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Éditions Le Manuscrit - www.manuscrit.com- 20, rue des Petits-Champs 75002 Paris [email protected] 01 48 07 50 09 Leader de l’édition sur Internet, les Editions Le Manuscrit –www.manuscrit.com– ont ouvert un nouvel espace de création littéraire et de diffusion des savoirs dans le paysage de l’édition. Depuis 2001, elles proposent des ouvrages dans le double format du livre papier et du livre électronique, toujours disponibles, référencés et diffusés dans le monde entier, en français et dans d’autres langues, dans les librairies traditionnelles ou en ligne. Les éditions Le Manuscrit poursuivent activement une politique de réseaux autour des auteurs et des institutions. Collection L’Esprit des Lettres L’Esprit des lettres présente, dans un esprit d’ouverture et de rigueur, un choix d’ouvrages reflétant les principales tendances de la critique en littérature française et comparée. Chaque proposition de publication y fait l’objet d’une évaluation par les directeurs de collection ainsi que par des spécialistes reconnus du domaine étudié. «L’intraduisible dont je suis fait» Artaud et les avant-gardes occidentales Anne Tomiche Date de parution : 10 janvier 2013 410 pages - 140x225 mm ID : 14682 Prix du livre papier : 35.90€ Prix du livre numérique : 15.90€ EAN papier : 9782304040708 EAN numérique : 9782304040715 Violence politique et Littérature au XIXe siècle Pierre-Jean Dufief Marie Perrin-Daubard Date de parution : 14 janvier 2013 440 pages - 140x225 mm ID : 14685 Prix du livre papier: 35.90€ Prix du livre numérique : 15.90€ EAN papier : 978230404685 EAN numérique : 9782304040692 Le XIXe siècle naît dans les violences de la Révolution et il semble voué à répéter la scène de cette violence originelle dans les révolutions et les insurrections qui scandent son histoire et hantent l’imaginaire des écrivains et des artistes... La littérature est miroir des représentations et elle permet de revoir l’histoire politique de tout un siècle, ses violences qui en constituent souvent les moments les plus marquants (Commune, Affaire Dreyfus, attentats anarchistes, manifestations de la droite révolutionnaire), au prisme des images que nous en a laissées la fiction. La violence est source d’émotions mais son inscription au coeur des oeuvres pose la question des liens de la littérature et de l’idéologie ; elle a ses thuriféraires qui la sacralisent et en font, dans la tradition de Joseph de Maistre, un attribut divin, ses adversaires qui la dénoncent et tentent de l’éradiquer. La violence politique est d’abord de l’ordre de l’oratoire. Violence des mots et mots de la violence. Cette violence des textes est liée à un contexte, à des processus de défoulement et de refoulement, qui font de la littérature de la fin de siècle le témoin privilégié d’un malaise de la civilisation, d’une « crise de l’humanisme ». civilisation, d’une « crise de l’humanisme ». Entre 1943 et 1944, alors qu’il est interné à Rodez, Antonin Artaud traduit Lewis Carroll et Edgar Poe. C’est à l’occasion de ces traductions qu’il se remet véritablement à écrire et reprend le fil d’un mouvement largement interrompu depuis 1937. La confrontation à la langue et au texte étrangers permet à Artaud d’élaborer une poétique de la voix, du rythme et de la scansion qui prend de plus en plus d’ampleur à la sortie de Rodez. L’étude des traductions de Rodez sert ici de point de départ pour éclairer toute la production – textuelle et graphique – de l’après-Rodez, des glossolalies aux dessins écrits, et pour penser la relation d’Artaud aux avant-gardes occidentales et la spécificité de sa pratique poétique au regard de celle d’autres poètes qui, des futuristes (Khlebnikov ou Marinetti) à certains dadaïstes (Ball, Tzara, Hausmann), ont également cherché, dans la première moitié du vingtième siècle, à renouveler la langue poétique. Le Manuscrit www.manuscrit.com « L’intraduisible dont je suis fait » Artaud et les avant-gardes occidentales Anne Tomiche LE MANUSCRIT RECHERCHE - UNIVERSITÉ L’Esprit des Lettres Autobiographies de transfuges. Karl Philipp Moritz, Richard Wright, Assia Djebar Martine Leibovici Lorsqu’on est quelqu’un de décalé, lorsque se sont répétées des situations où l’on s’est senti en porte-à-faux parce que l’on est quelque part en aspirant à un ailleurs ou parce que l’on est quelque part en venant d’ailleurs, on n’écrit pas seulement pour retrouver et rendre publics les méandres de son intériorité, on écrit aussi pour donner sens à ce décalage constamment revécu entre ses propres dispositions et la configuration des relations sociales de domination où l’on a eu à évoluer. L’autobiographie, point de vue nécessairement singulier, est alors un vecteur de compréhension non seulement de soi, mais aussi du monde. À des siècles et des lieux de distance, d’étonnantes convergences se tissent entre les écritures de soi si différentes de Karl Philipp Moritz (1727- 1793, Allemagne), Richard Wright (1908-1960, États-Unis) et Assia Djebar (1936, Algérie). Les subjectivités tourmentées qui s’y exposent font valoir leurs expériences et leurs jugements en leur nom propre. Chacune revendique d’être entendue dans sa singularité et non comme un exemplaire interchangeable d’un groupe, mais sans jamais renier les liens qui la rattachent aux membres opprimés de son groupe d’origine ni renoncer à son exigence critique. L’écrivain nous donne à penser sur les dilemmes vécus aujourd’hui par tant d’individus ayant été, comme lui, des transfuges. Date de parution : 25 juillet 2013 342 pages - 140x225 mm ID : 15040 EAN papier : 9782304042146 EAN numérique : 9782304042153

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Leader de l’édition sur Internet, les Editions Le Manuscrit –www.manuscrit.com– ont ouvert un nouvel espace de création littéraireet de diffusion des savoirs dans le paysage de l’édition. Depuis 2001, elles proposent des ouvrages dans le double format du livre papier

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Collection L’Esprit des LettresL’Esprit des lettres présente, dans un esprit d’ouverture et de rigueur, un choix d’ouvrages reflétant les principales tendances de la critique en littérature française et comparée. Chaque proposition de publication y fait l’objet d’une évaluation par les directeurs de collection ainsi que par des spécialistes reconnus du domaine étudié.

«L’intraduisible dont je suis fait»Artaud et les avant-gardes occidentalesAnne Tomiche

Date de parution : 10 janvier 2013410 pages - 140x225 mmID : 14682Prix du livre papier : 35.90€Prix du livre numérique : 15.90€EAN papier : 9782304040708EAN numérique : 9782304040715

Violence politique et Littérature au XIXe sièclePierre-Jean DufiefMarie Perrin-Daubard

Date de parution : 14 janvier 2013440 pages - 140x225 mmID : 14685Prix du livre papier: 35.90€Prix du livre numérique : 15.90€EAN papier : 978230404685EAN numérique : 9782304040692

Le XIXe siècle naît dans les violences de la Révolution et il semble voué à répéter la scène de cette violence originelle dans les révolutions et les insurrections qui scandent son histoire et hantent l’imaginaire desécrivains et des artistes...La littérature est miroir des représentations et elle permet de revoir l’histoire politique de tout un siècle, ses violences qui en constituent souvent les moments les plus marquants (Commune, Affaire Dreyfus, attentats anarchistes, manifestations de la droite révolutionnaire), au prisme des images que nous en a laissées la fiction. La violence est source d’émotions mais son inscription au coeur des oeuvres pose la question des liens de la littérature et de l’idéologie ; elle a ses thuriféraires qui la sacralisent et en font, dans la tradition de Joseph de Maistre, un attribut divin, ses adversaires qui la dénoncent et tentent de l’éradiquer.La violence politique est d’abord de l’ordre de l’oratoire. Violence des mots et mots de la violence. Cette violence des textes est liée à un contexte, à des processus de défoulement et de refoulement, qui font de la littérature de la fin de siècle le témoin privilégié d’un malaise de la civilisation, d’une « crise de l’humanisme ». civilisation, d’une « crise de l’humanisme ».

Entre 1943 et 1944, alors qu’il est interné à Rodez, Antonin Artaud traduit Lewis Carroll et Edgar Poe. C’est à l’occasion de ces traductions qu’il se remet véritablement à écrire et reprend le fil d’un mouvement largement interrompu depuis 1937. La confrontation à la langue et au texte étrangers permet à Artaud d’élaborer une poétique de la voix, du rythme et de la scansion qui prend de plus en plus d’ampleur à la sortie de Rodez. L’étude des traductions de Rodez sert ici de point de départ pour éclairer toute la production – textuelle et graphique – de l’après-Rodez, des glossolalies aux dessins écrits, et pour penser la relation d’Artaud aux avant-gardes occidentales et la spécificité de sa pratique poétique au regard de celle d’autres poètes qui, des futuristes (Khlebnikov ou Marinetti) à certains dadaïstes (Ball, Tzara, Hausmann), ont également cherché, dans la première moitié du vingtième siècle, à renouveler la langue poétique.

Le Manuscritwww.manuscrit.com

« L’intraduisible dont je suis fait »

Artaud et les avant-gardes occidentales

Anne Tomiche

LE MAnuscriT rEcHErcHE - univErsiTé

L’Esprit des Lettres

Autobiographies de transfuges.Karl Philipp Moritz, Richard Wright, Assia Djebar

Martine Leibovici

Lorsqu’on est quelqu’un de décalé, lorsque se sont répétées des situations où l’on s’est senti en porte-à-faux parce que l’on est quelque part en aspirant à un ailleurs ou parce que l’on est quelque part en venant d’ailleurs, on n’écrit pas seulement pour retrouver et rendre publics les méandres de son intériorité, on écrit aussi pour donner sens à ce décalage constamment revécu entre ses propres dispositions et la configuration des relations sociales de domination où l’on a eu à évoluer. L’autobiographie, point de vue nécessairement singulier, est alors un vecteur de compréhension non seulement de soi, mais aussi du monde. À des siècles et des lieux de distance, d’étonnantes convergences se tissent entre les écritures de soi si différentes de Karl Philipp Moritz (1727-1793, Allemagne), Richard Wright (1908-1960, États-Unis) et Assia Djebar (1936, Algérie). Les subjectivités tourmentées qui s’y exposent font valoir leurs expériences et leurs jugements en leur nom propre. Chacune revendique d’être entendue dans sa singularité et non comme un exemplaire interchangeable d’un groupe, mais sans jamais renier les liens qui la rattachent aux membres opprimés de son groupe d’origine ni renoncer à son exigence critique. L’écrivain nous donne à penser sur les dilemmes vécus aujourd’hui par tant d’individus ayant été, comme lui, des transfuges.

Date de parution : 25 juillet 2013342 pages - 140x225 mmID : 15040

EAN papier : 9782304042146EAN numérique : 9782304042153

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Le roman de la quête esthétique Yves Landerouin

Date de parution : 23 sep-tembre 2011177 pages - 140x225 mmID: 14 243Prix du livre papier: 21,90 € Prix du livre numérique : 9,90 €EAN papier : 9782304038286EAN numérique : 9782304038293

Les instants de beauté que nous font vivre un être, un paysage, un tableau, un livre, une voix, une symphonie, la rumeur d’un aéroplane… sont parmi les plus forts de nos existences. Mais que faire des impressions esthétiques ? Quel prolongement leur donner ? Faut-il même chercher à les prolonger ? Faut-il leur consacrer nos vies ? De quelle façon ? Plus généralement, quel est le bon rapport au beau ? Aucune époque de l’histoire de la littérature n’aura été plus habitée par cette question que celle des années 1870-1920. Et les romans de Wilde, Huysmans, Proust, D’Annunzio, Thomas Mann, etc. offrent, à travers discours et situations, des réponses d’une richesse inépuisable. Il s’agit ici de retrouver les termes du débat en faisant constamment dialoguer les œuvres entre elles, comme si elles s’interrompaient les unes les autres pour se compléter, se corriger ou se contredire. Cet essai aura atteint son but s’il fait ressortir leur cohérence, s’il éclaire les positions défendues et leurs implications, s’il aide le lecteur à analyser voire à déterminer son propre rapport au beau. Qui sait ? Peut-être avons-nous encore quelque chose à apprendre, nous qui vivons à l’ère de la « consommation des biens et des services culturels », d’une littérature centenaire.

Comment lire avec justesse les littératures neuves des pays anciennement colonisés, les apprécier dans leur dimension esthétique, sans méconnaître leur signification politique ? Comment tenir compte de l’héritage colonial dont elles portent la marque sans les enfermer dans cette condition historique ? Cet essai propose des éléments de réponse à ces questions en construisant « une scène littéraire postcoloniale », librement inspirée par les Postcolonial Studies. Quelques œuvres y sont convoquées : Le Quatrième Siècle (Edouard Glissant), Maps (Nurridine Farah), Pagli (Ananda Devi), Hombo (Chantal Spitz). Leurs auteurs sont issus d’aires géographiques éloignées (Martinique, Somalie, Polynésie Française, Maurice) qui n’ont de commun que d’avoir subi la violence coloniale.Dans l’espace de confrontation transdisciplinaire ainsi dessiné s’élaborent la figure contemporaine de « l’écrivain postcolonial » et les singularités de l’ « écriture du trauma » qui ordonne son travail.

Les ruptures du récit Alison Boulanger, Chiara Nannicini et Alice Pintiaux

« Le monde se compose de tessons qui s’éparpillent, c’est un obscur chaos incohérent que qeule l’écriture maintient. » Ces mots d’Imre Kertész accordent à l’écriture la force de sauver un monde en perpétuelle désagrégation. Or une telle écriture ne peut déboucher que sur une forme en péril, tendue entre un chaos menaçant et une cohérence toujours visée, jamais atteinte, exhibant ses propres tâtonnements et s’enfantant dans la douleur.Les articles réunis dans ce volume ont pour objet les trous, brisures et montages de la prose narrative au XXe siècle – entre autres dans les œuvres de Handke, Simon, Perec, Levi, Tabucchi, Kertész, Glissant, pour qui le récit ne saurait être qu’un champ de forces où s’affrontent désir de totalité et menace de désintégration. Dans cette forme discontinue où nombre d’écrivains et de critiques voient la marque même de la modernité, la recherche formelle est inextricablement liée à un questionnement politique : le désordre di récit implique une réflexion sur l’Histoire et sur la possibilité de l’écrire. La forme hachée à laquelle aboutissent les auteurs peut être l’indice d’une faillite, le récit échouant à représenter l’irreprésentable. Mais elle peut aussi se voir investir d’une valeur critique : contre le mensonge d’une forme lisse, le récit discontinu, revenant inlassablement sur lui-même, se fait l’instrument d’une réflexion que le lecteur est invité à poursuivre.

Julien Green et l’Europe Daniela Fabiani

Date de parution : 25 mai 2012354 pages - 140x225 mmID: 14 386Prix du livre papier: 33,90 € Prix du livre numérique : 15,90 €EAN papier : 9782304039566EAN numérique : 9782304039573

Analyser la présence de l’Europe dans la vie et dans l’imaginaire de Julien Green signifie essayer de comprendre, à travers ses écrits, la liaison qu’il a tissée, au fil des ans, avec un continent qu’il a parcouru en voyageur attentif et exigeant.Il le décrit dans certains de ses romans, l’aime et sait en interpréter les aspirations les plus profondes.Les trois sections qui composent ce volume proposent un parcours critique visant à souligner les jalons essentiels de cette relation voyageur-Europe, parfois apparemment contradictoire. Elle a jalonné toute la vie de l’auteur et nous montre la qualité de la renommé que le Vieux Continent, grâce aux différentes traductions, a réservée à un artiste au « cœur » profondément européen.

Date de parution : 3 mai 2012338 pages - 140x225 mmID: 14 340Prix du livre papier: 29,90 € Prix du livre numérique : 13,90 €EAN papier : 9782304039429EAN numérique : 9782304039436

Date de parution : 28 mars 2011272 pages - 140x225 mmID: 14 103Prix du livre papier: 27,90 € Prix du livre numérique : 11,90 €EAN papier : 9782304037067EAN numérique : 9782304037074

La scène littéraire postcoloniale Patrick Sultan

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Littérature, Histoire et politique au XXe siecle : hommage à Jean-Pierre Morel Vincent Ferré

Date de parution : 26 mai 2010368 pages - 140x225 mmID : 13 512Prix du livre papier: 28.30 €Prix du livre numérique : 7,90 €EAN papier : 9782304033526EAN numérique : 9782304033533

Depuis quarante ans, Jean-Pierre Morel est celui qui s’est le plus directement attaché à faire pleinement perdurer une recherche portant sur les relations entre la littérature et l’histoire, en leur associant la politique – longtemps bannie des études littéraires – dans une démarche comparatiste interrogeant l’esthétique et la modernité. Les 21 textes publiés ici, de collègues de longue date ou de jeunes chercheurs qu’il a constamment encouragés, entrent en dialogue avec une œuvre de traducteur et de critique qui a fait connaître au public francophone des auteurs anglo-saxons, allemands et russes comme Brecht, Heiner Müller, Kafka ou John Dos Passos, aux côtés d’écrivains moins connus.

Aux amis, faux frères et malades imaginaires des Lumières Jean Goldzink

Date de parution : 25 août 2010169 pages - 140x225 mmID: 14 003Prix du livre papier: 21.90 € Prix du livre numérique : 9,90 €EAN papier : 9782304036701EAN numérique : 9782304036718

Ce petit essai, composé entre juin et août 2008, ne se pose qu’un seul défi : faire court. Dès lors, il faut taper plus fort sur la tête du clou. Quitte à se faire mal aux doigts et écraser le bois dont on prétend s’échauffer.On dira que les Lumières se prêtent d’elles-mêmes au jeu. Ne l’ont-elles pas presque inventé, dans la plus célèbre bataille entre idées ? Peut être. Mais elles n’ont pas tiré les premières. Elles répondent aux noires soutanes, toujours là et bien là.Qu’est-ce pourtant que les Lumières qui, parties d’Europe au tournant du Moyen Âge, entendent rayonner sur le monde et délivrer l’Humanité de ses fables, la raison de ses erreurs, la société de ses malheurs ? On se l’est souvent demandé, et il faut continuer.Faire bref ne signifie pas à tout coup faire simple. Aufklärung, Enlightenment disent mieux un procès historique croissant et multipliant. Lumières désigne plus clairement la pluralité des options, des moments, des pays, des groupes et individus.Par la force des choses, il est beaucoup question de la France. C’est la faute à ma langue, à mes goûts, à la concision, tout autant qu’au lecteur visé. Mais si la France se distingue d’autres pays, elle va dans le même sens, et ne se prive pas de commercer.Lumières veut dire débats et combats. Donc, je débats et me bats, sans oser trop tremper la plume dans l’eau froide. Une raison qui ne s’échauffe pas a du prix, Spinoza y voit même la définition du Sage. Cet opuscule n’est hélas pas sage, et il parle des Lumières.

Dix études sur Le Roman et la Loi suivies de Hommages à Norman David ThauNorman David Thau

Paru en mai 2009193 pages - 140 x 225 mmID : 12835Le livre papier 21,90€Le livre électronique 5,95 €ISBN (papier) : 978-2-304-02822-5ISBN (électronique) : 978-2-304-02823-2

Comment le roman conteste-t-il la Loi ? Que devient-il quand disparaît la transcendance ? La modernité occidentale semble liée au refus, voire à la disparition de la Loi entendue comme norme divine, acceptée comme telle, régissant les rapports humains et la vision que les individus ont de leur existence. Mais combien de romans peuvent se comprendre en dehors d’un rapport – souvent ambigu ou paradoxal – à la Loi ? Critique dissolvante ou tentation restauratrice, évanouissement ou dissémination de l’absolu, recherche d’une norme de substitution, confrontation cauchemardesque aux fantômes ou aux avatars monstrueux de la Loi ancienne : en quoi l’écriture romanesque constitue-t-elle une modalité privilégiée de cette enquête sur la Loi (humaine ou divine, religieuse, morale ou politique) ? Ce sont quelques-unes des questions abordées par les études de ce recueil, où se trouvent convoqués, parmi d’autres, Dostoïevski et Hugo, Bernanos et Kafka, Lamed Shapiro, Koestler et Camus, Joyce, Broch, Musil, Dos Passos, sans oublier le roman policier.

Paru en mai 2009125 pages - 140 x 225 mmID : 12852Le livre papier 14,90€Le livre électronique 5,95 €ISBN (papier) : 978-2-304-02824-9ISBN (électronique) : 978-2-304-02825-6

L’angle d’approche choisi pour le présent ouvrage surprendra peut-être les amateurs de l’oeuvre de Giono. On s’attend en effet à ce que le motif des cosmétiques soit d’une importance mineure dans un univers romanesque d’abord ancré en pleine nature. Pourtant, les parfums, les fards, les huiles entrent avec le corps, et notamment avec la peau, dans de subtiles dialectiques du naturel et de l’artifice, de la surface et de la profondeur, du sain et du malsain et jouent avec le désir, la réalité, le néant. Jean Giono, Corps et cosmétiques est le premier volet d’une réflexion sur la représentation, les usages et les langages du corps dans l’oeuvre de Jean Giono.

Jean GionoCorps et cosmétiquesAlain Romestaing et Mireille Sacotte

La scène littéraire postcoloniale Patrick Sultan

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et du livre électronique, toujours disponibles, référencés et diffusés dans le monde entier, en français et dans d’autres langues, dans les librairiestraditionnelles ou en ligne. Les éditions Le Manuscrit poursuivent activement une politique de réseaux autour des auteurs et des institutions.

La plume et l’idéeJean Goldzink

Paru en décembre 2008383 pages - 140 x 225 mmID : 12338Le livre papier 33,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-304-02324-4ISBN (électronique) : 978-2-304-02325-1

Jean Goldzink est un cas. Ce fils de FTP-MOI aime à mitrailler les idées reçues. Le Neveu de Rameau, ou la supériorité du « fou » sur le « philosophe » ? Et si c’était le contraire? Les Liaisons dangereuses, un éloge masqué du libertinage ? Voire… La révolte au sérail à la fin des Lettres persanes, une dénonciation déjà féministe du despotisme oriental ? Rien n’est moins sûr. Il y a en lui du Don Quichotte. Frappé par l’écart entre ce que la critique devrait être - un échange d’arguments - et ce qu’elle est - une accumulation de soliloques infalsifiables -, il s’obstine à ferrailler, à réfuter, poursuivant seul une dispute avec des interlocuteurs fantômes. Il a parfois le dialogue acrimonieux, comme d’autres ont l’amour vache. Il n’a même pas appris les bonnes manières. Plutôt que de sacrifier à « Sainte Polysémie » pour ne fâcher personne, il tient que ce qu’on appelle « l’indécidable » n’est souvent que l’alibi de la paresse interprétative. J’oubliais l’essentiel. Jean Goldzink est un maître. La Plume et l’idée rassemble des études sur Voltaire, Montesquieu, Diderot, le libertinage - certaines récentes, d’autres bien plus anciennes -, qui sont autant de témoignages de « l’intelligence des Lumières » et de démonstrations par l’exemple de ce que lire veut dire. Synthèses de haute volée, explications de texte inspirées, fragments d’une autobiographie intellectuelle : La Plume et l’idée est la meilleure introduction possible à l’oeuvre d’un des très grands spécialistes du XVIIIe siècle. [Philippe Zard]

Littérature et saveurHedi Kaddour (sous la coordination de)

Paru en mars 2009453 pages - 140 x 225 mmID : 12409Le livre papier 31.00€Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-304-02400-5ISBN (électronique) : 978-2-304-02401-2

Dans Le Peuple, Michelet a cette phrase à propos des élèves des grandes écoles fondées en l’an III par la Convention : « Spectateurs de l’invention continuelle de leurs maîtres, ils allaient inventant aussi. » Jean Goldzink n’a jamais voulu passer pour un maître, mais il est un inventeur de cette sorte. Pendant près de quatre décennies passées à l’Ecole Normale Supérieure de Fontenay/Saint-Cloud/Lyon, il a lu et relu les textes de la littérature française en y cherchant ce qu’ils apportent de singulier, de fort, de neuf. Il a formé des générations d’enseignants-chercheurs à ce type d’enquête, dans le double souci de la trouvaille et de l’élégance. Ses élèves et collègues lui rendent ici hommage avec une quarantaine d’études, explications de texte ou commentaires. Les auteurs étudiés s’échelonnent du Moyen Âge au XXe siècle, de Chrétien de Troyes à Claude Simon.

Musique et romanAude Locatelli et Yves Landerouin (sous la direction de)

Paru en octobre 2008319 pages - 140 x 225 mmID : 11950Le livre papier 29,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-304-01936-0ISBN (électronique) : 978-2-304-01937-7

De nombreuses publications, des thèses entières portent sur les relations entre la littérature et la musique. Il est vrai que ces relations se prêtent aux approches les plus variées et aux commentaires de toute sorte. Les auteurs du présent volume s’interrogent sur les fonctions que la musique - plus particulièrement l’évocation de la musique - peut assumer au sein des romans. De Balzac à Echenoz, en passant par Robert Musil, Thomas Mann, Virginia Woolf et bien d’autres, il n’est pas rare que les romanciers évoquent des oeuvres musicales de façon précise et substantielle, composant ainsi des sortes d’ekphrasis, que le critique R. S. Edgecombe appelle mélophrasis. Mais on peut se demander comment de telles évocations entrent dans les structures du roman et participent à la construction de son sens. Servent-elles à caractériser un personnage, un lieu ou plus vaguement à suggérer une « atmosphère » ? Servent-elles à faire avancer l’action ? A exprimer une passion ou une aversion pour une oeuvre musicale ? A faire écho au goût d’une époque ou d’une génération ? A varier et renouveler un genre ? A indiquer un modèle formel pour l’oeuvre littéraire ? Cette énumération ne donne qu’une mince idée des fonctions que la musique peut remplir au sein du roman. Précisément, on se propose ici, après un essai de typologie, d’en explorer la variété et la subtilité. Et à travers tous ces exemples, le lecteur fera plus d’une fois le même constat : si le roman moderne se sert de la musique, il sait aussi lui rendre service.

Tout contre le réelMiroirs du fait diversEmmanuelle André, Martine Boyer-Weinmann et Hélène Kuntz

Paru en juin 2008463 pages - 140 x 225 mmID : 10651Le livre papier 31 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-304-00582-0ISBN (électronique) : 978-2-304-00583-7

Compris comme phénomène social, le fait divers marque l’histoire intellectuelle du xxe siècle : l’esthétique rencontre l’histoire et le politique, le fait de société est soumis à l’interprétation critique. En prenant le parti de la rencontre entre trois arts – littérature, théâtre et cinéma – profondément marqués par l’émergence d’une modernité dont le fait divers est contemporain, cet ouvrage interroge la tension qui se joue dans le regard des créateurs entre un ancrage dans le réel et une résistance à sa représentation. À travers l’analyse d’oeuvres précises ou à partir d’approches transversales, les textes le composant dessinent une cartographie de formes plurielles, qui renouvellent les catégories de représentation.

Éditions Le Manuscrit - www.manuscrit.com-20, rue des Petits-Champs 75002 Paris

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Leader de l’édition sur Internet, les Editions Le Manuscrit –www.manuscrit.com– ont ouvert un nouvel espace de création littéraireet de diffusion des savoirs dans le paysage de l’édition. Depuis 2001, elles proposent des ouvrages dans le double format du livre papier

et du livre électronique, toujours disponibles, référencés et diffusés dans le monde entier, en français et dans d’autres langues, dans les librairiestraditionnelles ou en ligne. Les éditions Le Manuscrit poursuivent activement une politique de réseaux autour des auteurs et des institutions.

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Sillage de KafkaPhilippe Zard

Paru en mai 2007527 pages - 140 x 225 mmID : 9056Le livre papier 39.90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-8610-9ISBN (électronique) : 978-2-7481-8611-7

Le sillage de Kafka, c’est la postérité paradoxale d’un écrivain dont la stérilité en tous domaines était devenue le tourment, et qui n’en a pas moins inexorablement transformé notre manière de lire, d’écrire, et d’appréhender le monde. L’oeuvre de Kafka a été méditée – jusqu’à l’obsession –, célébrée – jusqu’à l’idolâtrie –, imitée – jusqu’au maniérisme. Sa personne même est devenue un mythe littéraire. La modernité fait un usage immodéré de la notion de « kafkaïen » pour caractériser ici un système politique, là une crise identitaire, tantôt une impuissance à agir, tantôt une incapacité à comprendre. Sillage de Kafka invite à une traversée des arts et de la littérature, tels que cette oeuvre les a transformés et ébranlés. On y croisera Sartre, Anders, Deleuze, Coetzee, Kertész, Singer, Nabokov, Bioy Casares, Sebald, Weiss, Müller, Michaux, Beckett, Perec, Des Forêts, Welles, les Straub, Soderbergh, parmi d’autres…

AudibertiChroniques, romans, théâtreJean-Yves Guérin

Paru en septembre 2007205 pages - 140 x 225 mmID : 10015Le livre papier 21,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-9380-6ISBN (électronique) : 978-2-7481-9381-4

Le centenaire de sa naissance a remis l’oeuvre immense d’Audiberti sous les feux de la critique. Le colloque qui s’est tenu à la Sorbonne nouvelle en novembre 2005 propose l’exploration d’oeuvres de l’auteur antibois moins connues que Le mal court à qui la Comédie-Française vient de procurer une nouvelle reprise triomphale. Il est ici question de ses chroniques de La Nouvelle Revue française et de La Parisienne, de deux de ses romans les plus énigmatiques et les plus monumentaux, Abraxas et La Nâ, et enfin de pièces moins souvent jouées que le mal court, mais qui sont riches et originales, notamment Opéra parlé, Pucelle, La Fourmi dans le corps et Le Cavalier seul.

Le poème et le phénomèneLectures de prénomsPhilippe Marty

Paru en mars 2007633 pages - 140 x 225 mmID : 8863Le livre papier 39 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-8350-9ISBN (électronique) : 978-2-7481-8351-7

Les poèmes se forment au regard et au passage des noms propres. Est poème tout énoncé pensant à un nom propre. Le nom propre fait (« poieitai ») le poème ; délivrant les avatars de lui-même il s’y répartit univoquement. Voilà les motifs qui conduisent les études que rassemble cet ouvrage où sont lus des poèmes de Virgile, Horace, Hölderlin, Baudelaire, Mistral, Laforgue, Nietzsche, Rilke, Valéry, et également de (saint) Luc, Hegel, Grimm, Nietzsche, Husserl, Heidegger, Deleuze. C’est aussi, du même coup : une réflexion sur la traduction, parce que le nom propre est « l’intraduisible » ; sur le pronom je, soit auteur, soit acteur-de-l’instant ; sur le concept (le concurrent, l’autre et l’égal du nom propre) ; sur l’être-ensemble, parce que le nom propre, étant donné sa manière infinitive de hanter, vaut pour tous, se partage et est le « Plus Commun » (Agamben) ; sur le temps de la compréhension, ou « otium », ou « aiôn ». C’est la recherche d’une herméneutique écologique, monadologique, ou encore « faible » au sens de la « philosophie faible », « debole ».

Ecritures de la douleur. Dostoïevski, Sarraute, Nabokov. Essai sur l’usage de la fictionIsabelle Poulin

Paru en janvier 2007357 pages - 140 x 225 mmID : 8731Le livre papier 25,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-8298-7ISBN (électronique) : 978-2-7481-8299-5

La douleur est un espace de silence dans lequel on ne peut s’aventurer qu’avec la prudence d’un artificier : chaque mot doit être désamorcé avant que ne soit prise ou donnée la parole, véritable bombe à retardement dans les oeuvres de Dostoïevski, Sarraute et Nabokov. Si l’on croit pouvoir parler d’écritures de la douleur, c’est au sens où celle-ci est à l’origine de ce qui s’écrit – à partir de la douleur, point de contact possible entre des « écorchés de la parole », point de départ d’un long cheminement qui assimile le travail de l’écriture au geste du chirurgien opérant de grands blessés. La période au cours de laquelle s’inventent ces écritures est une période de grands bouleversements qui a favorisé l’invention d’une médecine de la douleur.

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Albert Camus : l’exigence moraleHommage à Jacqueline Lévi-ValensiAgnès Spiquel et Alain Schaffner (sous la direction de)

Paru en avril 2006260 pages - 140 x 225 mmID : 7833Le livre papier 27,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-7100-4ISBN (électronique) : 978-2-7481-7101-2

Jacqueline Lévi-Valensi, présidente de la Société des Études Camusiennes disparue en 2004, ne cessait de souligner l’actualité et la force de la pensée d’Albert Camus, « pensée qui refuse la démesure et qui, n’oubliant jamais l’exigence morale, en fait le principe de toute action ». Pour lui rendre hommage, des penseurs et des chercheurs interrogent cette pensée et le mode de rapport au monde, à l’homme et à l’Histoire qu’elle implique.

La Nouvelle Revue Française de Jean PaulhanJean-Yves Guérin

Paru en avril 2006324 pages - 140 x 225 mmID : 7615Le livre papier 29,90 €Le livre électronique 7,90 €ISBN (papier) : 978-2-7481-7142-XISBN (électronique) : 978-2-7481-7143-8

Par sa longévité et par la qualité exceptionnelle de ses sommaires, La Nouvelle Revue française, occupe une place privilégiée dans le champ des revues littéraires françaises du vingtième siècle. Jean Paulhan en a été le maître pendant trente ans, de 1925 à 1940 et de 1953 à 1968. Cet ensemble d’études issues d’un colloque qui s’est tenu en 2003 à l’Université de Marne-la-Vallée rend leur dû à une institution, à son animateur et à ses prestigieux collaborateurs qui s’appellent Proust, Malraux, Michaux, Claudel.

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