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Anotter. re Ft':io'e 5 fr. 10 fr. 20 fr. NIPS CI.ALO/LlitS Étrmer 9 fr. 1Sfr. 36 M., t.:rivolegili .tMeNti.. ei -lei,-------...............,. ADig, riusruierlotg. \ , e MÉDACITION \ 36, Rue, Roquelaine TOLlhOUSE taxiissaamosreragar 043 Misera Paysanne Tous ires politiciens bourgeois et plus particulièrement les radicaux, quand s adressent aux paysans ont Phabi- fi. du le dire que l'idéal social est encore p lui du polit propriétaire terrien qui trimait te pour lui en restant maître de son produit. Si parfois la misère s'abat sur tes campagnes, la faute en fat aux ouvriers des si/les qui, par triera mouvements résolutiOnnaires, jettent dans la société des troubles qui sont surtout préjudi- ciables aux paysans. data n'est plus faux cependant. D'abord les petits propriétaires ter- riens, s'ils sont la majorité en tant qu'individus, ne possèdent pas la plus grande surface du territoire français ot or qu'a bien voulu leur laisser le capita- lisme, e'est la partie la moins fertile du sol, la plus dure à uvrer et la plus in- grate. Ensuite, quand les Ouvriers 'des vil- les, par leur action de: classe obtien- nent da nouveaux moyens d'existence, ils augmentent leur force de consom- mation ei comme ils consomment prin- cipale/MM du pain, île la viande, du sucre. du lait, du vin et de la bière, ils ouvrent ainsi des voies plus larges à l'écouleMent des produits des petits propriétaires agrieoles. Si les paysans ne profitent pas de la consommation accrue dans les villes, c'est qu'il y a d-es causes indépendantes do leur volonté et de celle de mues frn- s en misère, les ouvriers. m vérité est que les paysa, nomme an moyen-âge, plus même qu'au temps de /a féodalité. paient des dilues écru- sautes an. Capitalisme. C'est /a Seille muse de leur misère. dien effet. pour le blé, par exemple, deux grands accapareurs, MNI. Sagita- Maria et Baumann. sont maîtres abso- s du marché du blé. Après avoir raflé tonte la production du hie, en le payant 25 ou 27 francs le quintal, ils en établissent eux-mêmes le prix de vente dans cette taverne de voleurs qui s'appelle la Bourse du rom-, croc de Paris, et ce produit de pre- mière nécessite passe successivement r28 it 29 et plus dc 01 francs le quin- tal sens que les bénéfices scandaleux ainsi réalisés sans Vu, ail, aillent grill- air d'un ce/Ointe le petit pécule du pro- ducteur. lEt il ne faut pas que messieurs les aceapareurs nous disent que s'ils agis- sent ainsi, C'est qu'ils y sont pomses par la rareté du produit et la demande considérable. La consonimation annuell.e de la France en blé est de 94 millions de qui n taux. :L'année 191t qui fut plutôt une mau- vaise année a produit, France et Algé- rie (toutes régions qui ne supportent pas la taxe douanière), 96 millions de plus qu'il n'en faut pour assurer la con- sommation Srançaise. C'est donc au seul jeu de l'accapare- Ment et do la spéculation qu'est due t'augmentation du prix du blé et par- tant ths. pain et des pâtes alimentaires ses dém. industriels. Il en est de même de la viande. CR sont les représentunts des gros négociants do la Villette qui sont maî- tres du marche du bétail et tous les pe- tits ideveurs sont obligés de passer sous les !Otite/lel canettes des regralliers Chevilleurs parisiens. Pour le sucre, Minn. phénomène d'oc parement et -de spéculation. il y a einq ans, après la suppression des pereliS ii YeXpOrteti011, le sucre élit tonna, 1 ft,. 10 à lt Ir. 55 le kilo. Depuis, grâce à la volonté de trois ou quatre gros raffineurs, les Say, les Le- baudy. les S'aumier, il est monte à 65 70. 75. 80 centimes ; il est aujourd'hui 'u 155 centimes, -et lei production de la betterave a 101/j011.3 été .suffisante. Ce qui prouve bien que l'augmenta- fion est due seulement à l'accapare- ment et it la spéculation, c'est, que les actions de la maison Say. fpll valaient 10-t francs. il y a quatre ans, dépassent aujourd'hui 300 francs. trest donc bion les huit sous que -;- silcionl iln plu«, presgne journello- i. portemonnaie, qui sont - grossir les coffres-forts do la tenigs-là, les cultiva- ' bel let-as-es erevent de faim sur i-eir terre comme les éleveurs du Li- ni-ibis erevent de faim sur leur pâtu- rage ci los riers de 51M. Say, Le- baudy rt Snurnier gagnent 8 fr. 25, e fr. :50 et ld fr. 75 par jour. Pour le vin, le leit, la bière, c'est exactement la Même Chose. Toujours le capitalisme s'interpose entre le prilducteur et le consommateur et poètes e sa Mune formidable. ;Vous admettrez bien, paysans, mes fréres de misère. que cette question dé- Passé de beaucoup toutes les questions politiques philosophiques On confession »elles dont les bourgeois TOUS roba. tehent les oreilles depuis si longtemps. let si vous Voulez netléChir un peu, liions admettrez encore avec Moi. que 'Votre misère, oyant ses causas dans le rente eapitaliste, durera aussi long- , emps nue, ce régime -exécrable et que s -ri aveu plus {M'Une Cllille à fern c'est de venir noce nous étudier les meitlei ru moyensen emPlaYar Pane mots Fbers.r du monstre qui nous affa- me en Minant les divisions et les hai- nes parmi nous. Pierre NORANGE ÉCHOS PREVISIONS. Roger Pecon avait prévu, il y a quelque sept rente ans; l'apparition des voitures automobiles et 'nombre .d'atuttes déeouvertes merveilleuses. Oto lit, en effet, dons son livre c De l'ad...able pouvoir de l'art et de la nateru n «Ou fabriqueos des instruments pour amigo, sans le secours des rameurs et foire voguer les plus males valeseame aveu un seuil lamante pour les conduire t « des voitures qui nouJeront m'es une vitesse Minniginable 0,5i5 .uun attelage » ; use instnumente pour volet, ou unilim &empale l'homme, amie, fera mouroir quelque ressort qui .mettra en branle des ailes artifioielless t ily aura un appareil peur nameher au fond de n mer et Ms Ileums, sans sumo thiager ; des inetrumeneo pour tester E011e . des ponts sur les rivint rets, sans pilm 01 eolon.es ; enfin, toutes sortes de mg...talques et Ota,pautnis merveillen-no. n creot lo ose de earbir encore le vieil adage t « Bien de maman seam lts LES DICTONS DIT PAYSAN. eatiermue, us mois de mars venteux, des semaines pluvieuses eu avili et en mai, des après- miel radientu en juin, promettent au laboureur mue butane soupe poum l'an-tomme. rn Normandie, mai fraie, juin chaud, amènent le p.in et le vin en Mondanee. En Lorraine, juin pluriel,a videra selliers et g,nlers Etu Beauce, la roullle de juin fait le dbsespoir dee motoscaments et la pémirle du gui. En Anjou, ln pluie pendant le mois de juin donne chétif foin et belle avoine. En Touraine, le seigle mm beau et le freinent Sound si mal est humide e5 jMu trOs &sud. En Provence, le sin sen de ton et 10 raisin tOis &a si mai n'a point d'oranges et ,juls C.es dieterls aéuii,Ss amènenont-ils le pain O bon marche r DEE MACHINE À SIGNER C'est d'Amérlipm. naturellement, que nous vient la première. Le signegraphe o est hosente. 010 somunie, tst supptice de 15 signale., familier au. honnues d'alite-ms cl sastowt nue minisiles, au. casse. d'eau:sten. Grace a nouvel appareil, un Américain ne vieuen1 pas de donner 11.000 signatures eu huit homes thirsioàttiioueauuaasanon,ssootonuaie 014 battu par un de ses convents...a Co Yan- kee, portieulerement pmetsé, amuit degré 1.000 plOgs en lt.4 minutes. leu e signegraphe n est toues avec une grande inemieelté Our une table, 16 on 2A mea/plu- mes à. réserve', sont usés eus met.ts d'un ea. Me dont les tiges sont reliées à un porte-paume moniteur ; ton, mouvement dro ee dernier est ré pilM par les 15 ou 20 pertmplatmes. On comprend quo ee proe410" permette de gagne- du temps. Quant 0 lire à cette vitam ee que l'on signe, Clos entendu n'en est même question... A PROPOS DE LA R. 3011 Angagneur et Breton °ondule-eut leurs troupes à l'amant. co suit vraiment les gila' ému. de dielsion du Cous exagérons. Ce ne sont que dm agents de ditaielom LES SEPT MERVEILLES DE" MONDE MODERNE bu Seetion de démit, de PIInimersité de Conseil (Etats-Unia) vient de désigner comme étant lm sept mervelbles do monde madame la tilLégr. phie sans fil. In chimie amatie:tique, le radium, les antitoxines, les aéroplanes, le Canal de Panama et le tOleghote. Jamais un plts bel hommage n'teutu été, rends à lu Prmte et à ses savants, puisque sis de eus dilmervertes géniales sont dame a des Prameals; à OhanOs 00 Lesselos, on droit, en effet, le canal de Pansu.; A Moulât., Ader et Chanute, les aéroplanes; A Pasteur, les antitoxines A Curle ot Becquerel, le radulm; A Bethelot, lu ebilitic synthétique; A Pranlic, is télégraphie mas fil. Seul te tillilphone, imenté par Edison, est une conquête américain. ha « Jeune Republique » Diable ! entre nous, vous savez, je crois que ça va mai. J'ai eu l'occasion de vous <lire déjà et à plUSieUrS repris., que le nombre de Ligues, group., direles et -partis politiques, se Mul- tipliait de si inquiétante façon qu'il devait etre plus considérable que le nombre des citoyens mommernes. Or, voici qu'une nouvelle phalange do hé- ros s'organise pour sauver à son tour la Patrie et la République. Cette phalange ne sera pas un parti, ni un groupe ; pas mime un intergroupe, puisqu'il est interdit à ses membres d'adhérer à une autre organisation politique. Ce sera une Ligue. Et cetto ligue ne sera pas dma une musette, puisque ce sera la u Ligue de ia Jeune Répubtique tt I Tout simplement ! Qu'est-ce à dire ?Seuls, les jeunes gens y seront-ils admis ? Pas le moins du monde. Les vieillards s'y pore-vont réfugier. La Ligue, si je l'entends hies, mond ce nom promet- tour parce qu'elle veut sans doute rajeunir la République. Et le fondateur ? C'est le fmdateur du tt Sil-lunisme » en personne, M. tâta.. Saeznier. IT son organe ? Gest l'organe même de M. àlm-tc Sagnier et clos,, sillonistes » u La Dértioeratie ». Mattendant pas, nous dit le tt socialiste chrétien », dans son journal d'aujourcrlaii, n'attendant pas l'hypothét.ique minstitution d'un u parti nouveau » mus fondons la Li- gue de la Jeune République g Enfoncés, .AntomIli, Cagniard, Ponsot et compagnie ! Pendant 'ancres pionniers du u parti de la Démocratie Sociale » se cha- maillent pour faire entrer dans une formule générale duo principua et des idées contra- dictoires, pondant que /es radicaux cher- chent la manière de prolonger leur. agonie, nos socialistes du pupe, tout d'un coup, après avoir jeté l'anathème sur les fraum-ina- çons et tt les libertaires d'action directe », appellent tt la foule des honnêtes gens » et sliardent bataillon de ceux qui ont confiance le (rie- en notra patrie » autour d'un promaanne qu'ils prétende,lt sans équivoque. e programme est délayé au cours du quatre Momies mlonnes "de la-- Démocra- tie Le volet fidèlement résume en quinze lignes. Partie politique Législation protteotrice dm travailleurs et surtout des ouvrières en confection. Développer le crédit urbain 51 10 contrat collectif du travail. Statut des fonc- tionnaire, et refonto de l'organisation admi- nistrative. Collaboration des instituteurs et des piges de famille dans les oeuvres post- molaires. Deinneratisation de l'armée. Im- paf, sur le reVerel sans tesations arbitrai- res et vanatoir. c. Représentation propor- tionnelle. Partie économique : Détourner le syudi.- lierne des politiciens et d. violents. Proté- ger les producteurs et. les comonmateurs de ramai-animent par la coopération. Ad- mission (et cc point est évidemment le plus intéressant du programme)? admimn io côté de la propriété priver Mune tt propriété commune appartenant aux travailleurs ma- nuels ou intell.tuels Mun même atelier » aussi dame propriété Mffiat limitée aux seules entreprism d'un intiffiét général a. Partie morale t butte .ntre ealcoelierne, la pornographie citas jeux de hasard. Res- pect, a non pou des idées philosophiques, quand nous les croyons fausses, mais de la loyauté de eeux qui I. prefessent Liberté de l'Enseignement. Pas de loi qui puisse blesser la conscience des croyants sincères e. Realigation d'économie, tout en travaillant au développement de notre empire colonial. et de st la plus grande France g Aveu ce bagage, qu'ils jugent suffisant pour nous faire voir ce qu'ils sont et ce qu'ils veulent, les acolytes de Marc Sagenier se flattent d'avoir plus de hardiesse que les radic.aux, et de tt comprendre l'ampleur mo- rale du problème démocratique » mieux que les socialistes unifiés. - Ce qu'il y a de plus hardi là-dedans, ce sont surtout les prétentions. Et il est de notre devoir d'examiner si elles ne sont pas exhorhitantes, en pesant le nouveau programme aven la même impar- tialité que nous avons déjà mis à juger u le mythes du parti nouveau. Léon In/DELLE. Les Grèves en Belgique Trente et une grèves nouvell. intéressant 244 établissements environ 14.150 grévistes et L/00 chômeurs >forcés. ont été signalées l'Office du Travail pendant le mois d'avril dernier ; de Mus, ta grèves déclaré0i anté- rieurement intéressent 57 établissements, itn ?ffml 0u0glifivintes e chinneuns forcés, se sont mantinuées tout ou partie du même mois. Le total des conflits avant existé pen- dant cette pér.iode s'élève lune- au nombre de 42 ayant intéressé 810 établissements et 18.900 ouvriers environ Quatre pâme nommaes ont eu le carac- tère de conflits collectifs, compromat des ouvriers do ,plusieurs établissements ; une d'entre, elles, it Hamme, a même réuni des grévistes appartenant d des industries diffé- rentes : cordie., tisserands, teinturiers et amidonniers. Si l'on fait "abstraction do cette dernière, Ion trente autres grives d'avril se répartis- sent comme suit entre /es groupes d'indus- tries buis,/ ; emstruntion, 6 ; métaux, 4 textile-s, 4 ;.mines, 3 ; carrières, 2 ; mir, Il trananorts, 1; brossiers, 1 ; trieurs de chif- fons, L Vingt-quatre grèves ont eu pour but rang mentation des salaires, soit exclusivement (10 cas), soit comuremment avec d'autres revendications, toiles que la réintégration d'ouvriers congédiés ; deux, le retrait. a- mendes ; une, le renvoi d'un oontremaître une enfin. l'établissement MUn tarif do sa- laires uniformes pour les divers ateliers de l'agglomération Des trent, grèves dont l'issue a été ren- seignée depuis notre-dernier releyé men- suel, 53 intéressant 3220 grévistes environ ont échoué ;leur eanee a été accompagné, Cons deux ms, de renvois d'ouvriers TV et dalla quatre cm de départs volontaires d'ou- vriers (45) ; onze grèves intéressant 7.820 grévistes environ, ont ranssi partiellement; teois, intéressant 118 ouvriers, ont obtenu un succès complet. Trois, enfin, inter.sant 1.630 ouvriers environ, ont été terminées par transaction La répartition territoriale des grèves nou- velles d'avril est la suivante : Flandre orien- tale, e; Brabant, 8 ; provin. d'Anvers. 5 ; et trois dans chacune des provinces de Hai- naut, Liège et Flandre. mandent:atm BAVARDAGES Le Nouveau Prince dos Poètes Mardi soir, dans une brasserie située rus loin da bal Bullier, fut élit le nouveau Prince des Poêles. Des hommes angoras, dont la toison pendait sur leurs épaules, s'étaient tassés autour des ta- de marbre of< les demis pareetient dans des flaques asmime. Ils avaient pour la Muer/ k type rbeilnall, figtme lame, bouffie et prosaïque qui contrastait avec le taris.ur de lems grands cheeen.t. Oestre compagnes aux yeux céruléens et me dents énormes étaient coiffées de cano- tiers ou de pansa-ms qu'égayaient i.e noeuds de eldffons. Tont relu baragouinait le belge, le quis- se, le danois; le hollandais. C'étaient les poêtes frànçats clai dernier bateau. Mun d'entre eus, plus chevelu que les galles, brun comme un seigneur de ',cloaques, maigre, la criniere en bandeaux. sur les oreilles petite mou...lm noire, Verts notes, cravate no6re fai- sant trois fois le tour d'un col floué 5 uts Gmbot, un poêle ele puttuoes fanares, chiOt de table en tom, et serrait les nudns (mutiles. 001011 M. Paul Port qui soignait sa popularité. sur le catp rie mue heures, par mi escalier en eolanamb, on monta dars iiné salie du premier auge. Oh homme gras el chauve se hissa mir ne table. Celait M. Rayère, «pecten,. d, 10 Phalange. Il demanda ponegm, il Cigm m. 0, mi cria Piles-nous quel est te Prince tee Poiles DaueeMent, aime Un aie adorablemene ahuri, il réponde A la Phalange NAIS avons fait plébiscite. Presque (me les su,ffnmes se sont rentes sue le. nom de Pend Fart. Il atout« sans po/nesse , Cela nous a beaucoup 0ue7tris. n hurla Vive Paul Fort I vive Paul Port, prince des poêles Et voila comment fat consacré te nouveau sou- "tem,. On sa pent-êtee tire ses sers mainteniud wea porte ta couronne, Paris, 211 jum. Je Mens de contempler dans sa gloire le politicien devmu député et c'était un spec- tacle infiniment instructif. J'avais, nomme tout le monde, entendu raconter bien deo choses sur Certains Mus d'arrondiSSement, mais je me demandais si l'on n'exagérait pas quelque peu. On n'exagérait point du tout- Voici ce que j'ai vu. Une petite ville des environs de Paris élan en fête concours divers, présenee du fre- fet et d'un sons-préfet, du député de l'ar- rondissement., dcl sapeurs-pompiers, anee musiques, pétards, mien tout ce qui contri- t:ab à donner un peu de charme et MintémIt à la vie humaine, si décolorée_ Il y avett mem, une °corse en sme ! Toute mon attention se portait sur le dé- puté. C'est un boanue entre deux âges, in- telligent dit-on, effronté, très remuant, doué on elligé d'une grande twill. d'elmmtion (quand 11 int:ermite à la Chambre, on opte Pour : afffigs6), COMMatur et passionnément davoué au scrutin dlareondiesernent, dont il manie magistralement le mccanisme. Je ne le perdais pas de vue. Tout dans sa personne, dans ses gag., dans mn regard, révélait l'homme pnioccupé de maintenir tout prix son crédit électoral. Le chapeau sur l'oreille, le plastron barré d'un ruban tricolore, l'oie brillant d'une ruse à laquelle se tablait art peu d'inquiétude, il se plaçait toujours en pleine évidence sur les estrades. aux eoncours, dans les dédiés, saluant sale trûve tout le monde è la ronde. Il parla ; il laissa fluer de ses lèvres toutes les banalités lamentables et sonores auxquel_ les les électeurs sent habitues, et dont ils ne semblent pas sentir le caractère ignomi- nieux. Mats voici ce qui me parut sans prix. La journée tirant à sa fin, le legisluteur allait repartir, le demi-dira allait disparaî- tre dam son nuage, c'est à ne moment su- prême que les sollieiteurs allaient surgir de Isoles parts, s'abattre sur lui, s'efforcer de lui arraeber de nouvelbs promesses. Pour se rendre à. la gare, il avait à traverser une place a.. vaste ; M'est là que se joua Pacte le plus amusant de la comédie. Les sollici- teurs attendaient l'homme à tout faire, M guettant, bien résolus à le happer au pas- sage. Suant et soufflant, il allait de l'un a /t'autre, distribuant des sourires fraternels et d'effet:tueuse poignées de main. Je n'en- tendais pas m qu'il disait, mais Metait si fa- Mie a pénétrer 1 Votre affaire est en bonne voie; j'en ai reparlé hier an ministm ; je dois le revoir ces jours-ci. Comptez sur moi. Je vous promet, de vous écrire avant la fin du mois ; il faudra bien que ça se fasse. Le garde des sceaux résiste, omis jr ne le lâcherai pas tant qu'il no se sera pas exé- cuté. Tout le monde va bien, oh. vous I Na Me reparleu pas de ça, eest. ; je n'ai rien oublié; ralliement., il lalit un peu de patieneC, les demandeS sont si nombreuses I Parfois, il pmaail à part un des quéman- deurs, lui parlait à l'oreille en mettant sa main devant ses lèvres en de prévenir ré- vaporation d'une précieff confidence. Certains électeurs manifestaient du con- tentement.; d'autres insistaient Mun air mu- oieux. 11 rassurait nos derniers du geste et de la voix. 11 en eut autour de lui d. tau- salue-e; il en sortait de toutes les portes. Sans so laisser troubler, il faisait face, il faisait Me, répondant à chacun d'eux, fa- milier, oordial, infatigable et péremptoire. De temps 4 autre il tirait de sa poche quel- que papier qu'il montrait rapidement aux plus pressants de se.s interimuteurs, comme on exhibe des dmuments jmtificatifs, des preuves devant lesquelles il n'y a qu'à am- ener. TI le brandis.it un instant Otto re- plongeait dans son habit. Comment douter 40 11 réalité de ses efforts et On d'ereeerutitenert'oIlois sans nombre, dos s.ours, des remises Ma- menties, des libérations conditionnelle, des chemins vieinaux des augmentations d'ap- pointements, des avancements de classe, des ordonnances de mn-lieu, des congés pour certains soldats, et rentrée de certains au- tres dans les services auxiliaires ; des ru- bans violets et des rubans use-1,; dur chan- Pas d'énervement ! 11 me semble que, dans range des ins- crits, le ministien est en train de commettre des fautes dont les conséquences peuvent êtp: graves et qu'avec un peu de sang-froid on éviterait.. Le gouvernement annonce qu'il va mettre 1m marins de men, bord des paquebots pour assurer les transports. Je pourrais demander de quel droit lits vertu de quel principe est-ou autorisé h suppri- mer ainsi en fait le droit de grève â toute une corporation ? Ce sont des précédents redoutables. .Mais, me plaçant au point de sur Même des gouvernants, j'ai le droit de dire Quel rat donc h, péril imminent qui à Murs yeux peut justifier cette mesure es- ta.. e Le peuple anglais a eu à subir des mimes dos chemins de fer, geûves dos dee ka, gi.linves d. mines, qui mena- çaient la vie sconOrnimic et MS appreMision- nemenIs mêmes du 1M/di:terre bien plus gravement que la grà,e des inscrits ne me- nace la vie de la France. Les &Mes anglai- ses ont été tangues et Formes; et elles se sont résolues enfin sans qu'à moue moment le gouVernenient anglais ait eu recours soit â un arte de militarisation soit à l'emploi de la main-d'uvre militaire. Qu'on n'al- lègue pas que lu Emme manque babil Si cela est vrai, la responsabilité segait ter- rible de ceux qui malgré les avertisse- ments répétés do nos ams ramaient laissée ainsi dénuée de toute réserve, livrée à la merci du moindre ideident et d'une greve de quelques 'jours à, peine, et aux eombinai- sons des spéculateurs. Mais ce triste prétexte, avec lequel on a essayé ilês l'origine d'aces- ..bler la grève des inscrits, ne vaut pas. Le gements de résidence, des délais pour le paiement des impôts ; sous nase, tout coqui concerne son état de dÉfputé earrondisse- ment. La scène était à la fois bouffonne et na- vrante: On sentait que le législateur exténué pous- serait un ouf 1501500e dès qu'il se trouve- rait hors de porbée de tom ces .saillants qui, pour la plupart, étaient ses dupes. Le fonction de députe considérée sous Oct as- pect est quelque chose d'aftligemt. Quel métier ! J'ai senti ce jour-là, plus vivement que jamais, la nécessité de préser- ver la France du scrutin d'arrondissement, aucun autre système électoral ne Poutmut favoriser mmme 0e151-1h la démoralisation et l'abaissement des caractères. An-ronge/a des maîtres de danse qui vient do clore ses travaux, il a été dit des choses bonnes à .remeilltim On a montré que le tmnPs etait venu d'ennoblir la chorégraphie mon- daine par les <la.00 de style. Un des pro- fessent, a eu le murage civil de déclarer que 1m clansm actuelles ne sont qu'un amu- sement grossier, déuM de tout sens artisti- que. Il est vrai. . Depuis qu'une chorégraphie étrangère est venue appeler notre attention sur lu beauté des attitudes, sur la grâce si noble des- dan- ses renouvelées des Crecs, comme te jeu de 1101e, on ne peut se défendre de tenir peur ridicules les polkas, le quadrille, la danse de l'ours et même la valso.dont la princi- pale justificatim, si l'on peut ainsi dire, est d'être un reinammable agent de corruption la val. impudique, selon le mot de Mussets Il est permis en outre de co.idérer ces dames-là pommades exereices de gymnasti_ que. J'ai connu un valseur qui pouvait tour- ner sur lui-même pendant toute une soirée en changoant de valseuse, il va sans dire. Cet exercice forcené Malt, pour quelquru amateurs, un sujet ll'aidmirabon et d'estime. :Mais il y eut roieux moere. b un Italien, nommé., s'il Men souvient bien, Cortini, vint proposer aux Parisiens un match de valse ! L'épreuve eut lieu en pulolic, dans une des plus' grandes salles de Paris, Cortini valsa pendant quatorze heures, à raison de dix- huit valseuses par heure, ce qui représente /e total impressionnant de deux man cin- quante deux valses.. Quand, prmsé par la laina. il réclamait quotque nourriture, on la lui tendait à la volée, et il l'absorbait en valsant. Pour etensher na soif, il buvait en valsapt. Et ayant beaucoup bu, s'il éprou- vait le besoin contabire, on lui présentait le petit meuble familier, qu'il saisissait par son anse et qtril rendait après en avoir fait usage avec une m'Oservo du meilleur goût, Ses concurrents, soumis comme lui aux irrépressibles exigences de la sature, suivi- rent plus ou moins habilement sun exemple. Enfin, Malien triompha. Si l'os me de- mandait quelle Mait Putillite de ce mach de rota j tion, e répondrais qu'il n'en présentait aucune, ce quiest le propre de hien des épreuv. sportiVt. Je me garderai d'oublier PhéroMme pianiste accompagnateur de Cortini, qui pia- nota aussi longtemps que tourna le tour- neur. Quatome heures de pianotage sans interruption, einquantooquatre valses 4. la i file 1 Quand l avait joué la einquante-qua- trième, Firsfortune reommençait la premiè- re, et ainsi de suite, de manière que l'on pût croire que M'était une même intermina- ble valse qui déroulait ses anneaux, dont Dieu sedl savait le nomibre, et qu'on aurait pu nommer- : la Valse de Mufti I On ne saurait trop louer les maîtres de danse quand ils annoneent lem dessein de recommander un retour aux danses tt styli- sées La pavane, le gracieux menuet, los dans greuques et orientalev peuvent four- nir de previeuses indications. 51 s'agit de créer une chorégraphie nou- vel/1a avou ou sans l'imitation des anciennes, et de substituer aux sauteries ridicules ces pas d'une -élégante et noble harmonie, que Théophile Gautier nommait des alexandrins La difficulté est grande, mais non insur- montaffie. Albert ROBERT, gouvernement fait dire aileiellement que rapprovisionnement est normal, qu'en tout cas il serait aisé de faim venir par voie de terre des blés étrangers débarqués b An- vers. Enfln les inscrits seraient les premiers 4 prêter leurs bons offices pour le trans- port du blé, car lis n'ont jamais sone, pour faire valoir leum revendmationa, à affamer le peuple de Franc,. DM lors le conflit qui s'est produit n'at- teint aucun :inter« vital; et les mesures moceptiomelles et extra-légales qu'on an- nonce seraient sans excuse. Elles n'auraient d'autre effet. que d'aigrir les meurs, d'exas- pérer le conflit et de prolonger la mise. Toute aellon impatiente et énervée serait d'autant plus factieuse seinble bien qu'il n'y a pas d'obstacle insurmontable â la solution amiable du conflit. Le p.mluverne- ment a sagement agi on proposantigarbitra- ite, mais pourquoi désespérerait-fi de /e fai- re accepter ? Pourquoi se rebuterait-il a. des difficultés premières qui n'apparaissent point h/30111111PS O Au fond les inscrits ont 100051550 l'arbitrage. C'est ainsi qu'a été in- terprétée Mur repoese dans les milieux ou- vriers Et hier matin /es organes syndicalis- tels old opposé l'aceeptation de l'arbitrage par les inscrits b rintraiffigennee dos arma- teurs 11 Mt vrai que les ouvriers, dont la défiance a été .jmternent éveillée par la vice Saison d'une sentence arbitrale antérieure. ont accompagne leur réponse d'une réseme dont /es Compag,nies se sont emparées en en forç.ant ct dénaturant le sens. Mais il n'y a Men dans les formul..dont ils se sont servis qui permette de mettre en doute leur volonté de se prêter o la procédu- re arbitrale et aux /6'0.a/ores tie concilia- steite 25 JUIN 1912 D ITION8 RÉGIOnALFS tentieiÉr,seeliÉSNTALEs, KVErreow,CORILÊn,eANTAL, 1.07.1.-GARONNE, .118,1.07,1:MuTES.eVRÊRÉ., .5SEs-lenÉld.6S, L.MES, TAraierr-GARONNE, Ante:, ARIÊGH, A.11.14, 11.2E-cARONrel eouLoUsn q..t/ en seraient sans doute e meiReaa prélude. En tout cas il y a là matière à ex- plications et négociations. Et, d'autre part, il est impossible sue ar- mateuu, étant donnée une des clauses mê- mes de leur contrat, de s'opposer vraiment: ê, l'arbitrage. 51 11 dépend du gouvernement quo l'exemple d'une des Compagnies de na- vigation soit suivi par les autres. Co serait donc, pour le gouvmmement, une lourde faute de renoncer aux demaroheu et négociations en vue de la conciliation et de l'arbitrage et de se jeter dans une politique arbitraire et dangereuse qui ne pourrait qu'aggraver ia crise. JEAN JAMIE& La Drève des Muta LE COMITE NATIONAL DES INSCRITS Paris, 24 juin. Les membres du comité national des ins- crits maritimes s'est réuni, ce matin, rue de la Grane-Bateliûre. Après avoir pris connaissance des cour-. Mers parvenus des Tb:Récents ports, ils ont procédé â. un écimage de vues sur Msitztai lion faite aux inscrits par 1. minpagnies. Les délégués assisteront probablenmpt à la réunion du comité de la C. G. T. demairt soir. UNE RESOLUTION DU COMITE NAT/ONAL Le Comité National a communiqué dans la soirée lapés:indien suivante 1, Comité national des inmrits mariti- mes, en réponse aux interprétations données ar ores. relativement à la proposition Marbitrage du conflit maritime agitai faite pasr le gouvannement, croit devoir rétablir Ie faits en quelques mots II déclare qu'a la proposition du gouver- nement, il a répondu par une pro-position qui s'inspirait du désir de résoudre le con- ait à l'amiable. II ou jamais pense que les tenues de cette. proposition ne pouvaient en sten êtrel modifiés, li a voulu, us contrat.: eilVrir dut moyens de conciliation et de zu4ociation. Il s'étonne qu'au lieu (rentrer en dis- mission s.v.. Mi su tt r ce sujet, o s'en em- pare pour justifier une aituden patronale intramigeante et équivoque Le Comité National. LA 'SITUATION GENERALE Paris, 24 juan. La journée d'hier Ma amené sumolbe dé, tente ; la situation dans los ports est la même. Les paquebots ne partent pas. A MARSEILLE Tons en grève A la fin de la réunion /M'ils ont tenue hier après-midi, à la Bourse du travail, les ouvriers dockers ont adopté un ordeh du hm, approuvant en principe le boyeottae des navires armés par des marins de final et déclarant s'en remettre à Murs conseils syndicaux respect:U.1:mm examiner la pos- sibilité d'une entente commune avec /es erfts maritimes. L'assemblée a également voté un arbre da joar de protestation contre l'arrestation du citoyen Molinari De lem oôté, les premiers-maîtres, eapi- laines d'armes et premiers chauffeurs, mu- nis au aine de leur syndiest, ont adopté l'ordre du -jour suivant L. capitaines d'armes, elmrpentlers et, premiers chauffeurs, regrettant de ne pas avoir suivi 10 mauvemmt de grève ti Son origine, s'engagent mettre sac à terre, dès aujourd'hui, porno faire mme tonmettne avec leurs camarades inscrits L'ARRET DU TRAVAIL EST COMPLET Le travail est infime sur les quais. 600 dockers chôment ; 200 charrettera chôment également ; 66 sont désarmés. 64 maîtres marins de l'Etdt, sous le e,om- mandement diva enseigne de vaisseau sont arrivés hier soir. ILs ont Mn einbarquês sur b u Carthage de la Compagnie Générale Transatlantique qui appareillera ce soir pour Alger, emportant MO saes de dépêches et 400 tonnes de marchandises. Demain le Yaniono a partira pour Ajac- cio. Le Punta venant de t'Amérique du Sud, est arrivé hier soir. Il devait repartir de- main pour Gênes afin d'y laisser 350 ita- liens, mais au dernier moment l'équipage a mis sac b terre. Les matelots seront pour- suivis pour désertion par les autorités ma- ritimes. Les 350 passagers italiens seront dirigés sur Gênes par chemin de fer. Sont entres es matin dans le post : Le s, Sidi-lbrahim venmt .trOcan ; le Calvados a pli' Ilémult a venant d'Alger; la « Stout/mis e, venant d'Alger; m Salut- Hélène », venant de Sfax I le y Maine s et le Wiibinm s venant des Phrlippines, MANIFESTATION A CETTE Cette, 2.1 juin. La grève est presque générale au port de Cette. Parmi les mécaniciens et chatiAleurs de remorqueurs, une quarantaine Mmes ne se sont pas rendus b leur poste et 150 pê- cheurs des bateaux-Meurs se sont joints au mouvement, Les bateaux sont restés aies. rés. A l'issue de deux réunienu tenues à la Bourse du travail les gréeLstes, drageaus .ouge.s noies en tête, se sont rendus de- vant le bureau maritime. La manifestation s'esl dérouleé dans le plus grand calme.. DANS LE PORT DE DUNKERQUE Dunkerque, 24 juin. Les grévistes sont ires ratines et ne se li- vrent b aucune manifestation sur le port. Les mupes communistes comme.. fonetionner et déjà une cinquantaine de marins y sont inscrits. Le vapeur AmiralLaurégniberry a qui devait quitter Dunkerque au)ourd'hui est immobilisé. Les marins ont décidé de mettre sac â lente. Une réunion a eu lieu, ce matin. if la Bourse du te-avait, Les inscrits y assistaient en grand nombre, A LA C. G. T. Paris, 24 juin. Nous croyons savoir quo le comité none.- cléral sera convoqué extraordimirement de- main mardi, pour délibérer sur la grève des inscrits maritimes. beg Doulters de Londres LA GREVE CONTINUE L. grévistes des dindes ont tenu hier une iniportante réunion à Hyde Park. Parmi lee assistants un reamiqualt grand nombre de femmes et d'enfants. Le principal orateur de la réunion. Gus- 510g, a engagé les ouvriers h maintenir leo revendietele, de 1011,8 droits. Des résolutions dans ce sens ont été ve hies d l'unanimité.. Dans le Prolétariat CHEZ LES INSCRITS Ils lElllarailit jusqu'au haut LETTRE DE PARIS En 171e,nant... de ci, de Les malheurs d'un député Les exploits d'un danseur Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Anotter. re

Ft':io'e 5 fr. 10 fr. 20 fr. NIPS CI.ALO/LlitSÉtrmer 9 fr. 1Sfr. 36 M.,

t.:rivolegili .tMeNti.. ei-lei,-------...............,.

ADig, riusruierlotg. \, e MÉDACITION

\ 36, Rue, Roquelaine

TOLlhOUSEtaxiissaamosreragar 043

Misera PaysanneTous ires politiciens bourgeois et plus

particulièrement les radicaux, quands adressent aux paysans ont Phabi-

fi. du le dire que l'idéal social est encorep lui du polit propriétaire terrien quitrimait te pour lui en restant maître deson produit.

Si parfois la misère s'abat sur tescampagnes, la faute en fat aux ouvriersdes si/les qui, par triera mouvementsrésolutiOnnaires, jettent dans la sociétédes troubles qui sont surtout préjudi-ciables aux paysans.

data n'est plus faux cependant.D'abord les petits propriétaires ter-

riens, s'ils sont la majorité en tantqu'individus, ne possèdent pas la plusgrande surface du territoire français otor qu'a bien voulu leur laisser le capita-lisme, e'est la partie la moins fertile dusol, la plus dure à uvrer et la plus in-grate.

Ensuite, quand les Ouvriers 'des vil-les, par leur action de: classe obtien-nent da nouveaux moyens d'existence,ils augmentent leur force de consom-mation ei comme ils consomment prin-cipale/MM du pain, île la viande, dusucre. du lait, du vin et de la bière, ilsouvrent ainsi des voies plus larges àl'écouleMent des produits des petitspropriétaires agrieoles.

Si les paysans ne profitent pas de laconsommation accrue dans les villes,c'est qu'il y a d-es causes indépendantesdo leur volonté et de celle de mues frn-

s en misère, les ouvriers.m vérité est que les paysa, nomme

an moyen-âge, plus même qu'au tempsde /a féodalité. paient des dilues écru-sautes an. Capitalisme.

C'est /a Seille muse de leur misère.dien effet. pour le blé, par exemple,

deux grands accapareurs, MNI. Sagita-Maria et Baumann. sont maîtres abso-

s du marché du blé.Après avoir raflé tonte la production

du hie, en le payant 25 ou 27 francs lequintal, ils en établissent eux-mêmesle prix de vente dans cette taverne devoleurs qui s'appelle la Bourse du rom-,

croc de Paris, et ce produit de pre-mière nécessite passe successivementr28 it 29 et plus dc 01 francs le quin-

tal sens que les bénéfices scandaleuxainsi réalisés sans Vu, ail, aillent grill-air d'un ce/Ointe le petit pécule du pro-ducteur.

lEt il ne faut pas que messieurs lesaceapareurs nous disent que s'ils agis-sent ainsi, C'est qu'ils y sont pomsespar la rareté du produit et la demandeconsidérable.

La consonimation annuell.e de laFrance en blé est de 94 millions dequi n taux.

:L'année 191t qui fut plutôt une mau-vaise année a produit, France et Algé-rie (toutes régions qui ne supportentpas la taxe douanière), 96 millions deplus qu'il n'en faut pour assurer la con-sommation Srançaise.

C'est donc au seul jeu de l'accapare-Ment et do la spéculation qu'est duet'augmentation du prix du blé et par-tant ths. pain et des pâtes alimentairesses dém. industriels.

Il en est de même de la viande.CR sont les représentunts des gros

négociants do la Villette qui sont maî-tres du marche du bétail et tous les pe-tits ideveurs sont obligés de passer sousles !Otite/lel canettes des regralliersChevilleurs parisiens.

Pour le sucre, Minn. phénomène d'ocparement et -de spéculation.il y a einq ans, après la suppression

des pereliS ii YeXpOrteti011, le sucreélit tonna, 1 ft,. 10 à lt Ir. 55 le kilo.

Depuis, grâce à la volonté de trois ouquatre gros raffineurs, les Say, les Le-baudy. les S'aumier, il est monte à 6570. 75. 80 centimes ; il est aujourd'hui'u 155 centimes, -et lei production de labetterave a 101/j011.3 été .suffisante.

Ce qui prouve bien que l'augmenta-fion est due seulement à l'accapare-ment et it la spéculation, c'est, que lesactions de la maison Say. fpll valaient10-t francs. il y a quatre ans, dépassentaujourd'hui 300 francs.

trest donc bion les huit sous que-;- silcionl iln plu«, presgne journello-

i. portemonnaie, qui sont- grossir les coffres-forts do la

tenigs-là, les cultiva-' bel let-as-es erevent de faim suri-eir terre comme les éleveurs du Li-ni-ibis erevent de faim sur leur pâtu-rage ci los riers de 51M. Say, Le-baudy rt Snurnier gagnent 8 fr. 25,e fr. :50 et ld fr. 75 par jour.

Pour le vin, le leit, la bière, c'estexactement la Même Chose.

Toujours le capitalisme s'interposeentre le prilducteur et le consommateuret poètes e sa Mune formidable.

;Vous admettrez bien, paysans, mesfréres de misère. que cette question dé-Passé de beaucoup toutes les questionspolitiques philosophiques On confession»elles dont les bourgeois TOUS roba.tehent les oreilles depuis si longtemps.

let si vous Voulez netléChir un peu,liions admettrez encore avec Moi. que'Votre misère, oyant ses causas dans lerente eapitaliste, durera aussi long-

, emps nue, ce régime -exécrable et ques -ri aveu plus {M'Une Cllille à fern

c'est de venir noce nous étudier lesmeitlei ru moyensen emPlaYar Panemots Fbers.r du monstre qui nous affa-me en Minant les divisions et les hai-nes parmi nous.

Pierre NORANGE

ÉCHOSPREVISIONS.

Roger Pecon avait prévu, il y a quelque septrente ans; l'apparition des voitures automobileset 'nombre .d'atuttes déeouvertes merveilleuses. Otolit, en effet, dons son livre c De l'ad...ablepouvoir de l'art et de la nateru n

«Ou fabriqueos des instruments pour amigo,sans le secours des rameurs et foire voguer lesplus males valeseame aveu un seuil lamante pourles conduire t « des voitures qui nouJeront m'esune vitesse Minniginable 0,5i5 .uun attelage » ;use instnumente pour volet, ou unilim &empalel'homme, amie, fera mouroir quelque ressort qui.mettra en branle des ailes artifioielless t ily auraun appareil peur nameher au fond de n mer etMs Ileums, sans sumo thiager ; des inetrumeneopour tester E011e . des ponts sur les rivintrets, sans pilm 01 eolon.es ; enfin, toutes sortesde mg...talques et Ota,pautnis merveillen-no. n

creot lo ose de earbir encore le vieil adage t« Bien de maman seam lts

LES DICTONS DIT PAYSAN.eatiermue, us mois de mars venteux, des

semaines pluvieuses eu avili et en mai, des après-miel radientu en juin, promettent au laboureurmue butane soupe poum l'an-tomme.

rn Normandie, mai fraie, juin chaud, amènentle p.in et le vin en Mondanee.

En Lorraine, juin pluriel,a videra selliers etg,nlers

Etu Beauce, la roullle de juin fait le dbsespoirdee motoscaments et la pémirle du gui.

En Anjou, ln pluie pendant le mois de juindonne chétif foin et belle avoine.

En Touraine, le seigle mm beau et le freinentSound si mal est humide e5 jMu trOs &sud.

En Provence, le sin sen de ton et 10 raisintOis &a si mai n'a point d'oranges et ,juls

C.es dieterls aéuii,Ss amènenont-ils le pain O bonmarche r

DEE MACHINE À SIGNERC'est d'Amérlipm. naturellement, que nous vient

la première. Le signegraphe o est hosente. 010somunie, tst supptice de 15 signale., familier au.honnues d'alite-ms cl sastowt nue minisiles, au.casse. d'eau:sten.

Grace a nouvel appareil, un Américain nevieuen1 pas de donner 11.000 signatures eu huithomes thirsioàttiioueauuaasanon,ssootonuaie014 battu par un de ses convents...a Co Yan-kee, portieulerement pmetsé, amuit degré 1.000plOgs en lt.4 minutes.

leu e signegraphe n est toues avec une grandeinemieelté Our une table, 16 on 2A mea/plu-mes à. réserve', sont usés eus met.ts d'un ea.Me dont les tiges sont reliées à un porte-paumemoniteur ; ton, mouvement dro ee dernier est répilM par les 15 ou 20 pertmplatmes. On comprendquo ee proe410" permette de gagne- du temps.

Quant 0 lire à cette vitam ee que l'on signe,Clos entendu n'en est même question...

A PROPOS DE LA R.3011 Angagneur et Breton °ondule-eut leurs

troupes à l'amant. co suit vraiment les gila' ému.de dielsion du

Cous exagérons. Ce ne sont que dm agentsde ditaielom

LES SEPT MERVEILLESDE" MONDE MODERNE

bu Seetion de démit, de PIInimersité de Conseil(Etats-Unia) vient de désigner comme étant lmsept mervelbles do monde madame la tilLégr.phie sans fil. In chimie amatie:tique, le radium, lesantitoxines, les aéroplanes, le Canal de Panama etle tOleghote.

Jamais un plts bel hommage n'teutu été, rendsà lu Prmte et à ses savants, puisque sis de eusdilmervertes géniales sont dame a des Prameals; àOhanOs 00 Lesselos, on droit, en effet, le canal dePansu.;

A Moulât., Ader et Chanute, les aéroplanes;A Pasteur, les antitoxinesA Curle ot Becquerel, le radulm;A Bethelot, lu ebilitic synthétique;A Pranlic, is télégraphie mas fil.Seul te tillilphone, imenté par Edison, est une

conquête américain.

ha « Jeune Republique »

Diable ! entre nous, vous savez, je croisque ça va mai.

J'ai eu l'occasion de vous <lire déjà et àplUSieUrS repris., que le nombre de Ligues,group., direles et -partis politiques, se Mul-tipliait de si inquiétante façon qu'il devaitetre plus considérable que le nombre descitoyens mommernes.

Or, voici qu'une nouvelle phalange do hé-ros s'organise pour sauver à son tour laPatrie et la République.

Cette phalange ne sera pas un parti, ni ungroupe ; pas mime un intergroupe, puisqu'ilest interdit à ses membres d'adhérer à uneautre organisation politique. Ce sera uneLigue. Et cetto ligue ne sera pas dma unemusette, puisque ce sera la u Ligue de iaJeune Répubtique tt I

Tout simplement !Qu'est-ce à dire ?Seuls, les jeunes gens y

seront-ils admis ? Pas le moins du monde.Les vieillards s'y pore-vont réfugier. La Ligue,si je l'entends hies, mond ce nom promet-tour parce qu'elle veut sans doute rajeunirla République.

Et le fondateur ? C'est le fmdateur dutt Sil-lunisme » en personne, M. tâta.. Saeznier.

IT son organe ? Gest l'organe même de M.àlm-tc Sagnier et clos,, sillonistes » u LaDértioeratie ».

Mattendant pas, nous dit le tt socialistechrétien », dans son journal d'aujourcrlaii,

n'attendant pas l'hypothét.ique minstitutiond'un u parti nouveau » mus fondons la Li-gue de la Jeune République g

Enfoncés, .AntomIli, Cagniard, Ponsot etcompagnie ! Pendant 'ancres pionniers duu parti de la Démocratie Sociale » se cha-maillent pour faire entrer dans une formulegénérale duo principua et des idées contra-dictoires, pondant que /es radicaux cher-chent la manière de prolonger leur. agonie,nos socialistes du pupe, tout d'un coup, aprèsavoir jeté l'anathème sur les fraum-ina-çons et tt les libertaires d'action directe »,appellent tt la foule des honnêtes gens » etsliardent bataillon de ceux qui ont confiance

le (rie-

en notra patrie » autour d'un promaannequ'ils prétende,lt sans équivoque.

e programme est délayé au cours duquatre Momies mlonnes "de la-- Démocra-tie Le volet fidèlement résume en quinzelignes.

Partie politique Législation protteotricedm travailleurs et surtout des ouvrières enconfection. Développer le crédit urbain 51 10contrat collectif du travail. Statut des fonc-tionnaire, et refonto de l'organisation admi-nistrative. Collaboration des instituteurs etdes piges de famille dans les oeuvres post-molaires. Deinneratisation de l'armée. Im-paf, sur le reVerel sans tesations arbitrai-res et vanatoir. c. Représentation propor-tionnelle.

Partie économique : Détourner le syudi.-lierne des politiciens et d. violents. Proté-ger les producteurs et. les comonmateursde ramai-animent par la coopération. Ad-mission (et cc point est évidemment le plusintéressant du programme)? admimniocôté de la propriété priver Mune tt propriétécommune appartenant aux travailleurs ma-nuels ou intell.tuels Mun même atelier »aussi dame propriété Mffiat limitée auxseules entreprism d'un intiffiét général a.

Partie morale t butte .ntre ealcoelierne,la pornographie citas jeux de hasard. Res-pect, a non pou des idées philosophiques,quand nous les croyons fausses, mais de laloyauté de eeux qui I. prefessent

Liberté de l'Enseignement. Pas deloi qui puisse blesser la conscience descroyants sincères e. Realigation d'économie,tout en travaillant au développement denotre empire colonial. et de st la plus grandeFrance g

Aveu ce bagage, qu'ils jugent suffisantpour nous faire voir ce qu'ils sont et cequ'ils veulent, les acolytes de Marc Sagenierse flattent d'avoir plus de hardiesse que lesradic.aux, et de tt comprendre l'ampleur mo-rale du problème démocratique » mieux queles socialistes unifiés. -

Ce qu'il y a de plus hardi là-dedans, cesont surtout les prétentions.

Et il est de notre devoir d'examiner sielles ne sont pas exhorhitantes, en pesant lenouveau programme aven la même impar-tialité que nous avons déjà mis à juger u lemythes du parti nouveau.

Léon In/DELLE.

Les Grèves en Belgique

Trente et une grèves nouvell. intéressant244 établissements environ 14.150 grévisteset L/00 chômeurs >forcés. ont été signaléesl'Office du Travail pendant le mois d'avrildernier ; de Mus, ta grèves déclaré0i anté-rieurement intéressent 57 établissements, itn?ffml 0u0glifivintes e chinneuns forcés,se sont mantinuées tout ou partie du mêmemois. Le total des conflits avant existé pen-dant cette pér.iode s'élève lune- au nombrede 42 ayant intéressé 810 établissements et18.900 ouvriers environ

Quatre pâme nommaes ont eu le carac-tère de conflits collectifs, compromat desouvriers do ,plusieurs établissements ; uned'entre, elles, it Hamme, a même réuni desgrévistes appartenant d des industries diffé-rentes : cordie., tisserands, teinturiers etamidonniers.

Si l'on fait "abstraction do cette dernière,Ion trente autres grives d'avril se répartis-sent comme suit entre /es groupes d'indus-tries buis,/ ; emstruntion, 6 ; métaux, 4textile-s, 4 ;.mines, 3 ; carrières, 2 ; mir, Iltrananorts, 1; brossiers, 1 ; trieurs de chif-fons, L

Vingt-quatre grèves ont eu pour but rangmentation des salaires, soit exclusivement(10 cas), soit comuremment avec d'autresrevendications, toiles que la réintégrationd'ouvriers congédiés ; deux, le retrait. a-mendes ; une, le renvoi d'un oontremaîtreune enfin. l'établissement MUn tarif do sa-laires uniformes pour les divers ateliers del'agglomération

Des trent, grèves dont l'issue a été ren-seignée depuis notre-dernier releyé men-suel, 53 intéressant 3220 grévistes environont échoué ;leur eanee a été accompagné,Cons deux ms, de renvois d'ouvriers TV etdalla quatre cm de départs volontaires d'ou-vriers (45) ; onze grèves intéressant 7.820grévistes environ, ont ranssi partiellement;teois, intéressant 118 ouvriers, ont obtenuun succès complet. Trois, enfin, inter.sant1.630 ouvriers environ, ont été terminées partransaction

La répartition territoriale des grèves nou-velles d'avril est la suivante : Flandre orien-tale, e; Brabant, 8 ; provin. d'Anvers. 5 ;et trois dans chacune des provinces de Hai-naut, Liège et Flandre. mandent:atm

BAVARDAGES

Le Nouveau Prince dos PoètesMardi soir, dans une brasserie située rus loin

da bal Bullier, fut élit le nouveau Prince desPoêles.

Des hommes angoras, dont la toison pendaitsur leurs épaules, s'étaient tassés autour des ta-

de marbre of< les demis pareetient dans desflaques asmime. Ils avaient pour la Muer/ ktype rbeilnall, figtme lame, bouffie et prosaïquequi contrastait avec le taris.ur de lems grandscheeen.t. Oestre compagnes aux yeux céruléenset me dents énormes étaient coiffées de cano-tiers ou de pansa-ms qu'égayaient i.e noeuds deeldffons. Tont relu baragouinait le belge, le quis-se, le danois; le hollandais. C'étaient les poêtesfrànçats clai dernier bateau.

Mun d'entre eus, plus chevelu que les galles,brun comme un seigneur de ',cloaques, maigre,la criniere en bandeaux. sur les oreilles petitemou...lm noire, Verts notes, cravate no6re fai-sant trois fois le tour d'un col floué 5 uts Gmbot,un poêle ele puttuoes fanares, chiOt de table entom, et serrait les nudns (mutiles. 001011 M.Paul Port qui soignait sa popularité.

sur le catp rie mue heures, par mi escalier eneolanamb, on monta dars iiné salie du premierauge. Oh homme gras el chauve se hissa mirne table. Celait M. Rayère, «pecten,. d, 10

Phalange. Il demanda ponegm, il Cigm m. 0, micria

Piles-nous quel est te Prince tee PoilesDaueeMent, aime Un aie adorablemene ahuri,

il répondeA la Phalange NAIS avons fait plébiscite.

Presque (me les su,ffnmes se sont rentes sue le.nom de Pend Fart.

Il atout« sans po/nesse, Cela nous a beaucoup 0ue7tris.

n hurlaVive Paul Fort I vive Paul Port, prince des

poêlesEt voila comment fat consacré te nouveau sou-

"tem,.On sa pent-êtee tire ses sers mainteniud wea

porte ta couronne,

Paris, 211 jum.Je Mens de contempler dans sa gloire le

politicien devmu député et c'était un spec-tacle infiniment instructif. J'avais, nommetout le monde, entendu raconter bien deochoses sur Certains Mus d'arrondiSSement,mais je me demandais si l'on n'exagérait pasquelque peu. On n'exagérait point du tout-

Voici ce que j'ai vu.Une petite ville des environs de Paris élan

en fête concours divers, présenee du fre-fet et d'un sons-préfet, du député de l'ar-rondissement., dcl sapeurs-pompiers, aneemusiques, pétards, mien tout ce qui contri-t:ab à donner un peu de charme et MintémItà la vie humaine, si décolorée_

Il y avett mem, une °corse en sme !Toute mon attention se portait sur le dé-

puté. C'est un boanue entre deux âges, in-telligent dit-on, effronté, très remuant, douéon elligé d'une grande twill. d'elmmtion(quand 11 int:ermite à la Chambre, on optePour : afffigs6), COMMatur et passionnémentdavoué au scrutin dlareondiesernent, dont ilmanie magistralement le mccanisme.

Je ne le perdais pas de vue. Tout dans sapersonne, dans ses gag., dans mn regard,révélait l'homme pnioccupé de maintenirtout prix son crédit électoral. Le chapeausur l'oreille, le plastron barré d'un rubantricolore, l'oie brillant d'une ruse à laquellese tablait art peu d'inquiétude, il se plaçaittoujours en pleine évidence sur les estrades.aux eoncours, dans les dédiés, saluant saletrûve tout le monde è la ronde.

Il parla ; il laissa fluer de ses lèvres toutesles banalités lamentables et sonores auxquel_les les électeurs sent habitues, et dont ils nesemblent pas sentir le caractère ignomi-nieux.

Mats voici ce qui me parut sans prix.La journée tirant à sa fin, le legisluteur

allait repartir, le demi-dira allait disparaî-tre dam son nuage, c'est à ne moment su-prême que les sollieiteurs allaient surgir deIsoles parts, s'abattre sur lui, s'efforcer delui arraeber de nouvelbs promesses. Pourse rendre à. la gare, il avait à traverser uneplace a.. vaste ; M'est là que se joua Pactele plus amusant de la comédie. Les sollici-teurs attendaient l'homme à tout faire, Mguettant, bien résolus à le happer au pas-sage. Suant et soufflant, il allait de l'un a/t'autre, distribuant des sourires fraternelset d'effet:tueuse poignées de main. Je n'en-tendais pas m qu'il disait, mais Metait si fa-Mie a pénétrer 1

Votre affaire est en bonne voie; j'en aireparlé hier an ministm ; je dois le revoirces jours-ci. Comptez sur moi.

Je vous promet, de vous écrire avant lafin du mois ; il faudra bien que ça se fasse.Le garde des sceaux résiste, omis jr ne lelâcherai pas tant qu'il no se sera pas exé-cuté.

Tout le monde va bien, oh. vous I NaMe reparleu pas de ça, eest. ; je n'airien oublié; ralliement., il lalit un peu depatieneC, les demandeS sont si nombreuses I

Parfois, il pmaail à part un des quéman-deurs, lui parlait à l'oreille en mettant samain devant ses lèvres en de prévenir ré-vaporation d'une précieff confidence.

Certains électeurs manifestaient du con-tentement.; d'autres insistaient Mun air mu-oieux. 11 rassurait nos derniers du geste etde la voix. 11 en eut autour de lui d. tau-salue-e; il en sortait de toutes les portes.Sans so laisser troubler, il faisait face, ilfaisait Me, répondant à chacun d'eux, fa-milier, oordial, infatigable et péremptoire.De temps 4 autre il tirait de sa poche quel-que papier qu'il montrait rapidement auxplus pressants de se.s interimuteurs, commeon exhibe des dmuments jmtificatifs, despreuves devant lesquelles il n'y a qu'à am-ener. TI le brandis.it un instant Otto re-plongeait dans son habit.

Comment douter 40 11 réalité de ses effortset

On d'ereeerutitenert'oIloissans nombre, dos s.ours, des remises Ma-menties, des libérations conditionnelle, deschemins vieinaux des augmentations d'ap-pointements, des avancements de classe, desordonnances de mn-lieu, des congés pourcertains soldats, et rentrée de certains au-tres dans les services auxiliaires ; des ru-bans violets et des rubans use-1,; dur chan-

Pas d'énervement !11 me semble que, dans range des ins-

crits, le ministien est en train de commettredes fautes dont les conséquences peuventêtp: graves et qu'avec un peu de sang-froidon éviterait.. Le gouvernement annonce qu'ilva mettre 1m marins de men, bord despaquebots pour assurer les transports. Jepourrais demander de quel droit lits vertude quel principe est-ou autorisé h suppri-mer ainsi en fait le droit de grève â touteune corporation ? Ce sont des précédentsredoutables. .Mais, me plaçant au point desur Même des gouvernants, j'ai le droit dedire Quel rat donc h, péril imminent quià Murs yeux peut justifier cette mesure es-ta.. e Le peuple anglais a eu à subir des

mimes dos chemins de fer, geûvesdos dee ka, gi.linves d. mines, qui mena-çaient la vie sconOrnimic et MS appreMision-nemenIs mêmes du 1M/di:terre bien plusgravement que la grà,e des inscrits ne me-nace la vie de la France. Les &Mes anglai-ses ont été tangues et Formes; et elles sesont résolues enfin sans qu'à moue momentle gouVernenient anglais ait eu recours soitâ un arte de militarisation soit à l'emploide la main-d'uvre militaire. Qu'on n'al-lègue pas que lu Emme manque babilSi cela est vrai, la responsabilité segait ter-rible de ceux qui malgré les avertisse-ments répétés do nos ams ramaient laisséeainsi dénuée de toute réserve, livrée à lamerci du moindre ideident et d'une grevede quelques 'jours à, peine, et aux eombinai-sons des spéculateurs. Mais ce triste prétexte,avec lequel on a essayé ilês l'origine d'aces-

..bler la grève des inscrits, ne vaut pas. Le

gements de résidence, des délais pour lepaiement des impôts ; sous nase, tout coquiconcerne son état de dÉfputé earrondisse-ment.

La scène était à la fois bouffonne et na-vrante:

On sentait que le législateur exténué pous-serait un ouf 1501500e dès qu'il se trouve-rait hors de porbée de tom ces .saillantsqui, pour la plupart, étaient ses dupes. Lefonction de députe considérée sous Oct as-pect est quelque chose d'aftligemt.

Quel métier ! J'ai senti ce jour-là, plusvivement que jamais, la nécessité de préser-ver la France du scrutin d'arrondissement,aucun autre système électoral ne Poutmutfavoriser mmme 0e151-1h la démoralisationet l'abaissement des caractères.

An-ronge/a des maîtres de danse qui vientdo clore ses travaux, il a été dit des chosesbonnes à .remeilltim On a montré que le tmnPsetait venu d'ennoblir la chorégraphie mon-daine par les <la.00 de style. Un des pro-fessent, a eu le murage civil de déclarerque 1m clansm actuelles ne sont qu'un amu-sement grossier, déuM de tout sens artisti-que.

Il est vrai.. Depuis qu'une chorégraphie étrangère est

venue appeler notre attention sur lu beautédes attitudes, sur la grâce si noble des- dan-ses renouvelées des Crecs, comme te jeu de1101e, on ne peut se défendre de tenir peurridicules les polkas, le quadrille, la dansede l'ours et même la valso.dont la princi-pale justificatim, si l'on peut ainsi dire, estd'être un reinammable agent de corruptionla val. impudique, selon le mot de MussetsIl est permis en outre de co.idérer cesdames-là pommades exereices de gymnasti_que. J'ai connu un valseur qui pouvait tour-ner sur lui-même pendant toute une soiréeen changoant de valseuse, il va sans dire.Cet exercice forcené Malt, pour quelquruamateurs, un sujet ll'aidmirabon et d'estime.

:Mais il y eut roieux moere. b un Italien,nommé., s'il Men souvient bien, Cortini, vintproposer aux Parisiens un match de valse !L'épreuve eut lieu en pulolic, dans une desplus' grandes salles de Paris, Cortini valsapendant quatorze heures, à raison de dix-huit valseuses par heure, ce qui représente/e total impressionnant de deux man cin-quante deux valses.. Quand, prmsé par lalaina. il réclamait quotque nourriture, on lalui tendait à la volée, et il l'absorbait envalsant. Pour etensher na soif, il buvait envalsapt. Et ayant beaucoup bu, s'il éprou-vait le besoin contabire, on lui présentait lepetit meuble familier, qu'il saisissait parson anse et qtril rendait après en avoir faitusage avec une m'Oservo du meilleur goût,

Ses concurrents, soumis comme lui auxirrépressibles exigences de la sature, suivi-rent plus ou moins habilement sun exemple.

Enfin, Malien triompha. Si l'os me de-mandait quelle Mait Putillite de ce mach derota jtion, e répondrais qu'il n'en présentaitaucune, ce quiest le propre de hien desépreuv. sportiVt.

Je me garderai d'oublier PhéroMmepianiste accompagnateur de Cortini, qui pia-nota aussi longtemps que tourna le tour-neur. Quatome heures de pianotage sansinterruption, einquantooquatre valses 4. la

ifile 1 Quand l avait joué la einquante-qua-trième, Firsfortune reommençait la premiè-re, et ainsi de suite, de manière que l'onpût croire que M'était une même intermina-ble valse qui déroulait ses anneaux, dontDieu sedl savait le nomibre, et qu'on auraitpu nommer- : la Valse de Mufti I

On ne saurait trop louer les maîtres dedanse quand ils annoneent lem dessein derecommander un retour aux danses tt styli-sées La pavane, le gracieux menuet, losdans greuques et orientalev peuvent four-nir de previeuses indications.

51 s'agit de créer une chorégraphie nou-vel/1a avou ou sans l'imitation des anciennes,et de substituer aux sauteries ridicules cespas d'une -élégante et noble harmonie, queThéophile Gautier nommait des alexandrins

La difficulté est grande, mais non insur-montaffie.

Albert ROBERT,

gouvernement fait dire aileiellement querapprovisionnement est normal, qu'en toutcas il serait aisé de faim venir par voie deterre des blés étrangers débarqués b An-vers. Enfln les inscrits seraient les premiers4 prêter leurs bons offices pour le trans-port du blé, car lis n'ont jamais sone, pourfaire valoir leum revendmationa, à affamerle peuple de Franc,.

DM lors le conflit qui s'est produit n'at-teint aucun :inter« vital; et les mesuresmoceptiomelles et extra-légales qu'on an-nonce seraient sans excuse. Elles n'auraientd'autre effet. que d'aigrir les meurs, d'exas-pérer le conflit et de prolonger la mise.

Toute aellon impatiente et énervée seraitd'autant plus factieuse seinble bienqu'il n'y a pas d'obstacle insurmontable âla solution amiable du conflit. Le p.mluverne-ment a sagement agi on proposantigarbitra-ite, mais pourquoi désespérerait-fi de /e fai-re accepter ? Pourquoi se rebuterait-il a. desdifficultés premières qui n'apparaissentpoint h/30111111PS O Au fond les inscrits ont100051550 l'arbitrage. C'est ainsi qu'a été in-terprétée Mur repoese dans les milieux ou-vriers Et hier matin /es organes syndicalis-tels old opposé l'aceeptation de l'arbitragepar les inscrits b rintraiffigennee dos arma-teurs 11 Mt vrai que les ouvriers, dont ladéfiance a été .jmternent éveillée par la viceSaison d'une sentence arbitrale antérieure.ont accompagne leur réponse d'une résemedont /es Compag,nies se sont emparées en enforç.ant ct dénaturant le sens.

Mais il n'y a Men dans les formul..dontils se sont servis qui permette de mettre endoute leur volonté de se prêter o la procédu-re arbitrale et aux /6'0.a/ores tie concilia-

steite 25 JUIN 1912

D ITION8 RÉGIOnALFS

tentieiÉr,seeliÉSNTALEs,KVErreow,CORILÊn,eANTAL,

1.07.1.-GARONNE,

.118,1.07,1:MuTES.eVRÊRÉ.,.5SEs-lenÉld.6S,

L.MES, TAraierr-GARONNE,Ante:, ARIÊGH,

A.11.14, 11.2E-cARONreleouLoUsn

q..t/ en seraient sans doute e meiReaaprélude. En tout cas il y a là matière à ex-plications et négociations.

Et, d'autre part, il est impossible sue ar-mateuu, étant donnée une des clauses mê-mes de leur contrat, de s'opposer vraiment:ê, l'arbitrage. 51 11 dépend du gouvernementquo l'exemple d'une des Compagnies de na-vigation soit suivi par les autres.

Co serait donc, pour le gouvmmement, unelourde faute de renoncer aux demaroheu etnégociations en vue de la conciliation et del'arbitrage et de se jeter dans une politiquearbitraire et dangereuse qui ne pourraitqu'aggraver ia crise.

JEAN JAMIE&

La Drève des MutaLE COMITE NATIONAL DES INSCRITS

Paris, 24 juin.Les membres du comité national des ins-

crits maritimes s'est réuni, ce matin, rue dela Grane-Bateliûre.

Après avoir pris connaissance des cour-.Mers parvenus des Tb:Récents ports, ils ontprocédé â. un écimage de vues sur Msitztailion faite aux inscrits par 1. minpagnies.

Les délégués assisteront probablenmpt àla réunion du comité de la C. G. T. demairtsoir.UNE RESOLUTION DU COMITE NAT/ONAL

Le Comité National a communiqué dans lasoirée lapés:indien suivante

1, Comité national des inmrits mariti-mes, en réponse aux interprétations données

ar ores. relativement à la propositionMarbitrage du conflit maritime agitai faitepasr le gouvannement, croit devoir rétablirIe faits en quelques mots

II déclare qu'a la proposition du gouver-nement, il a répondu par une pro-positionqui s'inspirait du désir de résoudre le con-ait à l'amiable.

II ou jamais pense que les tenues decette. proposition ne pouvaient en sten êtrelmodifiés,

li a voulu, us contrat.: eilVrir dutmoyens de conciliation et de zu4ociation.

Il s'étonne qu'au lieu (rentrer en dis-mission s.v.. Mi su

ttr ce sujet, o s'en em-

pare pour justifier une aituden patronaleintramigeante et équivoque

Le Comité National.

LA 'SITUATION GENERALEParis, 24 juan.

La journée d'hier Ma amené sumolbe dé,tente ; la situation dans los ports est lamême. Les paquebots ne partent pas.

A MARSEILLETons en grève

A la fin de la réunion /M'ils ont tenuehier après-midi, à la Bourse du travail, lesouvriers dockers ont adopté un ordeh duhm, approuvant en principe le boyeottaedes navires armés par des marins de finalet déclarant s'en remettre à Murs conseilssyndicaux respect:U.1:mm examiner la pos-sibilité d'une entente commune avec /eserfts maritimes.

L'assemblée a également voté un arbre dajoar de protestation contre l'arrestation ducitoyen Molinari

De lem oôté, les premiers-maîtres, eapi-laines d'armes et premiers chauffeurs, mu-nis au aine de leur syndiest, ont adoptél'ordre du -jour suivant

L. capitaines d'armes, elmrpentlers et,premiers chauffeurs, regrettant de ne pasavoir suivi 10 mauvemmt de grève ti Sonorigine, s'engagent mettre sac à terre, dèsaujourd'hui, porno faire mme tonmettneavec leurs camarades inscrits

L'ARRET DU TRAVAIL EST COMPLETLe travail est infime sur les quais.600 dockers chôment ; 200 charrettera

chôment également ; 66 sont désarmés.64 maîtres marins de l'Etdt, sous le e,om-

mandement diva enseigne de vaisseau sontarrivés hier soir. ILs ont Mn einbarquês surb u Carthage de la Compagnie GénéraleTransatlantique qui appareillera ce soirpour Alger, emportant MO saes de dépêcheset 400 tonnes de marchandises.

Demain le Yaniono a partira pour Ajac-cio.

Le Punta venant de t'Amérique du Sud,est arrivé hier soir. Il devait repartir de-main pour Gênes afin d'y laisser 350 ita-liens, mais au dernier moment l'équipage amis sac b terre. Les matelots seront pour-suivis pour désertion par les autorités ma-ritimes.

Les 350 passagers italiens seront dirigéssur Gênes par chemin de fer.

Sont entres es matin dans le post :Le s, Sidi-lbrahim venmt .trOcan ; leCalvados a pli' Ilémult a venant d'Alger;

la « Stout/mis e, venant d'Alger; m Salut-Hélène », venant de Sfax I le y Maine s etle Wiibinm s venant des Phrlippines,

MANIFESTATION A CETTE

Cette, 2.1 juin.La grève est presque générale au port de

Cette.Parmi les mécaniciens et chatiAleurs de

remorqueurs, une quarantaine Mmes nese sont pas rendus b leur poste et 150 pê-cheurs des bateaux-Meurs se sont joints aumouvement, Les bateaux sont restés aies.rés.

A l'issue de deux réunienu tenues à laBourse du travail les gréeLstes, drageaus.ouge.s noies en tête, se sont rendus de-vant le bureau maritime.

La manifestation s'esl dérouleé dans leplus grand calme..

DANS LE PORT DE DUNKERQUEDunkerque, 24 juin.

Les grévistes sont ires ratines et ne se li-vrent b aucune manifestation sur le port.

Les mupes communistes comme..fonetionner et déjà une cinquantaine demarins y sont inscrits.

Le vapeur AmiralLaurégniberry a quidevait quitter Dunkerque au)ourd'hui estimmobilisé. Les marins ont décidé de mettresac â lente.

Une réunion a eu lieu, ce matin. if laBourse du te-avait, Les inscrits y assistaienten grand nombre,

A LA C. G. T.Paris, 24 juin.

Nous croyons savoir quo le comité none.-cléral sera convoqué extraordimirement de-main mardi, pour délibérer sur la grève desinscrits maritimes.

beg Doulters de LondresLA GREVE CONTINUE

L. grévistes des dindes ont tenu hier uneiniportante réunion à Hyde Park.

Parmi lee assistants un reamiqualtgrand nombre de femmes et d'enfants.

Le principal orateur de la réunion. Gus-510g, a engagé les ouvriers h maintenir leorevendietele, de 1011,8 droits.

Des résolutions dans ce sens ont été vehies d l'unanimité..

Dans le Prolétariat

CHEZ LES INSCRITSIls lElllarailit jusqu'au haut

LETTRE DE PARIS

En 171e,nant... deci,

de

Les malheurs d'un député Les exploits d'un danseur

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: CI.ALO/LlitSimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101_MIDSOC_1912... · à la volonté de trois ou quatre gros raffineurs, les Say, les Le-baudy. les S'aumier, il est monte

La R. P. à la Chambre

t°aric, 14 joie.La eêavoe est snaonle te 2 h, et, sans ta

pa'dsielanao de M. Danahunol.Au bsxn du govvrcoomval MM, Palusart,

Fernand Dasd et lItais,Lu éllesm'bre valida eues début l'éleuliau

de M. Ger.daoal lsuia lus anpcend la auitt dela dsneuossnn eue la réforme éleutasale.

p55 EXfllBlllION INOPPPIeTUNELa parois est 'u (Cl. Molavialie use Fao-

baie petemior.Cent pnvr faire uns aoa.btrnaue car 10

droit nauslstutuuauel, fort mal lue d'aollosrssit par Cuite dénuée de fouir carie dintéedi,sur la itgaifsoatiah do la nnps'éurntutiau dustee4annrttds interprétée selon le dagvon tuais-t'ttatrO.

La deslsrastiva oct géat 'olo. Ou bavarde 'uhaute vain, tueuse daulinurt h nhague loisno le doputo do I' tjudn a In analrarnutreease

téta de mantes b lu tobuese.li otto l'npieuion do Il. Waldrois-itousneuual

su eesasr do catie da lei. Léan Bourgaaie quiassumait qne lv asseuties artnel tannait h tuasIra partis leur repréunutietisu.

tssio on bocarde h van si houle que cetteoitntien passe tus pre'ruO.

Ira léeeeaignngoa rsépalrliansua épiaiudsl'a'ratoser (an ressert k ue de luire sotte preuraquo la R. P. ah oui en a.l'tauiettaaarnt elmpartie tanche qu'alla eavartanra le granita-Usant d'iuttetts oariene'auife ev eue de fousreprdunntal.tan au rudement.

biais, sens, au sa 11 rappelle, est au sis-gssenenl de lei. Parai.

file na uoraieut par tee seule suélattil de laFi, K, du nseina M. Malaviulir l'aesno.e,-t-il;anuvi etten veut-an paa taro lus grands paysperlementairea.

Os'aratnur pauee en rasae l'Aapintierre, II-

Cette epumentntuon eu développe de lxerrte Cent langnesaunt,

Le bramhslbn va aussi grandissant; lb vota1neulaesr, dédis ulluiblia, y somiece tacet

K Pleurarde. ,,. Noue nvonu lette de vausqeir nerivor le vas a,onslneinnt.

Mata II. Isi.alaviallr fait la sonrda areilla.Il n'y u par h a'y enjeorendru, n'oot de l'abs-

trottines; uneei la nalic uc ttdu-t-rlbo.11501m, sur loua a une (ne, lei, MalaniutteuItfc la tribune ni cul. I°atnlevé (y cris-

M. Pa1ttevé daos e MardeagePI. Puinlas'é déclare qur Ir pattent psujnt

seest pus dv tant le projet t000uen soundlram,s ni quel lut pnettdrO do beaucoup ducuir du poemser peajct.Plaie cl u I eupuer des mcd,eionteusn; un as-

eiereee la lai eattior emo lange mujsrtté rée-

M.PainlenS. ,.. La dieèsiou got eviste eutrerépestellnolne, Sur cette i1onntïon, net un dan-ger; b eettr diviatan, I faut maltase le pluevite passible.

leNtS EIWMLSTIISNE SOny PAS RNtPUmLIfIAlitS

K Pelaient....de duel suce la tenter decenveraemeaet; (u vaudrais y sollaburor ceci

tsssi, esse ni je enta crapoelsnssualinto, jecessa aneet, et et'eisurd, républicain.

Le etneyee Tlseeses, ... Je ses eaeais puequ'il y ertuti antiesmnio outra isa deux epi-thèSes,

M. Pelaient, .,. Je ev pensas pas le Causa-Lame de I.e repréuesetetirs nepéides juoqo'hm'alétliqr b nette l.rosspn héttiocsble er pea-peritenesoltaira. (VIves esmie.cnatiann).

Je en vans pas m'aoaooasr à sons. qui pré.tendent qv,'nne.esl e'innns'eirn du ayethsassg'pmaedm mn (cana.?, la anruties n'était queval, qua fenende.

IsA DRFIINSE 15E L'ATaRONIIISSSM.ENTK Paisilset. -' Mn quel final-ii sluoo ose-

dossaosor tente maure dc. la ttiép.de.iqs.c doanu f tchpplauduesueaeut,s à

51 faut anvate rendre jushtaa as srreettné'arevneliasevauné.

Sfe5ieaetasul., s'il ananas lares et o'il paraituiejsserditseei ocndamué, il aie faut peu cherspar boa eépnblienien i'net laissé enterrerevsse pratrstnr rostre les calomnies dent unn risoralet h reouoblee, s ttiiepinudlsuomrnluh gunohe.)

corrouu tael PRO3E' OO1IVERNI}M(NTALfiston dtalm'at,tou laite, l'nratanr csamiae

te projet du gauvaexemeut; vel ceamen lutpessiaut sl'aétleaacr clv' 10 nystèmo untesot dvgaeeerrunmenl, ovea gerapeaeae.t deu déper-lamente et le eluattent permet dc donneraux nairenritét plus que...

M. Pstnaunê. ,,, Leur daunnat-unua plueque bon dû f

K Petsstsvé. ,,. flan I Jr ne r,neilrnle puevotes prtésl au peint ta suer de la strsol.reesPse penp.anbicnnaliats; te ma plauras

giaint de vur mojurilaine, 51 ja die que-antreprejnt sienne ass mtu.oritée pins que unleur ueeoedrsi le peojai voté eu permièsriuolueo. (Pile opplsodivuesienta ta guunho(.

M. Oentllre, ... (le 0001 poe nue truuuae-lieu qu' au nous atiperta n'est une aggrava-tien. (5,pgeleudirnrmrvtu h guoeleo).

La nlssyea Ilenunster. ... 'Taire objectiontenabr et reu fut ioorr roppanentement in-tondéportomenta l o'cst e,sénse aluna In non-traire qui en ira dut. u

CI. patenlavé mn ensuite an canne le pas-tissa adapté pur le gaceverurserni peur l'ai-teibulicu dru neutre; il est lolo ose, dut-si,eh la minenitut en teeuvrrn nainénsement la-

LA PRIME A LA MAJORITEM, pstnlevd. - Nous senne demandé la

p bi mj5t( °h) p

le eyuté're do l'sppaeuu ornent intrrdéparte-

MPoienaa'si - Crus qui le demandent Ssi-jeurd'leut l'ont enqonset; d'nillrnes, 'as ditque pour l'utilisation des rectos noue ge-lions prêta à taules les transactions oapa-ielne 51e rallier le pissa grand ssnnvhre de ré-pnbllonine; je l'ai dit r iaur même du dépôtdnMPeIevt do répète que, pour mnpart, je trouve daegreease ta prime h la mu-jorild uhealve es, rrl:stcvr'ane l'apparenteatone n il asecepin diverses madultoatiaus;et l'on prend psi r base de la réforme laeSter drpurtrnrnlal, te qaohsnt et latIn-butin-s sire restos nvar i'nppurentememl, ii yn des rlisnor5 pane qu'un nerard puasse sefoire centre rtpnblirnjsee.

M. Sseng. - Lare etc In première délitera-tian du poOjet. te generruenseul n enuleflutee tisasses nsadifleatsusu qua voue e'tinlsmazai, s'il y s finalement rnsnnnd, C'eut qu'il n'apas trouvé du aCté tee républisuns le son-eenre sor leqnei il minet, e iAppiaudie-

5ais.sé fuel ernhue'eveesi pur nette in'teev'eutien teèn applaudie. eau tira au pré-textant lus etesegemneli Irsjanelanteeuese_nus duos la situatian publique depuis eecderniers maie, et eemme ce propnt l'assèneà répéter une pedteernors pnur 'upparrvlr-nerni, vi, Miiilrneye t'interrompt.

M. Millsvepe - fInal un chien nopé quevaneappoetee te la tribune

lei. Psielesé terneise ts lvat-ee que le gaeserresmeet ne peeese pas

penvase fuira t'usine des sépebiiraine eurre peints que j'ai citais? 55e que noise ne

noubas pas, c'eut être hueniltés Noue enVuainrs peu eialeie as uepbee de shdntu"reanlamaliaaej... de le part d'ossu majurid

lei. Il leanialla na Cassera 51e nldicecle, -. Let. Pelsslnsosis défendlanp,aaeneent les habitants dus sssarihcagas

6e naniitino. )ttsui,'imatiuus,l Oui, as espècesa oleaalege élestorat. (Appbnudieveeusntet gaaebe.)

lei. Bessetet. - Aloro r'nst oena qui deoeessabir ae ulmntege,

INTERVENTIONS DIVIItSESM. Gions viieeet enesile déolarur qs'ti es-

inca ruetec i'netialu premier. (l'est stars urvisassent, Sen amsaein,aenln Cnla, Pavai at u..chies qai teuéeat à teasoher lu qesestlen sanirnusaareptisa éleulerale,

M, Asadrise. - Pane simpitgne, te eec rai'lie h l'aeucndrment Jnsal,

Vrie le teslu de l'omesde,nent Jnvals, Les membees de la Chambre naul gins

dseeu le nadra dsa dépantneesls astueis,Le ettoyen Oreessafusv - Puurepeoi vouloir

traseleor cotte qvrsltou h pnéseot et ne pasattredee l'nrtinla 2 quI lise la etrecnaseip-lion élergorale?

M. lavai. - liens soutes vanlu teacirberCette qsrsuieu dde's préanul parce qu'rlta

ON PASSE A L'ARTICLE IIn eltayen Senne, - MIs 1 bine, alara,

ubaedous paetiele 2.li no 551 ainsi dévidé.L',urtiela 2 est aieei'neçu e

La, eis'oaueeriptiav électorale ni suasit-tuée par le déeetrenrrt au pue un greupudépartcusoslut etolell sieivnul eu lob sou an'mena

L'ASIENDERIENT SAVALM. Javel u In pseole.Il lit nue déularattoe signée de quelqens-

nos do sus amio peur jsstiêee etea omeude-

M, Jsvsl, - litas rejetons l'arttole 2 pesoles sassuae tuisneaates u 1. lu grun aeaomt desdépaclansealo est une petmr h ts f aetteee;les eaadtdate pou lartunés ne pcsrroat aI-leteohu, pur lear prcpngsude, les papululiausrurales; 2. tes pelets départements 5051 on-arisés ans gesoadn; 3. 1er iesterOlu voppurotllodnneieeeroul Ire tetéréte gdoérssix; u. il lavacirera In prime aux istéréts partinulsene; 5.il vuostitaers une celcavo oouvelle k la ré-forma adinieielrstier.

f{uiro amendrineut u dune enlIa sigalû-oalien que taule réereve est fuite sur le ecu-loaueemest des groa dépuetementu, (OIsela-matisses ironiques.) Noue rejotnne, au seuilmémo du la mi, in eyetème oégioaal du peu'

.tsedoiaa. - Je visiteuse qu'on veudiinanisai-tuer su sléparlemcal vu gooupeeeaestrégional eue lequel vaut ménea pan été aen-unItés leu inléeresés et qui ,s'u d'astre jus-ttlicahau. d'seebo'e lendussent qseu Ire barealuols aritisaeéuiepenu.

Pie vn(t-ns pea o quel palot ecu caupesrenarbitreirra de edginesu. 0m casernements vin'lente nI enes rouas de pupulativas étrangè-res sdmieiutrntivoeneut leu nues sur autresvant peavequre des téveutue?

Asurèu le sisosues de lit. d.ndrtee, la auitede In egteucsion eut rruvét'ée h dasaudeapréu entai.

in néanra cxl Irere 'u é I,, tè.lééaene densain malin pane In budgcl.

ïPOkITIQtJLES INSCRITS MARITIMES

parus, Ii. (no.'Lv groupe des iss.'cila mariavos n'eal réerai

sana la p 'vûdoues du M, 5.oge;eO.Le pinnideus a renta uumpts de la démurabe

qui e éeé toits aotr'te du miudolre aies uuaveeepsn 1m nnpraues?onls dec ddporlreneatu marinmsu peur 1m demander su ooaOiia esaee'.-n'.ees1,05e asurer s'uuluratien des pmuiou, de no-

Ie malasec a ulula -é qn't suSses naus.Oluer lus-asedauirmssi, puer étudiee lu qsentuu, une mm-oiselas intsemisielnniulic et qao des quo le rap-poel lut esossi pae'souii. ii dtpooresll, d0auoetsinon le oilneuls'e do la s eOiue, 115 preine du lai

nu or que r,oseorna la senne dm senuciln mari-lunson, le preupe, tas au routa qea vans de aupeedsico astre 155 islaesmds si qsi mdc nue ngrasse sileiucnsv ,000'ése naunnmiipson dopaye, émet le veoo quels guuucroemeoi anotiasoI user fie dos55 mu onlueité peu- seivre a nuasisetruge Ci loi loed us psriuoa.LES RADICAUX VEIlLENT TRAVAILLER Il

races, pi jus.Le uraupe r.dioei nI rudioal-aaaialialo ils la

ai. P. a'esi eé,mi aulaura'lusi, nom la iortaidmande M, lucide Moello, eénatrsr.

Apria ses enaeacu de la oilualeoa asqual anapris part M5l. Msneine ibm hast, Poeeeamlenu.asse, 0.-L. Oorsial, trmaad Ohurpcoa'sr, tlsroduuxemqae, Lams Mailla, sa n destée qu'il yavat heu t' useuice peur que s Cesumbre oser-subi eass dtiaemps'm lu dlaonsntae de la ru-luesar, ae amen s se qse 10 lOi oegea,ssoa luu. e. mi voOn pst la Cbaaboo aulsi 15e i'a-oanons cia jaillel.

LES KtaRCSANDS DE TARAC5..AU CONSEIL MUNICIPAL

Parus, 04 1 sis,Le guape du dnlnesn 0m 1050es». des cons-

000ea-bse.etotes, aIras avoir oueeshiué sou hu-vaeusiae la qsosseo 50 t'tilgiblhtô des na-

oucunen salnlinlm ans oaot.one do maseilernes-u pal.

Le ercspe u dentela d'svsasdee luis S'use pie-maire aduoco.e, 1m eopréocotsila dos uasaoiatieuapeeeeeu,eauelles des nr000sues-hueahslus

LES R.B5eENSICATIOIIS SOIS VOYAGEURSSE COMMENCE

L'ne ddlagelaaa te la l'asdcaaun 0m vsystraesdo oamsnerm et de' i'smeu spsaioais, s"eveso paste ueanpe parlenvaislre qu nueespe do loaeaeiilci'lla, a duooundti 15 réforme de la la ruer luprud'boslde, lu ouppesesenu des palsniun, la rare-oiiv Os radiale 1,100 sue le anIse-coupe, la sup'pressas des olaimos esaceloanes sa enaieoes dcroepuvsals.i15 5m oaleOps'ism de trasupara, uts,

Le givapa o peamia do Illico vota' tau pmpo-(tenus de soi strIa ddpoauos alu eepeudrou h 0evra-arantaseum,

LEURS EEONO1eIIESLe gsuupa hippique trin ut,n,ebie 0m dspuléa.

acres avoe von oeesaivsunuq du preisl le lss5.gel de in suons resatisesoesl ans corso sf550-

à la causals Sa solos suualnsta es reeeatiaoique eco seOdita n peanalsai pour cale sassa11,0 5m augasmiteàns do 55 y anus Os pesamayes au altesse Cassons fui celas le sesadaple par le oanéioe liuspiqsr. Sains u. eeeeasedu na Jus esunani, al 5050m masS_1 n cm Iu't-adent M, u, l.aygsien, d'ialecue se aapees dugsussnieseunnl et 010 isa mmmser 'O Os houent,peur qus 0m nrédis sotsst eeles',-_ sIs lu ae,suuaearruspnadaesle h ussnsué,aes,e,iban 5e lue Ce,per Sole, mntoesaemsal une suas du croaTes as'copina poéuadeiomsni pai M, In aam.ulee Ce ta

ïojoursLel MASO0I p,sCP5lE s

Trogne, al pois.5,5 eslevas slouraud s no pelée. use la

gauche de 1155055e, 15 kiesiairen os aurd doTleia-reanubosn Ois en e-auoasee leu ressesai101o-oient.. peisseepass des nufuese. CSus-a u-001cOssu le lerealu qu'apcss usas oosas000e ueniooaeNoua asuee, ru trIos OslO. incas lassasse dose -dsaa alaises

L JllT 1ta10-Tll1lleL'ITAI.Ili PREPAP,E PlI DESARQUESeBIIT

Rame, 0-t (u e.On aehlve leu peéparaglu d'une naa0ea-v édition usulilsire,£'ainaadc-Osnqvapcurt du la marine mon-

elosnd050v( rncrret'én h Nnploe, d'uractr,'l'sipeli, ldrnglsaeu, Tolorsele nu lllsedm.

(loi vSfeoues pressent tesnuperlr,' es 55seul vupege 101go soldate,

Au asomeni ehoeue, cas vapeune enubarqor-nent drus dicieiens eu Itelie, deuv dteuesauson Airsqse si Issu bclgnde dnns l'Egéu ellesdôpnve'uol use an point fin auntinessl taeule la illedelerrsuéc

Le onnimaodeuseist du osa laoonc senneteaui'ed an général langui va,eataadasl le lurarpe daOmee.

EN VUS SE Lia PAIXRame, 24 job.Ou rot os gluénat d'necuert ci pose stln-

al,er use Oesude lespoelasire n010tivomenl àl'iesns do l, gseurre ilalo'torq,ee h le pru-ehatuc ,uuoovtre du Isa 'cl de I'empeecu'd Allemogase es te I euteeneae do II, PalaIs'(et dis loue.

A propoc de audio rslresue, 10 su lblc,vuogs'ces u In I ubueerec qise luthIste réenlun et'M. Sasrvob' nI i'siséliseetiuu des ertallunefeonou-ilsllrones readroat pion lanlie senaeoed entra la Pennée et In Russie es vuedo meltre du b la guserr.

La Cour au LanteuilPI 11150051 P,lit' 1,015505 usa ,'sOtiV+lS,u Pel,WPI

Psess, nu 10mLa part edpnbl,,.,lo 55005055 erS lc.se001uru,.

Oeeenirae divise ni éemu leeaçucs. oie Pissas Il0e teusre asipalsl d'sun iaagartaetr toasteS. qui,noes 's aefldslin du M, uuaoaeell va dermes' sauoavsan pnele.

êoela PhmusousasaA Isai pat oosae-sso il taelS sis luoeu'oouuan, cl

fol, 11050055f t anal litosé do, te loceeeeifle, li ram-parts u Iaslramlau fier lsmmeo se sulfago tieliti'quc Suis tous' l'Otesedua 4e 1 lapaIt que critssleu 50e ivaeedraessses 5e 00 55e psbitelue, laauppremeus Ou nelndaaecoeoisleara pour 5x50150-vren pdeiuinaaetlns, eeeul4adtnu taferam du lies-asileul 4510 ntpsnaqsss pur 15 saffrago uusvainel.taros'selon sine larde dnsomei'sasusunnievslmuSigiulnaaa aaobu lev ioessa,

Pan se pa'Ogruoiemo et aunai per ao doaoeuluh-5i0o do psi-e progeea' 50e le aaovuau parlaSa Iemdea à mix sanlo diulaeear du part stipula'-oan 01 ois parie damoo,ule. avec mea lsnlaaee bnappruslesn drue Seceuler,

QLPi PIOA Lu P5511 lureseadlséupl O51, nnossnoli, qm ueru pruolsosé, no asti cou-

damas du pnrh proéerm,nta par in rnnemiioa 510Srsssr. pourra ussséliOsae, dIco emo anriams eue'aune, 5m riselaaesr du parle ddelereaua, dont usasIoeaeiuu psesl se ralieev à 1m, de idlie ostos soccru abance'. qssl pseosmasnd 155cc aaeera 50500mudenunos, fraaollasuissssnuls lunapu,

La alliseRus, es délsmt.v0. us s5000na alusi e lesautillas du parle déissuesir. 011 ouosspe kusesrde les, lainer dos sate lionsasuoscé du nIa punit,ana nerla,nflnaeos ales su floua geassissesculs Ipas près é000m, l'us pams IiI, 'raIl, ranles passeM, Puoanoelt

bi au 555050e tunald no us Isol pan doue 15sala dia porn Plssrerate, 0115 usaenode 50 eau-qu'à 15 numeau, asses partecuns 0e lii, Paons es'tuanut d'uapior la ansotéseuen elsM, idegao,, Osus souci te M, Sepses.relslemt ilea005qstee reas déM, nousavaae uts eus rus buaéluotaui due sasse daara Imeaadrats,

lus Msi.Ttilt 1,110111' OtuS t.oe.useiSu tons aloI de eusse, relmiino de '5f, 'tuai 051

amen aérosoc,eensOI usmiu"o umi CIII rut duoleasquOI puisse rogsgaer e.m'o dc inrousexeer mv adoueeeslnO jasur msllrr 00 drues 11e aandsôat desu'Orair,

Grève è LisboipiieI,lsbaune, Pi jaIs.

11105 gebvu gdeiéeala u été déauteeds k 51-mado, fOsbessg hsdusaletel 010 Liehdune.

Sb.000 oosrtara seul uléjh casio IravaOu redauts usa guère gûnéesila 00es ales'

adas de flan.

Le Commerce extérieur

l°oe(e, di isis.las ansgebn nalinilol ram. 55 eldieune '51 le

déreluppomml da aomsnersr natéeleurs étéinnsegnré, oc oualuln, 515501e grand amplsllhcbtno du Conservatoire des arts et mottmurs,euso mu préuid055r de M. peedoosnd Duvid.atinsatre du aummaeoe

tan plupart duo (lhuuehem do 5005tuoron decdéperlusooeilo es leu shumbsns syadtnalosdousset rrpeé000téoe h 0e congrès ah lasso-ssaeque neicsl les doltgoéu de pleuseruisofhiiceaheso de nueamus-oe étrangères, pnrtsaei'librsiarnt de Gradue 51 Liàgn.

DeS dtaeduru sut été prunusr.éu psi' foLOburmro Lrgi'sosd, prilatoaat do 10 (tiuedursdn acmmeror do P55115 et le mfinietro du uammIse,

senlotoul. set après-midi,b un gardreu party -dnna leu jai'dtoe du mi-nistres di_ _esnsseror.

RnconrNioulon - OaiUsasea - Usurt tpeeouaeé)5101g d eerlassa broda, comme neco l'a-

vons ihtl ainsI mu ,'ulvuuaga du Midi, t! rai utnqso le 005e NleOlsa va oaunesntrer (Susllase-eno Il dune ire déhale do mois pruebs,in. le3 juibot pedciue-t os, au ooc,os d'un e croi-sière duos las enlls Ilulnsedoisos,

L'satuceatr or 0500001e- s onsoitr 550e leropeé500elaut de la nom ire aleule al allier, li.

dciii vicilco, ri rui'lasi I asdso etuosaInts cl 01(00 vaOl usoir lins. 5001 sien mais-gué oalasrellenseel sis' s'ieaeiter de nomblosxsouamrslaees duos 1m divers paie.

Ln prr500 bllmn000r attache biue seurna-1cc des tisas cmporosna sor ienpaelsnne pue.liossll'ltnr nI, quand eu sait aie' eescllo 1x005lu, jaueoaas d'eutee'Rloin sbéi,smrnt sus ma-dieatieea du pauvusr, il su paraIt pas 0100-tea.vqoe leu

rulièrOment uispaetunte.Le 'ait serInes, ira' que l-a eeaaoalse do

Osillnume et de Plieulse seul pers nue sim-ple uuort,ssele 005rtae 00 ses dusse unlrovoiriso, (semer Insu de in e-tIlts do tsar hpolodnsu dent le rtualIOl teèa u(mr lut nIenreenutisnuouvrle de 10 politique messvers i'Allonuugeo, 1m desn ueaveeutr,s oui'roat do seeebrnces aejele de eunves'sstton,

II y o deas ans; ils n'étoieSl mie d'noeordsur lu Perse 01 ln ohnmte de far do Bogdssil.dons qsretiaua qui se sont P00 ccc ocr ré.gltre. A nellec.ui vreit uOan adjointes bsee-coup d'autres m lu gsesttan méd.iiéesxndenead'oloued, qso la gunere itsbe-lucqno o ,Oéj'uuoulseeta 01 eue Iaoesief(e la Rassir cssodsssstbien greller asile des Déleoute; l'Allaoaa.esavos s'est méolofde desu l'Oriesk .40 séo'ieauinldrft.o et qui a aa amhiti005 pi'aprr,s, no05m11 psa Ikahée Sans daate dnouunalleeIra intseticaa ds sa voisine et psust'êls's desncolesre aves elle vs nuanshd, P y u assaila qumtios des armements dans la Bedftqiurpeur lesquels la Brama o vote nu uueavosiupsoorausose aaoal Il 'e u en'a,'r la que_liondes550laliOas aosteu-dseaeo il l'un ,soiooscslo(uP l'Allounsegnr dàei'eleo pPeOe.h

aasvelir ettsaaae outre 10e trotu 'm erredM50055, en itisis5uout du Trèpie EuSedis,

0,s issue de-na uae,s aliesrstslé 550e queami la Sitolahon gtuerala do Silos Ope qai voéter érersatés et quo peut-dIre, pins qu'àpsisdnm, la psiitiqus ensse re sera sériru-srsemut mod,Oee,

Cesl seslrs000si loeoqoe In lues cl 10 kuisernueenl bien Itbstts et tradti qse viendra letoue oie lu Fronce, M. Pssuracé or trouveraalors deosut le full urneos Ii.

La Rassir cal déoidémrnj 55e sIliCe ddli-

ênvs doute 0m psorcpnrt'uss ne sont pstoreloinea, mais clins saut probnble'. Qunvdleu dsnn rmpoeeuru oc eroelaocoosleés 0eue usas dlrs pas or qu'ils ourant oundlu,Comme après Palsdam, eenlre truie évidevce, les jeurunen officieux de Franoe et dehsssin susllandeasi merdinna que l'olliscOOfrosue-rmsn érmoser ptus nulide que ja-

(l'eau 'lise le launivmr s beroils d'orgeat etqn'iI n'es plot Urne que 5e la Frunor, Déje,na pne-eo prulucla par avunre aoustee l'ictdet'es eslesislllsrse0511 0015e lue drus pnys 51nous asseor d'ue sssese tndlfesilblo. 50555edirait Pnilieerr,

Sire manvaiu sigsio I Il Suit Rebe'a'sieal semijslnrunnens'oI nluprstsl I

La llrv hi Pain Ton1uso

'l'oulsuor, 24 jais.loIre utile sot neonurde d'nun grbss de

boolaugoes. lIos norarmurs oui, es oléol, dé-cidé, se soir, dans une sseetoblto gévdeele,du leriner les lonno, dès drusace suie 01551àOCetlu: souveile rat atespéfiossée. lit l'altitudequ'-elle néntie -col lais de oocyte la saute deSboslougera.

muaioipalild eusialiste o'étail. es eOel,poser uper, noce ace ucdoue t nue smpas'-1(01114 rareasuas par 1051 la esoeste, da né-raudre Is doubouensi prub'lemr dc l'sugussueslaisse ules pain

155db quo les cudsruux, oesuorts pso lesboulasgsos, yremtreal I orus-et de es pas055cc le petds 51 Oludènusl sinul lu qusattec,ils vsaialisleu, posusés pue lus beslaugoes,sol étudio layalemnot si nos Coca selle goas-

,kehe dlrre- p000paslnrn ri sOUS 10 me-nouu dense goder, la iotuq'eu Rions, matcn duToulousu, S'a '510eS aeuo l'adnslsistcstien mes-aio(palr ut le 005anil, sa mettait d'oaioord,hier 51011e, devuol M. le Prégel do in Ilaute'(tsroone. ae'eo NIaI, les heiolacigero peur og-pliqoar la evusenitun sur la O,snr do ests vio-lute par leu ratissera, 40-et eovord, le mairelu mit sssscitel on Oxéautlan en meidlosnl enus sens la mena ri au fainat aunoallor à lapopuloltoe, por uffiebe. 10 rdsustul dec né-rvreatires Ainsi se leouvssl sdeulu le con-flit,

Or, dasn l'spda-midi d'h'oe, osas l'use-pioadan dc 51. Sérund. mlIstt,oul untidevolislerI prénidret do ayndioal de Isa bsalncgrrtc,les Iousnlueogers par 01 ests onntee 30 010101-doemul do espusesun Ioa prapsail.isss de Inmooeeipvlst,( et do f ermne Iru falots

La ncus,airtpaltlé 'ooiulicte atteead louasteecuttoes lus bsulaegoeu b leurs uet.eo

LopaIr, ollr n eovporèd un sruoré essla'a-si050 doos le cohiool du préfet pro' l'arecp.inlien verebsir dru lusuelusgeeu cl 51es misa-

ivauvoiae Cci, eaoduuts pat quulqusrbruuillrau. 1m osslungors 011 violé nrl sa-crut cl musqué à leur parole

Les évlevcaaessts onueirout 10e 5005 55vSééseslo. La gros'r 00-t sonda b l'nvuptraceul.Pluie lu popalulios sors pirinemesi édiCte,

jr dgg es SiaIistPercsséu'o J000laso

usiSsel 1515e le uiucgeos 000 ,lsuaeluoa boasdse.5es de lu esaas, ilesgeas tmpaessas OOssas 05sen tmvacu daessh ourle lu Sétéeai055 saunuale,5usd lu moululorses o osé presse lIOd le elsrsln'Cossu naIsses 40 OveS.

Ossu la usauce do eusnu, missIle, Sous sasonpless'S uosscim, u umaee'é lus poulpes des Joui-055010 10 lu 401mo, p05, depu,n fdvneuec, art poucede 5055 b leu meusb,'rx oves vue qssinssien 45sesspns.

leur lu qemuss as .éumsso, lus eédaeteoeo dela Jruv.uuen tlaUr055a05tr onsrlct.nlsenqs'aosealcatsOuac 150e Isi pmeve.qa'aa (asenai rtail posai-sic, La 1.000m ml 151e 5055501 soN, us 5e ces-Soiser001 peu, roloates, lest- elobiseuboN. 515,5do no 5105550e assume nasneseelhlasé lIa 5001Iledlab-055monea Seller nffsels o la aeéolaea d'ansrgssr do svns eIsel.aan sigmeeeeu es_plus soit-remous

Qaont 1 In lrsliusse 4m ,leuseooeu dam isorels.soin, 1.5 sera néssroée'ii u,Issdcsu000 aauusals,SCmlaascsa,nisaqauojesao. pIsses 000suoorr55 Ocresaaes, asenns tout 005mhro du Paen, noSdc lu Ir,buus,

L'eqere,-suidu, 10 ul000c'eu a u.omau:5 an rca000dm qnosliouu nbsssiasm, taud, usrage, (la'

0511e, tsss015sen lsésr005èressI les capporis ldg000-mmi dilloer005 use in tôles acersbeor-auu nega-

,5505550 01 05 gentismeiioc as aussesa u. d'enloulsnu .. rddeseosis,

Ils cvcppcel ds tsloeia ,teedsa I ans us'easliu'tlav ou escsiulonsebaat Ou sOeitees 00e.

OeSiuloes cl susr,udamouta soha toi sIs OssUs'aaavéu 01 anoout essayée dam uu tsoiosao amis'grisons vase quar oous'ni mOsssaaevt loms Sel'ssul pose lu Siso,aues,lssronr as Consona 111(eSslleSl,

LA relpElsAt'lcsl Oé,°5'lOf0dL5Osatru Logo, qal 55,5x0 las maossu du Cois.

gréa, demaaedr las . baum 'u u', Cocoseai al.Ica-usas remplr lu massa eleul voua a o15ergéole Grs,eil najas_l t

vocal sleaalai gus 100 eu oIaasSnas le ils.seule d'us'soiele liais Lpou o iueuposd quo 10 0e.oeil aruslmt. le Csss5 aaleaoal mmmc s'a OSaislu Cualorc000 auluaossle 05 spIs la rasoallssisn 54-.noisueleuilvo peroesaeule dés 05101 sOc nmloknadrus déleause,.

d'u.s ests, p0500duee, u laij0000 Lnsp aillaittoit', go eu aslaf 'aIe.

Le enssuclus Osmaodo aime qua 15 p-omiSeCastuseasms Sou Prasexum as aman en mIneOeucp, slae le (lougres da P5505 es aisose -la meussalir.

Os solo muslis gsar lsu'ddedo,ioe Ses Oe500s-000 4es CasIO aalunak, Lu sas su raplriaaeat

'50°ec5slain' 10 valu, luos 40, vIsuila 11, lelongolos31, aabtlat au. 55es-le 13, '115000 55 sns

Les asse eunulios' sont élus sous 155e d'absoaadods o la suaeeea Su I IsodInt,

A roue sèaase, ne euuu'asl 1015e leu suasseses rnlaed de lnaeee csolcs,slascs

L'alla, bas Isa gronsma ados prote de issu Oui-seoir sses oetapa an erortlaee t-sa, se, ole do000iafOI. leur 015001sf nuls,

P01111 L','eIeItslh'I'lg5,0 ti0seés 5,01 aldiaea pan l'sdupuoo uaeeaaso

de loedro du - 5m' aculaol u

Lu Smonsssuu a505lencm issarsea es eaaérOs15 50 155e lOues, rsnemuasl smslue le nlaonsiendasu lus goules uspuusiratsss de Saisis Isa Cousues-00e IsOar délie -pollseslue 50 dsanoaaelsst I'aalomtlsplaise al antsmnasnat peur toua 1m osasaradas as-aarstoés pssoe roI Salis; 51e orosehieni OgalecuentsosIes la 111 lslsOelteS'sad si dnacelulivat nIa alcoa-

iaOea, aeaao se si saupaene, 1m caugraasialefelsi sasauteoee 55 vmolesst 55 frealm 550,11 0455,05du tisasse on favaus' do 1,see n,eaerals ssardoasa,000dasseseà 4505 050 sOn puisas maIns aeaeassl del,essdeoer, 01 uuataime o ouaequse do soasaos 51de pasa Flue 55 psiracoal

files s 400msa .50050 rase-bas 01 fascIa,

meSsIe lluaae'd, l'us Oies fuaslIsssS'S do Li"sip', eue sa tranvoeaotuargnmaul 'o la pesasode P500nias, a 0.01111 de ce suinté tOto (55sn'aaot Ie.s dmsssxwaunm peècsuvtpatro des asadt'

Bscn 000 b p5010050 assssi l'alLsbsaaaaalauUaaDle. O us'ea4iaa

Uo Atttat oo Cheio dotore, 21(0011.

Un (trams, qut u vunod use grea100 01055150daos ootne vello, scsI pruduil sse la liges dePario b tIssu mIrs les olatiaus 0e 116010esal Dsmnuail-Musger.

A pas près b mi-roule entre eec dessala'ttenc, an o crievO M. du Blessai, frèro t'esdo vos eempairiotrs, oS qui Oct dbeeotsur as-scusé sver sox père d'sne geande eutreprisedc pompes lunèberu de Florin.

M. de Bonuiol sllaet ramer qsolqhea joursduno lev obstloau quo prreède sen Srène hLaiso, pets de 00es,

L'requéts Ouverte ue la poli'-e 10551511001 d'nbard à os soeldesi,

0e cruS na oOeI qne M. On Beruiel, voa-bomnl se rendes us lavebu, ss tramps 55 au-vrll lu peeueèi'e; unis 10 blessé, qsi savaitpar perds tesli h fait ruvaaiouesoe. dit quedessu 'nd esdnu qui ce Irsuosionl sen? luidus uuos sagon l'avalent ottaqaé 01 jeta surla esse speèe l'avoir dé ouillé d'ano muislonen en, do sa boores 01 tee-an poslulsosilo.

Les Sous ixètylduc, 110e- leu cr011 55tnoulouex veanelelr, s'eul mou e000no été relreu'égal repredent Sen croiS qu'il, sont Ses.uesdae ès dora.

ataotropho do Ciom de Fer.vu'o'Oe'u, li lues.

Bled 5mb, I ii beurs, 10 haIs 0e usu'ebuvo-555 5051, saisi d'AuiéOes pusr NIcies, s dtcalld

Is taon 0e LapsiSla, à Ii kilemlles,

Le5masanla es sI le nlsu,offnuu, p, oppe 'le.nairni au depol Sa la'asim, rut 0155 lois cl ale'eo-eensoc msblss.

21 ersguss reb 50e eSi150s oc 50055055.Les yoles ueal ovseroOm.Ou Solo pooeéOmonmc'aslelloruemu,l deS sspa-

CoHision de Bateaux

Roslis, 25 (sis.Sur te Maool, gréa do Posidase. au bateoos

moteur s été 000gO 05 dnun par ne boIras-

Trrute..aie pseeolssm 001 été (niées b l'onuDeux se sanS slupées,

s

LES BANDITS0x001115 sOSePbsOIrva

Paria, 105 joie.M. OlIbert s 050foauié, sailmsnd'leui, Ooeaay

uueO desena lénsuivs.Le pression SemIs, Oorsvs, su riupluyé dc

nllcsnimi 51e- 1m, émail celons as ueoebr,siage Onl,eusleossst 000 sague, à !ilaisoou-tlImI. U l'aloeuoscmml eeoeunsn Ormms 11051 1' ndlsmduoque, le scsr du easnbrselagu, aval issu oaneesu-leur dos shirts voila S 1'Oianism coqs; ausl uro00e 10 brio-lIse Or guudanoleess, sien vuslelll'appnvhsesom,

- Voua onus Srrea5uco, u 010lsé l'iueslpu,as,5 ans asousme de as qss miss 51,55550e dors

55e 551. Psovqs'ei gaas ils 01e'osy, leu lésuusunme nmomluguccl,

Copaidaul 15 u mes o nsaulmu sac affirsa-

ISsus coolies iémolna, tuoilllec et tfardy,éblouI reloues m ormes Or l'vaIs., lis u'uul pmnommes l'timspn qu'us leur muudnais camme0155 llss&v 1v ayant jsae lu bislard, un oclo'Srs, acm tleaa, au sasse Oruescusot, I Chseso.SSul ils 0001 pan o'ornuos aos p105 5usd, le na.p'ésnslasl do oeissmercs itnel 10 lluleguago sété esssquI per Gens.

Grau, isieecgC I nsuvcsuu. s nsalssI000 avaleavm ados e usa 010e sarsop, qu'il ne

PORT.58Ilatnpiolls aux Prse

SIS OSAIfD tUt'105M IOTERO515MP1IAssai qaa lu su 111001 tesesaisato us l'avait

sanasue lidjai, Qorpes(iui-. 10 jcuso al solS-

?as, sn noce ce t'Asojri'

LUISE MMTS*paM001 5051 gus usa ueuiouavot 10 phyasgue de

sen dveso besmmro csl tslsiamast dlilécent,mols aoesor quo Staeua s(uos a usu Oslo,thode S osaabal tret ésffcroetr, orlon son bem.pdrsmeot 01 00 race,

Sillons, 15m gobro ne 0050,10e des Soupeqo si coçosI, qa il su enrassos s 01 que siaa-shoul sac cou cula tasse poo do eogaosaunées do bslotllru, teolope, os caque us 05tout aeu ciao, dc toute -va psiusacuce, ne vi-SaisI qu'a aeuuosaooe l'sdeomauoe a l'OSsel-dsr., h -10 . ubOlser us peur empioece l'oolnmrs-sesssaeeglalus,al'cosoyee roules u Insus soo-

Cas-paeteer, s sosaleatta, cuolo les 500sia,damamalear 01 npuem ludvlrsasno, ssnl 155es'01 poings dma le vidc ut oesuneno 0m 01.,Cota dosa uns luta vsiseu, 51 e foeomut u

iehs peu lui-isSue, Su lubalsal cm Polelguqu'h coup 551e. oomptsealu plos sas lu uesonreeSsor l'sdrcsso quo sur n farcI,

lilauna 55 ml u sou aoiosutr 01 esioteumesaisI. Vsugt si 50e lues Il s tsutompbé psokeuaala-osat, t)ca-uluuuf fois s o Otu éènlsrrvainqucum nus pulals. Douas 10 1 500 ut-vOPoOlOO s été diaqusledé. Vseéf..gsssloo daiuO a 1011 ivalols sigol.

f.arprsllee, uni, oieu raI qa.ao échusl dc s,aaeriènc, Ilemetu f.ue'pao.tior et Kleuss, dusdvem. soi Oupuèru halls Wulise Lsw,s, Kluasasoésnsel. slarpnmtsrr aven - dofsSralle. MaisGarpautmo, ce jose.lt, 41.ssb heyleulu 5f ne.lait psa ses darsisr,

LE MATCHDiuppo, PI jais.

tic ma'sa,h usoomonm h I h. 51.l°erasl'ne scund u anaalags b Olaeprntmee.Deasslease roaad e s'vIltlr.Tnsssièeen ,oeeaod ; lauos atIaqo, mai.

sassa sanaru, Carpooteor repend soar us nho'sises du de'sol Seèseeuuse 130 vppesos à lasesachoirs 5f su cosse de tsepeslire oltel.gntsl 1cm but. .l.eautagc o llesvpsuticr,

Qnalrsbsss vauod e 5101e ano rlluooc las-Ssuyssla, darprsllsem portn au uippro'rut dudroil truc rstssse, Le (sa de lilauso sseshtyêtre do roligase Carpesliér. Saelus,.as perlesus neOso do droit. qai iatlelml sua boL Ossuavantage la Cao'pantsem.

Ciagulèmo rouud u LIsons dumaes itaao s,aorpo-b-000mpu. tiorpentiem, 5101 se e515 desasassi Sce'euldeilhSs. easens 55.10 teOsho, è,,ses ot de l'mss, Isro,nà ta sIx du 55usd, fia, -posters' rouerait sas dloeol sa enculas, 5500.lasso h IClasus,

hiuièaer cousuS e bitasse aoalaouo b augar'-b I'nataolsl al tlorpentior doestilo as ores,gaualue et éroil, tfsrpuatiee oemhje ru -des l'avaslape, Six cspisenaat b la misa aise05

sjèmc, Is haiteèsne 51 (0 SSSv101sLrooedo se suivusal alun osasambloel, (Niso pro..Isae plam d'adenioahles sl0SpeoOuts, MascPausa 1m enaaluoe nais bsceaàsr, il snest do saéaeo 50 dos,oèeon nound,

Moie 50 500cèsaoe, Caa'poatsom noussoesan sparolb.a'a lahegssé. ,Nosmsesssn si es rosat siscsdulo rspeeadra l'as'soStaee.

Pansa, nspsudaaol. us mil fanosé, s'esqusssrOsas et se bal avm asisennsmusl.

Lev deus neseudo asuvanla ss déssuleaoves esea avanlago à Cosmpsuat,000,

IlIfhIthèNTLe manages InaOe055s sas le ring

ele0005, as ,biu-bomti6se.s 'sonO, 50 11101.dusst 10m grave 50 peuduil, Car 010e ossu-1155v 0-auner l00051ntagO, Mats KIa sen feeapsse15 dis aosepeu Sletondjjta,51 bISsac tiaasea,tio,

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goulu hors du rIe-g, e 51eonsicu-sonpr en,.

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, 51051es qui nsspiair do pareils ooupe° udise.

Carpmobism seul metissuse et sesou mosuger, qu'il jette b esse Inne

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A ro msmesol Déoamgu lutter l'dpupn(ullO suvhhit le rusé au miliri, s' . Le51551510 inèrereipbb'iele. lu,

CAIIPS1ITICE S1SQOALfpi1L'umbitee e'OSd la 5005510e 55 mOisu d'tinimu Ilorpoulr dipp

VAINOUEUR SAlIR AVOIR VitiNggIsJa 055 soi, bar nunoéquesl, Séslemé nait,

BOXESiCTOled 105 t-1001eS

IOIOPPO, 5-t(5Ois poeseaoe insmon sa mecsesg Sa use 5silo deal disputée dolons ou p5510 resé511es' seuuy gesoS tuooss,l'a conclusse Su, lé rauud, estes Lvtseo pupins do Prasse, cl bigOr blaoinv OhasspIevO'Asgleesmum, 55m 10 taon do oleamlsiosu Issues,c, pneou hIe, OmS,0 élé 0005 Relie.Ledoua prIs au urv050to de a 551100m gus lssicnièce S50n1'i' si y a tesiS modo,nuvaot us Isooque ton eanfls Ledoe dIteq00SIS le dmul 550' mon Ocusds oe,senr cl posr.,p1150 ors coups quo blaoloy nons ssalLus deavenme uoaud elsolnc mmsslslI la se.0155e 5e 1.01111, '550 0m coup conp boa las va_augus rappcl de la.,b,toe; 10 sussua muusvaeitigri ds 5 pai'l dm doau lsousaes.Au oinqu Inc 00005, blaolcy PI eOlil uu lSgs._evool sas.5,5 se-pusme 0500sO fuS, Sets asiosél LsOou user.lobaI lerriblomeue psudesl use miaule lu pe-Solos eisa Ogsee de Slaaulep, 01, per nu ononsal

du gaunilo, Is oleOOd Iorels-sul1,0 PO,Sleu s ta' aeu éossxr 5551,uc au san

Lb PSislqI,'if .vllpnlceslu,1u,su-nous, leu julo,

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LA PRESSELA Olttbt L50éd P55115115

Lu aalasOlo Osnollsa101Oe (ralsiarsiné s

kcs s tIldes. OmOsu.ssuul 0m 1155e saule.0m I flua rosi S,s gcéoalm opuS auuopuoul s. 0515550 bol 0e ooise:leaesasl vi 51555,01 nulisoaSspon quais, 51 dos se, (Ihurieu.hnnu, vo pnlepaede laetuilrugs 01 qui prolos ml su mode 010ddle.tale, tuugelole I 5e '00100 0055, an urusamin, qsOc suai même pas. 0e loeareuuoacc, quel On551

pesoS 1005 poarpuniers, p0 déalsosat les us'00mo cl pisaret lnms Pespnru 014e-OIs aesodsasue Su eultruto oalsuossulu.

Le pops pugaea do qsmI oSas 5e Sesas uga usbocas f5 elle souOi See iuIrs.000 Sels esàe,s,

LA REII5)umloSli OL0aYl'Oe.ALO

L'asuacselueed mudsouai u

La Cbsabsst 00es b su p,suaeaer eue soi aime-toalool le eotco la dépuei000rue,

h SI, bauol lris,auplsn, 01045 as rassise o m tee'piese', quo tsas souru lugt lumnésem es

nusplOtoesueot iaapp0-suoislrvIcIe 10 501010 0es ddpurlonenla. in es101ge

étosloral s'uara pas 1 01es pins du quuluo dé'possOs, 0,55 1 moies, peroqos pn,bOul, 1505,55'ecu or 15000 sesaila 1105005e 11 appsraal eliase'essaI que. dosa su 000 soute Oopreoeolulaou IsIs'peesose5lio colin pamihie,

155e vs pont tusselemneor glIsses us seul sélargi qui. scsi, pneemoaes 0- la majnl000 do tedsegadsr.

La 'éoumt' S'uss taanioe. 510, "soc 1m lIr101edepaseemuoosis oselou. paeoll sdesoousble,

0-bIb 510b00)Lt b gess aolou sO101flOsgiQetoLe 11501/ 055 Pssdrssrvl ee\Olro sIne-lire? PoIlu une la d0055au psSOOlO

I M Oasassoie a ou lIa grand 'o mlusseonsul saPsiuls.Snasbase,

La palpas 0e aIe uaulsuiuu ds Pales, raIlSS,xOacoiso t 055000e, 550susla la, 0,0,, .10 SpndsOOhsSr.. issiqie'à I' . AoItuo Peauauusn ., .ssslosesou,Oaà loess bue perta'ir si Oc1000edae'.InOlnuse 50es lassas Slip - ui dO, elles eSlnoielmas aisol gac asas usas su dealiaiea. Ira nasilens. Le Lé0iva ,s'torosnr Is a 550m 0M messie-u,eae ncomssse.

Basa 0es 050515,05, au do sua amis va pellesus qnstuu, as 0555051es, 05 15, isnesauul Docéarca tes l.lc05 Sr esse eépcudeeu,

OJsostOOa us 0m sesuneacis suIs sslcex5s us'pecessius soueslie issr ion, Issoasse 40 aaeemo

de iisss,e1sam ouI, Si. ua,,rs,'oss vessa50410 uoantdjatreOslst 551 uu'ps, es tg,SssWdoo msa qaslac La1i'oiea ds la LalodssMoi. M.osaon, eoppsluue'te.'eel Is uecrtcoe des esasoleSfie 00010551, aS n-un sus esasencrus dgnOqSir'04001 de sus s'.eblesaemeoma p. en du m pluOIOiuessssureuu,eusuel 005ssi do plot duhié,

eetftut Fraoçaic oe saeeee,vlo'o 1mb L'PUDL13e'5S I IW0Çe050

Cl ssp,vpsrietemue, u.'pioru'nROl'rf 5E Temlsalsm.lSn

m.:useu Se Sceau-es u Seingas es 5500.505,1 que 1151.0 les 1501555 iumtcSrsse'Os ,hè

rosse d°tepageal 55 05 SseSC,eie asosus,lnsOSai,l LoOo 5e 005mo. dii uarsréd° t5555 na 5,masdie 50 e-'poestre 5,115

bas 000es denpapuo 005 un dnubls bIS IC.

pmnsIsllic a 5555 5e ae pee'fc000su'e sels 'osusssusaass pouaqae du eanlallaui ; O. isad'°nea sssss'eoaas la psvparasoui 5m el50550550.5 lugoégabiSu. laoeoss, Ces'Énnsla sa055'55550 5e rein ale,'..

Cor ee,scuserscb scIa 1,0e dss penlrmeues°5'pagaie,

5,55 uulearo sapasSes xaeOSl abson 450° 110

porgesieucsu Sets slsu les sseuOrss frsaqOe.'5151e pespeess'ome vpdnaiu ci gnulessle au

551 5.5511055 priisaies sera neasussese ase cii

es 000e 5e naonoomu 5m presmu000S 000smala 51 bossaIs.

Les Onsos sIc feauOeu sioar 103 sopuguiuls eec'

ta aimpleuerou 14 s deselepsisas adasm055upoos alotunes par iS5vas0aaols5ia, 15501uses Salas pu' des roaOruaeaea .15 l'naes5°'

eisa dosa rouies Its'aanoes 01sera livras ra Oeus,u aosbomu qéuasaeaeme es 5pOrsose, osqOO 00101, asses sas r1a055 per

bar, saut 15 jmd.. sstomsd tus nuassevo5e-A la 00 des tssco. si enes 540-casé Sue

Oesi Ispets araosoel dsoas 51 scaOl aS 015010m d'5555m1e,

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: CI.ALO/LlitSimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101_MIDSOC_1912... · à la volonté de trois ou quatre gros raffineurs, les Say, les Le-baudy. les S'aumier, il est monte

Les efforts de la Municipalité - Les boulangers manquentà leurs engagements - Le Préfet de la Haute Garonneles blâme - Un appel à la population - Que les Toulou-sains se rassurent ; ce sera une grève pour rire:

La Folie !Lee bouesenrers ont Moleté la grime

pain. Cet aras.de folie, La population Muka..ma na déjà, Lier soir, sevetentent juge..

Noue craignons, pesa les boulangers, quemeNe sévérité ne eleyneene ais tanoo lors-que ce mette tome la pemee, luem., etcompletemont eaillée, fera mune., ansToammeittp taidoes les pilasan tin matait etsur.o,l lartiexptimble duplieité de, dirr-panic de ta benlanner. boue.

Avec une loyauté qui linenore, avec nemurage treimate et maiso auquel ses ad-mem:ms mit dée. tende aaalroage la mutat'nipalite hier matin tranchait la dia.,lul etévitait la. gréée en faisant tomtiemer, ainsiqu'aurait ritt le faire la mmicipati. Ley-gue, la ceinseetion de 1884

Ce syndicat déelmad approuver les pro-positioes de radreinietremn municipale.

L'anrurd intervenu, le orrefet le constataitrkvant, les boulangers et les mimetiers réu-nis à la préfecture et le téléesaphiait aus-sitôt à M. le President du Conseil. Et, MM,à sa parole, le maire te sana-tonnait par ras-reté municipal qu'on lira plus loin algues-plofunul un appel à la population

Or quelques bouere plos tard, les Memlanger, déchiraient, contrairement à toutesattente, namord areprouve poreuses man-genient b Purs engaginnents les Lotus solen,ens. Par une sorte de chantage Indigne detout honnête homme ils exigeatent un ordrede ehoses nmveau et. une augmentation decinq sous par manque de pain de 2 k. 500et sur les invitations pressantes de quelquesagnaleurs interesés, décidèrent de fermesleurs forms.

La nuit porte conseil. Les tètes les pluschaudes retrouvent dans le repos le menteet la sagesse. Il est probable que lorsque laemcle masse des boulangers, grisés hier par

Ms vaines paroles de quelques dirigeants enmal de réclame, liront le texte de rareité municipal et se rappelleronl les engagementspris sur l'honneur b maintes reprises, il nese trouvera, pour faire grève, que quelquesimpulsifs égarés et quelques agitateurs malinspires.

L'Administration municipale Test préoc-cuper, de la situation erêtee par la décisiondes boulangers. Elle est loin de s'émouvoir etnous devms rassurer la population toutesles mesure ont été prises hier soir. Tou-louse ne manquera pas de pain.

Be entre, nos amis de la municipaPte ontpris soin de prévenir tente équivoque etont fait cette nuit, à la presse des commu-Montions leyales et comptôtes que M. lepréfet dots Haute Garonne confirmajt d'ail-Purs, à 1 heure du matin, en son eabinet,aux représentants de tous tes Pus/faux.

Proposi ions et Discussion:Entouré de troc, 100 adjoMts. le citoyen

Rie.ux reeut, dom Ire journaliste, hier soir.11 heurus et demie au Capitole et fit de

nette déclara..0 dont voici la substanceii Mt le, Préfet de la Hante-Caroneo neuve

qua, trier matin, à 8 heure et demie, dansson cabinet, la mminipalite, le linteau duSyndicat des patrons boulangers et le bureaudu Syndicat de minotiers.

La municipalité était représeetee par Mn,Deltour, Vigneau et mei-même; le SYndicatdes bentangers par M. Richard et un de sescollègues; le Syndicat des minotiers parMAL de Bousem et Faurnex.

Et le citoyen Rieus fait aussitôt connattrela clim.sion qui s'engagea.

J'ai, dit-il, rappelé P proposition der-nière faite par la municipalité b MM. lesboulangers élever de 0 fr. 10 entirnes lataxe du pain, c'est-à-dire porter le prix dupain deP kil. 500 à 0 fr 90 mntimes au lieude 05e, 80 et exit.. le pole. J'ai soulignéque. sous l'administration précédente, en au-ra. dû d'après la convention de lest, aug-mentes le prix du pain, le 5 avnil, de 0 fr 05Mest-à-dire le portent à 0 fr. menines;le 17 avril de 0 fr, 05 centimes, enefee-dire le porter à 0 fr. 90 centimes. ',-p.a.,. arrivée au Capitole, le pain n'au-rait dû etre augmenté que de ale. 05,date du 30 mai. A la municipalité soidensteil n'incombe donc que 0 fr. 05 centimes d'aug-mentation. 'Peu dol, dans un but de con-ciliation et pour obtenir le poids. la muniei-petite a proposé une eugmentatIon de 0 fr.10centimes- Pi u'ont répondu Ire boulangers ? in-terroge un de nos confrères.

- Ils ont répondu que mele propositionn'avait aucune Mance de Mecs puisque dé-pit leurs collègues l'avaient repoussée.

- Et devant ce refus ILes Madamers ont appuyé ce refus

d'une nmnam de grève. t'ai fait alors, pour-,mit Rieux, la deglaratIon suivante

Puisque vos collègues et vous ref.e2dette proposition, puifeque vous nous mena.rue de la greva hé Pm nous allons f,refonctionner fuer/te de IAD d'une façon ab-solue et complète. Complète quant au prix.Complète quant au poids. Cst, ainsi qued'après cette mnvention le prix du paindoit être perlé à 0 fr. 95 par 2 k. 500. Noesle porterons à 0 le. 95. Mais le poids est deea. 500. Nous exigeons ce poids ô

L'AccordLes boulangers acquiescèrent à natte pro-

position. Formulé, devant M. le Préfet, de-vant MOI. de Mousser et Fautions, nette tore-position nette, formelle, solennelie de Rime,parlant au nein de l'administration muni-

teule, les boulangers l'acceptèrent avee unesatisfaction évidente qu'ile exprimèrent àplusieurs repris.. Ils rendirent même hom-mage à la loyale attitude de la municipalité..Et MI le Préfet de la Haute-Garonne cons-tata cet acmrd C. termes Alun, mes-sieurs, c'est entendu. Vans Mes d'accord.Et tous, minettere et boulanger. répond,rmt « Parfaitement a

Ce noint est extrèmement important.confrères du /a presse le firent preeteer parle eiLeyen Rieux, Il ne peut être contestépar nersonr..

Ainsi, hier matin, le conflit avait pris fin.Les boulangers avaient accepte rapptica-tien strier° de la convention de 1884.

Importante Précision- af,s, fait remarquer au eitoyen Rieur

.nere mefeére. itt. Labordère ide lu « Dé-.Intebe les boulange. réclament repoli-aniett Mi la sentence arbitrale récemmentintervenue. En avez-vous parlé .dans l'el/-Arme de ce malin ?

- Parfaitement, Et j'allais en pucier.O setee,e erbitrale, prise sur l'initiative

gle M. le Préfet de la IlauleGaronne, établitles frais de paniflmtion. La mmention

Mei fixait ces frais à 10 fr. 50 par bolle121 kilog. oie ferine O ta, rien-à-dire la far,se lai sert à fabriquer le pain bis. La Mora-

le sentence arbitrale les fine it 12 fr. 50, ara-pri. les experieurou contradieteirerneut fai-te au Bureau d, bienfaisanm. Le nouveaubarème est donc plus favorable aux Itou-

.0,MI;nrir,e'staeittleteri' j0:lie.Peol3n/a".fiZi

la sentence arbitrale que ce nouveau bard-me neutre.at en vigueur qu'm période.corremle. Le 3 tain dernier, la mmicipatitea Inçu du Syndieat des bou/mgms une let-tre me:telle ou ce Syndloat dentemart remlétait bien entendu que le nomeau barè-me ne sera appliqué qu'en période de bais-se, rmgremivement et sens à-mup

J'ai vape°ié cela, poursuit Rieux, ce ma-tin devent hO. le Préfet. à MM. le boula,gers Et je le, ni demandé ee qu'il fallaitentendre par période de baisse. Bentangerset minotiers mortf, répondu o La périodede baisse.« c'est la période mrtnele. c'est-âmbre après la récolte en août ou .septem-

- Den, faisons-nous remarquer a. ni-loyer Riom, eo matin, dans le cabinet de M.le préfet leu boukingars les minotiers et lamarrecipolite Tétaient -mis d'accord sur lespointe mivant.

La Creveltion de 1884 sera intégrale-ment et rigoureusement observée i prix dupain h 0 fr. M les 2k. 500; yes,. du poids.

Le nouveau barème éte;bli par la sen-tence mbitele Mmtsera en vigueur qu'enaoût ou septembre prochain

- Parfailemsat, conclut le maire. Et lepréfet a constaté remord. Oit l'on s'eet sé-pare.

La Municipalité tient ParoleLA TAXE

La décision du matin, l'administrationnmnietpule s'empresm de hem-coter. Et voi-ci l'arrêté municipal que le citeym Meusnous faisait parvenir dans l'après-midi etqui fixe le ,uvelle ta, du pain, d'aprhs laennvention de 1884 et le enurs actuel desfarines,

TAXE DU PAIN

Le Maire de Loulou.,Vu Carré. municipal du 23 mai 1884;Vu le cours des Carin.,

ArrêteArticle premier. - A compter du 27 du

présent mes le pain Mineure previsere-ment taxé comme suit

Pain blanc. forme ordinaire, le kilo0 fr. 47 et dermipCouronnes, 1-lites et painsgrilles, 0 fr. 59 le kilog.

Pain bis, forme ordinaires le Ming. 0 fr. 3e;Couronne, et dotes, le kileg. 0 fr. 40,

Pertini° 2 - Il est défendu à tout debiPntde vendre du rialu h un prix pins élevé remrelui qui est fixé oisicestp.

Article 3. - Les débitants sont tend, sansen etre requis par facheteur, de phare lepais avant de le livrer et den faire can-nait. exactement le poide.

Tout débitant, soit en boutique soit sursis merehe public, soit par voie de trans-port â domicile, sera tenu d'être rteumn dubalances el asmrtiment de poids détermi-nés par 'es et*lements, afin de pouvoir semnforrner aux prescriptions cigleeus.

Article 4. - Les pains de 560 grammm etau-dessous sont consideMs comme pain deluxe et seront vendus à prix débattus entreles débitante et l'acheteur.

Article 5. - le Commi.aire Central depolier est charge d'assurer L'exécution deprésent arrêté.

t'ait à Tou.lousé au Capitole 10 25 juin 1912.' Le Maire : Jean MIEUX.

la PopulationPour expliquer sa décrsim et 7ustifine

son ante, la muntemalife prenait vols, enmime temps prenan son aman,. d'a-dresser à la pepulation toulousaine l'appelsuivent dont le texte a été remue hier soirâ la presse et gut a été aenehé cette /lutesur les murs de la Ville :

A LA POPULATION 1IL'Adnainistrateen municipale tient à

s'expliquer devant la population surl'arrêté,. date de ce jour, portant aug-mentation du prix du pain.

Le nouveau pros de 0 fr. 95 centimesressort des calculs faits en conformitéde la convention intervenue entre l'Ad-Ministeation nuntieifele et la Boulon-erie en 1884.

C'est afin d'éviter à la population unegrève de la boulangerie. avec tout soncortége dv difficultés, que L'AdmiMstra-tion munimpale Sait fonctionner le mé-canisme de la coavention de 1884; lesboulangers ont, .en effet, décidé d'erré-ter leur production, au début de la pré-sente semaine, si ha conventiouhde 4884n'était mis appliquée.

Or, la Chambre synclicale la Bou-langerie n'a exigé, sons menace de grè-ve, le respect dota convention de 1884,quant au prix, que lorsqu'elle a été in-vitée elle-même, à l'observation de cet-te convention, en ce qui concerne lepoids des pains livrés se consomma-teur.

Autrement, elle aurait dû, sous l'Ad-ministration précédente, dès /e 5 avril,imposer le jeu normal de cette conven-Lion qui obligeait la municipalité à por-ter la taxo à 0 fr. 85 centimes et., deplus fort, le 17 avril, jour on la haussedes blée et des farines conduisait à. lataxe de 0 fr. 90 cent.

Bernais, les boulangers torant obtenul'application intégrale de la conventionde 1884, quant au prix, l'Administration- qui, afin de ne léser aucun des luté-11110 en présence, leur avait proposé d'a-boivt, de porter la prix du pain de 0 80à 0 90, au lieu de 0 95 - l'Administra-tion municipale exercera. quant autr.ids, un contrôle vigilant et veiPeratrès activement à l'application intégra-le de la convention précitée, on no quiconcerne les intérêts des consomma-teurs.

En terminant, l'AdMinistrafion Mu-nichmle fait savoir à la population,qu'en vue ide défendre, dans l'avenir, laconsommation contre la spéculation etses coupable.c agissements, le Conseil

municipe a déolde, dans sa séance of-ficieuse de Set/le& soir, la mise à Pétri-, imuntrimie des moyens susteepEbicsd'aesure.r un contrôle permanent nt ef-ficace du cours des li/és el des farinessur notre marché, par ta création de,organen eégillateure de ose cours.

TouleMee, lr,25 Paie 1912,Le Maire u Sean R/RUX.

Le: Boulangers sommentà leur parole

Ainsi pendant que, loyalement. la Munici-pante smtaliste rendait. aux Muta/Igen; laittattee néelaiimientt pendant qui-eltesignait ramebé qua respectait les corme.tiens antérieures, ators qtendle faisait, sousla menace imprévue de la grève, ce que I.radimus, non inquiétés peir la beuliangerie,radic,aux nen ingnietés par la boulangeriene furent,p. obligés de faire pendant qu'elletenait I. engagea..0 mlemteP intervenus/e matin même, les boulangers MU/iraienttosa les amords, manquaient à toute leurs,promesses. csasttipliouaasl leurs enigenees etdécrétaient la grève partiels/el. socialistesaugmentaieat le pain etagfr. 15 oentimes enexigeant le poidad

En effet, les boulangers se -réunirent. bensoir, à 3 heures et demie. en assemblée gé-nérale. dams ta eutte Bo.epos, sous la Présinon. de M. Séran, lv ho/damer nationa-liste militant. bien ',mu des Toutimmins.

L'assemblée fut araea ateemett.dée,Ce quo prouve que l'amord ne règne

pas autour de leur pétrin!M. Richard rendit compte de son man-

dat et fit emmattre raccord du male, Maisde nombreux orateurs, eu succédant à latribune, déclarèrent qu'il failet applique,

nenvmu baderne de 1912 et exiger que leprix;dn pela fut élevé- à 1 fr. 05 centimes-Auset, les proposition. mon/maks Petentpas (enfermes à ne déser rassemblée pro-clama le genre par 92 voix contse 88 voixcontraire et quatre Ingtetins blancs. e

Celte elnedston fut prise b 'T te. et -demiedu 0,12 CL portée aueite à la manabeeincedu maire,

Au citoyen Rime fut de noseenerères de-manda que, mime invoquèrent devant lui.Ira .boulangers... Dentrevue, a repondu -no-tre camarade, a été tees brève. Le boulan-gers m'ont deerné de 'leur attende la ramer.suivante O « Nons amener., per la con-

vention de tem. Nous demandons empli-s cation immédiate de le sentence arbitralemi de 1912. e Et rai fait aussitôt observer àla délégation e Comment se fait-il que cee matin votre bureau a accepté l'amord dee 1884 et que es soir vous vouliru appliquer

le berline de 1012 alors que, d'aprè,, votres lettre du 3 juin et vos déclarations de see matin, il ne peut fonctionner qu'en ,ût

eu septembre proehain, i a/ais la dele-Hun, sans doute minée par eche guette, m'atout simplement dit Nous mnemes

Lerne, déléguée par ressemblée peur vollacommuniquer demmon o. Et ils sont

partis après avOir enbendes pourtant cottedernière parole que t'ai cru devoir /eue je-ter o « Vous voulee la guerre P. He kern !

p vous aurez la guerre !

Ce que dit M. le PréfetDI, le Préfet mnfirme 1m déclamations de

la ment:eine/Me. - 51 s'étonne de FM-tinula des houLangers. - Il en tait

la déclaration à la -presseLes dentaretions de Cradministration

ninipale.enteeent viymnent tous I. journa-listes prismes. Mais fun 4-1-eux .fit observerque, dansa, istervdow prPe à /a sortie Mimeeting des boula/Mem, ad Héra.; Prés',"dent du Dyndi,a1., ayait déclaré M. Ri-chard n'avait anone Mandst ni auduae gue-tta. Pod, Prendre des dênigione.aumme elemienn n'a Olé prise à la préf.:-tura tus «Mémés de la boulangerie- onttout -.impie/meut promi, d'en référer à l'a,semblée de ne soir..

Men, il semblait y avoir eentestattionsur l'entrevue du matin. Aussi tous (es re-présenter.. lie la presse deciderent-ils d'ac-compagner à ln Préfmture l'Administretionmunitepale gui devait avoir W1P entrevueavec. Id Hyerern.

Il étsfit, ratât nuit, Me. heure de matinleesque mi le Préfet voulut bien nous rece-voir. Il le Al aven un aimable empressement.

- Vous émir dit l'un de nous gee lesboulangers ont décrété la grive f- ont, et rus ai été fort Men.matin fat bélégraphié à M. le President duconseil qu'un accord était intervenu en moncabinet entre les boulangera et /a rannici-petite Et met à l'heure j'ai dl télégraphierde nouveau Paris...

M. te Préfet nous donne lentatre de ne nou-veau Lékerreunne dent nous reeueillons cellepsseassou Le bureau Deldinal avaissans dit-ft-ouates un relèvement de 0 fr. 15do taxe Ires botear.ere ont refusé contretente attente. Ils ettolamaet une augmen-tation de 0 fr. 25.

-- Mets, M. le Prefet, le bureau du syn-dicat des boulangers Metaeé devoirsoumettre leu propositions de eachninistra-Men à l'assernblée on les a-t-il aorepfees.

-, Il les a acceptées. Et 0 I. a non seu-lement amopadev mais enrage il Ten est de-dere heureux. J'ai Mu, mn ne, termes

:Alors, Mest-m. pas, Mest enfle... Noussommes tous d'aecerd

- Parfaitement ! telle fut l'unanimeréponse. (tee tellement vrai que Ah deBoussac qui msktait h l'entrevue dace ma-tin cul venu me trouver après Centerremientde M. Iskpina.e et Ma déclaré o u, NOrlebOMPIOS très e00.10111S flUe tout Se Mit or-

Oui prétend, AIL le Préfet., que et. Ri-chard n"avet pas qualité po, repeesenterIre bot:tenger, ?

une, plaisanterie 1 Qui vouli.-vous que je renveque liai empaumé P bu-reau du syndicat. Daine/en, M. Richardavait qualité et manne mandat de représen-ter fles et/teignes. puisqu'au .début de la séan-as, ii e dit ; ii Nous venons renrke compte

de notre mande- it; Et en nous accompagnant, al. P Préfetnous deetare nettement Mon dernier met.Mc, que .ie rie m'expliqua oue l'Altitude ilesboulangers. y

Les Responsabilités!Les delaratione °encordantes de M. 10

Préfet et du ofinven Rime, rentaerdioeu queoentlimeraient MM.' Richard, de Bouseac etFalcon, eabliesent cleemnent les respon-sabilités

.Depuls le 31 oetobre Dee/Watt 5 mei, lesboulange. n'ont pas bouge. Le prix dit painaurait de the élevé de 0 in, 10 ceet. IL nele let mte. Les bouta...ms taissèrent fere,se rattrapant sur le poids.

La munmipalité socielide arrive, Au.t-tôt, ils la menacent de la grève. Sous cettemenace, elle amen, de respecter conven-tion de 1084 Sa condition que les beela.ngersla respectent te faisant le poids. Un moordielervient. -De engagements sont pris de-vant le Préfet

Ces engaverreents, l'Administratien retuniri-Pale tes exécute.

lentCes engagement., les boulangens les vo-

Lee boulangero écrivent, le 3 Juin, que lenouveau baeême ne pana entrer on appliea-tion qu'en période normale. Hier ntalin, ilspréelsent devant M rl. le Préfet .e cet. Pé-riede part en août ou septembre.

Hier soir, i/s exigent l'applination immé-diate rte ce berême.

Ainsi, les boulangers ont démeté la gelerau montent o Ma municipalité a. augmentéle pain de trois mus price quelle venaientune augmentation de 5 sem, abus que sousradminietratinnandinaln seps angmentaLine,

ne bougèrent paa,

`.011111es.

Ils ont ,clemété la grève parce ;quels voué-/au., rapplitat,C. inmndreate,pdputede ecituj

lar:u==lie !

A lé P.Pattetitu de toiser cette attitude.La emmenaitlé moieliste aura eapproba-

tien de toute la population. Juste et loyale,Me a consacre tente son inteiligence ré-rondre une question délicate sans léser au-cun intérêt. Au lieu de raider, les boulan-gers me mime al. seine or, a la rend.que du nateeneiste Séren, k cm agitationstérile._ Tant pis peur ettx Cita persteteetdans MM étrenge attitude. Mes mins som-mes persuadés que la gamme partie dos Itou-langere éeoutera la voix de bon se.. Noussavons que plus dru deux tiers des bru-lengers toniousains ouvrir°. aujourd'huiboutique et accepteront, avee emp-ressemmilParrêté rramierpat quit, Maternaient etsquion leer 0 donne.

Ou aura h PainLa municipalité a-Meilleurs pris toutes les

mesures néreseireâlealimentation de Tou-louse. la citoyen Bedouce en a fait con-naître hier Seir quetques-unes à la presse.Les voiei 1. Réquisition dee fours d. bou-langera; P. Fabrina.tim militaire; 3. Aohatsau dehors. Il a ajoute eue la cooperative deLimoges est della avisee et pourra fournirune grosse quantité de pain. Enfin il estcrau.tres mesures qui ont été prises et quiont été annelées cette nuit de concert avec

eNleemP's'af;:ott., en outre. que la Sen.tc°par.rc a prie seedispeeitaens peur deublersa produotion au prix de -0 fr. 70 cent. le2. El. 500.

Et si l'on songe que les ouvriers boulan-gers sent tee, à mniine. La fel:trie-Men dapain dans 1. boulangeries Patreuales;Peut se rendre ernupte que la geéve de pamne doit nullement érneuveir la populationteulo.ame.

Ausei invitens-nous noie population au<mime et à la metteur.r. TA eitnatinn est lointietre tragique. Edelen des onelques ee,hauf.tes, qui s'agitent dans In pétrin, lus rendracomieetf Et toms les Tortionsaine seront una-nimes. denmin, b fereifer la municetmlifenoterelte da su Innauté- de son énergie et de

sen .prit d'ortrenpit_lion_.

Une RéunionLes ouvrier, Imulacters mil en _cas de

legee7Ze.,';'Tau capitule.

Aux Ouvriers BoulangersTaus les ouvriers boulangers sont priés

d'assister à /a réunion qui aura lieu enjeu.d'hni merdé à 2 heures, amien, Facultédes lettres, rue de Remeinsat,

Ordre du ieur O Décidar.s à pormare envue de la Trêve des patrons.

A la Belle ChansonLa couture dus auditiens-eonfereices s'est 070-

lamment ..née, Un pablic enthousiete. Pl..noinbreux que jamais, ne areet pas MG.ae d'an-plaradir, et c'était justice.

Jeanne Marqués, au reliez de Suisse. dès /espermes mots, a captivé nette:Mea gentale:solos aussi. quelle memeineuse langue pendela jeune enteen,ere. Nid n'a comme elle lesecret de fa hum sentimentalbe: rourtent lesniel ête,l presque ingrat, car il devait être lemente rende de teille le sets« comfeemebrede ie Bele Chanson.

Apris le mot d'éloge obligatoire atmorde aradores mrddreneriers qui ont parlé pendant cette...ère saison, elle sassa Mt ou plutôt chanteramone de la Monsen celui du terroir, de ve-gionalisme, enfin do la petite patrie.

Mile-stenment. anse:son du Mettre de Nice,sorbe du Censervatoire de metteuse, assit henmu, !Aster sen vraie O romee commune, et.délicieeernont, elfe nnus a chan. PrInlempinoueemu, de peul veld, et Séparation, de J.Gall..

Puis, 111Ie Oaultier.Detencle et M. Derbel sesont fair applaudir dans le deo de Marine; De-

oilnern, du Theetre-Lafeyette. no000 a da avecun véritable tellog ta ohapeon de la Brise, deZams.ois.

Servie°, dans mn répertoire mem., a ob.tenu tuterted succès; llibees a très Men nuancela ch.son de Cour de Mai, de Gaston Coutet

VI. Bertin, de 50 10,5 magistrale, inPreeeamagnifiquement les Saplai, de Pierre Dupent;

Enfha, la triemphanice fut eartiete si eimdedu publie toulousain. Mate valudier. Oh 1 enviones chansom es m'issus ! Guet tnee. Quellepumese ! Quelles vibrations I Avec quel artMes rem:mitent rios chers .uvenies dame-rois; e.si, attaque couplet ef-41 salué par destonnerres d'appraudiesements.

Manus Le., eet, rendre home.. engrand talent do Mme Valsait., fui ma, contéle sens de dene r la habitue. sur Prtfan

éle entenne avec entrain pertout landeeire,On s'et effare à 11 here, mats cci bas sepremetant de revenir à ka s selle Menem e etmets. au Theatre région:dis. eue Marne Lé.acre formellement errants.

E.NBanquet t La Française ,HutchinsonLa société d9 Cyele La Fraeçaise-liut-

chinstan a termine la Ille sportive, organi-sée à l'occasion du Ois ait qu'elle a faiteenrir, par un superbe banquet auquelétaient conviée les organisateurs de la eau.-. et le représentants do la Mem

A eide de M. Poulet., chrenteur de la suc-cursale toulousaine de La Française. què

M. Leopold et M. liserer direeteur d. Dépôtsda la Société liutohineort; MM Texier elVergé. représentant de la même Smiété; M.Benafous, le sympathique directeur du Vélo.drome; Marre, agent général de BerlietMolière, MM mesol de ru. V. FI

Le menu débeatentent *composé par P Va-tel toulousain, M. Derdeen, fut apprécié Pa,Ors convive qui pOUT la plupart venaient defournir une randonnée de 200 kilomètresbicyclette.

Au champagne, M. Poulet remercia, avecbeaucoup d'humour, les organisateurs deCirruit et la presse 55505 1e minceurs dévouéqu'ils lui avalenk apporté, et ae félicita de laregularité de la rom, qui n'a donné lieu àaucune reelamation

Au nom dm l'IL V: le, M. Feiesac dit roof-bien avait ritP appr.ié, dans le monde duSport, la genereum initiative de La Free-eatemllutehinmu et espéra qu'en présencedu suc.ies de t'épreuve, celle-, aurait unlendetnain.

M. VS é. nette -aitnahle confrère glu Ra-pide L dans une très fine improvisation, as-sura q. Poulet du concours toujours dévouéde !a presse toulousaine à toutes lés mani-festations epottives

Enfin M. Beelet, représentant ta u. Dépê-che u, organisatrice de la morse, félicita loscoureur, de leur endurance, espérant quelés routiers locaux saurnieni tirer profit dela legon quo venaient de Pur donner louesamis de Paris et prendre bientôt leur re-vanche,

Quelques artistes amateurs erent ensuiteentendre les meilleurs morreaux de leurrépertoire el,. au moment of, nous promuecongé de M. Poulet, le mureur Jacquart lan-çait femme dans l'air des contre-utrendre ja/Oran noS meilleurs ténors tonie,saine.

Obsèques de At EspinasseHier, lundi, eurent heu les obsèques de

M. Henri Espinasee président de /a Chambrede commerce de 'relieuse, au milieu Memtrès grand, affine.00 de persmnalités M-ei., et judiciaires.

SOLDES'ÉTÉ

Des discours furenl prononcés devant letombeau notamment par M. Girard, mes-President de la Chambre de centmeree,M. Poney, président du Tribunal de COM-Meree.

Association AmicaleOsa Incises Métres de rE0Dia

Primaire Supérieure Berthelot

Il est rappelé aux sociétaires qui désire,participer k l'excursion des 14 et 15 juilleta Lourdea et à Gavarni, qu'il, doivent assis-ter â la réunion qui aura lieu, au siége del'Association, à neole, demain soir merere-di, 26 juin, à 8 heures et demie.-

A (l'Eveil Toulousain)Vendredi dernier, salie du Senenhal, de-

vant un auditoire de chue, M. Joseph Beet,serrePire général, a dome une très intéres-sante conférence sur le Fernieisme.

Dans une causerie très littéraire, le rôlesmial de la Femme a Me exposé, et c'estavec plaisir, malgré que le conférencier sesoit montré un ultraantiférniniste que topeauditeurs eent heureux de Meer dans sejeune nonférermier ses qualités de fel

Pounmit-nn lui reprmher ses spirituel-les pointes d'ironie à rem. ries Femme?Nov. car td le conféreneier est un méridio-nal à l'esprit caustiq, et ea e.a.erie nefut qu'une agréable et aimable satire. --

Au Bureau de BienfaisanceLa Commission administrative elti Ber.»

do bimfaiseme a l'honneur d'informer lepublic que des séances de mecinati, anrrla génisse auront lieu, au Dispensent, desEntants, rne des Trois-Renards, 6, mercredi.

juin 1912, bu heures et demie du ,matinséance gratuite.Jeudi 27 juin 1012, à 9 heures et demie,matin, sence payante.

Avant demi.. .sémees.

./qi. H T'S Di V Il'DES CHEVAUX QUI S'EMBALLENT

Hier, vers 2 heures, un cheval. attelé eteenduit par M. Bournajol, épicier, rue decugnaux s'est eMballe place du Fer. Che-val; il a parcouru â vive allure la rue 5,0.queue'. et a pu etre arrêté par un paeantqui os pas donné son nom. Pas ermeidents.

- Vers la même heure, plue Rague, unil "al aPPartenant à M. Bertrand Ypres, de-meurant rue de Trois-Piliem, 13, au murad'un essayage pour la vente, Test ,iete sucl'Urinoir place près de la beeeale. Cet MR-icule a subi, quelques dégât..

Pas d'amide, de personnes.LE Full

Ver, une Ifeurude raimes-neidi, un Inc.-die Test déclaré Chemin de Fontaine-Le,tem. dans un innimubleshabitef o 01, La-maure, maçon; un lit a été brûlé, ainsi quequelques effets et quelque Pifem de CDS.Cr monnencernent d'incendie a été éte,par les voisine, et la pompeautomobile ar-rivée Me les lieux peu après, n'a pas eu àfonctionnes:Pentes peu importantes.

e'd -

Le feu a pris hier an soie b Crobc-D.-rade à me remise appartenant à Mi JeanGenthier, proprietaim. II a été rapidementMoisi par Ice empliel's de la mserne cen-trale.

Les perles Maltées k 15.110 femme seetCOMatibiare paru, asmra.nee.

LES VOLSLe Os arrondissement a dressé procès-ver-

balContre ieconnu, pour vol de bijoux Mu-

ne valeue de 150 francs environ, commis(Mus le magasin el mi préjudice de M. Cei-ntes, horloger, Prelide-DentnimIles.

,Contre ine,rtemn pour vol de deux cau-ses en zing (valeur 3 francsh commis aupréludem du sieur Vignolles, propriétaire.rue Bégue-David, 2.

.-- Froc.-omble a été dresse au :Je anon-disaement, contre inconnu pour vol à la tired'une montre avec Maine, au préjudice dusieur Centhié domicilié rue du Canal, 08.

- Le ler arrondisseemnt a dreesé Prm.-verbal contre iman, pour vol b la tired'un porte-monnnie contenant la semme70 francs au prejudire de la dame Sirven,commis aujourd'hui. vers midi. au magasindes Galeries Parisiennes.

VAD9ABONDASE

TA demoiselle Hortense Derbes, 10 ms.trouvée sur le quai de la gare sens argent,sans billet de eheren de fer, sans papier Mi_dontee a été Méprisée h la Permanenee.

INDISPOSITIONHeir soir, vers 10 heures. Mme Marie 'rifl-

'es, a été prise d'une indisposition subite,rue Cafarelli. Relevée aussitôt, elle a ététranspentée â son domicile par te,s soins dela polim.

IrES FOIRESIl a été amené G.u. le Clublip de foire rCime:Mx, 170; âneS, 110; beeufs, 6; vaches,

10; VeaunPeu d'affales traitées.

TROUVAILLESA u'mnbumc u à l'administration de tram-

gay,. 2 ombrelle et 1 pare/nit; lu M. Cool,reg°, rue du Coq-d'Inde, le, une croix enargent; à M. Burgant, rue des Filatiers, 31.un Poe.. de olds.

1E gyeePIEq»Laurion PRUD'HOMALESSouci., ouvrier des Cuisinie.

Nem te°. reçu la note suiv.le que no-tee impartialité nous rait, un devote d'in-sérer

Cturterades,Notre eandidat avait °Moult dimanche

16 juin pius de Hie que /e candidat desboulangers aurait du être seul présenté audeuxième tom. Mais par une dd.cision, quevous connaissez Ou diseipline n'a pas étéobservée et mulgre la rampeau° éhontée,malgré les affirmations portees sur une affi-che (entamait soi-disant de le Bourse dutravail) vous aves répondu confine il conve-nait o oes tune/sevres da, la dernière Mme.

En volant pour Mari» vous avez recon-nu que toutes me calomnies n'étaient quemensonges.

Adhérent depuis sa création à la Boursedu Pavait, fédéré ml confédéré, Le symlimtet sen vandidat resteront ee qu'ils ont tou-jours 'lé fervents syndicalistes.

Vous aces démontré dimanche en votantpour Morin, que vous vouliez pour vous dé-fendre un homme qui, emiqu'on en dise,sus ou tenir haut et ferme le drapeau de vosrevendMatiens, 0000 meg Mit votre devoir;noie candidat et te syndimt feront le leur.A vous tous nous vous dirons o Merci. Auxsyndicats de l'alimentation toutousai, nouemer pas de immune et â Gellerepeur Porganisation d-Mme/mité eenere enMM des luttes futures,

les enIns ROBINS LAPERS01111en aise de leur vente du LUNDI r° JUILLET,procèdent au classement des marchandisetqui restent de la Saison. Due RABAIS quivarient de 30 â m pour loo procureront desOCC%SIONS UNIQUES. Quelques momplesde

ces articles seront annoncés ici-même.

SYND3CIAT DES OUVR./ERSPEINTRES EN BATIMENII

Dam sa séance de dimanche dernier raa.semblée décida qu'une réunion souple...taire attrait lieu aujourd'hui mardi 25 rois-mari â 6 heure du soir. Le conseil syndical;compte sur tous lee camarades pour qu'ilsfassent le némemire auprès des copain.ear le 005TR/cire ne peut convoquervirtuellement vs /e pou de temps riant dniepose. Les canmrades qui voudraient entredans la grande famille ouvrière peuvent as-sister â Cette réunion.

Ordre du jour : grève des mei-minier.;nouvelles méthodes; congrès de Carcasse,ne (suite); demandes de contrôle.

T110CCOMMISSION ADMINISTRA

Réunion ce soir, mardi 25 juin, à- 9 hèsas.du mir, nié Morin.

Peson.; in.dispen.ble.Groupe SainteArbeeProvittenee. - Les rama.

rades Bousquet, Anfiel, Bonne, Verte Oen%misant gaitou de la berrunimion drssolar,peinai de eei.,,rearire à la rassies maousInia`0011 01

Le Ge;kredieet. - La bette, est entemmien;

erZe. réItes le..='n=ourPure 'O'eioleurrm

gni mancemene cette réunion ne preavesidçpiepart au omettre.

sYm1CATSgondieer dru Waliares. - Aujtieetmni manda

à 8 h, 30 de. Hitt, La Bou.. du Trayait, Mue,Mon MI noue. 01 00 eneel readnitnisteuten d..evuelese des polaires.'Outre du jour, - Affaires ment. ; dent-eines à prend.; questions Memnes.

LES. SOCIÉTÉSPlie Belfort-Vider-Hugo. - ires jeun. ge.;

'zcenr,,rer-:eLI'PegIcapriedi.u-,lea linionadiers sont convoques,

Les Philharmonique ratdotter.e. - Ge salemardi 95 murant, eépeition générale. PrêS011758'

indispensable.Glerneace-leaure. - 'rom les Macteurs sentpries dc se rendre ce soie manda à 9 heurespr.A., es thdetre de l'Apollo,

TH2ATPMCareuralaniques

THEVIIIM L.AFAYlimen, - La représendatiothde M. Mas Deerty sametinee gemme tes elle:lente, le bureau de tomeea fut des hier envahi;Met date te Bone., sous la mea ain pi00esil omees d. Vartêtes que nnan eumasbenne fortme d'applaudir 10 soie le tales-Mme,emédien. leideu 0145.

.AY1FatittAN COSMOOrmPHE.- Tous les soi.:à ê h. abr ;mardi et dim..° matinée à 2 h 30;m. 4 la Les Déeeeptirés, dr.ne vécu; te Dee:,voir, drame; La 00l5.,e2ISC et Pis Pentens, relu,die de le Vite/Tige., Entre 4aie feue. varede-,Gaie do /a t'il-agira., ete.. are, Detribution dé,ventai..

APOLLO THEATRE - Ce surmerdi Il, 30,precis. 055505tioneeit de gala ave Its eenom,de l'assaoialion ele,iliarbficiepte, la sooiri. rste-menets-leaure. M. Gabriel Ste. 0 Miles GeuItilesiDeloncle, luélard dli, Gaillard. Darbol, Acéra%

Pria des places Re.. 2 fr 50; msea,552 tr.. SialeS i fr. MI pourtour i fr., amandesO fr. ha, LOCAUferl ta. prime us oselisi ite9 h, du matin à G hciees du soir,

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CINEMA P.ATHE, - .1ejourdlitil mardi, Donsneer. set/Monique.

Progeanulle, - 1 Isidde Cavalerie, mem-

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Indépendamment du pentesautnie0. si-050055, programme ceeheetegraehiqueprimer ordre, oompoeé exclusive:non de Dieuinédites.

LA VIE SPCRTIVITOLLOUSE CASTELNAUDARY

ET Iffee0ORvoiss_rspseioas qtre la date de relie aman.;

nui est organisée per 10 Melo-Club ..Yee 1êtafo,Ir au dimanche rd, job,

Un prix dr 50 fa en eepéen et une Inédaialevarmeit ceront la récompense du 10, lee

rree pax consiste. tel ...soirm vele, laie querenes montée. pneus, My, ate

-P-Mir lems renseign.rects, sladrosser aira 11(,,Ileyseguier. 443, betemaiel Carnot,

avie aux muret/es indépendants.

ETAT CIVIL. BE TfàULOUSE.

POSLICIITIONS DE MAOUS/Mt1. 20 prie 1012

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--- 'net eche est bien vrai; dit ArmandBoue -

--- 'depuis m'oigne tempe, rontinua"r7.-liercedin, l'accaparement. industriel apria des proi..rtions Moisi., à ce pointOlale le earrrer:101r1erlt qui ou s'inquièle de

gni SOrlhernie tesubee d'avoir !a majorité à laCltaandare, a fini Mut de même par avoirtM F..° à l'oreitle. Il nous est venu un mi-rentre intelligent qui a voulu être rensei-gné exactement sur les agissementscomme on dit de la perfide Albion etniais avons organisé une contre-police ouiy:Omo/en-ce à faire de lionne besogne.

Trie bien. Alors il y aurait quelquegrosse affaire en gestation aux environsde Lange. ? .

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Je connais Elle cet orna-sarrte.

-- Bon. Suis bien mon raisminement.Si /es amdits agente avaient été dans /aIlmite.d.oire pour leur agrément person-nel, ils se fussent tenus cois. Il n'y avaitrien à leur reprocher, eu somme, qu'unefaçon p. ordinaire- de se premener parles chemins, et tin joue nul Vautre itles remettre en liberté avec des excuses.

Au contraire. ils réclament, prient,menacent et font télégraphier à Paria, ai-mant mieux, j'imagine, s'exposer aux vio-lent, reproches de leur maître que delaisser pericliUw la besogne qui leur avaitété donnée. Premier point.

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heures après, le grandpatron be-rnome, lord Rondolphpart en tonte bide Sm, la même destina-tele. Troisième point,

Cet exode nous a sente significatif.On m'a prit de thleOuvrir guelte était l'an-guille qui s'agitait sous roche, et Me voici.Ma première enquête a porté sur rmen-turc de l'antre soir, si cuisante pour maî-tres Brod et Piller et di,gie d'être traduiteuniele sipistitttel cran 'yode Caran d'Ache,'Maintenant, je vais tâcher de péiiétrerehâteau de IlMehegrise etde m'y place.rqualité de domestique. J'ai de bons °en-g-riot/és fi des référenees à revendre.

luire traire pas ce métier humi-liant ?

Pas.le moins du monde. Je me don-ne ta comédie à moi-mira, Ainsi, lent à./lettre, quand je Coffrais mes allumettesde contrebande, j'éprouvais une joiii.e.n-ce infime extrèmement rare et curieuse nije n'eusse pas donné Ma place pour mifauteuil d'orchestre à la Comédie-Feuil-nuise le soir d'une première de Durnes, I

Ce qui n'est pas peu dire.-- Tant mieux si cela t'amuse. Je sou-

haite de tout mon coeur que le résultat soitau niveau de les espérance,.

11 y sera, ne t'inquiète pas. Je te leferai savoir.

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Ah bah !Oni, je me marie à limf- délai et je

pars au Laos, emmenant nia femme.Quand reviendrons-nous I'

Problème!... Mais sois tranquille, jesuis capable d'aller te raconter mes aven-tures sur les rioes du Ménong à défaut decelles de la Seine. J'ai le gant dut voyage,:dans le sang et si je m'escrime petitementen Franco, c'est pour avoir kt Meute:, dentfeereimer grandemeet aux pays nou-veaux.

Jules Thiereelin cligna de Pceil Ohin airmatin.

Une simple prière I accueidesmoiSires là-bas, memc si je vends itrv alla-ameute, de contrebande-l...

-.. Mon cher noni, i.e sera de grand

Je n'en doute point.BI. maintenant, si tes mystérieuses

soccimakions te permettent, de revenir àlilonestier pour que je te présente à mafiancée, je....

Non, non!... Y p.ses-tu t Un mar-chand d'al/mettes, II est vrai que jene serais point pris de court, même si leefiételain de Rochegrise m'invitait h dînerce soir; mon habit est à Langear, avecmes souliers vernis. Mais le me pu,eioeiiepour mes recherches et je m'y consacreexclusivement; si mon flair n'est pas eu

éfaut, je suis persuadé qu'elles en meri-tent la peine. A/Ions, eu revoir. Contentde t'avoir vu. Sois heureux.

Et après avoir sergi la main d'Armand

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lempére-Atorel y a rassemblé tous lesmeilleurs arguments en faveur de nos con-ceptions et les a exposeen très clairementsous la Mime d'un dialogue entre un paymnet un socialiete Il y ;t'ajouté un programmede revendications immédiates avec ses comsidérants qui intéressera tous les militants.

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Serel, le rédacteur au ministère des ai-d'aires étrangères en service actif s'éloi-gna don pua dolibére.

XXXIIIResté. seul sur la route Armand regarda

on souriant disparaître la houppelande deson camarade Thiereelin.

Voiiiment il fallait que le désir de sedistinguer et de parvenir fût Inca grandpour déterminer un graçon plutetcraie, vermillent Laron de l'empire etdont le monocle faisait déjà sensationdans la cour du grand quartier du lycéede Besançon, à s'anrublee de la sorte!...Mais du moment el Den espérait desavantages hiérarchiques et qu'il y trou-vait son phlimr!...

Arnim/d Sorel, tout en se livrant à despltkosophiques réflexions sur la diversitédes goûts elles caprices Mt sort, atteignitle .pont de pierre .jeté sur la tronee, il pritlin petit sentier à peine frayé qui à Ira-vers,les oseraies, remontait le voues acci-dente de la petite rivière, et vint s'aerêterdouant le débouché de lit source souter-raine qui sortait de la montagne et queles gens du pays appelaient la « Geldenoire L

Vraiment les eux gonflées par la fontedes neiges faisaient un tapage assourdis-sardl... Elles couraient claires, rapides. sefrangeant d'écume passagère lorsque lesniches du fond les forçaient a quelquebrusque détour ou à franchir l'obstaclecaseatekles bouilionnantes.

Armand considérait le remous qui sefaisait à s. pieds par suite d'une interruption de pente. C'était là que la petiteMarthe avait été si miraculeusement. sau-r. !....

Mine %MMouverte tons tee leudes do 5 n ànet. de mir an eiège du PARTI 20.CIALISTE, un, boulevard de Ste»bourg, à TOULOUSE

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'ombre malheur Ou quel i.atroce ?....

Et tous en considérant l'endroir00 des ilots de sable, formé, et us,.par le courant, se mouvaient le lon,rive, le jeune homnae aperçut un elt,coulait lourdement entre deux eaux.

Cela avait une forme sensademeltangulaire avoc des boureoeflinesIlneaments qui traînaient sur le sSI,

Armand se pencha et essaya d'o.,l'objet sur le bord avec sa conne.quelques tentatives infructueuses dvint. Puise, plongeant sa main dau,-..il retira l'épave.

C'était 1111 amas informe depara,i.aient avoir été conte],enveloppe dont quetquesterme encore. Le tout encr,imbibé d'eau, déliquescent.

Les feuilles empâtées, au nombre d'onecinquantaine environ, étaient d- papi,vélin, très fin et de bonne ,! geparaissaient avoir reÇU 11110 sersrte, tracée avec de l'ene,emaintenant.que anéantie.

Armand Sorel s'i.vaille.

Qu'est-ce que vela pou,D'oh venait celte enveln,

par le fb 'Quel

PO pre..yeux

tot mystérieux du Pas-de,Uroneeeonnaissait tous les détails par t'alment et par Sylvain, line pensée lui Matout à Mut, (ut suivre).

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tan M'Ode mec me elmte impitoyable,aura actuelles, moralm et mamies du t.tausianisme. Sur ce sujet scabreux, ohfaux moraliste. s'evertuen; chaque jo0 s

lopper les idées lauSsOa. fauteur a le airdire et de don bien ce que chars,ce que chacun devrait penser. A Meurtpseudo-danger de le dépopulation affale it ,

Meaux estivais. juequ letr faire erraierelémentaires principes d'humanité. à !theme/es mattres de l'obstétrique, suivant le mouve-ment de fausse sensiblerie et d'hm:matiérisme eeebours, n'Usité,l pas s sacrifie la ve his sfer.. adulte peee samm 0e feetos 13,33.Itigeued'efil'Vdee deelarredeexlielt.11-esurtout de donner metacleuemete d la niatectrices le moyen de réaliser ce priaciphumanité plue large que Phyponsue demeurs ne permet pas d'afficher publique,.

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