qui marquait le 150e anniversaire du Canada, de nombreux fidèles se sont joints à moi alors que je renouvelais la consécration de l’archidiocèse d’Ottawa à Marie.

Le 26 septembre, les évêques du Canada, menés par les cardinaux Thomas Collins, Gérald Cyprien Lacroix et Marc Ouellet, se sont rassemblés en la cathédrale Notre-Dame pour consacrer, tous ensemble, notre pays au Cœur immaculé de Marie. Le mois suivant, les évêques de l’Ontario ont tenu leur Assemblée plénière à Ottawa et ont célébré ensemble la fête de sainte Marguerite d’Youville, dont la vie est bien en lien avec les Sœurs de la Charité d’Ottawa.

Le 13 octobre, jour anniversaire de la dernière apparition de Marie à Fatima, j’ai célébré une messe solennelle en la cathédrale Notre-Dame accompagné d’une grande foule de personnes qui avait parcouru les rues d’Ottawa en procession depuis la basilique St. Patrick.

Les jubilés sont des occasions qui nous sont données pour nous rappeler les nombreux bienfaits que nous avons reçus de Dieu et notre devoir de partager avec les autres. En cette fin d’année, prenons le temps de méditer le message du pape François pour la première Journée mondiale des pauvres, du 19 novembre. En cette fin d’année jubilaire, prenons le temps de rendre grâce à Dieu et de tendre la main à ceux et celles qui ont besoin d’aide, soit-elle matérielle ou spirituelle. Que Dieu vous bénisse !

Nouvel autel pour la Basilique-cathédrale Notre-Dame

Représentation conceptuelle du nouvel autel proposé pour la Basilique-cathédrale Notre-Dame. Installation et dédicace dans la nouvelle année. Source : Maxime Brault, architecte

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In Memoriam

M. l’abbé Robert Maurice est décédé le samedi 29 avril 2017 à l’âge de 88 ans. Né le 29 juillet 1928 à Hull, Québec, il avait été ordonné prêtre le 10 juin 1961 en la Basilique cathédrale Notre-Dame d’Ottawa par S.Exc. Mgr Joseph-Marie Lemieux, o.p.. M. l’abbé Maurice a été professeur de français et latin à l’école secondaire Charlebois, André-Laurendeau et à l’école polyvalente à Vanier avant sa retraite de l’enseignement en 1988. Il a également exercé du ministère dans plusieurs paroisses francophones, et à titre d’aumônier avant de prendre sa retraite complète en 1993.

La période de l’Avent est un temps de réjouissances ! D’une durée de quatre semaines, ces dimanches pavent le chemin qui nous mène jusqu’aux célébrations de Noël. Mais que signifie l’Avent pour que toutes les communautés chrétiennes du monde le soulignent d’une manière spéciale ? Précisons à nouveau ce que nous avons déjà entendu : Avent, vient du mot latin adventus. C’est l’acte, ou le fait d’être arrivé, d’où l’avènement. De ce mot deux autres verbes latins sont formés, advenio qui signifie arriver et advento qui signifie s’approcher.

Le temps de l’Avent nous rappelle donc que Dieu, en la personne de son Fils, est venu surprendre l’humanité qui aspirait au salut et à l’établissement d’un monde plus juste (Is 64, 4). Mais, dira-t-on, qu’est-ce qui a changé depuis l’incarnation et la résurrection du Christ ? D’autant plus que certaines réalités actuelles de notre monde inquiètent et préoccupent nombre d’entre nous. À écouter les bulletins de nouvelles et à lire les journaux, on le constate : une famine en Afrique de l’est; la guerre au Proche-Orient; des familles délogées de leur foyer qui cherchent asile chez nous, cherchant sécurité et stabilité; des migrants qui font face à une pauvreté grandissante, prenant le risque de traverser notre frontière dans l’espoir de s’établir et de trouver des conditions de prospérité pour leurs enfants... À l’aube du temps des fêtes, cette instabilité et ces injustices, trop visibles pour être ignorées, risquent d’assombrir ce qui devrait être une somme de moments joyeux et de rencontres familiales. Que se passe-t-il donc ? Dieu tarde-t-il à remplir sa promesse? Quel est mon rôle dans

ce plan divin et quelle attitude dois-je adopter ? (2 Pi 3, 9) Comme chrétien, ne devrais-je pas prendre exemple sur Marie, la mère de Jésus et me mettre au service de Dieu (Lc 1, 38) ou encore marcher avec foi en direction de l’inconnu comme le fit Abraham, un migrant (Hb 11, 8), et tracer une route dans ce désert ? C’est en effet sur ce chemin que vient naître le Fils de Dieu (Mc 1, 2) qui a accepté de vivre notre humanité, d’éprouver nos peines

et nos joies et qui nous a laissé sa paix (Jn 14, 27) et nous invite encore aujourd’hui à suivre

ses pas en portant l’amour (Jn 13, 35) et la paix (Mt 5, 9) chez mon prochain

malgré vents et marées : Quel beau programme, quel défi !

Depuis mon enfance, une tradition familiale des matins de Noël est de regarder le film Miracle sur la 34e rue. Il raconte l’histoire d’un Père Noël fantastique, victime d’une arnaque de la part

des dirigeants d’un centre commercial concurrent. Lors

d’une audience en cour, une petite fille montre au juge un billet de

banque américain avec la devise « In God we Trust ». Quelques jours plus tard, la petite

fille et sa famille reçoivent une surprise inattendue de la part du Père Noël. Cette histoire qui se termine bien porte un message d’espoir et subtilement nous rappelle la confiance que nous devons conserver envers Dieu qui nous dit de nous attendre à l’inattendu ! Soyons à notre tour des porteurs d’espérance et de foi, soyons généreux et allumons nos lumières (Mt 5, 14-16).

Joyeux temps de l’Avent et joyeux Noël à tous et à toutes!

SERVICE DE PASTORALE (SECTEUR FRANCOPHONE)CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 72

L’AVENT : LA SURPRISE DE DIEU!Par Serge Cazelais

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PA S T O R A L S E R V I C E S CATHOL IC OT TAWA † FALL /W INTER 20 15 3BUREAU DE L’ARCHEVÊQUE 3CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 7

LA LOI CRÉANT DES SOI-DISANT « ZONES PROTÉGÉES »Par Mgr Terrence Prendergast, s.j.

La création de zones tampons autour des cliniques d’avortement constitue un affront à la démocratie.

En votant en faveur du projet de loi 163, les membres de l’Assemblée législative de l’Ontario ont brimé mes droits, de même que les droits de plusieurs de mes concitoyens.

Cette loi interdit toute manifestation, tout rassemblement religieux ou toute offre de service d’aide dans un périmètre de 50 mètres autour des cliniques d’avortement, y compris celle d’Ottawa.

Les hôpitaux et les pharmacies qui prescrivent des pilules qui peuvent servir à interrompre volontairement la grossesse peuvent demander qu’une zone semblable soit établie autour de leur établissement.

Les catholiques, comme la majorité des Canadiens, ne sont pas du tout d’accord avec le grand nombre d’avortements dans notre pays et notre province. Nous croyons que la société doit plutôt aider les femmes (et les hommes) qui se sentent déprimés face à une grossesse non attendue, leur offrir les aides nécessaires qui leur permettront de garder espoir et d’élever leurs enfants. Au lieu de cela, cette loi cherche à cacher le problème.

Il y a plusieurs bonnes raisons de s’opposer à l’avortement. Cette question est loin d’être réglée. Les sondages démontrent que la majorité des Canadiens ne se sentent pas en accord avec la situation actuelle, avec l’absence de quelque loi que ce soit qui pourrait empêcher ou restreindre le recours à l’avortement à quelque moment que ce soit durant une grossesse. La majorité des Canadiens est en faveur de placer des limites au recours à l’avortement.

L’avortement de quelque 100,000 enfants à naître chaque année sous le prétexte d’un supposé droit de choisir, de la liberté sexuelle ou d’un quelconque

droit des femmes sur la vie est un affront à notre civilisation. Les droits de tous et toutes sont affectés lorsque la société considère et agit comme si certaines personnes parmi nous – pourtant nous avons tous été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu – étaient rejetables.

Certaines personnes peuvent ne pas être d’accord avec la position des uns, mais cela ne leur donne pas le droit de les empêcher de s’exprimer. Les droits de tous sont affectés lorsque l’état empêche un point de vue de se faire valoir sur une question d’importance pour la société ou la moralité publique.

Cette loi, la création de ces « zones protégées », pourrait empêcher la tenue de La Marche nationale pour la vie, la Vigile de prière silencieuse et les 40 jours pour la vie, des manifestations pacifiques auxquelles participent des milliers de Canadiens et de Canadiennes depuis plusieurs années afin de montrer leur désaccord avec les lois qui permettent de mettre fin à la vie humaine dans le sein de la mère.

Si le gouvernement peut interdire les rassemblements pacifiques dans beaucoup d’endroits autour d’une question qui mérite un débat public, où cela va-t-il s’arrêter? La simple présence de témoins pro-vie près de ces lieux ne justifie aucunement l’imposition de telles restrictions.

Peut-on affirmer que la liberté est bien vivante en Ontario alors que les personnes qui défendent les droits des personnes les plus vulnérables se voient refuser l’accès à la place publique ?

Je joins ma voix à celle de tous les citoyens de la province de l’Ontario qui sont empreints de justice et qui demandent que cette loi soit abrogée au plus tôt et qu’on rétablisse le droit de parole sur la question de l’avortement dans cette province.

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PA S T O R A L S E R V I C E SCATHOL IC OT TAWA † FALL /W INTER 20 154 SERVICE DE PASTORALE (SECTEUR FRANCOPHONE)

Durant la semaine du 11 au 15 septembre 2017, les élèves et le personnel de trois écoles du Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien (CSDCEO) ont eu la chance d’accueillir et de se recueillir auprès de la Croix de l’Évangélisation qui était de passage dans le diocèse d’Ottawa. Les élèves des écoles élémentaires catholiques Curé-Labrosse (Saint-Eugène), Saint-Grégoire (Vankleek Hill) ainsi que de l’École secondaire catholique de Plantagenet ont célébré la rentrée scolaire et ont fait bénir leurs sacs d’écoles en présence de la Croix de l’Évangélisation. Soeur Gisèle Bourdon, s.s.c. m’a accompagné et assisté dans l’animation des rencontres et en a profité pour expliquer aux élèves la signification et l’origine de cette Croix. L’abbé Albert Kaumba des

paroisses Saint-Eugène et Saint-Grégoire-de-Nazianze a présidé les célébrations dans les écoles élémentaires. Au terme de ces rencontres, les élèves ont eu la chance de s’approcher de la Croix, de la toucher et de faire une prière personnelle. Des écoles faisant partie du diocèse d’Alexandria-Cornwall, l’école secondaire catholique Le Relais d’Alexandria ainsi que l’école élémentaire La Source de Moose Creek, ont également accueilli la Croix de l’Évangélisation. On peut se renseigner davantage sur la signification de la Croix de l’Évangélisation en se rendant à l’adresse suivante https://en.calameo.com/read/001631573abe29cd36419 (Revue Univers, numéro 4, 2015, page 16 et suivantes).

ACCUEIL DE LA CROIX DE L’ÉVANGÉLISATIONPar Tina A. Charbonneau

CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 74

La Croix de l'évangélisation est une réplique de la croix missionnaire jésuite que l’on trouve dans le village de San Javier, situé dans la région de Chiquitos en Bolivie.

Elle est le symbole du 5e Congrès missionnaire de l’Amérique qui aura lieu dans la ville de Santa Cruz de la Sierra (Bolivie), en 2018.

40 croix identiques – une par pays d’Amérique et 18 autres pour chaque diocèse bolivien, furent bénites par le pape François le 9 juillet 2015 lors de sa visite apostolique en Amérique du Sud. Une d'elle est arrivée au Canada le 25 octobre 2015 et fut officiellement accueillie par les Œuvres pontificales missionnaires au Canada.

La Croix de l’Évangélisation

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SERVICE DE PASTORALE (SECTEUR FRANCOPHONE) CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 7 5

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SOUPER BÉNÉFICE DE L’ARCHEVÊQUECATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 76

Ottawa Catholic School BoardConseil des écoles catholiques du Centre-Est

Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarienCatholic District School Board of Eastern Ontario

REMERCIEMENTS SPÉCIAUX À

SOUPER-BÉNÉFICE DE L’ARCHEVÊQUE- MERCI À NOS COMMANDITAIRES -

Réservez cette date

Le prochain Souper-bénéfice de

l’Archevêque aura lieu le 17 octobre 2018.

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ARGENT

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SOUPER BÉNÉFICE DE L’ARCHEVÊQUE CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 7 7

SOUPER-BÉNÉFICE DE L’ARCHEVÊQUE- BÉNÉFICIAIRES 2017 -

CENTRE DE SERVICES À LA FAMILLE, RÉGION DE LA CAPITALE NATIONALE

Le Centre de services à la famille, Région de la capitale nationale (CSF), offre quatre

programmes d’éducation et de soutien aux familles et collabore au développement communautaire francophone de la région. D’abord, le Service de préparation au mariage présente trois sessions annuellement aux couples se mariant à l’Église (50 couples en 2016-2107). Chaque semaine, plus de 130 bénévoles du programme Grands-parents à l’écoute accompagnent 187 enfants en lecture dans huit écoles élémentaires. Enfin, les programmes Accueil, Aide, Avenir (A3) et de médiation dispensent des ateliers d’accompagnement et de l’aide scolaire et linguistique aux familles nouvellement arrivées.

HOUSE OF HOPE AND HEALING

Fondé en 1991, le centre House of Hope and Healing (HHH) offre un service de counselling ainsi qu’un

lieu où individus, couples et familles peuvent se recueillir et trouver de l’aide pour reprendre leurs forces et soigner leurs blessures. Il s’agit d’un service axé sur la foi chrétienne, un service rendu avec confiance dans la divine Providence et dans ce que Dieu peut accomplir dans la vie des personnes si on prend le temps de les accompagner avec courage et espérance. HHH cherche à aider les personnes et à les outiller afin qu’elles puissent reprendre le chemin qui leur permettra de recouvrer leurs forces et de grandir. HHH est dirigé par un Conseil d’administration et un personnel dévoués, appuyés par un groupe de généreux bénévoles tout à fait admirables.

PATRO D’OTTAWA

Depuis 1957, le Patro d’Ottawa est, avant tout, un «milieu de vie» où tous

sont accueillis et respectés. C’est un organisme à but non lucratif qui offre un endroit où les francophones de tous âges et de toutes origines peuvent se rencontrer et participer à diverses activités. Toujours le seul Patro en Ontario, le Patro d’Ottawa demeure aujourd’hui une institution qui s’assure de bien répondre à sa mission qui est : d’œuvrer pour l’épanouissement des francophones et de leurs communautés.Aujourd’hui, le Patro d’Ottawa s’épanouit non seulement grâce au dévouement exemplaire de son personnel et de son conseil d’administration, mais aussi grâce à la générosité de nombreux partenaires financiers et près de 200 bénévoles offrant leur temps et leurs talents aux divers programmes du Patro.Venez explorer les différentes activités offertes à l’ensemble de la communauté : pour les jeunes et les ados âgés de 5 à 17 ans, les aînés au Club de l’amitié et le P’tit Bonheur qui offre des activités aux adultes ayant un handicap intellectuel.

SERENITY RENEWAL FOR FAMILIES

La toxicomanie a des conséquences néfastes non seulement pour la personne en état de

dépendance à l’égard des substances toxiques mais également sur les personnes de son entourage, sur les personnes qui sont près d’elle et qui l’aiment. Le dommage qu’elle provoque est sévère et les conséquences sont souvent intergénérationnelles. Serenity Renewal for Families aide les personnes toxicomanes depuis près de 35 ans, en portant une attention particulière envers leurs familles, enfants, ados, conjoint, conjointe et parents. Au cours des ans, cet organisme a aidé des milliers de personnes à changer leur vie. Cela est bien connu, cette agence accueille quiconque a recours à ses services, quels que soient ses moyens financiers. Elle ne refuse personne.Serenity Renewal compte Sœur Louise Dunn, membre de la Congrégation de Notre-Dame, parmi ses cofondateurs. Sr Dunn est récipiendaire de l’Ordre d’Ottawa. À 84 ans, elle continue toujours à exercer son bénévolat à raison de 40 heures/semaine. Elle demeure parmi les conseillers en toxicomanie les plus réputés d’Ottawa.

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A D M I N I S T R AT I O NCATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 78

Les cimetières catholiques de l’archidiocèse d’Ottawa desservent les résidents de la région depuis plus de 150 ans. Notre tout récent cimetière de l’Espoir a ouvert ses portes en 1988 et offre la possibilité de servir la grande région d’Ottawa pour les prochains 150 ans.

Le cimetière de l’Espoir s’assoit au beau milieu de l’archidiocèse. Nous sommes heureux d’annoncer que le cimetière de l’Espoir est le cimetière catholique qui offre la plus grande sélection de services et d’options dans un magnifique endroit serein aux allures de parc.

Nos services professionnels - Notre personnel dévoué prendra le temps de vous aider, vous et votre famille, avec toutes vos options de cimetière et de services funérailles. Nous sommes là pour vous guider soit dans ce moment douloureux soit en consultation si vous optez pour les arrangements au préalable. Notre équipe peut présenter des options pour des services à la chapelle, des réceptions et des rassemblements, des visites, des possibilités d’inhumation en terre, dans une niche ou dans une crypte. Nous avons sur place des produits variés selon vos goûts et votre budget tels : monuments en granit, marqueurs plats, urnes vases, plaques commémoratives, décorations de bronze, etc. Nous sommes également en mesure d’offrir les services d’un prêtre, d’un diacre ou tout autre célébrant. De plus, nous pouvons nous occuper de la restauration, des musiciens, des arrangements floraux ainsi qu’une multitude d’autres services connexes.

La chapelle Elizabeth Bruyère - Notre chapelle magnifiquement décorée avec son design moderne munie de caractéristiques traditionnelles telles qu’une coupole et des fenêtres en mosaïque respire la sérénité. La chapelle Elizabeth Bruyère accueille confortablement 140 personnes avec une salle adjacente. Une messe catholique ou une liturgie de la parole peut être présidée par un

prêtre catholique ou un diacre. La chapelle est également disponible pour d’autres religions et cultures.

Salle multifonctionnelle - Notre salle contemporaine est entièrement équipée pour répondre à tous les besoins et exigences techniques lors de rassemblements ou de réunions de famille. Elle est également conçue pour des conférences et tout autre événement de ce type. Notre équipement audiovisuel peut être utilisé pour personnaliser la musique et / ou le montage vidéo pour une célébration ou un autre événement.

Mausolée du Sacré Cœur et un Complexe aux styles élégant, moderne et traditionnel digne d’un havre de sérénité pour commémorer nos proches disparus. Le Mausolée Sacré Cœur comporte des cryptes simples et doubles et des niches de verre illuminées individuellement dans un éventail de tailles différentes.

Le colombarium extérieur - Nos colombarium extérieurs sont des structures de granit avec des niches conçues pour y déposer des urnes cinéraires. Des plaques de bronze personnalisées ornent les niches pour commémorer le défunt.

Crématoire - Notre crématoire est à la fine pointe de la technologie et est le seul crématoire catholique de la grande région d’Ottawa. Ouvert depuis 1990, il répond à la tendance croissante pour ceux qui choisissent la crémation comme moyen de disposition et nous accueillions toutes les autres religions et cultures.

Cimetière de l’Espoir 4660 , rue Bank Ottawa, ON K1T W7 www.cimetieredelespoir.ca https://www.facebook.com/HopeCemeteryOttawa

VENEZ DÉCOUVRIR LE CIMETIÈRE DE L’ESPOIRPar : L’équipe des cimetières catholiques

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T R I B U N A L CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 7 9

Pour faire suite au synode extraordinaire des évêques tenu en octobre 2014, le pape François a tenu opportun de nous présenter l’exhortation apostolique Amoris Laetitia (AL), « La joie de l’amour », afin d’orienter notre réflexion et notre pratique pastorale. Cette exhortation témoigne de la profondeur de l’engagement pastoral du Pape envers les familles, ainsi que de l’étendue et de l’interconnexion des éléments spirituels qu’il nous faut considérer lorsqu’on parle du mariage et de la famille. Même les non-catholiques voudront y prêter l’oreille.

Le Pape parle du sacrement du mariage comme un père parle à ses enfants : « Le sacrement de mariage n’est pas une convention sociale, un rite vide ni le simple signe extérieur d’un engagement ». Il s’agit plutôt d’un sacrement qui est « don pour la sanctification et le salut des époux » (AL, 72), formant et représentant une alliance permanente telle que celle qui existe entre le Christ et son Église. En plus d’être une réalité sociale, le mariage s’est vu conférer par le Christ sa pleine dignité lorsque celui-ci a fait du mariage un sacrement, un signe de son amour. Le don réciproque constitutif du mariage est enraciné dans la grâce du baptême. Le mariage devient ainsi union sacrée d’un homme et d’une femme. Au moment du mariage, les futurs époux se promettent un don total, amour, fidélité et aide mutuelle. Ce sacrement, nous le vivons en Église depuis plus de vingt siècles. La présence et la participation de Jésus à des noces à Cana en Galilée – c’est là qu’il a tourné l’eau en vin – nous amènent à croire que le Christ est présent à tous les mariages célébrés en Église.

Le pape François de continuer : « Le mariage est une vocation, en tant qu’il constitue une réponse à l’appel spécifique à vivre l’amour conjugal comme signe imparfait de l’amour entre le Christ et l’Église » (AL, 72). Ce signe rend témoignage de l’amour du Christ pour son Église, l’alliance parfaite. Malgré nos imperfections, nous ne devons jamais nous décourager. La grâce de Dieu nous est toujours disponible dans les sacrements de l’Église et il est toujours possible de parfaire notre alliance par la prière et la participation à l’Eucharistie. « Par conséquent, la décision de se marier et de fonder une famille doit être le fruit d’un discernement vocationnel » (AL, 72). Dans toute société, que nous vivions dans des temps favorables ou difficiles, il est important que chacun, chacune prenne le temps de bien discerner sa vocation. Il s’agit d’un processus auquel les époux devront s’adonner ensemble tout au long de leur vie de couple, car chaque couple a

aussi sa vocation. Le caractère sérieux du mariage ne veut pas dire qu’on n’y retrouve pas de la joie. Au contraire, la vie intime vécue en toute fidélité peut donner lieu à beaucoup de joie. C’est ce que Dieu veut. Il a institué le mariage pour le bien des époux. On le sait, l’amour en mariage est source de beaucoup de joie; autrement, peu de personnes, jeunes ou moins jeunes, s’y engageraient et oseraient fonder une famille, oseraient prendre la responsabilité de cocréer un ou des enfants pour ensuite voir à leur bien-être spirituel et physique. Le Saint-Père dit que « la famille est le sanctuaire de la vie, le lieu où la vie est engendrée et protégée » (AL, 83). Et ce sanctuaire est chemin de sainteté.

Afin de connaître la joie de l’amour en mariage, les couples feraient bien de méditer la lettre de saint Paul qu’on appelle l’hymne à la charité : « L’amour prend patience ; l’amour rend service… ne fait rien d’inconvenant… Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la charité. » (1 Co 13, 4-7). Cette lettre qui a été écrite il y a près de 2000 ans, vaut encore aujourd’hui puisqu’elle a été écrite sous l’inspiration de l’Esprit Saint. Et saint Paul d’ajouter : « Aucune parole mauvaise ne doit sortir de votre bouche… ayez plutôt une parole bonne et constructive… Soyez, entre vous, pleins de générosité et de tendresse. Pardonnez-vous les uns les autres, comme Dieu vous a pardonné dans le Christ. » (Ep 4, 29-32). La joie de l’amour ne se vit pas dans un endroit fictif. Cette joie se retrouve en nous. N’oublions pas que vivre l’amour véritable requiert des efforts. Les époux doivent faire les efforts nécessaires pour faire grandir leur amour. Ce faisant, ils peuvent toujours compter sur le soutien de l’Église et la grâce que leur procure leur foi en Jésus Christ, l’auteur de ce grand sacrement que nous appelons le mariage.

LE MARIAGE TEL QU’IL NOUS EST PRÉSENTÉ DANS AMORIS LAETITIAPar M. l’abbé Vincent Pereira, j.c.d., v.j.

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SERVICE DE PASTORALE (SECTEUR ANGLOPHONE)CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 710

Cet automne, le Service de pastorale diocésain, secteur anglophone, a lancé un programme de formation en leadership afin de permettre aux prêtres de parfaire leurs compétences. L’abbé Frank Brewer, ainsi que le père Sean Wenger, c.c. m’ont aidé à monter ce programme de formation. La première rencontre a eu lieu le vendredi 29 septembre dernier. Une vingtaine de prêtres d’un peu partout à travers le diocèse ont participé à cette rencontre animée par l’abbé Brewer, session au cours de laquelle plusieurs défis ont été abordés, dont : le recrutement de bénévoles, la bonne gestion des changements, la formation continue des pasteurs qui doivent répondre à

des demandes toujours croissantes alors que les ressources financières, pastorales et humaines demeurent bien en deçà de ce qui serait nécessaire. Pour faire suite à cette rencontre, les prêtres furent invités à lire et à échanger en petits groupes autour d’un texte de Stephen Covey, en préparation de la prochaine session qui se tiendra plus tard cet automne. Ce qui rend ce programme unique, c’est qu’il est monté par des prêtres de chez nous, il est livré par des personnes compétentes qui viennent de notre milieu et il cherche à répondre à des besoins concrets que nous partageons tous. C’est un bon début. Prions pour les participants et gardons ce programme dans notre prière !

UN PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT DU LEADERSHIP POUR LES PRÊTRESPar Fr. Geoffrey Kerslake, E.V.

Le nombre de nos paroissiens et paroissiennes âgés de 85 ans ou plus s’accroît énormément. Il s’agit du groupe d’âge qui s’accroît le plus. Il est important de protéger ces personnes qui comptent parmi les plus vulnérables et de leur permettre de participer pleinement à la vie de notre société. Il y va de deux principes qui sont au cœur de la doctrine sociale de l’Église : la protection et la promotion de la dignité humaine ainsi que du bien commun. Une façon bien simple de témoigner de notre engagement envers les

personnes âgées est de prendre l’habitude de leur dire « Bonjour, comment allez-vous? », et de prendre le temps de les écouter et de leur parler. Nos paroisses contribuent au bien commun lorsqu’elles mettent en place un système de visites aux personnes âgées qui ne peuvent sortir de la maison et encouragent leurs paroissiens, paroissiennes à y participer. Il s’agit là de bonnes actions qui contribuent au bien de tous. Renseignements : Patricia Marsden-Dole, Office of Social Justice, [email protected]

Si nous pouvons affirmer que, d’une certaine manière, la conversion des cœurs a quelque chose de « miraculeux », nous pouvons dire sans risque de se tromper que la statue de Notre-Dame du Cap a accompli plusieurs miracles tout au long de son pèlerinage au Congrès marial tenu au parc Lansdowne, Ottawa, en juin 1947.

Cette statue, une réplique exacte de la statue « miraculeuse » de l’Immaculée Conception qui se trouve au sanctuaire de Notre-Dame-du-Cap et qui est de renommée internationale, a entrepris son pèlerinage vers Ottawa le 1er mai depuis la petite chapelle de pierres qui se trouve au Cap-de-la-Madeleine, dans notre sanctuaire national dédié à Marie.

En route vers Ottawa, il fut établi que plus d’un million, trois cents mille personnes ont consacré leur vie au Cœur immaculé de Marie alors que la statue se rendait dans quelque 340 paroisses et institutions. À la paroisse de l’Immaculée Conception à Montréal, Mgr Joseph Charbonneau, archevêque de Montréal, célébra une messe pontificale, au terme de laquelle les fidèles déposèrent leurs actes de consécration au pied de la Vierge.

Le lundi 6 juin 1947, 40,000 hommes accompagnèrent la statue de Notre-Dame du Cap de la cathédrale Notre-Dame à sa place d’honneur dans la chapelle de la Paix érigée sur le terrain du parc

Lansdowne où une foule encore plus grande de femmes et d’enfants attendait l’arrivée de la Reine du Canada. Cette entrée magistrale souleva tout un élan parmi la foule qui se voua à Marie. C’est à ce congrès que le Canada a d’abord été consacré au Cœur immaculé de Marie.

Ce récit historique ne serait pas complet si on omettait de parler du grand pèlerinage de plus de 6300 milles que cette statue de la Vierge accomplit à travers le Canada de 1949 à 1954, avant de retourner au sanctuaire de Notre-Dame-du-Cap à temps pour la célébration du 100e anniversaire du dogme de l’Immaculée Conception.

C’est cette même statue qui, grâce à une série d’évènements que l’on pourrait presque qualifier de providentiels, fut installée à la paroisse Blessed Sacrement, angle 4e avenue et rue Percy, dans le Glebe,

le jour de la fête des Mères de cette année 2017 ! Vous êtes tous et toutes invités à venir prier la Vierge, dans le recueillement, devant cette statue bien spéciale.

LA STATUE DE MARIE À LA PAROISSE BLESSED SACRAMENTPar Dennis Girard

MÊME UN SIMPLE « BONJOUR » ÇA FAIT DU BIEN !

Par Patricia Marsden-Dole

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SERVICE DE PASTORALE (SECTEUR ANGLOPHONE) CATHOL IQUE OT TAWA † AUTOMNE /H IVER 20 1 7 11

Dans son encyclique Laudato Si’ – Sur la sauvegarde de la maison commune, le pape François nous dit qu’il nous reste beaucoup à faire si nous voulons sauvegarder la création. Il donne en exemple, le besoin urgent qu’il y a de promouvoir des formes d’économies

d’énergie (§180). De son côté, la Conférence des évêques catholiques du Canada vient de publier un document intitulé Vivre Laudato Si’, un commentaire et une ressource pratique pour les catholiques canadiens, texte dans lequel les évêques nous rappellent que les études démontrent que, per capita, les Canadiens sont parmi les plus gros producteurs mondiaux de gaz à effet de serre et que le Canada se réchauffe deux fois plus vite que les autres pays, ce qui cause de plus en plus de problèmes pour les populations nordiques. Il devient évident que nous devons réduire notre consommation énergétique et nous tourner davantage vers des sources d’énergie renouvelable.

Dans le but de promouvoir la conservation de l’énergie dans nos milieux, les répondants du Programme sur l’intendance environnementale de l’archidiocèse d’Ottawa ont procédé, avec l’aide de Philip Yung, spécialiste en analyse de données, à une analyse des coûts énergétiques — électricité et chauffage — des diverses paroisses. Un sommaire des résultats de cette étude a été acheminé aux paroisses en mars dernier. Depuis, plusieurs d’entre elles ont manifesté le désir de voir comment elles pourraient réduire leurs coûts en énergie. Une d’entre elles, la paroisse St. Bernard, a déjà profité d’un programme de subvention et réalise maintenant d’importantes économies.

Dans le but d’alimenter la discussion, les données sur les coûts en énergie pour 2016 ont ensuite été compilées sur un tableur et envoyées à toutes les paroisses du diocèse. Dans ce rapport, chaque paroisse est représentée par un numéro afin de préserver la confidentialité des renseignements. De plus, une feuille de calcul (worksheet) a été préparée et envoyée aux paroisses pour leur permettre de calculer elles-mêmes s’il leur serait avantageux d’apporter des changements à leur système d’éclairage et de voir quelle serait la période de récupération de leur investissement. Nous encourageons les paroisses à faire ce calcul et à contacter John Dorner ([email protected];613-738-5025, poste 251) si elles ont besoin de renseignements additionnels. Ce qui importe, c’est de permettre aux paroisses de voir comment elles peuvent réduire leur consommation énergétique et contribuer ainsi à la sauvegarde de la création.

UN APPEL EN FAVEUR DE LA RÉDUCTION DE NOTRE CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUEPar John Dorner

Éclairage après les modifications

En septembre dernier, le Service de la pastorale (secteur anglais) a tenu une journée de formation, au Centre diocésain, pour les secrétaires et assistants administratifs qui oeuvrent en paroisse. Le but premier de cette activité était de permettre à ces personnes de se rencontrer, de fraterniser, de former un réseau et de s’épauler. Après le dîner, les participants ont assisté à une courte présentation sur les divers services diocésains, ont pu rencontrer les membres du personnel du service de la

chancellerie et de l’administration diocésaine et leur poser des questions. Les personnes qui le voulaient ont pu également faire une brève visite guidée des lieux. La réponse fut très encourageante : Ce fut tellement agréable de pouvoir rencontrer tous ces collègues; merci beaucoup pour cette agréable journée; cette journée fut très bien préparée, il vaudrait la peine qu’on la répète une autre fois. On ne sait jamais, peut-être que cette activité sera reprise sur une base annuelle !

FORMATION POUR LES SECRÉTAIRES ET LES ASSISTANTS ADMINISTRATIFSPar Annmarie Brown

Éclairage avant les modifications

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Ce bulletin de nouvelles est publié par le Bureau des communications de l’archidiocèse d’Ottawa, 1247, place Kilborn, Ottawa, ON K1H 6K9 Tél: 613-738-5025 ; Téléc: 613-738-0130 ISSN 1927-2618 (Imprimé)

ISSN 1927-2626 (En ligne)

- RÉCENTES ACTIVITÉS DIOCÉSAINES -

WWW.CATHOL IQUEOTTAWA .CA

Célébration pour les fidèles défuntsCimetière Notre-Dame, 10 septembre 2017

Fête diocésaine – Chorale congolaiseCathédrale Notre-Dame, 8 juin 2017

Consécration de l’archidiocèse au Coeur Immaculé de MarieCathédrale Notre-Dame, Fête du Canada, 1er juillet 2017

Visite des évêques de l’OntarioMaison mère des Sœurs de la Charité16 octobre 2017

Ordination au diaconat permanentCathédrale Notre-Dame, 24 septembre 2017

Messe avec les évêques canadiensConsécration du Canada au Cœur Immaculé de Marie et 50e anniversaire de D&PCathédrale Notre-Dame, 26 septembre 2017

Messe rougeCathédrale Notre-Dame, 12 septembre 2017

Fin des célébrations du 100e anniversaire des apparitions à FatimaCathédrale Notre-Dame, 13 octobre 2017