CHRISTIAN LACROIX COSTUMIER

MARTINE KAHANE

Prix public : 35 eurosFormat : 300 x 245 mm160 pagesCouverture cartonnée en couleur150 Illustrations couleur

En miroir à ses vingt années de création haute couture et prêt-à-porter, Christian Lacroix a toujours imaginé et dessiné des costumes de scène pour le théâtre, l’opéra et la danse. Ce catalogue de l’exposition « Christian Lacroix, costumier » présente environ cent cinquante costumes issus d’une trentaine de productions présentées à Paris, àl’Opéra National de Paris, à la Comédie-Française, au Théâtre des Bouffes du Nord, au Théâtre 14 ; en région, àl’Opéra de Marseille, au Festival d’Avignon, à la Maison de la Culture de Nantes, dans les Arènes de Nîmes ; mais aussi au théâtre de La Monnaie à Bruxelles, à l’Opéra de Vienne, à l’American Ballet Theatre à New York.

Ils montrent l’alchimie de styles, de coupes historiques et de créations contemporaines, de tissus délicats et de matériaux robustes, de neuf et d’ancien, de précieux et de banal, de techniques spécifiques au théâtre ou à la haute couture, de liberté d’inspiration et de contraintes artistiques et pratiques, sans oublier les réalités financières et les délais toujours courts, qui font la vie théâtrale de ce grand couturier !Plus de cent dessins de Christian Lacroix illustrent son parcours. Paroles et écrits de Christian Lacroix.

LES PASSAGES COUVERTS DE PARIS

PATRICE DE MONCAN

Prix public : 50 eurosFormat : 320 x 245 mm240 pagesCouverture cartonnée en couleurPlus de 200 Illustrations couleur

Le passage couvert vitré a été inventé à Paris où il apparut pour la première fois à la fin du XVIIIe siècle, dans les jardins du Palais-Royal. Ce furent les fameuses Galeries de Bois. On en bâtit plus de cinquante dans la capitale entre 1786 et 1860. Passés de mode sous le Second Empire, ils tombèrent dans l'abandon, avant d'être le plus souvent détruits. Il n'en reste aujourd'hui que seize;Dans ces lieux de promenade élégants, des bains luxueux, des "salons de décrottage" et des "perruquiers" permettaient aux passants raffinés et soucieux de leur mise de se pavaner dans des atours qui n'auraient pas déparé les salons les plus chics, mais salons étrangement encombrés et cosmopo-

-lites. Bourgeois et aristocrates, prostituées et flâneurs, ouvriers, agioteurs, miséreux et joueurs s'y bousculaient. Les voleurs, dans cet inextricable imbroglio, trouvaient un terrain rêvé pour exercer leurs talents. Aujourd’hui, ces lieux insolites renaissent. Redevenus à la mode, les flâneurs amoureux du vieux Paris encombrent à nouveau leurs belles allées sous verre.

Patrice de Moncan, historien de Paris et grand spécialiste des Passages couverts, raconte leur histoire.

PARIS AVANT-APRÈS 19ͤ siècle / 21ͤsiècle

PATRICE DE MONCAN

Prix public : 45 eurosFormat : 310 x 240 mm452 pagesCouverture cartonnée en couleur730 Illustrations couleur et N&B

En 1860, le Baron Haussmann créait la « Commission Historique de Paris ». C'est elle qui chargea Charles Marville de photographier, entre 1862 et 1868, les rues appelées à disparaître. Napoléon III accueillit cette initiative avec enthousiasme. « Ceci permettra de suivre à travers les siècles les transformations de la ville qui, grâce à votre infatigable activité, est aujourd'hui la plus splendide et la plus salubre des capitale de l’Europe » écrira-t-il à son préfet. Nous avons, au cours des deux dernières années, photographié chacune des rues et des monuments, depuis l'endroit précis où Marville les avaient prises, et demandé à l’historien de Paris, Patrice de Moncan, grand spécialiste de la transformation de Paris sous Haussmann, de les commenter une à une.

Cet album fige ainsi l'Avant et l'Après Haussmann. Et ses 720 photos racontent, à150 ans d'écart, la plus grande mutation qu'une ville ait jamais connue

École Nationale Supérieur d’architecturede la ville et des territoires à Marne-la-Vallée

Loïse LENNE, David ÉNON, Yves LION, Jean TARICAT, Patrick RUBIN, Étienne LÉNACK, Bernard TSCHUMI, Alain DEREY

Prix public : 30 eurosFormat : 300 x 230 mm144 pagesCouverture souple en couleur180 Illustrations : couleur

Chacune des 20 écoles nationales supérieures d’architecture illustre à sa manière les interactions entre le caractère de ses bâtiments et le type de pédagogie qu’elle développe. L’École Nationale Supérieure d’Architecture de la ville et des Territoires à Marne la Vallée est de création récente (août 1998), et de taille modeste avec 600 étudiants. Elle est la plus petite des écoles d’architecture de Paris et d’Ile de France ce qui, loin d’être un handicap, constitue une force et un véritable confort pour les étudiants.

LE PARIS D’HAUSSMANN

PATRICE DE MONCAN – CLAUDE HEURTEUX

Prix public : 50 eurosFormat : 230 x 300 mm232 pagesCouverture cartonnée en couleur250 Illustrations : N&B, couleur

« LES RUELLES étroites et infectes abondaient au milieu de la ville. Nous manquions d’eau, de marchés, de lumière, dans ces temps reculés… Quelques becs de gaz seulement commençaient à se montrer. Il [HAUSSMANN] démolit des quartiers ; on pourrait dire : des villes entières. On criait qu’il nous donnerait la peste ; il nous laissait crier et nous donnait, au contraire, par des intelligentes percées, l’air, la santé et la vie. Il fondait des hôpitaux, des écoles. Il creusait des égouts magnifiques. Il élevait des casernes, des théâtres. Il tirait de leur néant les Champs-Elysées, le Bois de Boulogne, le Bois de Vincennes. Il achevait les Halles Centrales. Il généralisait l’usage du gaz ; il multipliait les lignes

d’omnibus… Il introduisait, dans sa belle capitale, les arbres et les fleurs. Il la peuplait de

statues. Son œuvre était au moins aussi fantastique que ses comptes.» Éloge du baron Haussmann paru en 1882 dans Le Gaulois, pourtant farouche adversaire du Second Empire.

Voici l’histoire extraordinaire des travaux du baron Haussmann qui ont transformé Paris au XIXe siècle, racontée par Patrice de Moncan. Ce livre a reçu le Prix Haussmann et le Prix Charles Garnier de la Société de Géographie.

MARQUES &COULEURS

OLIVIER SAGUEZ

Prix public : 50 eurosFormat : 315 x 240 mm224 pagesCouverture souple en couleurPlus de 200 Illustrations couleur

« Une marque comme son nom l’indique, sert à marquer. Et, pour que la marque marque et se démarque, il faut designer son identité : logotype, magasin, packaging, web, édition, … afin d’assurer la cohérence de l’ensemble des signes de la marque. On appelle cela le design global. »Parce que la couleur crée une émotion intense et qu’elle peut marquer très fortement, le fil conducteur du travail d’Olivier Saguez se lit dans ce rapport très particulier des marques et des couleurs. Au-delà de raconter avec enthousiasme ce métier d’architecte de la marque, Olivier Saguez nous parle de sa

passion pour la couleur et les couleurs. Il décrit ses sources d’inspiration et de respiration : la nature, la montagne, la mer, les couleurs historiques et celles liées aux pays ou aux villes, leurs significations, leurs relations à l’habitat et à la mode…

La couleur c’est la vie ; Olivier Saguez a voulu communiquer son plaisir et son savoir-faire pour que chacun maîtrise plus facilement ses émotions et ses couleurs.

PASSION ALUMINIUMTrésors de la Collection Jean Plateau - IHA

Ivan GRINBERG – Jean PLATEAU

Prix public : 70 eurosFormat : 350 x 265 mm192 pagesCouverture cartonnée en aluminium170 Illustrations : couleur

Etonnants, émouvants, fascinants, mystérieux, intrigants, amusants... Les quelques 250 objets réunis dans ce livre ont tantôt le goût des souvenirs familiers, tantôt l'attrait de l'inconnu. Ils ont en commun d'avoir été fabriqués avec de l'aluminium entre 1856 et nos jours.L'ambition de ce livre est de faire découvrir la Collection Jean Plateau – IHA à travers une sélection d'objets choisis parmi les plus significatifs. Chacun des objets racontent une histoire. S'ils ont été retenus, non sans une part d'arbitraire souvent, parmi des milliers, c'est qu'ils

manifestent à nos yeux une forme de beauté en même temps qu'ils révèlent quelque chose de l'histoire ou de la mémoire attachée à ce métal. La Collection entretient en effet un rapport essentiel au temps. Cette collection particulière est unique au monde.

LE PASSAGE COUVERT / COVERED ARCADEUn trajectoire patrimoniale européenne / A stroll through the Arcades in Europe

PATRICE DE MONCAN

Prix public : 60 eurosFormat : 350 x 265 mm390 pagesBeau Livre - BilingueCouverture cartonnée en couleurPlus de 400 Illustrations couleur

Patrice de Moncan, historien et urbaniste, auteur du best-seller « Les Passages couverts de Paris », a visitéplus de 300 villes de Manchester à Saint-Pétersbourg, pour étudier et photographier le phénomène du Passage Couvert qui, depuis la France, a conquis l'Europe au XIXe siècle. Au-delà de cette trajectoire patrimoniale architecturale exceptionnelle, c’est une trajectoire culturelle commune à l’Europe qui se dessine dans ces passages. Au cours de ce XIXe siècle où les grandes nations du vieux continent n’ont cessé de se battre en quête d’hégémonie politico -

militaire, les architectes, les ingénieurs et les sculpteurs faisaient naître à l’abri de ces verrières qu’ils construisaient toujours plus hautes, une vie paisible et heureuse où les peuples comme les poètes et les écrivains, les musiciens et les chanteurs, les peintres et caricaturistes, venaient quotidiennement se rencontrer pour y réinventer la culture européenne, bien avant l’Euro, la politique de Bruxelles et le Parlement de Strasbourg.

Que ce livre soit un hommage aux survivants de ce passé brillant, témoins d’une époque où se créait notre monde moderne dont ils furent l’une des expressions les plus innovantes et les esthétiques.

RUDOLF NUREYEV 1938 - 1993

MARTINE KAHANE

Prix public : 35 eurosFormat : 280 x 240 mm160 pagesCouverture souple en couleur180 Illustrations couleur

« On vit parce qu’on danse, on vit tant qu’on danse, »répétait Noureev qui brûla aux quatre coins du monde les étapes d’un parcours de danseur, de chorégraphe, de maître de ballet et de directeur de compagnie.Ce beau-livre, très richement illustré, retrace les grandes dates de la vie de Rudolf Noureev, de l’enfance misérable au fond d’une province reculée d’URSS, à son entré dans la fameuse école de danse du Kirov de Leningrad, de son rocambolesque “passage à l’ouest” le 16 juin 1961, à sa glorieuse carrière internationale qui l’installa au panthéon des étoiles.

Enfin, ballet après ballet, on y raconte sa féconde production à l’esthétique très personnelle.

Photographies émouvantes, insolites, éblouissantes se mêlent aux somptueuses maquettes de décors et de costumes, et illustrent ce livre, précieux témoignage rendu possible grâce aux prêts de musées et Opéras du monde entier.

OPÉRAS RUSSES

À L’AUBE DES BALLETS RUSSES

MARTINE KAHANE

Prix public : 35 eurosFormat : 280 x 240 mm218 pagesBeau LivreCouverture souple en couleur220 Illustrations couleur

En 1908, l’année qui précéda l’arrivée à Paris l’arrivée des Ballets russes, l’opéra russe avait déjà conquis le public français. Serge Diaghilev avait présenté au Palais Garnier Boris Godounov, de Moussorgsky, avec Chaliapine dans le rôle titre, et l’Opéra-Comique présenté Snegourotchka de Rimsky-Korsakov, dans une somptueuse production.Le Palais-Garnier, créé en 1911, Sibéria, opéra de Giordano, avec de splendides costumes venus du Théâtre Bolchoï, dessinés par Golovine. En 1913, Diaghilev récidivera avec Khovantchina, autre célèbre opéra de Moussorgsky.

L’esthétique somptueuse et brillante, à l’ornementation fastueuse de Bilibine et de Bakst pour Snegourotchka et Boris Godounov, contraste avec celle, très moderne et avant-gaediste, des costumes peints de couleurs vives et de motifs géométriques de Fedorovsky pour Kovantchina.

Bêtes de scène

MARTINE KAHANE

Prix public : 35 eurosFormat : 280 x 240 mm144 pagesCouverture souple en couleur170 Illustrations : couleur

Catalogue de l’exposition qui a fait l’ouverture du Centre Nationale du Costume de Scène et de la Scénographie (CNCS) en juillet 2006 à Moulins. Le CNCS est un établissement unique, d’un nouveau type en France comme à l’étranger, consacré au costume de scène dans tous les aspects du spectacle vivant, ouvert au grand public comme aux professionnels. A travers ses prestigieuses collections de 8 500 costumes de théâtre, d’opéra et de ballet, furent mis en scène à cette occasion l’évocation des animaux les plus divers et les plus fantastiques de la scène théâtrale.

Martine Kahane directrice du Centre nationale du costume de scène, a voulu nous faire partager le plaisir de regarder ces magnifiques costumes.

BOUTIQUES ROYALES Ou l’Art de vivre comme un prince.

ÉLISE DE MONCAN

Prix public : 50 eurosFormat : 310 x 230 mm192 pagesCouverture cartonnée en couleur200 Illustrations couleur

S’il n’existe plus aujourd’hui en France de mention « fournisseur de la couronne », telle qu’on la trouve encore à Londres ou Madrid, Bruxelles ou Amsterdam, l’on peut toujours s’offrir le raffinement et l’élégance qui furent le propre de nos cours royales ou impériales.

Tout en renouvelant leurs création, ces maisons rééditent, ou n’ont jamais cessé de proposer, des pièces créées pour satisfaire aux commandes fastueuses de leurs clients princiers. Grâce au savoir-faire unique de leur artisans, à leurs secrets jalousement gardés et transmis comme autant de trésors, c’est tout un patrimoi-

ne de notre histoire de l’art et du goût, qui a pu être préservé et parvenir jusqu’ànous.À la suite de nos princes, les cours étrangères se pressaient dans ces boutiques et se faisaient alors ambassadeurs de l’art de vivre français. De nos jours, leur rayonnement continue d’attirer une prestigieuse clientèle internationale. Des boutiques au nom et à l’histoire illustres permettent de témoigner de la pérennité d’un art de vivre fait d’élégance et de beauté : Baccarat, Christofle, Hermès, Guerlain, Mellerio, Ruinart, parmi d’autres.

LES PUCES DE PARISSAINT-OUEN

LUC FOURNOL

Texte : Jacqueline Queneau

Prix public : 35 eurosFormat : 240 x 310 mm144 pagesCouverture cartonnée en couleur120 Illustrations N&B

Ce bel ouvrage, dont l’avant-propos est signé par Inès de La Fressange, constitue le regard de l’un de nos meilleurs photographes, Luc Fournol, sur les Puces de Saint-Ouen. Il nous livre ses clichés où se côtoient tendresse et humour, images insolites et témoignages émouvants sur le monde étrangement mêlé des marchands et des chineurs. Mais le véritable prince en ce royaume du bizarre reste incontestablement l’objet qu’il soit humble ou très précieux. Une petite histoire des Puces introduit le propos sous la plume de Jacqueline Queneau qui retrace l’origine du plus grand marché d’antiquités au monde puisque 2 500 brocanteurs et antiquaires occupent l’espace sur près de sept hectares.