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9#; Anitfa QUINZE CENTIMES - UE CODRRI A.J^OT^TSriSIMLEJN-TS tienliH «t Olat' 4 mtrei aép % fr Ir fr On i àbN nnb nui Bureiux du Journil et dins tous les bureaux de j)osle. — L’abonnement est payable d'aiance et contint e de plein droit jusqu'à réception 4V»is contraire. . »» Ofcc» QUINZE CENTIMES JOURNAL IDE SENLIS Paraissant Dimanche L’OISE Directeur-Gérant : E. LANCIAUX SEIVJLIS BUREAUX, RÉDACTE^ & ADMINISTRATION Place de ^*ate*-de-ViIle, t ^ ^ k ff. - SE1V I.IS r'crici.rex Annonces légales ............... Annonces volontaires ............... TDBÎS XITSElieTXOlSrS a e. la ligne. | Réclames. Faits divers .................................. ON N’a OCBPTB PAS D’INSERTION AU-DESSOUS DE 1 FRANO annonce». rAclamea, «te., «onr-.em«.r»t JP&ria «t le* soxit atix. bureaux du journjxl. Quelques réflexions © U L A . Question du Pain Voici la question du pain re/enui à l’ordre du jour. Il semblera juste qu’au milieu des erreurs qui se disent et s’impriment sur le sujet, il soit permis à la v^ritd de se faire connaître en disant elle aussi son petit mot. Certes, la crise actuelle n’aurait pas atteint la même acuité si les pouvoirs publics avaient tenu la mtin, dès le début de rette campagne, à ce que la farine ne redevint pas blanche. A manger moi s blanc les six premiers mois, nous aurions gagné de manger moins noir les six derniers Ce fut l’erreur initiale. C’en est une autre que de laisser croire au public que les céréales sont écrasées sans être nettoyées, et qu’il faut voir li, la cause des maux d’esiomac. Dans tous les moulins le blé passe dans l’émotteur, puis les tarares, puis les trieurs et enfin la colonne brasse. Si des dérangements digestifs peuvent être impu tables au pain, la cause n’en serait elle pas plutôt dans l’inges ion des panieulas de son, lequel ne doit pas être très assi milable. L’accusation se ramènerait alors à une simple question d’accautinnance. C'est une erreur encore de se figurer 3 ue la seule adjonction des succédanés onne au ijain son vilain aspect. De la farine de froment pur, tirée à 80% est très vilaine, car dans le blé courant cette proportion de farine ne s’y trouve pas. Or pour l’obtenir quand même, il faut y ajouter du son, les fins de mouture, remoulages • blarms, bis, n’y suffisant pas. Ifu ’y a pas là matière à appréciation, c’est une question de fait. Néanmoins, le journal Le Temps parlait ces jours ci de farine à 83 %■ Sans doute s’agissait il du blé récolté dans « le Paradis Terrestre ! » Réjouissons-nous, si comme l’annon çait La Liberté, des blés de provenances é oignées (Australie. Argentine), nous parviennent en fia de campagne par voi liers. L’incorporation d s succédanés en serait réduite d’autant. Mais gardons-nous d’eu déduire, comme l’a fait la presse, que ce sera le retour an pain blanc. Il est évidemment fort regretiable que de tous ces fameux « succédannés » pas un ne rachète la fâcheuse couleur que lui donnent les autres. En 1918, les meuniers ont reçu de la farine de riz, ils oui, cette année, des haricots, du seigle, des farines basses étrangères et surtout du maïs. La série n’esl sans doute pas close. Ces marchai-'dises n’arrivent pas toutes en même temps et dans la même propor tion dans louâ les moulins, ni par même 1 quantités. La place dont dispose le meu nier, son personnel, l’état de son s ook, sa clientèle et une foule d’autres facteurs entrent en jeu et font que le pain n’est pas et ne peut pas ê're partout semblable, ni même continu dans une même fabrica tion. Devant une matière première aussi ver satile, souvent même si pauvre en princi pes fondamentaux, que peut la science du boulanger, du vrai boulanger, c’est-à-dire de celui qui avec de la mauvaise farine doit savoir faire du bon pain ? Hélas, elle reste impuissante. Ces mélanges, surtout à cette époque de l’année, manquent de glucin. La pâte ne lève pas. Si elle « bouffait », les points noirs qui forment la piqûre se distançant dans la matière qui s'allonge, l’aspect serait grandement amélioré. Mais ces petits sons — les recouneltes — et autres fins de mouture qui rentrent actuelle ment dans la composition de la farine, enlèvent à celle-ci tout son « corps » et la rend inapte à se développer dans les pan netons, d’où le pain plat et compact et conséquemment verreux que nous man geons en ce moment. De cet exposé, il résulte que si le bou langer fait du mauvais pain, il ne doit pas être tenu responsable et qu’il en est de même du meunier que les ma’ières pre mières et les conditions de travail impo sées, forcent à livrer de mauvais produits. C’est au consommateur à compreudre cette situation et à cesser les récrimina tions désobligeantes qu’il adresse journel lement à ces deux professions qui n’en peuvent, mais qui, ce faisant, accomplis sent leur devoir. Celui du public en la circonstance, con siste à prendre son mal en patience et à attendre, sans se plaindre, des jours meil leurs. Fixation d’un délai pour la présentation des demandes de prorogation des abonnements en cours au moment de la déclaration de guerre. DÉPARTEMENT Conseil Général de l’Oise, Le Conseil Général de l’Oise a adopté une nouvelle méthode de travail dont on peut attendre les plus heureux effets, a J 'Squ’ici, lorsqu’il s’agissait de renou veler tes Commissions, les nouveaux Conseillers Généraux prenaient dans ces Commissions la place q u ’y occupaient leurs prédécesseurs. On ne s’occupait aucunement des compétences et un agri culteur pouvait de la sorte, se trouver désigné pour les bâtiments civils ou les finances, alors qu’un expert en matière linancière siégeait à la Commission de l’Agriculture. Plusieurs Conseillers Généraux ont demandé la fia de ces errements et un renouvellement complet des Commissions. La besogne fut dit-on assez ardue, car la réunion privée au cours de laquelle s’ef fectua ce travail, fut longue et quelque peu agitée. Pour certaines Commissions le nombre des candidats dépassait de beaucoup celui des places et, d’autre part, certains représentants de la majorité sem blaient désireux de reléguer leurs collè gues de la minorité dans les Commissions secondaires. On a réussi cependant, après longue discussion, à constituer les Commissions secondaires. MM. Schmidt, de l’Aigle et Gùesnetont été maintenus à la Commission des Finan ces où ils avaient déjà fait de bon travail, les deux premiers surtout. On leur a ad joint, M. Georges Picot, notre distingué et dévoué représentant du canton de Sen- lis, dont la compétence est unanimement reconnue ; M. Martin, représentant d’un canton sinistré, M. Desgroux, maire de Beauvais et M. Decroze, qui sera certai nement mieux à la Commission des Finan ces qu’à celle des routes dont il faisait partie jusqu’ici. La Commission des routes et voies de communication aura une tâche énorme à accomplir. Tout notre réseau routier jadis l’un des mieux entretenus de France est à refaire par suite de la guerre C’est un travail formidable. D’autre part les ques tions de chemin de fer sont des plus déli cates, car it s’agit de donner satisfaction aux revendications des cheminots des lignes départemeniales, sans cependant nuire à l’intérêt général et grever par trop le budget. M. Cruard qui présidait la Commission des routes, a été maintenu dans ce poste. Il aura près de lui M. Hubert Stern, tra vailleur infatigable, M. Uhry, qui de la sorte verra de près les réalités. La Commission de l’Agriculture est à peine modifiée. MM. Vasseux, Delpierre, de Kersaint, Cadeau d’Acy, Langlet et Boulanger y sont maintenus. M. Maurice Langlois est adjoint en remplacement de M. Bouteille, décédé. La place de M. Maurice Langlois, vice président de la Société des Agriculteurs de l’Oise était bien indiquée à la Commission de l’Agri culture où il saura rendre les plus signa lés services. La 5“ Commission, instruction publi que, assistance et hygiène, est fune des plus importantes Aussi l’a-t-on augmen tée d’un membre et i'a-t-on composée d’hommes particulièrement désignés pour s’occuper deces questions qui intéressent le département. M. Dupont, ancien séna teur, M. Fournier-Sorlovèze,.député, mai re de Compagne, M. André Faisant, dépu té, M. de Poly, les docteurs Magnier et de La Pomarède et enfin M. Pennelier, trou veront dans cette comrpission, à employer leur compétence et leur activité pour le plus grand bien du département de l’Oise. Si nos Conseillers généraux ont’ discuté longuement et âprement parfois, on ne peut pas dire qu’ils ont perdu leur temps, puisqu’il est sorti de cette discussion des commissions mieux constituées que par le passé. Le travail du Conseil Général s’en trouve facilité, les discussions sont plus claires et les intérêts du département sont plus aisément défendus. est ^ i ^ ^ J8 I ^lS'cole Primaire supérieur de Mouy ayant à?™™,partition déléguée [ bénéficié du vote, sur la demande de M. M. Guesnet demande que la Commis sion des Finances soit toujours consultée. Et cela paraît très juste. Renvoyé à la 5* Commission. L'arrêt des trains à Therdonne. La gare de Saint-Maximin. M. Uhry donne, au nom de la 2' Commission, lec ture d’un vœu de M. Langlet, demandant des arrêts plus nombreux de trains à Therdonne, qui est adopté ; et un de M. Branthomme sur l’ouverture d’une gare à Saint-Maximin. M. Uhry et baron de Rothschild ! A ce sujet, M Uhry, qui est déjà petit roi à Creil, à Montataire et autres lieux, fait le procès du baron de Rothschild, qui, dit-il, fait arrêter le train les jours qu’il vient chasser à Laversine. II y a une chose bien plus grave qui échappe à M. Uhry : l’arrêt de tous les trains de France et de Navare ordonné' par son bonne amie la C. G T. Sur la proposition de M. Noël, il est entendu qu’une démarche sera faite par tous les parlementaires auprès du Minis tre des Travaux publics ; cela vaudra mieux, pense-t-on, que la transmission à la Compagnie, des vœux du Conseil g-énéral. Le pont de Saint-Leu-d’Esserent. Ce pont à péage a été détruit par les Alle mands. M. Uhry en demande le rétablis sement. Coût : 150.000 francs. Les Alle mands paieront, n’esl-ce pas M. Uhry Le Conseil adopte le principe du rachat du pont. La Commission examinera l’étu de des moyens d’exécution. Pour les sapeurs-pompiers. — M. Guesnet recommande l’Exposition inter alliée (Feu, sauvetage, etc.) Il dépose un vœu émis le 28 mars par le Conseil Fédéral, sur l’habillement des sapeurs-pompiers. Il demande au Conseil de s’y associer. Les cheminots départementaux. — A propos des chemins de fer départemen taux, M. Uhry dit que les agents et em ployés syndiqués des voies étroites de l’Oise ont demandé à la Préfecture : 1° Une indemnité de 700 francs avec effet rétroactif au 1er janvier 1920 ; 2° Une augmentation de traitement des femmes chefs de poste, avec minimum de salaire de 3.800 francs. M. l’Ingénieur en chef s’étant mis en rapport avec la Compagnie, répondit par la négative. Bref, après les observations présentées, par M. Uhry, et les objections du docteur Cruard, disant que la 2e Commission n’a pas été consultée, et l’intervention de M. le Préfet, la question a été renvoyée à la Commission pour éludes complémen taires. Les Compagnies des Chemins de Fer Français ont décidé de fixer un délai à partir duquel ne serait plus admise la pro rogation des abonnemenls en cours au moment de la déclaration de guerre et dont la validité a été suspendue au cours des hostilités. Ce délai est de six mois à compter : a) Du 23 octobre 1919 (date de la pro mulgation de la loi qui a mis fia à l’état de guerre) pour les abonnés non mobili sés ou pour les abonnés mobilisés libérés du service militaire antérieurement à cette date ; b) De la date de leur démobilisation en ce qui concerne les abonnés libérés pos térieurement à la da’e du 22 octobre 1919. L’abondance des matières nous oblige à ne parler dans ce conipte rendu que des questions traitées au Conseil Général d’un intérêt départemental ou concernant l’ar rondissement de Senlis. Vœu Le vœu suivant a été déposé : Transport rapide des malades et bles sés. — Les Conseillers généraux soussi gnés émettent un vœu tendant à l’organi sation dans l’Oise d’un Service d’ambu lances automobiles pour le transport rapi-_ de et confortable des malades et des bles sés dans les hospices. Ont signé : Guesnet et tous les conseil lers présents. Pensions de retraite. — M. Picot, rap porteur. — Une retraite de 1.081 francs est votée en faveur de Mme Lelièvre, veuve de l’ancien secrétaire de la sous- préfecture de Sentis, récemment décédé. Un Jardin de la Fleur de Beauvais. — M. Schmidt propose la création, à Beauvais, à la Manufacture Natiohale d’un Jardin de la Fleur de Beauvais, qui rap pellerait la célèbre roseraie de la Malmai- son. Ce serait notamment, dit l’éloquent M. Schmidt, un encouragement pour nos Sociétés d’horticulture. On en serait quitte, affirme M. Schmidt pour une dépense de 15.000 francs. Renvoyé à la 5e Commission. Autour des Subventions aux Sociétés* Une discussion s’engage au sujet de la répartition des crédits inscrits au Budget de 1914 pour diverses sociétés. Tribunal et Sous-Préfecture. Creil contre Senlis. M. Uhry devient con servateur. Il lui faut à Creil des juges et un sous-préfet ! — Depuis que les Allemands — oui, M. Uhry ! — depuis que les Atlema ds ont brûlé la Sous Pré - fecture et le Tribunal de Senlis avec d’au tres immeubles — qu'ils n’ont pas encore payés, M. Uhry ! — le Tribunal tient ses audiences dans les locaux de l’ancien Evêché. Un vœu du Conseil d’arrondisse ment réclame la reconstruction du Tribu nal. M. Faisant appuie ce vœu et demande S ue le Conseil se prononce sur le principe e la reconstruction et cela d’autant plus que l’on fait courir le bruit que le Tribu nal pourrait être transféré ailleurs. Qui est donc cet on mystérieux dont parle M. Faisant. M. Uhry sursaute sur son fauteuil. Est-çe que M. Uhry, depuis qu’il est au pouvoir, s’embourgeoiserait au point de rêver d’avoir un tribunal dans sa bonne ville de Creil 7 Et si on pouvait faire de Creil une bonne petite Sous Pré fecture, à la place de Senlis ou de Cler- mont, en attendant qu’on y installe la Préfecture chère à son ami, M. Héraude, M. Uhry serait au comble du bo iheur Quelle joie se serait pour lui d’aller, l’é- charpe en sautoir, avec le Sous-Préfet de Creil inaugurer la prochaine statue de Jaurès. En tout cas, M. Uhry combat la recons truction de la Sous-Préfecture de Senlis, puisque son Sous-Préfet peut être suppri mé comme un simple bourgeois. M. Faisant dit que le Tribunal restera toujours à Senlis. M. Uhry n’en est pas convaincu. On se passionne et M. Uhry adjure le Conseil d’ajourner sa décision et de s’en remettre au représentant du Gouverne ment. A Beauvais, M. Uhry fait cas tout de même du Gouvernement. On vote. Le principe de la reconstruc tion est adopté et M. le député-maire de Creil est battu. La Fleur de Beauvais. — M. Schmidt avait demandé un crédit pour la création à la Manufacture Nationale d’un « Jardin de la Fleur de Beauvais. » Le Conseil ne s'est pas associé à la demande de M. Schmidt. Il lui est sans doute apparu qu’il y a autre chose à faire à la Manufacture — où l’on est du reste--. sans pitié pour les paysages — qu’à degv siner des jardins pour permettre à M- Ajalbeit, maître ès réclame, de fleurir sa boutonnière. Le Conseil général a terminé mercredi soir 5 mai ses travaux. La session fut bien remplie. Cette dernière séance fut longue et... orageuse, c’est peut-être trop dire, mais un peu fiévreuse. M. le député-maTe et conseiller général de Creil joua le rôle de l’outre Eole. Ecole Somasco. Où Ton voit M. Uhry puiser à pleines mains dans la Caisse des contribuables de TOise. — Le feu s’ouvre à-propos de l’école profession-, nelle Somesco, fort intéressante du reste. E. Dupont, d’un crédit de 3.000 francs. M. Uhry, qui soigne ses intérêts électo- raux, réclame 50 000 francs — rien que cela ! — pour l’école Somesco, de Creil, alors que M. E. Dupont, demande une subvention de 20.000 fr. 50.000 1francs. Rien que cela 1 Le Conseil Général sursaute. M. Schimdt, seul, reste froid. Il se montrait cependant très inquiet récemment, dans la République de l Oise, sur les charges financières départementales. M. Uhry, bon prince à l’occasion, con sent à se contenter de 20.000 fr. Cepen dant, il s'écrie avec la véhémence qu’on lui connait : Aucun sacrifice n'est trop lourd quand il s’agit de la France. L'Allemagne ne nous a-t-elle pas donné l'exemple m point de vue de l'enseigne ment professionnel I (Mouvements di vers). EtM. E. Dupont, qui ne s’attendait pas à une telle déclaration, de répliquer : « ...Je suis heureux d'entendre M. Uhry s’exprimer ainsi sur la France et ixi\fjer autant d'intérêt à l’industrie... » effet, mais M. Uhry se propose de V » ékjnner encore. Ÿ/.-j. % Dupont persiste à penser que si ainsi avec des milliers .de francs. L’éeole professionnelle de Beauvais avec ses 300 fiieves de tout le département, montre, du reste, moins d’exigences. C’est ce que fait remarquer M. Des groux. M. Guesnet demande qu’on exa mine avant tout l’état de nos finances M. Uhry s’emporte, fait quelque bruit et re devient^ dqux comme un petit mouton u*®%Et il déclare se contenter de ses 10.000 francs. Une petite passe d'arme. — Ln post- cnptum malencontreux. L’Union Sportive Creilloise demande 3.000 francs de subvention pour organiser un cham pionnat athlétique à Creil, le 27 juin. M. Fournier - Sarlovèze, rapporteur, conclut au rejet parce que la lettre de l’adjoint de Creil dit, dans un post-crip- tum à sa lettre, auquel M. Uhry n’a pas pris garde, que cette « fête servira la pro pagande socialiste. » M. Delpierre, avec bon sens, ramène la question sur son véritable terrain: « Puis- qu’iTs’agit de sports, de culture physique, la subvention à sa raison d’être. » M; Delpierre a raison. Les questions politiques ne doivent pas être mêlées aux questions sportives. Les socialistes et M. cette déclaration'.’ 'Les ‘vernï-’f-'brf Ytlihs'àf' une subvention à une Société sportive, parce que catholique, par exemple ? On vote une somme de 300 francs qui sera convertie en prix ou médailles. M. Georges-Picot a dit le mot de la situa tion. Est-ce q ue toutes les sociétés vont nous demander ainsi des subventions ? C’est bénéficient des fêtes gouvernement à assurer l’application de la loi du 17 avril 1919 ? Et ne se montre-t-on pas aussi plus gouvernemental que le gouvernement lui- même ? Aussi, M. le Préfet nous permet tra de dire que nous pensons qu’il a exa géré en menaçant de quitter la salle des séances. On sait que nous soutenons de toutes nos forces le gouvernement actuel, mais il n’y a rien de parfait ici bas, et quand nous estimons que le gouverne- mem Millerand erre, nous le critiquons. Par exemple, ce qu’il y a de très amu sant c’est de voir M. Uhry. détracteur sys tématique du gouvernement actuel, pren dre, en l’espèce, sa défense et reprocher à M. Fourmer-Sarlovèze d’avoir des rêves ministériels en son âme inquiète. Pour quoi pas après tout ? Il faut de l’énergie aux ministres par le temps qui court, et M. Fournier-Sarlovèze en a. Il le montre en tenant tète à M. Uhry et à M. le Préfet. Enfin tout s’arrange, et puis le Conseil Général se montre si ému que le député de Compiègne retire sa motion. M. Uhry a sauve le gouvernement, de concert, du reste, avec la République de TOise qui, cependant, chaque matin que Dieu fait, déclare urbi et orôtque ce gouvernement du Bloc républicain national ne fait rien de bon et mène le pays à sa perfè. P«W 1e 1"ëôm§âie" jôuéè“ paT'M. Uhry et la République de TOise n’en vaut pas la peine. Du reste, ce sont les habitants des régions libérées qui sont bien placés pour dire si M Fournier-Sarlovèze a eu raison contre M. Uhry et la République de TOise. Allocations aux médecins membres des Tribunaux Loi du Si mars 1919 (Officiel du 4 Mai 1920) Il est alloué une indemnité de iO francs par heure de séance aux médecins mem bres des tribunaux départementaux des pensions militaires. aux communes qui locales de les encourager. Le charbon. On en a manqué... mais pas à Paris — M. le Préfet expose ainsi la situation charbonnière dans Oise : A Ta suites des grèves anglaises, le charbon a manqué. Il a fallu faire les demandes au bureau des Charbons à Paris. Au cours du l tr trimestre, l’Oise a reçu environ 5 à 7 000 tonnes par mois. A la crise de quantité, s’ajouta la crise de quafité. Nous ne recevons pas, hélas, le bon charbon du Nord et du Pas-de Calais. M le Préfet ajoute qu’il traversa, ces temps derniers, une période d’inquiétude. Il parvint, toutefois, à se procurer suffi samment de charbon spécial pour le bat tage. Cela permettra d'attendre la soudure eVTespérer une situation aussi peu défa- vff’abls que possible. ,/ M. Fournier-Sarlovèze s’élève contre le scandale du charbon à Paris : les caves des magasins, théâtres, dancings, etc., étaient bourrées de charbon et les salles surchauffées, alors qu’il y avait disette de charbon dans le pays. M. Pennelier questionne sur la façon dont le charbon a été réparti dans l’Oise. M. Boulanger rapporte un vœu tendant à l’extraction le plus possible de la tourbe. M. de Kersaint demande qu’à l’avenir, seules les Municipalités soient chargées de la distribution du charbon M Fournier-Sarlovèze demande une ses sion extraordinaire pour l’examen de la question charbonnière. Sur la proposition de M. le Préfet, MM. de Kersaint et Turck sont désignés pour faire partie de l’Office du charbon. Les Régions Libérées. Un vœu... politique ? Où Ton voit M. Uhry pren dre avec ardeur la défense du Gouver nement. — Maintenant ce n’est plus la fièvre ; l’orage va gronder. M. le Préfet regarde du côté de son parapluie. it ... L’orage prend la forme d’une motion de M. Fournier-Sarlovèze. Si de grands efforts, auxquels nous rendons hommage, ont été faits par l’administration dans les régions libérées, tout n’y est pas parfait -"- oh ! non —.-eLienrs habitants out bien SOîVv.joiS'ufe mécontentements. La motion de M. Fournier-Sarlovèze s’inspire de ces mécontentements ; tous les sénateurs et députés des régions dévastées l’ont, du reste, signée ; elle est ainsi conçue : Les soussignés, sénateurs et députés des départements dévastés, déclarent qu'ils se trouveraient dans Timpossibi lilé de soutenir un gouvernement qui n'assurerait pas l’application de la loi dui7 avril 1919 dans les conditions énoncées. On s’émeut. « C’est un vœu politique ! > disent quelques-uns. Un vœu politique ? peut-être au sens exact du mot, mais quoi ! me sera-t-il plus permis au Conseil Général d'inviter le Avis de la Préfecture. L'Officiel du 9 mai a publié les nou veaux prix des charbons français et an glais livrés aux foyers domestiques et à la petite industrie Ces prix étant applicables au départ des mines et des ports, à dater du 40 mai courant, les prix de détails seront relevés en conséquence. __Messieurs les .Maires et Messieurs les livraison de charbon jusqu'à la publica tion des nouveaux prix à fixer par l’Office Départemental des Charbons, qui est convoqué pour samedi prochain 15 mai, à la Préfecture. Les nouveaux prix n’étant applicables qu’au charbon expédié des ports et des mines depuis le 40 mai, Messieurs les Maires sont invités à faire relever les quantités de charbon arrivés et existant chez les commerçants. Messieurs les détaillants devront faire immédiatement la déclaration, à la mairie, de toute quantité nouvelle leur arrivant sur expéditions antérieures au 10 mai. Le Préfet, LINARÈS. Jravers S en^’S La Journée des Familles Nombreuses. Dimanche dernier, un grand nombre de jeunes filles ont parcouru les rues pour quêter en faveur des familles nombreuses. Nombreuses ont été les personnes qui ont offert leur obole ; aussi remarquait-on arboré au revers du vêtement ou au cor sage l’insigne commémoratif de cette pa triotique journée. En tout cas, nous croyons savoir que la recette a été des plus fructueuse. IVos Sous-Préfets. Le Parlement réduit les sous-préfets et voici que maintenant les journaux les tuent — sans que d’ailleurs pour cela ils s’en portent plus mal. C’est ainsi qu’un journal de Paris an nonçait hier que M. Charbonnier, sous- préfet, avait été victime d’un grave acci dent d’automobile. Or, aucun accident — ni même inci dent — n’a troublé les randonnées que ce fonctionnaire est souvent obligé de faire, en effet, en voiture pour visiter les maires de l’arrondissement. Félicitons M. Charbonnier d’avoir échappé à cette catastrophe... imaginaire. Institution Saint-Vin cent. Dimanche 16 mai 1920, à 13 h. 30, Distribution Solennelle des Grades Académiques. O rdre de la M atinée Première Partie. Petit Soldat de Plomb, ronde enfan tine. Le Lièvre et le Hérisson, fable dite par M. Navelot Jacques, candidat. Orthographe Scène jeu Un instituteur syndiqué.. Un élève ............................ nouveau écolière MM. Vincent M» .............................. Leroy J. Revue du Travail, par M. Louvet Robert, académicien. Réception des nouveaux élus. Quête pour le munument des Morts de Saint-Vincent. Seconde Partie. Fleuve de France, scène allégorique Rhône MM. Guillaume Gilles. Loire ................. FloquetJean. Garonne Paris François. Seine ............... Charlier Yves. Rhin .................. Bonnaves Jean. NunTile .......... Hêlme Henri. La première poésie sur Jeanne d'Arc (Christine de Pisan, xve siècle), par M. de Préval Joseph, agrégé. Un Miracle de Sainte Jeanne d'Arc (Coppée), poésie dite par M. Martin Pierre, candidat. Flosalie, (M. Maurey), en un acte Monsieur Bol MM. Verdeau Chritian. Madame Bol Mellottée Robert. Rosalie ............... .. Pans Jacques. La scène de nos jours. Entrée gratuite. — Cartes chez le Concierge. Avis important. Notre Maison est acheteur à des prix très eleyes de tous vieux dentiers cassés ou inutilisables, platine, vieux oijoux. Notre Courtier sera visible à Senlis, le Dimanche 16 Mai, à T Hôtel de France. Le Concert de l’E. S. S. Le programme est maintenant complè tement arrêté. Tle.oninhrAMy «t bons artiafac nnt djmw Robert Del s, le comique aéja nién connu, sera comme toujours irrésistible. Mac-Hulott, comique excentrique, met tra l’auditoire en délire. Andrey’s, chanteur à voix, et M. Arthur Gharlatte, l’excellent baryton déjà connus du public senlisien, charmeront l’assis tance. Et enfin dans TInvité, le Beau-Père pas commode vi Asile de NmîL nos jeunes artistes se révéleront une fois de plus. Nous espérons que le public senlisien, toujours avide de beau spectacle, viendra demain dimanche en foule, en matinée et en soirée. Chambre des Notaires. Les notaires de l’arrondissement de Senlis se sont réunis en Assemblée géné rale et ont composé leur Chambre de Dis cipline ainsi qu’il suit : Président : M' Maugin, notaire à Ver- berie. Syndic : M* Mellottée, notaire à Mello Rapporteur : M* Thirouin, notaire à Acy-eu-Multien. Secrétaire : M* Louât, notaire à Senlis. Trésorier : M* Langlois, notaire Senlis. Membres : Mcs Galoy, notaire à Précy et Robert, notaire a Baron. Dimanche Henri-IY. Pharmacie ouverte 16 Mai : M. Lesage, place La Soirée annuelle du Patronage de l’Ecole publique des Garçons. La soirée de dimanche dernier orga nisée par le PatroLage de l’Ecole publique des Garçons de Senlis fut la bienvenue de toutes les familles désireuses de distrac tions à la fois agréables et attrayantes et obtint un brillant et grand succès. Pour l’heureuse initiative de cette soi rée, nous devons tout d’abord compli menter les actifs organisateurs, M. H. Brille, le dévoué président, MM. Georges ‘Bunel, secrétaire, et Ch. Luzurier, tré sorier. A 8 heures 30, devant une salle comble, la soirée débuta par une marche, enlevée avec brio par l’orchestre. Disons de suite que cet orchestre nous donna dans le cou rant du concert quatre autres morceaux choisis bien exécutés et où chacun remar qua la qualité de Mlle Marie Tiaei, M. Jacques Tinel et M. Leblon. M L. Gaudet, dans ses romances senti mentales, se fit applaudir des spectateurs; M. G. Debras nous donna les vers très recherchés de Miguel Zamacoïs,Le ZépAir. Le jeune E. Martin, dans la première et la seconde partie, eut le succès le plus marquant. M. Isidore Prévost déclama avec beaucoup de sentiment les beaux vers de Fernand Gregh M. Cardinaux déchaîna la franche gaieté dans son tra vesti burlesque et ses amusants monolo gues qui provoquèrent le fou rire des assistants. Trois amusantes comédies furent inter prétées d’une façon magistrale. Elles firent ressortir une fois de plus les talents des jeunes gens du Patronage. Tout se paye, le Million du Troubade et la Chambre n° 8, furent pour MM. Cardi naux, Poidevin, Liefqnin, Fournier, le jeune Boucher, MM. Tessier, Marin, Bour- gouin, Letèvre, Chambellant, Drugeon, Stumuler, Louchez, Violet, Sigal, Tri- boulet, Lesueur, Bruret, l’occasion de se révéler — la plupart pour leur début — des artistes amateurs de premier ordre. Les bons mots et les scènes drolatiques amusèrent la salle au plus haut point et ce fut sous un tonnerre d’applaudisse- ments que le rideau se ferma successive ment après l’exécution de chacune de ces trois p ei.es très goûtées du public. Au cours de la soirée, le sympathique Président, dans une touchante allocution, rappelle la fondation de l’Amicale en 1897 et sa prospérité à la veille de la guerre ; il rappela aussi les pertes qu’elle a éprouvées (25 de ses membres sont tom -,

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JOURNAL IDE SENLISP ara issan t Dimanche

L’OISEDirecteur-Gérant : E. LANCIAUX

S E IV J L IS

BUREAUX, RÉDACTE & ADMINISTRATIONP la c e de ^ * a te *-de-ViIle,

t ^ kf f . - S E 1 V I . I S

r'crici.rex

A nnonces lé g a le s ...............A nnonces v o lon ta ires...............

T D B Î S X I T S E l i e T X O l S r S ae. la ligne . | R éclam es.

F a its d ivers ..................................ON N ’a O C B PT B P A S D ’IN S E R T IO N A U -D E S S O U S D E 1 F R A N O

annonce». rAclamea, «te., «onr-.em«.r»t JP&ria «t le* soxit —atix. bureaux du journjxl.

Quelques réflexions© U F « L A .

Question du PainVoici la question du pain r e /e n u i à

l’ordre du jour.Il sem blera juste qu’au milieu des

erreurs qui se disent et s’impriment sur le sujet, il soit permis à la v^ritd de se faire connaître en disant elle aussi son petit mot.

Certes, la crise actuelle n’aurait pas atteint la même acuité si les pouvoirs publics avaient tenu la m tin , dès le début de rette cam pagne, à ce que la farine ne redevint pas blanche. A manger moi s blanc les six premiers mois, nous aurions gagné de m anger m oins noir les six derniers

Ce fut l’erreur initiale.C’en est une autre que de laisser croire

au public que les céréales sont écrasées sans être nettoyées, et qu’il faut voir l i , la cause des maux d’esiom ac.

Dans tous les m oulins le blé passe dans l’ém otteur, puis les tarares, puis les trieurs et enfin la colonne brasse. Si des dérangem ents digestifs peuvent être impu tables au pain, la cause n’en serait elle pas plutôt dans l’inges ion des panieulas de son, lequel ne doit pas être très assi­milable. L’accusation se ramènerait alors à une sim ple question d’accautinnance.

C'est une erreur encore de se figurer

3 ue la seule adjonction des succédanés onne au ijain son vilain aspect. De la

farine de from ent pur, tirée à 8 0 % est très vilaine, car dans le blé courant cette proportion de farine ne s’y trouve pas. Or pour l’obtenir quand même, il faut y ajouter du son, les fins de mouture, rem oulages • blarms, bis, n’y suffisant pas.

I f u ’y a pas là matière à appréciation, c’est une question de fait. Néanm oins, le journal Le T em ps parlait ces jours ci de farine à 83 %■ Sans doute s’agissait il du blé récolté dans « le Paradis Terrestre ! »

Réjouissons-nous, si comme l’annon­çait L a L ib erté , des blés de provenances é oignées (Australie. Argentine), nous parviennent en fia de cam pagne par voi­liers.

L’incorporation d s succédanés en serait réduite d’autant. Mais gardons-nous d’eu déduire, comme l’a fait la presse, que ce sera le retour an pain blanc.

Il est évidemment fort regretiable que de tous ces fameux « succédannés » pas un ne rachète la fâcheuse couleur que lui donnent les autres. En 1918, les m euniers ont reçu de la farine de riz, ils oui, cette année, des haricots, du seigle, des farines basses étrangères et surtout du m aïs. La série n’esl sans doute pas close.

Ces marchai-'dises n’arrivent pas toutes en même temps et dans la même propor­tion dans louâ les m oulins, ni par même 1 quantités. La place dont dispose le meu­nier, son personnel, l’état de son s ook, sa clientèle et une foule d’autres facteurs entrent en jeu et font que le pain n’est pas et ne peut pas ê're partout semblable, ni même continu dans une même fabrica­tion.

Devant une matière première aussi ver­satile, souvent même si pauvre en princi­pes fondamentaux, que peut la science du boulanger, du vrai boulanger, c ’est-à-dire de celui qui avec de la mauvaise farine doit savoir faire du bon pain ? Hélas, elle reste im puissante.

Ces m élanges, surtout à cette époque de l’année, manquent de glucin. La pâte ne lève pas. Si elle « bouffait », les points noirs qui form ent la piqûre se distançant dans la matière qui s'allonge, l’aspect serait grandem ent am élioré. Mais ces petits sons — les recouneltes — et autres fins de mouture qui rentrent actuelle­ment dans la com position de la farine, enlèvent à celle-ci tout son « corps » et la rend inapte à se développer dans les pan­netons, d’où le pain plat et compact et conséquem m ent verreux que nous m an­geons en ce moment.

De cet exposé, il résulte que si le bou­langer fait du mauvais pain, il ne doit pas être tenu responsable et qu’il en est de m ême du m eunier que les ma’ières pre­m ières et les conditions de travail im po­sées, forcent à livrer de mauvais produits.

C’est au consommateur à compreudre cette situation et à cesser les récrim ina­tions désobligeantes qu’il adresse journel­lem ent à ces deux professions qui n’en peuvent, mais qui, ce faisant, accom plis­sent leur devoir.

Celui du public en la circonstance, con­siste à prendre son mal en patience et à attendre, sans se plaindre, des jours m eil­leurs.

F ixa tion d’un délaipour la présentation des demandes

de prorogation des abonnements en c o u r s au moment de la

déclaration de guerre.

DÉPARTEMENTConseil Général de l ’Oise,Le Conseil Général de l’Oise a adopté

une nouvelle méthode de travail dont on peut attendre les plus heureux effets, a

J 'Squ’ici, lorsqu’il s’agissait de renou­veler tes Comm issions, les nouveaux Conseillers Généraux prenaient dans ces Commissions la place qu’y occupaient leurs prédécesseurs. On ne s’occupait aucunement des com pétences et un agri­culteur pouvait de la sorte, se trouver désigné pour les bâtiments civils ou les finances, alors qu’un expert en matière linancière siégeait à la Commission de l’Agriculture.

Plusieurs Conseillers Généraux ont demandé la fia de ces errem ents et un renouvellem ent com plet des Commissions. La besogne fut dit-on assez ardue, car la réunion privée au cours de laquelle s ’ef­fectua ce travail, fut longue et quelque peu agitée. Pour certaines Commissions le nombre des candidats dépassait de beaucoup celui des places et, d’autre part, certains représentants de la majorité sem ­b l a i e n t d é s i r e u x d e r e l é g u e r l e u r s c o l l è ­gues de la minorité dans les Commissions secondaires.

On a réussi cependant, après longue discussion, à constituer les Commissions secondaires.

MM. Schmidt, de l’A igle et G ùesnetont été m aintenus à la Commission des Finan­ces où ils avaient déjà fait de bon travail, les deux premiers surtout. On leur a ad­joint, M. Georges Picot, notre distingué et dévoué représentant du canton de Sen- lis, dont la com pétence est unanimem ent reconnue ; M. Martin, représentant d’un canton sinistré, M. Desgroux, maire de Beauvais et M. Decroze, qui sera certai­nem ent mieux à la Commission des Finan­ces qu’à celle des routes dont il faisait partie jusqu’ici.

La Commission des routes et voies de communication aura une tâche énorm e à accomplir. Tout notre réseau routier jadis l’un des mieux entretenus de France est à refaire par suite de la guerre C’est un travail formidable. D’autre part les ques­tions de chemin de fer sont des plus déli­cates, car it s ’agit de donner satisfaction aux revendications des chem inots des lignes départem eniales, sans cependant nuire à l’intérêt général et grever par trop le b udget.

M. Cruard qui présidait la Commission des routes, a été maintenu dans ce poste. Il aura près de lui M. Hubert Stern, tra­vailleur infatigable, M. Uhry, qui de la sorte verra de près les réalités.

La Commission de l’Agriculture est à peine modifiée. MM. Vasseux, Delpierre, de Kersaint, Cadeau d’Acy, Langlet et Boulanger y sont maintenus. M. Maurice Langlois est adjoint en rem placem ent de M. Bouteille, décédé. La place de M. Maurice Langlois, vice président de la Société des Agriculteurs de l’Oise était bien indiquée à la Commission de l’Agri­culture où il saura rendre les plus signa­lés services.

La 5“ Commission, instruction publi­que, assistance et hygiène, est fu n e des plus importantes Aussi l’a-t-on augm en­tée d’un membre et i'a-t-on com posée d’hommes particulièrement désignés pour s’occuper d eces questions qui intéressent le département. M. Dupont, ancien séna­teur, M. Fournier-Sorlovèze,.député, mai­re de C om pagne, M. André Faisant, dépu­té, M. de Poly, les docteurs Magnier et de La Pomarède et enfin M. Pennelier, trou­veront dans cette comrpission, à employer leur com pétence et leur activité pour le plus grand bien du département de l’Oise.

Si nos Conseillers généraux ont’ discuté longuem ent et âprement parfois, on ne peut pas dire qu’ils ont perdu leur tem ps, puisqu’il est sorti de cette discussion des com m issions m ieux constituées que par le passé. Le travail du Conseil Général s’en trouve facilité, les discussions sont plus claires et les intérêts du département sont plus aisément défendus.

est ^ i ^ ^ J 8 I ^ lS'cole Primaire supérieur de Mouy ayant à?™™,partition déléguée [ bénéficié du vote, sur la demande de M.

M. Guesnet demande que la Commission des Finances soit toujours consultée. Et cela paraît très juste. Renvoyé à la 5* Commission.

L 'a rrê t des tra in s à Therdonne. La g a re de S a in t-M a x im in . — M. Uhry donne, au nom de la 2' Commission, lec­ture d ’un vœu de M. Langlet, demandant des arrêts plus nom breux de trains à Therdonne, qui est adopté ; et un de M. Branthomme sur l’ouverture d’une gare à Saint-Maximin.

M. U h ry e t baron d e R o th sch ild ! — A ce sujet, M Uhry, qui est déjà petit roi à Creil, à Montataire et autres lieux, fait le procès du baron de Rothschild, qui, dit-il, fait arrêter le train les jours qu’il vient chasser à Laversine.

II y a une chose bien plus grave qui échappe à M. Uhry : l’arrêt de tous les trains de France et de Navare ordonné' par son bonne amie la C. G T.

Sur la proposition de M. Noël, il est entendu qu’une démarche sera faite par tous les parlementaires auprès du Minis­tre des Travaux publics ; cela vaudra m ieux, pense-t-on, que la transmission à la Compagnie, des vœux du Conseilg -é n é ra l .

Le p o n t de S a in t-L eu -d ’E sseren t. — Ce pont à péage a été détruit par les A lle­mands. M. Uhry en demande le rétablis­sem ent. Coût : 150.000 francs. Les A lle­mands paieront, n’esl-ce pas M. Uhry

Le Conseil adopte le principe du rachat du pont. La Commission exam inera l’étu­de des moyens d’exécution.

P o u r les sa p e u rs-p o m p iers . — M. Guesnet recommande l’Exposition inter­alliée (Feu, sauvetage, etc.)

Il dépose un vœu ém is le 28 mars par le Conseil Fédéral, sur l’habillement des sapeurs-pom piers. Il demande au Conseil de s’y associer.

Les ch em in o ts d é p a r te m e n ta u x . — A propos des chem ins de fer départemen­taux, M. Uhry dit que les agents et em ­ployés syndiqués des voies étroites de l’Oise ont demandé à la Préfecture :

1° Une indemnité de 700 francs avec effet rétroactif au 1er janvier 1920 ;

2° Une augmentation de traitement des fem m es chefs de poste, avec minimum de salaire de 3.800 francs.

M. l’Ingénieur en chef s’étant m is en rapport avec la Compagnie, répondit par la négative.

B ref , a p rè s les o b s e r v a t io n s p ré sen tée s , par M. Uhry, e t les ob je c t io n s du docteur Cruard, disant que la 2e Commission n’a pas été consultée, et l’intervention de M. le Préfet, la question a été renvoyée à la Commission pour éludes com plém en­taires.

Les Compagnies des Chemins de Fer Français ont décidé de fixer un délai à partir duquel ne serait plus admise la pro­rogation des abonnem enls en cours au moment de la déclaration de guerre et dont la validité a été suspendue au cours des hostilités.

Ce délai est de six mois à com pter :a) Du 23 octobre 1919 (date de la pro

mulgation de la loi qui a mis fia à l’état de guerre) pour les abonnés non m obili­sés ou pour les abonnés m obilisés libérés du service m ilitaire antérieurement à cette date ;

b) De la date de leur démobilisation en ce qui concerne les abonnés libérés pos­térieurem ent à la da’e du 22 octobre 1919.

L’abondance des matières nous oblige à ne parler dans ce conipte rendu que des questions traitées au Conseil Général d’un intérêt départemental ou concernant l’ar­rondissement de Senlis.

Vœ u

Le vœu suivant a été déposé :T ra n sp o rt ra p id e des m a la d e s e t bles­

sés. — Les Conseillers généraux soussi­gnés ém ettent un vœu tendant à l’organi­sation dans l’Oise d’un Service d’ambu­lances automobiles pour le transport rapi-_ de et confortable des malades et des b les­sés dans les hospices.

Ont signé : Guesnet et tous les con seil­lers présents.

Pensions de re tra ite . — M. Picot, rap­porteur. — Une retraite de 1.081 francs est votée en faveur de Mme Lelièvre, veuve de l’ancien secrétaire de la sous- préfecture de Sentis, récemm ent décédé.

Un J a rd in de la F leu r de B eau va is.— M. Schmidt propose la création, à Beauvais, à la Manufacture Natiohale d’un Jardin de la Fleur de Beauvais, qui rap­pellerait la célèbre roseraie de la Malmai- son. Ce serait notamment, dit l’éloquent M. Schmidt, un encouragem ent pour nos Sociétés d’horticulture.

On en serait quitte, affirme M. Schmidt pour une dépense de 15.000 francs.

Renvoyé à la 5e Commission.A u to u r des S u bven tion s a u x Sociétés*

— Une discussion s’engage au sujet de la répartition des crédits inscrits au Budget de 1914 pour diverses sociétés.

T rib u n a l e t S o u s-P réfec tu re . — C reil con tre S en lis . — M. U h ry d ev ie n t con­se rv a te u r . — I l lu i fa u t à C reil des ju g e s e t un so u s-p ré fe t ! — Depuis que les Allem ands — oui, M. Uhry ! — depuis que les Atlema ds ont brûlé la Sous Pré - fecture et le Tribunal de Senlis avec d’au­tres im meubles — qu'ils n’ont pas encore payés, M. Uhry ! — le Tribunal tient ses audiences dans les locaux de l’ancien Evêché. Un vœu du Conseil d’arrondisse­m ent réclame la reconstruction du Tribu­nal. M. Faisant appuie ce vœu et demande

Sue le Conseil se prononce sur le principe e la reconstruction et cela d’autant plus

que l’on fait courir le bruit que le Tribu­nal pourrait être transféré ailleurs.

Qui est donc cet on m ystérieux dont parle M. Faisant. M. Uhry sursaute sur son fauteuil. Est-çe que M. Uhry, depuis qu’il est au pouvoir, s’embourgeoiserait au point de rêver d’avoir un tribunal dans sa b o n n e ville de Creil 7 Et si on pouvait faire de Creil une bonne petite Sous Pré­fecture, à la place de Senlis ou de Cler- m ont, en attendant qu’on y installe la Préfecture chère à son ami, M. Héraude,M. Uhry serait au com ble du bo iheur Quelle joie se serait pour lui d’aller, l’é- charpe en sautoir, avec le Sous-Préfet de Creil inaugurer la prochaine statue de Jaurès.

En tout cas, M. Uhry combat la recons­truction de la Sous-Préfecture de Senlis, puisque son Sous-Préfet peut être suppri­mé comme un sim ple bourgeois.

M. Faisant dit que le Tribunal restera toujours à Senlis. M. Uhry n’en est pas convaincu.

On se passionne et M. Uhry adjure le Conseil d’ajourner sa décision et de s’en remettre au représentant du Gouverne­m ent.

A Beauvais, M. Uhry fait cas tout de même du Gouvernement.

On vote. Le principe de la reconstruc­tion est adopté et M. le député-maire de Creil est battu.

L a F leu r de B ea u va is . — M. Schmidt avait demandé un crédit pour la création à la Manufacture Nationale d’un « Jardin de la Fleur de Beauvais. »

Le Conseil ne s'est pas associé à la demande de M. Schmidt. Il lui est sans doute apparu qu’il y a autre chose à faire à la Manufacture — où l’on est du reste-- . sans pitié pour les paysages — qu’à degv siner des jardins pour permettre à M- A jalbeit, maître ès réclam e, de fleurir sa boutonnière.

Le Conseil général a term iné mercredi soir 5 mai ses travaux. La session fut bien remplie.

Cette dernière séance fut longue et... orageuse, c’est peut-être trop dire, mais un peu fiévreuse. M. le député-maTe et conseiller général de Creil joua le rôle de l’outre Eole.

E co le S om asco . — Où Ton v o it M. U hry p u iser à p le in e s m a in s dan s la Caisse des con tribu ab les de TOise. — Le feu s’ouvre à-propos de l’école profession-, nelle Som esco, fort intéressante du reste.

E. Dupont, d’un crédit de 3.000 francs. M. Uhry, qui soigne ses intérêts électo- raux, réclame 50 000 francs — rien que cela ! — pour l’école Som esco, de Creil, alors que M. E. Dupont, demande une subvention de 20.000 fr.

50.000 1 francs. Rien que cela 1 Le Conseil Général sursaute. M.

Schimdt, seul, reste froid. Il se montrait cependant très inquiet récem m ent, dans la R épublique de l O ise, sur les charges financières départementales.

M. Uhry, bon prince à l’occasion, con­sent à se contenter de 20.000 fr. Cepen­dant, il s'écrie avec la véhém ence qu’on lui connait : A u cu n sacrifice n 'est tro p lo u rd qu and i l s ’a g i t de la F rance. L 'A llem agn e ne nous a -t-e lle p a s don né l'e x em p le m p o in t de vu e de l'en seign e­m en t pro fession n el I (Mouvements di­vers).

EtM . E. Dupont, qui ne s’attendait pas à une telle déclaration, de répliquer :

« . . . J e suis h eu reu x d 'en ten d re M. U h ry s’exprim er a in s i su r la F rance e t

ix i\f jer au tan t d 'in térê t à l ’in d u s tr ie ... » effet, mais M. Uhry se propose de

V » ékjnner encore.Ÿ/.-j. % Dupont persiste à penser que si

ainsi avec des m illiers .de francs. L’éeole professionnelle de Beauvais avec ses 300 fiieves de tout le département, m ontre, du reste, moins d’exigences.

C’est ce que fait remarquer M. Des­groux. M. Guesnet demande qu’on exa­mine avant tout l’état de nos finances M. Uhry s’emporte, fait quelque bruit et re­devient^ dqux comme un petit mouton u*®%Et il déclare se contenter de ses 10.000 francs.

Une p e t ite p asse d 'a rm e. — L n p o s t- cn p tu m m a le n c o n treu x . — L’Union Sportive Creilloise demande 3.000 francs de subvention pour organiser un cham ­pionnat athlétique à Creil, le 27 juin .

M. Fournier - Sarlovèze, rapporteur, conclut au rejet parce que la lettre de l’adjoint de Creil dit, dans un post-crip- tum à sa lettre, auquel M. Uhry n’a pas pris garde, que cette « fête servira la pro­pagande socialiste. »

M. Delpierre, avec bon sens, ramène la question sur son véritable terrain: « Puis- qu’iTs’agit de sports, de culture physique, la subvention à sa raison d’être. »

M; Delpierre a raison. Les questions politiques ne doivent pas être m êlées aux questions sportives. Les socialistes et M.cette déclaration'.’ 'Les ‘vernï-’f-'brf Ytlihs'àf' une subvention à une Société sportive, parce que catholique, par exem ple ?

On vote une somme de 300 francs qui sera convertie en prix ou médailles.

M. Georges-Picot a dit le mot de la situa­tion. Est-ce q ue toutes les sociétés vont nous demander ainsi des subventions ? C’est

bénéficient des fêtes

gouvernem ent à assurer l’application de la loi du 17 avril 1919 ?

Et ne se m ontre-t-on pas aussi plus gouvernemental que le gouvernem ent lu i- même ? Aussi, M. le Préfet nous perm et­tra de dire que nous pensons qu’il a exa­géré en menaçant de quitter la salle des séances. On sait que nous soutenons de toutes nos forces le gouvernem ent actuel, mais il n’y a rien de parfait ici bas, et quand nous estim ons que le gouverne- m em Millerand erre, nous le critiquons.

Par exem ple, ce qu’il y a de très amu­sant c’est de voir M. Uhry. détracteur sys­tém atique du gouvernem ent actuel, pren­dre, en l’espèce, sa défense et reprocher à M. Fourmer-Sarlovèze d’avoir des rêves m inistériels en son âme inquiète. Pour­quoi pas après tout ? Il faut de l’énergie aux m inistres par le temps qui court, et M. Fournier-Sarlovèze en a. Il le montre en tenant tète à M. Uhry et à M. le Préfet.

Enfin tout s’arrange, et puis le Conseil Général se montre si ému que le député de Compiègne retire sa m otion. M. Uhry a sauve le gouvernem ent, de concert, du reste, avec la R ép u b liq u e de TO ise qui, cependant, chaque matin que Dieu fait, déclare u rb i et orôtq ue ce gouvernem ent du Bloc républicain national ne fait rien de bon et m ène le pays à sa perfè.P«W 1e 1 "ëôm§âie" jôuéè“ paT'M. Uhry et la R ép u b liq u e de TOise n’en vaut pas la peine. Du reste, ce sont les habitants des régions libérées qui sont bien placés pour dire si M Fournier-Sarlovèze a eu raison contre M. Uhry et la R é p u b liq u e de TO ise.

Allocations aux médecinsmembres des Tribunaux

L o i d u S i m a rs 19 1 9 (O ff ic ie l d u 4 M a i 1920)

Il est alloué une indemnité de iO francs par heure de séance aux m édecins mem­bres des tribunaux départementaux des pensions m ilitaires.

aux communes qui locales de les encourager.

Le charbon. — On en a m a n q u é ... m ais p a s à P aris — M. le Préfet expose ainsi la situation charbonnière dans

Oise :A Ta suites des grèves anglaises, le

charbon a manqué. Il a fallu faire les demandes au bureau des Charbons à Paris. Au cours du l tr trim estre, l’Oise a reçu environ 5 à 7 000 tonnes par m ois. A la crise de quantité, s’ajouta la crise de quafité. Nous ne recevons pas, hélas, le bon charbon du Nord et du Pas-de Calais.M le Préfet ajoute qu’il traversa, ces temps derniers, une période d’inquiétude.Il parvint, toutefois, à se procurer suffi­samment de charbon spécial pour le bat­tage. Cela permettra d'attendre la soudure eVTespérer une situation aussi peu défa- vff’abls q u e poss ib le .,/ M. Fournier-Sarlovèze s’élève contre le scandale du charbon à Paris : les caves des magasins, théâtres, dancings, etc., étaient bourrées de charbon et les salles surchauffées, alors qu’il y avait disette de charbon dans le pays.

M. Pennelier questionne sur la façon dont le charbon a été réparti dans l’Oise.

M. Boulanger rapporte un vœu tendant à l’extraction le plus possible de la tourbe.

M. de Kersaint demande qu’à l’avenir, seules les Municipalités soient chargées de la distribution du charbon

M Fournier-Sarlovèze demande une se s­sion extraordinaire pour l’examen de la question charbonnière.

Sur la proposition de M. le Préfet, MM. de Kersaint et Turck sont désignés pour faire partie de l’Office du charbon.

Les R égions L ibérées. — Un v œ u ... p o lit iq u e ? Où Ton v o it M . U hry p re n ­dre avec a rd e u r la d éfen se d u G ou ver­n em en t. — Maintenant ce n’est plus la fièvre ; l’orage va gronder. M. le Préfet regarde du côté de son parapluie. it ... L’orage prend la forme d’une motion de M. Fournier-Sarlovèze. Si de grands efforts, auxquels nous rendons hommage, ont été faits par l’administration dans les régions libérées, tout n’y est pas parfait -"- oh ! non —.-eLienrs h a b i ta n ts o u t b ien SOîVv.joiS'ufe m écontentem ents. La motion de M. Fournier-Sarlovèze s’inspire de ces mécontentem ents ; tous les sénateurs et députés des régions dévastées l’ont, du reste, signée ; elle est ainsi conçue :

Les sou ssign és, sén a teu rs e t d ép u tés des d ép a r tem en ts d éva sté s , d éc la re n t qu 'ils se tro u vera ien t dan s T im p o ss ib i lilé de sou ten ir un g o u vern e m en t q u i n 'assu rera it p a s l ’a p p lic a tio n de la lo i d u i 7 a v r il 1 9 1 9 dan s les con d ition s énoncées.

On s’émeut. « C’est un vœu politique ! > disent quelques-uns.

Un vœu politique ? peut-être au sens exact du mot, mais quoi ! me sera-t-il plus permis au Conseil Général d'inviter le

Avis de la Préfecture.L 'O ffic ie l du 9 mai a publié les nou­

veaux prix des charbons français et an­glais livrés aux foyers domestiques et à la petite industrie

Ces prix étant applicables au départ des m ines et des ports, à dater du 40 mai courant, les prix de détails seront relevés en conséquence.__Messieurs les .Maires et Messieurs les livraison de charbon jusqu'à la publica­tion des nouveaux prix à fixer par l’Office Départemental des Charbons, qui est convoqué pour samedi prochain 15 mai, à la Préfecture.

Les nouveaux prix n’étant applicables qu’au charbon expédié des ports et des m ines depuis le 40 mai, M essieurs les Maires sont invités à faire relever les quantités de charbon arrivés et existant chez les commerçants.

M essieurs les détaillants devront faire immédiatement la déclaration, à la mairie, de toute quantité nouvelle leur arrivant sur expéditions antérieures au 10 mai.

Le P ré fe t, LINARÈS.

Jravers S en ’SLa Jou rn ée

d es F am illes N om breuses.Dimanche dernier, un grand nombre

de jeunes filles ont parcouru les rues pour quêter en faveur des fam illes nombreuses.

Nombreuses ont été les personnes qui ont offert leur obole ; aussi remarquait-on arboré au revers du vêtement ou au cor­sage l’insigne com m ém oratif de cette pa­triotique journée.

En tout cas, nous croyons savoir que la recette a été des plus fructueuse.

IVos S o u s-P réfe ts .Le Parlem ent réduit les sous-préfets et

voici que maintenant les journaux les tuent — sans que d’ailleurs pour cela ils s’en portent plus mal.

C’est ainsi qu’un journal de Paris an­nonçait hier que M. Charbonnier, sous- préfet, avait été victime d’un grave acci­dent d’automobile.

Or, aucun accident — ni même inci­dent — n’a troublé les randonnées que ce fonctionnaire est souvent obligé de faire, en effet, en voiture pour visiter les maires de l’arrondissem ent.

Félicitons M. Charbonnier d ’avoir échappé à cette catastrophe... im aginaire.

Institution Saint-V in cen t.Dimanche 16 mai 1920, à 13 h. 30,

D istr ib u tio n S o len n e lle des G rades A ca d ém iq u es .

O r d r e d e l a M a t in é e

P rem ière P a rtie .P e t i t S o ld a t d e P lo m b , ronde enfan­

tine.L e L ièvre e t le H érisson , fable dite par

M. Navelot Jacques, candidat.

OrthographeScène

jeu

Un in s titu teu r sy n d iq u é . . Un é lè v e ............................

nouveauécolière

MM. Vincent M» .............................. Leroy J.

R evue du Travail, par M. Louvet Robert, académ icien.

Réception des nouveaux élus.Quête pour le m unument des Morts de

Saint-Vincent.

S econ de P a r tie .F leu v e de France, scène allégorique

R h ô n e MM. Guillaume Gilles.L o ire ................. F loquetJean .G aronne Paris François.S e i n e ............... Charlier Yves.R h in .................. Bonnaves Jean.N unT ile .......... Hêlme Henri.

L a p re m iè re p o és ie su r Jean n e d 'A rc (Christine de Pisan, xve siècle), par M. de Préval Joseph, agrégé.

Un M iracle de S a in te Jean n e d 'A rc (Coppée), poésie dite par M. Martin Pierre, candidat.

F l o s a l i e ,(M. Maurey), en un acte

M onsieur B o l MM. Verdeau Chritian.M adam e B o l Mellottée Robert.R o sa lie ............... .. P a n s Jacques.

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tem ent arrêté.Tle .oninhrAMy « t b o n s a r t i a f a c n n t djmwRobert Del s , le comique aéja nién

connu, sera comme toujours irrésistible.Mac-Hulott, com ique excentrique, met­

tra l’auditoire en délire.Andrey’s, chanteur à voix, et M. Arthur

Gharlatte, l’excellent baryton déjà connus du public senlisien , charmeront l’assis­tance.

Et enfin dans T In vité , le B e a u -P ère p a s co m m o d e vi A s ile d e NmîL nos jeunes artistes se révéleront une fois de plus.

Nous espérons que le public sen lisien , toujours avide de beau spectacle, viendra demain dimanche en foule, en m atinée et en soirée.

Cham bre d e s N otaires.Les notaires de l’arrondissem ent de

S en lis se sont r é u n i s en A sse m b lé e g é n é ­ra le et o n t c o m p o sé l e u r C h a m b re de Dis­cipline ainsi qu’il suit :

P rés id en t : M' Maugin, notaire à Ver- berie.

S y n d ic : M* M ellottée, notaire à MelloR a p p o r teu r : M* Thirouin, notaire à

Acy-eu-M ultien.S ecré ta ire : M* Louât, notaire à Sen lis.T résorier : M* Langlois, notaire

Senlis.M em bres : Mcs Galoy, notaire à Précy

et Robert, notaire a Baron.

D im an ch eHenri-IY.

P h a rm a cie ou verte16 M ai : M. Lesage, place

La S o irée an n u e lle du P a tro n a g e d e l’E co le publique

d es G arçons.La soirée de dimanche dernier orga­

nisée par le PatroLage de l’Ecole publique des Garçons de Senlis fut la bienvenue de toutes les fam illes désireuses de distrac­tions à la fois agréables et attrayantes et obtint un brillant et grand succès.

Pour l’heureuse initiative de cette soi­rée, nous devons tout d’abord com pli­m enter les actifs organisateurs, M. H. Brille, le dévoué président, MM. Georges

‘Bunel, secrétaire, et Ch. Luzurier, tré­sorier.

A 8 heures 30, devant une salle com ble, la soirée débuta par une marche, enlevée avec brio par l’orchestre. D isons de suite que cet orchestre nous donna dans le cou­rant du concert quatre autres morceaux choisis bien exécutés et où chacun remar­qua la qualité de Mlle Marie T iaei, M. Jacques Tinel et M. Leblon.

M L. Gaudet, dans ses rom ances senti­m entales, se fit applaudir des spectateurs;M. G. Debras nous donna les vers très recherchés de Miguel Zam acoïs,Le ZépAir.Le jeune E. Martin, dans la première et la seconde partie, eut le succès le plus marquant. M. Isidore Prévost déclama avec beaucoup de sentim ent les beaux vers de Fernand Gregh M. Cardinaux déchaîna la franche gaieté dans son tra­vesti burlesque et ses amusants m onolo­gues qui provoquèrent le fou rire des assistants.

Trois amusantes com édies furent inter­prétées d’une façon m agistrale. Elles firent ressortir une fois de plus les talents des jeunes gens du Patronage. T ou t se p a y e , le M illio n d u T rou bade et la C ham bre n° 8 , furent p o u r MM. Cardi­n a u x , P o id ev in , L ie fq n in , F o u rn i e r , le j e u n e B o u c h e r , MM. T e s s ie r , M a r in , B ou r- gouin, Letèvre, Chambellant, Drugeon, Stum uler, Louchez, V iolet, Sigal, Tri- boulet, Lesueur, Bruret, l’occasion de se révéler — la plupart pour leur début — des artistes amateurs de premier ordre. Les bons mots et les scènes drolatiques am usèrent la salle au plus haut point et ce fut sous un tonnerre d’applaudisse- m ents que le rideau se ferma successive­ment après l’exécution de chacune de ces trois p ei.es très goûtées du public.

Au cours de la soirée, le sympathique Président, dans une touchante allocution, rappelle la fondation de l’Amicale en 1897 et sa prospérité à la veille de la guerre ; il rappela aussi les pertes qu’elle a éprouvées (25 de ses membres sont to m -,

LE COURRIER ï)E L'ÜïSfi

bés au champ d’honneur) et il adresse 4 leurs fam illes l’assurance de la vive sym ­pathie de l’Association.

Il donne un souvenir ému au président- foi dateur de l’Amicale, M. Lestooart, le dévoué maître qui, pendant un quart de siècle, s’est donné de toute son âme â la tâche qui lui était confiée et dont la m é­m oire est profondément gravée dans le cœur de ses anciens élèves.

Il montre que l’Am icale, reconstituée en février, est plus vivante que jam ais, comptant 90 membres ; il attribue ce résultat aux sentim ents de bonne cam a­raderie qui animent les membres de l’Am i­cale et aussi aux encouragem ents qui leur ont été prodigués par la Municipalité de Senlis, par M l’Inspecteur primaire et par les membres honoraires. Il les rem er­cie tous très cordialem ent au nom de l’Am icale et les assure que celle-ci conti­nuera à prospérer, ses mem bres voulant avant tout resserrer les liens de bonne camaraderie, développer les sentim entsd ’am itié c ré é s à l’école e t c o n t r ib u e r de tou l le u r p o u v o ir à la p ro s p é r i t é e t à la vie de la ville de S en lis «»

M. Brille remercie M. le Maire de Senlis qui a bien voulu accepter la présidence de la fête. Mlle et M. Tinel et M. Leblon, qui ont mis gracieusem ent leur talent de m usicien au service de l’Amicale, et toutes les personnes présentes qui don­nent ainsi la preuve de l’intérêt qu’elles portent à l’Association.

En terminant, il demande aux assis!ants de vouloir bien réserver bon accueil aux quêteuses qui vont solliciter leur obole ; le produit de la quête sera versé à la sous­cription destinée à élever un monument aux Enfants de Senlis Morts pour la Patrie.

* Cette quête a produit la somme de 480 francs, chiffre annoncé par M. le P rési­dent. Merci de tout cœ ur au public re­connaissant.

Quant au Patronagede l’Ecole publique des Garçons qui s’est surpassé, on peut le dire, par la bonne organisation de cette petite fête fam iliale, nous lui décernons ici tous les éloges auxquels il a légitim e­ment droit. Il vient de donner une preuve de sa vitalité ; nous ne doutons pas qu’il nous réserve bientôt une nouvelle soirée qui obtiendra encore un très grand succès.

S o u s c r i p t i o npour l’érectio n

d’un M onument en l’honneur d es E n fan ts d e S en lis

< m orts pour la F ran ce .

16* L iste Total des listes précédentes

. J. Pintiau, rue Chancellerie . Veuve Vatin , . . . , ,Famille Guillot, rue de Meaux. V. Mercier, rue de Meaux . .

20.909 255 »

40 »20 »

100 »

T o t a l ................................21.074 25

«tournée \a t io n a leLe Comité du Syndicat d’initiative qui a

organisé sous le patronage de la Munici­palité la Journée Nationale des Fam illes Nom breuses, se fait un devoir d’adresser ses plus chaleureux rem erciem ents à ses aimables et dévouées collaboratrices que furent les gracieuses quêteuses.

Grâce à ' leur infatigable zèle, la V ille de Senlis pourra apporter ax Comité Cen­tral la coquette som me de 4.311 fr. 50, produit centralisé par les soins du Syndi-

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LE P H E N I XCompagnie Française d’A ssurances sur

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V IERE, 4, rue de la Tonnellerie [ren sei­g n em e n ts con fiden tie ls). 3248

M ariages.Dernièrement a été célébré, à Notre-

Dame de Lorette, au milieu d’une a ss is ­tance nombreuse, le mariage de M. Henri Bi^ot, ingénieur du génie maritime, Croix de guerre, avec Mlle Ida Bienvaux, fille de M. Bienvaux, ingénieur en ch ef des Ponts et Chaussées et de Mme Bienvaux.

Le bénédiction nuptiale a été donnée aux jeunes époux par le chanoine Cha- noin, directeur de l’Ecole M assilion, oncle du marié, qui a prononcé une délicate allocution.

S. G. Mgr Herscher, archevêque de Laodicée, honorait la cérém onie de sa présence.

***

Nous apprenons le prochain mariage deMlle Adrienne Bourbier, fille et belle- fille de M. Charles Gagneux, principal clerc de Me Chastaing, avoué, avec M. Charles Steed, jockey, fils de M. et Mme Steed, de la rue de l’Epée.

La bénédiction quptiaie leur sera don­née, à cause des Fêtes de la Pentecôte, à la chapelle de la Vierge, en l’Eglise Notre- Dame de Senlis, ie samedi 22 mai 4920, à 44 heures très précises.

Le présent avis tiendra lieu de faire part.

Le lundi 47 mai, à 14 h. 4 /2 , sera cé lé­bré en la Cathédrale de Senlis le mariage de Mlle Geneviève Darte, sœ ur et belle- sœ ur de M. et Mme Poreaux, négociants, rue Bellon, avec M. Henri Métais.

Il ne sera pas envoyé de faire-part. Prière déconsidérer le présent avis comme une invitation.

C om pagnie d’A rc du M oniaubanLes archers du Montauban ont procédé,

le dimanche 9 mai, à 2 heures, au tir à l ’oiseau.

A la quatrième halte, l’oiseau est tombé sous le coup de la 8» flèche de l ’archer Georges Robert, fils de M. et Mme Henri Robert, nos sympathiques concitoyens, qui a été proclamé roi pour l’année 4920- 4924. H

'

qui, k la mobilisation, était principal clero de l ’étude M* Petit, notaire en notre

suivante est parue à l’O /-

deville.

La citation /tc ie l :

u Chasseur au 49e Bataillon, bon et brave chasseur. Blessé m ortellem ent au Champ d’Honneur la onze novembre 4044à W ytschaete (Belgique), Croix de guerre avec étoile de bronze.

A cte d e p rob ité .Trois enfants : Georges Chatelin, Mau­

rice Dogonneau et Marcel Labaye, ont trouvé, sur la voie publique, un porte- m onnaie contenant une assez forte somme qu’ils se sont em pressés d’aller déposer à la Mairie.

C I N É M A S E N L I S I E NA f i f o r - t y

S a m e d i 16 M ai, so irée d 8 h. 3 0 . D im an ch e 16 M ai, m a tin é e à X h . 3 0

soirée à 8 h. 3 0 .

La

PROGRAMME

et E o i e t l e l ’Is le .Reconstitution historique.

Mère Comédie sentim entale.

La C hasse au C erf Plein air.

P a ta ch o n e t le B rigand Comique.

Le Client d e Lapilule. Comique.

Les M oustaches d e P o lydore.Comique.

Programme attrayant pour les amis du Cinéma, œuvre de la célèbre maison Gau- mont

Ouverture des portes à 2 h. 45 et 8 h. 45.

La location est ouverte à partir du Vendredi de chaque sem aine, à la Salle

Q h fii/rps A m id i.

P r ix des p la c e s : Prem ières, 2 fr. 5 0 ; Deuxièm es, 1 fr.

Troisièm es, 1 fr.7 5 ;

C ontravention.Marguerite Pirlot, 37 ans, manouvrière ;

Céline Lebon, 41 ans, sans profession, et Alfred Nobéoourt, 39 ans, rencontrés en état d ivresse publique et m anifeste, rue du M oulin-du-Gué-de-Pont, ont été l’objet d’un procès-verbal et reconduits à leur dom icile, route d’Aumont.

On r e c h e rch e le vo leur .M. Paul Perséguers, loueur de voitures

avenue de Compiègne, a été la victim e d’un audacieux voleur. Il y a quelques jours, il voyait arriver chez lui un jeune homme de 25 ans environ, qui lui dem an­dait à louer une voiture et un cheval pour aller chercher des bagages à Barbery Ne le connaissant pas, M. Perséguers hésita, mais l’individu prétendit êire connu du fils de M. Perséguers.

Le dernier fit atteler un cheval à une Koji.ira i Hah h) .VAXageur ji§,r:Perséguers a porté plainte.

Le montant du vol n’est pas inférieur à 1.900 francs.

E cho d e la C orrection nelle .Pour un m otif qu’il ne peut expliquer,

Dion (Eugène), 39 ans, charretier à Sen­lis, a, dans la soirée du 45 mars, pénétré chez le sieur Georges Fleury, oncle de sa fem me, auquel administra plusieurs coups de poing. Fleury pas content alla, le len ­demain, conter les faits au comm issaire de police qui verbalisa. Coût : 46 francs d’amende avec sursis.

COMMUNIONS

GRAND CHOIX D’ARTiCI ESP O U R C O M M U N I O N

tels que :j Ÿ î i s s e l s , p a r o i s s i e n ^

C h a p e l e t ^ , J r r j a g e s , e *c '

S o u v e n i r s i m p r i m é s à la

Xibrairie Jaillioi9 , P l a c e H e n r i - i v

S E N L I S

P rix très A vantageux

N écrolog ieNous avons apprit la mort de :M. René-Charles Lucien Lonohampt, 22

ans, sous lieutenant au 43e Régim ent de Dragons, titulaire de la Croix de Guerre.

M. Louis Jean Grandperrin, 64 ans retraité.

Mlle Marguerite-Clair Migon, 22 ans couturière. ’

En ces douloureuses circonstances, nous adressons aux fam illes l’assurance de nos plus sincères condoléances.

Etat Civil d e S en lisdu 5 au 43 Mai 4920.

N aissan ce7 — Lucienne-Marie-Olga Buha, rue Saïnt-

Frambourg.P ublications de m ariages. , - *

7. —• M. Pierre-Antoine Chauvassagne, b ro ­canteur, demeurant à Senlis, et Mlle Claudifuj- Pauline Chauvassagne, sans profession, demeti- rant à Sinlis .

12. — M. Pierre Mil'on, typographe, demeu­rant a Lyon, et Mlle Renée-Marguerite Leyma- n e , blanchisseuse, dem u ra u tà Senlis.

12. — M. Albert-François Petiot, ajusteur, demeurant à Senlis, et Mlle fmaenne Laron- delle, sans profession, demeurant à Com­piègne.

Décès12. — M. Lonchampt René-Chtrles-Lucien,

22 ans, sous-lieutensnt au 13* Rgt de Dra gons, décoré de la Croix de Guerre, faubourg Si-Martin, 1.

12. — M. Louis Jean Grandperrin, 61 retraite, rue des Jardiniers. 7.

13. — M. Paulet Pierre-Elie-Jean, rue de la République, 59

13. Mme Marie Hué, 44 ans, sans profes­sion, rue du Heaume.

14. — Mlle Margueriie-Clair Migon, 22 ans, coutuiiôre, rue du Moulin St Troa.

A prem ontL a chasse a n x la p in s

Illain David et Mahieux Charles e-xer- caient leur métier de braconniers dans la remise Bonnard, parc d’Apretnont. lors qu’ils furent surpris par l'e garde W ey (pus. Au moment de leur arrestation, ils étinSht porteurs de sept, lapins

Quelques jours auparavant, ils avaient déjà été surpris par le garde Canonne dans le même parc. Mais Mahieux et Illain nient ce second délit énergiquem ent.

la roule Vint 3 passer un gendarm e qui dressa m e contravention A M. G' pœc pour embarras de la voie publique.

CoyeJeunesse ca th o liq u e

Le Congrès diocésain de la catholique aura heu à Coye, le la Pentecôte.

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O F U S I L ,P la q u e C o m m ém o ra tive

De nombreux concitoyens ont bien vou­lu répondre â notre appel, nous les en rem erçions, notre m onument paroissial sera digne de Creil et de ses enfants.

M. le oapttaine-Gallé adresse à l’Union des Combattants la lettre suivante dans laquelle il exprime sa reconnaissance émue :

Mon cher Président et Ami,« Je suis très touché de l’acte spontané

de nos camarades, qui ayant appris qu’une p'aque commémorative allait être placée à l ’église de Creil pour honorer leurs com­pagnons de lutte et de gloire, ont voulu s’y associer.

Us nous aideront à montrer aux géné­rations futures comment savaient souffrir et mourir pour le droit et la Civilisation les victim es héroïques de la Grande Guer­re. Merci au nom des fam illes de nos 280 morts. »

M édaille M ilita ire

... 1m-cœn député, conseiller d’arrondissement et conseiller municipal de Creil soit gravé avec ceux de nos Morts.

Voici la citation qui vaut au sergent Heuzé la Médaille Militaire :

« Sous-officier d un calme et d’un sane' froid remarquable. Dans la nuit du H juillet 4916, a su par son énergie et son exem ple maintenir son équipe au travail sous un bombandement v io len tâ t malgré une forte ém ission de gaz asphyxiants ; le 44 juillet s est rendu spontanément sous un feu intense d artillerie auprès de nom­breux blessés d’un autre régim ent et aidé ■ pendant plusieurs heures à les transpor­ter au poste de secours et les évacuer •Lénait ^ signalé en Champagne par Sa belle attitude au feu ».

\ o g e n t - s i i r - O i s eD ans le clergé

M. l’abbé Lesconhec, vicaire de N ogen tt a été nommé curé de Vendeuil-Caply.

C on traven tionPar défaut d’inscription de sa profes­

sion de brocanteur, lejeune Robert Galant de Nogent, a récolté tine contravention.

R ouvilleV a lid a tio n

Le Conseil de Préfecture de l’Oise, après délibéré en date du 29 Janvier, rejette la protestation form ulée contre les élections m unicipales de Rouville du 30 Novembre.

Séry-M agnevalCes d a m es ne son t p a s d 'accord

Mme Baraquin Alphonsine, 28 ans, fai­sait de l’herbe d a n s un pré en com pagnie d’une amie, lorsque vint à passer Mme Ernestine Vanduyse. Celle-ci reprocha à Mme Baraquin d’avoir des relations cou­pables avec son mari. Il y eut bataille et Mme Vanduyse, frappant celte qui, croit- elle, est sa rivale, lui fit une blessure sans gravité d’ailleurs à la tête. Mme Baraquin battue et pas contente, a porté p la in te .

TîANTEUIL-LE-ÏÏAUDOUIN

Atelier mécanique agricole M ichel ROBERT

à Senlis

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16, Faubourg Saint-M artin

Vente — Echange — Réparation

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Harrys ; Lieuses Brandfort ; Semoirs Smyth, (Liot, Le Gaulois et Gougis) ; Dis­tributeurs d’engrais, Le Boisrenoult ; Bra- bants ; Cultivateurs à dents flexibles, Le Griffart ; Herses canadiennes ; Tracteurs agricoles ; Moteurs agricoles et indus­triels.

. E n m a g a s in :. Stock de pièces de rechange.

Travaux de forge de toute nature.

C h a m p io n n a t de P ica rd ie

Nous sommes heureux d’annoncer aux C'-eillois que les championnats d’a blétis- m e de Picardie auront lieu sur Je terrain de la Grande Famille à Creil, le 27 juin prochain. J

Ce sera la première fois que seront dis­putés dans la région, ces championnats auxquels participeront les meilleurs athlè­tes de Picardie, Am iens, A bbeviliép83|iV Quentin, Compiègne, Beauvais, etc., ed- yerront ce jour-là tous leurs as défendre leurs pavillions.

Si nous ajoutons que les vainqueurs sont qualifiés officiellement pour partici­per aux championnats de France, nous n aurons pas besoin de démontrer l’apreté de la lutte future.

A tra vers la v i lle

Une dame C ..., de Tourcoing, voyageait en chemin de fer avec le permis qu’un em ployé, du Nord lui avait prêté bien

, qu elle n eût aucun droit à cet avantage.Un contrôleur ayant demandé à Mme

C .. son nom, celle-ci troublée lui donna le sien, qui bien entendu n’était pas celuiinscrit sur le permis.

Procès-verbal a été dressé et l’affaire aura probablement des suites bien que Mme G... ait proposé de rembourser son voyage.

Mme Morel, débitante, 25, faubourg de Senlis, a constaté qu’on lui avait volé du üng'G» des draps, taies d’oreillers, serviet-* tes, e tc ., notamment. Ses soupçons se sont portés contre une jeune domestique qui l a quittée voilà quelques jours et elle est venue le dire au com m issaire de police.

Le jeune Corniquet Octave counTT^-1^ exploits : dernièrement, il avait dérobé des piquets de clôture ; aujourd’hui p W une serpe qu’il a prise, appartenant à M Geoffroy, bûcheron, au service de la vil m' Plainte a été portée. e ’

G ilocourtP ou r les la p in s

3 Mme Lebon Elise est allée conter aux gendarmes l’affaire suivante. Elle fait pla­cer habituellement l’avoine et le son des­tinés aux chevaux dans des caisses en bois près de fécurie de sa scierie. Cha­que matin, le directeur, M. Dumas, s'aper­cevait que le niveau de l’avoine et du son avait baissé Une surveillance fut exer­cée : elle aboutit à taire pincer en llagrant délit le veilleur de nuit Maès Jules, au service do M. Lebon depuis huit mois environ. Il emportait du son pour ses lapins, mais il a nié être l’auteur des vois commis les nuits précédentes. L’enquête continue.

M orienvalL’A u m on ière de M orien va l

Dans la D épêch e de Toulouse, M.I trniM i'» il nrRfA..é*r ré ,>A so u v e n i rs de j n uei re a p ro p o s oe nos r i c h e s se s a r u s t i

ques :C’est surtout dans l’étude de ce qui sub­

siste du M oyen-Age que se marque le zèle des allemands. Si cette tranche du i passé les attire, c’est qu’ils s’y retrouvent. Le système féodal est leur œuvre et il en . prend des survivances à leur institution î et mœurs. Aussi, dans ITle-de-Frauce, terre du premier jet de l’architecture improprement appelée gothique, terre sacrée plus créatrice de lignes et de figu­res, disait Rodin, que la Grèce en sou ] temps radieux, dans l’Ile de-France rare- j ment, ai-je visité l’église vénérable du i village le plus écarté, que des archéolo- j gues allemands volontiers en troupe — ils ! ont la curiosité collective ne me tins- j sent com pagnie da^s le bouchon oû. ma bicyclette une fois rem isée, je déjeunais . pour deux francs cinquante - saluez ce 1 prix, Messieurs, vous ne le reverrez plus I j

Je ne sais pourquoi Morienval se pose j sur l’écran de mo souvenir. C’est, aux : entours de la forêt de Compiègne, un pa- ; telih que ne « desservent » comme disent les guides, ni gare ni patin he. Il s’y dresse un vaisseau arc bouté, contemporain de la Sainte-Chapelle et, dedans, posée àm ê m e le p a r e m e n t , u n e s t a t u e de L o u is i x dont la vétusté iRest pas telle qu'on n’y distingue encore des coulées de poly­chromie. Personne que le curé qui vient au-devant de nous et nous introduit dans la sacristie. Il y brille, il y resplendit une aumônière de ce velours de Gènes ancien dont les maistres de la Renaissance ita­lienne dans leurs peintures, nous com m é­morent l’état soutenu. Mais plus encore brille l’œil de deux archéologues allemands surpris d’un tel joyau parmi cette rusticité.

Rentrés dans leur pays, leur premier soin fut d'écrire sur l’egltse de Morien- val un in-octavo de cinq cents pages, « a is , officiers de réserve, ne se promi­rent-ils pas en cas de guerre, si leur régiment passait par là, de mettre la main sur ce velours de Gènes, et pour­quoi pas, sur le moyen âgeux Louis IX ?

(L’aumonière de Morienval a, bien entendu, été en levée par les envahisseurs.)

. . . Que Dieu me prête vie, je ne déses­père pas, si capricieux est le hasard, d’en­trer, voyageant en A llem agne, dans un hôtel Drouot de là-bas et de voir exposer quoi ? Mon aum ônière de Morienval. Je la connais. Je l’ai dans l’œ il ce rouge sombre de certaine rose d’Orient, tant le souvenir en est comme ajusté à celui d’une journée heureuse. Üne fois, deux fo is, trois fois !... Pas de regret ? Jette le com m issaire-priseur.... Adjugé ! A qui I Mais c ’est un de m es archéologues 1 II a vieilli, mais je le reconnais nonobstant, et, tout en palpant l’aumonière, je l’en­tends dire à un voisin : « Je l’ai manquée en 4944. Cette fois elle est à bibi ! »

B aronM ariage

Samedi 4cr Mai, a été célébré à la mai­rie de Baron, le mariage de Mlle Giselle Bodiot avec M. Martial Dubuard. A l’issue de la cérém onie, une quête au profit de la caisse des écoles, par Mlle Marie-Louise Frie, a produit la somme de 42 fr. 79.

Le Maire rem ercie les généreux dona­teurs et renouvelle ses m eilleurs vœ ux de bonheur et de prospérité aux jeunes époux.

Fresnoy-Ie-5 u a l.L’avoir de la Caisse des écoles a été

augm enté de la somme de 32 fr 50 que les époux Pécheux-Legrand ont rem ise à M ie Maire.

Merci aux généreux donateurs. ■+■---------------------------

NEUILLY-EN-THELLtC'hninbiy

- S u ic ide d 'un g a r d e a p p a r i t e u rM. Féro», garde-appariteur de Cham-

b!y, depuis 25 ans, âgé de 56 ans, était atteint d’une maladie incurable qui avait provoqué chez lui de la neurasthénie.

Il avait dû subir deux opérations et était sur le point d’en subir une troisièm e. A plusieurs reprises, il avait déclaré qu’il préférait mourir que de rester à charge aux siens. Ces jours derniers, Mme Féron .ente ulit deu xjié lon ation s reientir. Elle se précipita au premier étage, son mar i venait de s%tirer deux balles de revolver 74 dans la bouche. La mort avait été ins tântané».

IJIIy-Haiiit-Georjços.D éserteur depu is 1 9 1 6 .

Lamouche Stéphane, 35 ans, boutoo- nier, demeurant au hameau de Cavillon, commune d'Uliy-Saint Georges, fut m obi­lisé'le 5 février 4945 au 71e d’infanterie. Le 5 juillet suivant on ne le voyait plus.

On ie considérait comme disparu au cours de la guerre.

Or, il y a quelques jou*s, des habitants prévenaient la gendarm erie que Lamouche venait d’être aperçu dans une maison aum il i e u d e s b o is , à C a v i l lo n .

La gendarm erie de N euilly-en-Thelle aidée de celle de Creil, se rendit donc à cet endroit pour faire le siège de la mai­son.

A ux appels adressés, Lamouche, les cheveux hirsutes, se présenta et lit « haut les mains ». Se voyant découvert, il se rendit.

Dans la m aison, on trouva des cartou­ches, un fusil et une carabine.

U déclara qu’il était déserteur depuis le o juiLet 4945 et qu’il vivait ainsi dans cette maison au milieu des bois depuis plus de quatre ans.

Arrêté, il a été transféré au dépôt du d’infanterie, à Saint-Brieuc, à la dis-718

position de son corps.

PONT=»Ste-MAXENCEA tten tio n , cy c lis te s

Pour défaut d’appareil sonore à sa béca' ne, le jeu n e Camille Lebrun, garçon bou­cher à Pont, a récolté une contravention

M édaille'M ilitaire posthum e.La Médaille Militaire posthume vient

d1être accordée à la mémoire de M. Coussemaker (Charles - Octave - Ludovic)

A V I S

L’abondance des matières nous oblige à renvoyer à notre prochain numéro des nouvelles de Senlis et des communes environnantes.

M. Ovrée, préposé des droits de pla™ a porté plainte contre ùn photogranhè

a o rf .s s ià rom a.L ,'„..b , dTmeambulant qui l’a grossièrem ent insulté An moment où il percevait le droit dont le photographe était redevable.

Procès-verbaux ont été dressés à Gm gnon Henri, de Nogent-sur-O ise, Amnë Auguste, de Nogent-sur-O ise, JatagouK Jules, de Villers-Sam t Paul, qui circulent sur les trottoirs en bicyclette.

NéryT a p a g e n octu rn e

Non loin du café Poulain, un groupe de jeunes gens de Vauoelles et Béthisy faisait du bruit dans la rue, M. Camille Fournier,.conseiller m unicipal, sortit du café pour les inviter à plus de calme-; mais il fut malmené et M. Maurice Mari- bas, âgé de 33 ans, chauffeur à Néry, venu

Eour lui prêter secotirs reçut un coup de âton sur la tête. Une enquête est ouverte

pour retrouver ces perturbateurs.

C o n traven tion

\ Une contravention a été relevée contre M. Alexandre Lecerf, de Yerrines, qui était monté sur un vélo dépourvu d’appa­reil avertisseur.

D isp a ritio n d ’avo in e

M. Meignan Fernand, cultivateur au hameau de Huleux, constatait il y a quel-

ues jours que dans les -semoirs laissés Vnx .champs par ses ouvriers on lui avait déro bé 40 kilos d ’avo in e . Ses soupçons se portèrent sur un habitant du pays, qui élève beaucoup de volailles et qui n’achète jamais de grain. Les gendarm es se ren­dirent chez ce monsieur qui avoua que son fils une nuit, avait rapporté un sac d’avoine. Le fils, interroge à sou tour, dément les dires de son père avec énergie.

OrrouyA tten tio n à vos ch eva u x

' Devant le café dit La B araqu e, M. Louis C opier, marchand de vins a Bélhisy-St- P ie r re , avait laissé sa voiture Mais ie cheval fit un écart et le véhicule obstrua

P ontpoint.M on u m en t h is to riqu e .

Un décret vient de classer au nombre des m onuments historiques les intéres­sants vestiges du moi astére du Moncel, à Pont-Sainte M axence. Fondé par Philppe- le-Bel en 4309, près du château royal de Fécamp, situé sur le domaine du cheva­lier Remi, barili de Senlis, l’abbaye où la reine Jeanne de Bourgogne vint en 4356 installer les douze premières clarisses il conserve encore d’intéressant tém oignages des recherches architecturales d’où notre art « flambloyant » est sorti.

Sans doute il ne subsiste rien de l’église abbatiale vendue eu 4792 pour être « a f­fectée à des usages profanes » et dém olie en 1795. Mais un curieux chartrier voûté dont les clefs décorées de têtes entourées de feuillages rappellent la décoration des médaillons extérieurs des chapelles rayou- nantes de Notre-Dame de Paris, présente une dispcsm on coustruciive fort sin gu ­lière. Sou pilier central octogonal est flanqué de huit boudins qui correspondent aux doubleaux. La moulure des arcs y continue, sans être interrompue p a r un chapiteau, la colonneite solide de la pile Moncel construit e n 4310 et 1337, offre donc une application de ce tte m é th o d e qui, d une manière g é n é ra l e c a ra c té r i s e les p ro cé d é s du q u in z iè m e siècle . U est vra i q u ’en 1265 J e a n Langlois ava it a d o p té cette disposition en construisant les piies du c œ u r de S a in t -U rb a in de Troyes, dont tl était te « maître d œuvre ».

Des anciennes constructions demeurent encore nombre d élém ents précieux pour

m oire histoire : la salle capitulaire, cou­verte d un plafond ; le réfectoire avec sa chaire ; le dortoir qui possède encore in ­tacte 1 admirable charpente de son com ­ble, terminée en 1337. Ou l’a dit faite en bois de châtaignier, qui posséderait la curieuse propriété d’écarter tes araignées — c,e b ailleurs est une légende. Dans la réalité cette vaste charpente esï taillée pans les beaux chênes droits dont Violïet- ie Duc déplorait la disparition, mais qu’ou

piègne e 'JCOre 013(18 la forél de Gorn-

Y illeneuve*sur-V erberieI l lu i a é té p a rd o n n é

M Rozèe Julien, débitant au hameau d Iviluers, s ’était absenté da chez lui pour aller faire une course dans le village. Il ne ferma pas la porte d’entrée de la rue. Quand il rentra, il «perçut un individu qui sortait précipitamment par une porte de la grande salle du café contigiie à la boutique d’épicerie. M. Rozé le poursuivit dans la cour, mais ne put le rejoindre. Revenant chez lui, le débitant couslata dans sa caisse un manquant de 44 fr. Les soupçons de M. Rozée se portèrent sur un ouvrier belge, B ... Raymond, âgé de 34 ans. Interrogé par la gendarm erie, l’ou­vrier com m ença par nier ; mais pressé de questions, il avoua, L’argent ayant été restitué, M, Rozée a retiré sa plainte.

S E J S T L I SA villy—Saint-L éonard

M a r ia g e

A l’occasion du mariage de M. Lefèvre Narcisse de Laon avec Mlle EUsa Strasser une quête faite au profit du Bureau de Bienfaisance, a produit- la somme de 24 fr. 50.

Le Maire de la Commune, conseiller général de l’Oise, renouvelle ses vœ ux de bonheur aux jeunes époux et ses rem erciem ents aux généreux donateurs.

O rry-la-V illeD ans le c lerg é

M. l’abbé Marty, curé de Breuil-le-Vert a été nommé curé de La Ghapelle-en- Serval et desservant Orry-la-Ville.

A rrondissem ent v o is in

B eau lieu le s-F o n ta in esN aissan ce

M. et Mme Devaux-Portejoie, agricul­teur à Beaulieu les-Fontaines, sont les heureux parents d’un fils qui a reçu les prénoms de Jean-Marcel-Eiie.

Tous nos com plim ents à M. et Mme D cyaux et nos m e i l leu rs v œ u x de p ro s p é ­rité pour le bébé.

L ts vo ls s i r les i t a m Isrrés.

Les indemnités payées par les com pa­gnies de chem ins de fer pour avaries pertes ou retards en 4947, 4918 et 4949’ sont consignées dans le tableau suivant • ’

E ta t .........N o rd ___Est..........Orléans.. i ’.-L.-M.. Midi.........

1918

fr.6 767,000

278.000 2.144 000 6.234 000 8.702 000 3 110.000

1918

\ ' l'r- 9 618.000

779 000 3 775.0009.958.000

16.886 0005.277.000

1949

fr.40.000.000

4.500.000 9 606 000

29.771.000 33 960 00012.128.000

Totaux. 27.235 000 46.293X00 129.965.000 Ainsi en tro is an s , les in d e m n i té s payées

par les réseaux ont q u in tu p lé , p a s s a n t de 27 m illions à 430 m il l io ns . S a n s d o u te le prix des marchandises av ar iées ou p e rd u e s a a u g m e n té , jnais ce q u ’il t a u t s o u l ig n e r , c est q u e le r e m b o u r s e m e n t des colis vo.és r e p r é s e n te e n v jro n la m o i t ié des so m m e s q u ’il a fa l lu p a y e r , l ’an d e rn ie r ,a u x ex p éd i teu rs .

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A n n on ces Ju d ic ia ires .A r t i o l k 1 '* .

Etudes de Me FER R Y , notaire à Béthisy-Saint-Pierre (Oise),

M« L E B O U C Q , avoué à Paris, srue des Pyramides, n° 29.

TENTE SDK LICITATIONau p lu s o ffra n t

et dern ier en ckè iisseu r ,en l’Etude de M* F E R R Y , notaire

à Béthisy Saint-Pierre (Oise),

EN 2 4 L O T SD’UNE

U S I N EET

M S detebri;sises communes de

B éth isy S t-P iorre, IVéry T rum illy

R ocq uem ont e t Duvy(Oise)

L’adjudication aura lieu le DIMANCHE (» JUIN 1 9 2 0

à 3. h eu res de re levée .

Maison d'habitation construite en p ierres et couverte et: ardoises avec an nexe en briques, comprenant rez de-chaussée , un étage et grenier au-dessus.

Bâtiment de la roue hydraulique construit en briques et' couvert en zinc, chute de 0 m. 90, roue hydrau­lique récemment construite et van­nage au-devant, pont en bois sur la façade de l’escalier.

Petit bureau construit pa- le loca­taire.

On fait savoir :Qu’en exécution d’un jugement

rendu par la deuxième Chambre du Tribunal civil de la Seine, le vingt février mil neuf cent vingt, enre gistré ;

Et à la requête de : i" Madame Elvire-Philomène-An

géline Schambert, veuve de Monsieur Guillaume Denuncq, demeurant l.ongueil-Annet (Oise), avenue des Chantiers, numéro 86 ;

2° Madame Marie-Elisa Denuncq, veuve de Monsieur Charles-Prosper Elysée Desmarets et épouse en deu­xièmes noces de Monsieur Olivier Hosdec, et celui-ci pour l’assister et l’autoriser, demeurant aux Six-Mai sons, par Saint - Pierre - de - Maillé (Vienne) ;

S0 Monsieur Victor-Joseph Pio­cher, cultivateur, demeurant à La Neuvilleroy (Oise) ;

4° Monsieur Paul-Victor Florher, çan tom ier , demeurant à La Neuvil­leroy (Oise) ;

5" Madame Ursule-Albertine Fé - zelot, épouse de Monsieur Louis- Alfred Bruiant, cultivateur, et celui- ci pour l’assister et autoriser, de­meurant ensemble à Jaux, par le Meux (Oise) ;

6° Madame Jeanne Fézelot, épouse épouse de Monsieur Ju le s -A ith u r Chevrier , c u f iv a te u r , et celui ci pour i'assis^er et autoriser, demeu­rant ensemble a Grandfresnoy (Oise) ;

7° Monsieur Emile Fézelot, demeu­ran t à La Bruyère, commune de Meux (Oise) ;

8° Madame Jeanne-N oém ie Fa- mette, épouse de Monsieur Gaston- Louis-Alfred Thomas, boulanger, et celui-ci uour t’assister et amoriser, demeurant ensemble au Meux (Oise);

9° Monsieur Louis-Chailes B!on- dol propriétaire, dem euran tau Meux (Oise) ;

10“ Madame Louise-Julie Hottin, veuve de Monsieur Jean-Baptiste- Charles Dtifour, demeurant à Seniis, iilace Saint-Frambourg, numéro 1 ;

11° Monsieur Prince-Albert-Xavier Beyer, dem< urant a Ve berie (Oise);

12I> Madame M arie -Ju lie -A dèle Morlière, veuve de MonsieurCharies- Adolphe Ménager, demeurant à I a Croix Saint Ouen (Oise), rue du Parc, numéro 37 ;

13“ Madame Aglaé-Marthe Blom- baye, veuve de Monsieur Paul- Adrien Gombault, demeurant à Paris, rue de la Croix-Faubin, numéro 7 ;

14° Madame Adèle - Augustine Edange, veuve de Monsieur Ernest- Nicolas Covel, demeurant à Rhuis (Oise) ;

15° Madame Juhette-Eugénie De- heudange, veuve de Monsieur Sta­nislas Rendus, demeurant à Beau vais, place de THôtel-de-Ville, nu­méro 34 ;

16“ Mademoiselle Malhilde-Vrgi- nie Deheudange, couturière, dem u- rant à Noaitles (Oise) ;

17° Mademoiselle Marguerite-Char- lotte-Gabrielle Deheudange, coutu­rière, demeurant à Noailles (Oise) ;

18“ Monsieur Paul-Arthur-Eugène Deheudange, maroquinier, demeu­rant à S a in t -G i l le s - te s - Bruxelles (Belgique), rue de Bosnie, numéro 77 ;

19= Mademoiselle Jeanne-Hermine Deheudange, demeurant à Noailles(Oise) ;

Ayant pour avoué M' Leboueq, demeurant à Paris, rue des Pyra- m des, numéro 29 ;

En présence de :Monsieur Ferdinand-Adolphe-Al-

fred Emond, maréchal des logis au 30° régiment d’artillerie, et Madame Elisabeth - Eugénie Duronsoy, son épouse, veuve en premières noces de Monsieur Franyois-Albert Beycr, demeurant ensemble à Orléans, rue de Coulmiers, numéro 109,

Agissant Monsieur Im o n d comme co-tuteur et Madame Emond comme tutrice naturelle et légale des mi neures Eugénie-'•hdome-Adèle Beyer et Luciennne-Hélène Beyer,

Ayant pour avoué M‘ Harüoin, de­meurant a Paris, rue d’Argenteuil numéro 18 ;

Et encore en présence, ou lui dûment appelé, de :

Monsieur Adrien Miot, opticien demeurant à Cuise-la-Motte (Oise),

Agissant au nom et comme subrogé tuteur ad hoc des mineures Beyer sus-nommées ;

Il sera, le Diman>-he s ix Ju in m il n e u f cent v ing t, à d eu x heures procédé en l’Etude de M« Ferry notaire à Béthisy-Saint-Pierre (Oise) à la vente des immeubles dontd ésignation suit :

D E S I G N A T I O NPrem ier lot.

I. — Usine à B é th isy -S a in t P ierre , lieu d i t l ’H iro n d e lle d'une con tenan ce de 1 h ectare 67 ares 71 cen tia res .

Composée de :A. — Une usine hydraulique

usage de scierie avec chute et d verses constructions, comprenant :

A gauche de la porte d’entrée sur l’avenue, pigeonniers, séchoir, cia pisrs, bâtiment et appentis seivant d’étable.

En retour, autre bâtiment com portant, an rez-de chaussée, quatre pièces, une remise ouverte, cellier avec cave dessous et magasin, gre- pier.

Au delà de la rivière.Bâtiment à usage d’ateliers cons­

truit en pierres et couvert en zinc, construit par le locataire.

Bâtiment de l’usine avec galerie au premier étage, annexé à ce bâti­ment, renfermant l’atelier et com partiment pour la machine àvapeur, hangar servant d’écuries et de ma­gasins, grenier.

Jardin et verger.Sur le chemin de l’Hirondelle, te

lo n g du c lo s II c i - a p rè s , b â t im e n t â usage de p o u la i l l e r .

Dans l’île formée par la rivière et le bras de décharge, bûcher et er. amont de cette île, v^nne de dé charge et de déversoir.

L ensemble traversé par la rivière d ’Authonne, d ’une superficie de cin quante ares cinq centiares d'après le cadastre, tient d’un côté nord au chemin dé l’Hirondelle et par hache la rivière séparant d’une berge à Madame Rochat. d'autre côté sud par le ru de décharge et d’un bout ouest par la rivière, à Madame Ro­chat, d’autre bdut au clos B ci-après et aux prés article III.

Section D, numéros 543 et 548.B. — Clos, lavoir et pâlure, ca­

dastrés section D, numéros 572, 573 et 574, pour une surface de soixante quatoizerares quinze centiares, tient d’un côté à la partie A ci-dessus, d autre côté à Monsieur André Caron, Monsieur Cadot et autres, d’un bout le chemin de l’Hirondelle, d ’autre bout la rivière d ’Auihonne.

C. — Te rain avec avenue bordée de sapins donnant accès à la route, sec ion D, numéros 575, 576 partie, 577 partie, pour une contenance de dix-huit ares dix-huit centiares en- v-Fon, tenant d’un côté faisant hache Monsieur Lequeux et Monsieur Le- clercq, d’autre côté Monsieur Du- bief, d’un bout le chemin de l'Hiron­delle, d’autre bout la route de Cires- les-Mello à Gillooourt.

bout par la Gorge d’HaramonUi Mon­sieur Ferry.

Section A, numéro I I69 partie.

Huitième lot.

Cette pièce es t t rav e rsée n chemin de Sain tines et p a r celui

a r te de

D. —"Terrain de culture, cadastré seeti in D, numéros 576 partie et 577 partie, pour vingt ares cinquante centiares en/iron , tenant d’un côté Monsieur Dubtef, d’autre côté Mon­sieur Lesueur, ü’un bout la route, d’autre bout à un chemin.

IL — Cinquante et un ares cin­quante six centiares de pré, terroir de B éth isy-Sain t-P ierre , lieu dit

Hirondelle, tenant d’un côté faisant hache à Madame Rochat, Monsieur Pasquier et. autres, d’autre côté Mess e ts Lequeux ' et Pasquter- Quiel, d’un bout la rivière d’Au­thonne séparant l’article I ci dessus, n’autre bout au fossé de, l’Ecluse sé ­parant du terroir de Néry et de Tar- ticle III ci-après.

Section D, n tméros 557,'559, 560, 561, 562 partie et 563 partie .

III. — Vingt-cinq arcs cinquante- cinq centiares de pré, terroir de Néry, lieu dit lo u p s Cul, Les Prés ou Les Aulnes le Vaucetlcs, tenant d’un côté fais mt hache Monsieur Dafour, Mesdan es Debuire et Rabbé, Monsieur Hazar 1-Chevallier, d’autre côté faisant hactieMessieurs Lequeux Ce bois et Madame Rabbe, d un bout Monsieur Hazard Chevallier et Mon­sieur Chevallier, d’autre bout le fossé de l’Eciuse séparant l’article II ci- dessus.

Section A, numéros 58, 59, 64 et 70 partie.

IV. — Onze ares soixante-deux centiares de pré, môme terroir, aux Prés, tenant d’uu côté Monsieur Corbet, d’autre côté Monsieur Le queux, d ’un bout Monsieur ( hevalier. et autres, d’autre bout au fossé de l’Ecluse séparant du te rro ir de Bé- thisy-Saint-Pierre.

Section A, numéro 10t.V. — Quatre ares cinquante cen­

tiares de p r é , mômes terroir et lieu, tenant d’un côté Monsieur Cor­bet, d’autre côté et d’un bout Madame Rabbé, d ’autre bout Monsieur Bour­geois.

Section A, numéro 72 bis.VI. — Et le matériel compris au

bail consenti aux locataires de l’u­sine.

Terroir de Néry.

Deuxième Lot!Quatorze ares soixante-trois cen­

tiares de terre, heu dit Les Aulnes de Vaucelles, tenant d’un côté au lavoir et à un pré appartenant à la c mmune de, Néry, d’autre cô'è Mon­sieur Petit-Relier, d’un bout au che­min de grande communication d’Or- moy-Villers àJonquièrese t au chemin de fer, d’antre bout le ruisseau de Néry et par une enclave à Monsieur Pasquier-Pinel.

Section A, numéros 360,361 partie, 363,-364 et 365 partie.

Troisième lot.Quatorze ares trente-six centiares

de friche, lieu dit Les Larris de Vaucelles, tenant des deux côtés et d’4jn bout à Monsieur Caplain. d’au­tre bout le même et Monsieur Hazard- Chevallier par un rideau.

Section A, numéros 467 et 468 partie.

Quatrième Lot.Trois ares soixante-seize centiares

de terre , au même lieu, tenant d’un côté Madame Rabbé, d’autre côté Madame veuve Fontaine, d un bout a Monsieur Caplain, d’amre bout à Monsieur Jean-Auguste Chevallier;

Section A, numéro 431.

Cinquième lot.Six ares trois centiares de terre,

aux Aulnes de Vaucelles, tenant d’un côté Monsieur Léon Debuire, d’autre côté Monsieur Picart-Chevallier et Madame Denier, d’un bout l’artiele ci après, d ’autre bout au ruisseau deNéry.

Section A, num éro 418.

Sixième lot.

Quarante-deux ares quatre-vingt- cmq centiares de terre et ravin boisé,mn, t0n^ Néry ou Go''«ü d’Hara- mont, tenant ü ’un côté la Gorgea i ^ 81? 0?*’ 2’autre côté au chemin allant à la Gavée de Vaucelles et autres, d un bout Monsieur Petit Aanen, et d ’autre côté Monsieur Pi­cart-Chevallier.

Section A, numéro 1048.

Neuvième lot.Trente-sept ares quinze centiares

de terre et ravin boisé, lieu dit le Chauffour ou la Gorge des Dîmes, tenant d un côté Monsieur Deligniè- res, d’autre côté Monsieur Diouin, d un bout au chemin des Filassiers, d autre bout les jardins du Chauf­four.

e j n de

a Boissière.Section B, numéro 67 partie.

Dixième lot.Quatorze ares trente et un cen

tiares de terre, aux Buttes, tenant d un côté à Monsieur Picart-Chevaf lier, d’autre côté Monsieur Devouge d un bout le chemin de la Cavée d autre bout Monsieur Ferry.

Section A, numéro 995.

Onzième lot.Trente-deux ares trente-neuf cen­

tiares de terre, au môme lieu, tenant d ’un côté Monsieur 1 hevallier, d ’au­tre côté faisant hache Monsieur Petit-Relier et Monsieur Auguste Chevallier, d’un bout Monsieur Ferry, d ’autre bout Madame Rabbé.

Cette pièce est traversée chemin de Vaucelles à Néry.

Section A, numéros 990 partie et 991

P R I X

par le

Cinquante trois ares soixante-sept centiares de te r re , au Moulin de Néry ou Pointe Dor a, tenant d’un côté au chemin d’Ormoy à Jonquiè- C' s, d’autre côté faisant hache l’a r ­ticle ci-dessus et plusieurs, d ’un b ru t Monsieur Gattelet, d ’autre bout aux Aulnaies.

Section A, numéros 1090, 1099, 1100 partie et 1101.

Septième lot.Trente ares trente centiares de

terre, au Moulin de Néry ou Cham bre Dorée, tenant des deux côtés à Monsieur Rabbé, d’un bout lechemin d’Ormoy - Villers à Jonquières ou route de Néry à Vaucelles, d ’autre

Douzième lot.

Deux ares soixante-quatorze cen tiares de friche, à La Gavée de Vau­celles, tenant d’un côté Monsieur Delignières, d ’autre côté Monsieur Boussard - Tavernier et Monsieur Rabbé, d ’un bout au chem^Q de Fay,

^ t r e bout Monsieur Rabbé.Section A, numéro 748.

Treizième lot.Sept ares dix-huit centiares de

pré, aux Prés, tenant o’un côté M s- sieurs Pe tit Relier , Hazard-Cheval- lier et autres, d’autre côté faisant hache Messieurs Bourgeois et Cadet, d un bout au chemin latéral au che­min de fer, d’autre bout Monsieur Petit-Relier.

Section A, numéros 150 partie, 151 et 152 partie.

Quatorzième lot.Quatre-vingt-douze ares soixante-

quatorze centiares de marais et ose- raie, au Moulin de Néry, tenant d’un côté au chemin d ’Ormoy-Villers à Jonquières, d’autre côté au ruisseau de Néry, d un bout Monsieur Denier et autres, d’autre bout le moulin de Néry.

Section A, numéros 1.111, 1 .H2 et 1.113 partie.

Quinzième lot.Onze ares soixante-dix-sept cen­

tiares de friche et bois, à La Cham bre Dorée, tenant de tous côtés à la ferme du marquis de la Tourette.

Section A, numéro 1162.

Terroir de Trumilly.Seizième lot.

Vingt-huit ares huit centiares de terre, aux Ravins de Balizy, tenantd’un côté e t d ’un bout MonsieurRoger, d’autre côté Madame Decor- sin, d’autre bout Monsieur Cheroy.

Sectio'n B, numéro 140 partie.

Dix-septième lot.

Cinquante trois ares trente-quatre centiares de terre, à Saint-Pierre- les-Ferrières, tenant d’un côté et d’un bout Monsieur Roger, d’autre côté le même et le chemin de Nan- teuil, d’autre bout Monsieur La­marre.

Section B, numéro 107.

Dix-huitième lot.

Cinquante-dei x ares soixante-cinq centiares de terre à Saint-Pierre-les-

err ières ou la Mare de la Citerne, tenant d’un côté et d ’un bout Mon­sieur Roger, d’autre côté Monsieur Julien, d’autre bout Monsieur Roger et Monsieur Alexis Leerand.

Section B, numéro 123.

Dix-neuvième lot.

Dix-sept ares so ixante-dix-huit centiares de terre, aux Soletb-s, te­nant d’un côté et des deux bouts Monsieur Roger, d’autre côté Mon­sieur Page.

Section B, num éro 19.

Vingtième lot.Quatre-vingt deux ares trente-neuf

centiares de terre, au Chemin Blanc ou Derrière le Clos de la Citerne, tenant des deux côtés Monsieur Ro­ger, d’un bout Monsieur Jules Le grand, d’autre bout le chemin de Nanteuil.

Section B, numéro 24.

Vingt et unième lot. ■

Seize ares soixante-quinze cen tiares de terre, au Fond de la Marne près la Remise de la Croix Brisée, tenant d’un côté Monsieur Roger, d’autre côté Monsieur Dubreuil, d’un bout Monsieur Dupont, d’autre bout Monsieur Roger.

Section A, numéro 384.

Vingt-deuxième lot.

Vingt ares cinquante et un cen tiares de terre, au Fond delaG onnée, tenant d’un côté Monsieur Paul Sa gny, d ’autre côté Monsieur Marge ü u n bout au chemin de Fresnoy, d’autre bout Messieurs Ledoux et Leerand.

Section A, numéro 265.

Terroir de Rocquemont.Vingt-troisième lot.

Un hectare douze ares quatre vingt-deux centiares de terre, au Chemin de Crépy à Pont, près h Haute Borne, tenant d’un côté Mon sieur Charmelet, d’autre côté au ter roir de Duvy, d’un bout Monsieur Alfred Lemoine, d’autre bout Ma' dame veuve Neveu-Lemoine.

Section C, numéro 92.

16.000

150

35

15

25

475

350

3 80

555

105

2/0

55

280

25

115

700

425

190

1.100

95

M I S E S AOutres les charges, clauses et cen

dittons énoncées au cahier charges, les enrhères seront reçues sur les mises à prix fixées par jugement sus-énoncé, savoir :

) Pour le premier lot, à ' seize mille francs, c i . . .

Pour le deuxième lot, à cent cinquante francs,c i .........................................

Pour le troisième lot, à trente-cinq francs, ci.

Pour le quatrième lot,à quinze francs, c i .........

Pour le cinquième lot, à vingt-cinq francs c i . . .

Pour le sixième lot, à quatre cent so ixan te -quinze irancs, c i ...........

Pour le septième lot, à trois cent cinquante francs,, c i ..........................

Pour le huitième lot, à trois cent quatre-vingtsfrancs, c i .................. » . ,

Pour le neuvième lot, à cinq cent c inquante-cinq francs, c i .................

Pour le dixième lot, àcent cinq francs, c i .........

Po-ur le onzième lot) à deux cent soixante-dixfrancs, c i .........................

Pour le douzième lot,à cinq francs, c i .............

Pour le treizième lot, à cinquante-cinq fraocs,c i .........................................

Pour le quatorzième lot, à deux cent quatre-vingts francs, ci...............

Pour le quinzième lot, à vingt-cinq francs, c i . .

Pour le seizième lot, à cent quinze francs, c i . . .

Pour le dix-septième lot, à sept cents francs,c i .........................................

Pour le d'x-huitième lot, à quatre cent vingt-cinq francs, c i ...............

Pour le d x neuvième lot, à cent quatre-vingt-d'x francs, c i ...................

Pour le vingtième lot, onze cents francs, ci. .Pou: le vingt et unième

lot,à quatre-vingt quinzefrancs, c i ..........................

Pour le vingt-deuxiè-me lot, à trois cents tr. ,

cet'1 t e l s le® Jtll«i:e jours qui suivront,lr"it de’ sè r‘ H0,j° nnair® mira ie action* L ® ron(il’e acquéreur d isson offre .o u eA V,em e’ pounru (iue da ns ti au prix indiquéP O ürrf ,» iCara!'on ' lecicel prix ne r a n t i J 8™ ? . ^Passf,r la valeur depour cent rPa a ^ an ,aux <lft 111111 des ffmi’v o P1! e revenu moyen . . ex exercices précédents. Toti-

au cas

Pour le vingt-troisième lot, à onze cents francs,c i .........................................

Pour le vingt-quatriè­me lot, à quatre-vingt- quinze francs, c i .............

300

1.100

95

nbWlle.s , t t émission (l’aciUns dudiviünnH , \ qi,e la distribution l»as eu Mon i deux exercices n’aura pourri ô,?a’ K Pr.,x dp' ' ' ^ o n ne ce dont mi'P ur 811 “ entant deaugmenté *’ ? au ra - é} é 1,tléréeprime nota S 'P y ava,t lie'1. de la P' me payée s l’émission. »

n6asnrf°UtAe ’ les cin(;I derniers a l :• pp du même article sont modifiés

'cmpiacés comme suit :)« 1rs dispositions du présent ar-

ciesont applicables à tou* les rasan» ? • l? ôma aux cessions qui auraient eu lieu par adjudication pu-

ffe, en vertu d’ordonnance dec* «« <i ironion !.. et HUX lllüta-

„ profit d’héritiers, donataires tau (Salaires.

< Les adjudicataires, héritiers, donataires et légataires sont tenus de se fai e agreer dans les trois mots de l’adjtt tication, de la dona­tion ou du décès ; s’ils ne sont pas agiéés, iis ont l’obligation de céder leurs actions soit à un actionnaire, soit à une personne agréée par la gérance, et ce, dans te délai d’un siois ue.ia notification à eux faite du tefus d’agrément.f « La gérance devra, sur la de­mande des adjudicataires, héritiers, donataires ou légataires non agréés, aviser d»ns les quinze jours les actionnaires du nombre d’actions à vendre et leur indiquer le domicile du vendeur, auquel les acquéreurs devront adresser leurs oflres.

« A détaut de cession dans le d é ­lai d’un mois, ci-dessus indiqué, la gérance devra désigner aux adjudi cataires, héritiers, donataires ou lé- gamires non agréés un acquéreur auquel ils seront tenus de vendre leurs actions à un prix qui ne-pourra

supérieur aux chiffres résultant des dispositions déjà fixées ci-des­sis la fin du huitième paragraphe.

« Faute par la gérance d’indiquer un acquéreur dans le délai de vingt jours, les adjudicataires, héritiers, d0|« uire.s ou légataires demeure- ro

asi fitro * n déc s u . mai rué calculée

Total des mises à prix : v ing t-deu x mibe huitcent quarante-cinq francs 22 8 4 5 Lci

Fait et rédigé 1 Paris, le sept mai mil neuf cent vingt, par 1 avoué pour­suivant.soussigné.

Signé : LEBOUCQ.-

Enregistré à Paris, le sept mai mil neuf cent vingt, folio I I , c a s e l . Reçu I fr. 88, décimes compris.

Signé illisiblement.

S 'adresser pour les renseigne­m en ts :

1“ A FE R R Y , notaire à Bé- thisy-Saint-Pier e (Oise) ;

2“ A Re L E B O U C Q . avoué, de­meurant à Paris , rue des Pyramides, numéro 29. 3353

Ar t . 2.

iciÉlè des P l a p s , P a jiers et Prodnits P b o t i f a p b ip e s

G Ü IL L 1M IN 0T .

Société en commandite par actions, au capital

de trois milhonsde francs

MODIFICATIONS a u x

ST A T U T S & AUGMENTATION d e CAPITAL.

Terroir de Duvy.Vingt-quatrième lot.

Trente-sept ares soixante et un centiares de terre, Derr ère Balizy tenant d’un côté Monsieur Dassy d ’autre côté Monsieur Delaistre par hache Monsieur Dupont, d’un bout Monsieur Dupont, d ’autre bout le chemin de Trumilly à Crépy.

Section D, numéro 09 partie.

rueS iège d P aris

de C h â teau du n ,

Aux termes d’une délibération en date du treize avril mil neuf cent vingt dont une copie conforme déli­vrée par l’un des gérants, a été dé­posée a u rang des m inutes de M* fiouchet, notaire à Paris, le dix- neuf avril mil neuf cent vingt.

L’Assemblée générale extraordi­naire de la Société en commandite par actions R GUILLEMINOT BOES- PFLUG et Compagnie, avec dénomi - nation de S o c ié t é d e » P la q u e s , P a p ie r s e t P r o d u its P h o to ­g r a p h iq u e s GUILLEMINOT, réunissant la totalité du capital so­cial, a voté à l’unanimité, entre autres résolutions, celles suivantes :

P re m iè re Résolution.

L’Assemblée Générale apporte les modifications suivantes au texte des Statuts de la Société :

A rtic le quatre . — (Le deuxième paragraphe de cet article est modifié et remplacé comme suit :)

« Il pourra être transféré en tout autre endroit de Paris, par une d é ­cision des gérants,.et dans une autre localité en vertu d’une délibération de l’Assemblée générale extraordi­naire des actionnaires. »

A rtic le d ix , — (C t article est modifié et remplacé comme suit :)

« Les actions sont et demeurent nominatives, même après leur en­tière libération.

La création d’actions au porteurne pourra avoir lieu qu’autant qu’elle aura été autorisé par une Assemblée générale extraordinaire délibéran t dans les conditions spéciales '•pré-" vues à l’article trente-neuf.

« Les titres provisoires et défini­tifs d’actions sont extraits d’un livre à souche, Irappés du timbre sec de la Société et revêtus de la si­gnature de deux gé’ants, dont l’une pourra être apposée à l’aide d’une griffe.

« Les dividendes afférents à cha­que action, soit nominative, soit au porteur, sont valablement payées au porteur du titre ou du coupon. »

A r tic le onze. — (Le huitième pa­ragraphe de c. t article est modifié et remplacé comme suit :)

« Dans les cinq jours qui suivront celte déclaration, ia gérance uevra en aviser les autres actionnaires, et

nA 4t flmtiveirieqt ac ionnaires «s tid eq u a to rze . — (Le deuxième

par ! ; suivant :), l< J 0111 versement en retard porte

fi* At"1 l rolt 611 fllveur de la Société intérêts à sept pour cent l’an, compter du jour de i’exigibi ité, sans mise en demeure

Article seize. — (Cet article est ainsi modifié-;)

« Madame veuve Guilb ininot, Mon- sieur René Gùilieminot et Monsieur Boesptlug, co-gérants statutaires, auront séparément la signature so­ciale , ils pourront la déiégui-r par- tielli ment et tem; oraireoient à la condition que les délégations soieel consenties par deux d’einre eux.

« S il ne reste plus qu’un seul gé­rant, il pourra déléguer seul la si­gnature sociale.

« Il ne pourra être fait usage de la_signature sociale que pour les af­faires de la Société.

Des gérants autres que les gé­rants .statutaires n’engageront vala­blement la Société que si leur signa­ture est accompagnée de celle de l’un, ou l’autre ce Madame veuve Gùilieminot, Monsieur René Guille- mmot et Monsieur Boespfiug. »

Article v in g t-n eu f. — Leu trois premiers paragraphes de cet article soiR modifiés et remplacés par ceux

*« L’Assemb'ée générale régulière­ment constituée représente l’univer­salité des actionnaires.

« E 't de droit membre de l’Assem­blée tout propriétaire de quinze actions.

« Toutefois, les propriétaires de moins de quinze actions peuvent se réunir pour former ce nombre et se faire représenter par l’un d’eux ou parmi membre de l’Assemblée. »

Article trente et un . — (Le deuxième alinéa de l’article trente et un est ainsi modifié :)

« Si cette condition n’est pas rem ­plie, l’Assemblée générale est con­voquée à nouveau selon les formes et dans le délai prescrits par l’aîtieie trente-deux.

Article tren te -d eu x — (Cet ar- ticle’es’. ainsi modifié et remplacé :)

« Les convocations, aux Assem­blées générales sont faites seize ours au moins à l’avance par un

ava inséré dans un journal d’an- Boncesjégaies de Paris Le délai de convocation peut être réduit à huit jours pour les Assemblées extraordi­naires et pour les Assemblées ordi- riàUeSt'’'convoquées extraordinaire m énbiauf à l’effet des prescriptions têgaap 'n te celtes de l’article trente- neufli-après, relatives aux Assem­blée# extraordinaires réunies sur deuxième ou troisième convocation.

« Les avis de convocation doivent indiquer sommairement l’objet de la réunion. »

Article trente trois. — (Il est in séré à la suite du paragraphe deux de l’anicle trente-trois ainsi conçu :)

« Elle peut décider notamment :« Le transfert du siège social ail­

leurs qu’à Paris. »

Article tren te quatre. — (Le premier- alinéa de cet article est ainsi modifié :)

« Les propriétaires d’aclions, de­puis dix jours au moins avant l’As­semblée peuvent y assister saus formalités préalables, ou s’y faire représenter. »

Article tren te -hu it. — (Les trois derniers alinéas de cet article sont ainsi modifiés :)

« Lorsque l’Assemblée générale est appeler à statuer dans des autres '■as que ceux prévus aux articles dix, viogR vingt -et un, trente-trois et quarante-cinq, ses décisions sont Prises à la majorité des voix des membres présents.

En cas de partage des voix ceile du . président est prépondô-

mposée d ’un nombre d'ac représentant au moins les

t* du capital social, et ses devront être prises

les trois quarts des voix omme il est dit à l’article

trente-huit.m Qu ■ nd l’Assemblée générale^uira

été convoquée dans l’un des cas prévus aux articles vingt, vingt et

| un, trente trois et trente-cinq, elle ne sera régulièrement constituée et

| ne délibérera valablement. ,ue si elle est composée d ’un nombre d’action­naires représentant les trois quarts au moins du capital social. Si, dans [u n ou l’autre de ces cas, l’Assem­blée n’a pu atteindre sur une p re ­mière convocation les trois quarts du capital social, il pourra être réuni une seconde assemblée qui délibé rera valablement lorsqu’elle sera composée d’actionnaires représen tant ta moitié au moins du capital so ­c ia l .

Et si c e t t e s e c o n d e A s s e m b lé e n ’a pu réu n ir la moitié du capital so- cia), il pourra en être convoqué une troisième oü il suffira de la rep ré ­sentation du tiers du capital social.

« Ces deuxième et troisième As­semblées seront convoqués au moyen de deux insertions successives pres­crites par la loi, laites à quinze jours d’intervalle, tant dans le bulletin des annonces légales obligatoires que dans un journal d’annonces légales de Paris, et le délai entre la date de la dernière insertion et celle d i la réunion pourra être réduit à cinq jours.

« Lorsque l ’Assemblée a été con­voquée par application d i s articles vingt, vingt et un, trente-trois et trente-cinq des Statuts, ses délibéra­tions sont prises à la majorité des deux tiers des voix des membres pré­sents, calculée ainsi qu’il est dit à l’article trente-huit.

A rtic le quarante-trois. — (L’ar ticle quarante-trois subit les modifi­cations ci-après :)

« 1° Le quatrième alinéa est ainsi modifié :

« Lorsque cette réserve aura at­teint le chiffre de trois cent mille francs, le prélèvement pourra être suspendu par décision de la gérance, approuvé par le Conseil de Surveil­lance, mais il reprendrait son cours dès que les fonds de réserve aurait été ramenés à un chiffre inférieur à trois cent mille francs. »

dixième a linéa est

quante ont été émises lors de la constitution de ht Société et quatre mille cinq cents ont été créées à ti­tre d ’augmentation du capital en vertu d’une délibération de l ’Assem­blée générale extraordinaire du treize avril mil oeuf cent vingt. »

I I

L’entrée en jouissance a été fixée au quinze septembre mil neuf cent vingt.

Les oppositions, s’il y a lieu, de­vront ê tre faites dans les dix jours de la deuxième publication qui pa­raîtra dans le C ourrier de l’Oise et seront reçues en l’Etude de M* LANGLOIS, notaire à Seniis.

Suivant acte reçu par M* Mouchet, notaire à Paris, le dix-neuf avril m il,1 neuf cent vingt, les gérants de Société des P laques, P apiers P roduits P hotographiques G uüle m inot, déclare que les quatre mille cinq cents actions de cinq cents "rancs chacune de ladite Société représentant l’augmentation de ca pital de deux millions deux cenl cinquante mille francs décidée par la délibération de l’Assemblée géné raie sus-énoncée, ont été souscrites par quinze personnes et qu’il a été versé en espèce par chaque sous« r i p t e u r u n e s o m m e é g - a l o a u q u a r idu montant des actions souscrites par lui, soit au total une sommecinq cent soixante-deux mille cinq cents francs.

Audit acte est demeuré annexé une liste certifiée par les gérants contenant les noms, prénoms, qua lités et domicile des sduscripteurs le nombre d’actions souscrites et le montant des versements effectués par chacun d’eux

ainsi« 2° Lemodule ;« Somme suffisante pour payer

aux actionnaires l’intérêt à six pour ►cent du montant libéré de leurs ac ­tions. »

« 3* Le surplus de l’article qua rante trois, à partir du septième alinéa,® est supprimé et remplacé comme suit :

« L’excédent est réparti dans la p-oportion. suivante :

« Cinquante pour cent sont affec­tés à la gérance tant que deux des

raü!s statutaires - c’est-à-dire Madame veuve Gùilieminot, Mon­sieur René Gùilieminot et Monsieur Boespfiug — resteront en fonctions.

« Si l’un des gérants statutaires reste seul en fonctions, il aura droit à vingt-cinq pour cent de l’excédent des bénéfices et il s<*ra alloué vingt- cinq pour cent de ce même excé­dent à celui ou à ceux des nouveaux gérants qui seront nommés aux lieu et place du gérant décédé ou démis­sionnaire,

Après le décès du dernier des gérants statutaires, l’Assemblée gé­nérale déterminera la part de béné­fices revenant au ou aux gérants alors en fonctions, ainsi qu’au ou aux nouveaux gérants qui pourront être nommés.fecté à ' là gérance se ra ’ réparti aux actionnaires.

« Néanmoins, l’Assemblée géné­rale ordinaire,- sur ia proposition de la gérance et du Conseil de Surveil­lance, pourra toujours décider le prélèvement sur le surplus des bé­néfices revenant aux actionnaires, des sommes qu’elle jugera conve­nable de fixer, soit pour être repor­tées à nouveau sur l’exercice suivant, soit pour être portées à un deuxième compte, dit fonds de prévoyance, ou e- core pour la création d’un fonds de réserve spécial. Ces fonds de pré­voyance et de réserve pourront être affectés notamment, par l’Assemblée générale ordinaire sur la proposition de la gérance et du Conseil de Sur­veillance, à l’amortissement totale ou pa it el des actions de la Société, les* quelles, après leur amortissement intégral, seront remplacées par des actions de jouissances ayant les mêmes droits que les autres actions, sauf l’intérêt de six pour cent et le remboursement de leur capital.

A rtic le quaran te-c inq . — (Le premier alinéa de cet article est augmenté du second ci dessous :)

« Cette Assemblée doit, pour pou­voir délibérer, réunir les conditions de qu rum et de majorité fixées par l’article trente-neuf ci-dessus. »

I I IAux termes d ’une délibération te

nue par le Conseil de Surveillance de ladite Société suivant acte reçu par Me Mouchet, notaire à Paris, le vingt avril mil neuf cent vingt, il ré­sulte que ledit Conseil de Surveil­lance a :

1° Reconnu, après vérification, la sincérité de la déclaration de sous­cription et de versement faite par les gérants de ladite Société, suivant "acte du dix-neuf avril mil neuf cent vingt, énoncé titre II ci-dessus.

2° Et constaté, par suite,, la réali­sation de la condition suspensive in ­sérée au procès-verbal d’Assemblée générale du treize avril mil neuf cent vingt sus-énoncé, relativement aux modifications apportées aux a r­ticles 6 et 8 de ladite Société par la quatrième résolution, lesquelles mo­difications sont en conséquence de­venues définitives.

« i & x p é c l i t i o n O c l a o c c i a r a -

«- tion notariée de souscrip- « tion et de versement du « dix-neuf avril mil neuf cent « vingt de la liste y annexée « et de la délibération de « l’Assemblée générale extra- « ordinaire du treize avril « mil neuf cent vingt, et expé- « dition de la délibération « authentique du Conseil de « Surveillance du vingt avril « mil neuf cent vingt, ont été « déposées lehu i tm aim ilneuf ' « cent vingt aux Greffes de « la Justice de Paix du neu- « vième arrondissement de « Paris et du Tribunal de « Commerce de la Seine, et « le dix mai mil neuf cent vingt « aux Greffes de la Justice de « Paix de Creil et du Tri- « bunal de Commerce de Sen- « lis (Oise). « 3354

Pour premier avis A. LANGLOIS.

Art. 6.

Etude de M» B a l é x e a u x , notaireà Chantilly (Oise).

Aux termes d’un inventaire dressé par M' Balézeaux, lu vingt avril mil oeuf cent vingt, après le décès de Madame Florentine-Marguerite GOS- SELIN, épouse de Monsieur Edouard- Juhen CAILLOTIN, ce dernier, envertu de son contrat de mariage a opté pour la conservation du f o n d s dp c o m m e r c e d ’e n t r e p r is e a a r c h i t e c t e p a y s a g i s t e qu’ilexploite à Lamorlaye, rue du Beau- Larris, pour être seul propriétaire de ce fonds et de ses accessoires.

Les oppositions devront être faites peine de forclusion dans les dix

jours de la présente insertion, à Chantilly, en l’Etude de M* Balézeaux, domicile élu.

3324Pour deuxième insertion

H. BALÉZEAUX.

Ar t . 7.

sssiofl k M s k C om ercG

deuxièm e INSERTION

D un acte sous seing privé en dates des douze et quatorze avril mil neuf cent vingt, enregistré à Pont-Sainte-Maxence, le d ix - se p t avril mil neuf cent vingt, folio 14 , case 7, il résulte que Monsieur Henri CELER, négociant en vins, chevalier de la Légion d’honneur, décoré de la Croix de Guerre, de­meurant à P ont-Sain te-M axence (Oise), est devenu seul

Art. 3

Elude de M* S A V A R Y , avoué à Seniis.

D’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil de Seniis, le seize octobre mil neuf cent dix sept,r\ /-f> 1 t A •

Entre Madame Marie-Julie DEL- VACQUE, épouse de Monsieur Isidore STEMPIEN, demeurant à Montataire, rue de la République, numéro 27 ;

D em anderesse, ayant M« Savary pour avoué;

Et Monsieur Isidore STEMPIEN, ouvrier d)usine, demeurant à Monta- ’taire ;

Défendeur défaillant ;Il app ir t :

Que le divorce a été prononcé 'entre les époux Stempien-Delvac-

que, à la requête et au profit de la femme.

Pour extrait :Signé : SAVARY.

Enregistré.

Assistance JudiciaireDécision d u 15 D écembre 1916.

3356

T ro is ièm e Résolution.

« L’Assemblée générale décid que le capital de la Société, actuelle­ment fixé' à sept cent cinquante mille francs, sera augmenté de deux mil lions , deux cent cinquante mille francs, et [torté à , t ro is miilions de francs par l’émission âu pair de quatre mille cinq cents, actions de cinp cents francs chacune.

< Ces actions nouvelles porteront les numéros -mille cinq cent un à six mille ; elles seront dès leur création soumises à toutes les dispositions des Statuts et elles participeront aux bénéfices de la Société, à compter du oremier janvier mil neuf cent vingt Les actions seront payables un quart en souscrivant et le solde au fur et à mesure des appels de fonds. »

ISTtAtttes les Assemblées gé­nérales ordinaires et extraordinaires, chaque • membre de l’Assemblée autant de voix qu’il possède ou re- pf-ésonte-de fois quinze actions,,sans toutefois que le môme actionnaire puisse réunir, tant en son nom pe’r- soanel que comme mandataire, plus de cent voix. »

A rtic le tren te -neu f. — (Cet a r­ticle est ainsi modifié et remplacé :)

« Quand l’Assemblée générale aura été réunie, par application de l’article dix des Statuts, pour autori­ser la création d’aefons au porteur elle ne sera régulièrement consti u et ne di-libérera valablement, sur- une première convocation c,muie •sur des convocations ultérieures, que

Q u a tr ièm e Résolution.

« L’Assemblée générale décide d’apporter les ; modifications sui vantes aux textes des articles six et huit des Statuts, lesquelles modifica­tions ne deviendront définitives, ce a titre de conditio ; suspensive que p a r la réal isa t ion de l’augm en tation du capital qui sera constaté par une délibération du Conseil de Surveillance.

Article six. — (Cet article e ainsi modifié :)

« Le capital social est fixé à trois millions de francs et divisé en s> mi le actions de cinq cent francs chacune, dont mille quatre cent cinquante attribuées en représenta­tion des apports en nature ci-après établis et quatre mille cinq cent cii - quante, émises tt souscrites en espèces.-»

A rtic le huit. — (Cet article estainsi modifié :)*

« Sur les qua rc mille cinq cent oinquai.te action* de numéraire fai­sant partie du capital social, cin-

• ................. propriétairepar suite du décès de Monsieur Au­gustin CELER, son frère, en son vivant négociant en vins, demeurant

Pont-Sainte-Maxenco. Mort pour France, du T onds d e c o m ­

m e r c e d e v in s e t s p ir i tu e u x , ayant dépendu de la Société en nom

ayant existé entre Messieurs C EL E R , sous la raison sociale « C é le r F r è r e s » , et ayant son siège social au Moncel, commune de de Pontpoint (Oise), ledit fonds com­prenant la clientèle et l’achalandage y attachés, le matériel et les chevaux et voitures servant à son exploita­tion, et le droit au bail des lieux oü il est exploité.

Les oppositions devront être faites a peine de forclusion dans les dix jours de la présente insertion et seront reçues au siège de la maison de commerce, au Moncel, commune de Pontpoint (Oise).

Celte insertion est faite en renou­vellement de celle parue dans ce journal, sous le numéro 18, à la date du deux mai mil neuf cent vingt.

Pour deuxième insertion : 3287 H. CÉLER.

A rt . 8.

DEUXIÈME INSERTION

Suivant contrat reçu par M« Paul BALLU, notaire à Vitry-sur-Seine (betne), les vingt deux et vingt-trois t i e i i l i - ïranço is delaulhs p è re , marchand b o u c h e r , demeurant à A p r e m o u t (Oise), a remis à Mon­sieur R ené-A lexandre DELARUE, son fils, demeurant au même lieu, le f o n d s d e c o m m e r c e d e m a r c il a n d b o u c h e r que ledit Monsieur DELARUE père exploitait à A p r e m o u t . L’entrée en jouis­sance a été fixée au vingt-trois avril mil neuf cent vingt. Les oppositions, s’il y a lieu, seront valablement reçues à P o n t -S a in te M a x e n c e (Oise), en l’Etude de M- BOILET, notaire, dans les dix jours au plus tard de la présente publication.3338 P o u r seconde in ser tio n .

A r t . 4.

Etude de M* G a sto n LOIR, avoué à Seniis,

3, rue Saint-Yves-à-l’Argent.

D’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil de Seniis, en dale du neuf mars mil neuf cent vingt, enregistré ;

Entre Monsieur Louis - Prosper BERJOT, couvreur, demeurant à Crépy-en-Va!ois, rue Lamartine ;

Et Madame Aurélie-Julie-Sidonie YIDAL, veuve en premières noces de Monsieur Paul-Joseph Batteux et épouse en secondes noces de Mon sieur Louis - Prosper Berjot, avec lequel elle demeure de droit, mais actuellement sans domidile ni rés i­dence connus ;

Il appert :Que le divorce a été prononcé

d’entre les époux Berjot-Vidal, à la requête et au prgfit du mari.

Pour extrait publié conformément l’article 247 du Code civil, en vertu

d’une ordonnance de Monsieur le Président du Tribunal civil de Seniis en date du sept mai mil neuf cent vingt, enregistrée, pour faire courir les délais d’opposition à l’égard de Madame Berjot, le dit jugement n’ayant pu être signifié à sa per­sonne.3361 (Stgné) G. LOIR.

Art. 5.

P R E M IÈ R E PU B L IC A T IO N

Suivant acte reçu par M” LAN- GLOIS, notaire à Seniis, le quatre mai mil neuf c-°nt vingt, Monsieur Emdmn BOURGOUIN . marchand chareuher, uemeurant à Semis, a vendu à Monsieur Jean DUPÜY garçon charcutier, et Madame Marie Aimée BOURGOUIN, son épouse,

I demeurant ensemble à Seniis, place de la Halle, numéro 34, l e f o n d s d e c o r o n » . r c e d e m a r c h a n d c h a r c u t i e r exploité à Seniis place de la H alle , numéro 34

s consistant d .v s : l’ense ig n e , laclientèle et l’achalandage v a-tachés

Iles ustensiles, outillage et matérie servant , son exploitation, t toutes

m arc’ian oses garn issan t ledd louds au jour do l'outrée eu jouis-

; s ince.

Art. 9.

C om pagnie A nonym eDU

Chemin de Fer de Hermès à Beaumont.

Siège Social à N euilly-en-Thelle (Oise).

C apita l so c ia l: 1 .300.000 fra n cs pouvan t être porté

à 1 .7 5 0 .0 0 0 fra n cs.

Les Actionnaires de la Société anonyme du Chemin de Fer de Her­nies à Beaumont, sont convoqués au siège social à N eu i l ly -en -T he l le (Oise), l e J e u d i 3 J u in 1 9 2 0 , à qu inze heures tren te , en assem­blée générale ordinaire pour statuer notamment sur l’approbation des comptes de l'exercice 1919.

EXTRAIT DES STATUTS« L’assemblée générale se com­

pose de tous les propriétaires ou porteurs d’au moins cinq actions.

« Les propriétaires d’actions au porteur doivent en faire le dépôt au siège de la Société cinq jours avant la réunion. Il leur en est donné un récépissé nominatif qui sert de carte d’admission à l’assemblée.

« Les propriétaires d’actions nomi­natives y sont admis sur la présen­tation de leurs titres. »

Les dépôts de ti tres au porteur seront reçus au siège social à Neuilly- «n-Thelle (Oise), jusqu’au Vendredi vingt-huit Mai mil neuf cent yingt, a dix-sept heures.

Les Actionnaires de la C om pagnie du Chemin de F e r d e H erm es à Beaumont et les porteurs des bons de la dite Société sont informés que le tirage au sort des actions et des bons a amortir aura lieu en séance pub ique, au siège social, à Neuilly- en-Thelle (Oise), le samedi douze juin mil neuf cent vingt, à treize heures quinze. 3352

Leçonsde Sténographie

et de DactylographieS’adresser

if a i .M i n e

EN LISYVi»-k, 21,

3277

U5 COGHIUfiK D I

Coopérative Agricole d’Electricité

du Valois.(En formation).

Les souscripteurs de parts de laCoopérative A uricole tl’r.lec-t r i c l i é d o % a l o i s , Société ano­nyme à capital et personnel va­riables, en formation, pour les com­munes suivantes

Etude de M» V a llé e , notaire à Crépy-en-Yalois.

VV V K I V D I V E aux enchères publiques

en 1 2 liOts

4 . 2 1 9 Pieds d 'A ibresP e u p l ie r s , G r lsa rd s , Bouleaux

C ess ie rs , Aulnes, Sau lesRully, Barbery, Montépilloy. F re s - | C hên es , Hêtres , O rm es , Frêne*

i ■ - - _ , t _ t : 1 1 . . O 11 r. n m r l ) A r v i r \ n t l A n «-> ■ o onoy-lt-1 uat, Antiliy, Russy-Bémont, Coyolles, Gondreville, Vauci nnes, Oguon, V ille rs-Sa in t-F ram bourg , Fieurines, Séry-Magneval, Bras scuse, Roberval, Rouvres, Etavigny, Boullarre, Rosoy*cn-Mu tien, Ro sières et Baron.

Sont convoqués, par le fondateur, en Assemblée Constitutive, le Ven­d re d i v in g t et m m a i m il neu f cent v ing t, à quatorze heures trente (h eu re légale), «i l’Hôtel de Vills de Crépy-en-Valois.

OHDRE DU JOUR :1° Vérification de la sincérité de

la déclaration relative à la souscrip­tion du capital social et aux verse ments faits par les souscripteurs.

2° Nomination des Administra­teurs.

3° Nomination des Commissaires do surveillance.

4* Approbation des Statuts et cons­titution définitive.

5° Autorisation aux Administra­teurs de recevoir de l’Etat les avan­ces remboursables prévues par la loi du 27 juin 19 9 et le décret du 29 septembre suivant. '

6° Délibération sur toutes autres propositions accessoires

Tous les souscripteurs ont droit de prendre part à l'Assemblée.

L e F onda teur,Léon ROLAND,

A g ricu lteu r à Barbet y , Sén a teu r de l ’Oise.

AcaciasE rab le s , S y c o m o re s et Sapins

terroirs d’O r r o u y , G i l l o c o u r t , I M o r i e n v a l , F e i g n e u x ,

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— C h a n tilly , Dépôt, Café de l’Union 8, rue de Paris— C rç il, Dépôt, Hôtel de la Gare, r. Jules-Juillet.— S e n lis , D é p ô t , M on Pipart, cycles, 25, r. 5ela BépnbllQne.

C O L I S A S S U R É S - L I V R A I S O N A D O M I C I L E P R I X M O D É R É S D É M É N A G E M E N T S

Vo par nous, Maire de la Ville de Senlis, pour légalisatioft de la signature de 4ÿpo*é« à l'a rtic le • Le

Enregistré à Senlis. Reçu

Imprimerie Administrative et Commerciale de Senlis.U . place d* l’Hêtol-*» T ilfc-

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