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SECTEUR DES BUREAUX D'ÉTUDES

Chiffres et tendances

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SECTEUR .......................................................................................................................................................... 3

Le secteur en chiffres...................................................................................................................... 3

Liste des 30 plus grandes entreprises ........................................................................................ 8

ÉVOLUTIONS DANS LE SECTEUR ............................................................................................................... 10

Technologie BIM ............................................................................................................................. 10

La demande croissante en profils techniques qualifiés ...................................................... 11

Développement durable ............................................................................................................... 11

L'AVENIR DU SECTEUR ................................................................................................................................. 13

L'innovation technologique ne fait que commencer ............................................................ 13

La montée du travail intersectoriel ........................................................................................... 14

FORMATIONS.................................................................................................................................................. 16

Formations CAD ............................................................................................................................. 16

Conception à l'aide de l'ordinateur ........................................................................................... 16

BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................................. 17

Sources scientifiques .................................................................................................................... 17

Sources Internet .............................................................................................................................. 17

Journaux et magazines ................................................................................................................. 18

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SECTEUR

Le secteur en chiffres

Le secteur des bureaux d'études regorge d'une multitude de sous-segments et profils variés.

Il existe par exemple une grande différence entre un architecte et un ingénieur, et la diversité parmi

les ingénieurs est importante. Il en va de même pour les dessinateurs techniques. Un bureau

d'études peut par exemple se spécialiser dans la construction de bâtiments ou en HVAC.

Les différents codes NACE permettent de mieux représenter cette segmentation du secteur.

1 869 entreprises étaient actives dans le secteur des bureaux d'études en 2014, dénombrant

20 308 employés. Entre 2009 et 2014, le nombre d'entreprises a stagné (de 1 820 à 1 869 entreprises),

mais le nombre d'employés en 2014 (20 308) était supérieur à celui de 2009 (18 251).

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En 2012-2013, le nombre d'entreprises actives dans le secteur a progressé de 2 %. Dès lors, en 2013-

2014, le nombre d'employés a augmenté de plus de 3 %.

56 % des entreprises du secteur font partie de la CP200. L'autre moitié des ingénieurs et architectes

travaille pour les pouvoirs publics ou principalement dans le secteur de la chimie.1

62 % des employés du secteur font partie de la CPAE.

1 http://www.vacature.com/carriere/orienteren/beroep/In-welke-sectoren-kun-je-aan-de-slag-als-

ingenieur

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En termes de répartition géographique des entreprises, 64 % sont établies en Flandre. La plupart

des employés (59 %) travaillent également en Flandre. 27 % des employés travaillent dans les

entreprises établies en Région bruxelloise (12 %). On peut en conclure que la Région bruxelloise

compte des entreprises de plus grande envergure employant plusieurs ingénieurs et architectes.

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Le secteur des bureaux d'études dénombre une foule de petites PME de quelques employés

seulement. Pas moins de 64 % des entreprises comptent en effet moins de 5 travailleurs.

Le secteur se compose à 96 % de PME.

Voici le profil dominant des employés : 77 % sont âgés de 25 à 49 ans, 69 % sont des hommes et 84 % travaillent à temps plein.

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En termes d'âge, la proportion des employés âgés de 24 à 49 ans est relativement identique à celle

des autres services de la CP200.

Avec un taux de 70 %, les hommes sont très nombreux dans ce secteur. Ce pourcentage est

supérieur à celui de l'ensemble des secteurs (59 % d'hommes).

Ces employés travaillent majoritairement à temps plein (84 %). Seuls 16 % des profils actifs dans ce

secteur travaillent à temps partiel. Ce pourcentage est inférieur à la moyenne des autres services de

la CP200 (20 %).

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Liste des 30 plus grandes entreprises

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La répartition géographique des employés actifs dans des bureaux d'études permet de directement

constater que quelques grandes entreprises sont établies à Anvers ou dans le port d'Anvers (par ex.

SGS, Arcadis, Jacobs, Tormans). 12 des 20 plus grandes entreprises ont installé leur siège social

dans la capitale, où se situent toujours les plus grandes entreprises pour les profils d'ingénieur.

Ces entreprises opèrent dans divers domaines : énergie, travaux d'infrastructure, chemins de fer,

télécommunications, etc. (Tractebel, Arcadis, Grontmij, Akka)

Le secteur des bureaux d'études est très morcelé. En fonction du sous-segment

(industrie automobile, infrastructure, énergie, etc.), il est fait appel à différents

profils d'ingénieur. Les grandes entreprises se trouvent à Bruxelles ou Anvers.

96 % des entreprises du secteur sont des PME. L'on retrouve principalement

des hommes travaillant à temps plein dans ce secteur.

!

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ÉVOLUTIONS DANS LE SECTEUR

Technologie BIM

Les bureaux d'études et l'ensemble du secteur de la construction font face à l’émergence d'une

nouvelle tendance, celle de l'utilisation du BIM. Le Building Information Model (BIM) est l'utilisation

d'un modèle 3D. Plusieurs mises en œuvre ont déjà prouvé l'utilité d'un modèle virtuel, et ce non

seulement dans le domaine de l'architecture, mais aussi et surtout dans ceux de l'ingénierie, du

calcul de la stabilité et des techniques. 2 Grâce à la mise en place d’un modèle de construction

virtuel simple à utiliser, les coûts liés à des erreurs peuvent être considérablement réduits. 3 Les

nombreuses données d'un modèle BIM peuvent être échangées avec des outils externes, permettant

au modèle d'être adapté. Une modification du modèle est directement appliquée à tous les

emplacements reliés. L'ensemble de la présentation du modèle reste donc actuel. Un modèle BIM

peut en outre contenir des informations pour différentes disciplines et différentes phases de

construction (du concept à la démolition).

Architectes et dessinateurs imaginent le bâtiment sous la forme d'un modèle 3D. L'ingénieur poursuit

avec une abstraction des éléments architecturaux. Lorsqu'une étude de stabilité met en avant la

nécessité d'adaptations, chaque parties peut clairement remarquer celles-ci. Le bureau d'études

continue de développer ce modèle et veille à ce que les canalisations puissent être installées de

manière optimale. L'entrepreneur récupère à nouveau le modèle et dispose instantanément des listes

de pièces et des métrés. Il peut ensuite commencer à estimer les coûts sans perdre de temps. Lors de

la dernière phase, le maître d'ouvrage dispose d'un modèle 3D réaliste entièrement élaboré qui offre

des avantages importants dans le cadre de la gestion du bâtiment.

Les plannings sont plus faciles à harmoniser grâce à un modèle BIM. Un projet peut donc être

planifié et géré plus efficacement. Vu que différentes parties collaborent au même modèle BIM, une

nouvelle forme de travail va voir le jour, celle de la collaboration et de la co-création, ce qui

améliore de manière intrinsèque la satisfaction au travail.4

Le recours au BIM a d'abord fait son entrée dans les grandes entreprises de construction, mais tout

indique que d'ici 10 ans, les PME travailleront également avec des modèles BIM. L'utilisation d'un

modèle 3D sera également intégrée dans les smartphones et tablettes. Selon une enquête menée

auprès d'entreprises de construction françaises5, plus de 68 % d'entre elles estiment que cet outil

pourrait s'avérer utile voire incontournable dans le cadre de leurs activités. Pour l'heure, le BIM est

encore rarement mis en œuvre car les adjudicateurs ne demandent pas encore la livraison d'un

projet de construction sous la forme d'un modèle BIM. Citons en outre le coût de l'investissement

(principalement pour l'acquisition de logiciels et les formations).

2 http://www.cstc.be/homepage/index.cfm?cat=publications&sub=bbri-contact&pag=Contact26&art=387

3 https://i-theses.com/nl/nieuws/192-newsitems/4145-building-information-model

4 http://www.architectura.be/nl/newsdetail.asp?id_tekst=10541&content=BIM+en+de+kracht+van+co-

creatie+ 5 Enquête menée en région Nord Pas-de-Calais :

http://www.ekwation.fr/documentation/resultat_enquete_regionale_numerisation_batiment.pdf

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La demande croissante en profils techniques qualifiés

Le profil des ingénieurs et dessinateurs fait systématiquement partie des métiers critiques6-7.

Le marché de l'emploi recherche de plus en plus du personnel technique qualifié. Si on y ajoute le

problème du vieillissement, on assiste à une pénurie sévère en mécaniciens de maintenance,

techniciens, dessinateurs et ingénieurs. On le doit à un déficit en termes de qualité : les candidats

disposent rarement des aptitudes demandées.8

D'une part, des ingénieurs hautement qualifiés sortent chaque année de l'école et se retrouvent sur

le marché de l'emploi, et d'autre part, ils sont rarement prêts pour l’emploi et la période

d'intégration en tant qu'ingénieur à part entière est systématiquement raccourcie. Les entreprises

recherchent en outre de plus en plus de profils techniques à l'heure actuelle.9 Le secteur réalise

également qu'il doit miser sur la formation et l'accompagnement de carrière.10

C'est la raison pour laquelle l'apprentissage en alternance peut être synonyme de changement et

d'amélioration. Il s'agit d'un système intégrant l'apprentissage sur le lieu de travail également. Il est

considéré comme une forme d'apprentissage à part entière. L'apprentissage, et en particulier

l'apprentissage continu, constitue un défi pour l'ingénieur de demain. « Il faut augmenter

l'interaction avec le monde des entreprises. Il est également crucial que les ingénieurs disposent de

connaissances de base en suffisance pour continuer à apprendre. Cette responsabilité incombe en

partie à l'employeur. Ce dernier doit et a rarement d'autre choix que de former des ingénieurs à la

mesure de son entreprise. »11

Développement durable

Les matières premières naturelles sont de plus en plus rares et chères pour la production actuelle et la

consommation mondiale. Non seulement les coûts des matériaux augmentent, mais on réfléchit

également de façon plus structurelle aux déchets engendrés par un processus complet de construction12.

Les bureaux d'études ont pour mission d'élaborer des projets de qualité tout en tenant compte du

développement durable, du respect de l'environnement et de la société, quel que soit le type de

projet. L'importance des bureaux d'étude dans les projets de construction ne cesse d'augmenter. Ils

se spécialisent dans des études de faisabilité, dans des études techniques relatives aux techniques

durables et équipements techniques dans des bâtiments, dans des conseils en physique de

construction et dans l'optimisation de la consommation d'énergie. Le Gouvernement flamand

ambitionne en effet de n'adopter des marchés publics que 100 % durables d'ici 2020. Pour ce faire,

le département Leefmilieu Natuur en Energie élabore des critères de durabilité pour différents

6 https://www.leforem.be/MungoBlobs/136/104/2015_Trim3_MDE_Focus_FonctionsCritiques2014.pdf

7 http://www.actiris.be/Portals/36/Documents/FR/Liste%20fonctions%20critiques%20en%202014.pdf

8 https://www.vdab.be/trends/vacatureanalyse.shtml

9 http://www.usgpeople.com/nl/pers-media/nieuws/2012/03/21/meer-vraag-naar-technisch-ingenieurs-in-

belgi%C3%AB 10

file://HRSquare_december2015_KathleenDupont.pdf 11

https://www.usgprofessionals.be/docs/default-source/usgengineering/dvdi/20150214_ds.pdf?sfvrsn=2 12

BOULVAIN, Jonathan (2015). « Le secteur de la construction se met à l'économie circulaire », dans construction, juillet-août, p 42.

12

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produits et services.13 En Wallonie, un cahier des charges 2022 a été soumis, mettant le

développement durable en avant.14

On ne joue pas la carte de la durabilité seulement dans le cadre de la construction de projets. On

passe d'une économie linéaire (conception, production, consommation, traitement des déchets)

à une économie circulaire où l'importance de la durabilité est également mise en avant, de la

conception à la phase de construction, dans le cadre du traitement des déchets, du démantèlement

de projets, du recyclage de matériaux ou de leur réutilisation. Ce mode de pensée dans un

processus de construction a déjà permis à plusieurs bureaux d'études et d'architectes de se

spécialiser dans le domaine du développement durable15.

13

http://do.vlaanderen.be/ontwikkeling-van-duurzaamheidscriteria-voor-bouwproducten 14

http://www.wallonie.be/fr/actualites/cahier-des-charges-type-batiments-2022 15

JANSSENS, Benoît (2015). « Donner une deuxième vie aux matériaux de construction », dans Le moniteur du développement durable, n°2015/21, p11.

13

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L'AVENIR DU SECTEUR

L'innovation technologique ne fait que commencer

La robotisation, dans l'innovation technologique d'un secteur, est l'un des changements de l'avenir.

On peut la considérer dans l'ensemble comme l'influence d'innovations disruptives : il s'agit de

percées induisant une nouvelle façon de servir un consommateur ou un marché. Elles génèrent

énormément d'emplois, mais impliquent également une réorganisation des différentes industries et

constituent une menace pour certains secteurs. Citons, comme exemples connus, la robotisation

dans l'alimentation, le textile et l'industrie automobile.

Voici quelques technologies qui évoluent dans le secteur dans lequel bureaux d'études et ingénieurs

sont actifs :

The internet of things : de plus en plus d'appareils sont reliés à l'Internet. Des objets du

quotidien peuvent communiquer avec des personnes ou d'autres objets. Alors

qu'auparavant, un concept naissait sur une table de dessin, il est à présent créé par voie

numérique et peut également être diffusé de cette manière entre toutes les parties.

La tablette a également fait son entrée sur le chantier et les modèles 3D de demain

pourront toujours être consultés en ligne dans le cadre de projets de construction.

Ingénieurs, dessinateurs et collaborateurs de bureaux d'études devront davantage travailler

avec des outils en ligne pour exécuter leurs activités et devront de plus en plus entretenir

des contacts par voie numérique. Chaque projet sera livré et consulté par voie numérique.

Véhicules (presque) automatiques : Il est aujourd'hui possible de créer des voitures,

camions, avions et navires dont le fonctionnement est totalement ou partiellement

automatique. Conséquence ? Une sécurité accrue, une réduction des émissions de CO2 et

davantage de temps pour travailler ou se détendre. La conception de ces développements

demande énormément de connaissances techniques et en termes de contenu, ce qui

a provoqué une hausse de la demande en ingénieurs qualifiés. Les ingénieurs seront

appelés à faire preuve de davantage d'innovation et de créativité pour produire de

nouveaux développements.

Par le biais de sources d'énergie renouvelables comme le soleil, le vent et les vagues de

l'océan, nous créons une énergie inépuisable qui ne nuit pas à l'environnement.16 Le

stockage de ces sources d'énergie naturelles se fait à l'aide de batteries. Le développement

du stockage de l'énergie est également une tâche des ingénieurs qui ne fera que gagner en

importance à l'avenir. Le dessinateur sera de plus en plus impliqué pour, par exemple,

assurer une intégration visuellement harmonieuse des panneaux solaires dans un

processus de construction.17

Nous venons d'entrer dans un avenir d'innovation technologique, de robotisation et d'automatisation.

Des études ont démontré que le marché du travail allait encore connaître une grande et forte vague

d'automatisation.18-19 Cela se perçoit déjà dans le secteur de la construction, qui passe d'un secteur

16

http://www.vacature.com/carriere/groeien/technologie/De-trends-van-2015-disruptie 17

http://www.energyville.be/evenement/bouw-breekt-uit-hoe-kan-energyville-meerwaarde-bieden-aan-de-bouwsector 18

http://www.oxfordmartin.ox.ac.uk/downloads/academic/The_Future_of_Employment.pdf

14

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d'ouvriers physiques vers un secteur de services de haute technologie. Sur le chantier, les ouvriers ont

besoin de plus en plus de connaissances techniques (matériaux, techniques, innovations numériques)

pour accomplir leurs tâches. L'introduction des nouvelles technologies dans un projet de construction

nécessite des connaissances techniques et de la créativité.

Des phénomènes tels que la numérisation et la mécanisation croissantes du processus de

construction, l'émergence de bâtiments et systèmes de gestion intelligents vont accroître la

demande en techniciens qualifiés.20

La montée du travail intersectoriel

À l'avenir, la communication multidisciplinaire va gagner en importance. Il faut dès lors tenir

compte de différents secteurs et disciplines et comprendre que le travail intersectoriel est l'avenir.

Les ingénieurs en construction sont tous confrontés aux mêmes défis, qu'ils soient actifs dans la

construction résidentielle ou la construction de bureaux, l'infrastructure, les centrales électriques,

les stades ou les constructions particulières, ou dans l'un ou l'autre domaine d'application du

monde de la construction. D'une part, le concept architectural est de plus en plus exigeant, et il faut

tenir compte de facteurs environnementaux et de la durabilité, et d'autre part, les ingénieurs

relèvent le défi de créer, par le biais de calculs sophistiqués, des concepts osés et sûrs à la fois,

donnant naissance à des constructions adéquates et fiables.21

La communication multidisciplinaire est indispensable et nécessite des ressources harmonisées.

Dans le même temps, la spécificité et la contribution de chaque partenaire de construction, chacun

possédant ses logiciels propres, doivent être respectées. Enfin, les informations doivent pouvoir

être partagées et consultées à tout moment, depuis un ordinateur fixe ou un appareil mobile

(smartphone, tablettes, etc.).

Citons, en guise d'exemple, la voiture connectée. Le secteur de la technologie et le secteur de

l'automobile se confondent de plus en plus. L'avenir appartient à la voiture connectée. Dans cette

voiture, les passagers ont la possibilité de consulter divers services par le biais d'une connexion

Internet intégrée. Il ne s'agit pas uniquement d'informations et de divertissement. Les voitures

connectées communiqueront entre elles, mais aussi avec des infrastructures routières intelligentes

comme les feux de circulation et panneaux de signalisation. Autant d'éléments destinés à rendre la

circulation plus sûre et plus efficace, ce qui réduira les embouteillages et la pollution.22

19

http://www.tijd.be/service/modernminds_4 20

http://www.vcb.be/press-room-detail?id=146 21

http://resources.nemetschek-scia.com/index.htm#Subsystems/whitepapers/Attachments/WhitePaper_BIM_voor_ingenieurs.pdf%3FTocPath%3DWhite%20papers%7C_____5 22

http://www.standaard.be/cnt/dmf20160114_02068409?shareId=50d545b7d4ba8d7380a475135abc07dbbfbce8c4d9df0cb3729168b8911bfa582370e46e85ef50aa12de1f603b8711f3b17411852bc7354c542b8142b3ca6160

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C'est un exemple de travail intersectoriel. Un constructeur automobile devra collaborer avec le

secteur informatique, le secteur des bureaux d'études et des ingénieurs. Pas pour le développement

de voitures, mais pour les aspects liés à la sécurité, à l'écologie, aux travaux d'infrastructure, à la

construction de routes et à la durabilité, et ce tant au niveau des études qu'en termes de

développement.

Les entreprises misent sur l'énergie verte, renouvelable, des voitures peu énergivores et sont

ouvertes aux constructions peu gourmandes en énergie et au développement urbain durable.23

Dans le secteur de la construction, le modèle BIM et le Lean management sont quelques outils dans

lesquels il est question de collaboration au sein de la chaîne ou de travail intersectoriel. Chaque

partie est impliquée pour tirer le maximum de chaque projet, sans gaspillage ni perte de qualité.

Les logiciels spécialisés pour les modèles 3D vont gagner en importance

à l'avenir. Les dessinateurs ne seront pas les seuls à élaborer ces plans,

tous les acteurs du secteur de la construction appliqueront ces plans

à leur domaine. Cette innovation technologique encouragera le travail

intersectoriel et sera à la base de bon nombre de projets de construction.

23

http://www.vcb.be/press-room-detail?id=54

2020

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FORMATIONS

Formations CAD

AutoCAD 2D : base 1044FA

AutoCAD 2D : avancé 1044FB

AutoCAD 3D 1048F

Autodesk Design Review 1053F

Revit Architecture 1059F

Conception à l'aide de l'ordinateur

Solidworks 1057F

SketchUp : base 1068FA

SketchUp : avancé 1068FB

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BIBLIOGRAPHIE

Sources scientifiques

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