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Clément Magloire OflttCTK R ' 1358. ÏUJIï AMERICAINE 1358 IELEPHONE N°2242 26éme ANNEE N'7813 Plus javance dans la curière de la tic, ttfa | ni>u\r le uaVaM éeessajre.ll dmeat à la luayur le plus yi-anil des plaisirs «t lirai lin de toutes les illusions qu'on a ptr* il II**W P. CORNEILLE PORT-AU-PRINCEKHAITO La Société d'Action Sociale * > SAMEDI 10 DECEMBRE t<T« TE EXTERIEURS ET INTELLECTUEL" EETAT S'il est vrai qu'aucune nation ne saurait vivi e sole.', celle nié s'applique partieuliéremeni à Haïti qui, tout eu comptai! feclueux de cette sorte d assis liiiceeàl dan. sa qualité politi que et tiua i e qui nous vaut, depuis déjà un grand no uore sur ses forces propres.a besoin I d'années détre exploité) jar les en vue de son développement, j nom ues d'argent et .cS ban de l'appui extérieur sous ses for » quiers américains, Que cette ex- mes diverses et, tn même temps, ploitation méholque ait été compatibles avec sa pleine sou- rendue possible e.i précisément veraineté. ! une démonstration de la néces Cet appui, pour réaliser I elfi site pour Haïti de a aider de cacité que nous pouvons en at- j toutes laçona, et arti ulière- tendre- dans tous les domai- ment e,i créa ni ei aug uenlaui ses points de contact avec des éléments sains et bienfaisants de | étranger, y compris des Etals-Unis eux-mêmes, en vue d'organiser dans son sein les force» de résistance utiles et de progrès. Il y a quelques mois, nous avons été visités par une délé- g liai importante d'intellectuels ;.m ricains venus apparemment l our établir des relations avec n >s organismes de ce genre en vue de créer une association de plus dans leflort latino-améri- cain pour s'élever de plus en nos : intellectuel, agricole, in- dustriel, commercial, politique, social, d'éducation,— implique un choix soigneusement étudié des éléments et des méthodes Faute de ce choix, nous ris- quons d'aller au hasard, à l'in- connu, au danger, aussi sûre- ment qtien laissant libre et sans réglementation toute im uigra- tion. |Jautre part, la défense na- tionale, aussi bien que l'appel de concours qu'il importe il'or- ganiser.ne sont pas uniquement aflaire des gouvernements : ils Herpès Ecxémii Psoriasis CjiDilitilin Boulons Furoncli. Vitricu Mi Dépurez votre Sang par la CUROMAL Votre sanp est impur. Il charrie des scories, QM UJtilxe», dont il n'a pu se j.'kirrasser. et ces impuretés se traduis* ni an irni.ui.nis exte- rieurai, an bote s, tl desagraablaa, si doulou- reux souvent : cloua, furoncles, boutons au» di'iiiaiii.'eaiM'iis iiisiippurialiles. Cl MM eiitlu les ulcères, les tumeort et les tlhrômes qui siirTlenueiit sur un organisme empoisonné par un sang rlelè. ttn peut éviter tout cela ou sen fuerlr rapldenem pai nue cure au Guromai. est la médication la plus simple, la plut non-iale et la plus scientifique, |ui utilisa les -.--• de plus de 23 plantes connues de nos uârej et des nielle, ,I. | antiquité, mais iluiit Monsieur GIRAUD, pharmai ien a, par des pro- dei modernes réuni las sucs dans une for- n.aie ipil lui a coûte des années d'eapi : < i de travail. Le succès a couronne ses ei le Curomal guérit le maladies ''e l écrémas, dartres, psoriasis jeniangeaiMjns, rougeurs, furoncles, bon' a, -, "Icêrcs, dou- leurs du ventre. ;" ge cri Le battement cotn;?rnant ,fc.jon CUROMAL a\.c boite nllult. (.«tulle et brochure explicative; *- loulc, bonne* pli.:rm.ciea. Prépare pur le l>ocl«;.r lilllAI H. pharinaeien, Ulioraloiic, du llli^iie. S, Bue Dolet. I.YlY-OIl.U.NS (France) * LES HAITIEHS00IVE.1T AVOIR ON PERMIS POUR TRAVERSER LA FRONTIERE ( Listin Diarlo du 25 Xouem- breî9S2) PORT.aU-PRINCE.- Le gouverne nenl haïtien a résolu d'é'ablir un système similaire à celui des autres pavs afin de con-rôler le p.ssage de ses con- citoyens en République DomU .uni;. <•! fiiy . à hvrtaul'riius : i'iiar -.-at-jUfaa* i risalion 11", ii ..|tie in- téresse tvanl de peuvoir passer la Irontière doit se procurer une permission spéciale qu'il doit solliciter du Départis I«Q| rie }'l l'éiienr de ... capil iV. Les l'istru 'ion i on' él» i. i a£«« -m X an'ori es civiles et uni aires ,| la frontière de ne lnis*»r pA«<tei la frontière haïtienne "ers S<n- l'o Domingo gicles n»tsonne* qui son! muni s de :>| e tu'o- Il y a Vinat-cinq ans . I LF MATIN, 10 Décembre WU71 ;. CHAMP DE COURSES J 4tP^-- sont, autant si ce n'est plus, al- , plus, par fèlude el les échanges faire de notre Société ellc-mè ine puisque c'est bien en vue de l'intérêt et du développement des forces sociales que, part cu- lièrement dans ce cas, les gou- vernements sont sensés interve- nir. Or, les éléments de ense et de protection de notre So ciêie, généralement rares dans tous les domaines, paraissent manquer parliculièremeui tlans le domaine de nos rapports ex- térieurs. Quels sont en ellet, nos points de contact avec l'étranger ? Les plus banals et les plus tréquents sont, dans le domaine privé, les relations de nos commerçants, relations pures d'allaires dont nous ne saurions attendre des conditions de relèvement social. Toujours dans l'ordre privé, nous pouvons mentionner de très nombreuses relations per- sonnelles que les Haïtiens qui voyagent rapportent et parfois ealretiennent, mais qui consti- tuent des lieus'trop faibles pour compter valablement au nom- bre de nos moyens d'améliora- tion. Quant aux étrangers qui habitent eux-mêmes le pays, en leur supposant.ee qui n'est pas toujours vrai, quelque influence bienfaisante dans notre milieu, on est forcé de convenir qu elle est tiop personnelle pour ra- yonner d'une façon sullisam- ment ellicace sur l'état de notre société. Au reste, il faut bien le dire, les hommes et les milieux l'ont des échanges de réactions et les pi emiers.au lieu d'inlluen - cer les seconds, finissent sou- vent par s'y acclamater, à tous les points de vue .physique,mo- ral, sentimental. La plus grande place appar- tient certainement, dans ce do- maine de 1-influence étrangère, aux établissement! d'enseigne ment dirigés, la plupart, par les Ordres religieux étrangers. Leur oeuvre intellectuelle cl morale est certes élevée et certaine, mais s'exerce dans le cadre lor ce des choses haïtiennes sans pouvoir le déborder.tenus qu'ils sont de proiesser selon l'esprit de notre législation; alors que bien souvent, c'est celui ci qu il faudrait arriver à modifier. L'influence purementreligieu- se qui a'exerce en Haïti, est, elle aussi, en grande partie étrange re; mais elle est limitée aux choses de l'àme qui n'ont que <les rapports assez éloignés avec «évolution sociale et qui ne po- sent que les problèmes qui leur sont propres. Lutin, i epuis quelque temps, Un traité avec les Etats Luis nous vaut unlrotleuieutdegran «surtaceavecrinflueqeeétran- dece paya. Bien inspirée cette inflaei ce eut pu sensible m -i auir sur notre milieu dans »'.' sens plus aiguille vers le progrès social que nous n'avons Si a le constater. Le côté de- intellectuels, dans la poursuite des idéaux désintéressés. Ac- cueillis, certes, dans une atmos phére de sympathie courtoise et éclairée, mais quelque peu im- prégnée de politique; et ne trouvant pas, par conlie, les or- ganismes d'ordre intellectuel— centres d'étude, musées, biblio- thèques publiques et le reste, - avec lesquels ils auraient pu je- ter les bases dune collabora- lion mutuellement fructueuse et p olilable, ils ont s'en aller sans pouvoir peut être assurer Ue lendemain à leur trop court séjour à Poi t-au-Prince.Cel état de choses constitue une honte pour nous et il importe que nous en sortions A notre humble avis, partagé d'ailleurs par quelques collè- gues, une Société à préoccupa- tions sociales, comme la notre, beaucoup à laire dans le vaste champ de I organisation de n >s lorces intellectuelles dispersées pour porter l'élite du Pays,— ou plutôt ses élites, car l'entreprise intéresse nos forces de tous ordres,— à se mettre en étal pour progresser, aujourdhui que nous n'avons plus les trou- bles politiques pour excuse, et pour provoquer des échanges d'inspirations avec les forces organisées des mêmes ordres de 1 étranger sous quelque lali- lude que ce soil, afin que la so ciété haïtienne puisse, d'abord, assurer son évolution avec ses propres moyens privés sans tout attendre de Pouvoirs pu- blics qui, le plus souvent, se recrutent moins dans les rangs du mérite et de la capacité op- portune que selon les busards des événements, el ensuite laire dignement figure dans le monde extérieur. Pour cela, nous devons tendre à une double organisation : cel- le des forcée du présent et celle des forces de l'avenir. Les for- ces disponibles s >nt représen- tées par nos compétences, nos professionnels de tous ordres qu'un appel peut grouper el ré- partir selon les distinctions na- turelles. Une fois créé el aménagé 1 organisme que devra réprésenter c t ensemble, des relations pounont être immé- diatement établies avec les Corps constitués de l'étranger, et le temps, la bonne volonté, les assiduités indispensables, les appuis nécessaires, assureront, à \\'c\\ pas douter, le dévelop peinent et l'avenir de 1 œuvre ainsi que la contribution haï- tienne au mouvement intellec- tuel universel. Nous avons des concitoyens de profondes cou naissances spéciales, dans près 3ue tous les ordres d activités, ont les moyens et le> di restent slationnaires et mène diminuent, faute de sollicita- tions : l'organisme envisagé pa- rera a celte lacune de notre i CEINTURES SACS A EN « CELLOPHANE » KNEER'S GAIUGR C'est à fort que les horse* i raen, dana leur nrticle dn 10 [ courant, ont voulu prêter aux } '...voit que Yestwcet*après- organisatenrs des courses de imidi qu'aura lieu au, rare- lin d'année l'intention d'eta- JLeconte, et sous la présidence blir le poteau d'arrivée à lu d'honneur de Mr Stark.consul lin de In course sa d-ouest, le point de dép.rt. tout indiqué d'ailleurs, avait été rimi ivement tix^ eu l.ice de l'ein >! H enient <Jp la luture trib i .H al sur le parcourt l'une Igné absolnoi 'ni droi- te, tracée an su \ de la piste actuelle, ei allant de l'rst a l'Ouest. Désiranl cependant donner s iiM iction ans l'ropriétaires ' le chevaux, n o u s avons, ooor cette fois, lé-i d'éta* blir le but sur h h^n'» droite à l'Ouest du Chsm > de Cour se«, avant le pont .1.- la pri- son des femmes, tout en leur faisant observer que ce point lphone donne ta ce au soleil, ce qui présen te u i inconvénient pour le public. Les propriétaires ( | e che- viux sont priés rie les taire Inscrire, à partir d'aujo îr- de Hollande, le match de football entre l'équipe du» Van Ness » et une équipe luûlienne sélectionnée. Entrée générale : cinquante centimes. . .voit que le célibat a ses ennuis, et que certain de nos (•mis qui représente, un e.vcel- lent parti matrimonial est littéralement assiégé par les mères de famille. Les demoi- selles mettent aussi la main èi In pale et avec une opiniti- trelé qui tient de la cruauté d'une chasse éi l'homme. Le panne traqué a se rési- gner à faire enlever son télé- Mesdames, Mesdemoiselles monstralions. P ISS /. agasin voir nos Voir notre 4èmc Page courant, les inscriptions se- ront reçues jusqu'à a lundi l(i courant à dix heur -s du ma. lin. social, si grave quelle équivaut A noire a via A une décapitation volontaiie. l'heure actuel! L organisation de nos lorces de l'avenir s'entend d'une pré parution de noire jeûneuse en vue de recevoir des mains des aines le flambeau ainsi allumé et entretenu. Cette préparation, nous ne l'entrevoyons par très aisée, en raison de celle très routinière qui caractérise l'es- prit WM il constitue, à e un devoir so- cial des plus impérieux ; car cest noire organisation sociale môme à laquelle il s'agit de mettre la main : seul résultai Vie sportive PAHC-LECONTE Ce soir à I heure suran| sjatcli inter- lc Ti")! , ; ... voit (pie tes nombreux amateurs invités l'autre soir à assister mi fonctionnement de l'appareil ciné-jmrlant de Paramont, sont partis enchan- tés. Le film était de toute beauté, Tëclairagt parfait, ta musique et les dialogues d'une netteté incomparable!ou» nos compliments <i notre ami Lu- ci a Lafontanl. I * ... Voit que p. a T. P, a entrepris de sérieux travaux de réfection sur un tronçon de fa route Porl-au-Princc Léogâne. C'est de la bonne bc- ^ sogne, Monsieur Jcannol.Com- \ plimenls. national un onze capable l'action de f<7orï):iii entre haïuen el un team d'aider efficacement à des Pouvoirs publics lorsqu elle est bien veilla n le mais insuffisante ; d'en contra- rier ou atténuer les effets lors- ... voit que la machine du jour, c'est la Phpnouth six roues libres el flatUlQ pincer. Il est impossible d'imntpner du contre-torpilleur « Van " / "' élégance plus ravissante Ness». Cet événemenl spor- (/( ' lignes. Et quant au m<>- l'i attirail avant-hier el hier / ''" / '- '* suffit de se rappeler une foule assez considérable <l"'H sort des Usines Chrysler, au Parc-Leconte. Nous en pour admettre qu'il n'y a pois étions.Pensez donc:un match mieux. Well ptay ! Iranck bre de nos maîtres réputés et éprouvés de l'enseignement Parmi eux el nonobstant de grandes qualités individuelles d intelligence et d application, la plupart n'ont pas reçu à temps la préparation qui devait garantir une pleine formation de leurs élèves : de là, le tait de rencontrer sans étonnemenl de jeunes sujets dont les études, appareillent compilées, ont par- Forcés de nous eu tenir, dans celle communication, dans les généralités, el désireux vive- ment de voir considérer, par la Société d'Action sociale, les aspects concrets de celle im portante communication, nous prions l'Assemblée de bien vou- loir décider de la déférer à I é- Unie d'une Commission spéciale avec prière de présenter son international, même avec une équipe du boni, fouette le sentimenl national el toul le monde brûle de connaître ceux qui sonl choisis pour (l) Celte commonteatl >n t été fai- te, pur Auguste Magloire el Marc Moulés, à la ince du 3 décembre de la Société d'Action Sociale. Il lois des lacunes regrettables. Le ^ a PP or * le I )Ius l °l possible, lait que ces cu.les oui pu néan- moins recevoir leur sanction universitaire élablit que, Justine dans ce domaine, sévissent, avec l'insuffisance des maîtres, la pro« i lection et le favoritisme carac-1 léristiquea des choses Malien-' nés. La conséquerc générale! est un niveau peu élevé de no- tre enseignement à tous ses éta- ges par rapport aux conditions du môme enseignement à l'ex- lérieur, ce qui est le contraire du progrès. Le double effort qu il peul y avoir ainsi lieu de faire agir sur le présent coin l'avenir, ne peut bien avoir d'autre objectil ganisation et la torm éliles, c'est-à dire tl « Je ne fume pas, je ne bois pis, le nenlreliens pas d'hétaïres », di- sait Anle.ior l-'irmiii ijui semlilnit voir du goût pour l'ascétisme. NI hétaïre, ni fumerie, passe encore. Mais boire I...II es! vrai qu'au temps ctejà lointain l'auteur de I Egalité Martin. ..... voit qu'une brouille d'é- poux ne résiste pas à un ca- deau choisi par un mari re- défendre ses couleurs, Corn- pentant aux merveilleuses vi- me toul le mon le, nous avons rrines de la Maison René La- obstinémenl cherché ;i avoir foulant, rue du Magasin de j la composition de l'équipe l'Etat,ft7î8 Vous savez qu'an .haïtienne, pour nos lecteurs y trouve tes plus jolis bas de d abord et ensuite pour peser soie, des bibelots d'un cachet nos chances de victoire el de vraiment artistique, la plus [défaite; mais les membres suave parfumerie, de vrais de |'U. S. S. II., sans aucun bijoux de souliers el de cha- mystére, il fàul en convc- peaux Le tout agrémenté nir -avouèrent qu'il n'y avait d'un accueil qui vota engage (rien ue «définitif», uonobs- '' .'/ revenir. Jtanl l'entière confiance qu'ils } Joui dans le triomphe des no- ... voit qu'il est impossible de très, 'l'uni mieux] En foule au ParcLecopte, l'entréêTi'asI donc que de 0,50. Détail in- téressant : l'équipage du a Van Ness «.durant sa croisière dans les Antilles, joua beaucoup à Kingston, n Santiago de Cuba, guenl derrière les vitrines.Deav passer devant f Epicerie ou le llcslaiiranl Dereix sans que J eau ne' vous vienne à ta bou- che. Ici. c'est par les yeux qu'on est pris. Tant de bonnes choses comestibles vous nar- surtoul à Willeraslad, poi'i d'attache. ue pas plus loin, un fumet si ] apéritif el si tyrannique qu'il \ faut vraiment n'avoir pas le I rond en poche pour résister éi la tentative de commander son couvert ... voit tpie si la plus jolie femme du monde ne donne Idéal ALIX ROY 30 années de succès. poxe) essuyait d'accaparer le [jamais que et qu'elle a ..la vUi Parc-Leconte et chasser les S()N IUKHAXCOURT VOUS donne sportsmen de leur pâte- \la joie et l'oublifappéllit et la lin. D'aiUeurs, les Hollandais, \vigueur, avec rien que deux. qui s'y connaissent era- tfoi^s le s on fameux Goutte; porteraienl de notre stade un bien dosa Bil fallait ne pas déba U U nain d'un tel ,. hafau- dage. Qu'en pensent Calot Thé rdV * Otc-moi d'un doute— Le for ô étoil Président de IL. S. S.'H. lit publier un énergique avis il «trancha sur le vii>, sans ambaget, ni équivoque, îa question des Clubs radiés j i

Clément Magloire - ufdcimages.uflib.ufl.eduufdcimages.uflib.ufl.edu/UF/00/08/12/13/07175/01108.pdf · que et tiua i ,é e qui nous vaut, déjà un grand no uore sur ses forces propres.a

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Clément Magloire OflttCTK R '

1358. ÏUJIï AMERICAINE 1358 IELEPHONE N°2242

26éme ANNEE N'7813

Plus javance dans la curière de la tic, ttfa | ni>u\r le uaVaM ■éeessajre.ll dmeat à la luayur le plus yi-anil des plaisirs «t lirai lin de toutes les illusions qu'on a ptr* il II**W

P. CORNEILLE

PORT-AU-PRINCEKHAITO

La Société d'Action Sociale * >■■■■

SAMEDI 10 DECEMBRE t<T«

TE EXTERIEURS ET INTELLECTUEL"

EETAT

S'il est vrai qu'aucune nation ne saurait vivi e sole.', celle vé nié s'applique partieuliéremeni à Haïti qui, tout eu comptai!

feclueux de cette sorte d assis liiiceeàl dan. sa qualité politi que et tiua i ,é e qui nous vaut, depuis déjà un grand no uore

sur ses forces propres.a besoin I d'années détre exploité) jar les en vue de son développement, j nom ues d'argent et .cS ban de l'appui extérieur sous ses for » quiers américains, Que cette ex- mes diverses et, tn même temps, ploitation méholque ait été compatibles avec sa pleine sou- rendue possible e.i précisément veraineté. ! une démonstration de la néces

Cet appui, pour réaliser I elfi site pour Haïti de a aider de cacité que nous pouvons en at- j toutes laçona, et arti ulière- tendre- dans tous les domai- ment e,i créa ni ei aug uenlaui

ses points de contact avec des éléments sains et bienfaisants de | étranger, y compris des Etals-Unis eux-mêmes, en vue d'organiser dans son sein les force» de résistance utiles et de progrès.

Il y a quelques mois, nous avons été visités par une délé- g liai importante d'intellectuels ;.m ricains venus apparemment l our établir des relations avec n >s organismes de ce genre en vue de créer une association de plus dans leflort latino-améri- cain pour s'élever de plus en

nos : intellectuel, agricole, in- dustriel, commercial, politique, social, d'éducation,— implique un choix soigneusement étudié des éléments et des méthodes Faute de ce choix, nous ris- quons d'aller au hasard, à l'in- connu, au danger, aussi sûre- ment qtien laissant libre et sans réglementation toute im uigra- tion.

|Jautre part, la défense na- tionale, aussi bien que l'appel de concours qu'il importe il'or- ganiser.ne sont pas uniquement aflaire des gouvernements : ils

Herpès Ecxémii Psoriasis CjiDilitilin Boulons Furoncli. Vitricu Mi

Dépurez votre Sang par la

CUROMAL Votre sanp est impur. Il charrie des scories,

QM UJtilxe», dont il n'a pu se j.'kirrasser. et ces impuretés se traduis* ni an irni.ui.nis exte- rieurai, an bote s, tl desagraablaa, si doulou- reux souvent : cloua, furoncles, boutons au» di'iiiaiii.'eaiM'iis iiisiippurialiles. Cl MM eiitlu les ulcères, les tumeort et les tlhrômes qui siirTlenueiit sur un organisme empoisonné par un sang rlelè. ttn peut éviter tout cela ou sen fuerlr rapldenem pai nue cure au Guromai.

est la médication la plus simple, la plut non-iale et la plus scientifique, |ui utilisa les -.--• m» de plus de 23 plantes connues de nos uârej et des nielle, m» ,I. | antiquité, mais iluiit Monsieur GIRAUD, pharmai ien a, par des pro-

dei modernes réuni las sucs dans une for- n.aie ipil lui a coûte des années d'eapi : < i de travail. Le succès a couronne ses ei le Curomal guérit le maladies ''e l écrémas, dartres, psoriasis jeniangeaiMjns, rougeurs, furoncles, bon' a, -, "Icêrcs, dou- leurs du ventre. ;" ge cri ■ •

Le battement cotn;?rnant ,fc.jon CUROMAL a\.c boite nllult. (.«tulle et brochure explicative; *- loulc, bonne* pli.:rm.ciea. — Prépare pur le l>ocl«;.r lilllAI H. pharinaeien, Ulioraloiic, du llli^iie. S, Bue Dolet. I.YlY-OIl.U.NS (France) *

LES HAITIEHS00IVE.1T AVOIR ON PERMIS POUR TRAVERSER

LA FRONTIERE ( Listin Diarlo du 25 Xouem-

breî9S2)

PORT.aU-PRINCE.- Le gouverne nenl haïtien a résolu d'é'ablir un système similaire à celui des autres pavs afin de con-rôler le p.ssage de ses con- citoyens en République DomU

• .uni;. <•!

fiiy . à hvrtaul'riius : i'iiar ■-.-at-jUfaa* i risalion

11", ii ..|tie in- téresse tvanl de peuvoir passer la Irontière doit se procurer une permission spéciale qu'il doit solliciter du Départis I«Q| rie }'l l'éiienr de ... capil iV. Les l'istru 'ion i on' él» i. i a£«« -mX

an'ori es civiles et uni aires ,| la frontière de ne lnis*»r pA«<tei la frontière haïtienne "ers S<n-

l'o Domingo gicles n»tsonne* qui son! muni s de :>| e tu'o-

Il y a Vinat-cinq ans .

I LF MATIN, 10 Décembre WU71 ;.

CHAMP DE COURSES J 4tP^--

sont, autant si ce n'est plus, al- , plus, par fèlude el les échanges faire de notre Société ellc-mè ine puisque c'est bien en vue de l'intérêt et du développement des forces sociales que, part cu- lièrement dans ce cas, les gou- vernements sont sensés interve- nir. Or, les éléments de dé ense et de protection de notre So ciêie, généralement rares dans tous les domaines, paraissent manquer parliculièremeui tlans le domaine de nos rapports ex- térieurs.

Quels sont en ellet, nos points de contact avec l'étranger ? Les plus banals et les plus tréquents sont, dans le domaine privé, les relations de nos commerçants, relations pures d'allaires dont nous ne saurions attendre des conditions de relèvement social. Toujours dans l'ordre privé, nous pouvons mentionner de très nombreuses relations per- sonnelles que les Haïtiens qui voyagent rapportent et parfois ealretiennent, mais qui consti- tuent des lieus'trop faibles pour compter valablement au nom- bre de nos moyens d'améliora- tion. Quant aux étrangers qui habitent eux-mêmes le pays, en leur supposant.ee qui n'est pas toujours vrai, quelque influence bienfaisante dans notre milieu, on est forcé de convenir qu elle est tiop personnelle pour ra- yonner d'une façon sullisam- ment ellicace sur l'état de notre société. Au reste, il faut bien le dire, les hommes et les milieux l'ont des échanges de réactions et les pi emiers.au lieu d'inlluen - cer les seconds, finissent sou- vent par s'y acclamater, à tous les points de vue .physique,mo- ral, sentimental.

La plus grande place appar- tient certainement, dans ce do- maine de 1-influence étrangère, aux établissement! d'enseigne ment dirigés, la plupart, par les Ordres religieux étrangers. Leur oeuvre intellectuelle cl morale est certes élevée et certaine, mais s'exerce dans le cadre lor ce des choses haïtiennes sans pouvoir le déborder.tenus qu'ils sont de proiesser selon l'esprit de notre législation; alors que bien souvent, c'est celui ci qu il faudrait arriver à modifier.

L'influence purementreligieu- se qui a'exerce en Haïti, est, elle aussi, en grande partie étrange re; mais elle est limitée aux choses de l'àme qui n'ont que <les rapports assez éloignés avec «évolution sociale et qui ne po- sent que les problèmes qui leur sont propres.

Lutin, i epuis quelque temps, Un traité avec les Etats Luis nous vaut unlrotleuieutdegran «surtaceavecrinflueqeeétran-

dece paya. Bien inspirée cette inflaei ce eut pu sensible m -i auir sur notre milieu dans »'.' sens plus aiguille vers le progrès social que nous n'avons Si a le constater. Le côté de-

intellectuels, dans la poursuite des idéaux désintéressés. Ac- cueillis, certes, dans une atmos phére de sympathie courtoise et éclairée, mais quelque peu im- prégnée de politique; et ne trouvant pas, par conlie, les or- ganismes d'ordre intellectuel— centres d'étude, musées, biblio- thèques publiques et le reste, - avec lesquels ils auraient pu je- ter les bases dune collabora- lion mutuellement fructueuse et p olilable, ils ont dû s'en aller sans pouvoir peut être assurer Ue lendemain à leur trop court séjour à Poi t-au-Prince.Cel état de choses constitue une honte pour nous et il importe que nous en sortions

A notre humble avis, partagé d'ailleurs par quelques collè- gues, une Société à préoccupa- tions sociales, comme la notre, beaucoup à laire dans le vaste champ de I organisation de n >s lorces intellectuelles dispersées pour porter l'élite du Pays,— ou plutôt ses élites, car l'entreprise intéresse nos forces de tous ordres,— à se mettre en étal pour progresser, aujourdhui que nous n'avons plus les trou- bles politiques pour excuse, et pour provoquer des échanges d'inspirations avec les forces organisées des mêmes ordres de 1 étranger sous quelque lali- lude que ce soil, afin que la so ciété haïtienne puisse, d'abord, assurer son évolution avec ses propres moyens privés sans tout attendre de Pouvoirs pu- blics qui, le plus souvent, se recrutent moins dans les rangs du mérite et de la capacité op- portune que selon les busards des événements, el ensuite laire dignement figure dans le monde extérieur.

Pour cela, nous devons tendre à une double organisation : cel- le des forcée du présent et celle des forces de l'avenir. Les for- ces disponibles s >nt représen- tées par nos compétences, nos professionnels de tous ordres qu'un appel peut grouper el ré- partir selon les distinctions na- turelles. Une fois créé el aménagé 1 organisme que devra réprésenter c t ensemble, des relations pounont être immé- diatement établies avec les Corps constitués de l'étranger, et le temps, la bonne volonté, les assiduités indispensables, les appuis nécessaires, assureront, à \\'c\\ pas douter, le dévelop peinent et l'avenir de 1 œuvre ainsi que la contribution haï- tienne au mouvement intellec- tuel universel. Nous avons des concitoyens de profondes cou naissances spéciales, dans près 3ue tous les ordres d activités, ont les moyens et le> di

restent slationnaires et mène diminuent, faute de sollicita- tions : l'organisme envisagé pa- rera a celte lacune de notre i

CEINTURES SACS A EN « CELLOPHANE »

KNEER'S GAIUGR

C'est à fort que les horse* i raen, dana leur nrticle dn 10 [ courant, ont voulu prêter aux } '...voit que Yestwcet*après- organisatenrs des courses de imidi qu'aura lieu au, rare- lin d'année l'intention d'eta- JLeconte, et sous la présidence blir le poteau d'arrivée à lu d'honneur de Mr Stark.consul lin de In course sa d-ouest,

le point de dép.rt. tout indiqué d'ailleurs, avait été • rimi ivement tix^ eu l.ice de l'ein >! H enient <Jp la luture trib i .H al sur le parcourt l'une Igné absolnoi 'ni droi- te, tracée an su \ de la piste actuelle, ei allant de l'rst a l'Ouest.

Désiranl cependant donner s iiM iction ans l'ropriétaires

' le chevaux, n o u s avons, ooor cette fois, lé-i lé d'éta* blir le but sur h h^n'» droite à l'Ouest du Chsm > de Cour se«, avant le pont .1.- la pri- son des femmes, tout en leur faisant observer que ce point lphone donne ta ce au soleil, ce qui présen te u i inconvénient pour le public.

Les propriétaires (|e che- viux sont priés rie les taire Inscrire, à partir d'aujo îr-

de Hollande, le match de football entre l'équipe du» Van Ness » et une équipe luûlienne sélectionnée. Entrée générale : cinquante centimes.

• • • . .voit que le célibat a ses

ennuis, et que certain de nos (•mis qui représente, un e.vcel- lent parti matrimonial est littéralement assiégé par les mères de famille. Les demoi- selles mettent aussi la main èi In pale et avec une opiniti- trelé qui tient de la cruauté d'une chasse éi l'homme. Le panne traqué a dû se rési- gner à faire enlever son télé-

Mesdames, Mesdemoiselles monstralions.

P ISS ■/. agasin voir nos

Voir notre 4èmc Page

courant, les inscriptions se- ront reçues jusqu'à a lundi l(i courant à dix heur -s du ma. lin.

social, si grave quelle équivaut A noire a via A une décapitation volontaiie. l'heure actuel!

L organisation de nos lorces de l'avenir s'entend d'une pré parution de noire jeûneuse en vue de recevoir des mains des aines le flambeau ainsi allumé et entretenu. Cette préparation, nous ne l'entrevoyons par très aisée, en raison de celle très routinière qui caractérise l'es- prit

WM

il constitue, à e un devoir so-

cial des plus impérieux ; car cest noire organisation sociale môme à laquelle il s'agit de mettre la main : seul résultai

Vie sportive PAHC-LECONTE Ce soir

à I heure suran| sjatcli inter- lc Ti")!

,;

... voit (pie tes nombreux amateurs invités l'autre soir à assister mi fonctionnement de l'appareil ciné-jmrlant de Paramont, sont partis enchan- tés. Le film était de toute beauté, Tëclairagt parfait, ta musique et les dialogues d'une netteté incomparable!ou» nos compliments <i notre ami Lu- ci a Lafontanl.

I *

... Voit que là p. a T. P, a entrepris de sérieux travaux de réfection sur un tronçon de fa route Porl-au-Princc Léogâne. C'est de la bonne bc-

^ sogne, Monsieur Jcannol.Com- \ plimenls.

national un onze

capable l'action

de f<7orï):iii entre haïuen el un team

d'aider efficacement à des Pouvoirs publics

lorsqu elle est bien veilla n le mais insuffisante ; d'en contra- rier ou atténuer les effets lors-

... voit que la machine du jour, c'est la Phpnouth six roues libres el flatUlQ pincer. Il est impossible d'imntpner

du contre-torpilleur « Van "/"' élégance plus ravissante Ness». Cet événemenl spor- (/(' lignes. Et quant au m<>- l'i attirail avant-hier el hier /''"/'- '* suffit de se rappeler une foule assez considérable <l"'H sort des Usines Chrysler, au Parc-Leconte. Nous en pour admettre qu'il n'y a pois étions.Pensez donc:un match mieux. Well ptay ! Iranck

bre de nos maîtres réputés et éprouvés de l'enseignement Parmi eux el nonobstant de grandes qualités individuelles d intelligence et d application, la plupart n'ont pas reçu à temps la préparation qui devait garantir une pleine formation de leurs élèves : de là, le tait de rencontrer sans étonnemenl de jeunes sujets dont les études, appareillent compilées, ont par-

Forcés de nous eu tenir, dans celle communication, dans les généralités, el désireux vive- ment de voir considérer, par la Société d'Action sociale, les aspects concrets de celle im portante communication, nous prions l'Assemblée de bien vou- loir décider de la déférer à I é- Unie d'une Commission spéciale avec prière de présenter son

international, même avec une équipe du boni, fouette le sentimenl national el toul le monde brûle de connaître ceux qui sonl choisis pour

(l) Celte commonteatl >n t été fai- te, pur Auguste Magloire el Marc Moulés, à la ié ince du 3 décembre de la Société d'Action Sociale.

Il

lois des lacunes regrettables. Le ^aPPor* le I)Ius l°l possible, lait que ces cu.les oui pu néan- moins recevoir leur sanction universitaire élablit que, Justine dans ce domaine, sévissent, avec l'insuffisance des maîtres, la pro« i lection et le favoritisme carac-1 léristiquea des choses Malien-' nés. La conséquerc ■ générale! est un niveau peu élevé de no- tre enseignement à tous ses éta- ges par rapport aux conditions du môme enseignement à l'ex- lérieur, ce qui est le contraire du progrès.

Le double effort qu il peul y avoir ainsi lieu de faire agir sur le présent coin l'avenir, ne peut bien avoir d'autre objectil ganisation et la torm éliles, c'est-à dire tl

« Je ne fume pas, je ne bois pis, le nenlreliens pas d'hétaïres », di- sait Anle.ior l-'irmiii ijui semlilnit ■voir du goût pour l'ascétisme. NI hétaïre, ni fumerie, passe encore. Mais boire I...II es! vrai qu'au temps ctejà lointain où l'auteur de I Egalité

Martin.

..... voit qu'une brouille d'é- poux ne résiste pas à un ca- deau choisi par un mari re-

défendre ses couleurs, Corn- pentant aux merveilleuses vi- me toul le mon le, nous avons rrines de la Maison René La- obstinémenl cherché ;i avoir foulant, rue du Magasin de

j la composition de l'équipe l'Etat,ft7î8 Vous savez qu'an .haïtienne, pour nos lecteurs y trouve tes plus jolis bas de d abord et ensuite pour peser soie, des bibelots d'un cachet nos chances de victoire el de vraiment artistique, la plus

[défaite; mais les membres suave parfumerie, de vrais de |'U. S. S. II., sans aucun bijoux de souliers el de cha- mystére, il fàul en convc- peaux Le tout agrémenté nir -avouèrent qu'il n'y avait d'un accueil qui vota engage

(rien ue «définitif», uonobs- '' .'/ revenir. Jtanl l'entière confiance qu'ils } Joui dans le triomphe des no- ... voit qu'il est impossible de

très, 'l'uni mieux] En foule au ParcLecopte, l'entréêTi'asI donc que de 0,50. Détail in- téressant : l'équipage du a Van Ness «.durant sa croisière dans les Antilles, joua beaucoup à Kingston, n Santiago de Cuba, guenl derrière les vitrines.Deav

passer devant f Epicerie ou le llcslaiiranl Dereix sans que J eau ne' vous vienne à ta bou- che. Ici. c'est par les yeux qu'on est pris. Tant de bonnes choses comestibles vous nar-

surtoul à Willeraslad, poi'i d'attache.

ue

pas plus loin, un fumet si ] apéritif el si tyrannique qu'il \ faut vraiment n'avoir pas le I rond en poche pour résister

éi la tentative de commander son couvert

... voit tpie si la plus jolie femme du monde ne donne

Idéal ALIX ROY

30 années de succès.

poxe) essuyait d'accaparer le [jamais que et qu'elle a ..la vUi Parc-Leconte et chasser les S()N IUKHAXCOURT VOUS donne sportsmen de leur pâte- \la joie et l'oublifappéllit et la lin. D'aiUeurs, les Hollandais, \vigueur, avec rien que deux. — qui s'y connaissent era- tfoi^s le s on fameux Goutte; porteraienl de notre stade un bien dosa Bil fallait ne pas déba U U nain d'un tel ,. hafau- dage. Qu'en pensent Calot Thé rdV

* • Otc-moi d'un doute— Le

for ô étoil

Président de IL. S. S.'H. lit publier un énergique avis où il «trancha sur le vii>, sans ambaget, ni équivoque, îa question des Clubs radiés j

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