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CHER PARTICIPANT, Ce circuit a été conçu par nos soins et vous permet d’apprivoiser la ville de manière ludique. Les questions sont de différents niveaux, afin qu’enfants et adultes puissent répondre ensemble. Avec un peu de chance et beaucoup d’observation, vous serez peut être l’heureux gagnant ! Amusez-vous bien ! NOM de votre équipe : …………………………………… MEMBRES composant votre équipe : …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
RÈGLES DE SÉCURITÉ : Respecter le code de la route Port obligatoire du casque pour les enfants de moins de 12 ans Ce circuit privilégie au maximum les chemins peu empruntés et les pistes cyclables, cependant certaines parties ne sont pas aménagées.
Lorsque le nom de la rue est accompagné du logo ci-contre dans le livret, cela signifie que des
aménagements sont prévus pour la circulation à vélo.
La mise en place d’une vitesse limitée à 30 en ville permet notamment une circulation plus en sécurité des cyclistes à Lunéville. DÉPART/ARRIVÉE du circuit : Maison du tourisme de Lunéville, 2 rue de la Tour Blanche Parking voiture gratuit
9-
Plan
Légende :
1- Château et statue du Général Lasalle Place de la 2ème DC
2- La Cour du Rocher (à droite) Quai des petits Bosquets
3- Halle à grains (à gauche) Quai des petits Bosquets
4- Les Chartreuses Quai des petits Bosquets
5- Vue sur le parc des Bosquets Avenue de Lattre de Tassigny
6- Le Réservoir Cour de Verdun
7- Château du prince Charles-Alexandre de Lorraine Cours de Verdun
8- Médiathèque de l’Orangerie Place du Colonel Clarenthal
9- Maison du traité Rue de Lorraine
10- Maison Hellé Rue de Lorraine
11- Le Théatre Rue de Lorraine
12- L’Eglise Saint Jacques / Hôtel Abbatial Place Saint-Remy
13- La synagogue Rue Castara
14- Maison Ledermann Rue Sébastien Keller
15- La Tour Blanche (visible depuis la rue Sébastien Keller)
Question : Observez bien les frontons aux extrémités du château et cherchez le rapace, emblème de
la famille des Hbsbourg-Lorraine. Quelle espèce d’oiseau voyez-vous ?
Réponse : …………………..
ÉTAPE 1 – Place de la 2ème DC
Présentation historique du Château et du Duché de Lorraine.
En 1702, le Duc de Lorraine Léopold 1er s’éloigne de sa capitale Nancy, occupée par les Français, et
choisit Lunéville pour s’y installer avec sa cour. Grâce à son architecte Germain Boffrand, le duc de
Lorraine construit un château somptueux, qui s’inspire du château de Versailles.
De style sobre mais élégant, le château va devenir la résidence de Léopold puis
de son successeur, Stanislas Leszczynski, devenu Duc de Lorraine par la grâce
de son gendre Louis XV. L’ex-roi polonais y entretient une cour fastueuse à
partir de 1737.
A tel point, qu’à l’époque des Lumières, Lunéville devient un des principaux
centres intellectuels d’Europe. Cette capitale de la Lorraine qu’est alors
Lunéville, accueille les savants, les penseurs et les philosophes de l’époque:
Voltaire, Montesquieu, Emilie du Châtelet…. L’installation des ducs de Lorraine
Léopold puis Stanislas Leszczynski et de leurs cours à Lunéville a permis un
développement économique, culturel et urbanistique sans précédent de la ville. L’héritage
du XVIIIème siècle marque encore fortement l’identité urbaine de Lunéville.
Question : Observez bien la statue et indiquez le nom du champ de bataille où est mort le Général
Lasalle.
Réponse : …………………..
Le 23 février 1766, à la mort de Stanislas, dernier duc de Lorraine, le duché est
rattaché au Royaume de France. Le roi Louis XV décide de faire du château une
caserne militaire qui abritera de prestigieux régiments de cavalerie jusqu’au
début du XXe siècle. Le Château, classé « Monument historique », est devenu
propriété du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle en 2001 et
attire chaque année des milliers de visiteurs.
La statue équestre du Général Lasalle
La statue du Général Lasalle qui se trouve dans l’avant- cour du château, rend hommage au passé
de Lunéville, ancienne garnison de cavalerie pendant près de deux siècles.
Metz, la ville natale du Général, n’était pas en mesure d’accueillir l’œuvre pour cause d’annexion à
l’Allemagne. Les deux grandes ailes latérales qui forment la cour de communs abritaient un
quartier de cavalerie privilégié. Elles accueillaient déjà les écuries du temps des ducs de
Lorraine, dans leurs soubassements.
La porte grise située à droite lorsque vous êtes face au château, sous l’entrée de la galerie
d’exposition « Cri des Lumières », donne accès aux écuries. Du lundi au vendredi (hors mardi) 14h-18h et le week-end
10h-12h 14h-18h.
Tournez à droite après le pont Chanzy en vous dirigeant « Quai des Petits Bosquets ».
Question : Observez bien le tableau et indiquez quel moyen de transport permettait à la cour de se
promener sur le canal.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 2 : Quai des Petits Bosquets
Longez le canal et arrêtez-vous au début de la piste cyclable, à l’intersection du Quai de l’île Saint-
André.
La Cour du Rocher (à droite)
Lorsque le duc Stanislas arrive au château de Lunéville, il embellit les jardins de plusieurs
pavillons exotiques à l’aide de son architecte, Emmanuel Héré. La cour du Rocher tient son nom
de l’une de ses « folies », comme on les surnommait, construite sur un ancien marécage.
C’est sans aucun doute la plus impressionnante de ses « folies » : 88 automates grandeur nature
(animaux, musiciens, forgerons, etc…) s’animent grâce à un système hydraulique. Les bruits sont
reproduits et les personnages font tous partie de saynètes. C’est un véritable village qui est né
grâce aux ingénieurs François RICHARD et Philippe VAYRINGE.
Question : A l’aide des explications, indiquiez quel animal a fait la réputation de Lunéville.
Réponse : …………………..
Halle à grains (à gauche façade recouverte de lierre)
La Halle à grains servait à stocker le grain et le fourrage destinés à alimenter les nombreux chevaux de
la cavalerie (plus de 1500 chevaux pour la cité cavalière). De nos jours, c’est une salle d’exposition
temporaire.
Poursuivez toujours tout droit, « Quai des Petits Bosquets » et longez le Canal de la Vezouze, près du
Château.
Question : Observez bien les images et indiquez à quelle autre activité s’adonnaient les courtisans
dans les Chartreuses.
Réponse : …………………..
Les Chartreuses
Composées d’environ douze maisons campagnardes, les Chartreuses font aussi partie des « folies »
imaginées par Stanislas, qui les mettait à disposition de ses courtisans les plus proches, afin d’y tenir
salon. Au XVIIIe siècle, le rapport à la Nature change, les divertissements en plein-air se développent,
les courtisans aiment profiter des plaisirs champêtres. Ces Chartreuses furent détruites par
manque d’entretien et ne sont plus aujourd’hui visibles.
Continuez tout droit, « Chemin de la Ménagerie » puis prenez à droite Avenue de Lattre de
Tassigny, pour vous diriger vers l’arrière du Château de Lunéville avec une très belle vue sur
les jardins à la française.
Question : Combien de bassins composent le parc ?
Réponse : …………………..
ÉTAPE 3 : Avenue de Lattre de Tassigny
Vue sur le parc des Bosquets
Au XVIIIe siècle, le modèle du jardin dit « à la française » se répand en Europe. La nature est
disciplinée, symétrique et crée ainsi une magnifique perspective. Les trois arcades ouvertes dans le
corps central du château donnent une impression d’étirement des jardins vers la ville.
Le schéma du jardin à la française se caractérise par une allée centrale bordée de parterres réguliers et
symétriques, organisés autour de bassins ornés de statues, eux aussi symétriques. Le duc Léopold
confie la création de ces jardins en 1710 à Yves des Hours, élève d’André Le Nôtre à qui l’on doit le
parc de Versailles.
Continuez tout droit sur l’avenue en profitant d’une belle vue sur le clocher de l’église Jeanne d’Arc.
Arrivés au rond-point, prenez la 2ème sortie pour entrer dans la cour du Réservoir.
Question : Indiquez l’ancien nom du Réservoir. Petit indice : célèbre écrivain français mort le 14 mars
1899 à Lunéville.
Réponse : …………………..
Le Réservoir, ancien château d’eau
Construit en 1879, cet ancien réservoir de
2000 m3 alimentait en eau les foyers d’une
population toujours plus grandissante. Il
deviendra inutile dans les années 1970, lorsque
la ville passe d’un système de distribution
gravitaire à un système par sur-pression. En
1988, il est réhabilité en un espace socio-culturel
vivant.
En face du Réservoir se trouve un édifice à l’abandon. Chers aventuriers, n’ayez pas peur de le
contourner pour répondre à la question !
Le château du Prince Charles-Alexandre de Lorraine
Connue sous le nom de Petit Château ou
Château du Prince Charles, appelée «la
Favorite» dès le début du XVIIIe siècle, cette
résidence est élevée entre 1730 et 1735 par
l’architecte Marchal pour le dernier fils du duc
Léopold, le prince Charles Alexandre. Il
manifesta de bonne heure une prédilection
particulière pour les beaux-arts. Il en donnera
maintes preuves durant toute sa vie. A
quatorze ans, il exprime le désir de bâtir ce château. Le prince se met à l’œuvre avec enthousiasme,
guidé par les leçons et les conseils des architectes de la cour. Le château sort de terre. Une légende
rapporte que son jeune maître-d’œuvre aurait oublié de prévoir les escaliers nécessaires pour
accéder aux pièces mansardées de l’étage et que l’architecte Boffrand les aurait alors aménagées dans
les deux tourelles d’aspect agréable qui encadrent l’entrée.
Question : Observez bien et cherchez sur la façade des visages grimaçants. Ces visages, appelés «
mascarons », ornent également la façade du château de Lunéville. Combien en vois-tu ?
Réponse : …………………..
Empruntez la rue Villebois Mareuil, sur votre gauche lorsque vous sortez de la cour du Réservoir.
Arrêtez-vous sur la place du Colonel Clarenthal située sur votre gauche, vous y découvrirez la
Médiathèque de l’Orangerie de Lunéville.
ÉTAPE 4 : Place du Colonel Clarenthal
Médiathèque de l’Orangerie
Le bâtiment est un ancien manège à chevaux qui servit aussi à entreposer des chars à la fin de
son histoire militaire. Il se trouve sur le site de l’ancienne Orangerie du jardin des Bosquets du temps
de Stanislas.
L’Orangerie fut transformée au XIXème siècle en caserne de cavalerie militaire (caserne
Clarenthal), époque où Lunéville devient une véritable cité cavalière.
Reconverti déjà une première fois en médiathèque en 1994, les difficultés d’usage et la désuétude du
bâtiment imposaient une réhabilitation globale initiée par son propriétaire, la Communauté de
Communes du Territoire de Lunéville à Baccarat.
Continuez tout droit rue Villebois Mareuil et longez le parc des Bosquets du Château par la rue de
Lorraine où se dressent trois monuments emblématiques de l’histoire patrimoniale de la ville de
Lunéville : la Maison Hellé, la Maison du Traité et le Théâtre. Arrêtez-vous sur le trottoir, devant la
Maison du Traité.
Question : Devinez pourquoi la médiathèque porte ce nom « Médiathèque de l’Orangerie », et
indiquez quelle était la fonction de ce lieu au temps des Ducs de Lorraine.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 5 : rue de Lorraine
Maison du Traité
C'est dans cette maison que fut signé le 9 mars 1801, le Traité de Lunéville qui attribuait à la France la
rive gauche du Rhin. Le point final du conflit opposant Bonaparte, premier Consul, à François II,
empereur du Saint-Empire romain germanique, battu par l’Armée de Bonaparte à Marengo.
L’Autriche a choisi Lunéville plutôt que Sélestat, peut-être en raison de ses souvenirs lorrains. Vous
découvrez une maison, typique, du style néo-classique, avec ses longues lignes droites, ses moulures,
et une décoration faisant référence à l'art classique grec et français.
Cette Maison du Traité reprit du service pendant la Seconde Guerre mondiale, en accueillant les
généraux Patch, Eisenhower, Devers et Patton, qui lancèrent ensuite une grande offensive
jusqu'en Autriche.
Question : Observez bien, quel animal est représenté sur la façade ?
Réponse : …………………..
Maison Hellé
L’Art Nouveau nancéien a eu un retentissement sur le développement de Lunéville, devenue ville
frontière à la signature du Traité de Francfort en 1871.
Cette importante place forte militaire accueillit nombre d’Alsaciens et Mosellans ayant opté pour la
nationalité française, au rang desquels figuraient de grands industriels qui favorisèrent la prospérité
économique de ce début de 20ème siècle.
Grâce à de grands architectes de Nancy et aux célèbres faïenceries de Lunéville-Saint- Clément, on vit
apparaître un renouveau des arts décoratifs.
Les bourgeois, industriels et marchands, ainsi que l’aristocratie militaire animèrent la ville qui se
souvenait encore des fastes de la cour de Stanislas au 18e siècle. C’était «la Belle Epoque».
Au n°59 de la rue de Lorraine on peut admirer les volumes d’une villa dite villa Hellé, d’allure pseudo-
médiévale présentant des décrochements de façades et de toiture. Une frise en damier noir et blanc
orne la soupente donnant sur la rue. Cette villa érigée entre 1902 et 1913 est attribuée
à l’architecte nancéien Fernand César (1879-1969).
Continuez tout droit dans la Rue de Lorraine.
Question : Observez bien et indiquez quelle figure géométrique se cache sur la toiture.
Réponse : …………………..
Le Théâtre
En 1733, la régente du duché de Lorraine, Élisabeth-Charlotte d’Orléans, fit construire à cet
emplacement une salle de comédie, théâtre à l’italienne, dont les décors créés par l’italien Bibiena
furent rapportés de l’Opéra de Nancy.
Étant réservé à l’usage exclusif de la cour, ce théâtre fut édifié dans la continuité du château et relié
par une galerie aux appartements réservés à la famille ducale.
Sous le règne de Stanislas Leszczynski, roi détrôné de Pologne et duc de Lorraine, Voltaire y joua la
comédie avec d’autres courtisans.
En 1908, un terrible incendie anéantit «la bonbonnière de Stanislas». Aussitôt la municipalité entreprit
de construire un nouveau théâtre sous la direction de Lucien Weissenburger.
Revenez légèrement sur vos pas et tournez dans la Rue du Général Leclerc, puis à droite, rue de la
Charité. Baissez rapidement les yeux pour voir se dessiner sur le pavé, la croix de Lorraine. Elle marque
l’emplacement d’un bombardement aérien survenu en septembre 1915, lors d’un marché très
fréquenté. En allant tout droit, vous atteignez la place Saint-Rémy et sa somptueuse église baroque.
Question : Observez bien et indiquez de quel instrument de musique jour le putti. Dans le langage
des artistes, ce mot désigne un enfant joufflu et souriant.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 6 : place St Rémy
L’église St Jacques
Construite entre 1730 et 1747, sous le règne de François III et de Stanislas,
l’église Saint Jacques est d’une belle richesse artistique. C’est le buffet
d’orgue, sans tuyaux apparents, qui retient toute l’attention. Unique en
Europe, il est un témoin exceptionnel de l’art baroque du XVIIIème
siècle.
L’Eglise Saint-Jacques de Lunéville fut réédifiée dans le style Baroque à
partir de 1730, comme église de l’abbaye Saint-Rémy de Lunéville. Après
un premier arrêt des travaux par manque de financement, ils reprirent en
1745 grâce au roi Stanislas.
La construction peut être attribuée principalement à Jean- Nicolas
Jennesson pour le premier niveau, tandis que le Premier Architecte du roi,
Emmanuel Héré, réalisa les deux imposantes tours de 52 mètres (surmontées des statues de saint Michel
terrassant le Dragon et de saint Jean Népomucène) ainsi que l’étonnant buffet d’orgue. Le décor du fronton fut
sculpté en 1749 par Joseph Béchamp. En 1745, l’église accueillit aussi la paroisse Saint-Jacques, qui s’est
maintenue jusqu’à nos jours.
Profitez d’une petite pause pour découvrir l’espace Muséal à l’hôtel Abbatial (ancien presbytère)
ouvert tous les jours (sauf le mardi) de 10h à 12h et de 14h à 18h. Entrée : 2 €.
Tournez à droite Rue des Templiers. Au bout de la rue, tournez à gauche rue Castara jusqu’à la
synagogue. Arrêtez-vous dans la voie réservée au bus, cycles…
©MTPL
Question : Observez bien et indiquez quel personnage, symbolisant le Temps, porte l’horloge.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 7 : rue des Templiers, puis rue Castara
La synagogue
Elle fut la première synagogue construite en France depuis le Moyen Âge, par permission du Roi
Louis XVI en 1786. Bien qu’Abraham Isaac Brisac, syndic de la communauté juive de Lunéville, obtint
l’autorisation de Louis XVI pour construire la synagogue, le culte juif n’était alors que toléré et l’édifice
dut être placé en retrait de la voie publique, derrière une maison.
Cette dernière fut détruite en 1914 lors d’un incendie criminel. La façade de lasynagogue s’inscrit dans
la tradition architecturale lorraine.
Elle témoignait, avant son martelage sous la Révolution, de l’intégration de la communauté juive à
Lunéville.
Revenez légèrement sur vos pas et tournez à gauche Rue Cyfflé. Arrivés au rond-point, prendre
la 1ère sortie Rue Sébastien Keller.
Question : Observez bien et indiquez quelle pierre recouvre la façade de cet édifice. Petit indice : lire
le panneau informatif de la Ville de Lunéville situé devant la synagogue.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 8 : rue Cyfflé, puis rue Sébastien Keller
Maison Ledermann
Cette maison à structure métallique, bâtie sur pilotis, a été réalisée dans un quartier résidentiel de
Lunéville par l’architecte Robert Anxionnat.
La maison forme un L, elle est composée d’une structure en acier et de façades en bois et en verre. Les
espaces de vie occupent le premier étage, le rez-de-chaussée est dévolu au garage et aux espaces de
service et de stockage.
A l’étage, l’une des branches du L accueille les pièces de vie, l’autre les chambres et les salles de bain.
Le jardin avant et le jardin arrière sont reliés sous les chambres par un espace laissé libre.
L’implantation et la forme générale de la construction définissent les usages des espaces extérieurs ;
elles garantissent de multiples orientations, les qualités lumineuses et les différents degrés d’intimité
des espaces intérieurs.
Continuez toujours tout droit dans la Rue de la Tour Blanche qui longe la Vezouze.
Ne ratez pas sur votre droite la Tour blanche, dernier vestige des 1ères fortifications de la ville ! Elle
s’observe depuis la rue Sébastien Keller.
Question : Observez bien l’environnement et indiquez pourquoi la maison est bâtie sur pilotis.
Réponse : …………………..
ÉTAPE 9 : rue de la Tour Blanche
La Tour Blanche
La Tour Blanche a grande allure, dressée fièrement contre la façade
postérieure de la maison n°19 de la rue qui porte actuellement son nom.
Qu’on ne s’y trompe pas, son nom est tout simplement celui de
l’entrepreneur qui la bâtit.
Elle est incluse dans une vaste propriété, fait autrefois de terrains vagues.
Le comte de Pleure restaura adroitement la Tour. Ce sont ses
descendants qui occupent actuellement les lieux, les familles de la
Boulinière et de Nonancourt.
Dans le jardin, on peut voir, outre la Tour Blanche, un long
pan de muraille, large et solide. C’est ce qui reste des
plus anciennes fortifications
Rejoindre le point de départ.
Question : Vestige du passé, devinez à quelle période de l’histoire appartient la Tour Blanche. Cette
tour faisait partie des remparts qui, à l’époque, protégeaient les habitants d’attaques extérieures.
Réponse : …………………..
SOLUTIONS DES QUESTIONS
QUESTION SOLUTION POINT EQUIPE
1 EQUIPE
2 EQUIPE
3 EQUIPE
4
1 L’aigle 1
2 La bataille de Wagram 1
3 Une barque 1
4 Le cheval 1
5 Le jardinage 1
6 5 (4 petits bassins + 1 grand avec un jet d’eau)
1
7 Emile Erckmann 1
8 3 1
9 Bâtiment dans lequel on abritait les
plantations pendant la mauvaise saison
1
10 Le lion 1
11 Carré/losange 1
12 Un violoncelle 1
13 Un vieil homme 1
14 le Grès rose des Vosges 1
15 Car elle est située en zone inondable 1
16 Le Moyen-Âge 1
TOTAL DES POINTS 16
GAGNANT : ………………………………………